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C'EST DE L'ESPOIR QUE JE CARESSE. (camil) i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 23:05 | |
| Tu restes ainsi contre ses lèvres avec ferveur, des doigts parcourant sa peau qui semblent presque brûlante et ne cesse de t'appeler. Tu vires sa robe, tu la poses sur cette table tu la sens se décolelr de tes lèvres sans que tu puisses t'y résoudre. Mais elle y arrive quand même alors tu dis rien, tu écoutes, tu l'observes coller contre ton visage. Ses yeux qui comprennent rien. Ps la seul, toi aussi à l'intérieur tu comprends rien. T'es pas du genre bâtard, les seuls fois où t'as été en couple t'as jamais fait ce genre de connerie. Mais sur le coup là maintenant, tu y penses pas. attends, attends, attends… Tu croise son regards tu la supplies presque de s'arreêter. Pas de demander, tu sais déjà qu'au moment où les question viendront, ça sera foutu. tu… pourquoi tu… SEs lèvres reviennent à moi avec force alors que je scelle pour le moment ce sujet, détachant son soutien-gorge avec brio je l'abandonne sur la table mes doigts glissant dans ses cheveux alors que je la resoulève une énième fois quittant le salon, la télé encore allumé... avant de finir dans ma chambre avec elle sans me poser de question, électrisé par le simple contact de sa poitrine contre mon torse.
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| | | | Mar 18 Mar - 13:04 | |
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tu sais que tu ne devrais pas. mais lui aussi, c’est lui qui a commencé. et t’étais trop énervée pour réagir. merde. tu sais que tu devrais le stopper. si tu avais une conscience, une morale, une idée de ce que sont les remords. mais tu ne connais pas tout ça. surtout quand il s’agit de camil. tout ça disparaît. tu ferais tout et n’importe quoi pour qu’il soit à toi. tu sais que tu le payeras plus tard. ça oui. et cher. mais là tout de suite tu t’en fous. il est à toi, là tout de suite et c’est ce que tu demandes depuis le début… il te soulève et tes bras s’accrochent une nouvelle fois autour de son cou, sans séparer ses lèvres des siennes comme si t’allais en crever. tu te retrouve allongée dans ce lit que tu connais que trop bien pour y avoir couché (au sens propre du terme) des milliards de fois. ta peau est collée contre la sienne et alors seulement tu comprends que ton soutien-gorge n’est plus. tu plies un peu les jambes pour serrer son corps entre elles. tu voudrais le mordre comme tu sais si bien le faire, mais tu sais que t’as pas le droit de laisser de marques. tu te contentes de pratiquement bouffer ses lèvres. t’es essoufflée et toujours aussi perdue mais tu ne demandes pas ton reste, tu veux pas lui laisser le temps de réfléchir. parce que tu sais qu’il va regretter ce qu’il est en train de faire. et t’as pas envie qu’il regrette… « t’es qu’un sale con. » tu souffles, pour lui rappeler que quand même, t’as pas oublié ce qu’il a dit quelques minutes plus tôt, et que ça te fait toujours mal. evidemment là, personne pourrait s’en rendre compte. tes mains s’accrochent dans ses cheveux.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mar 18 Mar - 17:37 | |
| t’es qu’un sale con. Les mots raisonnent contre tes lèvres, contre vos corps, dans ta tête et dans le silence. Si seulement. Si seulement t'étais que ça. Un sale con. Si seulement c'était si simple, d'être con, d'être méchant. Ça serait tellement bon. Mais non, tu fais pas les choses simplement, t'as jamais su faire. Alors tu réponds rien, repoussant se qui pourront être des remords à plus tard, à après, à demain, à un autre jour. Tu reprends possession de ses lèvres, tu griffes sa peau sans vraiment le vouloir, tes lèvres descendant sur sa poitrine avec une envie brûlante, passant sur ses marques d'encre qu'elle s'est incrusté dans la peau, comme toi. Tu accroches son bas, le descendant en tirant dessus, alors que ta bouches descend en même temps. Tu la mors légèrement à la hanches, abandonnant sur ton matelas sa lingerie à laquelle t'apporte aucune attention. T'en a rien à foutre. Tu remontes déjà à ses lèvres rougie par l'assaut des tienne, ça ne t'empêche pas de recommencer à l'embrasser sans douceur. Tes mains glissant sur son corps comme si tu l'avais jamais touché.Comme si tu la découvrais avec adoration.
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| | | | Mar 18 Mar - 20:10 | |
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il y a beaucoup trop d’emotions qui se bousculent a l’interieur de toi. la colere que tu pouvais eprouver quelques minutes plutot n’avait pas disparue. et tu savais qu’elle ne disparaitrait pas de si tot. hurler un bout coup avait juste attenue la douleur. assez pour que tu sois calme pendant quelques jours. bien sur elle reviendrait. avec camil, elle revenait toujours. mais t’aimais le detester presqu’autant que l’aimer. c’etait pour ça que vous en etiez la. la, maintenant. parce que tu le detestais pour ce qu’il t’avais dit ? et que tu l’aimais pour t’avoir fait taire de cette façon. c’etait mal et tu etais partagee parfois entre l’envie de l’arreter et l’envie de continuer. mais la pression de son corps contre le tien, de vos deux peaux nues l’une contre l’autre te faisait oublier ça, plus vite que l’eclair. ta culotte disparait. le feu en toi voudrait s’attenuer, mais tu ne peux pas. tes levres te brulent comme jamais. rien n’est pareil, tout est different et pourtant, t’as l’impression que c’est exactement la façon dont les choses devraient fonctionner. t’es toujours aussi perdue. pas le temps de respirer. camil deja a nouveau pris possession de tes levres. d’un mouvement brusque tu le pousses sur le cote pour te mettre a califourchon sur lui, tes levres toujours plaquees contre les siennes. tes baisers descendent dans son cou, sur ses clavicules, son torse cache derriere ses innombrables tatouages que tu connais par cœur pour en avoir dessine la plupart. tu fais glisser son caleçon avec rapidite, avant de remonter, sans y passer avec tes levres, pour emprisonner ses levres.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mar 18 Mar - 20:38 | |
| Tu restes collé à elle ne pouvant t'empêcher un seul instant de t'arrêter. Ça va faire mal tu le sais, après ça sera pire que tout, peut-être pire qu'avant. Mais tu penses pas, les conséquences sont invisible face au corps de Magda, dénudé et ses tatouages entièrement apparent à ton regard. Ses lèvres répondant aux tiennes sans même un soupçon de retenue. Vous êtes pareil, pas addict, pas accro. Juste foutu, l'un de l'autre, l'un contre l'autre, sérieusement c'est pas humain de vivre comme ça et pourtant ça fait sept ans. Et depuis SF c'est pire. Ou c'est mieux, t'as jamais rien dit la dessus, tu t'es toujours contenté de pointé du doigts sa jalousie maladive, qu'elle soit trop possessive, jamais plus loin. Et tu la laisse passer au dessus un brin agacé, bien qu'au fond ça aussi ça te plait,t out te plait, enfin pas dans ce sens plaisir contrôlé. Tu sais pas tu peux pas l'expliquer. Tu te mors violement la lèvre en la sentant descendre le long de ton corps, ta peau réagit presque à cette tentation diabolique. Tentation ? Quelle tentation, tu y a céder à peine était-elle visible. Tu te cambres pour l'aider à virer ton bas, et déjà tu la reprends contre toi pour l'embrasser avec ardeur, sérieusement t'es loin de demander plus d'attention que cela pour ce soir, pour cette fois. Te redressant sans échanger les places tu passes un bras autour d'elle pour la coller à ton torse, te penchant juste vers le bords de ton lit cherchant à tâton un préservatif avant de revenir sur le lit laissant l'emballage tomber sur le matelas, déjà vidé de son contenu. Tu restes tout ce temps collé à ses lèvres à son cou, qui sans vraiment le vouloir se marque de ton passage. Pas voulut, t'y prête pas attention.
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| | | | Mar 18 Mar - 21:36 | |
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après tout, toi t’es célibataire. et c’est lui qui t’as embrassé. tu n’as rien n’a te reprocher si ce n’était de ne pas l’avoir repoussé. mais franchement ? toi, magda, repousser camil ? était-ce au moins déjà arrivé une fois ? oui il te controlait. ce n’était un secret pour personne. alors en t’embrassant il devait savoir que tu n’allais pas le repousser et que les choses allaient déraper de la sorte… la tension est clairement palpable à ce moment. t’as pas l’impression qu’il attende quelconque attention particulière de ta part, en bas. pas vu la force dont il t’a remonté jusqu’à ses lèvres en te collant contre lui. c’est trop violent et trop romantique à la fois que tu sais pas trop quoi penser. ça ressemble en rien à la façon dont les choses avaient pu se passer entre vous… tu te pose pas la question, enfin pas tout de suite. demain, quand tu seras rentrée chez toi et que tu te ferais un débriefing mental… mais pas tout de suite. collés l’un contre l’autre, vos deux corps brulants… tu commences à avoir vraiment, vraiment très très chaud. tu suffoques presque mais plutôt crever que de demander un répit. il bouge, tu fais pas attention. enfin, tu te doutes. tu connais ses tiroirs. tu attends qu’il soit prêt. toi tu l’es…
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mar 18 Mar - 21:49 | |
| Tu de débrouilles comme un grand pour le reste, pas besoin d'elle ce soir. Ok t'avoues que c'est plus sensuel quand ce sont ses mains, mais là tu t'en fou. Mais radicalement. La repoussant en arrière c'est juste pour repasser au dessus d'elle alors que tu glisse entre ses cuisses avec aisance et rapidité passant à la suite, avec un coup de bassin pas forcément super doux. C'est limite bestial, mais c'est pas pour autant que tu t'en fous, c'est pas pour autant que c'est irrespectueux. Oui ok ça l'est, ça l'est de faire ça alors que tu savais très bien qu'elle refuserait pas, tu sais que c'est irrespectueux de foutre la merde comme ça. Mais son corps tu le respectes et Mag'... aucune personne qui tient à sa vie pourrait seulement songer à dire que tu la respecte pas. Cette voracité dans ton besoin de ton corps c'est nouveau, mais c'est presque bon dans un sens. Tes lèvres lâches les siennes pour glisser dans son coup, essayant de reprendre du souffle entre tes coups de reins. T'as chaud, pire que ça, l'effort n'est pas la seule cause tu le sais très bien, c'est son effet à elle aussi, à cette tension, à cette ambiguïté. A tous. Mais tu continues ce plaisir impossible montant beaucoup, mais alors beaucoup plus vite qu'en temps normal...
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| | | | Mar 18 Mar - 22:02 | |
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sans trop comprendre comment, tu te retrouves une nouvelle fois sur le dos, camil entre tes cuisses et un premier coup de rein, violent. tu te cambres automatiquement, rejetant la tête en arrière, les yeux clos. et la cadence se poursuit. tu t’accroches à lui tellement fort que tes phalanges en deviennent presque toutes blanches. tu suis son rythme avec aisance, faut pas croire. tu relèves un peu les jambes pour plus de sensations. les va et vients de camil te remuent l’estomac, tu sais pas ce qui se passe… tu sais juste que merde, c’est bon et ça fait du bien. et sans mentir, depuis la dernière fois, tu voulais que ça se reproduise. sauf que là c’est encore mieux, parce que tu t’attendais pas à avoir ce que tu voulais. des vagues de plaisir te parcourent en nombre infini. t’as même plus le temps de prendre ta respiration. tu te mords les lèvres. bordel. c’est n’importe quoi. mais tu peux rien faire pour l’empêcher, t’aimes beaucoup trop ça. tu accentues tes mouvements à toi aussi. tu sais très bien que vous allez pas tenir longtemps à ce rythme mais peu importe.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mar 18 Mar - 22:12 | |
| T'as rien programmé, rien prémédité. Non si sérieusement t'avais eut ne serait-ce qu'un doute t'aurais jamais accepter de la voir. Tu y pensais pas. Tu t'y attendais même pas à la voir. Elle a débarqué, bordel elle a même frappé. Rapport civilisé. Comme quoi pleine d'effort, et c'est toi qui vient tout foirer. Oh non c'est sur que demain tu pourras même pas te regarder dans un miroir, tu vas t'en vouloir. Pour elle. Pour elles. Mais c'est déjà trop tard, trop partit loin, et puis de toute manière s'arrêter serait impossible. Le corps de Magda bougeant sous toi en rythme avec le tien est juste impossible à stopper. T'es là, quasiment haletant à chaque coup de bassin qui te ramène plus profond en elle, ça te brûle la gorge, ton souffle qui déraille. Mais impossible de s'arrêter, même si tu voulais. Mais de toute manière t'en veux même pas de cette idée. Alors tu continues coups de reins après coups de reins, sa peau blanche marqué pour les jours a venir sans que tu y fasses attention. Tu sens la fin venir beaucoup trop vite, sérieusement trop vite. Plus ses brutale, plus c'est fort, moins ça dur. Et pour une fois de ton côté c'est sur que c'est vraiment rapide à en finir... Enfin en même temps... les circonstances et Magda, ça explique les choses.
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| | | | Mar 18 Mar - 22:34 | |
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t’es complètement épuisée. par toutes les émotions qui t’envahissent et aussi bien sur l’activité physique intense que tu es en train de pratiquer. t’as jamais fait l’amour aussi violemment. c’est aussi épuisant que c’est bon. et dieu seul sait à quel point tu es épuisée. tu sais que tu ne tiendras pas encore des heures à ce rythme là, même si vraiment tu voudrais. tu voudrais que ça dure, des heures, des jours… tu sais que camil aussi ne tiendra pas. t’es pas folle, tu sais très bien comment ça se passe ses choses là. en plus avec toute la tension accumulée tu sens que tu vas venir bien trop prématurément. alors tu fais tout pour faire durer les choses encore un peu. pour lui. pour toi aussi. pour le plaisir tout simplement. tu fermes les yeux et tu prends son visage entre tes mains pour l’embrasser à pleine bouche. tu finis par lâcher prise, accompagné d'un gémissement et soudain tu te détends, tu remarque que tout ton corps était crispé par la tension. merde. merde. tu culpabiliserai presque, tellement c'était bien. presque, seulement.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mar 18 Mar - 22:43 | |
| Ok, toiet Magda vous avez jamais fait ça. Pas aussi... pas comme... pas pareil. T'es là le souffle court, ralentissant tes mouvements avant d'en finir pour de bon, les lèvres de Magda se refermant sur le silence de la pièce. T'as chaud, t'es brûlante, t'es au bord du malaise tant t'as du mal à respirer. C'est bon, et c'est ça le pire. Le plus atroce. Elle est sous toi, toujours aussi essoufflé, ses joues rosie par tout ça. Bordel. Qu'est-se que t'as fait ?!! Tu te décolle d'elle tu t'écartes la libérant de son emprise, et libérant son corps du reste. Bordel. Tu dégages la capote allant la balancer dans ta poubelle de chambre avant de prendre appuie sur le bureau, tu t'habilles même pas. De toute manière pas la peine, c'est Magda et puis vu se qui vient de se produire. Tu lui tournes le dos reprenant ta respiration les deux points posé sur cette table alors que ton esprit n'arrive pas à se clarifier malgré l'oxygène qui revient peu à peu. Malgré le calme qui s'empare de nouveau de chacun de tes muscles. T'es en sueur, mais tu t'en fous. Et ce putain de silence te blase.
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| | | | Mar 18 Mar - 22:51 | |
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tu restes là. sans bouger. nue. essoufflée. extase. mais t’es pas sure que ça va durer. parce que camil se lève pour jeter la capote. de ton coté tu récupères ta culotte. toujours en essayant de reprendre ton souffle avec difficulté. il te tourne le dos et tu sais qu’il va recommencer à cogiter. tu le sais. t’en a déjà marre. t’as pas envie de subir ça, pas maintenant. t’as pas la force. pas après ce qui vient de se passer. pas après qu’il vienne de coucher avec toi comme s’il sortait de prison. qu’il essaie pas de te faire croire que ça veut rien dire. et de toute façon, tu lui demandes rien. tu t’en fous qu’il fasse comme si c’était pas arrivé pour se donner bonne conscience. t’assumes toi, mais si lui ne veut pas tu t’en fous. ta culotte remise en place, camil te tournant toujours le dos, tu sors du lit pour retourner au salon pour récupérer le reste de tes fringues. tu laisses couler ta robe sur toi, tu jettes ton soutien-gorge dans ton sac et tu t’assois juste sur le canapé pour remettre tes chaussures. tout ça dans un silence de mort.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mar 18 Mar - 22:57 | |
| Tu restes là, plus silencieux que jamais. Tu sais même pas quoi dire à Magda. "J'suis désolé" Pathétique, l'es-tu vraiment ? T'en sais rien, c'est ça le plus honteux. T'es là debout à poil dans ta chambre, ton plaisir grisé par tes pensées. Tu l'entends se lever et sur le coup tu réagis pas, tu fais rien pour lui parler, pour la retenir. T'es juste là prendre conscience de la vérité. De cette putain de vérité. T'as beau jouer à être un connard, t'en étais jamais arriver à ce stade là. Jusqu'à maintenant. Tu avales ta salives, ta gorges te brûlent, tes yeux aussi alors que t'inspires pour retrouver ton souffle. Refroidir ton corps. Tu finis par tourner la tête fixant le lit vide de sa présence, les draps froissé, le matelas ayant encore le trace de son corps. Y'a ton short au sol, tu le reprend l'enfilant en silence alors que tu rejoins le salon. Elle est habillée, presque comme si rien de cela c'était passé. Mais c'est faux. Suffit que tu regardes la table pour y voir son soutif au sol. Tu t'avances à peines. Tu pars ?... Pathétique comme question, m'enfin t'as du mal quand même à bien articulé, à la poser cette question. Tu sais même pas si qui serait le mieux, mais... c'est Magda, t's besoin d'elle. Maintenant encore plus, avec ta connerie. Ta connerie sur elle. Comment tu vas faire, hein ? Connard.
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| | | | Mar 18 Mar - 23:06 | |
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chaussures aux pieds. camil débarque alors seulement dans le salon. tu te relèves et tu vas chercher ta veste que tu enfiles alors qu’il semble encore prendre conscience de ce qui vient de se passer. t’as l’impression d’être dans une faille spacio-temporelle. genre, tu sais même plus si ça s’est vraiment passé. t’es vraiment dans la merde. enfin, lui plus que toi. mais si ça s’apprend. s’en est fini de vous. tu soupires. « tu pars ?... » t’as ta veste sur le dos, donc ça semble plutôt facile à déduire. « oui… » tu te racles la gorge. « oui, ça vaut mieux je crois. » tu jettes ton sac sur ton épaule. tu sais même pas quelle heure il est tant pis, tu feras une exception : tu commanderas un taxi une fois en bas. « hm… t’es pas obligé de lui dire hein. » tu parles de denver évidemment. « je veux dire… je m’en fous. dis lui pas, fais comme si rien n’était arrivé. ça sera plus simple pour toi. » tu dis pas ça par trouille de la vérité ou parce que tu veux prendre denver pour une conne. tu dis vraiment ça parce que tu le penses, que ce serait plus simple de rien dire à personne.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Mer 19 Mar - 23:29 | |
| Plutôt bête comme question mais sur le coup tu sais pas quoi dire d'autre. C'est encore pire si elle se casse comme ça, mais tu te tais, tu l'as mérité hein ?! oui... oui, ça vaut mieux je crois. Se qui est mieux ? Y'a plus vraiment rien de mieux de toute manière, ça va aller qu'au pire. Tu te tais, ouais y'a des fois tu sais très bien faire. Te la fermer. Pas forcément au bon moment. Enfin là de toute manière t'as pas grand chose à répliquer, hein ?! Ouais exact, alors tu préfères ne rien rajouter, juste... Oui voila. Toi même tu sais pas, tu sais plus, tu sais rien. Tu... restes là sans bouger. Priant pour que ça change rien entre vous, parce que tu sais déjà que de l'autre côté tout va changer, tout va partir. Tu le mérites, oh tu sais très bien à cet instant là. hm… t’es pas obligé de lui dire hein. Tu relèves la tête sans trop comprendre. Enfin tu sais très bien de quoi elle parle mais... tu comprends pas, tu captes pas. Qu'elle te dise ça, qu'elle puisse vraiment penser que tu le feras. T'as les pires des défauts peut-être, mais infidèle n'avait encore jamais figuré à ton palmarès. je veux dire… je m’en fous. dis lui pas, fais comme si rien n’était arrivé. ça sera plus simple pour toi. "Je m'en fous" tu encaisses en silence sur le coup, blessé par ses paroles. " Je m'en fous". Quoi , toi tu t'en fou pas, pas d'avoir tout foutu en l'air, pas de ça. Tu t'en fou pas, parce que t'aurais pas envoyé tout balader l'avenir de ta relation pour une conne en minie jupe, pas pour n'importe qui. Mais t'en dis rien. Tu la fixe juste un moment. J'vais pas lui mentir. Pas encore une fois, pas maintenant, pas lui mentir alors qu'elle t'a donné une seconde chance. Tu l'a foiré, comme quoi t'es bel et bien en enfoiré. Tu détournes le regard sur la fenêtre. J'dirais que c'était une autre nana elle viendra pas te faire chier. Ouais, tu veux pas que ça lui retombe dessus, c'est passa faute à Magda, tu lui a sauté dessus.
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| | | | Jeu 20 Mar - 17:13 | |
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tu croises les bras sur ta poitrine en attendant la suite. tu sais pas ce que c’est. vous avez déjà certainement fait assez de dégats. pas de ton coté, personne t’attend et personne n’attend quoi que ce soit de ta part. mais lui si. tu sais pas ce qu’il compte faire. ça te regarde pas. t’étais pas venue dans le but de le faire céder. pas cette fois. c’était quand même un sacré hasard que ce soit pile quand tu décidais de prendre sur toi et de ravaler ta jalousie et ta possessivité que ce soit lui qui te saute dessus comme il l’avait fait. mais tu n’avais pas de volonté, ou alors pas assez pour lui résister. c’était camil et il faisait ce qu’il voulait de toi, presque. « j'vais pas lui mentir. » tu lèves la tête vers lui. tu hausses les épaules, presqu’indifférente. après tout, denver tu t’en fous complètement. « j'dirais que c'était une autre nana elle viendra pas te faire chier. » un a un minable sourire qui se forme sur tes lèvres pour disparaître aussitôt. comme si c’était ça le problème. comme si c’était ça qui t’effrayait. denver en colère. même denver au bord de la crise de nerfs avait autant de chance de te faire du mal qu’un lapin nain. c’était pas sa faute, elle était juste passive. pas comme toi. dommage pour elle. t’avais pas peur d’elle. tu hausses une nouvelle fois les épaules. « je m’en fous de ça. dis que c’est moi si ça te chante, ça me pose pas de problème. j’assume. je m’en fous que ta copine me déteste, c’est déjà le cas. juste que si tu veux rester avec elle sans te prendre la tête avec ça, alors tu la boucles. je lui dirais rien et personne le saura. » tu expliques posément. « enfin, tu fais ce que tu veux. c’est ton couple, pas le mien. » tu remontes ton sac sur ton épaule. tu remontes sur la pointe de tes pieds et claque un bisou sur sa joue. genre… « salut. »
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Jeu 20 Mar - 17:18 | |
| je m’en fous de ça. dis que c’est moi si ça te chante, ça me pose pas de problème. j’assume. je m’en fous que ta copine me déteste, c’est déjà le cas. juste que si tu veux rester avec elle sans te prendre la tête avec ça, alors tu la boucles. je lui dirais rien et personne le saura. Elle le répète encore une fois et ça t'insupporte ce genre de truc, mais sérieusement t'as de quoi pester ? Non toi t'as juste à la fermer. Enfin c'est toi, et c'est Magda et t'as jamais su te la fermer... ouais...tu t'en fous de tout toi... Tu répliques à mi voix, sans même l'intérêt de la provoquer. C'est qu'une constatation, plus ou moins douloureuse, mais bon ça tu devrais t'en foutre. Alors tu la laisse continuer, venir te saluer. enfin, tu fais ce que tu veux. c’est ton couple, pas le mien. Salut.Tu sens vite fait ses lèvres sur ta joue tu dis rien, tu détournes le regard voulant pas t'énerver sur ce détail. Elle a raison, c'est ton couple, et elle, elle s'est fou, de ton couple, de ta meuf, de se qui vient de se passer. De tout. Tu essayes même pas de comprendre, tu la laisses simplement filer.
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| | | | | | | | C'EST DE L'ESPOIR QUE JE CARESSE. (camil) | |
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