Pour Tyler l'été arrivé mais sans plus. Rien de nouveau dans sa vie. Il était toujours strip-teaser, vivait seul, célibataire, se droguer, sa meilleure amie était toujours en France, il ne s'était pas réconcilié avec son père, de toute façon, il ne jugeait pas que son père le méritait, il buvait toujours autant. En gros, pas de nouveau chez Tyler. Par contre son entourage se mettait en couple ou redevenait célibataire, avait de nouveau amis etc... Cela ne faisait très peu de temps que Tyler était à San Francisco mais il avait réussit à ses faire quelque amis, quelque connaissant également mais sans plus. Tyler accordait très peu de confiance aux personnes et quand il l'accordait, ce n'était pas à n'importe qui.

Si Mia n'avait pas demander à Tyler de se voir un parc, il serait resté chez lui, à dormir vu l'heure à laquelle elle avait demander de se voir. Mais les amis passe avant ses heures de sommeils surtout qu'il avait cru comprendre que Mia ne se sentait pas très bien, un peu normale son fiancé était décédé. Elle avait besoin de soutient et elle avait fait appel à Tyler et il tien à ses amis et même s'il devait travailler, il ne travaillerait pas et serait là pour elle. Lorsqu'il entra dans le parc, il vit Mia sur un banc. Effectivement, elle allait vraiment mal. Il posa sa main sur son épaule pour ne pas l'effrayer en lui montrant sa présence. Elle se retourna vers lui et il vit ses yeux rouge. Il s'assit à côté d'elle et la prit dans ses bras sans rien dire. De toute manière, que pouvait-il lui dire ? Qu'il était désolé ? Combien de personne lui en dit cela ? Et combien de personne le pensait réellement ? Tyler le pensait mais Mia pourrait se doutait qu'il ne le pense pas car beaucoup de personne le lui à dit. Mais il pouvait lui dire qu'il était là pour elle, mais pour parler il préférait attendre qu'elle se calme.

Mia s'éloigna des bras de Tyler, celui-ci la regardant et vu ses yeux vraiment rouges. Comment la vie pouvait être si cruelle avec des personnes qui n'en valait pas la peine. Dans sa jeunesse, Tyler n'avait rien fait de mal pour qu'on lui enlève sa mère dès sa naissance et que son père le batte. Et il était sûr que Mia n'avait rien fait de mal pour qu'elle perde son fiancé. "Tu n'as pas t'excusé. Tout le monde faiblit dans se genre de moment." Quand il était jeune, Tyler était très faible, puisqu'il se laissait faire, il aimait tellement son père. Mais après il avait comprit que l'amour d'un père n'était pas en frappant son fils. A partir de ce moment, il a arrêté d'être faible, de pleurer pour ce qu'il n'en valait pas la peine. Mais peut-être que Mia n'avait pas l'habitude qu'on la fasse souffrir ainsi, alors il était normale qu'elle craque. "Et de rien. C'est normale. J'aurais peut-être du t'apporter un chocolat de chez Starbucks." Les chocolats de Starbucks remonte toujours le morale. Enfin pour Tyler en tout cas. Son bras était sur le dos du bans, derrière Mia. Il se mit à tripoter les pointes des cheveux de son amie. Il adorait jouer avec les cheveux des filles, il ignorait pourquoi.

N'empêche que Tyler ne savait pas vraiment comment se comporter avec des personnes qui ont perdu quelqu'un. Il fallait peut-être qu'elle pense à autre chose. Pas oublier car c'est impossible d'oublier ce genre de chose, mais au moins lui faire penser à quelque chose d'autre, la faire sourire, tout faire pour qu'elle aille mieux en tout cas. Il tenta de lui faire une petit sourire, timide, mais sincère, pour lui montrer qu'il était là pour elle. C'est alors qu'ils entendirent la célèbre mélodie du marchand de glace. Mia l'avait également entendu puis qu'elle tendit de l'argent à Tyler, mais celui-ci refusa de le prendre. "Si tu veux que je me fasse pardonne, laisse-moi te l'offrir." Après ces mots, il se leva du banc, sans prendre l'argent, il restera toujours têtu, sale caractère de cochon aurait dit sa meilleure amie. Il arriva devant le marchand de glace, qu'il trouva mignon au passage et demanda une glace à la vanille et une glace au chocolat avec un sourire timide. Tyler avait assez d'argent pour offrir une glace et s'en payer une alors pourquoi prendre l'argent de Mia, surtout qu'au passage il voulait lui offrir un chocolat. Le marchand était jeune, surement le fils du gérant, ou quelque chose comme ça. Le marchand lui donna les glaces, Tyler paya puis retourna voir Mia. "Et voilà pour toi." Lui dit-il en lui tendant la glace à la vanille. Lorsqu'elle prit la glace, Tyler s'assit à côté d'elle. Les glaces pouvaient aussi remonter le morale.

Il se mit à déguster sa glace au chocolat. "Tu n'as pas à me remercier, prend sa comme un cadeau." Le cadeau le plus cher qu'il lui ai offert dans ces cas là. Il n'avait pas pour habitude de manger des glaces, c'est pourquoi en la mangeant il se rappela de ses souvenirs de quand il était jeune et qu'il en dévorait (ou en volé) avec sa meilleure amie. Elle lui manquait en ce moment. Il aurait voulu que se soit avec sa meilleure amie avec qui il déguste cette glace. Et les connaissant, il s'en serait mit partout, parce qu'ils ne peuvent jamais être sérieux. Tyler détestait ses moments où il ressentait le manque de sa meilleure amie, car c'était de sa faute si elle est encore en France, il l'avait abandonné là-bas. Tyler était tellement dans ses pensés qu'il n'avait pas vraiment fait attention à ce que Mia lui avait dit. Il aurait du. C'était son ami et elle allait mal. Mais c'était les lèvres de la femme qui lui fit sortir de ses pensé. Ils reculèrent leur tête en même temps. Il l’interrogea du regard sauf que celle-ci lui fuyait du regard. Puis il eu une petite supposition du pourquoi elle avait fait cela, en espérant que ce soit ça. Et même pour l'histoire d'un mini baiser, un baiser chaste même, Tyler continuera à être là pour elle. "Non, ce n'est pas grave. Ton fiancé te manque, l'affection te manque. Et ça peut être ta façon de me remercier d'être là. Et moi je te répond "De rien Mia, je serais toujours là pour toi." " Il prenait bien le faite que Mia l'avait chastement embrasser. Elle allait déjà assez mal comme ça, s'il se mettait en lui en vouloir, elle n'allait plus s'en sortir.