Le soleil s'était levé il y a peu, l'air était frais et encore humide par la rosée du matin. Il y avait peu de monde dans les rues, nous étions loin de l'agitation habituelle qui régnait ici la plupart du temps. Conrad descendait les petites marches devant l'immeuble se frottant les mains frénétiquement pour se réchauffer. Il détestait le froid mais adorait les matins même si à causes de ces soirées sulfureuses ils ne les voyaient pas tellement passer. Le jeune homme aimait faire la fête, inviter des jeunes femmes à passer la nuit et donc à les occuper jusqu'au petit matin. D'un geste de la main, il mit la capuche de son sweat-shirt sur sa tête cachant légèrement son visage aux traits quasi parfait d'après lui et remis immédiatement ses mains dans ses poches. a démarche était rapide et déterminée. Il avait un petit quelque chose à faire, un petit service rémunérer, un truc pas très légal pour tout vous dire. Il marcha ainsi encore dix minutes, passant inaperçu malgré le désert humain autour de lui. Il savait se montrer "voyant" comme se faire oublier, les choses étaient faciles pour lui puisque de toutes façons, il avait déjà pratiqué ce genre de chose pendant longtemps. Il était même passé au grade au dessus il fut un temps mais il a arrêté, trop de responsabilité et puis ... flemme. Alors il se contentait "d'aller au charbon", d'aller vendre la drogue, faire les transferts. Il avait rendez-vous ce matin, à 6h45 pour expliquer sa présence dehors à cette heure-ci. Généralement les gens ne se méfiaient pas de lui, il a un visage rassurant mais croyez-moi, il faut se méfier des apparences. Conrad arrivait aux abords d'un parc infiniment vert, tellement qu'il en était presque éblouissant. Les longues pelouses étaient encore humide, la fontaine était déjà en marche, seules quelques rares personnes âgées et quelques sportifs courageux étaient déjà sur les lieux. Le beau brun s'adossa contre un arbre, lieu du rendez-vous. Très discret me diriez-vous? C'était ça la technique, se montrer l'air de rien afin de brouiller les pistes. La police ne viendrait jamais chercher un dealer ici, faute d'être vu de tous. Il regarda sa montre en passant la main dans sa barbe de trois jours. 6h20. Il était en avance, il était dans les temps. Le jeune homme sorti une cigarette de son paquet qu'il porta directement à sa bouche puis qu'il alluma sans attendre. La première de la journée, la meilleure, la plus savoureuse, une divinité. Presque aussi bien que les femmes ... non, pas quand même. Il commença à scruter les horizons tout en fumant doucement, il avait le temps après tout ... Son regard allait et venait, de droite à gauche, de haut en bas, sans but réel juste celui d'attendre de manière moins ennuyeuse. Son regard s'arrêta sur une silhouette féminine au loin: judicieusement mis en valeur, une démarche élégante, une chevelure magnifique. Il ne pouvait la quitter des yeux, cette jeune femme lui disait quelque chose ...
Réveillée depuis 5h30, je n'arrêtais pas de tourner dans mon lit et n'arrivais pas à me rendormir car beaucoup de choses se bousculaient dans la tête depuis le décès de Lucas mais je commence à aller de l'avant depuis un petit moment car il faut que je vis continue à vivre sans lui même si c'est pas simple. Une bonne douche chaude ne serais pas de refus surtout avec le froid qu'il fait dehors mais également ça allais me détendre pour la journée ou j'allais masser du monde comme tous les jours. J'aime ça car je suis en contact avec les gens et non enfermé dans un bureau ce que je supporterais sans doute pas car j'ai besoin de bouger un peu tout le temps. Après avoir pris une bonne douche et m'être habiller bien chaudement, je partis dans la chambre de mes enfants pour leur faire un bisous sur leur front. Leur nourrice viendrais les chercher directement chez moi pour une fois car je voulais prendre mon temps pour aller au travail à pied mais également respirer le grand air qui allais remplir mes poumons. L'un des seuls endroits ou j'aime passer un peu de temps avant d'aller au travail c'était le Golden Gate Park ou il devait pas avoir beaucoup de monde à cette heure-ci car certaines personnes devaient encore dormir ce qui n'est pas le cas depuis un petit moment. Une fois arrivé dehors, le froid m'envahit peu à peu et je n'avais pas pris de gants comme par hasard, je me mis à marcher naturellement . Après quelques minutes de marche, j'arrivais enfin à l'entrée du parc. Je regarda de droite à gauche en effet pratiquement personne ne s'y trouvais hormis quelques personnes qui courraient et un jeune homme au loin qui fumais apparemment. Je pouvais sentir son regard sur moi d’où il se trouvais ce qui me fit rougir un peu mais d'un seul coup, quelque chose me revenait en tête et je voulais en être sûr donc je décida de me diriger vers le jeune homme. Celui-ci me disais vraiment quelque chose, plus je m'avançais plus je sentais son regard sur moi mais également les souvenirs me revenaient de plus en plus. Pratiquement arrivé à sa hauteur, un nom me reviens en tête mais j'avais peur de me tromper mais en tout cas, je pouvais admirer sa beauté naturel qui me séduisait de plus en plus mais il faut faire toujours attention aux apparences. « Salut Conrad, comment vas tu ? » En effet, je le connaissais plutôt bien, une personne comme lui ne s'oublie pas de sitôt mais que faisait-il à cette heure là dehors et surtout pourquoi ici «qu'est-ce que tu fais là de si bonne heure»
C'était Mia. Ce n'est que lorsqu'elle commença a avancer vers elle qu'il la reconnue. Il l'avait longtemps dragué, se pointant souvent à l'institut réclamant à chaque fois ses petits doigts de fées pour masser son dos fort et musclé. Il insistait tellement qu'il s'en attira des ennuies avec le fiancé de cette dernière mais cependant cela ne l'avait pas freiné jusqu'au jour où il apprit la mort de ce dernier. Paix à son âme. Mais que faisait-elle de si bonne heure dehors dans ce froid ? Il ne la quitta pas des yeux jusqu'à ce qu'elle arrive à sa hauteur. Le jeune homme acquiesça d'un large sourire ravageur en entendant ces paroles : « Salut Conrad, comment vas tu ? » Il pris une bouffée de sa cigarette et s'apprêtait à lui répondre mais elle poursuivit quasi-immédiatement ce qui ne le dérangeait pas énormément. «qu'est-ce que tu fais là de si bonne heure ?» Il éleva un sourcil en souriant en coin. « Madame est bien curieuse dit donc ... » il se mit à rire doucement de son rire cristallin avant de continuer « j'ai une petite affaire à régler, rien d'important. » Rien d'important, enfin, c'était plutôt un business sérieux qui pouvait très vite partir en couille mais ce fameux client était toujours pas mal en retard, elle ne le dérangeait absolument pas. Il scruta très discrètement comme à son habitude les horizons au cas où. Personne. Il poursuivit la conversation : « Sinon je vais bien. Et toi ? Comment vas-tu et que fais-tu dans ce froid matinale ? » La jeune femme avait deux enfants en bas âge, ne devrait-elle pas être chez elle à s'occuper d'eux ? Il ne la jugeait pas, il était remarquablement gentil avec elle, un véritable pour un enfoiré de première tel que Conrad.
Entre Conrad et moi, une sorte de séduction s'était installé surtout venant de sa part mais pas tellement de ma part car j'étais en couple avec Lucas à ce moment là mais je dois avouer que Conrad est plutôt mignon n'empêche. J'aimais le recevoir à l'institut pour que je lui fasse des massages qu'il semblait apprécier sachant qu'il venais souvent me voir au travail pour que je lui masse son dos musclé. Au fur et à mesure que j'avançais vers lui, je pouvais sentir son regard posais sur moi ce qui me fit un peu rougir car ça m'avais plaisir de le revoir car depuis quelques temps, on ne se voyait pas souvent car j'étais occupé entre mon rôle de maman et mon travail qui me prend du temps. D'un seul coup, je vis apparaître venant de sa part un large sourire ravageur qui me fit fondre au fond de moi je dois dire. Je ne pouvais pas m'empêcher de parler enfin de lui demander des nouvelles surtout comment il allais mais également que faisait-il ici dans le froid et surtout à cette heure auquel j'ai eu droit à « Madame est bien curieuse dit donc ... » son petit rire cristallin me faisait également craquer un peu je dois mais qu'est ce qui m'arrive alors que mon fiancé est décédé il y a même pas un an en tout … « j'ai une petite affaire à régler, rien d'important. » On dis bien qu’il faut se méfier des apparences avec n'importe qui ce que je devrais faire maintenant même avec lui qui a pas l'air d'être un mauvais garçon mais je devais me méfier au cas ou on ne sais jamais. D'un seul coup, je le vis scruter très discrètement les horizons pas vraiment discret car je l'avais remarquer enfin je ne disais rien pour autant, sans doute attendait-il une personne mais peut importe, je voulais profiter d'un peu être à ses cotés.« Sinon je vais bien. Et toi ? Comment vas-tu et que fais-tu dans ce froid matinale ? » c'était à mon tour de passer à l'interrogatoire « On fait avec on va dire pour ma part. Alors je dois dire que je tournais dans mon lit donc je me suis dis que peut être respirer le grand air me ferais du bien un peu avant d'aller au travail » Des souvenirs du passé m'étaient revenus en tête depuis le décès de Lucas mais je devais passer outre car le passé ne doit pas revenir dans le présent. Les enfants n'étaient pas tout seuls car leur nourrice m'avais appeler rapidement sur le chemin pour me dire qu'elle était arrivé à l'appartement et que tout se passais bien. D'un seul coup, je me blottit contre Conrad en faisant attention à sa cigarette qu'il fumait encore. Un coup de vent glacial m'avais fait frissonner sur le coup donc il fallait que je me réchauffe comme je pouvais donc j'avais décider de me blottir contre lui tout doucement car je ne voulais pas le faire sursauter. Sans doute allais t-il se demander pourquoi je faisais ça mais je m'en fichais royalement, on allais mieux se réchauffer tous les deux ce qui est plus pratique plutôt que de rester tout seul au froid. Son parfum m’envoûta même si je pourrais sentir également la senteur de la cigarette mais je m'en fichais royalement. Je fumais de temps en temps à Londres avant de partir pour San Francisco mais plus maintenant et ça me manque pas tellement je dois avouer, je n'ai pas envie de choper un cancer ou autre chose plus tard surtout pas maintenant car je suis maman célibataire de deux enfants en bas âges et je veux les voir grandir au jour le jour.
« On fait avec on va dire pour ma part. Alors je dois dire que je tournais dans mon lit donc je me suis dis que peut être respirer le grand air me ferais du bien un peu avant d'aller au travail » Le travail … Conrad ne connaissait pas vraiment ce mot. Mis à part ses quelques petites magouilles de temps à autres il n'avait jamais eu besoin de travailler. Il s'en vantait peu, mais il avait hérité d'une petite somme d'argent coquette de son grand père puis du décès de son oncle, ses parents gagnaient bien leurs vies et son trafic lui ramenait de l'argent. Autant vous dire qu'il n'avait pas à se plaindre. Enfin, il n'avait pas d'enfant lui, ni de femme qui elles coûtent très cher ; d'abord au cœur puis au portefeuille.. Il lui lança un petit sourire en coin dont elles sont toutes folles. « Et maintenant que tu me vois ça va mieux non ? » Ses pensées se confirmèrent entre guillemet car d'un coup d'un seul elle vint se blottir contre lui. Il ne comprit pas vraiment ce geste. Elle avait froid ? Besoin de réconfort ? Elle devait encore être mal après ce qu'il c'était passé, c'est pour cela qu'il ne demanda aucune explication et se contenta seulement de passer ses bras autour d'elle laissant un peu éloigné sa cigarette qu'il continuait de fumer. Il n'allait pas la jeter tout de même, quel gâchis. Détestant par dessus tout les silences pesant, le jeune homme réfléchissait à un sujet de conversation tout en regardant devant lui. Puis il aperçu les cheveux de la demoiselle. « Mais t'as changé de couleur de cheveux ou j'ai un soucis ? » s'étonna t-il. Conrad adorait plus que tout les blondes, il les trouvaient largement plus jolies que les brunes ou les rousses. Néanmoins, il la trouvait toujours aussi mignonne, c'était le principale non ? « Tu ne devrais pas te promener par le parc si tôt le matin, tu pourrais tomber dans un truc louche … on ne sait jamais. » Il disait ça car la plupart de ses grosses commandes se déroulaient le matin dans des lieux publiques et plusieurs personnes avaient été agressée, il ne voulait pas spécialement que cela lui arrive. Il écrasa sa cigarette terminée et comme pour changer de sujet plaisanta en riant. « Même si SuperConrad est toujours là pour sauver les jolies demoiselles en détresse. »
Cela fait un moment que je travaille à l'institut, ça me permet de me changer les idées mais également de subvenir aux besoins de mes enfants même si mon père m'aide et que j'ai hériter d'une petite somme d'argent au décès de ma mère et dû que l'ancien appartement ou je vivais à Londres est en location. J'aurais pût le vendre mais non, je le garde au cas ou enfin bref mais là n'est pas le sujet... Je le vis me lancer un petit sourire en coin qui me faisait fondre au fond de moi mais je ne voulais rien montrer « Et maintenant que tu me vois ça va mieux non ? » Comment ne pas être contente de revoir quelqu'un que l'on apprécie surtout que c'est un charmant jeune homme plutôt mignon je dois avouer « Bien sûr que oui » Après lui avoir répondu brièvement, je me blottis contre lui car un coup de vent m'avais prise par surprise d'un seul coup mais également un peu le fait que Lucas est plus de ce monde, sans doute Conrad allait-il être surpris aussi mais je me sentais un peu mieux dans ses bras je dois avouer. Ça fait toujours plaisir de se blottir dans les bras d'une personne qui nous veux du bien et qui peux également nous réconforter. Je pouvais sentir ses bras autour de moi ce qui me réchauffa un peu mais ça me rassurais un peu aussi. En me blottissant contre lui, j'avais fait super attention à sa cigarette qu'il avais commencer à fumer avant que j'arrive car je ne voulais pas qu'il l'a jette et par ailleurs, je ne voulais pas me brûler entre autre. « Mais t'as changé de couleur de cheveux ou j'ai un soucis ? » Le sujet porta maintenant sur la couleur de mes cheveux tout d'un coup ce qui ne me gêna pas tellement. « en effet, j'ai un peu changer de couleur de cheveux, je voulais le faire depuis un moment je dois dire mais je trouve que ça me va bien » en effet, c'était un changement que je voulais depuis le décès de Lucas même si j'aimais bien ma blondeur naturelle, je l'a retrouverais sans doute quand j'en aurais marre. « Tu ne devrais pas te promener par le parc si tôt le matin, tu pourrais tomber dans un truc louche … on ne sait jamais. » en effet, je devais faire attention à moi mais je n'avais pas peur malgré tout même si je dois penser à mes enfants qui si un jour, je devais mourir, ils se sont retrouveraient tous seuls alors qu'ils n'ont pas encore 3 ans. Ils sont ma raison de vivre, la raison aussi pour laquelle je me bats chaque jour au niveau moral pour ne pas sombrer. Les apparences peuvent être trompeuses en effet donc je devais faire attention malgré tout « je le sais bien en plus... » Un peu protecteur envers moi mais cela ne me dérange pas du tout, j'apprécie même. Une fois sa cigarette, je l'entendis rire ce qui me fit sourire tout doucement. « Même si SuperConrad est toujours là pour sauver les jolies demoiselles en détresse. » Une demoiselle en détresse moi ? Non, je crois pas, je sais me défendre quand même, ça me faisait rire un peu donc je me prenais un peu au jeu « Oui, heureusement qu'il est là car sinon, que m'arriverait-il s'il n'étais pas là ? » Je me réchauffais peu à peu en étant tout blottit contre lui, j'espérais qu'il se réchauffait un peu aussi...
Conrad n'était pas du tout comme ça d'habitude ce qui le gênait un peu. Ce n'était pas contre elle mais cela faisait longtemps qu'il n'avait pas pris une femme dans ses bras sans l'idée de la mettre dans son pieu dans l'immédiat. Elle s'était « précipitée » sur lui sans qu'il ne pu rien faire. Alors il ne bougeait pas, ne laissant absolument rien paraître, se contentant de lui parler, sourire et rire. « Oui, heureusement qu'il est là car sinon, que m'arriverait-il s'il n'étais pas là ? » Le jeune italien s'imaginait des milliers de scénarios dignes des plus grands film d'horreurs. Massacre à la tronçonneuse, viole, découpée en morceaux … tout. Mais il n'allait pas lui déclarer tout ça, il ne voulait pas la traumatisée et lui filer la phobie de sortir jusqu'à la fin de ses jours. Et puis, elle devait être assez intelligente pour ça. Il opta donc pour une réponse moins sérieuse et plus en délicatesse. « Eh bien tu serais d'abord triste, en danger constant car ou je te protèges. Un vrai ange gardien. » A peine eut-il fini sa phrase qu'il aperçu son client au loin. « Merde, je l'avais complètement zappé lui ! » pensa t-il. Le business ou les meufs ? Client ou Mia ? Argent ou sexe ? Les deux. Il se détacha deux secondes de la jolie demoiselle. « Euh, attend deux secondes, je reviens. » Il lui sourit, retira sa veste pour la lui mettre sur les épaules et l'embrassa furtivement sur le front avant de se diriger en trottinant vers son client. Par chance, cet homme était classe, genre costard – cravate, petites chaussures vernies … En bref, rien qui ne pouvait faire comprendre à Mia ses activités. Il ne voulait pas trop que ça se sache, c'est par le bouche à oreille qu'on finit par se faire griller. Une poignée de bain et l'échange était fait. Conrad attendit d'échanger quelques fausses paroles avec son client u genre « Alors l'entreprise depuis le temps ? Comment va ta femme ? » un bluff pur et dur. Il rangea l'argent incognito dans sa poche, rajouta deux-trois phrases et revint vers Mia. « Faites qu'elle ne pose pas de question, faites qu'elle ne pose pas de question. » Arrivé à sa hauteur il lui lança un sourire comme s'il allait pouvoir tout effacer. Il pose une main dans le dos de la jeune femme. « Excuse moi, cela fait un moment que je ne l'ai pas vu et il doit m'arranger pour un job dans son entreprise ... » Il s'arrêta. Oui, ça devrait passer comme mensonge. « Tu veux que t'accompagne à l'institut ? » Quel gentleman ! De toute façon, il n'avait rien à faire. Peut-être qu'il irait voir Gaïa après ou rendre visite à deux-trois potes …
ça m'arrive d'être comme ça de temps en temps je dois dire sur le fait de me blottir dans les bras de mes amis quand j'ai froid par exemple même si je suis un peu timide je dois avouer mais je cache un peu ma timidité comme je peux. Enfin ce n'est pour ça que j'ai envie de les séduire enfin ça n'est pas arrivé encore je dois dire mais sans doute que ça arrivera sûrement un jour, l'avenir me le dira comme on dit souvent. J'appréciais de me retrouver dans les bras de Conrad car je l'apprécie mais également car il est mignon je dois avouer mais je ne pense pas tenter ma chance maintenant au cas ou même si je dois avancer depuis le décès de mon fiancé Lucas. Son absence est pas facile défois surtout quand Lenny, mon fils réclame son père enfin je fais tout pour que ça aille mieux et surtout pour ne pas craquer devant les enfants même si Amélia sait que son « papa » n'est plus de ce monde enfin je verrais bien ce que l'avenir me réserve.... J'aurais put partir directement après avoir dis bonjour à Conrad mais j'appréciais sa compagnie surtout que le fait que je l'ai pas tellement revu ces derniers temps donc j'en profite un peu. Qu'est ce que je ferais s'il n'étais pas là, sans doute que je serais agressée, la peur était là mais je sais me défendre, je ne suis plus une petite fille qui ne sait pas se défendre et qui pleure pour un rien non non, je ne suis plus comme ça loin de là bien avant que je parte de Londres d'ailleurs. « Eh bien tu serais d'abord triste, en danger constant car ou je te protèges. Un vrai ange gardien. » C'est un vrai ange avec moi, pourquoi cela mais il faut se méfier des apparences, fera t-il ça pour profiter de moi enfin je ne savais pas donc je devais faire attention malgré tout « Sûrement que tu as raison mais en tout cas, j'ai de la chance de t'avoir auprès de moi alors » Oui, j'ai de la chance de l'avoir auprès de moi car au moins, je ne suis pas toute seule ici dans ce froid mais je dois me méfier malgré tout car les apparences sont parfois trompeuses. D'un seul coup, mon regard se porta sur un homme classe mais je m'en souciais pas vraiment car c'est sûrement quelqu'un qui passe par là car il doit avoir du temps avant d'aller à son travail ou pour un rendez vous. Je sentis soudainement Conrad se détachait de moi sans doute connaissait-il l'homme enfin cela ne me dérangeais pas tellement car il a droit d'avoir des amis que je ne connais pas après tout on est pas en couple tous les deux. « Euh, attend deux secondes, je reviens. » Je m'en doutais qu'il connaissait l'homme un peu plus loin « D'accord pas de soucis, je t'attend là alors » A peine que je venais de lui répondre que je le vu me sourire, retirer sa veste pour me l'a mettre sur mes épaules pour me réchauffer sans doute et m'embrasser furtivement sur mon front avant de s'éloigner rejoindre son ami. Tout ceci me fit rougir soudainement et me faire craquer au fond de moi un peu plus que d'habitude, en plus je pouvais sentir son parfum au niveau de sa veste qu'il m'avais poser sur mes épaules ce qui m’enivre un peu plus. Pendant que Conrad parlais avec son ami apparemment, je m'occupa de regarder mon portable pour voir si j'avais pas reçu de messages de la part de la nourrice de mes enfants. Tout se passe bien apparemment car sinon, elle m'aurais appeler en urgence. Quelques petites minutes plus tard, je vis Conrad vers moi ce qui me fit sourire un peu en le voyant revenir, il ne m'avais pas oublier heureusement. Je pouvais remarquer qu'il me souriait en retour ce qui me fit chaud au cœur puis je sentis qu'il me posa une main dans mon dos. « Excuse moi, cela fait un moment que je ne l'ai pas vu et il doit m'arranger pour un job dans son entreprise ... » Je sautais de joie au fond de moi, j'avais raison. Il connaissait la personne enfin cela ne me dérange pas qu'il revoit un de ses amis même si j'étais bien dans ses bras je dois avouer tout à l'heure. « Tu n'a pas à t'excuser ne t'inquiète pas, je suis contente que tu ai revu un de tes amis enfin il me semble d'après ce que j'ai put comprendre, espérons que tu aura le job alors … » Au fond de moi, j'espérais vraiment qu'il ait ce job mais quelque chose me dis que les apparences sont bien plus trompeuses que l'on croit. « Tu veux que t'accompagne à l'institut ? » Qu'est ce que j'ai bien entendu, il me demande bien si je veux bien m'accompagne à mon travail. Quel gentleman, je crois que je craque encore au fond de moi mais je ne voulais rien faire voir. Ça me fait vraiment plaisir qu'il me propose ceci comme ça, je ne risque rien à ses cotés enfin je l'espère. « Oui, bien sur vu que tu y tiens et en même temps, il ne m'arrivera rien sachant que tu es à mes cotés » qui n'aurais pas refuser la compagnie d'un charmant et mignon jeune homme pour se rendre au travail dans ce froid un peu glacial. D'un seul coup, je me rappela quelque chose : il m'avais passer sa veste sur mes épaules donc a-t-il assez chaud ? ça me dérange pas de lui repasser sa veste au cas ou comme ça, il aurais plus chaud car il fait un peu froid n'empêche et je m'en voudrais s'il tombais malade à cause de moi « Veux tu que je te redonne ta veste pour que tu es plus chaud ? Comme ça, tu ne tombera pas malade au cas ou »