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Run, just run and don't look back ... [Penny VS the Murderer] /!\ ATTENTION ÂMES SENSIBLES ! /!\ i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| | Mar 1 Mar - 22:43 | |
| Ça faisait longtemps que Peneloppe n’avait pas travaillé tard à la bibliothèque universitaire et s’être faite mettre dehors car elle était la seule qui y était encore à minuit passé. Elle n’avait pas tellement eu le temps d’étudier ces temps-ci, avait accumulé du retard qu’elle devait absolument rattraper. Mais ce soir, elle devrait se contenter de son petit bureau encombré de livres dans son petit appartement de Crocker Amazon.
Oui, elle avait entendu parler de cette horrible histoire de meurtres aux informations l’autre jour, et oui, elle était consciente que si certains de ses amis apprenaient qu’elle se promenait seule à cette heure tardive, elle se ferait tirer les oreilles. Mais elle n’en avait que pour dix minutes de marche, elle irait plus vite que d’habitude et elle avait toujours sa mini-bombe lacrymogène, qui était périmée depuis 6 mois, mais qui réussirait surement à aveugler un méchant si jamais on lui sautait dessus …
La jeune femme marchait donc le long du trottoir de l'imposant bâtiment, les mains dans les poches, l'écouteur de son I-Pod enfoncé dans l'oreille droite, en se demandant quel serait le cours qu'elle bosserait en premier en rentrant chez elle, et si une tasse de thé l'aiderait à garder les yeux ouverts.
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| | | | Mar 1 Mar - 23:00 | |
| Ces derniers temps j’avais réussi à rendre mes exploits à la vue de tout le monde. On peut dire que ça m’amusait de voir mes crimes, mes ravages à la télévision… Ils me cherchent, je dois être extrêmement prudent et me faire le plus subtil possible.
Arrêter ? Quelle idée. Ça me plaisait, je me sentais fort, supérieur et encore, j’avais l’impression d’être une célébrité en ce moment. Toutes ces californiennes, elles étaient toutes à mes pieds sans vouloir l’être… une fois que je serrais leurs poignets très fort dans ma main, elles savaient qu’elles n’avaient pas d’autre choix que de faire ce que j’avais envie de faire.
Je marchais tranquillement dans les rues de San Francisco, la tête basse. Les gens me croisaient sans même se douter… Les femmes étaient toutes accompagnées : rien à faire. Mais il était encore tôt. J’allais donc attendre tout près d’une ruelle, tranquille et quelques heures plus tard une jeune femme aux cheveux longs était passée.
Je la suivais par derrière, j’essayais de me faire le plus discret possible.
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| | | | Mar 1 Mar - 23:19 | |
| Peneloppe continuait de marcher tranquillement dans la rue, sans se douter de rien. Elle resserra un peu le col de sa veste, un coup de vent l’avait faite frissonner d’un coup. Elle aurait mieux fait de le prendre comme un avertissement. Elle sentit son portable vibrer dans sa poche. Elle le sortit et lut en diagonale le message qu’Ozzie venait de lui envoyer. Il était de garder et venait encore de tomber, totalement par hasard, sur un cas intéressant que tous les internes rêvaient d’avoir. Il avait décidément trop de chance, à croire qu’il soudoyait les résidents pour avoir les bons cas. La jeune femme sourit et rangea son téléphone dans son sac de cours. Elle lui répondrait arrivée chez elle, quand elle aurait trouvé quelque chose d’’intéressant à ajouter pour le bluffer.
Pendant un cours moment, elle crut entendre quelqu’un marcher derrière elle, mais elle secoua rapidement la tête. Il ne pouvait rien lui arriver, les autres enlèvements n’avaient pas eu lieu dans ce quartier, et puis sa fatigue n’arrangeait pas les choses. Elle ferait peut-être même de se coucher tout de suite en rentrant plutôt que de passer une autre nuit blanche à réviser.
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| | | | Mar 1 Mar - 23:34 | |
| En voilà une bonne. De longues jambes, une taille parfaite – pas trop grosse, ni trop mince. Je la reluquais sans même qu’elle s’en rend compte… Quelle naïve. Comment a-t-elle pu croire qu’elle était meilleure que toutes les autres ? Qu’elle n’avait pas besoin d’accompagnateur ? Je n’avais pas à me plaindre, ça me ferais une victime de plus… une délicieuse victime en plus.
Je m’approchais d’elle à pas rapide, je l’ai coincé dans une petite ruelle étroite… La pauvre, elle ne devait pas s’attendre à ça. J’étais à quelques centimètres d’elle alors que je me raclais la gorge…
Excusez-moi mademoiselle… Auriez-vous l’heure ?
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| | | | Mer 2 Mar - 9:07 | |
| Les pas derrière elles se firent plus présent. Peneloppe ne tourna toujours pas la tête, mais augmenta la cadence de ses pas. Ce n’était surement qu’un autre promeneur, peut –être aussi sur ses gardes qu’elle. Mais les pas derrière elle se rapprochaient petit à petit. Elle songeait à s’enfuir en courant, lorsqu’une ombre lui saisit le bras, l’entraina dans la petite ruelle sombre qu’elle venait de dépasser, et la plaqua contre un mur. Elle ne voyait pas vraiment le visage de celui qui l’avait attrapé, il restait dans l’ombre. Elle commença à vraiment avoir peur.
L’ombre lui demandait si elle avait l’heure. Peut-être, mais elle avait encore mieux, sa bombe lacrymogène. Il fallait juste qu’elle puisse l’attraper. Mais pour l’instant, il lui tenait les deux bras, impossible de bouger. « Si vous me lâchez, je pourrais prendre mon téléphone et vous la donner » Surtout ne pas montrer qu’elle avait peur, essayer de rester calme face à lui.
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| | | | Mer 2 Mar - 21:57 | |
| Je la tenais très fort par les poignets, il n’y avait pas moyen pour elle de s’enfuir. Elle pouvait tout de suite deviner que je n’attendais pas que seulement « l’heure » de sa part mais bien d’autre chose…
Si vous me lâchez, je pourrais prendre mon téléphone et vous la donner
Comme si j’allais le faire. Je ne suis tout de même pas idiot, j’ai déjà connu cette situation bien avant. Ces femmes de nos jours se promènent toujours avec un petit produit de sécurité… Je ne l’a lâchais pas, en serrant d’avantage ses poignets… Le petit jeu était court, mais tant pis, j’étais impatient de toute façon.
Laisse tomber… je pense que j’ai une très bonne idée de l’heure qu’il est.
Je l’amenai encore plus loin dans la petite ruelle, tout près des poubelles. Ça n’avait absolument rien de « plaisant » ou de « romantique », j’étais bien au courant. Je commençais à lui retirer sa veste et arracher son tee-shirt qu’elle portait en dessous. Cependant, je n’étais tout de même pas imbécile, elle n’allait pas se laisser faire aussi facilement, je le sais ! J’avais apporté un arme, déchargé dans la poche arrière de mon pantalon juste au cas où elle avait besoin d’une raison pour m’écouter…
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| | | | Jeu 3 Mar - 7:57 | |
| Elle se doutait bien qu’il n’allait pas la laisser plonger sa main dans le sac, mais il fallait mieux qu’elle tente tout ce qui était possible pour s’enfuir de cet endroit. Si jamais elle s’en sortait, elle ne se promènerait plus jamais seule la nuit, elle se le promettait intérieurement. L’homme continuait de lui maintenir les poignets et commençait même à la tirer de plus en plus loin dans la ruelle, loin des passants qui auraient pu promener leur chien ou rentrer de leur travail. Il ne fallait pas qu’elle se laisse faire. « Mais laissez moi …. Arrêtez vous me faites mal … » Même si elle savait que ses paroles n’auraient aucun effet. Mais quand il lui enleva sa veste et tenta de lui retirer son tee-shirt par la même occasion, elle commença à vraiment paniquer. Elle essayait de lui donner des cours de pieds, essayant de viser par la même occasion ses parties sensibles comme elle avait tant de fois vu faire dans les films. « Non ! Stop ! A l’aide !! » Elle ne put s’empêcher de crier, si il y avait une infime chance que quelqu’un l’entende, elle devait la saisir. Si elle se trouvait en face du meurtrier qui sévissait à San Francisco, elle ne voulait pas faire partie de la liste de ses victimes.
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| | | | Jeu 3 Mar - 21:59 | |
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Mais laissez-moi… Arrêtez, vous me faites mal…
J’aimais entendre sa douce voix me supplier d’arrêter, me supplier de la laisser partir. Elle savait comme tout le monde qu’il était dangereux pour une fille de se promener tard le soir dans les rues. N’avait-elle donc pas d’amis ? N’empêche, je n’allais pas me plaindre… Elle était une proie exquise.
Il est tard… c'est dangereux de se promener la nuit.
J’exécutai un petit sourire et puis un petit rire à voix basse. Son tee-shirt arraché, je pouvais enfin voir cette délicieuse poitrine. Pas mal, j’étais tombée sur une fille mince et gâtée par la nature. De plus, les brunes, sont mes préférées.
Non ! Stop ! A l’aide !!
Elle criait d’arrêter et appelait de l’aide mais elle ne pouvait rien faire, les rues étaient désertes à cause des bruits qui court… Je mis ma main sur sa bouche pour l’empêcher d’en dire plus et soulevai sa jupe. Je caressai doucement entre ses jambes par-dessus sa culotte et me penchai vers elle pour embrasser son cou. Elle était chanceuse, j’étais doux pour commencer contrairement à mes autres victimes, mais elle n’avait encore rien vue.
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| | | | Ven 4 Mar - 1:55 | |
| Si elle pouvait faire marche arrière et écouter les conseils de ses amis, soit ne pas sortir seule à n'importe quelle heure comme elle avait l'habitude de faire, elle les écouterait. Maintenant, elle s'en mordait les doigts de n'en avoir fait qu'à sa tête et ce n'était qu'un euphémisme. Elle était à présent à convaincue qu'elle avait affaire au meutrier dont tout le monde parlait, et elle était de plus en plus terrorisée. Elle le fut encore plus quand elle l'entendit rire. En plus, ses vaines tentatives de coup n'avaient aucun effet sur lui. Quand elle se retrouva en soutient gorge devant lui, elle ne put s'empêcher de frissonner. Elle essaya une dernière fois de crier, mais il lui appuya fortement une de ses mains sur sa bouche pour qu'elle ne puisse plus sortir un son. Et lorsque sa seconde main s'égara entre ses cuisses, et qu'elle sentit son souffle chaud dans sa nuque, une larme lui coula le long de joues sans qu'elle ne puisse la retenir. Si elle savait dans quel piège elle venait de tomber ...
[écrit au boulot haha ^^] |
| | | | Ven 4 Mar - 2:09 | |
| Elle n’avait pas la moindre idée à quel point j’avais envie d’elle. Mes mains se baladaient librement entre ses jambes, je sentais qu’elle était nerveuse et qu’elle avait envie de partir… Elle ne bougeait plus, pétrifiée sur place, comme toutes mes autres victimes j’en avais l’habitude. Je remontais mes baisers à sa joue, elle me regardait avec ses yeux de vitre : Oh, elle pleurait ? Je lui souris, j’étais sans pitié, sans merci.
Je lui fis signe de garder silence avec un doigt alors que je remontai mes mains à l’élastique de sa culotte. Je n’allais pas prendre le temps de lui retirer sa jupe, de toute façon, elle était sexy dedans. Une fois fait, je gardais une main sur elle pour l’empêcher de s’enfuir alors que je descendis mon pantalon et mon caleçon. Pas la peine de vous préciser que j’étais déjà en érection… Son corps, me donnait des chaleurs, je brûlais d’envie.
Je soulevai légèrement sa jambe et la pénétrai direct. Je ne passerai pas par quatre cent moyen, aller direct au but était le mieux. Après tout, plus tôt commencé, plus tôt terminé. J’agrippai sa longue chevelure autour de mon poignet et saisi l’ensemble dans ma main, elle n’allait pas m’échapper, cette pauvre crevette.
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| | | | Ven 4 Mar - 8:58 | |
| Pendant qu'il continuait d'embrasser son cou, elle sentit progressivement son membre durcir de plus en plus à chaque frottement. Le doute n'était plus permis sur ce qui allait lui arriver. Elle essaya de détourna la tête pour l'éviter quand il l'embrassa sur la joue, mais ses essais d'esquives ne le firent que rire d'avantage. Il lâcha la pression sur la bouche mais lui ordonna de continuer à se taire. A quoi bien hurler de toute façon, il n'y avait personne qui la sortirait d'ici. Il se baissa pour lui retirer son slip. Elle aurait pu essayer de le frapper de toutes ses forces, de le morde, de le griffer pendant qu'il baissa sa garde mais elle n'osait plus bouger. Elle avait bien trop peur des représailles si jamais il se vengeait. Elle resta donc les bras le long du corps, complètement à sa merci, même quand il lui souleva la jambe et se glissa encore plus près d'elle. Quand il la pénétra, elle ne put s'empêcher de laisser entendre un gémissement de douleur, elle eut l'impression d'être déchirée en deux. Elle serra les poings, il valait mieux qu'elle soit plus silencieuse. Dieu sait ce qui pourrait lui venir d'autre à esprit. Il lui attrapa d'ailleurs les cheveux d'une main ferme, ce qui la fit grimacer. Quand est-ce que tout ça finira donc ?
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| | | | Ven 4 Mar - 21:31 | |
| Oh qu’elle est gentille la mignonne, elle se laissait faire. Je continuai des coups rapides et puissants, en tirant d’avantage sur sa chevelure de soie. Ce qu’elle ne savait pas… c’est que
Je ne suis pas du tout précoce.
Je continuai en déposant des baisers dans son cou. J’avais envie de la mordre, de lui faire mal mais je me retenais, cette pauvre biche était bien trop dompté, elle ne le méritait pas. Haha, vous m’aviez cru ?
Je tirai un peu plus sur ses cheveux afin qu’elle lève le menton, je me suis mis mordre son cou avant de lui retirer son soutien-gorge de ma main libre.
Dis-donc… ta une poitrine bien ferme… c’est des vrais ?
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| | | | Sam 5 Mar - 1:05 | |
| Pour tenir le coup, elle se disait qu'au moins ce serai rapide, qu'il la laisserait surement tranquille une fois son affaire finie, et que comme il avait commencé fort, ça ne pouvait que s'arrêter bientôt. Mais il continua ses coups secs, l'irritant à chaque fois plus. Elle commençait à avoir mal à la jambe, et à essayer de la baisser pour au moins trouve une position plus "confortable", mais il ne fit que la maintenir plus fort, et plus haut le long de ses hanches. Il continuait à l'embrasser, elle sentait toujours son souffle chaud le long de sa nuque et pourtant elle frissonnait et tremblait de tout son corps. Il lui tira encore un peu plus les cheveux, pour l'obliger à monter son menton, et sans qu'elle s'y attende, il la mordit dans le cou. « Aie !» Elle ne put s'empêcher d'esquisser un geste de défense et d'essayer de le repousser comme elle pouvait, qu'au moins il éloigne le haut de son corps d'elle, et stoppe ses pseudo baisers. Mais une fois encore, elle ne réussit même pas à l'ébranler. De la main qui tenait ses cheveux, il dégrafa son soutient gorge, libérant ses seins. Dis-donc… ta une poitrine bien ferme… c’est des vrais ? Elle ne lui répondit pas, essayant de l'ignorer autant que possible.
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| | | | Sam 5 Mar - 7:45 | |
| Elle se retrouvait sans soutien-gorge et j’ai tenté de la faire rire mais cette feignasse n’a pas réagis. Elle boudait ? Je me suis mis à rire, au fond, je m’y attendais à ce qu’elle ne réponde pas. Je continuai mes mouvements rapides et brusque un très long moment. Puis je m’arrêtai, pour la retourner contre le mur.
Alors jusqu'à maintenant... t'aime bien ?
Ai-je prononcé en riant. Je la pénétrais à nouveau de cette façon, alors qu’elle était dos à moi.
Shht... Ne dis rien... Je sais que t'aime ça.
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| | | | Sam 5 Mar - 10:59 | |
| Elle était pratiquement nue face à lui, elle ne portait plus que sa jupe, qui remontée comme elle l'était, ne cachait plus grand chose d'elle. Il ne pouvait plus la faire se sentir plus mal se disait-elle. Suite à sa tentative de le repousser, elle avait laissé les mains sur son torse, et une idée subite lui vient à l'esprit. Certes, elle ne pouvait pas vraiment distinguer ses traits dans la pénombre, mais elle pouvait tout de même essayer d'en savoir un maximum sur sa physionomie. Prudemment, elle fit glisser sa main droite vers le haut, pour atteindre son visage, chercher des indices à donner aux policiers si jamais elle s'en sortait, une barbe, des piercing, des cicatrices, une longueur de cheveux particulière. Mais il lâcha sa jambe d'un coup, saisit sa main, et la força à se retourner lui bloquant le bras dans le dos. « Alors jusqu'à maintenant... t'aime bien ? » « Je préférais quand on était face à face ... » Allait-il de nouveau la tourner face à lui comme elle l'espérait ? Non, il la penchait légèrement en avant, et elle dut s'appuyer de son autre main sur le mur pour pouvoir garder l'équilibre. Et il la pénétra par derrière. Dire qu'elle pensait que ça ne pouvait être pire.
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| | | | Dim 6 Mar - 3:26 | |
| Elle croyait m’avoir cette garce ? Lorsqu’elle se mit à tapoter mon visage, je la retournai et la plaqua contre le mur. Je repris la pénétration, en l’attrapant par les hanches, prenant le soin de soulever sa jupe.
Je préférais quand on était face à face...
Me dit-elle. Je souris, elle ne m’aura pas, dommage pour elle. Je remontai une main à sa poitrine pour la masser, un peu trop fort pour ce qu’elle pouvait probablement supporter.
Je continuai de ce sens un long moment avant de la pousser sur le sol, toujours à plat ventre. Je me suis mis par-dessus elle avant l’écarter ses fesses pour lui faire une pénétration anal…
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| | | | Dim 6 Mar - 11:18 | |
| Il lui lâcha enfin le bras et elle put s'appuyer de ses deux mains à la paroi. Qu'il lui malaxe énergiquement un sein était certes désagréable, mais en fermant les yeux et en serrant les dents, elle pouvait faire avec. Mais d'un coup, il la poussa violemment au sol. Elle se réceptionna mal sur la main droite, une éclair de douleur lui traversa le bras. Elle se sentit qu'il se pencha au dessus d'elle, la maintenir à plat ventre, et approcher ses mains de ses fesses. Et là, elle comprit. Autant elle était ouverte sur le point des nouveautés et ne disait que rarement non quand il s'agissait de tester de nouveaux lieux ou de nouvelles positions, le sexe anal était sa limite. Ça ne l'avait jamais tentée. LA chose dans laquelle elle ne voulait pas s'aventurer. Quand son agresseur la pénétra de cette manière, en plus d'avoir énormément mal car cette position requérait beaucoup de douceur en temps normal, elle essaya de se démener autant qu'elle le pouvait, en tentant de se relever, en bougeant les jambes, tout pour stopper cette douleur qui une fois de plus lui faisait monter les larmes aux yeux.
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| | | | Lun 7 Mar - 3:20 | |
| Allongée sur le sol, elle se laissait faire alors que je la pénétrais d’un coup. Ce n’était pas un endroit commun, je l’avais tout de suite senti étant donné que c’était très… serré. Mais cette idée ne m’avait pas déplu, au contraire, elle m’excitait encore plus. J’accentuais mes mouvements de vas-et-viens, « la pauvre » saignait alors j’accélérais. J’adorais faire mal à mes victimes, particulièrement en baisant. Elle tentait de se démener, je riais d’elle intérieurement en la retenant au sol avec ma main plaquée sur son omoplate, alors que l’autre s’occupait de taper ses fesses.
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| | | | Lun 7 Mar - 9:46 | |
| Elle n'en pouvait plus, son poignet droit la faisait souffrir, impossible de s'appuyer dessus, son agresseur lui faisait mal à à chaque va-et-vient, et essayer de se dégager ne servait à rien vu qu'il s'appuyait sur son dos pour se maintenir sur elle. Elle avait même l'impression que son anus commençait à se déchirer vu la douleur qu'elle éprouvait et les coups de reins effrénés. Il ne lui laissait aucun répit. Elle commençait à être fatiguée, à ne plus avoir envie de se battre. Elle était même en train de songer au moment où il l'achèverait, puisque apparemment il ne faisait pas de cadeaux, et qu'aucune de ses victimes n'avaient été retrouvées. C'est qu'elles devaient être mortes non ? Elle cessa de se battre, restant juste allongée sur le sol dur et froid, ses larmes mouillant le bitume, et elle priant intérieurement pour que la fin arrive le plus rapidement possible, que toute cette douleur s'arrête enfin.
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| | | | Mar 8 Mar - 21:55 | |
| La pénétration se faisait de plus en plus forte et plus dur, mais qu’est-ce qu’elle m’excitait la p’tite. J’allais plus vite et plus brusquement. Mais je m’arrêtai après un très long moment, puis me retirai d’elle afin de la pénétrer à nouveau dans son vagin. Alors là j’accélérais à nouveau, le plus rapidement possible et le plus fort possible, jusqu’à ce que j’aie enfin mon orgasme à l’intérieur d’elle… Elle devra espérer de ne pas tomber enceinte, parce que je n’avais pas du tout utilisé de préservatif.
Si t'ose en parler ou même si c'est juste en glisser un mot... je te retrouve et cette fois, je ne vais pas te laisser t'échapper.
Je la lâchais, puis le relevai pour m’habiller.
Aller lève-toi et fou l'camp salope.
Je me suis caché avec mon pull, afin qu’elle ne puisse pas voir mon visage puis je parti en courant.
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| | | | Mar 8 Mar - 22:34 | |
| Elle avait l'impression d'être allongée sur le sol depuis des heures. Elle avait l'impression de n'être qu'un immense hématome, chaque partie de son corps lui faisait mal. Et il ne s'arrêtait toujours pas, il continuait sans relâcher son rythme infernal. Et quand il se retira, elle crut enfin la délivrance arrivée. Mais elle le sentit de nouveau la pénétrer quelques secondes plus mal, toujours plus brutalement. Elle crut l'entendre grogner. Et d'un coup, elle sentit le poids sur son omoplate disparaître. Lentement, elle tourna la tête et le vit debout derrière elle. « Si t'ose en parler ou même si c'est juste en glisser un mot... je te retrouve et cette fois, je ne vais pas te laisser t'échapper. » Même si elle ne distinguait que ses formes, rien le ton de sa voix indiquait qu'il était sérieux et qu'il n'hésiterait pas à mettre ses menaces à exécution. Elle ne répondit rien. Elle essaye plutôt lentement de se remettre en position assise en serrant ses bras autour d'elle, comme pour se protéger. Allez lève-toi et fout l'camp salope. Elle ne releva même pas l'insulte. Elle le vit partir en courant. Son calvaire était finit. Elle était saine et sauve. Et elle ne put s'empêcher de lâcher toute la pression, en laissant sortir un torrent de larmes.
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| | | | Mer 9 Mar - 0:21 | |
| Sujet terminé Peneloppe a été violée le 8 Mars 2011 dans les alentours de 23 heures. |
| | | | | | | | Run, just run and don't look back ... [Penny VS the Murderer] /!\ ATTENTION ÂMES SENSIBLES ! /!\ | |
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