✱ JOB/ÉTUDES : Serveur, dans un petit bar. ✱ SITUATION : Célibataire ✱ ORIENTATION : Hétérosexuel ✱ ÂGE : 22 ans ✱ ORIGINE : Ballybofey-Stranorlar, Irlande. ✱ AVATAR : Robert Sheehan ✱ GROUPE : Tarés, il y a ? Non ? Love alors…
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« enlève ton masque d'anonymous è.é »
✱ NOM/PSEUDO : Séréna/Scarecrow/Kynu ✱ ÂGE : 18 ans ✱ J'HABITE : Au long loin du long couloir. ✱ PERSONNAGE : Inventé (je fais des efforts…) ✱ CODE : [OK] by Steeve ✱ UN PTIT MOT? … vous souvenez vous de moi ? Killian Foster, le philosophe/écrivain totalement fou, qui dormait sur son carrelage de la salle de bain & fan de crevettes au caramel… Je vous avais laissé pour raison médicale, but I’m back ! Et croyez moi, j’ai la tête pleine d’idées de personnages que je meurs d’envie de faire ici.
JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
scarecrow
this is my story
« I want love to murder my own mother »
I
« - Fais pas chier, Ezekiel, passe moi les cachetons. - Plutôt crever, tu me dois déjà du fric. - Juste pour cette fois… - Tu m’as dis ça 4 fois. - … connard. »
Je dois exactement 452,65 £ à ce petit con gay d’Ezekiel. Je ne les lui ai jamais refilés. De toute façon, je suis parti d’Irlande trop tôt pour les lui donner. J’avais quoi, 18 ans. Je ne risquais pas de travailler, je n’étais pas vraiment apte à travailler… Trop fainéant. Si vous aviez vu ma gueule… Des cernes énormes, des cheveux, trop de cheveux. Ma mère a trouvé bon de nous faire déménager, soi-disant que j’avais des mauvais ‘petits camarades’ et qu’ils avaient une mauvaise influence sur ma courge. Bref, je remets tout ça en ordre. J’ai commencé à abuser de ce que les flics appellent « les substances illicites » à 14 ans. Ouais. Soirée à la con, vous voyez, pour fêter la fin de l’année scolaire. J’y ai rencontré du monde, beaucoup de monde. Notamment Ezekiel. Et quand vous rencontrez Ezekiel, il se passe deux choses : vous trouvez un super ami, et vous devez vous protéger le cul quand vous vous penchez. Mais sinon, il est sympa, vraiment. Il est très gay par contre, du genre à porter des jupes et tout ça, voire même se maquiller et essayer d’embrasser le premier mec qui passera à côté de lui. Personnellement, je n’en ai jamais eu quelque chose à faire de ça, mes lèvres n’ont jamais touché les siennes ni même une autre partie de son corps. Et ça marche en sens inverse… je crois. Il est tout de même le premier à m’avoir dit « Tiens, ça fait pas d’mal ! ». Je me suis laissé avoir. Mais c’était cool. Vraiment cool. Ca commence doucement… Vous voyez, on prend de ce genre de chose une fois de temps en temps, pour les soirées. Puis on fait de plus en plus de soirée, dans l’espoir d’en prendre un peu plus. Et là, on se rend compte qu’on est plus libre de nos mouvements. Que ça nous amuse, que l’on peut tourner un peu autour de tout et tout le monde sans que l’on vous dise la moindre chose… Vous cherchez à vous envoyer en l’air avec une belle fille, vous prenez finalement la première qui vient parce que ça fera l’affaire, vu votre état. Vous gerbez de partout, c’est drôle. Vous gerbez même sur la fille que vous venez de vous faire dans le couloir. On y rajoute un peu d’alcool aussi, pour donner un peu plus de gout. Les soirées se terminent. Les cours reprennent, pour certains. Mais finalement… Je n’ai plus pu m’en passer. Alors j’en demandais à Ezekiel, qui se faisait un plaisir de m’en donner, certaines fois, du temps que je le payais. Je n’ai finalement plus pu m’en passer. On ne se rend pas tout de suite compte que sa vie risque de partir en ruine. Je n’avais pas fait d’études spéciales, j’avais tout abandonné rapidement. Ma famille me regardait de plus en plus étrangement. Ezekiel, qui avait beau être un super ami, m’avait surtout fait m’effondrer plus qu’autre chose. Il n’a cherché qu’à revendre sa came. Le reste… Il n’en a rien à faire. C’est quand ma mère me retrouva assis sur mon lit, recroquevillé sur moi-même en tremblant qu’elle décida de m’envoyer chez un médecin. Et par la même occasion de me faire partir de Ballybofey-Stranorlar. Elle aurait pu me payer un appart ou je ne sais quoi… Mais non. Qu’est-ce que j’aurais fait, hein, tout seul, loin ? Les mêmes conneries. Car je n’étais rien de plus qu’un ramassis de merde. Un ramassis de merde incapable de s’occuper de son cul, de se trouver un petit boulot pour faire comme tous les gens de son âge. Moi je m’étais laissé abattre par des conneries. Des vraies conneries…
II
« - Il est temps de prendre ta vie en main. - Je prends autre chose entre mes mains. - Julian ! - Désolé, M’man. »
Oxford. Adieu la vie Irlandaise, bonjour les petits anglais bourgeois. Je n’ai jamais pu me sacquer les anglais, j’y peux rien, c’est psychologique. Ezekiel était anglais pourtant… Bref. A 20 ans – et oui, je vivais encore chez ma mere, pas le choix - il était tant de calmer mes conneries. Mais j’en avais marre. J’en avais besoin. J’avais besoin de… Putain, comme j’en avais besoin. Mais les médecins s’occupaient de moi maintenant. Ma mère me surveillait, sortir devenait presque impossible. C’est limite si elle n’engageait pas des gardes du corps ! Et puis quoi encore ! Je fus aussi contraint d’aller chez un psy. Psychologue, pas psychiatre hein, encore heureux. J’avais l’impression d’être le Joker qui allait se faire enfermer dans l’Asile d’Arkham, pour tout vous dire… Je n’allais plus voir Gotham City ? Non, j’m’emballe là. Je m’attendais à voir un vieux, vautré sur son fauteuil pourri qui allait faire semblant de prendre des notes sur ma vie alors qu’il n’en avait absolument rien à foutre. Peut-être que j’allais faire comme dans les films, m’allonger sur un divan et tout raconter ? Prendre les feuilles avec les tâches là, pour dire à quoi elles me faisaient penser. Rien de tout ça. Déjà, formalités dans ce qui devait être l’accueil, je dus remplir une tonne de paperasses inutiles. Et alors, j’étais entré dans le bureau. Derrière un bureau se trouvait donc le psy hein, je vais pas dessiner les lieux… ‘Docteur Loackter’, qu’elle s’appelait. Oui, une femme. Manquait plus que ça… Mais attendez voir. J’connaissais ce nom là, non ? Je m’assis en face d’elle et ne pris pas la peine de sourire. J’étais sensé lui raconter ma vie ? Et puis quoi encore ? J’avais un jeu vidéo à finir. Je ne dis rien de spécial, la première fois. Je lisais la carte qu’elle avait posée sur le bureau, avec son nom, son prénom et son numéro de téléphone. Elle la donnait à tous ses clients alors qu’ils savaient déjà qui elle était ? Intelligent, bravo ! Bref. Eleanor. Eleanor Loackter… Putain de merde. Elle &tait sortie avec Alexander, mon grand frère. Oui je parle jamais de lui, il m’énerve, avec son argent qu’il claque de partout er lui trouve que je suis un monstre dénué de toute intelligence…Il avait viré bizarre, avec elle. Donc bon, hors de question que je parle à une ex de mon frère ! Je fus cependant forcé d’y retourner de nombreuses fois et elle avait réussi à me faire parler, la garce ! J’avais tout balancé, de mon enfance à la rencontre avec Ezekiel, l’addiction et tout le bordel. La communication se faisait, vraiment. Mais qu’est-ce qu’elle m’avait dit ? Me trouver une passion. UNE PASSION. P.A.S.S.I.O.N. Et ça se dit psy ? N’empêche que j’avais suivis ses conseils. Et je m’étais attelé à la photographie. Non, je n’étais pas du genre à poster mes œuvres d’arts sur des sites internet douteux, ni sur un tumblr ou même sur Facebook. Je gardais tout pour moi. Dans ma chambre. Dans une boite ou accroché sur mon mur. Ma mère trouvait ça drôle… J’avais des photos de tout le monde, tous les gens que je rencontrais plusieurs fois. Quelques décors, quelques portes de maison. De tout, de rien. Et surtout de…
III
Je passai mes doigts dans ses cheveux noirs… Encore et encore. Je redessinai les courbes de son visage, de son corps, étoiles dans les yeux. Accrochée à mon mur, belle Eléanor. De partout. Absolument de partout… Deux ans de longue thérapie. Mais c’était déjà fini .C’est elle qui m’avait permis de trouver une passion. Elle qui m’avait soigné. Elle qui m’avait aidé. Elle, juste elle. Elle m’avait sauvé. J’avais des dizaines de photos d’Elle, de partout. Je la suivais, je la photographiais nuits et jours, silencieusement, comme un paparazzi. Et je revenais avec un sourire, photos en main. Juste Eléanor, les autres ne méritaient pas d’avoir leur tête accrochée sur mon mur. Je n’avais plus le droit de retourner dans son bureau, maintenant que j’étais soigné. Je ne la voyais plus, elle ne me parlait plus. Plus rien… Pourquoi ? Et si j’avais envie de la voir, non ? Rien. Elle ne décrochait plus au téléphone… Ne me parlait pas. Abandonné. J’avais été abandonné par la seule personne qui m’avait écouté pendant deux ans sans se lasser, avec un sourire aux lèvres. Elle ne me prenait pas pour une créature dénuée d’intelligence, ne me traitait pas de cinglé comme ma mère le faisait. Puis un jour… Elle disparu même de l’objectif de mon appareil photo. Mademoiselle Loackter n’était pas sortie de son travail à la même heure que d’habitude. Elle n’était même pas sortie du tout. Partie. Plus rien chez elle. Sans me prévenir… Mais j’ai la chance d’avoir plus d’un tour dans mon sac. Je l’avais retrouvée, après plusieurs journées de recherches.
"i've got a power, i can feel it in my balls !!" pardon, je me devais de le dire. ROBEERT bienvenue !
Parfait, t'es validé[e], babe!
Bienvenue, nouveau POHien !
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