✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
Lun 15 Avr - 23:28
par hasard tu s'rais pas amnésique d'hier...
15 Avril, 08h” Belle soirée. Longue nuit. " Je t'aime. je t'aime.je t'aime. je t'aime." Phrase incessante qui me revenait en tête depuis quatre heures du matin. Heure à laquelle Dante nous avait déposé chez Sierra avant d'aller ramener Joshua chez lui. Soirée superbe, entre "mecs". Alors qu'on avait finit la soirée sur un parking avec un addy de course à en fixer un autre à l'envers sur le premier et à essayer d'enfermer Sierra entre les deux et me poser au dessus puis le faire rouler. Gros n'importe quoi. Alcool, rire.. Et pensée. Mon téléphone indiquant à peine sept heure je soupire. De toute manière je pourrais pas dormir ici plus longtemps, j'ai l'impression d'être exilé de mon appartement. Et je ne fais que repenser à hier soir. Mais putain sérieusement pourquoi elle est venu s'excuser aussi ?! Non mais pourquoi j'ai accepté de parler de ça avec elle alors que je marchais sur le trottoir avec Dante en déconnant. Trop de déconnade poussent à sortir des conneries. Mais alors ce genre de connerie... Allez hop debout. J'enfile mes baskets sortant de l'appartement de Sierra sans bruit, elle s'en inquiétera pas. Et je file donc sur la route, m'allumant une clope puis un truc un peu plus décontractant histoire d'arriver à l'appartement et de me poser dans mon lit pour mieux dormir. Ou essayer. Et j'y arrive enfin à l'appartement, ouvrant doucement alors que Harvard arrive en remuant la queue et que je l'expédie sur le canapé en le faisant taire, allant fermer la porte de la chambre de Nikita pour pas que le chien la réveille dans la mâtiné. JE longe le couloir allant ensuite dans ma chambre, ne m'aventurant pas dans celle de ma copine. Les rideaux toujours tiré, je pousse la porte donc virant mon jean et mon pull pour aller me poser dans mon lit m'allonger surle ventre sur le bord du lit alors que je m'allume une clope dos à la porte fermant à moitié les yeux. Pas penser.”
J’avais le don de me foutre dans des histoires impossible. Etait-ce un don ? J’en savais rien, mais ça y ressemblait. J’étais là dans mon lit sans dormir depuis… depuis quand je n’avais pas fermé l’œil ? Depuis dimanche soir au moins. Depuis que j’avais appris qu’Eliott fréquentait Ambre. Comment une chose pareille pouvait être possible ? Je ne l’avais pas vu venir et pourtant… j’aurais du me douter. Le grand plaisir dans la vie d’Ambre c’était de me pourrir la vie, quoi de mieux que de se mettre à jouer avec Eliott.. ? J’étais dégoutée d’elle, dégoutée de lui. J’avais l’impression de n’être plus rien d’autre qu’un amas de vide. Je me trainais et j’espérais secrètement que tout le monde me laisse tomber et me laisser apprécier ma chute inévitable. J’avais l’impression de tomber dans un puits sans fond. Et à chaque fois que l’atterrissage semblait proche, quelque chose le retardait… En fin de soirée, ça avait été Eliott et Ambre qui avait officialisés. J’avais pris mon courage à deux mains, et j’avais vaguement essayé de remonter la pente au lieu de vomir mes trippes. J’étais consciente que j’étais devenue exécrable auprès de toutes les personnes qui me côtoyaient. Principalement avec Camil, qui n’avait rien demandé à personne. Encore une fois, j’étais incapable d’avoir une relation saine avec quelqu’un. Camil ne méritait pas de subir ma mauvaise humeur. J’avais donc entrepris de m’excuser pour mon mauvais caractère. Je voulais le rassurer. Lui dire que je n’étais pas jalouse qu’Eliott ait quelqu’un, non, j’étais en colère que ce soit Ambre. En colère de voir à quel point ils étaient irrespectueux. J’avais pris mon courage par la main et je m’étais excusée auprès de mon petit-ami. Ce qui aurait très bien pu se terminer comme ça avait dérapé. « Je t’aime ». Ces quelques mots gravés dans mon cerveau, qui apparaissaient dès que je fermais les yeux pour tenter vainement de m’endormir. Ils me narguaient et me faisaient comprendre à quel point j’étais pathétique de n’avoir répondu rien d’autre que « D’accord ». J’étais cruelle. J’avais laissé mon portable à l’appartement et j’avais filé retrouver Sofya comme c’était prévu, pour passer la soirée avec elle. Elle avait bien vu que quelque chose clochait. Mais je n’avais pas réussi à lui expliquer. Pas réussi à lui dire ce que m’avait avoué Camil et ce que j’avais pitoyablement répondu. J’avais laissé passer les heures et les verres d’alcool, avant de rentrer tard dans la nuit, tôt le matin selon le point de vue. J’avais jeté un œil dans la chambre de Camil, il n’était pas là. J’étais partie m’allonger dans mon lit, sans pouvoir fermer l’œil. Vers huit heures du matin, j’entendis du bruit, signe que quelqu’un rentrait dans l’appartement. Je tendais l’oreille, attendant de voir si Camil allait venir dans ma chambre. Mais non. Je fermais les yeux en lâchant un soupire. La situation était critique. Je me frottais le visage avant de m’asseoir au bord de mon lit. Je réfléchissais quelques minutes. Aller le voir ? Et lui dire quoi ? Je n’avais pas la moindre idée de ce qu’il fallait que je lui dise. Je t’aime ? J’en étais totalement incapable. Jamais je ne pourrais, je le savais très bien. Je me levais d’un sursaut et me dirigeais vers la chambre de mon petit-ami. Je poussais la porte de sa chambre, et m’appuyais dans le cadre de la porte. « Je peux rentrer ? »
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Mar 16 Avr - 20:15
par hasard tu s'rais pas amnésique d'hier...
15 Avril, 08h” Les secondes glissant doucement je fume en silence, à moitié endormit, le geste de porter ma clope à mes lèvres étant trop habituel pour que j'ai réellement besoin d'y songer. Et puis j'ai peut-être un peu chargé mon joint de tout à l'heure vu l'état tout calme de mon cerveau. Mais ça ne me dérange pas du tout. Bien au contraire même ça me permet de rester bien calme et posé sur mon lit, en n'essayant pas de trop repenser à hier soir. Même si je n'y arrive pas vraiment. Non mais quel crétin. J'ai beau réfléchir depuis hier, j'arrive pas à trouver pourquoi j'ai dis ça. Non pas que je ne l'aime pas, loin de là ça je sais. Mais, le lui dire... Sérieusement je sais même pas si je le pense. Enfin pas comme je l'ai dit. Je sais pas. Je l'ai dis comme ça, comme je le dis à Nikita quand elle va pas bien. je crois. Et que je m'inquiète un peu pour Charlotte quand même, et pour nous, enfin nous deux. Mais quand je l'ai marqué j'ai vu que les mots dans cette conversation avec Charlotte c'était différant. Très très différant. Du genre différant à te sentir vraiment vraiment très con. Encore plus quand ta copine mais plus de cinq minutes à répondre une réponse... encore plus merdique.
Perdu dans mes pensées, je sombre peu à peu sans vraiment trouver le sommeil, n'y arrivant pas plus que chez Sierra en fait. Et je reste donc ainsi le temps filant sans que je sache ni ne regarde les minutes défiler. Un frottement cependant me fait un peu dériver de cela, sa voix aussi. Je peux rentrer ? Affirmation qu'elle est donc rentrée. Sans doute avant moi sinon j'aurais entendu de loin la porte d'entrée de l'appartement. Ouai, bien sur... Je répond lentement alors que je reporte ma clope à mes lèvres me tournant doucement sur le dos, expirant la fumée vers mon plafond alors que j'ouvre à peine les yeux. Trouver un truc à dire... Alors ta soirée ? ”
Tout en me dirigeant vers la chambre de Camil, j’essayais de réfléchir rapidement à ce que j’allais bien pouvoir dire. Comment faire pour arranger les choses ? Parce que bien sur je voulais arranger les choses entre nous. Je tenais à lui, j’avais des sentiments pour lui, même si j’étais incapable de le dire. J’étais bien avec lui, je n’avais aucune envie de laisser ça. Même si je le montrais mal, j’en étais totalement consciente… Debout de l’embrasure de la porte de sa chambre, j’attendais son autorisation avant de le rejoindre. « Ouai, bien sur... » Je me redressais et venais m’asseoir à coté de Camil allongé, fixant le plafond. J’attrapais son paquet de cigarette et en coinçais une dans ma bouche, cherchant le briquet des yeux pour l’allumer. « Alors ta soirée ? » Je hochais la tête, positivement. J’avais passé une bonne soirée, quoi qu’il en soit, c’était certain. Je trouvais alors le briquet, juste à coté de la main de Camil, je l’attrapais et allumais ma cigarette. Seulement après, je le fixais pour la première fois depuis que j’étais entrée dans sa chambre. « Bien… et la tienne ? » lançais-je à mon tour. Sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, j’enchainais. « Ecoute… je pense qu’on devrait parler… de hier soir. J’ai pas envie qu’on reste comme ça… » Je m’allongeais alors à ses cotés, en fixant le plafond à mon tour. Je tirais sur ma cigarette, machinalement. C’était l’heure. L’heure de tout dire. « J’ai du mal à dire… les choses. Enfin, je sais pas faire… C’est pas mon truc. Je détruis tout. Dès que je suis bien avec quelqu’un, je trouve toujours une excuse pour tout foutre en l’air. C’est plus fort que moi, ça me terrifie. Alors… toi, tu mérites pas ça. Ce que tu m’as dit… ça me fait plaisir, je te jure. Mais je sais pas le dire. Je peux pas… ça veut pas dire que je le pense pas… Je suis vraiment bien avec toi, je te le promets. Mais je peux pas le dire. Laisse-moi un peu de temps. Et m’en veux pas… »
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Mar 16 Avr - 21:05
par hasard tu s'rais pas amnésique d'hier...
15 Avril, 08h” Laissant donc Charlotte entrer dans ma chambre, je sens un peu mon matela bouger me doutant qu'elle vient de s'y poser alors que je reste ainsi allongé les yeux clos la laissant faire se dont elle a envie. J'essaye de lancer la conversation, essayer d'enterrer un peu l'histoire d'hier. Bien… et la tienne ? Je l'entend allumer mon briquet et je devine son geste alors que je porte ma cigarette à mes lèvres une énième fois restant juste une demie secondes silencieux alors que j'écarte ensuite ce "bâton" de ma bouche. Ouai... ça va. Je rétorque alors en songeant à la soirées et aux fous rire que l'on s'est tapé avec les gars et Sierra. Et aux bleus que j'ai disant sur le dos, les flans, les jambes et que même mon corps recouvert de tatouage laisse apercevoir. Ecoute… je pense qu’on devrait parler… de hier soir. J’ai pas envie qu’on reste comme ça… Et merde ! L'espoir fut e courte duré. Je me tend très légèrement, alors que je la sens se poser à côté de moi, sans doute s'allonger. Je dis rien, je la laisse parler, de toute manière c'est une fille. Elle veut discuter, elle a un truc à dire, elle le dira. Pas la peine de rajouter du blabla entre le moment "t". J’ai du mal à dire… les choses. Enfin, je sais pas faire… C’est pas mon truc. Je détruis tout. Dès que je suis bien avec quelqu’un, je trouve toujours une excuse pour tout foutre en l’air. C’est plus fort que moi, ça me terrifie. Alors… toi, tu mérites pas ça. Ce que tu m’as dit… ça me fait plaisir, je te jure. Mais je sais pas le dire. Je peux pas… ça veut pas dire que je le pense pas… Je suis vraiment bien avec toi, je te le promets. Mais je peux pas le dire. Laisse-moi un peu de temps. Et m’en veux pas… Je l'écoute en silence, restant immobile sur le matelas alors que je fume sans un mot. Ok, merci de retourner le couteau dans la plaie. Je m'étonne alors de me rendre compte qu'il y a quelques temps j'aurais sortit le même discourt à quelqu'un qui m'aurait dit ça. Faux. Je l'ai sortit, pas mot pour mot, mais en gros ça voulait dire pareil. Et maintenant on me le dit, douce ironie, non ?! J'hésite entre l'émasculation ou la castration psychologique... Ma voix brise le silence qui venait de s'installer après la tirade de Charlotte alors que je finis par ouvrir les yeux et soupirer. Bon allez maintenant faut assumer, comme un grand. Je me tourne sur le côté pour l'observer me penchant par dessus elle pour attraper mon cendrier et le poser entre nous deux avant de me remettre à ma place la fixant un instant avec sérieux. Me doutant aussi que je vais pas vraiment réussir à sortir de ça avec une pirouette. Je vais pas t'en vouloir... c'est ma faute. C'était ni le moment, ni le "moyen" de dire... ça. Je vais pas dire que je le pensais pas, ça sera blessant pour toi et assez faux.... mais... Je soupire en écrasant ma clope dans le cendrier en reprenant une autre pour m'occuper la main. C'était pas le moment. Voila. en gros... Ouai bon j'ai zappé la moitié de se que je voulais dire mais y'a pas de réponse type pour ce genre de situation. ”
Eliott avait été la relation la plus sérieuse que je n’avais jamais eu. Alors forcément, il m’avait été pendant un long moment impossible de m’imaginer avec quelqu’un d’autre que lui. mais Camil avait su me convaincre. Il avait su m’apprivoiser ce qui restait un exploit quand on me connaissait. Je m’étais surprise à être bien avec lui, malgré le fait que je restais incapable de m’exprimer sur mes sentiments. Ce n’était pas nouveau en soi, j’avais déjà toujours eu du mal avec Eliott… Malheureusement, ça n’avait fait qu’empirer. Et le fait de le savoir avec ma demi-sœur laissait comme une lame enfoncée dans mon cœur, parce qu’ils cherchaient clairement à me faire du mal, tous les deux. Et qu’ils y arrivaient, bien entendu. J’étais consciente que cette situation devait être des plus dérangeantes pour Camil. Se retrouver au milieu de ce carnage alors qu’il n’avait rien demandé à personne… C’était la raison pour laquelle j’avais choisi de m’excuser auprès de lui et que je voulais rattraper les erreurs que j’avais déjà commis depuis le début de notre relation… Bien évidemment, les choses n’étaient jamais aussi simples. Et quelques mots avaient tout changé… Ces quelques mots qu’il avait prononcés et qui m’avait laissé dans le désarroi. Allongée à coté de Camil, j’avais lâché tout ce que j’avais à dire, tout ce qui devait être dit d’après moi, pour arranger les choses entre nous deux. Parce que c’était ce que je voulais. « J'hésite entre l'émasculation ou la castration psychologique... » Je restais sans rien dire, me mordant la lèvre inférieure. Camil se tourna vers moi et je basculais ma tête de son coté pour le regarder dans les yeux, attendant la suite. « Je vais pas t'en vouloir... c'est ma faute. C'était ni le moment, ni le "moyen" de dire... ça. Je vais pas dire que je le pensais pas, ça sera blessant pour toi et assez faux.... mais... C'était pas le moment. Voila. en gros... » Je restais une nouvelle fois silencieuse. La situation était délicate, quoi que je puisse dire pour arranger les choses. Quoi que lui comme moi puissions faire… Je posais ma main dans la nuque, le caressant avec mon pouce. « Je suis désolée pour tout ça, tout ce… bordel… Je te promets. » lançais-je. Je m’approchais de lui et plaquais mes lèvres contre les siennes en fermant les yeux. Avant de m’asseoir à califourchon sur lui, lui souriant.
✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
Sam 20 Avr - 18:42
par hasard tu s'rais pas amnésique d'hier...
15 Avril, 08h10” Bon, niveau handicapé des sentiment on formait une bonne équipe. Je crois même la meilleure. En même temps commencer une relation en couchant ensemble après des shoot de tequila, suite à des ruptures difficile c'était pas génial. Enfin nous l'avions su qu'après qu'on était tout le deux égaux sur ce point là aussi. Les couples. Elle, revenu de je ne sais où et laissé de côté par son ex, moi délaissé de côté par mon ex partit en épouser une autre après trois semaines de séparation. Des handicapé des sentiments. Et encore c'est vite dit, au moins j'avais une vague idée de la vie sentimentale de Charlotte, son ex état plutôt sympathique et le reste, disons que oui c'est le genre de fillea évité, peut-être, mais moi je l'aime bien. Et ça me fait pas peur tout ce passé. Alors qu'elle... elle ne connait rien, de mon passé, de la persone derrière qui elle passe, des ex et autres. Faut dire qu'elle a pas la chance de fréquenter beaucoup de mes anciens amis, beaucoup de gens je les ai rencontré ici en arrivant. Quant à Dante, elle ne le fréquente que de loin, et je le connais assez pour ne pas aller se vanter qu'il y a quinze jours on s'envoyait en l'air dans le vol direction Sydney -pas dans celui de retour car à ce moment là j'avais arrêté le sexe avec lui parce que ça emmerdait Alex. Oui Alex qui lui couchait avec sa copine et avec moi. Vie compliqué, et donc quand elle me parle de son passé, je me dis que je ne suis pas le mieux placé pour jugé.
Par contre je suis le champion pour lancer une bombe juste après une réconciliation, et foutre un malaise pas possible. Même pas l'excuse d'avoir été bourré à ce moment là. non. Néanmoins j'essaye de relativiser, en me disant que c'est rien que c'était qu'une erreur de parcourt, de prononciation -enfin d'écriture. Et puis elle semble assez mal à l'aie pour avoir elle aussi envie d'enterrer ça. Sentant sa main sur ma peau, je l'observe un temps finissant par me taire en continuant de penser qu'on est sacrément pas les plus facile en couple, on se complique toujours la tâche. Mais c'est sympa, avec elle au moins, pas de crise, pas de hurlement. Des prises de têtes, des disputes, de bouderies, mais ça ne fait que renforcer les réconciliations. Après les montagnes russes nommées Alex, la simplicité et le calme "mouvementé" de Charlotte ressemble beaucoup à un paradis de stabilité. Je suis désolée pour tout ça, tout ce… bordel… Je te promets. Ses lèvres m'empêche de répondre et je l'embrasse en retour doucement, un peu apaisé faut dire par sa présence et ses paroles. T'inquiètes j'suis un as pour attiré et créer le bordel t'es pas la seule responsable. Je glisse doucement en m'écartant à peine de ses lèvres, alors que je finis par la sentir bouger, fronçant un sourcil avec un sourire qui s'installe lentement sur mes lèvres en la voyant sourire au dessus de moi. Je suis désolé... pour hier soir... vraiment. Je répond cependant voulant vraiment tiré un trait là dessus.”