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Et c'est reparti - Elektra Litwinski i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| Mer 8 Jan - 23:59 | |
| On aurait pu croire qu’on étaient vaccinés mais non. Elektra et moi nous étions donné rendez-vous chez moi pour une soirée assez posés tous les deux. L’épisode de l’aéroport était déjà derrière nous depuis que je lui avais renvoyé son haut par courrier et qu’on s’était reparlé. C’était toujours comme ça de toute façon et c’était à se demander jusqu’à où on pouvait aller dans le genre coups bas avant de vraiment craquer et de s’envoyer chier pour de bon, disons que pour l’instant on se supportait encore assez pour se voir. Avant qu’elle n’arrive je me traînais à la douche, sortant à peine d’un shoot qui avait duré des heures. Ressortant j’enfilais simplement un jogging et un t shirt blanc, après tout j’étais chez moi et on avait pas prévu de sortir et j’allais pas non plus me mettre sur mon trente et un pour une soirée comme ça. Sortant de la salle de bain j’attrapais mon téléphone pour commander à manger, tapant au hasard dans la carte des pizzas d’un restaurant pas dégueulasse. Vingt minutes plus tard les pizzas arrivaient et payant le gars je refermais ma porte en attrapant une part, ayant vraiment trop la dalle pour attendre Elektra, puis ça va c’était pas comme si je devais être gentleman avec elle. Me fanant devant la télévision je regardais l’heure, quand elle disait 21h avec moi je savais qu’elle n’arriverait pas avant 21h30, alors j’avais tout le temps de faire la loque devant la télé. Mattant les Simpson je soupirais en entendant enfin la sonnerie de ma porte retentir : c’était bien elle ça, arriver pile quand je commençais à me prélasser. Soupirant une nouvelle fois je levais mon cul de mon canapé bien confortable pour aller lui ouvrir la porte. «En retard comme d’hab’ » lâchais je en guise de bonjour sans pour autant être agressif, juste amusé avant de me pousser pour la laisser rentrer. « J’ai commandé la bouffe déjà »
- Spoiler:
Désolée c’est vraiment pourri =O |
| | | | Jeu 9 Jan - 20:05 | |
| On pouvait se supporter comme se gueuler dessus deux micro secondes après. C'était la relation que j'avais avec Bastian, et franchement, ça me déplaisait pas. J'avais trouvé quelqu'un qui avait le même caractère de merde que je pouvais avoir, donc on pouvait être dans le même délire ou pas du tout. Quand ça pétait, ça pétait. Et pas à moitié. La preuve, la dernière fois dans l'aéroport. Mais ça mettait de l'action au moins, et j'avais besoin de ça moi. Que ça gueule, que ça tape, que ça bouge, que ça fasse mal. Ça me rappelait vaguement quand j'étais chez moi, à Kiev, dans ce gang qui m'avait appris la vie en quelques sortes. Des fois j'y repensais, et ça me manquait. C'est pour ça que je comblais ce vide à cambriolant, en fréquentant Bastian à faire des trucs débiles... Un peu psychopathe, c'était ce que j'étais. Et j'en étais plutôt fière. Même si Caleb n'arrêtait pas de me répéter qu'il fallait que j'arrête de faire la voleuse ukrainienne, je n'arrêtais pas pour autant. Le goût du risque, c'était ma drogue, mon adrénaline. Bref, tout ça pour dire, que j'étais en route pour chez Bastian. Ce bâtard n'avait pas eu envie de sortir. C'est qu'il se faisait vieux le pauvre chou. Du coup, je m'étais habillée normal à savoir slim et petite chemise, veste et des baskets nike, petite queue de cheval et à peine maquillée. C'est bon quoi, c'est Bastian, j'allais pas me mettre sur mon trente et un pour le voir. Vraie gamine que j'étais parfois, en arrivant devant sa porte je me mis à appuyer plusieurs fois sur la sonnette histoire de bien le faire chier, jusqu'à qu'il daigne m'ouvrir. « En retard comme d’hab’ » Et le voilà, habillé de son plus beau... jogging. Je lui faisais un petit sourire, le détaillant grossièrement de haut en bas. « J’ai commandé la bouffe déjà » J'eus un rire, avant d'entrer dans son appart, m'enlevant déjà la veste, et m'avançant jusqu'au salon, « Et vu la sauce tomate sur le coin de ta bouche, t'as commencé sans moi bâtard. » répliquai-je, en allant directement pioché une part de pizza dans le carton, avant de m'installer sur le canapé. « Bon, t'as prévu un truc à part bouffer comme des porcs ? » ajoutai-je, me tournant vers lui. |
| | | | Ven 10 Jan - 0:25 | |
| Qu’elle pouvait être gamine parfois, avec ses manies d’appuyer sur la sonnette comme une dingue jusqu’à ce que je me lève mon cul de mon canapé pour aller lui ouvrir, c’était ce genre de petits trucs qui pouvaient parfois m’insupporter chez elle. Elle avait un don particuliers pour trouver chaque petit truc qui pouvait me rendre dingue et me faire partir au quart de tout. D’un coté, on pouvait l’admirer pour ça, ce n’était pas donné à tout le monde d’avoir la capacité de faire péter un câble à quelqu’un en moins de trente secondes, c’était un peu comme un super-pouvoir qu’elle avait. J’ouvrais la porte de mon appartement sur Elektra, sachant bien qu’elle ne s’offusquerait pas de ma tenue -comme si j’en avais quelque chose à foutre de toute façon- . En remarquant la sienne je voyais qu’elle aussi s’était dis qu’elle n’avait pas besoin de se mettre sur son trente-et-un et tant mieux, au fond ça aurait fait trop bizarre de se dire qu’elle avait pris du temps pour se préparer pour moi, surtout si qu’on avait pas envie de sortir dans un bar ce soir. Lui faisant signe de rentrer je passais mon pouce au coin de ma lèvre en affichant un sourire amusé, retirant ainsi la trace de sauce tomate de la pizza. « C’était juste pour être certain qu’elle était bonne » trouvais je en excuse bidon, elle savait bien que j’avais toujours la dalle et que c’était pas mon genre d’attendre les autres. Je la laissais se prendre une part de pizza, après tout pas de manière entre nous, elle savait que malgré notre relation assez bizarre, quand je l’invitait elle pouvait faire comme si elle était chez elle, puis ça va elle n’était plus une gamine et n’avait pas besoin de me demander la permission pour manger. Pendant ce temps j’allais dans la cuisine nous chercher deux bières et les décapsuler avant de revenir et lui faire signe de s’installer sur le canapé, chose que je fis moi-même en lui tendant sa bière. « Trinquons à tes seins soit-disant parfaits » plaisantais je en portant la bouteille à mes lèvres, sachant bien qu’elle comprendrait la référence à nos discussions à la con sur Facebook et à son délire de croire que j’étais obsédé par ses seins. Posant ma bouteille sur la table basse je haussais un sourcil à sa question avant de hausser les épaules. « On peut aussi boire comme des porcs, j’ai loué des films ils sont à côté de la télé, tu peux regarder et m’dire ce que tu veux matter. » lui proposais je. « J’ai pas envie de sortir, j’ai trop la flemme ce soir. » expliquais je en passant une main dans mes cheveux. J’avais passé ma journée entière à shooter et j’étais crevé. « Sauf si t’as une meilleure idée. » |
| | | | Sam 11 Jan - 11:46 | |
| « Trinquons à tes seins soit-disant parfaits » Attrapant la bière, je lui jetai un regard appuyé, avant de boire à mon tour une longue gorgée de la boisson. « Tu les aimes mes seins. » répondis-je en posant à mon tour la bouteille en verre sur sa table basse. Je le savais, de toute façon, quel homme n'aime pas la poitrine des femmes ? Et puis, il l'avait avouer, il kiffait les regarder. C'était pas ma faute si j'avais de jolis atouts. « On peut aussi boire comme des porcs, j’ai loué des films ils sont à côté de la télé, tu peux regarder et m’dire ce que tu veux matter. » Terminant de bouffer ma part, je passais ma langue sur mes doigts avant de me lever pour aller voir ce qu'il avait de beau dans ces films loués. De la violence, de la guerre, de l'horreur... Des trucs de mecs quoi. Mais ça me dérangeait pas, c'était mon type de films, et il le savait. Les trucs du genre romantique et à l'eau de rose me donnait vraiment envie de dégueuler. « J’ai pas envie de sortir, j’ai trop la flemme ce soir. » J'eus un léger rire, alors que je prenais les dvd un par un, observant les titres. « Pauvre papi. » C'est qu'il se faisait vieux dis donc, à vouloir rester mater un film alors qu'il pouvait y avoir des soirées de ouf autre part, avec de l'alcool à flot, de la drogue, de la musique... Mais bon, j'étais gentille, je restai avec lui. « Sauf si t’as une meilleure idée. » Je me levai en attrapant le dernier film de Tarantino, j'adorai ses films, avant de le mettre dans le lecteur dvd et de rejoindre Bastian à côté de lui dans le canapé. « T'as pas de la beuh ? » répondis-je simplement, avant d'attraper une autre part de pizza et de m'asseoir plus confortablement en tailleur sur le canapé. |
| | | | Dim 12 Jan - 16:39 | |
| Ce qui était sûr avec Elektra, c’est qu’en matière de films nous avions les mêmes goûts. Au moins elle ne me forcerait pas à regarder des films à l’eau de rose complètement stupides qui me donnaient envie de vomir. D’ailleurs généralement les filles qui me demandaient ça finissaient dehors aussitôt, j’avais peut-être de la patience, mais ça c’était au dessus de mes forces. Les gentils films dans lesquels l’homme et la femme s’aiment jusqu’à la fin de leur vie, très peu pour moi, ce n’était qu’hypocrisie. L’homme baise la femme et la femme manipule l’homme, c’était tout aussi simple que ça. Quand l’homme était con, bien entendu. J’affichais un sourire amusé en l’entendant dire que j’étais un papi, parfois elle n’avait pas tord en fait. J’étais certes fêtard et actif, mais quand j’avais décidé que je n’avais envie de rien faire, il n’y avait absolument rien dans ce monde qui pouvait me faire bouger mon cul de mon canapé, pas même une fille nue en train de danser juste devant mon nez, j’avais parfois un super self-control quand même. Je soupirais longuement, j’avais bossé toute la journée à rester debout juste pour satisfaire ces putains de photographes, là j’étai donc dans l’une des mes périodes où je n’avais rien envie de faire, pas même choisir un film, puis de toute façon je connaissais Elektra, elle serait capable de vouloir me vanner sur mon choix de film même si c’était l’un de ses préférés. Je la regardais envoyer l’un des Tarantino que j’avais dans ma collection, elle avait bien choisi, pour une fois. Je la regardais se foutre dans le canapé, comme chez elle et continuer à bouffer. J’attrapais une autre part, j’avais trop la dalle pour jouer les princes et la laisser se servir autant qu’elle voulait avant de prendre ma part. L’entendant parler je me retournais vers elle et réfléchissait un instant. Elle me prenait pour un débile ou quoi ? En bon fils d’ex toxicomane alcoolique violente dépressive, je devais bien avoir ça chez moi. Bon, en même temps elle ne pouvait pas le savoir, bien sûr. J’aurais pu haïr ça, mais non, au contraire. J’en étais pas au point de me piquer comme ma mère, mais ça, c’était pour des bonnes raisons que personne au monde ne pouvait connaitre. « J’dois avoir ça » soufflais je en me levant pour aller dans ma chambre, fouillant dans la commode pour revenir sur le canapé avec tout ce qu’il fallait. Abandonnant ma part de pizza, j’étais assez adorable pour nous rouler deux bons petits joints, les faisant en même pas deux minutes avec l’expérience que j’avais. Après tout pour avoir tout mon héritage, j’en avais roulé des joints à ma mère quand elle était plus capable d’en faire elle-même tellement elle avait picolé. Je lui tendais le sien, fouillant dans mes poches pour trouver un briquet que je lui tendais, grand prince quand même ! « Tiens. » soufflais je en sachant qu’elle ne pouvait qu’apprécier la bonne qualité que j’avais acheté. Aussi bien pour les femmes que pour les fringues, fallait savoir prendre de la bonne après tout. Attrapant un autre briquet qui trainait sur ma table basse j’allumais le mien, me tirant une bonne longue bouffée avant de me concentrer sur le film qui commençait. « J’te préviens après y’a du bon whisky 20 ans d’âge. T’as intérêt à pas finir par rouler par terre. » la taquinais je, pour l’instant gentiment. « Au fait elle va bien ta valise ? » là, beaucoup moins. |
| | | | Lun 13 Jan - 15:28 | |
| Ca allait être une soirée pépère. Ca faisait du bien quand même de passer ce genre de soirées, à glandouiller chez un pote, à boire, à fumer, à rire, à bouffer... Bon rire, on verra bien quand la prochaine crise entre Bastian et moi allait débarquer. Parce que oui, il y en aurait sûrement une, il y en a toujours une, sinon ce n'était pas drôle. Enfin, j'espérai que quand même ça n'ira pas trop loin, parce que j'avais prévu de roupiller ici. Flemme de prendre, de payer un taxi, et je m'en doutais que ce prince charmant qu'était Bastian n'allait pas vouloir me ramener chez ma cousine. Au pire, je ferai du stop, avec ma gueule d'ange y'a bien un mec qui voudra s'arrêter pour emmener une jolie demoiselle en détresse chez elle. Sauf si je tombe sur une gros pervers, violeur. Enfin bref, pour l'instant, j'en étais pas là. J'en étais à demander à Bastian s'il avait de quoi fumer. Une violente envie m'avait prise d'un coup, et puis, je me doutais bien qu'il devait avoir un bon paquet quelque part dans son appart. « J’dois avoir ça » Gentil garçon. Le laissant aller chercher tout le matos, je me concentrai sur le début du film, tout en continuant de bouffer ma pizza. Ce qu'il était fort ce Tarantino, mêler violence avec humour, c'était tout ce que je kiffais. Sans jeter un coup d'oeil à mon pote qui revenait, j'attrapais la bière que j'enfilais aussi rapidement, avant de la poser, jetant un coup d'oeil à côté de moi, attrapant le joint qu'il me tendait. « Tiens. » Joint en bouche, je prenais le briquet entre mes doigts pour l'allumer rapidement, tirant une bonne latte dessus, avant d'expirer en l'air, balançant le briquet sur la table basse. « J’te préviens après y’a du bon whisky 20 ans d’âge. T’as intérêt à pas finir par rouler par terre. », je lui lançais un regard hilare, laissant mon joint entre mes doigts, « C'est plutôt à toi même que tu devrais dire ça, Skye. » répondis-je en lui lançant un clin d'oeil, avant de reporter mon attention au film. « Au fait elle va bien ta valise ? » Arrêtant deux secondes ma concentration sur le film, joint au bec, je tournais mon visage vers lui, terminant de tirer une latte pour lui répondre. « Joue pas à ça avec moi, ou je t'enfonce le joint là où je pense. » marmonnai-je. Fallait pas qu'il commence à m'énerver avec ce truc, parce que je l'avais encore bien en travers de la gorge ! Et le pire, c'était qu'il le savait. |
| | | | Lun 13 Jan - 21:33 | |
| J’amenais le matos, sans même lui demander son avis je roulais deux joints, n’en faire qu’un ça faisait quand même petit joueur. Laissant le reste sur la table j’allumais le mien et tirait une longue latte, pas mal. Je me rasseyais sur le canapé, la laissant profiter à son tour de sa première bouffée d’herbe magique. Je ne prêtais aucune attention à son petit air satisfait en me voyant aller lui chercher l’herbe, après tout si elle se sentait supérieure parce que j’étais un minimum éduqué, tant mieux pour elle. A sa réponse sur ma phrase à propos du bon Lagavulin que je m’étais offert, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire sincèrement, un bon moment. Sans doute ne comprendrait-elle pas du tout la raison de mon hilarité, d’ailleurs elle ne la saurait sans aucun doute jamais, comme tout le monde ici, mais à mes yeux sa réponse sonnait comme la plus stupide que l’on pouvait me donner, et la plus drôles aussi d’une certaine façon. Dire à un fils d’alcoolique qu’on espérait qu’il tenait bien l’alcool, je trouvais ça tordant d’ironie, du grand art. Je geignais dans l’alcool depuis mes onze ans et rien qu’avec les vapeurs de vodka et autres alcools forts que j’avais senti depuis des années, je devais sans doute être positif à vie aux tests d’alcoolémie, même sans rien boire. Reprenant mon sérieux et me tirant une nouvelle latte sur mon joint pour me remettre, je me tournais vers elle, l’oeil toujours rieur. « Je tiens très bien l’alcool, aucun soucis à te faire. » soufflais je amusé, au moins elle était persuadée que je ne risquais pas de lui faire le coup du mec bourré qui se met à la tripoter. Changeant totalement de sujet, je me remettais à parler de la petite scène qu’on avait eut dans l’aéroport, du grand art ça aussi d’ailleurs, j’étais toujours fier de ma connerie, après tout elle l’avait quand même bien cherchée. A sa petite menace enfantine je levais les yeux au ciel, elle pensait me faire peur comme ça ? « Tu te le foutrais toi même au cul en fait parce que tu pourrais crever pour réavoir à fumer après » répondais je calmement et avec amusement à sa menace de bébé avant souffler. « Et si j’te l’écrase sur tes faux seins, ils éclatent je suis sûr. » soufflais je comme si je lui dévoilais un secret avant de reprendre ma position initiale et de tirer de nouveau sur mon joint, la soirée allait être drôle je le sentais. |
| | | | Mer 15 Jan - 22:11 | |
| Soirée avec Bastian, toujours aussi mémorable. Je savais qu'il tenait bien l'alcool, on avait déjà passé plusieurs soirées ensemble où je l'avais vu enfilé plein de verres sans tourner de l'oeil. Il allait finir par me battre, moi femme de l'est qui est née avec une bouteille de vodka dans la main. Enfin bref, niveau alcool, on était des bons. Et niveau fumette aussi. On avait des points en commun n'empêche lui et moi. C'était peut être pour ça qu'on s'appréciait... autant qu'on pouvait se détester. De toute façon, après la pluie, le beau temps comme on dit. Sauf que j'avais l'impression qu'on cherchait toujours la merde pour pouvoir hausser le ton ou se donner des coups. C'était notre drogue à nous ça, notre beuh, notre mécanisme pour montrer à l'autre qu'on n'était pas faible. Et j'avais l'impression que Bastian cherchait à inaugurer ce soir, en parlant de ma valise. Sujet sensible. J'avais même dû l'amener à réparer. Au pire je lui ferai bouffer la facture, ou j'irai voler des choses chez lui quand j'aurai le temps. Sans aucun scrupule même. « Tu te le foutrais toi même au cul en fait parce que tu pourrais crever pour réavoir à fumer après » Blablabla. Je levai les yeux au ciel, avant de remater l'écran en face de nous où le film continuait de rouler. Je le suivais plus ou moins, mais m'en fou, je l'avais déjà vu. « Et si j’te l’écrase sur tes faux seins, ils éclatent je suis sûr. » Lui jetant un regard en biais, je tapotais le joint sur le cendrier avant de me rassoir correctement, « T'insulte encore une fois mes seins, et je te castre. » annonçai-je le plus calmement du monde avant de tirer une latte. « En plus, t'as qu'à les toucher, tu verras qu'ils sont pas faux. » ajoutai-je en soufflant la fumée exprès sur la figure de Bastian, avant de lui faire un sourire malicieux. |
| | | | Jeu 16 Jan - 21:17 | |
| Cela faisait dix minutes à peine que j’étais avec Elektra, posé sur le canapé et déjà on commençait à se chercher. C’était pire qu’une maladie, dès que l’ambiance commençait à devenir trop détendue et amical entre nous, il fallait que l’un ou l’autre commence à lâcher de sales répliques pour faire enrager l’autre et que la dispute comme ça. On se nourrissait de ça elle et moi, de notre incapacité maladive à ne pas s’entendre sans finir par s’engueuler. Le pire, c’est qu’on finissait toujours par revenir vers l’autre et recommencer, comme si ça pouvait changer. Mais non, ça ne change jamais, on se revoit et on s’en refont plein la gueule et cette fois-ci pour une fois c’est moi qui commence. Ca me vient comme ça, comme une envie de pisser et même si j’avais envie de me retenir, je ne pouvais pas, les mots sortaient d’eux même sans même que je puisse faire quoique ce soit et pourtant je savais où ça pouvait nous mener, je savais très bien qu’on pouvait en arriver au point de péter les plombs et s’engueuler comme des chiens. C’était d’ailleurs étrange qu’on ne se soit jamais foutu sur la gueule elle et moi, avec toutes les merdes qu’on pouvait se balancer sur la gueule, on en était jamais venus aux mains. C’était sans doute pour plus tard ça. Le pire, c’est que ses menaces m’amusent plus qu’autre chose, elles ne m’énervent pas, elles me font juste sourire et répondre aussitôt. « C’est juste un prétexte pour toucher ma bite ça Elektra. » Réponse conne, mais au fond on savait très bien que là on était pas encore dans l’engueulade profonde et qu’on pouvait encore se permettre de déconner, presque comme deux potes qui passent une soirée tranquille. Je tirais de nouveau sur mon joint, comme pour profiter du calme avant la tempête et de me mettre en condition pour ce qui risquait d’arriver d’ici quelques minutes, sans aucun doute. Je haussais un sourcil à ses derniers mots, voilà qu’elle voulait que je lui touche les seins maintenant ? Soit j’étais un putain de génie, soit c’était un piège. « Pour que tu portes plaintes pour harcèlement sexuel ? » je plaisante, évidemment, je sais qu’elle est bien loin de se plaindre pour ça. Je la vois sourire malicieusement, limite on dirait qu’elle en a vraiment envie. « J’suis pas encore défoncé au point de toucher n’importe quoi » et voilà, encore une fois les mots sortent lors qu’en plus pour une fois elle n’a rien fait, limite elle était sympa avec moi, mais à croire que cela faisait déjà trop longtemps qu’on s’entendait bien pour que je me retienne davantage à sortir de la merde. |
| | | | Ven 24 Jan - 17:21 | |
| « C’est juste un prétexte pour toucher ma bite ça Elektra. » Genre. Bah oui, je rêvais de ça matin et soir, je pensais qu'à ça, sa bite, sa queue, son engin. Les mecs avaient un véritable problème d'identité avec leurs bijoux de famille sérieux. Comme ça sans ça, ils n'avaient de plus. Ce qui était presque vrai. Mais non, je n'avais pas envie de toucher la bite de Bastian, je n'y voyais aucun intérêt, et surtout, ça me donnait la gerbe. Je l'avais jamais vue et j'avais pas envie de la voir. « Pour que tu portes plaintes pour harcèlement sexuel ? » J'avais que ça à foutre. Remarque, j'en étais bien capable. Je me contentais donc de lui octroyer une jolie grimace de ma part, avant de continuer de tirer sur mon joint, fermant les yeux pour prendre le temps de tout ingurgiter. Pouaaah, ça calmait. Pour l'instant. Je savais que tôt ou tard, joint ou pas joint, on allait commencer à se jeter des choses à la figure. On était trop prévisibles... comme des gamins quoi. « J’suis pas encore défoncé au point de toucher n’importe quoi » Rouvrant les yeux à la fin de sa phrase, je laisse mon joint entre les doigts, expirant la fumée en lui lançant un regard noir. Petit con va. Il allait voir ce qu'il allait voir. Sans prévenir, je sautais sur lui, posant mes fesses sur ses cuisses, mes jambes de chaque côté, et lui faisant face, alors que j'attrapais brusquement son visage d'une main, mon autre main libre tenant mon joint entre mon pouce et l'index, l'approchant de son pauvre petit visage, « Tu veux faire le malin ? Je vais te planter ça dans ta face, on va voir qui est le plus malin dans l'histoire. » dis-je le fixant froidement. |
| | | | Sam 25 Jan - 15:04 | |
| Je me lassais jamais de lui lancer des piques, c'était presque comme une drogue, bien plus forte que la cocaïne. Ca sortait comme une cascade sans que je puisse le retenir, de toute façon je ne me retenais jamais avec elle, c'était ça qui était bon. Ce qui l'était aussi c'est qu'elle répondait. Parfois elle savait pas s'arrêter et ça pouvait mal tourner, mais des fois c'était vraiment drôle. Encore une fois on en revenait au sujet de ses seins, en fait c'était elle qui devait en être accros, elle en parlait bien plus qu'un mec pouvait parler de sa bite. Pour l'instant on était encore assez soft, un petite pique gentille par-ci par-là mais on risquait de bien vite se chauffer et finir par se jeter des merdes à la figure. A ma remarque méchante je voyais que cette fois-ci je l'avais un peu agacé, en moins de deux secondes elle se retrouvait sur moi. D'habitude c'était pas pour me menacer qu'une nana se foutait comme ça sur moi, mais elle mettait le même temps. Je la sentais prendre mon visage d'une main pour me forcer à la regarder, ce qui ne me dérangeait pas, elle était pas dégueulasse après tout, sinon elle foutrait même pas un pied chez moi. Ouais je suis un connard, mais les moches je peux pas les encadrer. D'un coup d'oeil je la voyais me menacer avec le joint à peine encore allumé qui risquait de s'éteindre d'une seconde à l'autre vu qu'elle ne tirait pas dessus. La laissant dominer pour l'instant, j'affichais un petit sourire avant de passer rapidement mon pouce et mon index sur ma langue pour les humidifier avant de pincer le bout du joint encore allumé de ces deux doigts pour définitivement l'éteindre, ne ressentant pas la moindre brûlure. Mon autre main attrapant sa hanche pour la bloquer si elle comptait s'enfuir devant sa défaite, je haussais un sourcil et soufflais alors. "Et là tu comptes faire quoi pour me punir au juste ?" Et pour une fois, ça m'éclatait vraiment. |
| | | | Sam 25 Jan - 18:24 | |
| J'aimais faire ma maligne, ma fille forte. Et j'aimais dominer avant tout. Être celle que tout le monde regarde et que tout le monde craint. C'était mon caractère, j'avais été éduquée de cette façon, on allait pas me changer. J'aimais donc être dans cette position, ma main bloquant la mâchoire de Bastian, l'obligeant à me regarder. Je savais qu'au moindre de ses mouvements j'allais céder, parce que bon faut pas se leurrer, j'ai des petits muscles par rapport aux siens. Mais pour l'instant, je voulais profiter. Mon joint dans l'autre main, j'étais carrément prête à lui brûler un peu la joue. Ouais, j'étais cap. J'avais même envie, histoire de voir sa réaction, de le voir péter un câble, de m'envoyer chier... je me voyais déjà éclater de rire en lui rétorquant des trucs. Mais malheureusement, ce n'était qu'un rêve car je vis tout cela s'évanouir devant mes yeux, quand Bastian éteignit parfaitement mon joint. Fuck. Lançant un regard à mon pauvre joint que je n'avais même pas encore terminé, je le jetais sur le côté, reposant mon regard sur Bastian, satisfait de sa connerie. "Et là tu comptes faire quoi pour me punir au juste ?" Ok, j'avais plus d'idées en stock dans ma tête dans l'immédiat. Mais c'est pas pour autant que je le lâchais, toujours son visage entre mes doigts. L'agrippant fortement, j'amenais son visage près du mien, sans le quitter des yeux, "Je peux encore te broyer les couilles, tu veux une démonstration ?" dis-je en lui montrant mon autre main libre en souriant. |
| | | | Sam 25 Jan - 19:01 | |
| Je gardais mon regard insolent dans le sien, la laissant croire un instant qu'elle pouvait véritablement me menacer avec son petit joint. J'avais bien eut mon lot de brûlures et de coups à l'époque, elle l'ignorait mais ce n'était pas sa petite brûlure de merde qui pouvait me faire peur. Limite si je la sentirais même. Je levais un sourcil et affichais mon sourire amusé quelques secondes avant de réduire à néant tous ses espoirs et pouvoir me menacer. J'éteignais le joint qu'elle lançais alors par terre par dépit, comprenant bien que là dessus elle avait perdu. Je la voyais perdue l'espace de quelques secondes, à chercher comment faire pour essayer de récupérer l'avantage sur moi, qu'elle n'avait que parce que je le lui autorisait car si je le voulais, j'aurais pu la foutre par terre depuis bien longtemps. J'installais ma main sur sa hanche, près de son cul en fait. Je la regardais trouver sa nouvelle menace et me montrer sa main en me disant qu'elle pouvait tout aussi bien me broyer les couilles. Je haussais de nouveau un sourcil, pour quelqu'un qui n'avait pas envie de me les toucher, elle en parlait énormément. Je soupirais et soufflais avec amusement. "Si t'as envie de toucher cherche pas de prétextes et fais." Lançais je presque comme un défi, bien amusé d'avoir commencé ce petit jeu uniquement pour pouvoir finir sur moi, ses seins -parfaits fallait l'avouer- limite sous mes yeux tant elle était collée à moi presque. |
| | | | Sam 25 Jan - 19:13 | |
| Pourquoi j'avais pas mis des talons ? J'aurai grave pu les enfoncer dans ses bijoux de famille et ça je savais que ça faisait mal, du moins je l'avais lu sur le visage et les lèvres des différents mecs à qui je l'avais déjà fait. Et par la suite, j'éclatais de rire. J'adorais avoir ce moment de pouvoir où les hommes se trouvaient trop faibles après qu'on ait pu leur toucher leurs pauvres boules. Pathétique. Vraiment des chochottes des fois. Mais là c'est nul, j'avais rien sous la main pour lui faire vraiment mal. J'avais que mes mains... Et merde, toucher ses couilles comme ça, beurk. "Si t'as envie de toucher cherche pas de prétextes et fais." Soutenant son regard je me disais... merde. Il me lançait un putain de défi. Et je savais que si je le faisais pas, il allait me prendre pour une mauviette. Chose que je n'étais pas, oh non du tout. Serrant un peu plus fort mes doigts sur sa mâchoire et sans pour autant le lâcher des yeux, je me disais qu'il fallait que j'y aille. Tant pis, il aura pas beaucoup mal mais bon. De ma main libre, j'attrapais donc brusquement son paquet, terminant par le serrer de toutes mes forces. Enfin pas vraiment de toutes mes forces, parce que je voulais pas non plus me fatiguer pour ce mec. Et je restais silencieuse, le fixant. |
| | | | Sam 25 Jan - 19:51 | |
| Voilà qu’elle me menaçait de faire mal aux parties les plus intimes de mon corps, ce qu’elle ignorait sans doute c’est que la violence au final, on fini par s’y habituer et même aimer ça, j’étais limite curieux de voir si elle allait vraiment avoir les couilles de le faire. Avoir les couilles, c’était vraiment le cas de le dire pour le moment. Je gardais mon regard dans le sien, totalement amusée par la situation, au final même s’il elle ne le faisait pas je m’en foutais totalement. J’attendais juste de voir si elle allait le faire tandis que je sentais sa main glisser jusqu’à mon jogging. Finalement elle allait les avoir. Je la regardais plus intensément cette fois-ci, limite pressé et sentais sa main se refermer sur moi, ou plutôt, sur « elles ». Assez fort d’ailleurs, au point que j’eus un léger, très léger sursaut avant de sourire. « T’as des couilles je le reconnais Litwinski, même si l’espace d’un instant tu ressemblais à une petite vierge.» soufflais je avec un sourire, j’avais bien remarqué sa longue hésitation. Derrière ses petits airs de grande, elle avait quand même bien hésité à juste me toucher. Ouais pour une fois j’étais plutôt sympa avec elle, je savais reconnaître des qualités quand il le fallait. Ma main sur sa hanche glissa pour aller se foutre sur son cul, sans vraiment que j’en prenne conscience, par pure habitude. Après tout, elle allais pas s’offusquer après ce qu’elle venait de faire. « Allez la prude, lève toi tu vas finir par m’faire bander à trop m’tripoter comme une prude. » soufflais je en plaisantant, de bonne humeur pour une fois. Enfin en même temps y’avait de quoi. |
| | | | Sam 25 Jan - 20:01 | |
| Ouais je l'avais fait, j'avais mis ma main sur ses couilles. Bon ça va, c'était loin d'être la première que je tripotais le matos d'un mec. Mais bizarrement avec Bastian, j'aurai jamais cru en arriver là. Toujours en train de se bagarrer, j'avais pas vraiment imaginé qu'on en serait là, moi sur lui en train de lui tripoter son paquet, et lui comme ça aussi près de moi... en me mettant la main aux fesses. Parce que c'était ce qu'il faisait d'ailleurs. Mais je ne le relevais pas, je n'enlevais même pas cette foutue main qui m'aurait dérangée dans un autre contexte. D'ailleurs... c'était quoi ce contexte ? « T’as des couilles je le reconnais Litwinski, même si l’espace d’un instant tu ressemblais à une petite vierge. » Je lui tirai la langue, en souriant un peu. Ouais j'avais hésité. C'était pas vraiment un truc à la légère non plus. Mais bon, je l'avais fait, et j'avais même l'impression que ça plaisait à Bastian. Petit pervers va, j'étais persuadée qu'il n'attendait que ça. Tiens sa main sur mon cul était encore plus... sur mon cul. Et ma main toujours sur ses couilles. « Allez la prude, lève toi tu vas finir par m’faire bander à trop m’tripoter comme une prude. » Lui lançant un regard, peut être plein de sous entendus, je ne lâchais ni ma main de son visage, ni celle plus bas, alors que je commençais à mon tour à le défier du regard. « J'ai pas envie de me lever. » murmurai-je, mi-sérieuse, mi-amusée. |
| | | | Sam 25 Jan - 20:50 | |
| Etrangement l'ambiance était devenue tout autre. Bien loin des défis et de la mauvaise humeur, elle devenait plus.. Complice? Bref, en tout cas on était loins maintenant de se lancer des défis et même si on avait été toujours plus ou moins proches -souvent moins que plus- on n'avait jamais vraiment l'habitude de se toucher. Ne serait ce que se faire la bise, en fin de compte si j'y réfléchissais bien, je pense que c'était bien la première fois que je touchais réellement cette nana. Ou même que je la touchais tout court. Je la sentais devenir plus joueuse que mauvaise, son changement d'attitude concordant bien avec le mien pour une fois. On était passé de notre mauvaise humeur à une sorte de tension sexuelle qui grimpait peu à peu. De ma part parce qu'elle avait quand même sa main sur mes couilles et de la sienne parce que je sentais son regard se faire beaucoup plus intense et brillant, sans compter qu'elle semblait pas décidée à se relever. A ses mots chuchotés je ne scillais point, gardant mon regard bleu pénétrant dans le sien avec de répondre tout aussi mi-joueur et mi-sérieux qu'elle. "Alors montre que tu mérites ta place." soufflais je en ne lui laissant qu'une seule chance. |
| | | | Dim 26 Jan - 0:46 | |
| Il ne me repoussait pas, je ne le repoussais pas... Quoi, on allait vraiment se jeter dessus l'un sur l'autre ? C'était pourtant le seul scénario possible face à ce qui était en train de se passer. Parce que c'est soit je me défilais complètement, en me relevant et en lui crachant à la figure qu'il n'avait pas à toucher mon cul car je ne lui avais pas donné la permission, soit je restais à ma place à le fixer comme j'étais en train de le faire, limite à me mordre la lèvre d'envie, daignant à patienter sur la prochaine chose qu'on allait faire. "Alors montre que tu mérites ta place." C'était quasiment un signal là. Un feu vert pour tout ce qu'on était en train d'imaginer. Sauf que je me voyais mal commencer le truc, ça faisait un peu la meuf qui cédait à tout, tout de suite. Mais bon, il fallait aussi voir les choses d'un autre angle, Bastian avait carrément peur de commencer le premier aussi, sinon il n'aurait pas hésité un instant. Me mordillant la lèvre inférieure un petit instant, je terminai par avancer son visage grâce à ma main toujours ancrée sur sa mâchoire, jusqu'à que ses lèvres frôlent les miennes, me collant carrément à lui, "Et toi t'es capable de quoi ?" murmurai-je, alors que je jouais avec nos lèvres. |
| | | | Dim 26 Jan - 18:41 | |
| Elle pouvait avoir des airs de fortes, je constatais à présent qu'elle n'était pas capable de prendre les choses en main quand il le fallait. Elle avait envie de moi, je le voyais, tout comme je pouvais commencer à voir envie de la prendre moi aussi. Seulement je la voyais hésiter, ne pas oser, comme une petite pucelle qui n'oserait pas toucher un homme pour la première fois. Pourtant c'était simple, elle était sur moi et je la laissais rester, faire ce qui lui plaisait. Bien loin d'avoir peur, après tout de quoi pouvais-je avoir peur ? Ruiner notre relation ? Pitié, on savait très bien le faire elle et moi sans coucher ensemble. Je n'avais donc pas peur, bien loin de là, j'étais totalement amusé, après tout depuis tout à l'heure je la laissais me toucher, je lui avais assez montré ce que je voulais d'elle, à elle aussi un peu de me montrer qu'elle voulait de moi. Après tout, elle faisait la fière depuis tout à l'heure mais n'étais pas fichue de faire grand chose. Mise à part jouer doucement avec mes lèvres. Que c'était enfantin et prude mon dieu, limite touchant si ça ne devenait pas agaçant ce petit jeu à se tourner autour. "A tout." Soufflais je simplement en la renversant sur le canapé et en me retrouvant dominant au dessus d'elle. "Si t'es capable de suivre bien sûr, petite fille." soufflais je légèrement moqueur en défaisant sa petite chemise d'une main experte, prenant les choses en main. |
| | | | Dim 26 Jan - 19:01 | |
| Ouais bon c'était bizarre, j'y allais tout doucement alors que d'habitude j'étais la première à sauter sur l'autre et à commencer à faire la provocatrice et la fille violente. Mais là, je savais pas si c'était parce que c'était Bastian mais... Ouais justement parce que c'était lui. Fuck fallait que j'agis de vite. "A tout." Sans pouvoir répliquer quoi que ce soit que j'étais déjà couchée sur le canapé et Bastian sur moi. Bon bah ça commençait c'est bon ! Il en avait envie je le voyais bien maintenant. "Si t'es capable de suivre bien sûr, petite fille." Lui lançant un regard appuyé en le laissant dégager ma chemise petit à petit, je lui répondais du tac au tac "Tu vas voir si je suis une petite fille." pestai-je avant de me redresser légèrement pour attraper son t-shirt et l'enlever un peu trop brusquement, portant ensuite mes mains sur son visage pour l'approcher du mien et commencer à l'embrasser avec envie. |
| | | | Dim 26 Jan - 19:09 | |
| Je commençais à en avoir marre de ce manque d'action et prenais enfin les choses en main. C'était ça ou sinon je l'aurais éjectée de chez moi comme une merde d'ailleurs. J'étais trop bon au final de me bouger. Je la jetais presque sur le canapé, de toute façon je n'étais pas du genre romantique, fallait pas qu'elle commence à se plaindre de ça. Dégrafant rapidement son chemisier pour pouvoir toucher sa peau plus vite. Je faisais sauter également son soutient gorge d'une seule main, libérant ainsi sa poitrine. Je la laissais m'embrasser quelques secondes avant de dégager mes lèvres pour les laisser glisser le long de son cou que j'embrassais avec autant d'envie qu'elle avait capturé mes lèvres. Mes mains s'amusant avec sa poitrine dont on avait tant parlé elle et moi. Je la sentais tirer sur mon t-shirt, peut-être trop brusquement même si pour moi ce n'était que l'expression de son envie de moi que je ressentais à travers ce geste. Je l'y aidais d'ailleurs, me retrouvant torse nu sur elle, mon corps se collant au sien tandis que je caressais ses seins d'une main, l'autre descendant rapidement sur son ventre et plus bas pour m'avancer sur son déshabillage. |
| | | | Dim 26 Jan - 19:32 | |
| Ça y'est on était lancés. Bien lancés même. Plus besoin de parler, nos mains et nos lèvres allaient faire le travail. C'était marrant parce que j'avais l'impression qu'on se touchait comme on pouvait se parler à l'habitude. En agissant sans douceur, sans bonnes manières. C'était la même chose. Et avec du plaisir en plus. On avait passé la barre de torses nus tous les deux, mon corps se collant au sien, alors que mes ongles s'agrippaient généreusement dans son dos, sentant ses mains et ses lèvres découvrir le haut de mon corps. Allez, je voulais accélérer le rythme moi, je descendai alors mes doigts dans le creux de ses reins, les foutant ensuite devant, passant sur son torse et trouvant l'élastique de son jogging qui dérangeait, je descendais rapidement son froc, attrapant ses lèvres au passage sans douceur pour changer. |
| | | | Dim 26 Jan - 19:44 | |
| Je ne faisais preuve de quasi aucune douceur. Sans non plus chercher à trop la blesser, on était là pour se faire du bien, et le moins de mal possible. Je la touchais comme je lui parlais, avec presque de la colère, de la force, cela reflétait parfaitement notre relation : totalement explosive. Rapidement elle se retrouvait à moitié nue devant moi, me laissant pour une fois détailler sa poitrine et jouer avec comme je le voulais, non pas que j'y pensais depuis longtemps. Juste que là, je n'allais pas m'en empêcher. Et tandis qu'elle faisant en sorte d'être toujours collée contre moi, je glissais l'une de mes mains dans ses cheveux que j'agrippais avec force, mon envie prenant légèrement le pas sur mes gestes. Et tandis qu'elle s'attaquait à mon jogging, ma virilité s'était belle et bien réveillée, quant à moi, je laissais ma main libre terminer de la déshabiller très rapidement, je n'étais pas là pour lui faire l'amour, mais la baiser. Néanmoins je n'étais pas ce genre de connards à ne penser qu'à lui et savais prendre le temps de donner le plaisir à fille avant le mien, c'était également le meilleur moyen d'avoir toujours un plan cul sous le coude d'être un bon amant. Je prenais donc le temps de l'embrasser dans le cou, de jouer avec sa poitrine. Une fois nue, je laissais ma main libre glisser entre ses cuisses pour la préparer, tandis que je sentais sa main dans le creux de mes reins me coller encore plus contre elle, mon envie se faisant beaucoup plus pressente. |
| | | | Dim 26 Jan - 20:15 | |
| L'envie grimpait de secondes en secondes. Je commençais à avoir vachement chaud, et même si j'étais à oilpé, je bouillais. Bon, je devais reconnaître qu'il savait y faire... J'avais réussi à virer son jogging, mais il restait encore son boxer, et un petit coup d'oeil dessous et j'avais remarqué qu'il était tout aussi content. Un sourire traversant mes lèvres, je me cambrais un peu quand je sentis la main de Bastian atteindre l'intérieur de mes cuisses, alors que je me hâtais à lui descendre l'unique sous vêtement -d'ailleurs l'unique tissu- qui restait entre nous deux. Ok, les préliminaires c'est bien, mais des fois, on a envie d'aller au but quoi. Et pour moi, c'était le cas maintenant. Posant une nouvelle fois mes mains dans son dos, je les faisais descendre au fur et à mesure, atteignant son postérieur auquel je me cramponnais fortement, l’incitant à venir contre moi alors que je commençais à bouger contre lui. |
| | | | Dim 26 Jan - 21:49 | |
| Je sentais tout son corps réagir à chacune de mes caresses, elle était bien plus sensible qu'elle ne le laissait paraître quand elle le voulait bien. La laissant me mettre totalement nu je m'occupais en caressant les moindres parcelles de sa peau, mon odeur se déposant sur tout son corps. Je la sentais se cambrer sous moi, simple geste qui pouvait augmenter mon envie en flèche en l'espace de quelques secondes. Je sentais qu'elle avait envie autant que moi de passer aux choses sérieuses, bien loin de toutes ces petites filles qui voulaient passer des heures sur les préliminaires. Et tant mieux parce que mon corps brûlant commençait à sérieusement réclamer le sien avec violence. Ma main glissait lentement à sa gorge, sans trop serrer je la maintenais sous mon contrôle, tandis qu'une fois débarrassé de mon dernier sous-vêtement , je me collais brusquement à elle, nos corps frottants sensuellement l'un contre l'autre, s'échangeant la chaleur qui commençait à se faire ressentir plus comme une brûlure qu'autre chose. Je laissais ma langue s'amuser encore quelques secondes dans sa gorge avant d'entrer en elle, la voulant maintenant et sentant bien qu'elle aussi le voulait. Je débutais de longs mouvements du bassin, accélérant progressivement tout en chopant ses lèvres avec fougue. |
| | | | | | | | Et c'est reparti - Elektra Litwinski | |
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