Damien Ethan Bardford ☮ Living young, wild and free

Invité · Mer 25 Jan - 13:14

BRADFORD Damien Ethan

Il vaut mieux gâcher sa jeunesse que
de n’en rien faire du tout.

Francisco Lachowski

Je m'appelle Damien Ethan Bradford et j'ai 21 ans. Je suis
hétérosexuel, célibataire et né(e) à New York en Amérique, le 16 août 1992. .

Entreprenant ★ Animé ★ Charmant ★ Attractif ★ qualité ★ Audacieux ★ Sportif ★ Protecteur ★ Optimiste ★ Sexy yeah!

Capricieux ★ Impulsif ★ Joueur ★ Paresseux ★ Jaloux ★ Lunatique ★ Têtu ★ Maladroit ★ Impatient ★ Arrogan

pseudo :
âge : 21 yo.
sexe : Masculin.
nationalité : Américaine.
activité : 6/7

commentaire : Je commence à aimer ce fofo 34242

avatar : Le magnifique, sublime, fascinant, merveilleux, sexy, (ok j'm'arrête ^.^) Francisco Lachowki.
groupe : Sex.
scénario ou PI : PI.
code du règlement : OK [nat]

Pour nous aider avec le bottin:

Code:: [size=12][color=crimson]★ [/color][font=Georgia]Francisco Lachowski[/font] | [/size] [font=arial][size=9]Damien E. Bradford[/size][/font]

Invité · Mer 25 Jan - 13:15

My Story

Baby show me, show me, what's your favourite trick that you wanna use on me

Les rayons du soleil se faufilaient à travers le rideau, sur le drap de Damien. Bien qu'il soit un réveille-tard, une attitude manifeste pour un indolent comme lui, ce jour là, il se réveilla tôt. Sans aucun doute parce que, après deux belles années à San Francisco, il ne s'était pas encore habitué à la présence de femmes dans son lit. Dérangé, il jeta un coup d'oeil à la brune étendue à ses côtés, ne comprenant toujours pourquoi cette dernière et les autres femmes de sa classe prenaient la peine de passer toute la nuit chez lui, alors qu'il avait éclairci ses avidités; il ne voulait qu'un petit moment d'amusement, de sensualité. Et une fois la tâche faite, sa partenaire devrait quitter son appartement. Mais fréquemment, le dessein de quelques unes s'éloignait trop de la réalité, concevant que le jeune homme désirait de s'impliquer dans ce qu'on appelle une relation. Anyway, si elles s'attendaient à un petit déjeuner romantique, un discours d'amour, une rose rouge ou n'importe quelle futilité qu'on voyait dans les films d'amour, alors nos chères amies risquaient d'être inassouvies. D'un soupir exagéré, Damien ferma les yeux, ne se souciant plus de la présence de la jeune femme. Mais du "5 appels en absence" marqué sur son appel. Mais quand son maudit de père allait capituler? Les actes du jeune homme étaient très intelligibles. Il n'allait pas rentrer. Point final.

Flashback:
Les doigts courent sur le clavier: gammes, touches clanches, touches noires, arpèges. Les doigts s'écartent: accord. Les cordes vibrent, dissonance. Faux. Erreur d'accord. Les doigts tentent à nouveau, s'écartent. Nouvelle cacophonie. La brutalité de l'erreur. Mon coeur bat comme un fou, mes mains sont moites. Déstructuration. Je suis engagé, acteur, dans une comédie dont j'ignore autant le texte que l'issue. Il me voulait à ses côtés. Il me voulait, moi son petit garçon, qui pourtant, avait dix-neuf ans. Il m'efforçait d'être son pianiste, son sage enfant, que je n'étais pas. Je me souviens bien de la première fois où il s'est montré autoritaire contre moi. J'avais à peine dix ans. Il usait de la force, m’astreignant à être quelqu'un que je ne voulais pas. A être acteur dans sa comédie de vie parfaite. De richesse, d'activités matérielles, de perfection. Certes, je regimbais. Contradictoire? certainement. Mais il fallait qu'il apprenne à me pardonner. Après tout, ce n'est pas de ma mère que j'ai hérité mon sale caractère. J'avais beau pensé à s'enfuir des milliers de fois. Et je le fais derechef, maintenant. Je me trouve confronté à ces deux sentiment opposés, s’embrassant comme des frères ennemis. Un, la gloire de la liberté. Deux, la peur. Je l'avoue. Je suis un peu attaché au monde de mon père. Ce monde où il me protège. Et pourtant, je veux explorer le vrai monde moi, et je m'en fiche de ses dangers. Je tourne depuis plus d'une heure, j'ai laissé ouvert mon piano mais je ne peux jouer. Il me faut jouer ma vie. Comment lui écrire cette lettre? lui dire que je m'en vais, pour toujours? lui dire que j'applique mon plan, que je quitte New York pour aller à San Francisco? Après des heures d'hésitation, d'angoisse, je le fis.

I don't want another pretty face, i don't want juste anyone to hold, I want you and your beautiful soul.

Elle était assis en face de lui dans un silence de mort, ils n'avaient pas besoin de mots pour se sentir bien ensemble. Il admirait ses belles prunelles en se disant que jamais il n'avait vu un bleu aussi magnifique mais, que le regard de la belle demoiselle perdait toute sa beauté en comparaison au magnifique sourire qu'elle abordait. Il était amoureux de son sourire, de ce petit signe qui lui montrait qu'elle était bien, qu'elle était heureuse et quand elle était à ses côtés, ce sourire ne la quittait jamais. Calliopée, jamais Damien n'aurait pu prétendre avoir le droit de connaître une femme telle qu'elle, elle était sa meilleure amie et il était bien incapable de passer d'elle. Il la connaissait depuis qu'il avait atteint ses dix ans et il en avait à présent dix-neuf. En définitive, cela faisait neuf ans qu'il était amoureuse d'elle sans jamais oser lui parler d'amour. D'un côté, parce qu'il avait peur de briser cette amitié si magique qu'il y avait entre eux. Il refusait de prendre le risque de ne plus poser délicatement ses mains sur les hanches de la blondinette avant de coller ses lèvres sur son cou pour y déposer un baiser qui faisait frissonner Calliopée. Si il venait perdre celle qui le faisait sourire jour et nuit, il ne s'en remettrait pas. D'un autre côté, il ne voulait s'impliquer dans une relation amoureuse. Et si un jour, il allait le faire, il savait que la personne la moins convenable était Calliopée. Elle était joueuse, très même. Autant qu'il l'aimait, il la haïssait quand elle est avec d'autres mecs, quand elle venait chez lui alors qu'elle savait qu'un autre fille est dans ses draps, place qui devait être la sienne normalement, quand elle draguait ses copains pour arriver à ses fins. Ce qui le blessait le plus? Et qu'il savait, que lui aussi était comme elle. Il était jeune. Il passait ses nuits avec d'autres filles. Il n'avait pas le doit d'agir quand il la trouvait dans les bras de quelqu'un d'autres. Alors, il avait fermé à double tour la porte de son coeur et jeté la clé dans le ravin le plus profond qu'il avait trouvé afin de taire cet amour qui lui semblait impossible.

« Eh au fait avec Jonathan ? » La jeune demoiselle cligna des yeux, il l'avait totalement sorti de ses pensées et elle ne s'était pas attendue à ce qu'il l'interroge à ce sujet si bien que sa bouche avait pris la forme d'un "o" l'espace d'une fraction de seconde. Jonathan, c'était le meilleur ami de Damien et il en pinçait pour la jolie blonde sans savoir que cette dernière n'avait d'yeux que pour le beau jeune homme qui se tenait à ses côtés, bien qu'elle même ne se rendait pas compte de ce fait. « Oh euh... il est sympa... » Elle ne savait pas vraiment ce qu'elle pouvait lui dire parce qu'elle avait horreur de parler d'amour et qu'il s'il insistait elle allait finir par lui dire qu'elle ne ressentait rien pour Jonathan parce que c'était lui qui hantait ses jours et ses nuits. Et comme ça, elle gâchera tout. Il n'était pas question qu'elle lui dise ça. Point barre. Damien la dévorait des yeux, quand allait-il s'habituer à sa magnificence? S'il continuait lui aussi comme ça, lui aussi allait lui avouer un jour qu'il était amoureux d'elle depuis qu'elle lui avait demandé un stylo, il y a neuf ans et il n'avait pas le droit de dire ça. Il n'avait pas le droit d'être aussi faible et de tout foutre en l'air. Il ne pouvait pas être aussi égoïste, sachant que ça ne fera que compliquer les choses. « Il est sympa mais... ». Il s'était rapproché d'elle afin de la prendre dans ses bras et caresser ses cheveux, il n'aimait pas forcer la confidence mais, en voyant la bouille de son amie et surtout en voyant son petit sourire qu'il aimait tant disparaître il n'avait pas pu s'empêcher de s'inquiéter, il voulait savoir ce qui n'allait pas. « Rien, enfin, je veux dire tu me connais. J'ai pas envie d'une relation, on a dix-neuf ans, on ets encore jeune, on va pas se prendre la tête avec un truc aussi compliqué que l'amour quand même ? J'ai pas envie de m'engager. » Damien sera la belle contre lui, déposant un doux baiser dans crinière blonde, soulagé de la réponse de la jeune fille. Apparemment, les deux partageait le même point de vue.

Damien avait toujours vu Calliopée comme une meilleure amie, elle était celle à qui il pouvait tout confier. Il la connaissait par coeur et il pouvait tout faire, tout partager avec elle. La blondinette était différente de toutes les filles qu'ils connaissaient et elle surpassait chacune des femmes qui avait une place dans sa vie. Elle était plus importante que n'importe qui et par conséquent, elle avait une grande importance dans sa vie. Depuis peu, il était incapable d'être heureux s'il ne la voyait pas au moins une fois dans la journée. Mais, depuis peu il avait surtout réalisé a quel point elle était magnifique aussi bien physiquement que mentalement, il avait remarqué à quel point elle ensoleillait sa vie quand il apercevait la joie au fond de ses yeux et il avait pris conscience qu'il voyait son sourire à chaque fois qu'il fermait les yeux. Il était amoureux de sa meilleure amie. Mais il se battait, chaque jour, en compagnie d'une autre femme, pour le nier.