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 As - tu déjà aimé ? { Williams S. Carter
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Dim 23 Jan - 1:58

Williams & Anael ♥
« As - tu déjà aimé ? »



« Socrate .. vire toi de ma tête. Allez, bouge gros chat. » Mon dieu qu'il étais agaçant. Non mais c'est vrai, avoue que c'est assez frustrant de ce faire réveillé chaque jour que le bon dieu fait, à des heures inadmissible très tôt le matin, par un chat qui est en manque d'affection ? Rah ce sacret Socrate. Un très beau Maine Coon gris qui mord les gens parce que pour lui, il a pas reçus assez de caresse. Ce chat, mord pas quand il a faim ou autre, non non. Il mord quand il a pas assez de câlin. C'est marrant comme chat. Cependant, quand il a faim ou soif, il se laisse tombé par terre en vous voyant est imite. Un mort. Je vous jure, il est d'un rigolo ce truc sur quatre pattes. On le mangerais presque. Ou pas. Son chat, Anael l'a depuis qu'elle est âgée de dix – sept ans. Oui, c'est son petit bébé à elle. Irremplaçable, rien du tout. N'allez pas lui proposé un autre animal ou autre. NADA. Son Socrate, c'est son bébé à elle. Allez demandé à un prêtre qu'il vous échange sa bible contre un Sniker. Je pense pas qu'il dise oui, après, je dis ça, je dis rien hein. Je vous jure, je donnerais tout pour voir la tête qu'un de ses prêtes feraient si ce moment, ce passé vraiment. Voir leurs tête se décomposées. Puis, voir leurs rides se crispaient, et les voir s'énerve contre vous. Ça doit être, vraiment, hilarant.

« Merci, mon gros moche. » Elle peut paraître méchante quand elle dis ça. Mais son stupide chat, se met à se trémoussé contre ses jambes, et à ronronner à l'entend de son surnom. Pas net lui aussi. Tel maître tel bête non ? Quoique, non. Pas ça non. Mais passons. Anael, son chat, c'est vraiment tout pour elle. Après dix minutes à essayer de leurs faire bouger de sur son visage. Elle se leva et se dirigea vers sa salle de bain, ou elle passa une bonne heure à ce lavé, se maquiller, et s'habiller convenablement pour aller sortir dehors. Non, Anael n'est pas du genre à sortir habiller n'importe comment. Même si quelque fois, ça ne lui va pas si mal que ça. La demoiselle aime bien prendre soin d'elle, et elle ne le cache pas. Il n'est pas rare de la voir dépenser des tonnes d'argent dans les soins du corps, du visage, chez le coiffeur, dans les magasins de fringues. Et j'en passe des vertes et des pas mures. Un exemple tout bête. La dernière fois qu'elle est entrée dans un magasin, elle est en ressortie avec bien quatre sacs, remplies de fringues en tout genre. Anael n'a pas vraiment de style bien définie. Elle en possède pleins à la fois. Certaine diront qu'elle est folle. D'autre qu'il ne fraudais pas la laissé avec une carte bleu entre les mains. Et bien, c'est vrai. Mais sachez jeune gens, que c'est la normalité qui est bizarre, et non l'inverse !

« Je te dis au revoir, Socrate. Tâche de ne pas me faire de bêtise, cette fois ci. » Elle lui parle comme quelqu'un vrai. Quelqu'un qui la comprend, qui pourrait à un moment ou a un autre lui répondre, quelqu'un qui pourrait avoir un réel dialogue avec elle. Elle l'embrasse même, lui dis qu'elle l'aime qu'il est tout pour elle. Socrate est à Anael, ce que la bible est aux prêtes. Oui, Anael en veux énormément aux prêtres. Anael elle en veux énormément à tout ces gens chrétiens qui disent de priés pour que Dieu réalisé vos souhaits. Elle, elle l'a pas énormément fait chié Dieu, elle lui à juste demandé une seule faveur dans toute sa petite vie bien monotone. Juste de lui rendre ces parents. Mais non, cet personne si égoïste, si invisible, n'a rien fais pour elle. Alors pourquoi Anael devait lui rendre service en priant, en brûlant des cierges ou je ne sais qu'elle autre conneries ? Oui, elle est athée. Et c'est très bien comme ça. Depuis la mort de ces parents, Anael peut paraître cruel avec les paroissiens. Elle rejette la faute sur eux, il est vrai qu'elle peut exagéré quelque fois. Mais comprenais la. Elle a perdue ses deux seuls parents dans un accident, ou elle – même, était présente et aurait pu y passé aussi. C'est légèrement traumatisant, vous voyez.

« Direction. La bibliothèque. » La Barmaid adore se cultiver, et c'est pour cela que deux, voir trois jours par semaine elle se rend à la bibliothèque pour lire diverse livre culturel. Anael ne veux certainement pas se faire passé pour une fille stupide qui ne sais rien à la vie. Elle désire pouvoir avoir une discutions riche et non pauvres en mots. Du genre « ca va – oui et toi – ca va – quoi de beau – que du vieux et toi – pareil ! » Elle à légèrement horreur de ça. Elle aime qu'il y ai des confrontations d'esprit. Ce faire passé pour une petite trainée qui veux juste passé dans le lit de quelqu'un, non merci. La Barmaid, elle parle de chose intéressante. Elle parle de chose qui servent à quelque chose. Parce que le « quoi de neuf » désolée, mais ça sert à rien. Les kikOoloOl qui tue la mort, elle les brûles elle. Oui c'est une folle est alors ? Après quelque minutes à marché les mains dans les poches, le casque sur les oreilles. Anael pénétra dans la bibliothèque et marcha jusqu'à une table ou elle sortie un livre sur la psychologie. Tout de suite, ça donne pas vraiment envie, mais si Anael n'aurais pas était Barmaid, elle aurais très certainement étais Psychologue. Alors ça aide. Elle posa son livre sur la table, un coude à côté, sa tête sur sa main et laissa sa frange lui tombais sur le bout du nez. Débutant sa lecture.
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Anonymous
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Lun 24 Jan - 20:02

« Another day... And some new adventures lying ahead » Le soleil n’était pas encore lever que je me réveille en sursaut. Encore le même cauchemar où je vois mon père mourir dans mes bras. Ca fait maintenant trois ans qu’il est mort et je ne réussi pourtant pas à faire mon deuil. J’ai toujours sa guitare qu’il ma donné avant qu’il prenne son envol. À chaque fois que je l’observe ou que je joue avec, j’ai des souvenirs de mon père qui prennent d’assaut. Comment oublier tout les merveilleux moments que j’ai passés avec lui. J’ai toujours culpabilisé sur sa mort. Je me dis que si je serais resté avec lui dans la voiture peut-être qu’il serait encore en vie aujourd’hui. Pour me changer les idées, je m’échauffai et parti faire mon dix kilomètre habituel. Il n’y a rien de mieux que de sentir l’air frais du matin et d’admirer ce merveilleux paysage qui s’offre à toi alors que la ville est encore endormie. Je me rendis jusqu’à la plage et regarda le lever du soleil. Quel spectacle merveilleux de voir les premiers rayons du soleil frapper l’eau et de lui redonner tout ca beauté. De retour chez nous, je pris le petit déjeuner avec ma mère. Elle aime constamment me questionner sur mes études et si je n’avais pas une fille en vue. Cette question, je ne pouvais plus la supporter. Je lui répondais à chaque fois pourquoi s’accrocher à quelqu'un quand celle-ci peut te laisser tomber du jour au lendemain comme une vieille paire de chaussette et elle me répondait toujours lorsque tu auras rencontré la bonne tu ne penseras plus de la même façon.

«What would I do if you died tomorrow … » Ma mère est tout se qui me restait de famille. Après la mort de mon père, elle ne sorts plus et passe ces journées à la maison à faire je ne sais quoi. Elle devait aller faire les courses bientôt et je lui ai offert de l’accompagner. Je suis donc monté à l’étage pour prendre ma douche et m’arranger un peu. Même si je n’aimais pas du tout faire les courses, je le faisais parce que ca rendait ma mère heureuse que son seul et unique fils passe du temps avec elle. Juste de la voir sourire et de pouvoir passé de moments agréables ensemble c’est tout ce qui compte à mes yeux. Je l’ai même entendu faire de l’humour, ce qui était rare depuis que mon père était mort. Avant elle avait l’habitude de déconner tout le temps avec moi et mon père. Je l’aidai à apporter les sacs à l’intérieur de notre demeure et je les rangeai par la suite.

« My passion is everything for me. »Je n’avais pas grand chose de prévu aujourd’hui, alors pourquoi ne pas en profiter pour faire ce que j’aime. La musique s’est tout pour moi. Une source d’énergie sans fin qui coule dans mes veines. J’ai toujours eu de la facilité à jouer de la guitare. Je passai donc une bonne heure à jouer des morceaux de mes groupes préférés. Quand je joue de la musique, rien ne peut venir briser cette joie qui vient s’installer lorsque je gratte sur ma fameuse Gibson SG. Je commençais à penser que je devrais essayer de me trouver un groupe pour ne plus jouer en solo.

« Direction. La Bibliothèque » Je décidai de me rendre à la bibliothèque question de m’informer sur l’anatomie et les différents médicaments que j’allais apprendre d’avantage dans mes cours bientôt. J’avais cette manie de toujours vouloir avoir une longueur d’avance sur les autres dans mes cours. Disons que je ne suis pas très doué à l’école non plus et que je dois travailler plus fort que les autres pour avoir de bons résultats. Ca l’aide d’étudier dans un domaine qu’on aime. Je veux toujours en apprendre d’avantage sur la matière alors je demande souvent a mes professeurs de me conseiller des bouquins que je pourrais lire pour assoupir cette soif de connaissance. Les professeurs m’aiment tous beaucoup parce qu’ils voient que je suis sérieux dans mes études et ils me disent tous que je vais faire un très bon ambulancier plus tard. Après plusieurs minutes de marche, je pénétrai à l’intérieur de la bibliothèque. Je demandai ou je pouvais trouver mes ouvrages et elle me dirigea vers une section au fond de la salle. Maintenant que j’avais ce que je voulais, je cherchai une table du regard. Comme un ange descendu du ciel, j’aperçus une fille au loin qui lisait paisiblement avec ca frange rousse qui lui tombait sur le nez. Elle était d’une beauté sans égaux. Je l’avais vu qu’une seule fois au Ruby Skye, mais sa face avait resté graver dans ma tête. Je m’assis à une table non loin de la sienne pour admirer son visage angélique. Les gens appelleraient ca le coup de foudre. Je comprends maintenant ce que c’est de tomber amoureux dès le premier regard. Je ne pouvais plus rester en place, alors je pris mon courage a deux mains et me dirigea vers sa table.

« Do you mind if I sit next to you? » Cette fille m’intriguait vraiment et je ne voulais rien de plus qu’apprendre à mieux la connaitre. Mon cœur battait la chamade. Je ne m’étais jamais senti de la même façon auparavant. Elle était complètement absorbée par son livre que ne me vit même pas arriver. La belle étrangère leva finalement la tête de son livre et s’aperçût que quelqu'un se tenait devant elle. Je lui demandai si je pouvais m’assoir à sa table. Je la vis rougir légèrement ce qui ne fit qu’augmenter son charme. « Je ne sais pas si tu te rappelles de moi on s’est rencontré au Ruby Skye? Tu t’appelles Anael si ma mémoire est bonne ? » J’avais plein de question qui me venait à l’esprit et juste quand je croyais avoir atteint le summum d’autres apparaissait. C’est fou tout la gamme d’émotions qu’elle me faisait vivre. J’étais incapable d’arrêter de la regarder, mais je ne voudrais pas l’effrayer à la fixer sans arrêt.
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Lun 24 Jan - 21:48

Il étais la, debout, devant elle. William, comment oublié ce prénom. C'était impossible pour Anael. Cette personne, elle ne le savais peut – être pas, mais c'était comme un rayon de soleil dont Anael étais accro. William S. Carter personne dont la rouquine ne pouvait se passé. Il ne passe pas une seule seconde sans qu'elle ne pense pas à toi. Si elle étais une personne extravertie, pas du tout timide, elle t'aurais déjà sauté dessus. Malheureusement, elle l'est. Son regard se leva vers lui et une source de chaleur la parcourue de pars et d'autre jusqu'à la faire rougir. Puis, ce fut le cœur qui s'emballa. Il lui adressa la parole, sa voix, elle raisonnais dans sa tête comme une boule de flipper. « Je ne sais pas si tu te rappelles de moi on s’est rencontré au Ruby Skye? Tu t’appelles Anael si ma mémoire est bonne ? » Un sourire se dessina sur ces lèvres et Anael se leva pour se retrouvé à sa hauteur. Elle adoré le regarder dans les yeux, même si sa timidité lui joué des tours et lui faisait détourné le regard dès que le siens croisé ses billes. Mon dieu que tu étais si merveilleux. Elle se croirait presque dans un rêve. Peu de gens s'intéresse à elle. On la crois trop timide, trop coincé. Alors que non, quand on la connais bien et que vous êtes à l'aise avec elle. Croyez le ou non, elle est pas du tout coincé. Juste qu'elle se laisse pas trainé dans le lit de quelqu'un aussi facilement.

« Oh, oui c'est ça. William non ? Biensure que tu peux t'assoir, ce .. cela ne me gêne pas, au contraire ! » Elle avais quasiment réussie à lui dire une phrase, sans écorché tout les mots. Oui, elle sais se contenir et affronté sa timidité. Elle l'avais connus dans un bar ou travaille Angelice, une amie à eu d'eux. Anael s'était laissé aller une nuit dans son lit, mais, sous effet de drogue que vouliez vous qu'elle fasse. Oui elle regrette tout cela, mais c'est du passé. Et il faut avancé. La rousse devrais la remercié, grâce à elle, elle a connus William. Le seul qu'il lui fasse autant d'effet. Le seul qui arrive à faire tant de chose sur elle, en un regard, un mot, un touché. Pour Anael, c'était comme un rêve éveiller. Un bon gros rêve dont elle ne voudrais jamais se réveiller. Jamais. Anael lui esquissa un large sourire gênée, et se rassied sur son bouquin ne le perdant pas des yeux. Recoiffant sa frange, stressée de ce moment en tête à tête avec ce jeune homme qui ne cesse de hanter ces pensées. C'était comme un virus qui avait déjà envahie tout son corps, ne laissant derrière lui, aucune partie de son esprit vide. William l'occupé jour et nuit. Si elle n'était pas timide, elle t'aurais déjà demandé une chose. Non pas pour le sexe, non, juste parce que ta compagnie est agréable, parce qu'avec toi elle se sens bien, parce que pour elle, tu es bien plus qu'un simple ami d'un soir.

« C'est la première fois que je te vois dans cette bibliothèque. Tu y viens souvent ? » Elle n'avais pas d'autre question à demandé. Si, une question du genre « Ah tiens William, j'ai une petite question, quelqu'un occupe déjà t'a vie, ou j'ai mes chances avec toi ? » Non mais sans blague, vous voyez vraiment Anael demandé ça comme ça. Hum, moi non. Sa timidité bloque énormément de chose chez elle. Son regard resta fixé sur celui de William, un sourire aux lèvres, comme ineffaçable. Après tout, peut – être qu'il apprécie ce sourire, peut – être qu'il apprécié le fait qu'elle le regarde. Aucune idée. Certes elle n'est pas très discrète, La discrétion tout le monde ne l'a pas, c'était pas son fort à Anael. Demandez lui tout ce que vous voudrez, une question culturel ou non, elle fera tout pour y répondre. La culture, ça c'est son fort. Mais la discrétion, à ça non ! Mon dieu, combien de fois elle a pu se faire chopé en cours à cause de ça. Exemple, elle voulais glissé un mot à un ami, elle avais le champ libre, le professeur qui avais le dos tourné depuis dix minutes, aucun cartable devant elle, mais NON, il faut qu'elle se lève fasse grincé sa chaise et trébuche toute seule. Bravo Anael. Pas douée celle ci hein. Ralala, on l'aime bien pour ça. Pour ces gaffes à répétition, c'est marrant il faut bien l'avoué.

Anael se redressa doucement pour ramasser une stylo au sol qu'elle avait fais tombé, mais au mieux de ça, elle se fit tombé sur la tête, la quart de son bouquin de plus de 500 pages.« Aïïïe .. » Un léger ricanement se fit entendre puis elle se redressa en frottant l'endroit qui avait étais touché par le bouquin. « Désolée .. je suis vraiment pas quelqu'un de doué .. » Oui, on le savais Anael. On le savais. Et c'est bien pour cela que jamais on te demandé de faire quelque chose à notre place. Mais elle s'en fichait, ce n'est pas parce qu'elle ne peut pas faire de chose, elle joue à la Psychologue avec la plupart des ses amis(es). Aux moins, elle se sentais utile.
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Anonymous
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Mer 26 Jan - 2:33

Un sourire se dessina sur ses lèvres et Anael se leva pour se retrouvé à ma hauteur. Une simple réponse m’aurait suffi, mais je ne pus m’empêcher de croisé son regard. J’avais l’impression que des papillons s’agitaient à l’intérieur de mon ventre à ce moment précis. J’adore la regarder dans les yeux, mais parfois lorsque ses yeux croise les miens, elle détourne son attention ailleurs. Je trouve que sa timidité la rendait encore plus craquante. C’est la première fois depuis que j’étais sorti avec Nevy que je ressentais quelque chose d’aussi fort pour une fille. J’avais complètement oublié que l’amour existait. Pour moi, il n’y avait que des histoires d’une soirée. J’éprouvais une telle joie que rien au monde ne viendrais la détruire. Je flottais sur un nuage et je ne voulais pas que rien vienne gâcher ce moment.

« Oh, oui c'est ça. William non ? Bien sûre que tu peux t'assoir, ce.. Cela ne me gêne pas, au contraire ! » Elle se rappelait de moi ! Mon cœur manqua un battement après qu’elle eut terminé sa phrase. On ne s’était rencontré qu’une seule fois et pourtant Anael se rappelait de moi. Je ne pense pas que se soit un hasard. Combien de garçons doivent lui rôder autour dans une soirée. Elle est barmaid, très séduisante et en plus j’avais appris qu’elle était célibataire de mon amie Angelice. Dans tout ce lot de garçon, il est impossible qu’elle se rappel de tout leur nom. Je ne pouvais pas être sure de ce que j’affirmais mais je crois qu’elle m’aime bien. Je trouve ca dommage de ne pas pouvoir deviner ce qu’elle ressentait à mon égard. Il se peut très bien que je ne lui intéresse aucunement et qu’elle ne soit seulement gentille. Je ne voulais pas non plus l’effrayer en lui posant comme question : « Anael, j'ai une petite question, est-ce que par hasard j’aurais une chance avec toi ?» C’est le genre de question qui ferait fuir une fille avant même que j’ai fini de la poser.

« C'est la première fois que je te vois dans cette bibliothèque. Tu y viens souvent ? » La question d’Anael me tira des millions de pensées qui se bousculaient à l’intérieur de ma tête. « Je ne viens pas souvent en effet. Ca m’arrive de venir passer quelque heures pour étudier des nouveaux chapitres que je vais voir dans mes cours.» Le regard d’Anael était fixé sur le mien. J’aimais me perdre dans ses yeux et quel sourire adorable. Je la regardais et je pouvais lire tout la joie que son corps dégageait. Cette joie se propageait. Je ne pouvais qu’être heureux quand j’étais avec Anael. Il n’y avait qu’elle dans mes pensés depuis le jour qu’on s’est rencontré. Je comprends maintenant la leçon que ma mère essayait de me dire que une fois que j’aurais trouvé celle qui fait battre mon cœur je comprendrais que l’amour c’est quelque chose de magique. Je souhaite que ce moment ne s’arrête jamais. Elle se tenait devant moi affichant un magnifique sourire et qui sait j’étais peut-être la cause de cette joie.


Anael se redressa doucement pour ramasser une stylo au sol qu'elle avait fais tombé, mais malencontreusement elle se fit tombé sur la tête son ouvrage de plus de 500 pages.« Aïïïe .. » Je ne pu m’empêcher de rire. Je me sentais un peu imbécile d’avoir agis ainsi, mais il était un peu trop tard pour faire marche arrière. Elle se redressa en frottant l'endroit qui avait été touché par le bouquin. « Désolée.. je suis vraiment pas quelqu'un de doué.. » Il n’y avait rien à s’excuser. Ca l’aurait pu arriver a n’importe qui. Pour me racheter d’avoir rit, je lui dis : « T’inquiète ca m’arrive à moi aussi. ». Je ne pouvais m’empêcher de lui sourire. Plus je passais du temps avec elle et plus j’avais l’impression de m’attacher encore plus. On ne se connaissait à peine et déjà j’étais accro à cette fille.
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Anonymous
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Jeu 27 Jan - 22:38

« Anael, j'ai une petite question, est-ce que par hasard j’aurais une chance avec toi ? » Il venait de.. Non. Impossible. Pas lui. Trop parfait et tout et tout pour qu'il puisse autant s'intéresser, et vouloir Anael. Un piège ? Une blague ? Un de ces foutues pari entre pote ? La chaleur la parcoures comme jamais elle ne l'avais fait. Ne laissant aucune partie de son corps insensible aux paroles prononcer par William en personne. Ces mots n'étaient certainement pas rentré dans l'oreille d'un sourd, et ils résonnant comme une boule de flipper dans la tête d'Anael, clignant des yeux devant lui, rougissant fortement. Il faut dire aussi que la rouquine n'est pas du genre à dire oui à n'importe qui. Ok, plusieurs personnes se bousculent pour être l'heureux élus, ou pas. Mais, avec William c'était une tout autre chose. Elle n'étais plus du tout la même quand elle étais en sa compagnie. Elle se sentais bien. A l'aise, en sécurité. Comme quand l'on est avec la personne que l'on aime en secret, ou non .. William elle l'aimais vraiment. Pas comme ces histoires d'une nuit avec lesquels elle avais l'habitude de fuir tôt la matin. Pire qu'une drogue qu'elle prenait et qui l'a rendais totalement dépendante. Non, bien pire que ça. Il n'était pas rare de la voir trainé à son lieux d'étude, juste pour le voir sans rien lui dire. Il était tout. Ouais, tout.

« Je ne viens pas souvent en effet. Ça m’arrive de venir passer quelque heures pour étudier des nouveaux chapitres que je vais voir dans mes cours. » Un sourire se dessina sur ces lèvres, comme soulager qu'il change de sujet de discutions comme cela. Évidemment qu'elle allait lui répondre, Anael répond à toutes les questions possible. Que ses réponses sois fausses ou non. Le ridicule ne tue pas, croyez moi. En effet, elle venait très régulièrement à la bibliothèque, et aujourd'hui, c'était bien la première fois qu'elle le voyait, et surtout, qu'elle le voyais venir s'assoir en face d'elle. Simple barmaid et étudiante en psychologie. Mais cela lui faisait énormément plaisir qu'il vienne de son pleins gré la rejoindre. Peut – être une preuve de la vérité de ses avances plus précédemment. Mais ne nous avançons pas dans le passé. Peut – être croit – il que c'est un jeu, comme les précédents. Peut – être croit – il crois l'avoir comme ça, il l'a pense facile, naïve ? Aucune idée. En tout cas, si jamais il advient que ces pensées s'avère vrai. Croyez moi que ce petit bout d'homme risque de regretter ce qui fait de lui, un homme. Anael peut – être particulièrement violente si elle est énervée, manquerais plus qu'elle se drogue et la, vous êtes fichus. Elle est méchante, violente, sadique, perverse énormément de chose, sous effet de colère et de drogue. Sous l'effet de stupéfiant, on fais pleins de chose .. pleins de choses bonne, ou le contraire. « Je me disais bien, je ne t'avais jamais vus ici avant. »

« T’inquiète ca m’arrive à moi aussi. » Ah, lui aussi est maladroit. Il risque d'être marrant tout les deux, s'ils sont aussi maladroit l'un, l'autre. Quoique, je doute fortement qu'il sois aux même niveaux de maladresse que la pauvre petite rouquine. Il ne se passe pas une seule journée ou Anael casse, manque de faire tombé un objet. C'est limite un miracle si cela arrive. La dernière gaffe qu'elle avais faite, c'était avant de partir de son chez sois.« Ah, je suis bien soulagée de savoir que je ne suis pas seule ! » Elle avait malencontreusement marché sur le queue de son pauvre Socrate. Bon, d'accord, fallait s'en doutais. Ce pauvre gros chat traine dans ses pattes alors qu'elle est en mouvement. Trop débile ce moche ci. Mais passons, il lui souriait encore et encore. Et forcément, Anael était nullement insensible à son charme fou. Ce qui, continua encore à la faire rougir, à en devenir légèrement aussi rouge que la couleur de ces cheveux. Cela lui donnais un côté plutôt réservée et craquante. Elle n'aimais pas vraiment rougir. Car qui dis rougir, dis ce faire remarqué, qui dis ce faire remarqué, dis des critiques vis à vis de ces rougeurs aux niveaux du visage. Et ça, Anael elle aime pas du tout ce faire remarqué comme ça. Elle, elle est plutôt réservée, dans son coin, ne cherchant pas vraiment à ce faire voir des autres.

« Tu .. une chances avec moi ? William .. je .. » Ouais, elle osais rien dire. De peur de ce faire encore avoir comme une pauvre fille naïve qu'elle est. Parce qu'elle crois encore au prince charmant, à la personne qui viendrais la chercher sur un beau cheval blanc. Mais NON, stop, arrête de rêver ma poupée ! La vie c'est pas ça du tout, c'est « viens la que jte fasse passé sous le bureau » aux chiottes les « viens ma belle, je t'emmène attrapé les étoiles .. » Tous des cons. Tous des profiteurs en manque de fille à ce faire. Parce que, est oui, ils sont passé trop de fille dans leurs lits, que ben plus aucune d'entre elles ne veux y retournés. Alors on cherche de nouvelle proies, plus fraiche, plus .. facile. Sauf qu'Anael elle est pas du tout comme ça. Elle. Elle c'était trop accroché à ce jeune homme, trop justement ..
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Anonymous
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Sam 29 Jan - 8:44

Je n’en reviens pas que je lui avais vraiment pose la question... « Anael, j'ai une petite question, est-ce que par hasard j’aurais une chance avec toi ? » Si j’avais vraiment le moindre des chances de plaire à Anael , ils s’étaient envolé après avoir posé cette stupide question. Je ne sais pas ce qui s’est passé à l’intérieur de mon cerveau, mais il m’avait fait défaut. Elle ne parut pas trop déstabiliser par ce que je lui demandais. Elle ne fit que rougir, rien de plus. Je me compte déjà chanceux qu’elle ne soit pas partie en courant. J’aurais bien voulu avoir une réponse, mais je ne lui laissai pas l’opportunité. Je devais à tout pris changé de sujet avant qu’un froid se crée. Ce que je pouvais être bête… Il faut toujours que ca l’arrive dans les pires moments que je ne veux pas que ca se produise. Maintenant, j’allais réfléchir deux fois avant de parler.

Elle s’embla soulagé que je change de sujet. Je pus voir un sourire apparaître sur ses lèvres. Je vais devoir attendre pour s’avoir si elle s’intéresse un tout petit peu à moi. Je ne suis quand même pas aveugle. Anael semble vraiment joyeuse depuis que je me suis joint à elle. Je peux apercevoir cet adorable sourire qui prouve que je suis une excellente compagnie. Je n’ai pas vraiment de preuve qui prouve qu’elle me considère comme une personne qui à du potentiel d’être un future petit ami. J’espère juste qu’elle n’a pas mal interpréter ma question, car je ne voulais pas demander ca en la faisant passé pour une fille facile. Je souhaitais juste savoir pour ne pas continuer à m’attacher encore plus à elle. Je ne blague pas, je perds complètement mes moyens lorsque je suis avec. Je ne me reconnais même plus. Il faut dire que ma dernière expérience c’est terminer en échec par ma faute, alors je ne veux pas commettre les mêmes erreurs que dans le passé.

Il semblerait qu’Anael soit maladroite. Ca me fait bien rire, car je dois l’avouer je le suis moi aussi. J’avais dit : « T’inquiète ca m’arrive à moi aussi. » seulement pour la rassurer, mais en fait je suis loin d’être habile. L’autre jour, j’étais au travail et pourtant je suis habituer des chaussées mouillées mais pourtant j’ai quand même réussi à glisser. Ceux qui m’ont vu ce sont tout marré de moi. Je dois avouer que c’était drôle. Il y a une autre fois où je marchais dans la rue avec un café et j’ai réussi à m’enfarger dans mes propres pas. Je me suis donc renverser tout le contenu bouillant sur moi. Mes amis se sont bien marré de me voir danser parce que ca brulais. « Ah, je suis bien soulagée de savoir que je ne suis pas seule ! » C’est vrai qu’on se sent moins seul lorsqu’on rencontre des gens aussi maladroit que nous. Avec le temps j’ai su utiliser ma maladresse pour faire rire le monde. J’étais réputé pour être le bouffon de mon cercle d’amis. Je sais mettre de l’ambiance à chaque fête que je vais et habituellement les gens aiment ma compagnie.

Mon sourire restait gravé sur ma face. J’appréciais tout le temps que je passais en sa compagnie. Chaque seconde était un pur bonheur. Le teint de ses joues était rendu aussi rouge que la couleur de ses cheveux. Elle était tout simplement craquante dans tous les termes possibles. Mon cœur battait encore la chamade et la gorge toujours aussi serré. Anael est d’une beauté sans précédent et je ne comprenais pas comment une fille comme elle n’avait pas de petit copain. Je n’ai rien d’extraordinaire, alors pourquoi elle s’intéresserait plus à moi qu’à d’autre mec. Elle avait tout se qu’un gars peut rêver d’avoir chez une fille. Le physique m’importe peu, je m’aventure plutôt vers la personnalité de la fille. Je ne connais pas beaucoup Anael, mais jamais j’ai ressenti la-même chose pour une fille auparavant. Je me demandais si je ne m’attachais pas trop et que ca n’allais pas me retomber dans la face un jour ou l’autre.

« Tu .. une chances avec moi ? William .. je .. » Elle n’avait pas fini sa phrase. Je comprends qu’elle ne veuille pas parler trop vite. Je ne peux pas croire qu’elle allait répondre à ma question de tout à l’heure, mais qu’elle ne soit pas allé jusqu’à la fin. Je me demande ce qui venait après avant qu’elle arrête sa phrase. Ca me mettait hors de moi. J’aimerais tant lui dire tout ce que je ressens pour elle, mais elle pourrait penser que ca va trop vite et qu’elle aime mieux prendre son temps pour ne pas faire d’erreur. Il n’y a rien de pire que de se faire brisé le cœur par celui qu’on aime et il y a tellement de gars qui sont de belles andouilles. Ils ne veulent que des histoires d’une soirée et rien de plus. Je dois avouer que j’étais comme ca avant de rencontrer Anael, mais maintenant il n’y a plus qu’elle qui compte a mes yeux. J’étais tellement bien avec elle et jamais une fille avait autant occupé mes pensés. Elle y était jour et nuit. C’était rendu une obsession et me voila en train de lui parler.
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Anonymous
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Sam 29 Jan - 12:25

Il était plus qu'évident qu'Anael étais le stéréotype de la fille timide, qui ne veux pas croire qu'on l'aime comme elle est. Elle est pas comme ça, elle, elle veut des preuves concrète. Mais, peut – être que cette fois ci, juste une fois, elle pourrait se laissé aller avec ce William. Il n'était pas comme les autres, il avait quelque chose qui lui donné tout son charme. Pas comme les autres pecnots qui n'attende qu'une chose d'Anael : qu'elle le rejoigne dans leurs lit. Cependant, elle est pas si facile que ça la rouquine faut y aller pour la convaincre de faire une telle chose. Pas une fille facile, je vous l'accord. Ceci dit, vos mieux être comme ça, que de ce faire tirer par tout les chauds lapins du coin. Non ? « Tu .. une chances avec moi ? William .. je .. » Elle n'avais malheureusement pas finie sa phrase, mais dans un élan d'amour bien peu commun chez elle, Anael saisit un morceau de papier et y glissa dessus un beau « je t'aime.. » Oui car Anael avait quelque peut du mal à le dire. Non pas parce qu'elle ne le pense pas, mais juste parce qu'elle est certainement trop timide pour que ces mots si important sortent d'entre ses lèvres.

Elle fit glissé le morceau de papier vers sa main, ses doigts frôlant dangereusement les siens. Anael baissa la tête, de peur que ce ne soit qu'une blague comme les précédentes. Cependant, si tel était le cas, croyez moi qu'il allait payer cher son acte, aussi horrible soit – il. Vos mères ne vous ont jamais apprit à ne pas joué avec le cœur d'une femme ? Bravo l'éducation, héhé. Cela marche aussi pour les filles, je vous l'accorde. Mais Anael elle est pas comme ça, elle n'aime pas les gens comme ça. Elle préfère leurs tapés dessus que de leurs adressé la parole, ce ne serais qu'une perte de temps, rien d'autre. Ces gens la ne mérite ne aucun cas qu'ont leurs prête une attention particulière ou non. Il mérite juste de mourir seul, en silence, chez eux, éloigné de la société qui les rejettes. Bien fait elle vous dira. Mais, cela reste bien triste tout de – même. Peut – être que s'ils avaient réfléchis avant d'agir, comme de bon humain le ferais, il ne serais pas reclus chez eux, seul, comme des Hermite pas commode.

Ses yeux étaient rivés sur le bois de la table qui, usés, lui laissé pensé que tout ici n'étais pas si jeune que ça. Son cœur aussi n'était pas tout jeune. Avec tout ce qu'il avais vécue, enduré, son cœur c'était renforcé, jusqu'à crée une carapace solide autour d'elle. Pour que plus personne ne puisse lui faire de mal. Après, évidement, certain arrive à la transpercer, mais seule, une fois de plus, elle se guérie sans l'aide d'une quiconque personne. Quand on perd ses parents dans un accident ou vous même vous aurez du les suivre, un sentiment de culpabilité vous ronge de jour en jour, prenant de plus en plus de place en vous. Jusqu'au jour ou aucune partie de son être, ne sera épargnez. Et ou, elle aussi, elle devra resté seule, comme une conne, chez elle, ne voulant voir personne, et ou personne ne voudrais entendre parlé d'elle. Donnant donnant. Triste surtout de pensé que l'on finira tôt ou tard comme ça, abandonner par tout les gens que vous aimiez, et tout ces gens a qui vous avez guérie le cœur vous tournez le dos. C'est même plus de la tristesse, c'est de l'horreur jour pour jour.

Anael leva les yeux vers lui toute souriante. Il faisait son beau temps, sa joie et sa bonne humeur. Il faisait tout en elle, sa gaieté, sa joie de vivre. Surement ne le savait – il pas, mais, il ne tarderais pas vraiment à le découvrir une fois le petit bout de papier déplié dans toute son intégralités. « Je .. » Elle essayais, elle ne voulais pas perdre une seule seconde de temps avec lui, Anael voulais exploité tout le temps qu'elle avait avec William, pour n'en perdre aucune goute et ne pas être déçue d'elle même. Avec lui, elle donnerais tout ce qu'elle avais, toute son âme, et bien plus encore. Elle ferait bien des choses pour l'homme qui partage sa vie, bien des choses oui. Quand Anael aime quelqu'un, il n'est pas rare qu'elle donne justement trop pour lui ou elle. Mais c'est tout elle ça, donner trop pour ne recevoir que peu. Ou pas. Elle aime pas que l'on se préoccupe de ses soucis, elle, elle veut s'occuper des vôtres, parce qu'elle pense que les siens sont futiles, bien moins futile que les vôtres évidement, mais inutile quand même. « .. t'aime .. »
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Anonymous
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Dim 30 Jan - 8:20

Elle n’avait peut-être pas fini sa phrase, mais je l’aperçus en train d’écrire quelque chose sur un bout de papier. Je commençais à me demander sérieusement ce qu’elle avait bien put écrire sur le morceau de papier. Elle me glissa la note dans ma direction et ses doigts frôlèrent les miens. Anael baissa son regard sur la table. J’avais le message entre mes doigts, mais je craignais de ce qui pouvait contenir. Elle est peut-être trop timide pour me dire que je ne suis pas de son genre. Il n’était pas question que je ouvre ce message, pourquoi ne pas m’épargner ce mystère et me le dire en face. Je ne serais pas fâché si elle me rejetait complètement. En fait, je n’en ai aucune idée du contenu. Il pourrait aussi bien contenir un je t’aime et je suis la à m’inquiéter du pire quand finalement il n’y a que du bonheur qui se cache derrière ce bout de papier.

Anael baissa les yeux et fixa la table. De vieux souvenirs ressurgirent dans ma tête. Je n’avais aucunement le goût de revivre ses affreux souvenirs. À l’époque une seule fille comptait à ses yeux et elle s’appelait Nevaeh. On vivait tout qu’une histoire d’amour jusqu’au jour ou ca tomba en mille morceaux. On avait eu un malentendu et j’étais sure qu’elle était sur le point de me laisser. Il n’était pas rare de se faire larguer comme une vielle chaussette de nos jours. On se lassait d’une personne et on change de partenaire. Je ne fonctionne pas comme ca. J’étais comme un fantôme qui rôde dans le monde des vivants cherchant une raison de traverser le tunnel de lumière. J’avais bu jusqu’à être complètement ivre mort. Une fille s’approcha de moi et m’offrit d’aller finir la nuit chez elle. Je ne sais pas ce qui se passa après, mais le lendemain je me réveillai à coté d’une parfaite étrangère. Je n’avais pas besoin d’un dessin pour comprendre que je venais de tromper Nevy et que ca allait avoir de sérieuses conséquences. C’était la première fois que je couchais avec une fille et que je ne me rappelais pas de son nom le lendemain. Pour en revenir au point, Nevy appris la nouvelle par une de ses amies et elle ne tarda pas à rompre avec moi. Depuis, je me suis juré que la prochaine qui ferait battre mon cœur je ne commettrais pas les mêmes erreurs.

Je repris conscience que je n’étais plus dans le passé, mais que j’étais dans le présent que tout ca était que des vieux souvenirs pénibles. J’avais la plus belle fille devant moi et c’est tout ce qui comptait pour moi en ce moment. Anael était son rayon de soleil qui venait percer la noirceur de la nuit. J’étais amoureux de cette fille au point d’en devenir malade. Je ne pensais qu’à elle et aucune fille ne ferait ressentir la même chose que je ressens pour elle. Je ne sais pas ce qu’elle avait d’unique, mais elle avait réussi à me changer complètement. J’avais finalement réalisé que l’amour est quelque chose de fabuleux. Les histoires d’une nuit c’était terminé. Il ne pensait qu’à Anael et aucune autre fille. J’hésitais toujours à ouvrir le morceau de papier.

Anael leva les yeux vers moi toute souriante. Au moment où j’ouvrais le papier, elle prononça un mot. « Je .. » on voyait qu’elle se battait intérieurement pour dire le ce qui venait par la suite. Mon regard était fixé sur le sien et j’avais complètement oublié de regarder ce que le message contenait. Elle répondit à ma question lorsqu’elle dit le reste de sa phrase. « .. t'aime .. » Est-ce que j’avais bien entendu ou est-ce juste mon imagination qui me jouait des tours. Je regardai le bout de papier et m’aperçut que je n’avais pas rêvé. Il était écrit Je t’aime. Mon cœur s’emballa de joie. De toutes les personnes de cette ville, elle était amoureuse de moi. Je m’approchai doucement d’elle, plaçant ma main sur sa joue avant de déposer mes lèvres sur les siennes pour lui offrir un baisé amoureux. Au bout de quelques secondes, je me reculais et lui souris ; « Je t’aime aussi Anael. Je voulais te le dire depuis le tout début mais j’avais peur de ta réaction. Je n’ai pas cessé de penser à toi depuis qu’on s’est rencontré.»
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Anonymous
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Mar 1 Fév - 19:57

Une vague de plaisir parcourue de la tête aux pieds Anael, la laissant dans un état bien particulier. Entre l'évape et le néant. Pourquoi cela ? Tout simplement parce qu'un beau, adorable jeune homme à qui elle a déclaré sa flamme vient tout juste de déposé ses lèvres sur les siennes, y laissant comme sa marque. Avant de lui glisser d'une voix douce et bien esquisse. « Je t’aime aussi Anael. Je voulais te le dire depuis le tout début mais j’avais peur de ta réaction. Je n’ai pas cessé de penser à toi depuis qu’on s’est rencontré. » Un énorme sourire se dessina sur ses lèvres avant qu'elle ne se lève pour dépose ses mains sur ses joues, et prolongé leurs baisé. Elle avait beau être timide, une fois lancé, plus rien ne l'arrêter. Certain la diront bizarre, d'autre lunatique, d'autre .. ne dirons rien. Une fois ses sentiments avoués c'est la claque ou non. Par chance, avec William se ne fut pas la claque, encore heureux. La rousse rompu le baisé, et resta debout droite comme un piquet devant son petit ami, la tête penché sur le côté, son sourire de gamine sur les lèvres. Son regard plongé dans celui de son amoureux, le seul pour qui maintenant, elle vivrait chaque jour que le bon dieu fait.

Anael resta devant lui, droite, les joues rosées mais bien moins qu'avant ses yeux rivés sur celui qui illuminera le reste de ses jours, elle l'espère. Elle déposa son menton sur son épaule, et lui glissa doucement aux creux de l'oreille. « Je te l'aurais bien dit avant, mais comprend moi, je n'osais pas .. » Anael embrassa sa joue et se redressa rangeant son livre dans son sac toujours aussi souriante, heureuse de cette instant. Ce dernier à présent gravé à jamais dans son esprit, jamais elle ne pourrait ce jour la. JAMAIS. C'est comme avec le vélo, on l'apprend une fois on sais en faire toute la vie. Et bien la, c'est exactement pareil, on te le dit une fois, et tu te souvient du moment et de l'instant toute ta vie. Une demande comme ça, c'est tout juste inoubliable. Non ? Pour la demoiselle devant William, c'était bien le cas. Aucune de ses demandes d'avant était ancré dans sa tête. Il est vrai que leurs séparation était très dur, mais ce n'étais pas à cause d'elle, donc évidement, tout ces beaux moments sont bel et bien gravés dans sa tête.

Maintenant, il serais son soleil, sa source de bonheur, le seul le vrai et l'unique de son cœur. Peut importe ce qu'il se passera, il restera toujours le premier dans son cœur. Malgré les disputes qu'un couple normal a, malgré les douleurs que ces dernières provoqueront chez elle, il restera toujours et encore le premier. Le premier partout. C'est comme ça, quand on aime quelqu'un, c'est plus fort que vous, il faut absolument qu'il passe avant tout le monde, même si les personnes sont importante, lui l'est toujours plus qu'elles. C'est la loi du plus fort. C'est bizarre à dire, mais quand Anael a un petit ou bien même une petite amie, elle a légèrement tendance à laissé de côté tout ce qu'il l'entoure. Que ce soit des amis(es), de la famille ou autre. Certain on du mal à comprendre que pour la barmaid, il est normal de faire passé en premier, celui pour qui son cœur bat dès à présent. Non ? Pour elle en tout cas, si, et personne n'arrivera à lui faire changé d'avis. Si quelque chose est bien de détestable chez Anael, c'est son p*tain de caractère de cochon.

On rêve tous aux grand amour. Les demoiselles qui rêve d'un beau et doux prince charmant qui viendrez les secourir de leurs détresse sur leurs grand cheval blanc. C'est limite inadmissible de laisser les demoiselles pensées ça, vus la vie que les jeunes d'aujourd'hui vivent. Genre les « tes belle – ouais tes pas mal toi non plus – on se rejoint chez toi ou .. - viens les toilettes sont là bas » pitoyable. Bon, d'accord, je vous l'accorde la demoiselle folle amoureuse de William étais exactement pareil que lui. Jusqu'au jour ou elle le croisa et jusqu'à que l'affreux cupidon transperce son cœur de sa flèche amoureuse. Elle lui doit tout à ce petit jeune homme et son arc. Sans lui, elle n'aurais très certainement pas fait la rencontre de William dans ce bar. Anael n'est pas croyante, pas du tout même, mais elle priais pour que ce jour arrive. Le jour ou William et elle s'avoue enfin leurs sentiments l'un à l'autre. Elle priais jour et nuit pour que son souhait s'accomplisse le plus vite possible.

Aujourd'hui, elle est la femme la plus heureuse du monde, dans les bras d'un beau jeune homme, pour qui son cœur bat plus fort que le jour précédent.. Elle espère juste que cet amour durera longtemps, très longtemps.. Anael cligna fortement des yeux se les frottant à vive allure, gémissant légèrement de douleur, ayant très certainement un corps étranger dans son œil. « Aï.. e ! » Une personne de la bibliothèque venait d'ouvrir la fenêtre dehors, laissant entré dans un grand courant d'air de léger grains de je ne sais quel chose dans l'immeuble. Allant jusqu'à se poser dans son œil. Ce qui évidement, lui fit mal.
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Anonymous
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Mer 2 Fév - 6:57

J’avais peine à y croire. Je n’avais suivi que ce que son cœur me dictait. Aneal m’avait avoué qu’elle m’aimait et mon cœur s’était emballé de joie. Je n’attendais que cette opportunité pour lui démontrer que je l’aimais sans la faire fuir. Elle y avait mit tout son courage pour réussir à me le dire et ca l’avait porté fruit je crois, car c’était un moment que je n’allais pas oublier de sitôt. Un énorme sourire se dessina sur les lèvres d’Anael lorsque je fini de lui annoncer que j’étais amoureux d’elle depuis le début que je n’avais cessé de penser à elle. Elle se leva pour dépose ses mains sur mes joues, et prolongé notre baisé. Ma petite rousse rompu le baisé, et resta debout droite devant moi, la tête penché sur le côté, avec son magnifique sourire aux lèvres. Son regard était plongé dans le mien et a ce moment précis rien n’aurait pu venir briser la joie que j’éprouvais collé contre celle qui faisait battre mon cœur depuis le tout début et qui continuerait a battre pour elle jusqu'à ce que la flamme de notre amour s’éteigne.

Ma petite amie se rapprocha de moi et déposa son menton sur mon épaule pour me souffler quelque chose au creux de mon oreille. « Je te l'aurais bien dit avant, mais comprend moi, je n'osais pas.. » Anael m’embrassa sur la joue et se redressa rangeant son livre dans son sac toujours aussi souriante. J’avais le sourire aux lèvres et il n’était pas sur le bord de disparaitre du jour au lendemain. «L’important ma belle c’est qu’on se soit dit se qu’on éprouvait l’un pour l’autre. » J’avais la petite amie que tous les mecs rêveraient d’avoir. Je ne dis pas ca pour me vanter, mais j’étais aux anges. Ce moment resterait à tout jamais gravé dans ma mémoire jusqu’à ce que mon cœur cesse de battre. Je me rappellerai toujours que j’ai embrassé mon premier vrai amour dans une bibliothèque à San Francisco. C’était la première fois que mon cœur battait aussi fort pour une fille et ca ne se reproduirait surement plus jamais car j’avais l’intention de faire en sorte que cette relation marche. Dans le passé, je m’étais solidement planté dans ma relation avec Nevy et je n’allais certainement pas commettre les mêmes erreurs à nouveaux.

Il y a une semaine environ, j’étais comme tous les autres mecs de mon âge. Je ne croyais aucunement au grand amour, je couchais d’un bord pi de l’autre avec une fille différente à chaque soir et quand je n’en avais pas envie il n’y avait personne pour me reprocher quoi que se soit. Jusqu’à ce que je rencontre cet ange qui m’est apparu comme dans un rêve. Je ne croyais certainement pas que je finirais par la fréquenter un jour. Elle était mon premier coup de foudre à vie. Aucune histoire d’une soirée ne m’aurait jamais permis d’éprouver la joie que j’ai en ce moment lorsque je suis avec Anael. Elle était mon soleil qui illuminait mes journées. Il n’y avait qu’elle en ce moment qui occupait mes pensés et je n’échangerais pas cet instant pour rien au monde. J’espérais que ce jour arrive ou tous les deux on s’avouerait nos sentiments l’un pour l’autre. Je ne savais pas que ce jour viendrais aussi rapidement que ca et tout le monde pouvait voir la joie que je ressentais. Je dégageais une nouvelle énergie qui m’était complètement inconnu.

Je n’ai jamais été heureux comme je le suis en cet instant. Je serrais ma petite amie dans mes bras et je ne voulais pas la laisser partir de peur que tout ca ne soit qu’un rêve. Elle me ramena à la réalité en lâchant un petit cri. « Aï.. e ! » Elle clignait des yeux et se frottait les yeux a vive allure. Il semblerait qu’elle avait quelque chose dans les yeux. «Ne frotte pas mon amour, tu ne vas qu’aggraver la douleur tout en augmentant l’effet de démangeaison que tu as dans l’œil. » Je lâchai un petit rire et lui fit un clin d’œil pour la taquiner un peu. Je l’embrassai pour lui faire oublier son mal.
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Anonymous
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Mer 2 Mar - 17:53

"A Déplacé"
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As - tu déjà aimé ? { Williams S. Carter

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