Tu avais connus Juliet lors l'un de tes voyages d'affaire en Irlande, tu avais hésité à refuser ce fameux voyage devoir remettre les pieds sur ta terre natale n'étais pas dans tes projets loin de là, tu ne t'étais juré à tes quinze ans de ne plus jamais y remettre les pieds. En y réfléchissant bien, tu avais bien fait d'y aller, juste pour cette rencontre que tu avais fait. Tu ne l'avais pas vu depuis ce temps là, mais par chance tu avais encore son numéro après toutes ces années, tu avais su par hasard qu'elle étais maintenant à San Francisco, comme le destin faisais bien les choses. Tu l'avais contacté par sms, en espérant qu'elle aussi se souvienne de toi, heureusement pour toi c'était le cas. Elle acceptas de te voir le soir même, tu te changeas, enfilas un jean et une chemise blanche. Ensuite, tu partit en direction de son appartement, tu tournas pendant quelques minutes ne connaissant encore pas trop San Francisco, mais tu trouvas plus rapidement que tu ne le pensais. Tu sonnas à sa porte, affichas ton plus beau sourire quand celle ci apparus face à toi « Toujours aussi belle » fut les premier mots que tu prononça quand elle ouvris la porte.
Quelle surprise avais-je eu quand une ancienne connaissance me contacta sur mon portable ! Je mis du temps avant de comprendre qui c'était. J'avais pour habitude de faire régulièrement du tri dans mes contacts téléphoniques. Gareth Callaway, la dernière fois que je l'avais vu et parlé remontait à quelques années déjà. J'avais tout juste vingt ans et je vivais encore à Dublin. Je l'avais rencontré à la boîte de strip-tease où je travaillais. Au final, nous n'avions pas extrêmement parlé. Nous avions plutôt échangé une agréable nuit chez moi, lui entre mes cuisses. Histoire de se revoir, je lui avais donné mon adresse pour qu'il me rende visite. C'était toujours bien de revoir du monde qui avait la même nationalité que toi.
Je venais juste de coucher le bébé dans sa nouvelle chambre et j’espérais qu'elle allait vite s'endormir. Et ne pas se réveiller trop tôt pour que je puisse me reposer. Rangeant mon bureau de travail, je sursautai un peu quand on sonna à la porte. Je lançai un coup d'oeil furtif à la chambre d'Eireen et je sentis qu'elle dormait. Parfait. Je partis ouvrir et tombai sur le grand blond. Il me fit son plus grand sourire et me complimenta sur ma beauté. Charmée, je fis un demi-sourire et lui dis: « Dea-tráthnóna Gareth. » Je me décalai sur le côté pour le laisser entrer dans ma demeure puis refermai la porte à clef. « Tu veux boire quelque chose ? Manger quelque chose ? » Je le mettais à l'aise avant de l'inviter à s'installer sur le canapé dans le salon. Je me demandais ce qu'il faisait en Californie.
A la vue de la jeune femme, le souvenir de votre soirée et nuit te revenais immédiatement en tête et tu te disais que cela étais dommage d'avoir perdus autant de temps avant de se revoir, c'était le bon moment pour rattraper tout ça, même si t'a venue à San Francisco avais été à la base pour retrouver l'amour de ta vie pas pour t'envoyer en l'air avec une ancienne connaissance, tant pis tu faisais une pierre de coup et Lera n'avais aucun moyen de découvrir que t'étais aller visiter une ancienne conquête. Tu souriais lorsqu'elle t’accueillais en irlandais, tu entrais dans l'appartement et jetais un rapide coup d’œil, tu le trouvais plutôt chaleureux et bien décoré, tu te retournais vers la brunette. « C'est sympas chez toi » dit tu avec un sourire. « Je veux bien un whisky si tu as bien sur » nouveau sourire de charmeur. Tu t'installas sur le canapé comme elle te l'avais indiqué. Elle revint vers toi quelques minutes plus tard avec ton verre, et s'installa a coter, tu te demandais si elle faisais toujours du strip tease, ce qu'elle étais devenus pendant toutes ces années « Alors parle moi un peu de toi, depuis quand as tu quitté Dublin ? » tu t'intéressais un minimum à elle c'était la moindres des choses et tu n'avais pas envie de la traiter comme un objet comme tu avais plus le faire avec d'autre femmes.
Gareth prit ses aises et partit s'installer dans le séjour. Il m'avait demandé du whisky. Évidemment que j'en avais, même si je n'en consommais pas vraiment. C'était une boisson à avoir au cas où. Je partis chercher la bouteille de Jameson dans l'endroit où étaient stockées les bouteilles d'alcool. Je pris un verre et le remplis de cette boisson alcoolisée. Je revins près de mon invité et lui tendis son verre, pour ensuite poser la Jameson sur la table basse. Quant à moi, je n'avais pas faim. Je pris enfin place à ses côtés, toujours élégante en croisant mes jambes. Il m'interrogea: « Alors parle moi un peu de toi, depuis quand as tu quitté Dublin ? » Je réfléchis deux secondes avant de lui répondre. « J'ai quitté Dublin environ sept mois après ton départ, pour venir ici à San Francisco où j'ai pu poursuivre mes études et devenir thanatopractrice. » Je ne me souvenais plus si je lui en avais parlé, pas sûr puisque le soir de notre rencontre nous n'avions pas trop échangé de mots, mmh. « Je fais toujours du strip-tease d'ailleurs. » Lui dis-je en lui faisant un petit clin d’œil. Toutefois, j'étais en pause. J'étais également en pause de mon métier premier mais chaque chose en son temps. Qui sait, peut-être que la boîte de strip-tease ne voudrait plus me reprendre. Je me tournai un peu plus vers lui, il n'avait pas tellement changé toujours aussi beau, svelte, charmant. « Je suis curieuse de savoir ce que tu fais en Californie, désormais. » J'avais hâte qu'il m'explique en détails.
Il est vrais que le soir de votre rencontre, parler de vos vie respective n'avais pas été votre principale motivation, vous en saviez un strict minimum sur l'un comme sur l'autre et ce soir là ça ne vous avais pas dérangé, loin de là, vous aviez appris à vous connaître autrement, de la meilleure des façons pensas tu. A cette époque tu débutait dans le monde de la réalisation, tu réalisais des petits films indépendant grâce à la société de ton ex femme qui t'avais embauché. En apprendre un peu plus aujourd'hui sur ta partenaire d'un soir te satisfaisais bien à vrai dire « Thanatopractrice ? C'est plutôt original faut bien avouer ! Il faut dire que t'es loin d'être du genre à faire comme tous le monde » rajoutas tu avec un sourire. Toujours ce petit coté charmeur dans le moindre des tes phrases. Elle te précisa qu'elle étais toujours strip teaseuse, ce qui te décrochas un nouveau sourire « Alors j'espère avoir le droit à un show privée si tel est le cas » continuas tu sur ta lancé. Tu bus une gorgée de ton verre, lorsque la jeune femme te demandas ce qui t'amenais dans le coin, évidemment les vrai raisons tu n'allais pas les dévoiler. « Je vais ouvrir de nouveau studio de réalisation ici à San Francisco et du peu que j'ai vu pour le moment, il y à pas mal de personne bourré de talent qui ne demande qu'à être reconnus pour leur jeu d'acteur ou leur scénario qui demande qu'a prendre vie, alors je suis venus pour ça, réaliser leur rêves » c'était probablement un peu prétentieux, mais tu t'en foutais pas mal, le monde du cinéma étais pas mal dans ce genre là. « Et comme j'ai appris que tu vivais dans le coin, je dois dire que j'ai bien choisis la ville » ajoutas tu en buvant une nouvelle gorgée de ton whisky.
Ce que j'aimais chez Gareth c'était son côté charmeur, son élégance et son physique agréable à regarder. C'était une bonne chose de le revoir et c'était surtout une bonne chose de revoir un des miens en quelques sorte. Je le connaissais que trop peu à mon goût mais il venait du même pays que moi et cela me permettait de me sentir moins seule. Je n'étais pas la seule irish du coin. Je savais très bien qu'il devait en avoir d'autres sur San Francisco mais moi et la communication ça faisait un peu 10. « Thanatopractrice ? C'est plutôt original faut bien avouer ! Il faut dire que t'es loin d'être du genre à faire comme tous le monde. » Je souriais. « Oui, original pour l'être. Mais j'aime cette idée de prendre soin en quelque sorte des morts... » Je m'arrêtais. Je repensais à un instant le pourquoi du comment j'avais pensé à ce métier. Mon souffle se coupa quelques secondes puis repartit. Il fallait que j'arrête de penser à ça.
Puis, Gareth fit une remarque sur ce qui concernait ma deuxième profession: le strip-tease. Je lui fis un clin d’œil. Il m'expliqua finalement ce qu'il faisait à SF. Du cinéma. Réalisateur. Pas mal, pas mal. Ça devait bien payé ça ! Je ne me souvenais plus si à l'époque à Dublin, il m'avait parlé du monde du cinéma. Anyways. Je pris la parole: « C'est super pour toi ça ! Je te souhaite du courage, en tout cas... » Je me coupai quand j'entendis un petit couinement derrière moi. Eireen était réveillée ? « Je reviens. » Je me levai rapidement afin d'aller voir plus loin dans la chambre de la petite. Dans son petit lit, elle pleurnichait parce que sa tétine était tombée. Je lui remis dans sa bouche et attendis de la voir fermer ses petits yeux. A cet âge-là c'était peut-être chiant mais ça dormait beaucoup, j'avais la paix. Je repartis ensuite dans le salon et rejoignis Gareth sur le canapé. Je me rapprochais de lui et lui piquai son verre pour en boire une gorgée.
Tu devrais t'en vouloir, d'aller flirter avec une autre femme que celle que t'aimais. Au fond, tu ne voyais pas le mal, tu savais parfaitement que Lera-Ann ne se gênait pas de son coter, enfin c'est ce que tu pensais et de toutes façons ce qu'elle ne savais pas ne pouvais pas lui faire du mal. Et rien ne présageais qu'il allait ce passer quelques choses ce soir, même si tu l'espérais, discuter avec elle toutes la soirée n'allais pas te déranger plus que ça. Malgré toutes ces années qui avais passé depuis votre nuit aucun des deux ne semblais gêner de ce revoir heureusement d'ailleurs. Elle semblait être partit très loin dans ces souvenirs quand tu lui parlas de son métier, tu ne poussas pas plus ta curiosité ne voulant pas la mettre deux fois plus mal à l'aise et de nul doutes qu'elle aurait détourner tes questions. Quelques minute plus tard elle s’absentait, tu la suivis du regard, te demandant ce qui pouvais bien avoir, la suivant du regards, tu entendis quelques bruits que tu ne parvenais pas à identifier, peut être n'était elle pas seule dans l'appartement ? Bien entendus tu l'avais détaillés de haut en bas quand elle c'était lever, trouvant ses formes toujours parfaitement à ton goût, elle du le remarquer à son retour que tu ne te gênais pas pour de nouveau la reluquer. Tu lui souris quand elle revenais s'asseoir un peu plus prés de toi et pris ton verre des mains « tu as plutôt une bonne descente pour ton âge » dis tu avec un sourire quelques peu moqueur attendant patiemment le retour de vannes. Tu pris de nouveau la parole, quelques peu curieux des bruits que tu avais entendus « tu est seule ici ? » dis-tu en posant délicatement ta main sur sa cuisse.
Toutefois, je me demandais pourquoi il avait choisi San Francisco et pas une autre ville pour ses projets de création de nouveau studio de cinéma. Pas que je n'avais pas voulu le revoir mais il y avait certainement d'autres villes plus prometteuses. Peut-être qu'il y avait une autre raison derrière ce choix californien ? Une femme ? Bref. Je fus contente lorsqu'il ne me demanda rien d'autre sur ma profession liée aux morts. Il était respectueux. J'avais dû m'absenter pour voir si Eireen dormait bien. Je n'avais pas tellement envie de lui dire que j'avais désormais une fille - que je n'avais jamais souhaité. J'étais revenue dans la salle principale rapidement et m'étais posée relativement proche de Gareth sur le canapé. « Tu as plutôt une bonne descente pour ton âge. » Me dit-il après que je lui ai piqué son verre d'alcool. Je riais. « J'ai plus 12 ans, hein. » Sa main vint se poser sur ma cuisse finement recouverte de ma robe. Les robes et moi: une belle histoire d'amour. Je me penchai en avant pour poser le verre sur la table basse et frôlai sa main avec un doigt en souriant. Malheureusement, il posa une mauvaise question: « Tu es seule ici ? » Je me voyais mal lui mentir. « Un nourrisson vit aussi ici. » Je ne voulais pas qu'il fasse attention à ce que je venais de dire, pour ça que je me collai à lui et me mis à caresser son visage d'ange.
Jules ; J'ai plus 12 ans, hein Gareth ; Heureusement
Sa réponse te fis sourire. Machinalement tu regardais pendant quelques secondes, derrière l'épaule de la brune en direction du couloir qu'elle avais pris. Tu reportas ton attention sur elle, en remarquant qu'elle essayais de détourner la tienne avec des ruses plus que féminine, ce que tu appréciais au fond et qui fonctionnais à merveilles à vrai dire. Tu te saisis de sa main que tu embrassais comme les plus grands gentlemans de ce monde et tu voulus continuer ton chemin de baiser notamment en disposant plusieurs baiser sur son poignet et en remontant lentement vers son cou, mais sa réponse te fit oublier aussitôt pendant quelques secondes tes intention mal saine.
Jules ; Un nourrisson vit aussi ici. Gareth ; Tu fais la baby-sitter ?
Répondus tu assez rapidement, en espérant secrètement que ce soit l'enfant de sa colocataire ou une de ses copine et non pas le sien. Tu n'étais pas un admirateur des enfants et encore moins des bébés, ce n'étais vraiment pas ta tasse de thé, tu ne les trouvait pas mignon, tu ne les trouvais pas intéressant et entendre un seul de leur cris te hérissais le poil. Tu n'étais pas comme tous ces gens qui fondais à la simple vu d'un petit être, non toi c'était tous le contraire tu ne leur portais jamais aucune intention loin de là. Finalement, qu'elle sois seule ou pas, cela t'importais peu surtout si ce n'est qu'un bébé, tu avais posé la question plus par curiosité que par grand intérêt. Néanmoins avant de poursuivre quoique ce soit d'autre, tu pris la peine de te resservir un verre, tu bu aussitôt une gorgée tout en la fixant.
Alors que je caressais le visage, Gareth finit par m'attraper la main. Il posa ses lèvres sur celle-ci et commença à dériver sur mon poignet, mon avant-bras mais il s'arrêta brutalement. Pourquoi ? J'aimais bien ce qu'il faisait. « Tu fais la baby-sitter ? » Me demanda-t-il. Mais pourquoi continuait-il à me parler de ça ? Je n'avais pas vraiment envie d'en dire plus sur mon enfant. Je ne regrettais pas de l'avoir garder, je ne me serais pas pardonnée de le laisser à la naissance comme on avait fait pour moi mais pour autant je n'en étais pas très fière. Si j'avais pu éviter de tomber enceinte ça aurait été bien, et si j'avais pu éviter de tomber sur une famille adoptive qui revendait les nourrissons dans des pays de l'Est... Ça aurait été bien aussi.
Je le vis se resservir une nouvelle fois. Il allait me siffler tout ma bouteille lui, haha. Je décidai enfin d'avouer. « C'est ma fille... » Je ne pus m'empêcher de faire une petite moue dépitée. Enfin, bon je n'allais pas pleurer sur mon sort. Il fallait mieux que je profite de ma soirée avec Gareth. Au fond de moi, j'espérais passer la nuit près de son corps chaud et nu. Je gardais de bons souvenirs de notre rencontre et pourquoi pas remettre le couvert cinq ans plus tard. Je relevai mes jambes et m'adossa au canapé mais de profil. Je passais mes jambes nues au dessus de ses cuisses. S'il ne comprenait pas ce que je voulais, il avait du mal.
Après tous ce temps sans l'avoir vu tu te voyais mal lui sauter dessus tel un sauvage, pour cette raisons que tu t’intéressais ne serais qu'un minimum à sa vie. Mais à l’intonation de sa voix quand elle te répondit, à son moment d'hésitation avant de te répondre ainsi qu'a son air dépité et sa facilité déconcertante à te faire changer immédiatement d'idée lorsqu'elle se mit à califourchon sur toi, tu compris qu'il ne fallait pas insister et sur le coup tu perdis toute notion de réflexion ou questions qui t'étais venus à l'esprit. « Okay Miss Fitzgerald message reçut à cent pour cent ! » t'exclamas tu pour toutes réponses à son geste. Tu laissais tomber ta courtoisie de coté à quoi bon, vu que la demoiselle en face de toi n'en avais apparemment rien à faire que tu sois un véritable gentleman ou le plus parfait des salops. C'était bel et bien ça que tu appréciais chez la jeune fille, le fait qu'elle soit apparemment sur d'elle même, assez sure pour se laisser aller des années après avec un homme dont elle n'a eu strictement aucune nouvelle. Tu lui souriais et posais tes mains sur ces cuisses, tu te redressas légèrement afin de pouvoir enfin l'embrasser ce qu'elle devait attendre depuis le début te vantas tu intérieurement.
Tu t'écartas quelques secondes afin de reprendre ton souffle, tu saisis la jeune fille par les hanches et la fit basculer afin qu'elle se retrouve allongée sur le canapé tu te mis au dessus d'elle et affichas un sourire quelque peu machiavélique si on puis dire. « J'ai toujours apprécié qu'une femme sois quelque peu direct vois tu, mais tu sauras ma belle que c'est toujours moi qui est le contrôle en n'importe quel situation »
« Okay Miss Fitzgerald message reçut à cent pour cent ! » J'affichais un sourire aux dents blanches. Hallelujah, il ne m'avait pas embêté avec l'histoire du bébé qui vivait chez moi. Je n'étais pas si compliquée que ça comme fille, niveau sexualité. Je n'étais pas faite pour être en couple, et je ne voulais pas l'être d'ailleurs. Il me semblait seul -du moins en surface- et j'étais seule. Pourquoi ne pas prendre du plaisir à deux ? A califourchon sur lui, j'étais prête à m'offrir dans le plus simple des appareils, une deuxième fois à Gareth. Cinq ans plus tard. Je ne connaissais pas par coeur la vie de cette homme, mais le peu que je connaissais me suffisait. Ça se trouve, c'était lui aussi un tueur comme William ? (J'ai la chance de tomber sur des mecs étranges à chaque fois alors...) Qu'importe. Pour l'instant, je ne pense pas qu'il avait dans l'intention de me tuer et c'était parfait. Ses mains glissèrent sous ma robe pour me toucher les cuisses. J'aimais le contact de mains chaudes sur ma peau. Puis il m'embrassa. Baiser que j'intensifiais au maximum.
Il me fit basculer sur le canapé, et se positionna sur moi. Il était de nature dominant et voulait le rester. Je lui souris amusée. « C'est sexy une femme qui prend les devants pourtant... Mais soit. » Mes lèvres se plaquèrent aux siennes, et je soulevais un peu mes jambes pour les mettre de chaque côté de son corps. Mes mains se perdirent vite sous son haut pour lui caresser suavement son dos.