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 Je crois qu'on se connaît. On s'est déjà vu quelque part...
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Anonymous
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Mer 7 Mai - 2:47

San Francisco. Cela faisait maintenant trois ans que j'y demeurais. Tant de choses s'étaient produites depuis mon arrivée. Moi qui avais toujours mener ma vie bien rangée de solitaire me voyais bouleversé par les nombreuses rencontres qui avaient parsemé ma route. Qui aurait crû que j'aurais sombré dans un comas éthylique? Qui aurait seulement eu l'idée que je puisse être en couple? Les gens qui m'avaient vu grandir à Hawaï ne reconnaîtraient probablement pas le Domenico d'autrefois. Était-ce un bien ou un mal? Je ne saurai dire. Je ne pouvais certes pas me plaindre de mes nombreuses relations, mais je savais que c'était un couteau à double tranchant. Rien de de me remémorer toutes ses blessures et déchirures que mes proches et moi avions traversé me rappelait pourquoi adolescent j'avais préféré faire ma route seul. Heureusement, les amis, c'était là quoiqu'il arrive. Et j'avais un don pour attirer les bonnes personnes. Enfin, c'est ce que je m'amusais à croire. Non, décidément, les trois dernières années m'avaient complètement transformé. Aujourd'hui, je suis en meilleur terme avec mon passé. J'ai un but précis dont je m'approche dangereusement. Chaque échelon que je suis en train de gravir me rapproche un peu plus de mes ambitions. Je suis heureux. Malgré toutes les épreuves de la vie, j'arrive encore à sourire. C'est pratiquement héroïque tout ça. Personne n'arriverait à bout de moi. Personne.

La dernière année s'était principalement tourné en mon centre. J'ai dû devoir mettre mes amis de côté pour pouvoir espérer avancer plus rapidement. Cette négligence m'avait certes coûté ma relation avec Denver, mais je le vivais bien. C'était une décision commune et je ne pouvais pas l'enchaîner dans un tel rythme de vie. L'amour, c'est aussi ça: penser à l'autre dans chacune de ses décisions, considérer les répercussions qui l'affecteraient. Bref, par chance, mon noyau d'amis proches comprenait mon absence et me le pardonna bien vite lorsque mon semestre était terminé. Un nouvel été s'amorçait pour moi. Je n'avais pas trop de plans à l'horizon. Comme j'avais suivi un stage durant le printemps, cela laissait mon été complètement libre pour vaquer à mes occupations. J'avais décidé du même souffle de changer d'emploi. J'ai référé mes clients à une superbe agence qui me faisait compétition et quittai le monde du jardinage. J'avais besoin de me rapprocher un peu plus de mon métier futur. Je me disais que j'irai bien porter quelques cvs dans des garages ou dans des restaurants, histoire de me perfectionner dans l'un ou l'autre des domaines. J'avais fait la tournée de San Francisco centre tous l'avant-midi pour vendre ma salade. Laissant ma bagnole garée à l'appartement, je m'étais exécuté en me promenant à pied d'un commerce à l'autre sous le doux soleil du matin. J'avais parlé avec quelques gérants. Si j'avais de la veine, j'aurais des coups de fil d'ici la fin de la semaine. Mon parcours professionnel n'avait rien à envier à ceux des autres après tout.

Il devait être 11h30 lorsque j'avais attribué la majeure partie de mes curriculum vitaes. Vu l'heure, je décidais de faire le tour à la petite épicerie de quartier, Nick's Super Market acheter une grande quantité de légumes et de la bière. Je me sentais d'humeur à cuisiner une bonne salades à mes colocataires. Le temps frais et le printemps m'inspirait dans cette voie. J'y entrai sans grande cérémonie, m'emparai d'un panier et remplis mon panier tout bonnement. Alors que je tâtai un concombre pour vérifier s'il était assez mûr, j'aperçus Denver dans la rangée des fruits qui fixait son téléphone avec un petit sourire discret, un peu niais dans son genre. Cela me décrocha un mini sourire. Elle semblait captivée par ce qu'elle était en train de lire. J'aurai pu rebrousser chemin, mais je me dis que je pourrais aller lui dire bonjour. Vu nos rapports cordiaux à la fête de Julie, je me disais que je pouvais bien aller discuter. S'il s'était passé plusieurs choses de mon côté, j'imaginais qu'il en était de même pour elle. Je m'approchai d'elle et à une hauteur raisonnable, assez pour que le sms soit hors de ma vue, je pris la parole.

- À cette vitesse, tu n'auras pas de quoi de mettre sous la dent ce soir, rigolais-je.
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Denver Hopkins
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Jeu 15 Mai - 17:08

La routine. Je reprenais ma routine depuis que je me sentais un peu mieux. Enfin un peu mieux, moi je me sentais plutôt, c'était juste des petites choses que je ne pouvais pas contrôler qui me rendaient folle. J'avais appris à accepter que je devais aller chez les psychologues pour mon bien. Dur, quand on se dit que tout va bien en fait. Mais une fois là-bas, tout ressort, et on se rend compte de combien on a accumulé, de combien on a gardé à l'intérieur de soi-même, enfoui quelque part, pour ne jamais ressortir. Enfin bref. J'oubliais Camil. A ma manière. Parce que je savais que d'une manière ou d'une autre, il fera toujours parti de moi, de mon histoire. Svetlana avait raison. Même si on voudrait oublier, on ne peut pas complètement. Et je devais apprendre à faire avec. J'essayais plus de me focaliser sur autre chose. Comme sur Curtis. Je l'appréciais vraiment, de plus en plus. Il était sympathique et c'était tout ce que j'attendais d'un homme... enfin, quasiment. Il fallait que j'arrête de me prendre la tête. Mais pourtant je continuais. Je n'étais pas une fille pour rien.

Je sortais du boulot un peu plus tôt ce matin. J'avais besoin de faire les courses car le réfrigérateur était complètement vide. Svetlana était partie loin de la ville, et il fallait bien que je m'attelle à la tâche. Je garais donc ma voiture sur le parking et j'entrais dans le magasin, liste de course entre mes doigts, commençant à arpenter les couloirs avec mon caddie. Je prenais petit à petit les objets et la nourriture, remplissant tranquillement mon caddie. Je ne reprenais qu'à 15h cet après-midi, et avec une réunion, donc j'avais du temps devant moi. J'arrivais vers le rayon des fruits et légumes, et je m'y arrêtais, repérant des oranges qui avaient l'air plutôt bonnes. Je commence à les tâter, quand je sens mon téléphone portable vibrer dans la poche arrière de mon jean. Je le sors en deux trois mouvements, pour regarder l'écran, m'apercevant que c'est Curtis qui m'envoie un message. Ca me fait plaisir sur le coup, et je lâche mes oranges dans la foulée. Je fixe mon smartphone, sans avoir la moindre idée que quelqu'un arrive vers moi, À cette vitesse, tu n'auras pas de quoi de mettre sous la dent ce soir. Sursautant légèrement, je lève les yeux vers Domenico qui se trouve à mes côtés. Instinctivement, je bloque directement mon smartphone, le rangeant rapidement dans la poche arrière de mon jean, Hum... si si, je regardais les oranges... je dis, l'air de rien, l'observant un instant avant de prendre une orange entre mes mains. Tu vas bien ? je demande.
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Anonymous
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Lun 19 Mai - 5:22

La vie était parfois faite de drôles de coïncidences. San Francisco était une grande ville, mais il semblait qu'on pouvait toujours tomber sur un visage familier sans trop se casser la tête. 825 863 habitants et pourtant, c'était comme si on était dans un village. Il était beaucoup plus facile de naviguer dans des villes comme New York ou Los Angeles si on voulait déambuler dans les rues incognito. Or, je n'étais pas de ceux qui aimaient se cacher pour se dérober à leur propre vie. J'avais faire face aux choix, aux décisions qui avaient parsemées ma route au cours de ma brève vie. Il était inévitable que Denver et moi aurions un face à face un de ses quatre. Nous avions des amis en commun, nous avions encore nos numéros mutuels dans nos portables en plus de n'avoir pas osé de se supprimer des réseaux sociaux l'un et l'autre. Je ne voulais pas la fuir. Les choses, cette fois-ci, s'étaient terminé de manière beaucoup plus sereines que par le passé. En fait, c'était ma perception. Il est vrai qu'elle s'était souvent plaint de mes absences, mais j'étais trop absorbé par ma propre vie pour moi-même le réaliser. Tout coup fait, peut-être que tout n'avait pas été si rose au final...

Néanmoins, je tenais encore beaucoup à Denver. Nous ne pouvions nier ce que nous avons vécu ensemble, mais nous ne pouvions également pas faire abstraction de ce qui nous séparait aujourd'hui. Je réalisais par sa réaction furtive que je n'avais plus accès à son intimité comme cela l'avait été le cas autrefois. J'étais encore capable de lire ses émotions: ses gestes tentaient de dissimuler quelque chose, un malaise, un secret. Toutefois, je ne me permettais plus d'en faire la lecture à haute voix. Que nous le voulions ou non, une petite distance respectable s'était installé entre nous. C'était nouveau. C'était différent. Je l'acceptais bien. Après tout, si ça n'aurait pas été le cas, je ne serais pas venue entamer la conversation avec elle. Feignant de n'avoir pas vu son manège je répondis à sa question.

- Ça va bien, répondis-je sur un ton calme, posé. J'ai passé toute la matinée à distribuer des cvs pour l'été. Je me suis permis de passer à l'épicerie, acheter quelques articles manquants.

Je me tus un petit instant, la regardant en souriant.

- Et toi ça va? Le boulot, la famille?
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Denver Hopkins
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Mar 27 Mai - 17:06

Ca fait bizarre de retrouver Domenico. Enfin, de le revoir, rien que lui et moi. Bon, ce n'était que dans une épicerie après tout, mais c'était déjà un début. Je l'avais vaguement aperçu lors de la fête de Julie, on n'était pas vraiment restés ensemble, mais de la sympathie s'en était dégagée. Tant mieux, je n'aimais pas être en froid avec les gens, et ça ne m'aurait pas plu de l'être avec lui. Je savais ce que c'était, alors autant éviter. Et puis, pourquoi on serait en froid ? On s'était séparés de manière équitable, même si pour moi c'était à contrecoeur. Il avait ses raisons, puis j'avais eu les miennes. Et j'avais continuer ma vie de mon côté de toute façon. Je n'avais pu que faire ça. Et ça continuait. Même s'il refaisait surface après un bon bout de temps d'absence. Donc oui, ça faisait bizarre de le revoir, mais c'était positif. Ça va bien. J'ai passé toute la matinée à distribuer des cvs pour l'été. Je me suis permis de passer à l'épicerie, acheter quelques articles manquants. J'hoche la tête, tournant l'orange de tous les côtés dans mes mains, l'enfouissant ensuite dans le sac en plastique avant d'en prendre d'autres. Je comprenais qu'il laissait tomber le jardinage ? Ou alors il cherchait toujours dans le même domaine ? Je ferme mon sac, l'enfouissant dans mon panier. Et toi ça va? Le boulot, la famille? Je lève ma tête, me tournant finalement complètement vers lui pour lui faire vraiment face. Toujours pareil oui... Ça n'a pas tellement changé depuis que... enfin, depuis qu'on s'est séparés. je réponds doucement, passant une main dans mes cheveux. Et tu as eu le temps de profiter un peu, je veux dire, à part travailler d'arrache-pied toute l'année ? je demande, attrapant le panier avec mes deux mains, continuant de le regarder.
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Anonymous
Invité
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Jeu 29 Mai - 5:37

Je lui avais demandé comment allait sa vie. Sa routine quoi. Je revoyais de vieilles images tourner en boucle dans ma tête. Il y avait eu cette première et unique rencontre de papa artiste qui était débarqué à San Francisco sans s'annoncer. Je me souvenais comment Denver stressait à fond. Cet homme, un être tout à fait excentrique, avait de quoi déstabiliser une rationnelle et orgueilleuse de la trempe de Denver. Je me demandais encore si les infirmières n'avaient pas galérer à la pouponnière et avais plutôt confié Denver à des parents qui n'étaient pas les siens. Je rigolais, mais au fond, je savais bien qu'elle était la fille de ses parents. De plus, sa soeur et elle avaient de grands traits de ressemblance. Nul doute: Denver était bien une Hopkins. Ensuite, simultanément, je me rappelais de son boulot. Denver était une vraie travaillante. À nos débuts, elle passait des journées entières à bûcher au boulot, ensevelie de paperasse à gérer. Elle semblait toutefois avoir trouvé maintenant un équilibre dans sa vie - enfin, c'est ce que les réseaux sociaux tentaient de témoigner. Être avocate est de toute façon un métier très prenant. Bref, je voulais savoir que s'était-il passé depuis tout ce temps. Je n'avais malheureusement pas su m'informer davantage et prendre de ses nouvelles comme il se le devait.

Sa réponse fut, à vrai dire, plutôt décevante. Non pas que j'aurais aimé qu'un gros drame la frappe, mais j'aurais aimé que de bonnes nouvelles tant du côté professionnel que familial l'assaille. Surtout familial pour tout dire. Je ne lui forçai toutefois pas la main. Si elle ne voulait en dire plus, il fallait le respecter. De plus, il est fort possible que tout cela soit vrai et sans grand intérêt. Elle me demanda la pareille, histoire de savoir ce que j'étais devenu.

- À vrai dire, pas grand chose, affirmai-je l'air pensif. Il y a bien eu quelqu'un au mois de novembre...Mais, ça n'a pas duré. Je n'avais pas vraiment besoin de qui que ce soit et elle voulait plus...ce que je ne pouvais lui donner à ce moment-là. Je ne voulais rien de sérieux de toute façon. Enfin, pas à ce moment-là, car maintenant, je n'ai plus le temps pour les amourettes ou les plans culs.

Je la regardais en prenant une pause.

- Il est temps de chercher quelque chose de plus sérieux.

Un autre temps.

- J'espère que ça ne te pose pas de problème que je te dise tout ça ou que cela ne t'embarrasse. J'ai vu que tu es passé à autre chose durant l'année alors je n'y ai pas vu d'inconvénient instantanément, mais je peux me tromper.
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Dim 29 Juin - 18:52

Ca faisait bizarre de le recroiser ici. En même temps, j'allais bien devoir le recroiser un jour et avoir une conversation avec lui. Je n'étais pas de celles qui souhaitaient rester en froid avec leurs exs. Surtout qu'on s'était quittés d'un commun accord. Rien de méchant. Chacun avait fait sa vie de son côté et puis voilà. J'aurai pu prendre de ses nouvelles de temps en temps, mais je n'avais rien fait. C'était plus facile pour passer à autre chose sûrement. Puis ma relation avec Camil m'avait bien occupée, vu tous les rebondissements que j'avais eu... Mon année s'était retrouvée assez mouvementée en fait. Je ne l'avais même pas vu passer. Et quand Domenico me demanda des nouvelles, je n'avais pas tellement eu envie de raconter tout ce qui s'était passé. Un peu de regrets... surtout par ma case "hôpital" que j'avais passé il n'y a pas si longtemps que cela. Et enfin bon, parler de ça au milieu des fruits et légumes, je trouvais pas ça très approprié. Parce que c'était Domenico... et puis voilà. Je n'avais pas envie d'aborder les choses de cette façon. Puis j'étais persuadée qu'il avait des choses bien plus gaies à me raconter que ma période suicidaire. Il me raconta ses quelques amourettes. J'hochai la tête, l'observant simplement. Normal, il avait le droit de passer à autre chose aussi. Je savais pas trop quelle tête faire quand il me parla de ses "plans cul"... je restais juste stoïque, essayant de ne pas m'imaginer des choses. Il est temps de chercher quelque chose de plus sérieux. J'hochai une nouvelle fois la tête, en signe d'approbation. Après tout, quelque chose de stable c'est relativement mieux. Ca reste mon avis ceci dit. J'espère que ça ne te pose pas de problème que je te dise tout ça ou que cela ne t'embarrasse. J'ai vu que tu es passé à autre chose durant l'année alors je n'y ai pas vu d'inconvénient instantanément, mais je peux me tromper. J'ouvre la bouche, laissant échapper un très léger rire, secouant ma tête, Ah non non... Ca ne me dérange pas, t'inquiète pas. Je suis contente que tu aies profité de ton année en quelques sortes... Je réponds en ajoutant un sourire. Mais tu as raison, quand c'est stable c'est mieux... Je te souhaite de trouver quelqu'un alors. J'ajoute ensuite sincèrement.
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