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happy valentine's day m. i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| Dim 16 Fév - 23:16 | |
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tu sais bien que tout ça méritait pas un verre cassé. mais c'était ça ou tu lui hurlais dessus et tu le frappais jusqu'à l'amocher pour de bon. camil n'avait pas le droit de te parler comme ça. même si c'était vrai. même si ça l'énervait que gwen soit là. même si peu importe. « c'est sur que si j'avais voulus ce soir une gentille fille qui fait pas chier, je serais pas venu là.. » tu dis rien. tu prends ton morceau d'essuie-tout dans une main et de l'autre tu commences à ramasser les bouts de verre, la main tremblante que tu essaies de contrôler au mieux. tu sens camil qui te rejoins et qui te pousse doucement. « laisses, les urgences sont bondé de monde le soir de la st valentin. » tu le pousses à ton tour. « ça va, je peux me débrouiller. je t'ai pas attendu pour m'en sortir toute seule. casse toi. » tu dis, presque vainement, parce que tu sais qu'il en restera pas là.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Ven 21 Fév - 9:21 | |
| On a beau s'engueuler comme tout le temps, comme toujours je ne me casse pas quand elle me "l'ordonne". Oh non non non, je reste dans son appartement, surtout en voyant qu'elle se prend pour une super héroïne à aller ramasser tout ce verre alors qu'elle se blesse d'un rien. Bravo. Je finis donc par la rejoindre sachant aussi que sa grande gueule et son caractère vont encore une fois s'éclater à transformer aussi ça en guerre. C'est simple avec Magda c'est une bataille constante, verbale, et sentimentale. C'est fatiguant, ça demande tellement de temps, non pas que je me plaigne, mais c'est vrai que c'est pas de tout repos d'être aussi proche d'une fille comme elle. ça va, je peux me débrouiller. je t'ai pas attendu pour m'en sortir toute seule. casse toi. Je répond rien récupérant le verre plus rapidement qu'elle, sans aire énormément attention car je suis pas du genre à me blesser si facilement comparé à elle. Je reste silencieux pour une fois préférant rien répondre, baissant les armes. Pour cette fois. Parce que je préfère ça plutôt qu'elle se blesse par ma faute. Oui après tout c'est moi qui ai réagit à sa provocation, j'aurais du me contenir...
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| | | | Ven 21 Fév - 17:17 | |
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depuis que tu es malade, tout le monde te traite comme une victime. tout le monde veut te donner la main pour traverser un passage piéton. mais t'es pas une gamine. t'es plus une gamine depuis bien longtemps. et ça t'énerve cette façon dont les gens te regardent maintenant. t'aurais jamais du rien dire à personne. oui, t'aurais du tout garder pour toi. tu serais restée la même, en un peu plus cabossée et un peu plus excessive. ça n'aurait pas été un grand changement... camil est plus rapide que toi, il a déjà ramassé tout les morceaux pendant que toi tu peines à en empoigner un sans te trancher. tu dis rien. lui non plus. tu te relèves, masquée derrière ton sopalin, ta main prend les morceaux de verre de la main de camil. tu vas à la cuisine et tu les mets à la poubelle. tu retournes au salon, il n'a pas bougé. tu le regardes. tu sais que la tempête est finie. pour cette fois en tout cas. tu te souviens même déjà plus quel était le problème. tu bouges pas. tes doigts jouent entre eux.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mar 4 Mar - 19:20 | |
| Les bouts de verres quittent a main alors que je la retourne délicatement au dessus de la sienne dans le sopalin. Les bouts de verres faisant un léger bruit entre eux, c'est le seul truc qui tue le silence qu'il y a entre nous maintenant. Bordel quand est-se qu'on arrêtera ça ? Jamais, à croire qu'on s'aime que de cette manière, qu'on sait pas se le montrer. Enfin qu'elle ne sait pas le montrer autrement, ni même le voir venant de ma part. Je reste donc seul au salon, alors que j’entends ses pas revenir. Ok. C'est finis ? Ça semble en effets clos. Pour cette fois. Pour ce soir. Je me relève donc en silence la contournant sans un mot, sans aucune envie de me casser comme elle me l'a suggéré tout à l'heure. Rêves. Crèves, enfin pas dans ce sens la du terme. Je prend mon paquet de clope en allume une que je lui tend simplement croisant son regard que je connais trop. En faite après les disputes, on sait jamais trop quoi dire. "Pardon" ? C'est mal nous connaître. J'allume une deuxième cigarette que je garde pour moi, je me repose dans le canapé, je reste là, sans sourciller. Alors ton salon ça avance ? Ouais ça semble un bon sujet d'excuse ça, non ?!
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| | | | Jeu 13 Mar - 17:01 | |
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tu en as marre des fois de te battre sans cesse avec camil. mais tu sais que vous ne pouvez pas fonctionner autrement. et peut-être que vous aimeriez moins si c’était pas comme ça. c’est presque ça qui fait votre relation. c’est compliqué, c’est épuisant. mais c’est à vivre à deux cents pourcents. tu sais que t’arriveras jamais à t’en lasser. a te passer de lui et de tout ce qui va avec. même si ça fait mal. même si ça te tue et t’épuise. même si tout ça… c’est camil et toi, point. y’a rien d’autre à dire. les autres subissent. les autres font avec. et vous aussi. peut-être que vous aviez pas choisi d’être amis, de cette façon. c’était devenu comme ça parce que vous étiez trop… trop. trop tout. trop chiants, trop agressifs, trop passionnés. le cumul de tout ça résultait à vous. tu reviens dans le salon, camil te tend une cigarette déjà allumée. tu la coinces entre tes lèvres et tire une longue bouffée. « alors ton salon ça avance ? » et voilà. page tournée. tu te laisses tomber dans le canapé. tu hoches la tête. « oui, ça avance bien. on ouvre dans un mois tout pile normalement. mais c’est noah qui bosse le plus, vu que dès que je fais un truc, je casse tout. » tu expliques calmement. t’as froid aux pieds. tu te rends compte que t’as froid tout court. t’as envie d’une bonne douche brulante. « je peux te laisser le temps d’aller prendre une douche ? » tu lui demande.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Jeu 13 Mar - 22:35 | |
| Je reste sur le canapé observant sa télévision qui n'est pas allumée. Je dis pas grand chose. Et puis c'est passé, j'tourne la page aussi vite que c'est arrivé. Il m'ait déjà arrivé de me réveiller en me disant que si un jour une dispute n'arrivait pas ainsi à se refermer comme on le fait, on était finit. Elle. Moi. Nous. Magda et moi, les moins rancunier du monde entre nous deux ? Non pas que je pardonne tout à Magda, d'ailleurs j'crois que je lui ai jamais rien pardonné... J'oublie juste. J'y pense pas, je referme le chapitre. Il me semble que ça a toujours été. De toute manière c'est mieux comme ça, on fait pa dans la demie mesure. Rancunière au possible ? Magda. Oh oui. Seulement il me semble qu'entre nous y'a un no man's land de nos caractères un truc qui se compense de part la force de nos coups de gueule. Peu importe, tant que ça marche... oui, ça avance bien. on ouvre dans un mois tout pile normalement. mais c’est noah qui bosse le plus, vu que dès que je fais un truc, je casse tout. Je sourie rassurer. Cool je préfère ça... Je dis réellement sincère. Pas de ma faute, tendance à trop la protéger, tendance à paniquer quand il lui arrive un truc, à devenir méchant par le stress. Je fume tranquillement, notre dispute semblant nous avoir tout les deux mis au calme. je peux te laisser le temps d’aller prendre une douche ? Tu tourne la tête un instant vers elle. J'peux venir ? Tout naturellement, quoi c'est Magda, c'est pas grand chose , non ?
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| | | | Jeu 13 Mar - 22:45 | |
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« j'peux venir ? » il demande. ça te fait même pas sourciller. tu hausses les épaules. « tu fais comme tu veux. » tu réponds doucement. tu commences à imaginer pleins de trucs forcément. tu peux pas t’en empêcher. et puis tu le connais. tu te connais. et vous avez déjà pris un nombre incalculable de douches ensemble… tu quittes le salon pour rejoindre la salle de bain. tu allumes le pommeau de douche pour que l’eau soit déjà chaude quand tu rentreras. tu détestes le petit moment où l’eau est encore froide et que ça te saisis jusqu’aux tripes. tu enlèves tes fringues. tu te regardes dans le miroir. tu enlèves le mascara de tes yeux pour éviter de devenir un panda dès que tu auras passé ta tête sous le jet d’eau. et puis tu entres dans la douche. l’eau chaude fait déjà de la vapeur d’eau. ça fait du bien. toi qui étais frigorifiée, te voilà bien au chaud. tu fermes les yeux et tu restes sous le jet d’eau chaude sans bouger.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Jeu 13 Mar - 23:26 | |
| Je réfléchie pas vraiment quand je li demande ça, pour moi c'est presque du naturel. Ok je devrais me dire que non je dois pas, pas en songeant au lendemain se que je prévois de faire. Mais j'y pense pas, parce que je vois pas se qu'il y a de mal, c'est Magda, c'est différent. C'est Magda, c'est pas pareil. La regardant se lever je termine ma clope un peu plus rapidement , l'écrasant dans le cendrier en entendant l'eau qui se met à couler, j'abandonne mes basket devant son canapé, laissant mon téléphone sur la table alors que je rejoins sa salle de bain que je connais que trop bien. Virant mon pull et mon jean je les laisse au sol en virant mon tee-shirt observant Magda rentrer sous l'eau. Fascination pour son dos tatoué, je l'aurais toujours celle-ci, les marques à l'encre noir ne me lassant jamais. Je vire mon boxer frissonnant légèrement de la température ambiante. Vite de l'eau chaude. Entrant dans la douche qui peut nous contenir tout les deux bien que assez justement je tire la porte légèrement. Laisses moi de l'eau.. Je dis avec presque douceur la décalant doucement en me rapprochant d'elle, virant sa frange en arrière sur sa tête avec un sourire enfantin. J'aime bien aussi quand elle a les cheveux tout trempé, l'eau qui s'accroche à ses cils comme ça et le visage dégagé. Virant moi même mes cheveux en arrière trempé qui me tombe sur le front je sourie en profitant de l'eau chaude avec elle. ça fait un bail qu'on en a pas prit ensemble...
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| | | | Ven 14 Mar - 9:20 | |
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tu connaissais trop bien camil. tu le connaissais mieux que tu ne connaissais n’importe qui d’autre. tu savais que d’ici quelques minutes il allait apparaître dans la douche avec toi. tu le savais parfaitement. et sinon, tu aurais été déçue, il faut bien le dire. ta vie n’avait pas une action débordante ces derniers temps. et en plus depuis plus d’un mois que camil était parti, tu t’ennuyais toute seule. evidemment il y avait dante, mais c’était pas pareil. c’était jamais pareil avec personne en comparaison de camil. les yeux fermés, concentrée sur l’eau bouillante qui coule sur toi et qui te fait un bien fou, tu ne fais presque pas attention à l’arrivée de camil. « laisses moi de l'eau.. » il dit. tu ouvres les yeux en souriant, puis tu te décales un peu. pas trop parce que derrière toi c’est le carrelage de la douche et c’est froid. il vire ta frange. tu dis rien, mais tu sais qu’il sait que t’aime pas trop. même si sous l’eau c’est inévitable. t’aimes pas quand ta frange est pas en place sur ton front pour te cacher un peu le visage. « ça fait un bail qu'on en a pas prit ensemble... » il annonce. tu réfléchis. c’est vrai. entre son séjour à new york et avant, ça fait un moment. tu hoches la tête positivement. pourtant vous deux nus dans la douche, ça n’a jamais rien de désagréable. ça devrait se produire plus souvent… la température entre vous commence à prendre des degrés. ou alors c’est l’eau chaude. tu te redresses un peu sur la pointe des pieds pour l’embrasser. laissant tes mains voyager sur ses bras tatoués, comme les tiens.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Ven 14 Mar - 9:53 | |
| Je sais qu'elle s'y attend. Je le sais autant, que je sais que lorsqu'en soirée elle ne rentre pas chez elle et reste à l'appartement j'ai pas à lui dire où elle dort parce qu'elle finira toujours dans mon lit. Avec Mag' contrairement à se que la planète entière pense, ce n'est pas que sexuel, c'est chimique. C'est un truc incontrôlable, un truc que j'ai toujours su qu'il foutrait la merde dans ma vie sentimentale. C'est pas explicable, c'est comme ça. On a jamais vraiment cherché à trouver la cause, l'explication profonde. On s'en fout non ? On a toujours fonctionné ensemble, comme des jumeaux, l'ambiguïté en plus. Le sexe ? Personne peut vraiment dire que ça ne se résume qu'à ça. Même si depuis notre présence à SF tout le monde pensent cela, seul Dante sait qu'on s'était jamais touché avec SF. Un pacte à moitié prononcé, j'sais pas un respect total. Puis, ici ça a dérapé. Ça aurait pas du parce que je sais très bien qu'ouvrir la porte à ça avec Mag', c'est aussi mauvais pour elle que pour moi. Mais c'est trop bon, et trop normal pour qu'on y échappe. Et je finis contre elle dans la douche, voyant très bien dans ses yeux ce petit truc de protestation "touches pas à ma frange" ça dit. Mais je m'en fous, qu'elle proteste, je m'en fiche. Ses cheveux, toute une histoire. On a été consterné au départ par sa franche. Je m'en souviens quand elle a débarqué à la villa a Sydney, ses cheveux coupé plus court et son visage barré par cette frange. Dégueulasse, au départ je me suis pas gêné pour lui dire, ça m'faisait chier qu'elle cache son visage. Puis ba on finit par s'y habitué, et puis ça rend un côté sage à cette fille endiablée. J'ai aucune réponse à ma constatation, hormis un petit hochement de tête. Je dis rien, je profite de l'eau observant le liquide transparent tomber sur sa tête. Elle bouge un peu, grandit de quelques minuscule centimètres alors que je sais très bien se qui se passe. Sérieusement on nous apprendra ni à l'un ni à l'autre cela... Je baisse les yeux la laissant venir sur mes lèvres, je devrais pas ? Et alors ? Mes lèvres s'accrochant doucement aux siennes mes doigts glissent et se posent sur ses hanches trop fines, la rapprochant de moi sans hésitation, mon corps un peu trop habitué au sien. Lâchant ses hanches pour parcourir simplement le chemin reliant le long de son dos, mes mains contrastant tellement peu avec l'immensité tatouée sur sa peau. Avec le temps les contours de l'encre ne se sente plus, pourtant je sais presque avec exactitude les lignes des dessins. Au moins comme ça, on profite a l'eau chaude pour tout les deux, c'est bien mieux. Pas exactement la pensées principale.
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| | | | Ven 14 Mar - 16:34 | |
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pendant des années, malgré ce que l’on pouvait croire, il n’y avait jamais été question de sexe entre camil et toi. parce que vous étiez trop comme frère et sœur. c’est quand t’as débarqué à san francisco à ton tour que les choses avaient dérapé. avec denver dans les parages, tu avais eu peur et la seule façon d’avoir camil pour toi, c’était d’être avec lui. vraiment avec lui. c’était pas mentir. oui tu l’aimais. oui t’étais amoureuse de lui. mais pas comme ça. ça te faisait beaucoup trop de mal de l’aimer. tu le savais. mais tu pouvais pas t’en empêcher. t’aimais camil plus que tu ne pouvais aimer personne d’autre. votre relation avait été un échec, il fallait bien le reconnaître. mais le sexe était resté. et vous étiez tellement en phase que ça ne pouvait que coller à ce niveau là. tu connaissais camil par cœur, tu savais très bien ce qu’il aimait et il s’avérait que c’était ce que tu aimais aussi. dans une autre vie, vous étiez destiné à être ensemble. comme ses histoires de monde parallèle où les personnes qui s’aiment vraiment finisse par de toute façon se retrouver. tu savais que quoi qu’il arrive toi aussi tu retrouverais camil. peut-être que c’était malsain de l’aimer autant alors que c’était pas réciproque et qu’il y aurait toujours une autre fille. mais tu ne pouvais pas t’en empêcher. c’était camil. c’était incontrôlable. tes lèvres plaquées contre celles de camil, tu te relâches, tu oublies la dispute passée. et toutes les autres. et toutes celles qui suivront, parce qu’il y en aura tu le sais déjà. et lui aussi. mais ce moment, c’est sur pause. il n’y a plus rien autour. juste vous deux, nus, trempés sous la douche. une de tes mains glissent le long de son torse pendant que l’autre vient prendre sa place dans son cou. tu l’embrasses avec un peu plus de ferveur.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Ven 14 Mar - 21:44 | |
| L'eau chaude glissant sur nous semble aucunement permettre de baiser la température. Pardon mais en même temps on est à poil dans la douche. Bon ok faux, on a prit des douche ensemble sans rien faire. Mais il semblerait que ce soir ça soit pas comme ça. La St Valentin ? J'en doute ça nous à jamais vraiment affecté, on est plus du genre à la passé à deux plutôt que tout seul, mais nullement en fête du sexe ou des amoureux. Pathétique comme si j'avais besoin de ça, une journée juste pour ça. Mes mains glissant dans son dos je reste un peu calme... Mag' un peu moins, ou du moins elle fait rein pour ne pas me faire garder mon calme. Sentant sa main sur mon torse ses lèvres venant sur les miennes avec plus de forces je sourie à moitié. Je sais très bien que c'est qu'une question de seconde avant que je m'emballe. Mes doigts se crispant sur sa peau, je reste focaliser sur ses lèvres lâchant son dos pour virer ses cheveux en arrière qui sont tombé devant son visage avec l'eau, mes doigts glissant de sa joue à son cou, je la rapproche ainsi de moi restant penché vers elle pour l'embrasser.
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| | | | Sam 15 Mar - 11:22 | |
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entre camil et toi, ça avait toujours été instinctif et presque animal. tu savais comment faire, il savait comment s’y prendre. il n’y avait aucun contrôle à avoir. tu laissais ton cerveau sur pause et tu te contentais de profiter de l’instant, qui était vraiment, vraiment très agréable. tu sais que la temperature monte en toi à vitesse grand v. c’est pas forcément parce que c’est camil (même si ça aide) mais parce que tu aimes ça, tu peux pas trop t’en empêcher. tu vois, à force de vivre avec camil et dante qui passent leur temps à copuler, ça a clairement déteint sur toi. tu oublies la saint-valentin, tu oublies la soirée, tu oublies la dispute, tu oublies qu’il était parti à new york sans te prévenir… tout disparaît. complétement collée à camil, tu ne peux pas t’empêcher de frissonner de plaisir. ta main gauche agrippe ses cheveux alors que ton autre main descend, descend, descend encore plus bas, jusqu’à trouver son but… tu l’embrasses à pleine bouche.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Sam 15 Mar - 13:11 | |
| JE suis pas venu la voir pour ça. Et elle doit le savoir. C'est bien l'une des seules filles avec qui le sexe passe en second après ton attachement pour elle. Jamais j'irais la voir juste pour baiser, juste pour vulgairement "me vider", c'est pas pareil. Le sexe est venu après, et le sexe c'est imposer comme beaucoup trop bon pour qu'on le délaisse c'est tout. Je sens mes cheveux se tirer sous les doigts de Mag', ça me fait sourire contre ses lèvre un instant, mes doigts restant comme ça... je sens sa main glisser sur mon torse, mes abdos se contractent à son passage sachant très bien où elle descend. Je grogne en la sentant faire, l'envie prenant le dessus sur la pseudo douceur du début. Sa bouche aussi d'ailleurs alors que je la colle contre moi avec envie, griffant pas vraiment son dos vu le peu d'ongle que j'ai je dévore ses lèvres, mes doigts remontant jusqu'au haut de son dos je la fait reculer contre le mur. Froid ? Vu son frisson oui mais crois moi tu vas vite oublié ça. Restant collé à ses lèvres mes mains glissent jusqu'à ses cuisses remontant sur ses fesses.
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| | | | Sam 15 Mar - 13:37 | |
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camil te fait reculer contre la paroi de la douche. tu as un petit frisson de surprise, provoqué par le froid. mais tu l’oublies rapidement. très rapidement. tous tes sens sont en éveillés et tes sensations décuplées par dix comme si tu avais fumé douze joints. tu sens les mains de camil qui se baladent sur ton corps, provoquant des frissons à chaque mouvement. tu voudrais que ça ne s’arrête jamais. ce moment, et le sexe entre vous. d’accord c’est pas ta priorité en ce qui vous concerne, mais c’est de loin l’un des meilleurs coups que tu aies eu et t’aimerais pouvoir en profiter toute ta vie. dieu merci tu connais camil et tu sais que tu trouveras toujours une façon de le faire craquer. parce que c’est toi. parce que c’est lui. et que vous deux c’est comme ça. ses mains descendent sur tes fesses tu fermes les yeux pour profiter de l’instant. tu commences à le caresser là où il faut, bien comme il faut, histoire de le faire craquer. tu l’embrasses et tu viens laisser une marque de ton passage dans son cou. puis pour faire durer le plaisir, tu cherches le bouton de la douche pour couper l’eau et tu sors de la douche, le laissant un peu languir. tu souris en le regardant, te mordant la lèvre inférieure. d’un petit bond tu t’asseois sur le rebord du lavabo, sans le lacher du regard.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Sam 15 Mar - 14:14 | |
| Je reste accroché à ses lèvres avec ferveur, collé à elle, y'a juste son bras qui nous séparer. Bras qui me gêne pas du tout vu où sa main est, et de la manière dont elle s'occupe. Non vraiment, ça ne me gêne pas. Mes mains restent sur sa peau sans pouvoir s'en détacher. Alors que ses lèvres quittent les miennes, je soupire légèrement le laissant aller dans mon cou alors que mes doigts remontent le long de son corps passent sur ses côtes, remontent sur sa poitrine. Je sens ses lèvres beaucoup trop posé alors que je sais déjà se qui vient de se passer. Mag... Ça se perd dans notre envie, sous l'eau de la douche, ça se perd dans nos gestes et je reviens l'embrasser... jusqu'à se que l'eau se coupe. What ? Croisant le regard de la brune qui se décale sans me lâcher du regard, je dirais bien qu'elle a pas intérêt à me lâcher dans cet état là... Mais c'est Mag' et je sais qu'elle ne le ferait pas... Mon regard totalement fixé sur elle je me mors la lèvre. P*tain, cette fille est juste affreusement... bandante ! La pire chose qu'il me soit arrivé comme addiction. Je reste dans la douche un moment, remettant mes cheveux en arrière en virant l'eau qui s'y accroche. Sans lâcher son regard qui est pire que tout. Ses yeux. Vraiment. Pire. T'es le diable en personne... Je dis en sortant de la douche la rejoignant avec un minimum de contenance, venant proche d'elle alors que lentement mes doigts glissent le long de ses cuisses, mon regards lâchant ses yeux pour suivre les glissements de mes doigts qui écartent lentement ses jambes pour les placer juste de chaque côté de moi. Mes index remontant sur ses hanches, sur son ventre, sur ses tatouages, passant sur ses seins avec un sourire a la limite du prédateur. Elle me rendra cinglé. Remontant jusqu'à son visage, je la fixe un instant. Calme avant la tempête. Avant tout le reste. Avant que je vienne l'attirer d'un seul coup totalement contre moi reprenant ses lèvres avec brutalité. Cette fille sera ma fin, un jour ou l'autre. J'crois pas avoir encore trouvé de moyens.
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| | | | Sam 15 Mar - 14:25 | |
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« mag... » tu dis rien. tu sais que tu as gagné encore une fois. « t'es le diable en personne... » tu laisses un rire sonore éclater. tu sais que camil ne te résistera jamais où alors pas longtemps. tu sais que tu trouveras toujours une solution pour l’avoir rien qu’à toi, tu as toujours réussi. « je sais. » tu soupires doucement en souriant. ça oui t’es le diable. et même si tu fais du mal autour de toi, même si on te déteste, tu t’en fous du moment que camil est avec toi. le reste n’a pas d’importance. oui t’es égoïste, oui t’es une gamine. mais tu l’aimes et il est à toi. c’est tout. c’est comme ça. il te rejoint et écarte tes cuisses pour se placer entre. tes jambes s’enroulent naturellement autour de sa taille. ses doigts parcourent ton corps et rien que ça tu frissonnes de plaisir et tu es de plus en plus avide de la suite. et puis soudain ça s’emballe. et ça te rend complètement dingue. il mord tes lèvres avec brutalité et tu es déjà folle. tu lui rends la pareille, alors qu’une nouvelle fois ta main glisse entre ses jambes pour reprendre son mouvement de va et vient. tu l’embrasses encore, plus fort jusqu’à bout de souffle. t’as envie de lui tout de suite, maintenant. c’est une surprise pour personne. ni pour toi, ni pour lui. et entre ta main, tu remarques que lui aussi. tu souris. bonne saint valentin !
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Sam 15 Mar - 18:03 | |
| La douceur c'est pas ton truc préféré, enfin si de temps en temps... mais bon avec Magda c'est pas vraiment à ça que vous êtes abonné. Des fois si, souvent non. Et puis quand elle te fixe ainsi désolé tu peux pas te contrôler, tu peux pas juste attendre qu'elle se glisse contre toi en mode poupée. Non. Tu perds ton souffles contre ses lèvres et t'en a rien à foutre. P*tain un mois d'engueulade de distance, non décidément ça marche pas. Tu te tends en sentant sa main ainsi te chauffer, tu griffes ses cuisses à moitié alors que tes doigts remontent ensuite jusqu'à ses seins. Sérieux quel mec peut préféré une meuf aux seins refaits quand t'as une meuf aussi dingue devant toi ? Personne. Alors tu restes contre ses lèvres avant de descendre dans son cou e mordre sa peau sans réelle douceur, sans lui faire mal non plus. Et tu laisses la même marque qu'elle sur ta peau, en un peu plus gros. Peu importe. T'as même pas l'envie d'passer ces préliminaire. Tu sais que Magda de toute manière sur ça aussi te ferait prendre ton pied. Mais là... au diable c'est connerie romantique pour faire monter l'envie, tu bandes déjà rien qu'en la voyant agir comme ça. Cependant le temps que tu t'écartes juste un peu de ses lèvres pour "parler" tes doigts glissent entre ses cuisses. T'as des capotes ?
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| | | | Sam 15 Mar - 18:49 | |
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sans dire que t’es sado-maso ou quoi que ce soit dans ce genre, le délire pétales de roses, préliminaires de deux heurs, c’était pas du tout fait pour toi, t’aimais le concret. et heureusement pour toi, camil avait le même état d’esprit. c’était une chance, vraiment. tes mains continuent leur petit manège histoire de faire grimper encore un peu la température. camil vient te mordre et ça t’excite encore plus. tu le laisse faire, bien sur. de toute façon tu l’as mordu pas moins de dix minutes plus tôt. camil s’écarte un peu de toi, alors que sa main elle, vient visiter l’intérieur de tes cuisses. tu le regardes. « t'as des capotes ? » évidemment. tu hoches la tête. t’as les cuisses déjà écartée alors tu te contentes de te pencher un peu pour ouvrir le tiroire en dessous du lavabo. tu fouilles et trouves ce que tu cherchais. tu souris en la montrant à camil. d’un coup de dent rapide, précis et vif, tu l’ouvres. tu la sors de l’emballage que tu laisses tomber par terre et tu descends ta main pour la mettre à sa juste place. même pour mettre une capote, tu avais un talent inné.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Sam 15 Mar - 19:07 | |
| Je reste à embrasser sa peau, mes doigts ayant finit par un minimum aller attiser tout ça... mais si sérieux y'en a pas besoin, Magda y'a pas besoin de l'allumer de cette manière. La sentant bouger pour prendre se que je demande, j'embrasse sa peau longeant son épaule, ma main de libre se posant juste sur sa cuisse alors que je la regarde virer l'emballage en me mordant la lèvre. Come on, comment peut-on à se point être.... bref. Je la laisse faire, ton regard l'observant avec un sourire. Finit la dispute, l'absence de New-York, les cris et tous le reste. Plus aucune pensées pour ça.... Et je sens ses lèvres revenir à moi alors que soupirant ravis ma main sur sa cuisse passe jusqu'à derrière elle la rapprochant de moi virant sa main d'entre nous deux je met peu de temps à remplacer mes doigts par dix fois mieux dans un sourire plus que ravis et satisfait alors que je reviens l'embrasser avec envie dévorante, mes mains chopant ses hanches pour la rapprocher du bord du lavabo pour que ça soit plus pratique. Une main glissant dans sa nuque pour rester contre ses lèvres mon premier coup de bassin me fait sourire contre sa bouche. Ok... elle, elle entièrement, elle m'a manqué.
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| | | | Sam 15 Mar - 19:19 | |
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une fois la capote mise à sa place avec dextérité, camil vient une nouvelle fois emprisonner tes lèvres. tu fermes les yeux, confiante. il te rapproche du bord du lavabo et tu te laisses faire, totalement. a cet instant, tu es à lui, en intégralité. il donne un premier coup de rein rapide et brutal, tu ne peux pas t’empêcher de lâcher un petit gémissement. tu ouvres les yeux et plonges tes yeux dans les siens alors qu’il continue ses va et vient réguliers et vif qui font s’agiter tes sens. ta main droite s’agrippe à ses cheveux alors que ton bras gauche descend lentement jusqu’à ses hanches pour lui indiquer de continuer, encore et plus fort. tu mords sa lèvre, pas trop fort, juste comme il faut. et tu soupires de plaisir. tu caresses ses lèvres avec ta langue avant d’aller embrasser son cou. tu accentues de toi même la cadence des va et vient, tu veux plus, toujours plus, encore plus. tu veux tout. tu veux un feu d’artifice. tu veux le nirvana. merde, c’est la saint valentin, ça sert à ça non ? camil t’as manqué pendant tout son séjour à new york et il est venu te voir directement à son retour, ça mérite une sacrée récompense, ça… tu lèves un peu les jambes pour faciliter l’accès entre tes cuisses, maintenant toujours la cadence, en totale cohésion avec camil.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Sam 15 Mar - 20:09 | |
| Sérieusement à croire qu'elle veut m'arracher les cheveux. Mais rien à foutre sur le coup, tellement rien à foutre alors que ses lèvres restent contre les miennes, avec une fureur que j'aime beaucoup trop. Je grogne en la sentant me mordre légèrement la lèvre, je m'écarte de ses dents sans animosité, revenant l'embrasser à peine une seconde après. Ma langue contre la sienne, je cherche peu à peu mon souffle sans le trouver, sans arrêter pour autant mes coups de reins en elle. Trop bon. Ses mains me pousse à ne pas m'arrêter, à y aller encore plus, je sourie même pas vraiment sur le coup ma main crispé sur sa peau je finis par la lâche pour l'aider à relever une de cette jambe en m'appuyant à son miroir dans son dos, la collant a moi avec un sentiment d'appartenance. C'est la mienne et sérieusement je doute fort qu'elle puisse me remplacer, remplacer ce genre de relation. C'est pas arrogeant, c'est juste... réaliste. On se connait. On sait très bien se satisfaire, comprendre l'autre et savoir de quoi il a besoin. Trop chaud, et je m'en fou, je la soulève légèrement, de toute manière vu son poids plume... continuant de bouger alors que je laisse échapper des soupires de plaisirs, ma main crispé tellement sur sa cuisse qu'elle en laisse sa trace sans même que j'y fasse attention.
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| | | | Sam 15 Mar - 20:21 | |
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les mouvements de va et vient répétés te font recentir à chaque coup plus de plaisir. c’est presqu’indécent. tu voudrais que ça dure toujours. tu fermes les yeux et profites amplement de ce plaisir qui t’envahie jusqu’au fin fond de l’estomac. tu accentues toujours tes mouvements de peur qu’il s’arrête et que la magie se stoppe. non, pas maintenant. tes jambes relevées t’as l’impression que le plaisir et encore plus décuplé. t’as chaud, tu sais même pas si t’es en sueur ou si c’est juste l’eau de la douche. c’est les deux, très certainement. ta main glisse dans le dos de camil, alors que vos deux corps continuent leur danse en parfaite harmonie. tu ne peux pas empêcher ta main de planter ses ongles dans son dos. pas trop, mais un peu quand même, certainement assez pour qu’il le sente. tu pinces les lèvres pour rester silencieuse, te cambrant pour plus de sensations, rejetant ta tête en arrière. merde. des fois tu te demandes si t’as déjà autant pris ton pied avec un autre mec que camil. t’as pas le temps d’y réfléchir là tout de suite. la réponse serait sûrement non. de ta main de libre, tu coinces le menton de camil entre ton pouce et ton index comme pour le forcer à t’embrasser, encore. tu peux pas t’arrêter. tu sens des vagues de plaisir qui te traversent et à chaque fois tu prends sur toi pour ne laisser s’échapper qu’un gémissement. tu l’embrasses à pleine bouche.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Sam 15 Mar - 20:56 | |
| Je sens un coup ses ongles dans mon dos alors que je grogne un peu de douleur quand même. Oh cette fille elle serait capable en une nuit de me marquer le dos de manière outrageuse j'en ai bien confiance. De toute manière en décembre lorsque nous étions ensemble c'était juste insensé comme truc. Et on a jamais vraiment perdu ça, trop de chimie entre nos deux corps c'est pas humain de laisser ce genre de chose éloigné. Et là encore moins alors que je continue, frissonnant par moment entre chaque coup de rein entre ses cuisses. Mes lèvres glissant dans son cou jusqu'à plus bas, je suis forcé de revenir à ses lèvres par sa main, mes dents se refermant sur sa lèvre inférieur je la tire légèrement la lâchant alors juste un temps pour réprimer et taire un son. Bien trop fière pour cela? Pas forcément... lâchant sa jambe pour venir caresser sa main je remonte par son ventre sa poitrine, mes doigts venant se refermer sur ses cheveux alors que je reviens l'embrasser avec ferveur. Continuant dans un rythme beaucoup trop intense pour qu'on y reste encore des heures. C'est ça le problème, les plaisirs le plus intenses, sont toujours les plus court... Mais bordel...
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| | | | Sam 15 Mar - 21:18 | |
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le temps de quelques secondes ton esprit quitte totalement la terre ferme. tu oublies qui tu es et où tu es. tu es sur une autre planète. et tu es ramenée sur terre surprise par l’arrivée de se que tu penses être un orgasme. non pas tout de suite, tu veux profiter encore. tu sens la main de camil dans tes cheveux et ses lèvres dévorer les tiennes avec passion. après tout ça, tu vas avoir les lèvres gonflées pendant deux jours si ça continue. tu veux qu’il continue à prendre du plaisir lui aussi. tu te colles à lui ta poitrine tatouée contre son torse tout aussi tatoué. tu continues tes mouvements prenant appuye dans ton dos avec ta main contre le miroir. tu colles ta joue contre la sienne pour approcher ta bouche de son oreille. tu lui mordilles le lobe. « encore… » tu chuchotes alors doucement à son oreille, avant de rire. tu continues d’appuyer ton corps contre le sien. vos mouvements deviennent un peu plus désordonnée parce que l’effort devient peut-être un peu trop intense. t’as l’impression d’avoir fait du sport pour trois semaines. mais putain ce que c’est bon. les coups de reins contre toi sont toujours aussi puissant et cette fois tu ne peux plus retenir un petit cri. cette fois c’est trop. tu fermes les yeux et accroche tes deux bras autour de son cou pour rester collée à lui et coordonner à nouveau vos mouvements. cette fois l’orgasme que tu as pu retenir un peu plus tôt revient et tu vas péniblement pouvoir le retenir une deuxième fois. tu te mords la lèvres inférieure tellement fort que t’as presque mal. « putain… » tu lâches.
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