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C'EST DE L'ESPOIR QUE JE CARESSE. (camil) i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| Lun 17 Mar - 16:13 | |
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tu es arrivée il y a quelques heures à san francisco. t’as passé un très bon weekend en ukraine avec gaia. d’accord, c’était carrément le bordel là-bas, ce qui te donnait encore plus envie de rentrer. mais voir tes parents t’avait fait un bien fou. passer du temps avec gaia en ukraine à faire tout et n’importe quoi, assez pour presque vous faire tuer si on vous avait chopper t’avait donné un sentiment de liberté et d’être complètement vivante. chose que tu n’avais pas ressenti depuis quelques temps déjà. tu sors de ton bain et attrape les premiers fringues que tu trouves dans ton placard. qui est vide puisque tu avais foutu toutes tes fringues dans ta valise. tu enfiles donc une robe noire. tu passes ta veste en cuir par dessus et tu enfiles à tes pieds des docs noires. tu roules ton papier qui tu avais ramené d’ukraine et le tien roulé à l’aide d’un élastique. tu attrapes ton sac et tu pars. il fait déjà nuit. tu sais même pas quelle heure il est. quelques minutes plus tard, arrivée chez camil. tu frappes en observant ton poster roulé dans ta main. et puis soudain t’as un flash. merde. c’est la nuit. tu l’as pas prévenu que tu viendrais, tu sais même pas s'il sait que t'es rentrée. si ça se trouve, il est avec denver. si denver te voit alors que vous aviez promis de moins vous voir, elle allait jamais comprendre que tu débarques chez son mec en pleine nuit. merde, merde, merde. tu reviens sur tes pas et commence à partir. un jour, t’apprendrai à réfléchir avant d’agir. un jour.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 16:23 | |
| Ce sont des coups à la porte qui te réveille en sursaut sur le canapé. Le salon étant totalement obscure si on oubliât l'espèce de documentaire sur les requins qui passent à la télé. Tu met du temps à comprendre. Siloë ? Non pas de bruit. Le salon, ça te captes. Ok, quelqu'un à frapper. Bordel c'est rare que tu t'endormes aussi profondément devant la télé.Sérieusement qui est-se qui vient frapper à cette heure là ? Tu te mets debout pour allumer la lumière attrapant un pull pour un minimum t'habiller étant vêtu que d'un short ample. Tu jettes un regards à l'horloge en allant ouvrir, puré ça c’est pas Denver vu l'heure impossible. Tu tournes les clefs, ouvrant la porte. Oui ? Encore à moitié endormie tu te retrouve devant... personne. Ok, c'est quoi le délire ? Te frottant la tête en virant tes cheveux tu finis par faire un pas en avant mattant le couloir avant de voir une silhouette brune et trop fine pour ne pas être identifiable même pas un état de sommeil et de défonce comme le tiens. Mag' ? Tu t'exclames en fronçant les sourcils comprenant pas pourquoi elle part.
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| | | | Lun 17 Mar - 16:30 | |
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quand t’entend la porte s’ouvrir t’es déjà assez loin. tu fermes les yeux. merde. t’avais l’espoir qu’il ait pas entendu et alors toute cette histoire serait resté un secret entre toi et toi. « mag ? » tu te retournes et grimace. tu reviens sur tes pas en sa direction. vu sa tenue, c’est sur que denver est là. t’es vraiment stupide de pas avoir pensé à envoyer un pauvre message avant de débarquer ici comme une fleur. t’allais encore foutre la merde, alors que t’avais promis de prendre tes distance et de plus faire chier le monde (enfin, tout était relatif, quand même) « excuse pas, j’ai pas réfléchis. t’es avec denver ? bon, t’sais quoi laisse tomber. je repasserai demain. je t’avais ramené un souvenir d’ukraine. mais c’est pas grave, je reviendrai demain soir. » tu chuchotes pour pas réveiller sa copine, comme d'habitude, tu débite un flot de parole trop impressionnant pour dire rien du tout. t’as pas envie de la voir de un et de deux t’as pas envie de t’expliquer à elle sur la raison de ta présence ici. tu te mords la lèvre. « désolée, j’aurais du appeler. » tu ajoutes tout doucement.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 16:42 | |
| Tu l'as vois revenir avec une tête de la personne qui s'est fait prendre la main dans le sac. Toi tu restes devant ta porte de chez toi, l'observant revenir à la hauteur alors que t'as encore du mal à faire surface. Tu l'observes sans trop rien dire sur le coup. excuse pas, j’ai pas réfléchis. t’es avec denver ? bon, t’sais quoi laisse tomber. je repasserai demain. je t’avais ramené un souvenir d’ukraine. mais c’est pas grave, je reviendrai demain soir. désolée, j’aurais du appeler. Elle parle bas et trop rapidement comme toujours, toi tu la fixe essayant de tout suivre bien que c'est très très très difficile sur le coup. Ok, analysons se qu'elle vient de dire. Bordel tu dois avoir une gueule d'abrutis, bon ça doit aussi se voir à ta tête que c'est pas juste le sommeil, ou pas juste fumer que t'a rendu dans cet état, mais les deux mélangé, t'as du mal oui. Je suis tout seul à l'appart... Siloë est chez un pote et Denver dort chez elle. Tu te frottes un oeil avant de regarder le couloir. T'inquiètes... je m'étais juste endormi.... vas-y rentres.. Tu finis par te dire que oui c'est bien de lui dire de rentrer quand même, tu te décales pour la laisser passer ayant encore du mal à tout capter. Ah oui. La Ukraine. Elle est revenue. Bordel ! Tu réagis enfin, te sentant d'un seul rassuré d'enfin la voir ici plutôt qu'en pays lointain. C'est bien que tu sois rentrée...
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| | | | Lun 17 Mar - 17:06 | |
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sans aller jusqu’à dire que tu regrettes d’être venue. t’es presqu’un peu mal à l’aise d’être là. mine de rien, c’est plus ta place chez lui. enfin, pas comme ça en pleine nuit. mais bon, c’est toi. et puis c’est camil. tu calcules jamais rien avec lui. tu te pointes quand t’as envie de te pointer, c’est tout… « je suis tout seul à l'appart... siloë est chez un pote et denver dort chez elle. » tu retiens un soupir de soulagement, elle est pas là. tout s’arrange. tu culpabilises plus d’être là alors que tu devrais pas. « t'inquiètes... je m'étais juste endormi.... vas-y rentres.. » ah, endormi. ce qui explique vaguement sa tête d’ahuri donc... tu rentres dans l’appartement que tu connais comme ta poche et tu laisses tomber ton sac et sa veste dans un coin. « c'est bien que tu sois rentrée... » tu te retournes vers lui en souriant. « ouais, tu vois. je risquais pas grand chose. même les ukrainiens veulent pas me garder en otage. » tu tends ton poster. « tiens… j’ai trouvé ça en ukraine. c’est euh… c’est un poster de ton groupe… en ukrainien. j’ai trouvé ça drole, alors voilà. » tu expliques. tu trouves ton cadeau pourri d’un coup. pourtant, sur le moment ça t’avait fait rire de le voir dans la boutique. déjà que tu trouvais surréaliste de trouver un poster de son groupe en europe…
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 17:17 | |
| Tu bailles pour te réveiller, la laisser rentrer alors que tu fermes la portes derrière toi, laissant les clefs dans la serrure alors que tu la laisse faire comme d'habitude. Comme chez elle quoi. C'est Magda, pas du genre à prendre des pincettes, ton appartement, c'est comme si c'était le sien, possessive à moitié mais tu dis rien. T'es heureux de la revoir, même si elle a été absente qu'un week-end. T'aimais pas l'idée qu'elle aille là-bas. Quoi c'était à ses parents de venir si vraiment ils voulaient. ouais, tu vois. je risquais pas grand chose. même les ukrainiens veulent pas me garder en otage. Tu trouves pas ça drôle mais tu dis rien remontant ton short qui descend plus par habitude du geste alors que tu la suis au salon. Elle se retourne pour te tendre un truc alors que tu regardes le papier roulé le prenant sans trop comprendre. tiens… j’ai trouvé ça en ukraine. c’est euh… c’est un poster de ton groupe… en ukrainien. j’ai trouvé ça drole, alors voilà. Tu lèves un sourcils surprit en dépliant le papier te retrouvant face à ta gueule, et celle des gars, un truc en Ukrainien et le nom du groupe. Woh, ça pour une surprise. Fixant le papier sur le coup tu sais pas quoi dire, c'est que du papier mais... bref. Roulant délicatement le papier de nouveau tu relèves la tête pour l'attirer vers toi glissant tes bras autour d'elle alors que tu la serres contre toi. Te courbant un peu pour glisser ta tête dans son cou, dommage qu'elle soit si petite car t'adore faire ça. Restant ainsi tu respires un temps son parfum. P*tain tu m'as manqué... Ouais ça sonne comme un reproche, parce que bon t'arrive pas vraiment à dire merci sur le coup... Et parce que c’est vrai aussi.
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| | | | Lun 17 Mar - 17:48 | |
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quand t’avais vu le poster dans un disquaire de budapest, t’avais vraiment éclaté de rire. voir la tête de camil, au dessus d’un texte en ukrainien, ça faisait limite appel à la secte. tu t’étais dit que tu pouvais pas laisser passer ça. d’accord, c’était un cadeau un peu nul qui coutait rien… mais t’allais pas non plus lui ramener un porte-clés ou une une boule à neige. au moins là bon… ça pouvait le faire rire. tu le regardes dérouler le papier et regarder le poster. tu te dis qu’il va trouver ça con. d’un coté tu t’en fous qu’il trouve ça nul. mais dans le fond, t’aurais bien aimé que ça lui plaise un peu dans le fond. roulant à nouveau le poster camil t’attire contre lui et fourre sa tête dans son cou. tu serres tes bras autour de sa nuque et tu fermes les yeux. tu te sens bien là. ça te manque de pas pouvoir être proche de lui comme ça maintenant qu’il est avec denver, tu te donnes plus le droit de faire tout ça, alors que t’en meurs d’envie… tu respires profondément, il sent camil, ça te fait sourire. « p*tain tu m'as manqué... » tu sais pas s’il t’engueule en disant ça. ou si c’est gentil mais à sa façon. « oh tu sais « merci » ça m’aurait suffit. » tu dis en riant. tu claques un bisou sur sa joue. « tu m’as manqué aussi. » tu ajoutes.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 18:05 | |
| Tu restes contre elle un instant, savourant quand même de retrouver ce "mini format" dans tes bras. oh tu sais « merci » ça m’aurait suffit. Tu l'entends rire et tu t'écartes sentant ses lèvres sur ta peau. Ouai t'aurais pu, mais c'est pas sortit. Tu dis rien donc finissant par la lâcher pour qu'elle retrouve sa liberté. tu m’as manqué aussi. T'ajoutes rien, y'a rien à ajouter. Tu l'observes, ça va elle a l'air normal. Pas de bras qui manque, pas de bout de crâne en moins... en vie quoi. Tu l'observes un moment ton regard descendant sur sa robe bien que t'en dis rien de passant un main dans la nuque. Ça fait un bail que vous vous êtes pas vu faut dire. T'es revenu quand ? Tu demandes finalement allant te poser dans le canapé, Harvard sautant même pas sur Magda tant il est endormit. Tu observes la brune, t'allumant une clope. Ouais dans un sens heureusement que Denver est pas là cette nuit, pas sur qu'elle aurait aimé être réveillé par la tatoueuse à deux heures du matin.
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| | | | Lun 17 Mar - 18:15 | |
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tu pourrais rester coller à camil comme ça toute la nuit. juste ça. tu demandes pas plus. tu demandes plus, disons… ça te fait chier de devoir te restreindre quand t’es avec lui. de pas pouvoir être complètement toi-même. mais c’est plus possible. et puis trop de choses ont été dites à ton sujet, style que tu couches avec tout ce qui bouge pour que tu puisses donner une autre excuse aux gens de te juger. voilà. tu veux plus. même si tu veux camil. il a fait un choix. dommage pour toi, c’était pas toi. alors tu préférais avoir ça, que rien. « t'es revenu quand ? » il s’assoit dans le canapé et s’allume une clope. tu vas chercher ton paquet de cigarette dans ton sac. « euh je sais pas… y’a quelques heures je dirais. » lui aussi il était venu te voir presque directement après son retour de new-york. « j’ai dormi un coup en arrivant et puis j’ai voulu t’amener le poster. » tu expliques. tu allumes ta cigarette, avant d’aller t’asseoir sur le canapé à ton tour, tu vas embrasser harvard qui est complètement endormi. et puis tu te laisses à ton tour tomber sur le canapé. « alors, tu fais plus la gueule, maintenant que je suis revenue ? » tu dis en souriant. tu savais bien qu’il avait pas fait à proprement la gueule, mais il avait été désagréable toute la semaine alors que tu avais fait des efforts et tu savais très bien que c’était à cause de ton voyage.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 18:29 | |
| Tu lui demandes juste comme ça mais si tu te doutes que si elle était revenu depuis plus d'un jours tu aurais été au courant via facebook. euh je sais pas… y’a quelques heures je dirais. Tu hoches la têtes à sa réponse. j’ai dormi un coup en arrivant et puis j’ai voulu t’amener le poster. Tu souries légèrement à cette réponse, comme quoi au moins, t'es pas le seul à rappliquer rapidement chez l'autre après un voyage. En revenant de New-York t'as juste prit le temps de poser tes affaires avant de venir ici, pour lui ramener ses trucs mais bon c'est qu'une excuse de ta part non ?Toit 'es pas sur pour elle, c'est vrai depuis SF vous vous comprenez de moins en moins, encore plus depuis sa maladie, depuis qu'elle se tape la ville entière. Enfin façon de parler. T'aurais pu venir dormir ici tu sais... c'est pas comme si y'avait beaucoup de mouvement quand t'es tous seul à l'appart. Au plus mouvementé tu joues à la console avec de la musique qui hurle... Tu la laisses aller embrasser Harvard, si y'a une personne aussi gaga de ton chien sur terre, c'est elle. Tu le partage qu'avec elle. Tu la laisse s'asseoir sur le canapé, tu poses tes pieds sur la table basse. alors, tu fais plus la gueule, maintenant que je suis revenue ? Tu serres les dents quand elle remet ça sur le tapis, t'avais presque zappé. Y'a pas que son départ de tout ça. J'sais pas, tu es juste de passage ici, tu repars te taper un mec ou pour une fois tu restes là ? Tu demande mine de rien expulsant la fumée de tes poumons.
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| | | | Lun 17 Mar - 18:39 | |
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tu te laisses tomber dans le canapé. a force, tu te demandes si ledit canapé à pas la marque tes fesses encré en lui. bon, peut-être pas. tu passes moins de temps avec camil depuis qu’il sort avec denver. de toute façon depuis qu’il y a denver c’est le bordel. tout le monde le sait mais personne ne veut le reconnaître. surtout camil. sans dire qu’il devrait être avec toi, il devrait au moins pas être avec une fille comme elle. c’est juste ton avis. il le sait. mais bon, il s’en fout. t’as beau lui dire. essayer de lui faire comprendre, ça veut pas rentrer… « t'aurais pu venir dormir ici tu sais... » tu hausses les épaules. oui bien sur et quoi ? « j'sais pas, tu es juste de passage ici, tu repars te taper un mec ou pour une fois tu restes là ? » t’as envie de rire. tu laisses un sourire s’afficher sur tes lèvres. tu fais mine de réfléchir. « non j’ai personne au programme je crois… ah si, juste un gang bang avec des trois mecs que je connais pas, mais c’est pour demain matin, donc je suis à toi pour la soirée. » tu dis. tu le cherches. il le sait. mais tu sais qu’il va courir en plein dedans. tu te feras pardonner plus tard. en plus ça fait trop longtemps que tu l’as pas vu. tu peux pas t’en empêcher.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 18:56 | |
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Tu la vois sourire à ta réplique et tu souffles déjà en sachant que ses conneries vont pas te plaire. Conneries ou pas, enfin tu préfères te dire que c'est des conneries, pour pas te battre avec elle maintenant. T'as pas besoin de ça en plus. Non j’ai personne au programme je crois… ah si, juste un gang bang avec des trois mecs que je connais pas, mais c’est pour demain matin, donc je suis à toi pour la soirée. Tu serres les dents, expirant lentement en te remettant mieux sur le canapé. De suite t'as envie de la frapper. Oh ça va tu l'as jamais fait, évidement, mais sérieusement des fois tu dis que peut-être ça pourrait la remettre sur le droit chemin. Tu lui souries faussement, ne faisant aucun effort pour être sincère ou autre, plus dans le but de lui montrer mon mépris. ba écoutes je te retiens pas, avances donc ton rendez-vous c'est pas moi qui 'est demandé de ramener ton cul ici. De toute manière a quoi ça sert de retenir mes mots, j'y serais tomber d'une manière ou d'une autre avec elle... Y'a des fois ouais, je lui tiens tête, je tombe pas la dedans, et ça l'énerve encore plus, limite si elle me hurle pas dessus pour que je perde mon calme. Mais bon j'suis pas assez zen ces derniers temps pour cela. Pas maintenant.
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| | | | Lun 17 Mar - 19:03 | |
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tu sais très bien qu’il va s’énerver, te le connais par cœur. tu sais qu’il va marcher complètement. et puis vous fonctionnez comme ça. vous vous engueulez. vous vous réconciliez. c’est camil et toi. et puis là ça fait plusieurs jours que vous avez pas pu faire ça alors forcément la pression s’accumule. donc forcément tu sais que ça va partir en vrille. mais t’en fiche. camil, tu l’aimes même quand il est énervé contre toi. presque plus même parce que c’est dans ces moments là que t’as vraiment l’impression qu’il tient à toi… t’as vraiment l’impression qu’il t’aime parce qu’il fait tout ça pour te protéger. c’est peut-être même juste pour ça que tu le cherches tout le temps. pour te rassurer et voir qu’il t’aime toujours. même si y’a une autre fille dans sa vie maintenant… « ba écoutes je te retiens pas, avances donc ton rendez-vous c'est pas moi qui 'est demandé de ramener ton cul ici. » tu restes stoïque, alors que t’as envie de sourire. tu sais qu’il a envie de te coller une baffe. tu sais aussi qu’il le fera pas. « d’accord. » tu dis, genre énervée, alors que tu l'es même pas dans le fond. et puis tu écrases ta cigarette dans le cendrier doucement. tu te lèves et tu vas remettre ta veste et reprendre ton sac.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 19:43 | |
| Tu l'vois. P*tain tu l'vois dans ses yeux qu'elle a gagné, qu'elle est contente. Ça se voit comme le nez au milieu de la figure, elle se retient c'est tout. Mais ça te fait chier quand même. Parce que t'es sur que par défis, par volonté de te faire chier, elle serait vraiment capable de faire ce genre de truc. Oh ça t'as aucun doute la dessus, Magda quand elle veut une réaction de ta part elle pourrait aller très loin. Longtemps t'as cru qu'elle était limite bipolaire c'est pas possible. T'as jamais testé ses limites, les seules limites au monde que t'es incapable de dépasser. Pourtant tu les repousses sans arrêt, tu joues au con, bon nombre de fois. Mais c'est pour ça que la dedans beaucoup la traite de conne et disent qu'elle te mène par le bout du monde. C'est juste que ses limites, t'as jamais envie de les voir arriver. Depuis sept ans tu contentes de jour avec, de les approcher, les frôler, mais jamais t'iras jouer avec. d’accord. La pute. Tu le penses fort. Tu la fixe se redresser, avec fierté. Parce qu'elle a gagner, parce qu'évidement rien que ça, ça t'a réveillé. Tu la fixe avec fureur, essayant de résister à l'empêcher de partir, résistant au faite de gueuler. Putain,, elle fait chier. Et après on s'étonne que je me sois posé en couple... moi en voyant ça je trouve ça plutôt normal... Je sais pas d'où c'est sortit. C'est rare que je sois si méchant. Sur le coup même moi je me surprend. Et putain comme un môme je la sens déjà la gifle que va tomber. C'est sortit comme ça, dans le but de la faire passer de sa satisfaction et la colère totale. J4ai dis ça en me levant naturellement, alors que même moi p*tain jel'avais pas calculé...
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| | | | Lun 17 Mar - 19:52 | |
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tester camil, c’est plus qu’un jeu. c’est plus qu’un sport. il est jamais allé jusqu’au bout. enfin, c’est peut-être mieux… parce que tu sais pas jusqu’où tu pourrais aller. jusqu’au bout certainement. et le bout… c’est quoi ? tu sais juste que ce serait trop dangereux et que tu t’en relèverai pas. si camil te poussait à bout et te demander de sauter d’un pont. tu le ferais. ouais… il a peut-être raison de pas te tester jusqu’au bout. tu pourrais peut-être en crever. peut-être que lui le savait. et que c’était pour ça que tu gagnais, la plupart du temps. peut-être que lui savait… « et après on s'étonne que je me sois posé en couple... moi en voyant ça je trouve ça plutôt normal... » tu te retourne brusquement et tu retournes vers lui. et ta main claque sur sa joue d’une force que tu soupçonnais pas. même toi t’es surprise. « ah ouais, parce que si j’étais pas une pute tu serais pas avec denver, c’est ça que tu veux dire ? » tu t’écris, vraiment énervée pour le coup. que les autres te traitent de trainée, t’en as rien à foutre. strictement rien. mais si camil le fait, là tu te vexes. « connard. » tu ajoutes, histoire de faire les coins.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 19:58 | |
| Elle se retourne et de toute manière c'est comme si tu l'avais sentit venir. Tu sais pas trop depuis quand c'est pas arrivé, tu crois que ça a jamais été à ce point. Ou peut-être mais pas depuis longtemps. Sur le coup ta tête suit le mouvement de la force de sa main alors que ça raisonne dans l'appartement, la douleur irradiant ta joue en la réchauffant brutalement. Tu gardes la tête tourné fixant le sol un instant encore sonné qu'elle l'ait fait. ah ouais, parce que si j’étais pas une pute tu serais pas avec denver, c’est ça que tu veux dire ? Ouais tu l'as blessée, vexée, pourtant t'insinuais même pas ça, tu le pensais pas vraiment. Tu voulais juste... la faire rester ? Putain si vous aviez des moyens un peu plus normaux. Normalité, vous connaissez pas. connard. Tu relèves le regard en la fixant dans un long silence, t'as envie d'aller encore plus loin de l'énerver encore plus. Tu sais même pas pourquoi ça te prend d'un coup, tu comprend pas d'où ça sort. Elle a fait pire pourtant niveau provoque mais là.... Ba tu l'dis toi même de ta personne, pas besoin de le dire... Allez gifles moi encore une fois... c'est ça que tu penses, en gardant ton regard planté dans le sien, provocateur. Noir. Vous avez jamais su faire autre chose de toute manière.
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| | | | Lun 17 Mar - 20:08 | |
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on va pas se mentir, t’as mal à la main. mais le truc… c’est que t’as tellement mal au cœur de le voir parler de toi comme ça, que tu le sens même pas. ok, tu l’as cherché tu le sais. sauf que d’habitude tu sais qu’il te poussera pas à bout. et ce soir, c’est pas comme d’habitude. il te cherche. et t’as pas l’habitude. et tu te brises en mille morceau en l’entendant parler de toi comme ça. il t’avait déjà fait mal là fois où il t’avait traité d’amie de merde. mais il était pas là a ce moment là et t’avais pu pleurer tranquillement sans que personne te demande rien. par contre là, tu pouvais pas. il était là. tu voulais pas qu’il gagne. tu prends sur toi. « ba tu l'dis toi même de ta personne, pas besoin de le dire... » les larmes te montent aux yeux. c’est plus des larmes de rage que de tristesse en fait. t’es rarement triste. mais souvent en colère. t’as envie de faire claquer une nouvelle fois ta main sur sa joue. tu te retiens. tu respires profondément en serrant les dents. t’as encore ton sac à la main et comme si c’était un voleur tu te mets à le frapper avec. une fois, deux fois… les larmes s’échappent de tes yeux. tu laches ton sac par terre et tu t’essuies vite les yeux avant qu’il les voit. tu ramasses ton sac et tu vas récupérer ton poster qu’est posé dans un coin, ouais ça c'est puéril, mais t'as pas envie de lui laisser. et puis tu marches vite vers la porte. voilà. camil et toi, c’est ça.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 20:30 | |
| Tu sais bien que tu l'as touché. Déjà parce que tu la connais, et parce que toi même tu te sens mal d'avoir balancé ça, de lui avoir balancé ça à la gueule. Tu sais même pas pourquoi t'as fait ça. Sérieusement même pas par jalousie pour une fois, non elle t'a juste cherché et toi t'as ce besoin d'extérioriser. C'est rare que ça tombe sur Magda, c'est rare que ça arrive tout court, mais là ça tombe comme ça et tu t'arrêtes pas. C'est dans ces moments là surtout que c'est le plus flippant, on te traite de mec immature, de "badboy" qui joue avec tout et se fout de tout... mais c'est dans ces moments là surtout que tout se fait, quand tu le fais pas pour déconner, quand t'as ce besoin de vraiment flirter avec la connerie intersidérale. Et elle réagit, son sac venant s'abattre sur toi. T'es pas con tu lèves les mains pour un minimum "te protéger" parce qu'elle serait capable de te faire vraiment mal avec se qu'il y a dedans. Finit. Tu relèves la tête assez rapidement pour la voir s'essuyer le visage. Tarée. Ça c'est le connard que tu t'adresses par son intermédiaire. Elle aurait pas du te provoquer, pas ce soir, pas en ce moment, pas comme ça. Elle est conne aussi p*tain à faire ça, ça vous tue tout le temps. Elle ramasse son sac et se tire, et toi t'acceptes pas ça, parce que oui tu l'as blessé, parce qu'elle ira faire des conneries, et puis parce que voila. J't'interdis de t'tirer ! Tu répliques en la rejoignant, au moins merci ta rapidité, t'as juste le temps de passer le bras par dessus elle et de tout ton poids sur ton bras tu refermes la porte. La claquer serait plus correcte. L'attrapant par le bras tu la fait tourner face à toi avec énervement. tu t'casses pas, ok ?!!
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| | | | Lun 17 Mar - 20:41 | |
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vous allez rarement aussi loin. en fait, tu te demandes même si vous êtes déjà arrivé une fois à ce point de non retour. t’as envie de le tuer. t’as envie de lui fracasser le crane contre le mur. t’as envie de… tu sais même plus. ton cerveau ne fonctionne pas. t’as envie de hurler. t’as chaud tellement t’es en colère. tu serais prête à le frapper toute la nuit. d’aillleurs tu voudrais le faire. tu voudrais qu’il souffre un minimum autant que toi. en fait, c’est pas juste ça. t’es pas énervée juste pour ce qu’il a dit. t’es énervée pour tout ce que tu retiens depuis des jours, des semaines. t’as envie de le frapper, jusqu’à ce que toute la colère que t’accumules en toi depuis qu’il est avec denver, disparaisse. t’as envie qu’il comprenne à quel point tu détestes cette situation. a quel point tu la détestes elle de te le voler lui. a quel point tu voudrais la noyer. a quel point tu crèves de jalousie de le savoir avec elle. a quel point ça te tue à petit feu un peu plus à chaque seconde. tu voudrais le frapper aussi longtemps qu’il faudrait pour qu’il comprenne tout ça, et ça prendrait des jours… « j't'interdis de t'tirer ! » t’es déjà loin. les larmes noient ton regard et tu vois tout flou. tu vous quand même son bras claquer la porte devant toi. tu sursautes presque. il te retourne avec violence pour que tu lui fasses face. tu as les sourcils froncés et la bouche fermées. tu serres les dents. « tu t'casses pas, ok ?!! » tu respires. tu dégages ton bras de son emprise. « j’te dois plus rien ok ? si t’as envie de donner des ordres à quelqu’un, tu vas voir ta meuf. mais moi, tu me parles pas comme ça. j’suis pas ton jouet ! et j’aimerais bien que tu comprennes ça, et que t’arrêter de jouer avec moi ! j’suis pas une putain de poupée que tu balances quand t’en a marre. » tu cries. tu t’essuies les yeux et tu essayes de le pousser. « casse toi putain ! » tu hurles.
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 20:48 | |
| Tu accroches son regard avec colère, ses yeux aussi froid ne te faisant absolument pas détourner ton propre regard. j’te dois plus rien ok ? si t’as envie de donner des ordres à quelqu’un, tu vas voir ta meuf. mais moi, tu me parles pas comme ça. j’suis pas ton jouet ! et j’aimerais bien que tu comprennes ça, et que t’arrêter de jouer avec moi ! j’suis pas une putain de poupée que tu balances quand t’en a marre. Tu comprend pas tellement. Parce que t'as jamais joué avec personne, tu joues pas avec les gens, certes tu déconnes tu prends rien au sérieux mais jouer avec des gens, jouer avec Magda, ça t'en a jamais été capable. Mais sa colère t'énerve, ses paroles t'insupportent même si elles sont infondées, même si ça devrait plus te pousser à t'interroger sur le pourquoi elle pense ça. Non. Tu la sens dégager son bras alors que tu restes à bloquer la porte sa propre volonté n'ayant de toute manière aucune chance de contrer ta force là dessus. casse toi putain ! Parfois tu te dis qu'elle est pas la seule à être influencer par votre amitié, qu'il n'y a pas que toi qui l'a fait changer, qu'elle aussi elle ta modifie. Parce qu'au moment où elle hurle tu sais très bien que c'est faux, tu sais qu'elle en peut juste plus. Putain t'es pas mieux qu'elle hein ? Non toi t'es pire. Tu la pousse contre la porte, se qui est pas bien difficile vu la proximité, ta main restant à bloqué la porte alors que tu plaques tes lèvres sur les siennes. Bien, bien pire.
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| | | | Lun 17 Mar - 21:09 | |
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t’es hors de contrôle. ton cerveau de fonctionne plus oe du moins, il ne contrôle plus rien. t’as envie de pleurer, de hurler, de le frapper, de partir, de… tu peux plus. tu supportes plus. t’es limite au bord du malaise. t’as jamais autant eu les nerfs à vif. t’as jamais autant été énervée. parce que camil n’a jamais été la cause. et quand c’est camil, tout est décuplé fois mille. tu as presque du mal à respirer. et puis soudain tu sais pas. tu comprends pas ce qui se passe. est-ce que c’est vrai ou pas. est-ce que… tu sais pas. t’es perdue. et camil vient de plaquer ses lèvres contre les tiennes. tu perds pieds. tu ne sais plus. tu sais pas ce que tu dois faire. il y a les lèvres de camil contre les tiennes et ton cœur qui bat à mille à l’heure et tes jambes qui fléchissent et… tu le laisses faire. tu fermes les yeux. tu serres tes bras autour de son cou et tes mains s’agrippent à ses cheveux. t’as envie de le tuer. tu lui as demandé de plus jouer avec toi. tu vas le tuer. mais pas tout de suite… pas tout de suite. a bout de souffle tu décolles tes lèvres des siennes. tu plonges ton regard dans le sien. complètement perdue. complètement. tu déglutis. « qu’est-ce que tu fais ? » non pas que ça te dérange, au contraire. mais…
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 21:15 | |
| Elle te repousse même pas. Au fond le devrait-elle ? Sera-t-elle aussi coupable ? Aucune idée. De toute manière difficile de penser. T'es là contre ses lèvres, à l'embrasser alors qu'il y a deux secondes elle te giflait. Ta joue te brûles encore mais tu t'en fous, mais tellement. Ses mains revenant ainsi sur ta peau, dans tes cheveux, t'es pas le seule à l'embrasser. En une seconde tu sais pas se qui s'est passé. C'est pas déjà arrivé. Non ok en couple vous étiez du genre à vous disputez pour mieux vous réconcilier mais non c'est pas ça, c'est... T'arrives même pas à penser. Rectification, tu ne songes même pas à penser. Et pourtant Magda se décale, éloigne ses lèvres, te lâche, reprend son souffle et la distance alors que tu recroise son regard. Totalement paumé. qu’est-ce que tu fais ? La question raisonne dans ton crâne, encore et encore alors que tu l'as fixe sur le coup. Même pas déstabilisé. Même pas à penser. C'est... Non aucune idée. Ta main lâche la porte pour attirer Magda à toi, alors que tu te baisses à peine ta main attrapant le bas de sa robe pour la faire remonter, tu reviens contre ses lèvres avec brutalité. Sans même lui parler, juste... non même parler.
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| | | | Lun 17 Mar - 21:26 | |
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et une nouvelle fois, c’est camil qui prend le contrôle de toi. tu oublies tout. tu perds tes yeux dans les siens. c’est camil et… putain. oui tu l’aimes bien sur que tu l’aimes. tu sais pas si tu l’aimes comme ça. ou si c’est juste un ami. tu sais juste que tu supportes pas de le voir avec une autre que toi. mais tu voudrais être avec lui tout le temps, sans même coucher avec lui, juste être avec lui. tu demanderai rien de plus. tu voudrais juste qu’il soit avec toi, tout le temps. tu l’aimes c’est comme ça. il t’appartient, il a pas le choix. et même toi, si tu voulais pas, t’aurais pas le choix non plus. il te répond pas. sa main effleure ta cuisse et des frissons glissent sous ses doigts en suivant leur trajectoire. ses lèvres viennent se plaquer avec puissance sur les tiennes et tu ne résister pas. t’insistes pas pour avoir une réponse. au fond tu t’en fous. a ce moment il est exactement ce que tu voulais : à toi. tu serres un peu plus tes bras autour de son cou et tu enroules tes jambes autour de sa taille. tu l’embrasses avec encore plus de violence. tu t’en fous de reprendre ton souffle. tu oublies ce détail, ça n’a plus aucune importance. aucune. plus rien n’a d’importance. tu quittes ses lèvres et l’embrasse le long de sa machoire pour aller rejoindre son cou. putain camil, t’as pas le droit de faire ça…
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| | | B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Lun 17 Mar - 21:34 | |
| Tu la sens même pas résister, oh non elle reprend tes lèvres avec autant d'intensité que toi. Elle est pas à blâmer. Tes mains sur elle, tu la soulèves sans peine sentant ses jambes autour de toi se qui te permet de relever encore plus sa robe la faisant remonter jusqu'à dans son dos. Franchement on peut absolument pas parler de maitrise ou de quoi que ce soit. T'es là contre ses lèvres, à perdre ton souffle contre sa bouche, contre sa langue qui ne fait que faire monter cette envie montée de nul part. T'avais même pas capté qu'elle était là, trop en colère, trop énervé, trop... tu sais même pas, mais t'es là, Magda contre toi tes mains refermées sur ses cuisses qui la soutienne contre toi. Tu sais que tu devrais pas ? Non tu sais pas. Tu sais rien. Juste que tu recule jusqu'à la première chose que tu sens dans ton dos et qui s'avoue être a table du salon, la lâchant juste avant pour virer sa robe, ton pull et revenant à ses lèvres, à son cou, tes doigts se crispant sur sa peau que t'as pas touché depuis des semaines. Presque des mois. Contre elle tu te fiche du reste, tu comprends pas, tu cherches pas. Et tu la reprends contre toi, la posant sur la table sans aucun soucis, sans aucune pensées. Tu réfléchis même pas au faite que bientôt tu devras t'expliquer.
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| | | | Lun 17 Mar - 21:53 | |
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ta tête tourne. t’as à nouveau envie de pleurer, tu sais pas pourquoi. tu contrôle véritablement plus rien. tu sais que ce que tu fais et mal. mais t’arrives même pas à culpabiliser. tu sais que si ça se sait un jour, tu seras la trainée en chef. tu sais que tu devrais pas faire ça. tu t’en fous. tu croyais avoir oublié le gouts des lèvres de camil. et puis ça revient d’un coup. et tu te souviens. elle ont un petit gout d’herbe et tu comprends qu’il avait du fumer un joint un peu plus tôt. t’as envie de sourire. mais t’as toujours envie de pleurer aussi… tu te reposes sur tes jambes, ta robe disparaît. son pull aussi. vos corps reprennent leur place l’un contre l’autre comme si ça avait toujours du en être ainsi. d’un mouvement tu te retrouves assise sur la table camil entre tes jambes. ton cerveau tourne alors à trois milles à l’heure. tu décolles un peu tes lèvres des siennes, mais ton front est collé au sien. « attends, attends, attends… » tu soupires. tu respires. « tu… pourquoi tu… » eh merde, tu laisses tomber ta bonne conscience dans un coin. tu colles tes lèvres aux siennes, doucement. ça te fait presqu’un peu bizarre d’être douce avec lui…
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| | | | | | | | C'EST DE L'ESPOIR QUE JE CARESSE. (camil) | |
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