Je serre les dents légèrement essayant de récupérer mon souffle bien que mes mouvements et le plaisirs devenant trop intense commence à me faire vraiment l'effet d'un sport de haut niveau. Nullement que je m'en plains, restant contre son corps me foutant de la température impossible, sachant très bien que ça provient de l'intérieur de mon corps en ébullition et non du reste. Magda bouge et vient se caler plus contre moi alors que je l'attrape par le bas du dos aidant mes coups de reins en la collant à moi. encore… Tu continues à rires et à jouer comme ça avec ma peau et pas sur que je tienne encore trente secondes de plus... Cependant loin de moi dans l'idée de m'arrêter en si bon chemin, je suis pas masochiste ou alors que dans l'idée d'augmenter le plaisir et la le stopper serait vraiment vraiment... Bref. Je bouge d'harmonie avec elle voyant parfaitement qu'elle est pas mieux que moi alors que je renforce un peu cela, pas dans le but d'en finir vite, plus plutôt de finir fort... Je l'entend alors qu'un sourire plus que satisfait se glissent sur mes lèvres sentant ses bras se lier alors que sur le cou je la tiens plus aisément par les hanches mes lèvres passant sur son cou alors que... putain… Entendant ce joli petit mot à côté de mon oreille je sourie l'écartant un petit peu pour revenir l'embrasser sans pour autant m'arrêter relevant ses cuisses contre mes hanches en continuant mes coups de reins en elle jusqu'à... non c'est plus de l'endurance là de retenir ça autant... bordel. Je serre les dents ralentissant cruellement le rythme la gardant contre moi, mon rythme cardiaque me tuant les tympans.

ça y est, là ça y est. tu as un râle de soulagement qui s’échappe de ta gorge alors que ça y est l’orgasme t’as envahi jusqu’aux tripes. putain ce que c’est bon. « bordel. » tu l’entends. un sourire se dessine sur tes lèvres, contente de voir que c’était pas bon que pour toi. camil ralentit le rythme et alors seulement tu commences à respirer. tu réalises alors que tu es complètement essoufflée. tu dégages d’une main des cheveux qui se sont collés à ton visage et tu fais pareil pour camil. tu l’embrasses encore. le rythme ralenti encore, c’est plus qu’une petite mélodie… comme les musiques d’ambiance qu’on entend sans entendre. tu soupires, contre ses lèvres. tu affiches un sourire satisfait. « bonne saint valentin ! » tu t’exclames avant d’éclater de rire. vous vous décollés peu à peu, ça te fait presque bizarre. tu te sentais parfaitement bien contre lui et lui en toi. tu voudrais presque recommencer là tout de suite. mais tu sais que ni toi ni lui n’aurait la force physique. il t’a épuisé et tu sais que lui aussi doit l’être. tu le pousses un peu pour avoir la place de te remettre debout. tu prends un tee-shirt qui traine, tu sais pas si c’est celui de camil ou un de ton coloc. tu l’enfiles et tu sors de la salle de bain. dans l’embrasure de la porte tu te retournes vers camil. « tu restes dormir ou pas ? » tu demandes en souriant, t’es encore complètement essoufflée et tout ce que tu veux c’est t’effondrer dans ton lit. avec camil en option s’il décide de rester.

Elle a un sourire satisfait et je l'observe avec amusement. bonne saint valentin ! JE la sens repousser des cheveux en arrière de ma tête alors que je la laisse faire caressant un peu sa peau avant de reculer d'elle. Je reprend difficilement mon souffle, finissant par m'écarter totalement à contre coeur, virant la préservatif que j'envoie dans sa poubelle alors que j'attrape une serviette, à elle ou son coloc, pour m'essuyer sans gêne. Mon regard glisse sur son corps tatoué, souriant un peu en la voyant enfiler mon tee-shirt sans que je ne proteste. Moi j'attrape juste mon boxer. tu restes dormir ou pas ? Je remonte le regard sur son sourire alors que j'ai du mal à pas vraiment vouloir. Pourtant je devrais rentrer à la maison, Magda m'en voudra bien assez de cette soirée, elle m'en voudra d'avoir rien dit... Mais si je lui dis se que j'ai l'intention de faire, elle m'en empêchera, me retournera l'esprit ou bien même me séquestrera... Je l'observe quitter la salle de bain mon pantalon à la main je soupire en quittant la pièce à mon tour retournant au salon lâcher mon jean, et saisir mon paquet de clope et son briquet. Puis je la rejoins dans sa chambre allumant une clope en venant contre elle. généralement je m'abstiens de sexe pour la Saint Valentin...

tu te laisses tomber dans ton lit. ça fait du bien de se poser, faut le reconnaître. tu trouves une bouteille d’eau qui traine sur ta table de nuit, tu l’attrapes pour en boire une longue gorgée histoire de te rafraichir. tu n’attends pas vraiment de réponse de la part de camil, qu’il décide de rester ou de partir, ça t’ira. même si, on va pas se mentir, tu préférerais qu’il reste. tu le sens se coller contre toi et tu sens l’odeur de la cigarette qu’il vient d’allumer. « généralement je m'abstiens de sexe pour la saint valentin... » tu souris. tu redresses un peu la tête pour regarder l’heure à ton réveil. il est presque deux heures du matin. tu te tournes vers lui, lui prenant sa cigarette pour en tirer une longue taffe. « tout va bien, on est déjà le 15, t’as pas dérogé à la règle. » tu dis, comme pour le rassurer, plus pour te foutre gentiment de sa gueule. tu restes collée contre lui. tu fermes les yeux, tu pourrais t’endormir dans les secondes qui arrivent.

Je la sens se retourner, lui laissant prendre ma cigarette de mes doigts. Je l'ai pas allumé pour moi seul faut dire, je connais un minimum ce genre d'habitudes communes. Suivant son regard sans trop comprendre je reste allongé croisant ensuite son sourire et son regard chocolat. tout va bien, on est déjà le 15, t’as pas dérogé à la règle. Je regarde l'heure en souriant un peu. Ahaha très drôle. Tu lui reprends la cigarette passant un bras autour d'elle avec naturel observant ses cuisses nues. Magnifique, cinq ans que je me tiens à ce régime j'aurais pas voulut le ruiner. Je dis avec un sourire amusé alors que je l'observe se caler contre moi. Je dis rien fumant ma clope tranquillement, l'observant un temps je reste immobile m'étirant juste pour choper son cendrier sur sa table de nuit, je la laisse s'endormir fumant tranquillement ma cigarette en observant le plafond dans mes pensées...