J'étais seule chez moi, je venais de rentrer du studio et j'étais lessivée par l'émission mais je n'avais aucune envie de dormir tout de suite, j'avais l'impression de ne jamais profité de mes journées, hormis quand j'avais ses soirées mondaines, mais je considérais ça comme faisant partie de mon travail, donc ce n'était pas vraiment de la détente. Je m'asseyais sur mon canapé, Finn à mes pieds comme toujours. Ah mon chien, c'était l'amour de ma vie cette bête. Il ne me quittait jamais. Je tendis la main pour le caresser tendrement tout en cherchant ce que je pourrais faire sachant qu'il était plutôt tard et puis surtout, je cherchais qui joindre pour ne pas être seule, car être seule, ça crains un max ! Je jouais avec mon téléphone dernier crie, et faisais défiler mes contactes les uns après les autres jusqu'à ce que je trouve la personne idéale pour embellir ma soirée et me faire passer un bon, très bon moment. Isys, sexy comme il n'était pas permis de l'être, déesse parmi les humains. Rien que de la voir, cela me rendait toute chose et le meilleur dans tout ça, c'est que quelque part, elle était à moi. Bien sur c'était pas prise de tête, même si lorsque je la voyais avec une ou un autre, j'avais comment dire, du mal à me contenir. Elle était belle à damner un saint, intelligente, marrante, elle avait tout pour elle cette fille. Je l'avais rencontrer dans le cadre de mon travail, et depuis notre relation n'avait cesser de nous surprendre, autant elle que moi. Je souris, et lui envoyais un message. « A l'endroit habituel, dans 1h. Fait toi belle ma Déesse … » Elle saurait quoi faire et ou aller. Je posais mon portable sur la table basse, n'ayant aucunement besoin de sa confirmation. Je savais qu'elle viendrait, elle venait toujours. Je filais dans la salle de bain me préparer pour mon rendez-vous improviser. Je quittais mes habits et entrais dans la douche après avoir régler l'eau à bonne température. J'avais vraiment hâte de la rejoindre, elle m'avait manqué, sans même que je m'en rende compte. Je laissais l'eau détendre mes muscles, et me détendre moi aussi par la même occasion. On pourrait penser qu'être présentatrice c'était du tout cuit, mais non, bien au contraire. Après 15 minutes de douche, je quittais la cabine et m'enroulais dans une grande serviette et allais jusqu'à ma chambre pour choisir soigneusement ce que j'allais mettre. Je voulais lui plaire, qu'elle me trouve sexy, belle, désirable aussi, surement. Je sortais des sous-vêtements de première classe, et enfilais une robe noir courte et qui me mettais en valeur, comme chaque vêtements que je portais. Je mettais une touche de rouge à lèvres, du mascara, et me saisissais au passage de mon gilet. Je retournais dans le salon, attrapais mes clefs, voiture et maison, et quittais l'appartement, impatiente. Je roulais jusqu'au Palace Hotel. Je marchais jusqu'à la réception et saluais l'homme au comptoir qui me connaissais si bien qu'il me donna directement les clefs de la chambre. Je lui souris et montais dans la chambre. Je l'ouvrais, et refermais la porte derrière moi. Je souris tout en allant déposer la clefs sur la commode avant d'enlever mon gilet, et me rendre encore plus sexy que je ne l'étais en attendant mon invitée.

Vous savez, parfois, on ressens juste des trucs qui ne s'explique pas pour une personne mais, bon dieu, que ce que l'on ressentait été puissant et tellement grisant. On se sentait juste bien, rien d'autre. Et avec ma Déesse, c'était ça, on pouvait faire n'importe quoi, tu moment que l'on était ensemble, c'était magique, vraiment. On savait aussi bien l'une que l'autre que ce n'était pas sérieux entre nous, que l'on prenait juste du bon temps, mais cela ne nous empêchait pas de nous appréciait plus que de raison et de passait du bon temps ensemble dès que nous le pouvions, notamment en venant ici, au Palace Hotel, juste elle et moi. Je me regardais dans la glace une dernière fois, et souris en voyant mon reflet. J'étais parfaite et je savais que je lui plairais, c'était ça qui me rendais parfaite. Attendre que ma déesse arrive c'était le plus dure, l'attente faisait frétillait mon corps et tout mon être. Je voulais la voir, vraiment. J'allais m'asseoir sur le lit, allumant la télé pour l'attendre, avec un peu de chance, je verrais une des pubs dans laquelle elle joue, ce qui m'aiderait à l'attendre. Je jetais un oeil sur l'horloge : elle ne devrait plus tarder, et c'était tant mieux. On toqua à la porte, je me redressais alors qu'une voix retentissait. « C'est bien dans cette chambre que se trouve la plus belle, la plus brillante et la plus désirable des Reines ? » Je crois que mon sourire n'avait jamais été aussi grand, beau et sincère qu'a cet instant Je frémissais de tout mon et me levais du lit, et courais presque lui ouvrir tant j'étais impatiente de la voir, de la serrais contre moi, de sentir son odeur entêtante, même sur moi. J'ouvrais la porte en grand et mon coeur eu un raté. Comment pouvait t-elle être si belle, si désirable, si envoutante et ce de plus en plus à chaque fois que je la voyais ? C'était pas naturelle, pas possible et pourtant. Comment voulait t-elle que je ne sois pas accro à elle avec tout ça ? Je la regardais, sans rien dire, les mots s'étant échapper. Je me mordis la lèvre, heureuse qu'elle soit là. « Elle est là oui, mais uniquement pour sa Déesse adorée ! » Je lui souris, et lui fais un clin d'oeil avant de la laisser passer. Je refermais la porte derrière elle, n'oubliant pas de bien l'observer, autrement dit, de mater son fessier de rêve. Bah quoi ? Bande de prudes ! Je la rejoignais et la regardais dans les yeux. «  Tu est vraiment à tomber tu sais ça ? » Je me mordillais la lèvre, toute heureuse qu'elle soit enfin là, et savoir que j'allais passer une super soirée avec elle. Tout en nous était l'inverse. Ses longs cheveux soyeux étaient noirs, les miens étaient blonds. Sa peau était mate, là ou la mienne était blanche, surement un peu trop blanche d'ailleurs. Cela faisait un mélange pls que détonnant si vous voulez mon avis mais c'était ça qui était super. Sa robe rose courte était sublime et mettais ses formes en valeur, ce qui évidement n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Elle était magnifique, vraiment. Je m'approchais d'elle, sentant mon coeur battre plus fort dans ma poitrine à mesure que je me rapprochais de celle vers qui mon désir était tourner. Isys. Je prenais délicatement sa main, jouant avec distraitement. «  Alors, ça était ta journée ? Tu as fais quoi à part penser à moi ? » Je ris doucement tout en plongeant dans ses grand yeux, me rapprochant encore, si bien que nos deux visages étaient tout près l'un de l'autre. Tout ce qui la concernait m'intéresser au plus haut point et je pourrais facilement l'écouter pendant des heures. Je me sentais bien, j'étais comme dans une petite bulle à l'extérieur du monde, comme à chaque fois que je la retrouvais, surtout ici dans cette chambre. Une bulle ou il n'y avait qu'elle et moi dans notre petit monde parfait. Mais Isys, c'était tellement plus qu'une belle fille, sexy et qui était ma sexfriend de choc, c'était aussi une fille géniale et j'avais de la chance de l'avoir dans ma vie, que cela soit dans mon lit, ou juste en amie. Je savais que je pouvais compter sur elle et c'était vraiment bien.

Dans la vie, les choses qui ne s'explique pas peuvent être celles qui vous rendent le plus heureux du monde. C'était ce qu'il se passait avec Isys, ma déesse comme j'aimais l'appeler. Je ne pourrais même pas expliquer quand tout ça avait commencer, quand j'avais commencer à être dépendante d'elle, à la vouloir près de moi, et je ne parlais pas que de sexe, je parlais juste d'être avec elle, à regarder un film, sortir entre filles. La vie est parfois pleine de surprise, mais je n'allais pas m'en plaindre, Isys était, de loin, la femme la plus parfait qu'il m'aie été donner de rencontrer dans ma vie. Chaque instants avec elle étaient magique, quoi que nous fassions et honnêtement, je crois que je ne pourrais plus jamais me passer d'elle. J'en étais même devenue jalouse, jalouse de ses conquêtes, jalouse de son Anaé adorée qui ne quittait pas son esprit, je le savais bien. Je n'aimais pas être comme ça, je n'étais pas du genre à m'attacher mais elle, ma déesse, ce n'était pas une simple fille. Je devais arrêter de me prendre la tête, de me poser des questions, sinon notre soirée serait gâchée et je ne voulais pas de ça vraiment pas, c'était trop important, je devais en profiter. J'avais vraiment hâte de la voir, de la serrais contre moi, de voir son sourire, ses jolis yeux dans lesquels je me perdais volontiers pendant des heures. Lorsqu'elle arriva, je sentis mon coeur bondir dans ma poitrine alors que j'allais lui ouvrir. Elle était si belle, si désirable, comment résister ? Il faudrait être pour ne serait-ce qu'essayer. Elle me regardait, sans ciller, son regard pénétrant me faisant frissonner et me donnant la chair de poule, à cause du plaisir, pas à cause de la peur. Je la complimenter avant de la faire rentrer dans la chambre dans laquelle on avait l'habitude de se voir, on était tranquille ici, à l'abri des curieux. « Merci chérie ! T’es plutôt canon aussi dans cette petite robe noire ! » Me complimenta t-elle en retours, ce qui me fit frisonner de plaisir, tout en me remerciant pour le compliment, même si c'était juste que la pure vérité. Amusée, je faisais un tour sur moi même en riant avant de la regarder, mais sur la hanche. Elle était très en beauté, comme toujours, mais là, je ne sais pas, elle rayonnait. Cela faisait un petit moment qu'on avait pas eu l'occasion de ce soir, toute les deux prisent par nos boulots respectifs qui nous prenait pas mal de temps. Mais ce soir, j'étais juste heureuse d'être avec elle, le reste avait été mit en second plan. Elle me fut un clin d'oeil et alla se poser sur le lit, je restais debout à la regarder, mon sourire ne quittant pas mes lèvres. Elle me fit signe de la rejoindre, et je ne me fis pas prier pour le faire, m'asseyant à côté d'elle. Je le regardais avec tendresse avant de prendre sa main et de m'amusais distraitement avec ses doigts. Je lui demandais alors ce qu'elle avait fait de sa journée, croyant me souvenir qu'elle était de repos. « Pas grand-chose … Penser à toi occupe la moitié de mon temps tu sais ! Et toi , beauté , qu’as-tu fais de beau à part fantasmer à ta déesse ? » Je souris en me mordant la lèvre. C'est vrai que je pensais beaucoup à elle et c'était pire si cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu. Elle me connaissait bien et je la connaissais bien moi aussi. Nous gloussâmes toutes les deux, heureuse d'être ensemble. « J'aurais préférer pouvoir fantasmer sur toi autant que je le voulais mais tu comprend, j'ai du aller faire mon émission, une journée normal en sommes. A part ça, rien de spécial, pour le moment en tous cas. » Lui dis-je ne la regardant dans les yeux, sachant qu'elle me comprendrait parfaitement. Je n'aurais pas pu rêver mieux pour finir la journée en beauté que d'être avec elle tout simplement. Sans que l'on s'en rende compte, nos visage c'étaient rapprochés. Yeux dans les yeux, nos lèvres à quelques centimètres. Je sentis sa main dans mes cheveux, ce qui me fit frisonner. J'adorais que l'on me touche les cheveux, encore plus si c'était elle … Je continuais de jouer avec son autre mains, tendre, douce. Sa main caressa sa joue, je fermais les yeux et souriais, au comble du bonheur. Puis je sentis ses lèvres dans mon cou, endroit plus que sensible chez moi, et son souffle à mes oreilles. « Je suis tellement contente de te voir , ma Reine ! » Un frisson parcourra tout mon corps. Je souris. Mon dieu qu'elle était parfaite, parfaite pour moi. J'embrassais sa main qui était sur ma joue, et la regardais dans les yeux, émue. Je reprenais mes esprits, et glissais ma main sur sa joue a mon tours, et de venir frôler ses lèvres de mes doigts. J'étais au paradis, vraiment et le réveil demain serait dur, mais nécessaire, malheureusement. « Oh, si tu savais à quelle point je suis moi aussi contente de te voir déesse. Je ne pouvais pas mieux terminer la journée qu'avec toi, vraiment. » Je ris légèrement de toute cette ambiance, cette tension qui régner dans cette chambre d'hôtel. « Oh et la robe … Je l'ai mise par ce que je savais qu'elle allait te plaire. » Je souris et levais les yeux vers elle. C'était bête mais je voulais lui plaire, coûte que coûte et, même si je ne savais ce que cela faisais de moi, je voulais pas qu'elle m'oublie, que LES autres prennent plus de place que moi.

Isys, Isys. Je m'emballais rien qu'a entendre son prénom alors que m'emballer, c'était vraiment pas mon truc. C'était simple, ma vie était un vrai foutoir, en une seule seconde je pouvais devoir m'enfuir à l'autre bout du pays. Comment je pouvais construire quelque chose avec quelqu'un, avoir une vrai vie comme les autres gens ? C'était impossible, et je l'avais accepter, il y a longtemps. Et même sans ça, je me fichais pas mal de moi, mais je ne voulais pas qu'on s'accroche trop à moi, pour ne pas qu'ils aient un point de pression si jamais ils savent ou je suis mais avec Isys, c'était dur, peut-être déjà trop tard, je m'attachais à elle et lui résister était impossible. Et dire qu'elle ne connaissait rien de ma vie, uniquement ma fausse vie, une histoire écrites pour moi, que j'avais apprise par coeur pour sauver ma peau. « Tu es un véritable amour , tu sais ça ? Mais tu aurais très bien pu venir toute nue aussi , je t’aurais toujours trouver splendide ! » Me dit-elle alors que je lui avouais que la robe que je portais, je l'avais choisis pour lui plaire, rien que pour elle. Parfois c'était même inconscient et cela me faisait beaucoup sourire quand je le remarquais. Je la sentais vraiment toucher par cette attention de rien du tout et c'est une des raisons pour lesquels je l'aime tant. Elle était, à mes yeux et surement aux yeux de pleins d'autres personne ( ce qui me plaisais bien évidement moins ), la plus parfaite des femmes. Je ris en le lui donnant un petit coup sur l'épaule. « Coquine va ! En vrai tu aurais préféré que je vienne nue ! Et bah, quand on veut quelque chose, parfois il faut se débrouiller par soi même, si tu vois ou je veux en venir ... » Est ce que je venais de lui donner la permission de me déshabiller, là, maintenant ? Bien sur que oui. Je ris aux éclats avant de me calmer, me mordant la lèvre en la regardant. Oui bon, c'était peut-être moi la coquine dans l'histoire, surement même mais bon, passons. Ses lèvres se posèrent à la commissures de mes lèvres et mon coeur s'emballa instantanément, sans que je puisse rien contrôler du tout. Son regard plongeait dans le miens me faisait presque perdre autant la tête que ses caresses légères, que ses baisers tendre ou plus passionnés. Elle prit ma mains dans la sienne et enlaça nos doigts. Je souris en regardant nos deux mains liées. Sourire aussi présent sur le visage de ma Déesse. Je ne pouvais m'empêcher de me dire que ce surnom lui allait comme un gant. Puis, ce que j'attendais depuis qu'elle était arriver, arriva enfin. Ses lèvres prirent possession des mienne. Enfin. Je fermais les yeux, glissais ma main dans ses cheveux et répondais à son baiser, avec toute l'affection et tellement plus encore que j'avais pour elle. Le baiser me laissa les joue rouges, manquant d'air. Je reprenais mes esprits, la regardant. « Tu m'as manqué ma Reine , vraiment ! » Je posais mon front sur le sienne, mon regard toujours dans le siens. J'étais vraiment bien, là avec elle, sans prise de tête, juste elle et moi dans notre cocon ou personne nous jugeait ou venait nous déranger. Je la serrais dans mes bras et déposais mes lèvres sur son épaule. « Tu m'a manqué aussi, tellement ma déesse ! C'était long sans te voir tu peux pas savoir mais bon, c'est à cause de nos boulots, on y peut rien … Malheureusement. Mais nos retrouvailles sont encore mieux pas vrai ?! » Lui demandais-je avec un grand sourire sur mes lèvres. Elle m'avait vraiment manquée, et je comptais bien faire en sorte de profiter de cette soirée avec elle comme il se devait. « Mais faudra quand même éviter d'être séparer aussi longtemps à l'avenir hein ?! » Dis-je sur le ton de la rigolade mais j'étais tout à fais sérieuse, quand j'étais avec elle, j'étais bien, heureuse, tout simplement et je devrais me priver de ça ? Non. Je la regardais, oubliant tout ça. Je veux dire, je suis avec elle, maintenant, le reste n'a plus aucune importance et puis comme je lui avais dis, ne pas la voir d'un moment ne rendait les retrouvailles que meilleur, et on avait plus de chose à se dire. C'était mieux, en tout point. Je rangeais une mèche de ses cheveux et lui souris avant de caresse sa joue tout en approchant mes lèvres des siennes pour l'embrasser et sentir en moi, le feu d'artifice qu'elle déclenchait de sa seule présence.

Sérieusement, si j'avais pu faire en sorte que passer toutes mes journées avec Isys, je crois que je l'aurais fais et je savais qu'on ne serait jamais ennuyer un seul instant elle et moi. Je me sentais bien avec elle, même mieux parfois qu'avec Sean avec qui j'étais en couple, tout en gardant ma liberté. Voilà pourtant j'étais là avec Isys sans m'en vouloir de lui faire ça et puis c'était pas vraiment comme si je pouvais ne plus la voir du jour au lendemain, j'avais besoin d'elle, je crois bien, même si cela n'arrangeait pas mes affaires tout ça. On se manquait trop pour ne pas se voir régulièrement. Cette séparation nous avait affecter toutes les deux, chacune manquait à l'autre.« Oh oui ! Je suis complètement d'accord : plus jamais ça ! » Me dit-elle alors que je lui disais combien elle m'avait manquer et qu'a l'avenir il faudrait éviter de passer trop de temps sans se voir, sans se parler de tous et de rien. Un vrai manque se faisait sentir, bel et bien réel et je crois que personne ne pouvait comprendre vraiment ce qu'il se passait entre nous deux et c'était tant mieux, et pour nous protéger, on jouait les amie en public, car si il était au courant, cela deviendrait un enfer pour elle comme pour moi et je ne voulais pas de ça, pas entre nous. « C'est promis. Plus jamais séparer aussi longtemps, compte sur moi pour faire tout mon possible ma Déesse. » Je rangeais alors une mèche de ses cheveux derrière son oreille avant de caresser sa joue tout en la regardant dans les yeux, me demandant comment je pouvais avoir tant de chance de l'avoir alors qu'elle pouvait avoir tellement plus encore et parfois elle saisissait sa chance et jamais je n'avouerais ce que cela me faisait au fond de moi. Je n'avais rien a dire de toute façon, alors que je laissais Sean pour aller la retrouver elle. Puis, prenant le contrôle, je posais mes lèvres sur les siennes, en manque d'affection, de sa présence, de sa peau contre la mienne, de ses lèvres, de toute sa personne. La sentir me répondre augmenta encore plus mon trouble et la cavalcade folle de mon coeur. Ce baiser me faisais perdre la tête, encore plus que les autres. Je sentais ses mains dans son dos, s'occupait à défaire la fermeture éclair de ma robe. Je frissonnais d'avance en imaginant ce qu'il allait suivre. Je détachais rien qu'un peu mes lèvres des siennes et la regardais dans les yeux, dans tout mes états, déjà. « You drive me crazy honey … » Soufflais-je en la regardant avant de reprendre ses lèvres et de laissais mes mains se faire baladeuse et aller jusque dans son dos, pour défaire la fermeture éclair de sa robe, pas de raison que je sois la seule, non mais ! Mes mais revinrent sur ses épaules, mes lèvres toujours sur les siennes, dans un baiser qui n'en finissait pas, et qui avait libérer des tonnes de papillons dans mon ventre, et lentement, je faisais glisser sa robe sur ses épaules, épaules que j'embrassais tendrement avant de lever les yeux vers elle, souriante, heureuse, le coeur en fête. « Tu sais que quand je vois tes pubs, je ne répond plu de moi-même ! Tu est tellement sexy, et dire que pleins de gens les voient, j'ai des raisons d'être jalouse moi ! » Je disais pour la taquiner, car bon, elle était là, dans mes bras, ses lèvres si proche des miennes, son corps à demi dévoilé, pour moi ...

Elle sourie au point de m'éblouir alors que je lui soufflais, pleine de passion à quel point elle me rendais folle, à quel point elle m'obsédait. Ce que je ressentais pour elle était indescriptible je crois, une attirance, mêler à de la complicité. « So do you, cutie. » Je frissonnais de bonheur, de plaisir en entendant ses mots de sa bouche. Un rien venant d'elle et j'étais aux anges en quelque seconde. Même être avec elle me rendait heureuse, même pour quelque heures. Je ne savais pas comment cela se faisait mais lorsqu'elle était là, plus rien d'autre qu'elle n'avait d'importance et je n'avais plus aucune craintes, ni aucunes questions. J'étais juste bien, là, dans ses bras?, son odeur m'enivrant au plus haut point. Elle exerçait sur moi un pouvoir qu'aucune autre personne n'avait et c'était cela qui me faisait peur, notre attachement mutuelle qui ne faisait que grandir. J'avais toujours cette épée de Damoclès au dessus de ma tête et je ne voulais pas qu'elle fasse partie des dommages collatéraux. J'aurais déjà du mal à la quitter même en sachant que cela nous sauverait toutes les deux le cas échéant même si il n'y avait aucune raison qu'ils me retrouvent. A peine avait telle terminer de parler que je me jetais sur ses lèvres, toute frissonnante. Nous étions là, assises sur ce lit, à moitié nues, toute les deux brulante d'une passion dévorante et incontrôlable. Je brûlais, ma peau irradiait d'une chaleur étouffante, mais agréable en même temps. Je manquais d'air, mes lèvres toujours contre les sienne. Je rompais le baiser, haletante, mais au comble du bonheur pourtant et je trouvais la force de la complimenter sur son travail, et en même temps, celui-ci me perturbais car je savais que pleins de monde devait fantasmer sur elle et son corps de rêve qui pour le moment n'était qu'a moi. « Que de compliments ! Mes chevilles vont finir par exploser avec toutes les flatteries que tu me fais ! » Je ris sans tenter de me retenir. Elle n'était pas du tout comme ça , je le savais et ses compliments, elle les mérités tellement que je me doutais que pleins de personne étaient jalouses d'elle et avec raison. Isys était parfaite. « Puis sérieusement tu peux parler toi , miss télévision . Tous les téléspectateurs doivent inonder le sol de bave, tellement tu leurs fait de l'effet … j'en fais partie de ces téléspectateurs ! » Me répondit t-elle, toute mignonne, les joues légèrement rouge d'une honte que je ne lui connaissais pas. Je souris, attendrit par ce qu'elle me disais, ce qu'elle m'avouais. Elle passa ses bras tendrement autour de mon cou et elle me fit lentement glisser sur le lit. Je la regardais, son visage proche du miens, mes yeux brillant de malice et de désir pour la magnifique brune qui me surplomber maintenant. Je me laissais faire, avec plaisir même. Je caressais sa joue, l'observant, me délectant de ce que je voyais devant mes yeux et que pour rien n'au monde de me lasserais de cette visons. Ses compliments me firent rougir légèrement et sur ma peau blanche, cela se remarquer assez vite. Il n'y avait qu'avec elle que je n'étais pas sur de moi, ni confiante. « Arrête, je ne suis qu'une présentatrice télé, légèrement connue certes, mais toi tu fais des pub, toute plus sexy les unes que les autres, donc cela n'a rien à voir avec moi, mais j'accepte les compliments ! » Dis-je en riant, tout en restant contre elle, l'endroit ou j'étais le mieux au monde, dans ma bulle parfaite. « Et ne t'inquiètes pas , c'est pas tout le monde qui a le droit de passer une nuit aussi privilégiée avec moi ! » Ajouta t-elle avant de rire. Je roulais des yeux, un énorme sourire sur mes lèvres. Je savais qu'elle plaisantait, même si cela ne m'empêcher pas d'être un tout petit peu jalouse quand même. Je la regardais, caressant son dos distraitement. Ses lèvres retrouvèrent les miennes et je la serrais plus fort, frôle son corps parfait du bout de mes doigts. Je prolongeais le baiser, encore et encore, ne me lassant pas de ce contact en nous. Tentatrice, je viens jouer avec l'attache de son soutiens gorge, sans pour autant le défaire. Tout mon corps brulait, frissonnait à chaque baisser, chaque caresses de sa part. Je quittais ses lèvres, embrassais sa mâchoire et allais jusqu'à son oreille. « J'aime savoir que je suis privilégiée, que je te manque, que tu pense souvent à moi … par ce que c'est pareil pour moi. J'ai jamais été comme ça avec personne d'autres, et tu le sais, ça me fais un peu peur, par ce j'ai pas l'impression de contrôler ce qu'il se passe mais pour rien au monde je renoncerais à nos petits moments ... » Je souris et d'une impulsion, je prenais place au dessus d'elle, la regardant de mon regard noir d'envie en sachant qu'elle était pour moi.

J'étais vraiment sur un petit nuage dès que j'étais avec elle, vraiment. C'était vraiment bien apaisant mais aussi passionné comme avec personne d'autre. Elle me rendait folle, vraiment et avec elle, j'oubliais tour le reste, j'étais juste bien et je ne bougerais de cette chambre pour rien au monde. Elle était ma réserve d'oxygène, tout simplement. Nous avions des vies bien chargés et cela faisait quelque temps que nous n'avions pu nous retrouver comme ça dans notre chambre du Palace Hotel rien que nous deux. Clairement cela m'avais manquer de ne pas l'avoir rien que pour moi et je crois qu'elle le savait bien et que c'était pareil pour elle. Ses baisers me rendait folle, me faisait frisonner. Elle était la seule avec qui je me laissais aller, et me donner tout entière sans avoir peur. Elle pouvait vraiment faire de moi ce qu'elle voulait. Après m'avoir embrasser à m'en faire la tête et d'avoir défait la fermeture éclair de ma robe, je lui rendais d'ailleurs la pareille, il n'y avait pas de raison, elle me fit glisse allonger sur le lit et se mit à califourchon sur moi, mon coeur battant, ma respiration devenant folle déjà. Je ne la quittais pas du regard et dans ses yeux magnifiques, une lueur espiègle tout comme dans son sourire, ce qui m'amusa. C'était ma Déesse et j'aimais tout chez elle, vraiment tout. Elle avait tout pour elle. Elle approcha son visage du miens mais ses lèvres ne touchèrent pas une nouvelle fois les miennes comme je le croyais. Oh, elle voulait jouer. Je souris, amusée. Elle vient nicher sa tête dans mon cou, qu'elle embrassa me faisait frissonner, au paradis. Je fermais les yeux, totalement abandonner à elle, sans aucune craintes. Ses mais, elles, mettaient un délicieux bazard dans ma chevelure blonde. J'aurais voulu que cet instant dure encore et encore mais demain, tout serait différent. Elle se redressa et me regarda dans les yeux. On se fixa un moment. Je la complimentais sur son boulot, en lui disant qu'avec les pubs qu'elle faisait, et dans lesquelles je la trouvais magnifique, que beaucoup d'autre personne devaient fantasmer sur elle et cela me plaisait beaucoup moins. Bien sur, il fallu qu'elle cherche à avoir le dernier mot en me complimentant à son tours. C'était pas de ma faute, j'avais des compliments à l'appel pour elle tant à mes yeux elle était parfaite, le hic ce qu'elle ne lâchait jamais prise et du coup c'était compliments sur compliments à chaque fois.« Ohlala , t'as finis avec les compliments oui ? C'est toi la présentatrice télé la plus sexy du monde en plus ! » Je la regardais en roulant des yeux, sans rien dire, une lueur de bonheur dans les yeux alors que je la regardais. Il fallait toujours qu'elle exagère quand il s'agissait de moi, je crois qu'elle m'idéalisait, mais je ne pouvais pas lui en vouloir, je l'idéalisais moi aussi. « C'est pas de ma faute si je ne taris pas d'éloge sur toi, tu n'a pas qu'a être aussi parfaite !  Du monde ? Et bien, j'en suis flatté ! Hm, bon ok, je veux bien te croire ! Je suis la plus sexy ! » Je la regardais, charmeuse. Mes mains se posèrent sur ses hanches et je me redressais légèrement pour venir l'embrasser tendrement mais avec passion. Encore une fois j'abdiquais, cela ne finirait jamais sinon et je n'avais pas envie qu'on fasse les pipelettes pendant des heures. Je voulais qu'on profite de ce moment. Elle me fit un clin d'oeil puis elle me dit que j'étais privilégié de pouvoir avoir un moment comme ça avec elle. Mon sourire s'agrandit. Je savais que j'étais importante pour, mais ce l'entendre dire, c'était toujours vraiment super agréable, surtout quand la personne qui vous le dit et en sous-vêtements au dessus de vous. Elle rit et je crois que je n'avais jamais entendu si douce mélodie a mes oreilles. Son rire était si beau, si vrai que lorsqu'elle riait, c'était un moment magique. Je décide de m'amuser aussi, en titillant l'agrafe de son soutient gorge sans pour autant le détacher. Je suis joueuse, elle le sait mieux que personne. Elle me demanda ce que je tentais de faire, mais je lui souris sans lui répondre, tout en continuant. Ses lèvres rencontrèrent encore les miens. J'étais je crois accro a ses lèvres, accro à elle tout simplement. Elle mordit ma lèvre, mettant fin au baiser, je me redressais, me plaquant presque contre elle et lui susurrer à l'oreille ma satisfaction d'être privilégiée. « Oh chérie , ne te prends donc pas la tête . Tu sais moi non plus je ne me suis jamais sentie ainsi avec quelqu'un d'autre . Mais je profite de chaque moment , chaque instant de magie avec toi et je ne réfléchis pas au futur ou aux questions que l'on pourrait se poser . » Me répondit-elle, sincère, je le savais. Mais cela n'empêcher pas que j'avais peur, vraiment peur. Peur qu'elle me laisse si sa copine revenait, qu'elle m'oublie du jour au lendemain et je ne voulais pas ça, vraiment pas. Je tenais à elle, vraiment et je savais qu'elle aimait toujours cette fille même si elle l'avait quitter comme une merde, pardonnez l'expression. Je décidais de reprendre le contrôle en inversant nos position. Je la regardais maintenant de haut en souriant. Elle m'embrassa pendu à mon coup. Je répondais à son baiser, oubliant mes question, mes peurs. Elle avait raison, encore une fois. Je devais oublier tout ça, sinon je me gâcherais ce moment et je n'en avais pas envie, vraiment pas. Je glissais mes lèvre dans le coup de ma Déesse, et je l'embrassais me calmant peut à peu. Je glissais mes mains dans son dos et dégrafer son soutiens-gorges lèvres étiraient en un sourire dans son cou. Je mordillais doucement son cou avant de la regarder à nouveau. « Tu as raison, pas de prise de tête, ça gâcherait tou pas vrai ? Et j'ai pas envie de ça et moi aussi je suis bien avec toi … Dis tu as envie de venir voir comment ça se passe l'enregistrement de l'émission un jour ? » Je mordillais ma lèvre tout en la regardant, presque aguicheuse.

Je me sentais bien avec elle, dans ses bras, et je n'avais besoin de rien d'autre en fait. Ce que l'on avait me convenais parfaitement. Être heureux n'était-ce pas ce que demander chaque personne sur cette terre ? Même si j'avais des tonnes de questions, son regard dans le miens me faisait complètement craquer et perdre le fils de mes pensées. Well done Minnie. Je voulais juste passer un bon moment et elle aussi, je le savais. Et je voulais oublier tout ça. Elle avait raison, je ne devais pas me prendre là tête et lui certifiais qu'elle avait raison. Ma déesse c'était tellement pour moi, vraiment. Je lui demandais aussi si elle serait partante pour venir me voir sur l'émission un de ses jours, qu'elle voit comment cela se passe sur le plateau. C'était toute ma vie mon job, je l'adorais même si ce n'était pas aussi facile que l'on pouvait le croire. C'était un vrai job qu'être présentatrice télé, c'était pas des vacances, même si on devait le faire croire aux téléspectateur. « Bien sûr ma Reine ! A condition que toi aussi tu m'accompagnes à l'un de mes shootings un de ses jours ! » Me dit-elle ce qui me fit sourire. Comme si je pouvais refuser une telle offre de sa part ! Cela serait blasphème vraiment ! Minnie était le genre de personne à qui on ne refuse jamais rien, même si on le voulait vraiment. Entre son corps de rêve, son charme naturel et le fais qu'elle sache au combien parfaitement user de ses charmes, personne ne lui résister et elle obtenait tout ce qu'elle voulait et bien plus encore. « Tu verra mon équipe est vraiment cool et j'ai l'impression d'être une princesse ! Ils sont tous à mes petits soins et tu combien j'aime ça, c'est génial ! Et d'accord, je viendrais te voir, comment refuser une si belle offre en même temps, n'est ce pas ?! J'espère que ça sera pour des maillot de bain ou de la lingerie tiens ! » Dis-je en la regardant air mon air légèrement racoleur et amusée, mais je savais qu'elle aimait ça, et moi ça m'amuser tout simplement de me la jouer femme fatale. J'étais comme ça, sur de moi, de mes atouts et j'en jouais. Quoi de plus normal pas vrai ? Elle passa ses doigts dans mes cheveux et je soupirais d'aise. J'adorais ça, vraiment, cela me rendait inoffensive et toute douce. Mon sourire ne s'effaçait plus de mes lèvres. J'étais vraiment bien et elle avait réussit à me changer les idées en un rien de temps. Je glissais mes mains expertes dans son dos et dégrafais son soutiens-gorge. Elle fit de-même et dépose nouveau ses lèvres sur les miennes, me faisant frissonner. « Coquine va … » Soufflais-je entre ses lèvres. Oui, je sais, c'est l'hôpital qui se fou de la charité ! Mon soutiens-gorge tomba sur le sol. Tout mon corps frissonné, répondait au siens. Elle me rendait vraiment dingue. Je sentis alors ses mains glissaient dans mon dis et venir se poser fermement sur mon fessier. Je sursautais, l'embrassant toujours, jouant avec sa langue, prise dans l'action et comme chauffer à blanc par ses baisers, ses caresses. « Tu as des fesses de rêves , tu sais ça ? » Me dit t-elle en riant, quittant mes lèvres ce qui me fit grogner doucement, mignonne. Je glissais mes lèvres dans son coup, peu encline à parler avant de lever les yeux vers elle et de la voir me regarder, se mordillant la lèvre, ce qui augmenta encore la flamme de désir qui me consumer. « Ah oui ? Voilà pourquoi tu les aime temps ! » Je ris et me plongeais dans ses yeux dans lesquels je me perdais avec bonheur. Ses grand yeux de biche, fixaient sur moi. Je la regardais, venant jouer avec ses long cheveux noir, brillant et soyeux. Elle était belle, si belle en cet instant. « Toi c'est ton corps entier qui vend du rêve … Comment veut tu qu'on te résiste hein ?! Avec ces lèvres pulpeuses, cette poitrine généreuse qui rend fou, ce ventre plat si tentant, ce fesse au combien parfaite et enfin, ces deux longues jambes interminable … » Soufflais-je à son oreille en frôlant du bout des doigts, chaque partie de son corps que j'énumérais. Je la regardais, dans le blanc des yeux durant de longue minutes, trouvant que parler était futile. Puis je l'embrassais, mon désir étant trop fort. Tout mon corps réclamait le siens et il n'y avait rien que je puisse faire contre ça.

Nous étions, ma Déesse et moi comme dans une bulle et cela faisait vraiment du bien. On était juste tout les deux, sans personne autour. D'habitude, à cause de nos boulots et tout ça, on avait rarement le bonheur d'être seule, ou en groupe réduit. Des dizaines de personnes s'affairaient autour de nous. Coiffeuse, maquilleuse, styliste, et tant d'autre. Une vrai ruche dont nous étions la reine et qui gravitait autour de nous. C'était pesant parfois et on ne s'y habitué jamais vraiment en faite même si cela avait ses avantages tout ça, bien sur. Mais rien ne valait la joie, la plénitude de ce moment, avec Isys, rien que nous deux. C'était peut-être débile, nul de faire ça alors que je la savais amoureuse d'une autre. Et cela m'aller, elle avait tout à fait le droit, car entre nous c'était pas de l'amour, pas de désir d'une relation amoureuse. On profité simplement de notre profonde amitié et de ses quelques avantages passagers. Je la regardais, la contempler. Je ne comprenais pas comment sa « copine » pouvait l'avoir abandonner. Isys était parfaite, dans tout les sens du termes alors c'était pour moi, presque un crime de lui faire une chose pareille alors qu'elle s'était donner corps et âme à cette fille qui d'après moi ne la méritée même pas. Ma déesse me rendait dingue. Je ne pouvais vraiment pas lui résister, et ça me perdais à chaque fois que j'étais en sa compagnie. Je n'y pouvais rien. Elle était si parfaite. Je lui faisais remarquer d'ailleurs, en frôlant son corps de rêve du bout des doigts. Et je savais que c'était réciproque, qu'elle me résisté difficilement. C'était comme ça. Je la sentais frissonner sous mes doigts ce qui me fis sourire. Elle était sublime, presque nue, sous mes yeux. Je ma regardais, sous plus bouger ou dire. Juste pour profiter d'elle. Elle soupira d'aise et roule sur le coté. Je la suivais du regard, ma peau électrisé par la sienne. Je la regardais encore, attendant de savoir ce qu'elle allait faire. Je me sentais si bien avec elle. Tout mes problèmes étaient effacé pour quelques heures et c'était déjà ça. Elle m'allongea sur le dos avec un sourire coquin qui entraina le miens mais je me laissais faire. Je lui souris, caressant tendrement ses bras alors qu'elle s'allongeait à mes cotés. Elle se mit sur le coté pour me regarder. Elle appuya sa tête sur sa main et laissa son autre main libre. Mais qui vint se poser entre mes deux seins, me faisant frisonner. Puis sa main se balada sur mon corps, laissant derrière elle que de la chair de poule. Je souris, et fermais les yeux. Ses caresses m'électrisais totalement. Ses yeux rencontrèrent alors les miens et je me sentis défaillir dans le bleu perçant de ses iris. « Me regarde pas comme ça … » Dis-je comme un souffle en rougissant et en baissant la tête, gênée. Je me mordais la lèvre en levant les yeux vers elle pour voir son visage se rapprochait du miens, terriblement tentant. Tellement tentant que je ne pu me retenir et l'embrassais avidement. Elle me rendait folle, vraiment. Elle se mit sur moi, et mes mains se posèrent sur ses hanches et agrippèrent son dos fermement, le griffant doucement, alors qu'elle glissait ses lèvres dans mon cou. Je gigotais, le cou étant l'endroit le plus sensible chez moi. J'étais totalement sous son contrôle. Je riais, incapable de me contrôler. Je me mordais la lèvre alors qu'une de ses mains venait sur ma poitrine, et l'autre sur ma cuisse. Je la regardais, calme, venant frôle ses lèvres et son visage du bout des doigts. Je la laissais faire, soumise, un sourire sur mes lèvre. Je l'embrassais et enroulais mes jambes autour de sa taille en la serra contre moi pour faire fusionner encore plus nos deux corps. J'avais besoin de ça ce soir, d'elle, de ses caresses, de son corps contre le miens. Joueuse, je donnais des petits coup de bassins pour attiser le feu qui nous consumait toutes les deux. Mes mains ne quittaient son corps et chacune de ses caresses m'émoustillais encore plus.