ce soir, c’est le grand soir. l’apothéose, le spectacle suprême, la magie ultime. queen j stresse, juste un peu, pas trop sinon tu risques fort bien de transpirer et n’importe quel idiot sait que ce n’est pas glamour et la diva est toujours glamour, ce qui explique en partie que tu aies passé ton après-midi à prendre soin de toi, entre la manucure, pédicure et bien sûr le spa. tu regardes tes girls, c’est le silence, vous savez tous que vous risquez gros, toi plus que les autres parce que tu es juda et juda met un poing d’honneur à dépasser les autres en terme de souffrance ou de réussite. tu ouvres le bal, tu te lèves fidèle à toi-même, personne ne sait que tu stresses, tu tiens à rester égale à toi-même, capricieuse et chiante comme ils le disent si bien, mais tes girls sont depuis longtemps habituées. deux inspirations prises, tu montes sur scène ; queen j est plus que jamais éclatante. tu vas te poser sur la chaise en plein milieu des éclairages, toute l’attention est portée sur toi, il n’y a pas meilleure sensation que les regards des habitués ou nouveaux clients, ça te donne confiance. tu te laisses porter la musique pour effectuer cette danse sensuelle attendue par le public, le meilleur moment sûrement. tu regardes parfois un ou deux spectateurs dans les yeux et c’est là que tu croises le singe décérébré de danael qui est sûrement venu gâcher ta soirée. tu perds déjà sa concentration, tu le détestes trop pour le bien de ton travail, tu sens déjà venir la boulette.
tomorrow is another day and you won’t have to hide away. you’ll be a man, boy. but for now it’s time to run.
" Danadick bouges toi de ton lit !" Sa voix emplit ta chambre alors que tu grognes un truc entre mi-homme mi rien du tout. Tu veux dormir, mais Gaïa te laissera pas faire. Même à des centaines de kilomètres d'ici la voilà en train de te persécuter à te forcer à te lever à seize heure de l'après-midi. Tu lui dirais bien que la chimio t'a trop crevé, qu'hier t'étais incapable de te lever, et qu'aujourd'hui t'as juste la flemme par crainte de te sentir étourdit. Tu lui dirais bien mais ça ne serait que lui avouer par excuse, et tu ne le feras jamais. Tu ne le diras pas. Tu veux pas. Tu dis rien, tu répliques un truc, tu fermes ton téléphone. Mais c'est à peine trois minutes plus tard que tu entends la portes du bas s'ouvrir, les marche de ton escaliers grincer par les pieds lourd qui grimpent et les coups puissant à la porte. "Dick !!!!!! Ta maman nous a dit de te sortir." Luke. Pourquoi Gaïa doit-elle avoir le numéro de tes colocs ? Pourquoi doivent-ils autant lui obéir ?! Sacré nom de ... rien ! Pas de juron quand on est au lit.
Des heures que t'es debout, plus tellement de fatigue vu le café que t'as ingurgité. Habillé, coiffé rapidement grâce à ta nouvelle coiffure super courte, super bizarre, super nouvelle. Bref, t'as enfilé une chemise, un jean et des chaussures, ouais des chaussures, pour sortir c'est mieux. Oui parce que finalement vous voilà sortit, en entrant même dans un club de tu ne sais pas tellement trop quoi mais tu t'en fous. Wendy est venu à ton secoure, alors t'as pas dit non. Parce que Wendy te fait tout faire. Wendy pourrait te faire vivre si elle était médecin. Humour noir. Tu paye l'entrée de la blonde laissant les gars réglé pour eux. T'es galant, pas crétin. Et ton regard tombe sur une affiche, sur un nom, et un éclat de rire. T'as du mal à expliquer aux autres pourquoi d'un coup t'es explosé, mais là sérieusement tu peux pas t'expliquer. Non et jusqu'à votre table, jusqu'à se que la serveuse vous serve t'es toujours à rire un peu de l'ironie, de sa future réaction, de cette soirée. Ah mince si t'avais voulut faire ça, t'auras jamais fait mieux. Tu bois une gorgée, tu piques la paille de Wendy qui s'amuse à boire goutte par goutte. La musique commence, tu es vite concentré... et de nouveau tu manque d'éclater de rire. Franchement la situation est juste... juste... merveilleuse. Tu l'observes faire, cette fille qui a l'air d'avoir le monde dans ses mains tant elle y croit. Tu te moquerais même pas, t'oserais pas, elle te tuerait sur place. Non toi sa haine envers toi t'a toujours fasciné, amusé, et donné envie d'être gentil et adorable. Mais quand t'es adorable... t'es un vrai con. Totalement. Les gens la fixent, l'observent, et toi... toi aussi et tu sourie tel un môme quand tu croises son regard quand tu l'as vois réagir. Tu veux pas la faire foirer, t'es pas si méchant, non ais franchement c'est trop tentant et tu finis par siffler de manière "appréciateur" avec un sourire béat sur-joué sur ton visage.
tu vas le tuer, le saigner à blanc, le découper, l’étaler, le réduire en miettes, le battre jusqu’à ce que mort s’en suive. non, ce n’est pas le moment pour de telles pensées, il faut que tu restes concentré sur ce que tu fais, sur ton jeu de jambe et que tu évites de t’étaler lamentablement sur le sol, cela lui ferait trop plaisir. il faut que tu te calmes, que tu laisses porter par la musique et que tu oublies son regard sur toi, c’est tellement difficile puisque tu n’as qu’une envie quitter la scène, foncer vers lui et…tu ne sais pas vraiment ce que tu lui ferais, trop de scénarios alléchants mais queen j ne se salie jamais les mains, elle trouve toujours quelqu’un pour faire son sale travail ou elle l’ignore simplement, après tout tu es supérieure à tout ça, ça ne devrait même pas te tracasser mais nous parlons de danaël. tu reconnais qu’il est doué, tu ne sais pas comment il fait pour te faire changer de comportement de la sorte mais il est très doué mais tu ne perds pas, jamais, tu t’imposes et imposes, pas l’inverse. tu continues ton show comme convenu, le show continue qu’importe la situation, tu es plus forte qu’un être qui a raté l’échelle de l’évolution. tu finis ta danse et disparais dans les coulisses en croisant encore son regard, un jour tu feras disparaitre cet air suffisant. une fois dans ta loge, tu pousses un cris en balançant les premiers objets que tu attrapes. je vais le tuer, je vais le tuer ! tu croises ton reflet dans le miroir et ça suffit pour te calmer. un visage en colère est un visage hideux et tu ne le laisseras pas te rendre laide, non, il n’aura pas ce plaisir. tu enfiles un peignoir en soie rouge et tu sors de là, après une rapide beauté, tu as des trucs à gérer. tu as à peine fait quelques pas dans le club que tu te cognes contre une personne et tu as cette perfide sensation que tu ne vas pas aimer la suite. pitié dites-moi que c’est une blague ! tu t’exclames avec drame, bien sûr il fallait que ce soit lui. tu n’as vraiment rien d’autre à faire que de venir me persécuter sur mon lieu de travail ? bien sûr qu’il est là exclusivement pour ton tourment personnel.
tomorrow is another day and you won’t have to hide away. you’ll be a man, boy. but for now it’s time to run.
Le show continue et toi tu applaudis en rythme et tu siffles pour faire monter l'ambiance. Tu t'y met à coeur joie. Plus tu amènes les gens à suivre le rythme plus tu vois dans ses yeux la haine qu'elle te porte. C'est indéniable, plus tu agiras de manière immature pour l'aider ou faire un truc sympa face à elle, plus elle te détestera... et toi ? toi tu es un môme quand tu vois qu'on réagit, tu fais le triple, le quadruple même. Alors tu continues de la siffler, sous la moue boudeuse et rieuse de Wendy. Parce que oui Wendy sait faire plusieurs choses à la fois. Et tu continues de rire alors qu'elle finit sa danse et tu vois trop ô combien elle est furieuse même si elle le cache bien. Elle est douée, très douée. Franchement la comédie elle sait la jouer. Tu la suis des yeux, hilare, plié en deux tu retombes sur ta chaise ravis de ton effet. "Il.. enfin elle a des trop beau cheveux !" Wendy grogne, l'air ailleurs, parce que Wendy est pas de ce monde et se fout du reste. Tu ries , tu bois et tu finis par te lever cherchant l'entrée des artistes. C'est trop beau pour être vrai d'être là ce soir... et en cherchant la porte tu finis par te cogner dans une fille, trop grande la fille pour être une autre que Juda. Ouai parce que bon, généralement les filles elles font pas quasiment ta taille. pitié dites-moi que c’est une blague ! Douce voix mélodieuse aux accents d'hystérie. tu n’as vraiment rien d’autre à faire que de venir me persécuter sur mon lieu de travail ? Tu pourrais lui toucher deux mots sur le fait qu'elle est pas le centre du monde, mais toi rabaisser son égo de princesse tu y songerais jamais. Tu portes une main à ta bouche qui forme un parfait "O" surjoué de choc face à ses paroles. Moi ?! Te persécuter ?!! Tu la fixes avec tes yeux de cocker innocent qui ressemblent sans doute à du merlan-frit. Bref. Point du tout j'étais venu t'admirer voyons... et j'en suis navré j'ai oublié la douzaine de roses, ô votre Altesse... Tu lances avec une belle élocution en te penchant en une jolie révérence ta main bougeant quand tu te baisse avant de te relever lentement les yeux brûlant de rire.
tu as une occasion en or d’en finir une bonne fois pour toute, il suffirait simplement que tu attrapes tes escarpins et en deux coups bien portés, il ne sera plus là entrain de se moquer ouvertement de toi. oui, car c’est clairement ce qu’il fait, il sait que ça t’agace, donc il continue, s’acharne, bon dieu, il a oublié de grandir celui-là et il a manqué de fessées aussi et de disputes et de cadre…de beaucoup chose en fait. tu maudis ses parents, s’ils avait bien fait leur travail, vous n’en serez pas là, tu ne serais pas entrain de risquer ta tranquillité d’esprit pour lui. tout le monde sait que le stress et un fort agacement entrainent un manque de sommeil donc des cernes, voires des rides et des boutons dans ton cas. tu as la peau trop délicate pour la laisser se laisser abîmer par ce…tu ne trouves pas de mots assez forts sans sombrer dans la vulgarité. arrête de me prendre pour une idiote ! tu t’emportes et tu cries, comme à chaque fois que tu es dans les nerfs et tu mets tes mains sur ta bouche, tu ne dois pas te donner en spectacle. qu’est-ce qui cloche chez toi ?! tu t’ennuies tellement dans ta vie que tu te sens obligé de venir pourrir celles des autres ? le calme n’est toujours pas là, tu le seras sûrement quand tu le sauras à des centaines kilomètres de toi. les animaux de compagnie existent pour une raison, tu sais !
Sérieusement, les gens qui ne t'aiment généralement tu cherches pas plus loin. Enfin ça dépend qui. Et là c'était trop... tentant. Depuis que tu as fais sa connaissance c'est comme si elle t tendait une énorme pancarte pour attirer tes vannes et ton attention. Son attitude à jouer les diva outrée face à toi, à te diminuer comme si tu n'étais rien... non toi ça ne fait que t'amuser t pire, ne te donne que plus encore envie de déconner avec elle. Chose qu'elle ne semble pas concevoir. arrête de me prendre pour une idiote ! Quand elle te crie dessus t'avoues êtres un peu surprit la regardant un instant déconcerté par sa folie... Elle aussi elle s'en rend compte et tu l'observe essayer de se calmer. Peine perdue, tu sais très bien qu'entre vous deux déjà il y a six ans elle pétait les plombs quand tu étais dans les parages. Et à se que tu vois, ça n'a pas changé. qu’est-ce qui cloche chez toi ?! tu t’ennuies tellement dans ta vie que tu te sens obligé de venir pourrir celles des autres ? Ba oui, sérieusement t'as le choix entre te morfondre et attendre de crever, où déconner avec les gens, la vie, le sérieux et le reste. Tu as pas perdu de temps à choisir. les animaux de compagnie existent pour une raison, tu sais ! Tu ries en la fixant comme si elle était folle. Des animaux de compagnie ? Quand je peux plutôt m'occuper à venir te contempler en beauté danser ici ? Im-po-ssible ! Je suis désormais adhérent total à ce club très intéressant. C'est nouveau d'ailleurs ? Y'avait pas ça quand je suis partit de SF, tu l'as ouvert ? Tu demandes avec intérêt sur-joué évidement, bien que tu t'y intéresses vraiment mais bon, quittes à l'énerver...
d’accord, tu reconnais que tu as quelques torts dans la manière dont les choses sont entrain de tourner. quelques, seulement, en fait, un seul, celui qui est de lui accorder plus d’importance qu’il ne le mérite. il est certes responsable de vos histoires, à sans cesse venir te provoquer, à te persécuter dès qu’il en a l’occasion en gamin capricieux et immature mais tu te dis que toi, tu devrais être la personne mature de ce duo, qu’est-ce que tu racontes vous n’êtres pas un duo, ni rien du tout mais peu importe pour le moment. tu viens de trouver le moyen de le battre à son propre jeu, être la personne mature entre vous deux, la personne responsable et réfléchie. ca te va comme un gant ce rôle, il a été taillé sur mesure pour tes jolies petites fesses et toi. n’y pense même pas, tu n’as pas les moyens répliques-tu aussitôt, avec un sourire sarcastique sur les lèvres. ce n’est pas bien cher mais si ça peut suffire à refroidir son dynamisme et qu’il te laisse enfin tranquille, tu tentes ta chance. au fond de toi tu sais que, non, ça ne suffira pas, il est trop entêté, trop buté, qu’il ne te lâchera pas aussi facilement. et puis, oui, ce club est à moi donc inutile de revenir, on se passera de ta présence en tant que patronne, tu aurais sûrement dû pratiquer l’hypocrisie comme à ton habitude pour contenir les clients trop entreprenants ou collants, mais encore une fois, c’était impossible avec lui. tu es sur le point de partir, vaquer à tes occupations en demandant à ce qu’on le surveille de près mais c’est là qu’à choisi un autre décérébré pour te bousculer de façon à ce que tu perdes l’équilibré perché sur tes hauts talons et ne tombe sur ton invité surprise, t’accrochant par réflexe à son cou. les choses n’auraient pas pu être plus pires qu’à l’heure actuelle.
Tu vois bien que tu l'agaces, non pire tu l'exaspère cette diva. Et toi, toi ça ne te fais rien. Tu devrais vouloir la baffer, lu dire de redescendre de son trône imaginaire, que les drama queen c'est finit. Mais non, tu n'en fais rien. Non tu t'en amuses, tu ne fais que l'embêter sans jamais être méchant. C'est pas comme si t'étais irrespectueux en plus, tu te fends en courbettes, sourire, compliments et autres mimiques plus que sympathiques. Mais bon ton attitude à les faire et ta personne suffisent à la retourner de dégout. n’y pense même pas, tu n’as pas les moyens Oh, une voix posée, une voix calme et une voix supérieur. Non tu ne veux pas qu'elle abandonne les armes c'est trop triste les gens mature. Tu souries amusé en l'observant, toi ne pas avoir les moyens ? Suffit de demander à grand-mère sénateur si vraiment tu veux. Mais ça t'a trop d'amour envers ton autonomie. Et puis t'as largement de quoi vivre, ton immense appart tu le partage juste par goût d'être en colocation. Pour ta personne je peux trouver les moyen, Jus d'abricot. Tu lances avec ce surnom sortit de nul par mais que tu idolâtres dès l'instant. et puis, oui, ce club est à moi donc inutile de revenir, on se passera de ta présence Là tu es admiratif, tu jettes un regard au club te fichant bien qu'elle risque de le prendre encore plus pour son égo ce genre de réaction. Mais franchement avoir ouvert un truc comme ça, c'est super cool. Pas mal la diva finalement. Finissant par reposer le regard sur elle en ouvrant la bouche elle tourne déjà les talons à ton grand déplaisir. Quoi toi t'aimes bien discuter avec enfin. Oh tu sais... Pas vraiment le temps de finir, que vu le monde autour elle se fait bousculer sans douceur et que t'as pas vraiment de voir la scène réagissant juste en la retenant quand même. Quoi tu l'as dit que ton but était pas d'être méchant. La laisser s'écraser au sol aurait été mesquin. La récupérant par la taille, tu la sens surtout s'accrocher à toi alors qu'un sourire malin nait sur ton visage alors que tu l'observes. Et voilà, je savais que tu finirais pendu à mon coup... Tu dis dans un soupire sur-jouant la phrase qui est lasse comme si tu avait toujours raison et que personne te croyait. Pas de ta faute, ta nature est comme ça. Encore heureux qu'elle est pas lourde pour un mec. Ouis... ok... étrange réflexion vu comme ça.
jus d’abricot ? a-t-il osé vraiment osé t’appeler comme ça ? toi ? tu lui sors ton regard le plus noir que tu as en réserve. tu n’en reviens tout simplement pas. il te fait perdre ton temps, te prends la tête et maintenant il t’affuble de sobriquets ridicules. tu es sur le point de perdre ton calme, mais bon sang, est-ce que tu as l’air de ressembler à un abricot ? il faut bien que quelque chose l’ait inspiré de t’appeler de cette manière. il lui faut des lunettes, définitivement. en réalité, il faut simplement qu’il arrête de te suivre, d’utiliser son temps libre pour venir te faire perdre le tien. c’est si compliqué d’être toi, compliqué d’être une personne géniale à cette époque. ne m’appelles plus jamais comme ça dis-tu finalement, essayant de te montrer menaçante, si seulement ça peut fonctionner qu’il te fiche enfin la paix, tu ne demandes tout de même pas la lune ! tu perds rapidement tout crédibilité lorsque l’instant d’après tu te retrouves pendue à son cou, bien sûr, il se sent obligé de faire une remarque. il a aucune occasion en or de te pourrir encore plus la vie, tu le maudis, lui et le type qui t’a bousculé, d’ailleurs ça ne t’étonnerait pas que les deux soient de mèches. la ferme tu dis finalement en te dégageant de lui mais tu y reviens très vite -pas trop proche quand même-, ta cheville étant douloureuse et tu sais par expérience qu’il ne faut pas trop forcer dessus. a chaque fois que tu es dans le coin, quelque chose de grave arrive ! c’est quoi ton problème ?! tu es plus que jamais énervée, rien de tout ça ne serait produit s’il n’avait pas décidé de venir faire ce qu’il fait de mieux à savoir gâcher tes instants de bonheur, peut-être même que c’était ça le plan, mais oui, ça ne pouvait qu’être ça. tu ne peux pas savoir à quel point je te déteste ! tu es hystérique, il s'en doutait peut-être mais il peut être sûr que ça encore grandi depuis le temps. je fais comment moi maintenant ? tu as toujours eu cette tendance à dramatiser la situation et à être plus douillette que la moyenne, heureusement il n'es pas question pour toi d'enfanter.
Tu ne te focalises même pas sur son regard tueur lorsque tu prononces ce surnom.Toi tu le trouves fun, tu te demandes même comment tu as pu mettre autant de temps à le sortir. Et tu songes aux immenses possibiltés d'autres nom. Elle te menace sur ce point, mais toi évidement tu écoutes même pas se qu'elle cherche à dire. C'est fou d'être aussi sérieux et coincé comme ça. c'est très mal poli de menacer les gens Jud'ananas... Tu déclares bien que rapidement interrompu par la situation. Tu la récupères donc facilement lobservant un instant de réellement près alors que sa colére semble pas vraiment l'enlaidir. Et elle recule en rejettant la faute sur toi. Trop facile tout cela. Mais te revoila de nouveau solicité a la tenir alors qu'elle se met à piailler et râler. Mon dieu les filles. Pire, Juda. Je ne suis pas de mêches avec tous les malheur de ta vie voyons, je sais m'occuper quand ta superbe présence nn'est pas la pour embellir ma vie. T'as bien envie de lui que les mecs sont pas douillet mais ça serait politiquement pas correct. Quoi ? Pas de ta faite ok, pour toi Juda c'est une nana mais t'as toujours des bugs. Comme par exemple au début, même en l'embetant t'étais toujours perdu à dire il ou elle. Bref ! Toi en faitee tu t'en fou, elle est fun. Et tu lèves les yeux ciel en riant avant de passer un bras autour d'elle. Mon dieu le ciel va en tomber presque de cet acte. te plains pas t'as qu'a porter des teucs moins haut... allez Princesse Jud'avocat je te ramène gentillememt en coulisse. Mais que si tu me promet de cesser de te pendre a mon cou en voulant m'embrasser. Je suis pas un gars facile voyons ! tu lances en riant commencant a avancer avec.