Je regarde l'ambulance partir, je m'enroule dans un châle blanche assorti à ma petite robe, pas celle de marié, elle je l'ai quitté dans la soirée parce qu'elle n'était pas pratique pour m'amuser. Je soupire en espérant pour Lera que Had va vite se remettre. La moitié des invités sont partis. Je finis de dire au revoir, certain sont légèrement saouls et c'est assez drôle, je les remercie d'être venue et puis je rejoins Peter resté à la villa. La villa est splendide éclairée de nuit. Je laisse les serveurs du traiteurs ranger, ils devraient avoir bientôt terminé. Nous on peut s'éclipser à l'étage, après tout nous avons une suite et nous allons être très vite tous seuls. Je m'assoie sur ses genoux à califourchon en remontant ma robe blanche. Je l'embrasse langoureusement, c'est un avant goût enfaite.. ce soir c'est notre nuit de noce et je compte bien en profiter. Que je sois enceinte ou pas, ce soir, ou cette nuit, les murs de la villa vont trembler.
Je me décolle de lui et je lui lance un regard qui veut tout dire. Je commence à monter sachant très bien qu'il va me suivre à la trace. Je fonce dans la chambre. Sauf que j'y arrive avant lui et je m'enferme dans la salle de bain. J'ai l'intention de le faire un peu miroiter. En plus j'ai une tenue à enfiler pour lui.. je sens que je ne le tiendrais pas longtemps. Je me change rapidement, je me brosse les cheveux pourquoi soit plus jolis et moins emmêlés. Je me met un peu de parfum, je sais qu'il l'adore, et j'enfile ma tenue.. de jeune mariée.. un ensemble de sous vêtement qui devrait réveiller mon Peter.. depuis trois jours sans sexe.. je sens qu'il va être en taquet.. j'évite de penser à sa soirée d'enterrement de vie de garçon, j'ai bien vu les photos, mais bon, pour ma part j'ai eu le droit au même style.. Bref..Je me regarde une dernière fois dans le miroir.. j'hésite, mais je sais qu'il m'attend et que je ne peux pas le faire attendre plus longtemps. Je ne peux moi même pas attendre plus longtemps d'ailleurs. Je déverrouille la porte. Doucement j'ouvre celle ci.. Un demi sourire qui se veut séduisant se dessine sur mon visage. Je me mord la lèvre inférieur. Je vois un Peter m'attendant allongé sur le lit, la chemise à moitié défaite.. J'ouvre la porte en entier et je montre ma tenue, le regardant en riant à moitié vu sa réaction.. j'attends qu'il prenne les dessus..
C’était une sacrée soirée. A vrai dire, je me demandais même pourquoi j’avais été nerveux juste avant le mariage. La soirée c’était passé dans l’euphorie. J’essayais de réaliser : c’était enfin officiel, Bliss était ma femme, nous nous l’étions promis devant nos amis. A présent, nous ne nous cachions pas. J’étais heureux de pouvoir la serrer dans mes bras devant tout le monde, lui voler un baiser lorsque nous coupions le gâteau. Alors qu’on appelait le mariage par « passer la corde au cou » j’avais plus l’impression d’être enfin libre. Une contradiction ambulante.
J’en avais mal au ventre tellement j’avais ris ce soir-là. Liam, Nate et moi avions décidé de nous jeter complètement habillé dans la piscine, rejoins pas d’autres personnes. L’endroit était parfait, la nuit commençait à tomber. Je ne cessais de me dire que j’étais comme dans un rêve, il m’arrivait de me pincer pour me persuader que tout cela était la réalité, mais je ne réalisais pas encore.
Alors que je sortais de la piscine pour me sécher, j’ai décidé d’aller faire une petite blague à mon épouse en venant me coller derrière elle complètement trempé. Je lui volais un nouveau baiser. A l’instant, j’avais très envie de l’emmener dans la chambre qui nous était réservé pour notre nuit de noce, nous éclipser discrètement. Cela faisait trois jours qu’elle me privait de sexe pour « la tradition » cependant, j’avais du mal à tenir. Ce soir, je crois que j’allais être méconnaissable et que nous allions finir avec des quintuplés. Cependant, alors que je tentais de l’attirer vers la villa, lui murmurant des choses tel que « j’ai très envie de toi, je ne peux plus attendre », quelqu’un s’approcha de nous pour signaler un problème. Hadryin, le petit ami de Lera avait fait un malaise. Je m'occupais d'appeler l'ambulance.
C’était un peu la note glacée de la soirée, je me sentais un peu mal pour Lera. Je préférais laisser Bliss avec son amie pour qu’elle la soutienne. Je saluais les invités, les remerciant d’être venu. Puis, j’entrais dans la villa. En m’installant dans un fauteuil, l’un des serveurs vint me féliciter. Je lui adressais un grand sourire et nous parlions de l’incident qui s’était produit. Nous parlâmes pendant quelque temps. Puis, Bliss fit son apparition, le jeune homme me salua et s’éclipsait. J’adressais un grand sourire. Elle s’était changée depuis la cérémonie et j’aimais beaucoup cette petite robe blanche qu’elle portait à ce moment-là. Elle vint se poser sur moi, dans son regard, je voyais presque à quoi elle pensait. Son baiser me donna des frissons, je lui caressais les cuisses, l’embrassant avec passion. Non, elle n’allait pas pouvoir me tenir ce soir. J’allais passer mes mains sous sa robe lorsqu’elle se détacha de moi et me lança son regard le plus aguicheur. Je fondais sur place, voulant presque m’élancer vers elle et lui faire l’amour dans les escaliers. Cependant, je la suivais sagement jusqu’au premier étage.
Alors que j'arrivais dans la chambre, je la vis claquer la porte de la salle de bain et j'entendis le verrou. Je soupirais, il fallait que j'attende encore plus ? Elle voulait réellement ma mort. Je soupirais, espérant qu'elle ne soit pas trop longue. Ma cravate commençait à me serrer, je défis celle-ci en faisant sauter quelque bouton afin d'être plus à l'aise. Alors, je m'allongeais sur le lit, attendant mon épouse. Pendant ce temps, mon regard se posa sur mon alliance, je jouais avec celle-ci, tentant de réaliser tout ce qu'il se passait. Je me perdais dans mes pensées jusqu'à ce que j'entendis la porte de la salle de bain s'ouvrir.
Bliss portait l’une de ces tenues qui me rendait fou, le genre de sous-vêtements qui laissait deviner ce qui se cachait en dessous, un tout petit peu transparent avec de la dentelle. Ma bouche se décrochait de ma mâchoire. J’essayais de me répéter que la créature en face de moi m’appartenais, que c’était ma femme. « Oh putain de merde… » Lâchais-je, ne contrôlant pas mes mots. Il me fallut quelque seconde pour me jeter littéralement sur Bliss et la plaquer contre le mur afin de l’embrasser fougueusement. « On a la droit d’arracher ? » j’arquais un sourcil avec un petit sourire en coin. Je lui mordais la lèvre inférieur, j’essayais de me tenir, de faire durer, cependant, après trois jours, j’avais l’impression de ne pas avoir fait l’amour depuis des années. Je retirais ma cravate, la passant autour de son cou afin de l’attirer contre moi pour l’embrasser. Je l’attirais sur le lit, embrassant ses épaules. « Moi aussi j’ai un cadeau pour toi » lui murmurais-je à l’oreille. A vrai dire, je crois que je n’étais pas très doué pour ça, les mecs m’ont appris ça hier soir, j’avais peur d’être complètement ridicule « …Mais tu te moques pas ». Alors, je commençais à allumer le poste pour mettre un peu de musique. Je lui lançais mon regard de séducteur et me détachait d’elle pour commencer à déboutonner ma chemise de façon sensuelle.
La soirée se termine. Le mariage se termine. Je repense à plein de choses, je repense aux fous rire, au moment ou on m'a demandé si j'étais prête à m'unir pour la vie à lui, lui.. Peter. J'ai dis oui forcément, comment dire non à un tel homme ? C'est impossible. Et puis il est surement la seule personne capable de supporter mon caractère si pourri. Je ne dis bien sur pas que je reste avec lui par défauts, loin de là. Mais disons que j'ai un chance inouïe qu'il soit si patient avec moi. Je l'aime vraiment, j'ai peur parfois de l'aimer autant, je bloque, et je lui en fous plein la figure alors qu'il n'a rien fait. J'ai conscience d'aller trop loin parfois, mais je n'arrive pas à changer, je suppose que j'y arriverais, je trouve que je m'en sors pas mal déjà. Et puis j'avoue que parfois le prétexte d'être enceinte me sert pour mes sautes d'humeurs. On dit bien que les hormones agissent lors d'une grossesse, parfois disons que c'est plus vrai que d'autre fois.
Ce soir c'est notre soir, la soirée est finie mais la nuit ne fait que commencer après tout. Je n'ai pas renoncé à avoir une superbe nuit de noce dans une telle maison. Je suis ravie que Khloée est pu nous la louer, elle est parfaite, romantique, isolée, grande, unique, elle se prêtait parfaitement pour un mariage à mon avis. Alors je vais chercher Peter assit à discuter avec ce qui doit-être un serveur. Je veux commencer maintenant, je veux que cela dur toute la nuit, je le veux pour moi et je ne veux que personne d'autre l'approche. Personne ne l'approchera croyez moi.
Après un baiser qui veut tout dire, je décide de monter dans la chambre qui nous est réservée. Je sais qu'il va me suivre.. qu'il désire la même chose que moi. Il me désire autant que je le désire. Je vais devoir le contrôler et me contrôler, mon dieu je ne sais même pas si je vais en être capable. Je me mords la lèvre discrètement dans les escaliers puis j'entre dans notre chambre avant de rapidement m'enfermer dans la salle de bain. J'ai une dernière tenue à revêtir pour lui. Des sous-vêtements, pas non plus vulgaires, je ne suis pas du genre à mettre des trucs de sado maso, mais là c'est plutôt de la lingerie fine, c'était une idée d'Helen et je crois qu'elle a pu expérimenté avec Nate. Je lui ai fait confiance en tout cas, mais je ne fais pas de soucis, je sais qu'il va aimer. Je brosses rapidement mes cheveux, je retouche mon maquillage, un peu de parfois par ci et ajustage par là. Puis j'entre ouvre la porte doucement.. avant de décider de me montrer. Je ris en voyant sa tête, je crois qu'il s'est presque déboîté la mâchoire.
En deux secondes peut-être même moins il se jette littéralement contre moi. Je sens mon dos heurter le mur. C'est presque violent, mais au moins je constate que je fais mon petit effet et j'adore ça. La première chose qu'il demande - et j'aurais dû m'en douter - c''est si il a le droit d'arracher, je le laisse faire ou je le contrôle ? J'avais dis que je devais le contrôler. Je décolle quelque peu mes lèvres alors des siennes en souriant.
- Non soit gentiment et tu y vas doucement !
Pourtant alors que je sens des baisers se collent partout sur ma peau il m'annonce que lui aussi à un cadeau pour moi. Je le regarde un peu surprise car j'avoue que je ne m'y attendais pas. Je souris en le voyant se diriger vers le poste. Je m'installe sur le lit pour admirer ce à quoi je vais avoir le droit, car pour moi s'il met de la musique, il va surement me faire un strip tease. Cela me fait penser à hier avec celui dont j'ai eu le droit par les filles. Je me mord la lèvre, mon dieu.. - Promis je ne me moques pas chéri !
Je vais surement rire, mais ce n'est pas de la moquerie j'espère qu'il ne le prendra pas comme tel. En tout cas la musique se lance et lui me lance un regard.. enfin je pourrais me jeter sur lui à cause de ce regard, j'essaie de me contrôler, cela va être le mot de cette nuit, histoire de faire durer un maximum le moment ou le plaisir, car cette nuit ne sera pas pure et dénudée de choses peu catholique. Alors il commence à retirer sa chemise, j'applaudis légèrement toute joyeuse en l'attrapant lorsqu'il me l'envoie. Dommage, mon mari s'arrête au caleçon mais je trouve cela pas mal. J'enfile sa chemise pour un coté un peu sexy. Et je le regarde finir. Je lui fais signe avec un doigt de venir..
- J'aime tu sais ça ? Tu as un corps de rêve.. ça donne des envies vilaines.. hmhm
je l'embrasse langoureusement pour lui faire comprendre même si je suis sûre qu'il a très bien compris.
Lorsque Bliss débarque dans le salon, son regard en dit long sur ses intentions. Elle ne me laisse pas le temps de lui demander comment se porte Lera qu'elle m'embrasse avec fougue. J'en oublie même la question que je voulais lui poser. Cela fait trois jours que j'attendais cela, qu'elle m'embrasse ainsi. Mon coeur battait déjà la chamade alors que mes mains caressaient ses cuisses. Cependant, elle vient à s'arracher à moi, je ne peux que faire une mine déçue. Elle me fait languir, je sais qu'elle savoure pleinement le fait de m'avoir à ses pieds. Je lui emboîte le pas lorsqu'elle monte les escaliers et je la suis dans la chambre. Voilà qu'elle me claque la porte de la salle de bain au nez. Elle voulait réellement me faire languir. Je ne tenais plus.
Je me pose sur le lit, défaisant ma cravate, jouant avec mon alliance. Je n’en revenais pas. Tout était à présent réel. J’étais marié, pour le meilleur et pour le pire, dans la joie comme dans le malheur. J’étais marié. Je n’aurais jamais imaginé meilleur mariage. Nous étions entourés de nos amis, certes, la famille n’était pas présente à part la sœur jumelle de Bliss, découverte depuis peu. Cela ne nous avait pas empêché de nous amuser et de fêter dignement cela. Tellement de choses se passait en ce moment, j’étais marié et j’allais être père. Mon dieu, moi qui ne m’imaginais pas père avant trente ans. Tout allait très vite et pourtant, j’avais beau être confus, cela ne me dérangeais pas, tant que j’avais Bliss avec moi.
La porte s'ouvrait, cela me tirait de mes pensées. Ce que je vis sortir de la salle de bain.. Ce n'était pas mon épouse... Elle était.. Je ne trouvais plus mes mots, je n'arrivais plus à penser. Ma mâchoire se décrochait littéralement à sa vue. Je ne lui laissais pas le temps de souffler que je la plaquais contre le mur, brûlant de désir en l'embrassant avec fougue. Je lui demandais si j'avais le droit d'arracher ce qu'elle portait. Bien sûr, la réponse fut non « Mais je suis toujours gentil » je lui adressais un rictus et l'embrassait à nouveau avec ardeur. Il n'était pas rare que j'arrache ses vêtements, je ne le faisais pas exprès. Elle faisait naitre un animal en moi, je ne contrôlais presque plus mes gestes. Je ne comptais plus les robes et les sous-vêtements qui étaient passés à la poubelle par ma faute. Je devais me tenir, d'accord, j'allais essayer de me contrôler, mais je ne pouvais pas promettre.
Je l’emmenais sur le lit, la couvrant de baiser et alors, je lui annonçais que j’avais quelque chose pour elle. A ce moment même, je devenais nerveux. C’était un truc de Nate et Liam, hier soir, ils m’avaient tanné pour que je le fasse. Ainsi, j’avais passé le reste de la soirée à entendre des « Aller, bouge tes fesses Peter, montre que c’est toi le mâle ! » et les visions de Liam se tordant les fesses pour me montrer. Cette vision me donnait un peu plus confiance, enfin, j’avais surtout envie de rire. Je demandais à Bliss de ne pas se moquer. Aller Peter, concentre toi, c’est comme un rôle. Okay, j’étais dedans là. Je lui lançais ce regard qu’elle aimait tant et je savais que ça la faisais complètement fondre. Je me mordais la lèvre inférieure de façon sensuelle et détachant lentement les boutons de ma chemise sous les applaudissement et les encouragements de ma femme. Je lui lançais cette dernière qu’elle attrapait puis je finis avec le pantalon, dans le même genre toujours. Elle me fait signe de venir. Je ne me fais pas prier. Je me mords la lèvre « Ah oui ? Vilaine à quel point ? ».
Je l’embrassais avec fougue, descendant mes lèvres dans son cou, passant sur la dentelle de ses sous-vêtements. J’attrapais le haut de ses bras avec mes dents et les fit descendre lentement en lui lançant un regard qui en disait long. Je les envoyais plus loin, lui embrassant les cuisses puis je remontais jusqu’à ses lèvres puis je faisais descendre ses bretelles l’embrassant dans le cou. « La tenue est très jolie, quoi qu’un peu gênants » je lui mordillais le lobe de l’oreille, ne tenant pas en place. Si bien que lorsque j’attrapais ses lèvres, je me collais à elle, faisant des mouvements de bassin.
J'ouvre doucement la porte de la salle de bain, mon coeur bat à cent mille à l'heure, cette soirée, lui comme moi nous voulons nous en souvenir, nous voulons que se soit mémorable. Vraiment qui ne voudrait pas passer la nuit de sa vie lors de sa lune de miel. Il m'a dit oui, il a voulu faire de moi sa femme, nous ne nous fréquentons pas depuis longtemps mais pour nous même avec la célébrité, c'est une évidence, nous nous aimons. Nous sommes fait pour rester indéfiniment ensemble. J'avais du mal avec lui au début, je me souviens les aprioris que je pouvais avoir sur lui, ce qu'on m'en disait. Ce que les journaux disaient. Il est vrai que voir un garçon avec une fille différente chaque jour.. c'est inquiétant, pour moi et par question de principes et de fierté, il n'était pas question que je cède à ses avances. Pourtant regardez où nous en sommes aujourd'hui, nous avons la bague au doigt, les mecs diraient surement plus la corde au cou mais peu importe. Nous nous aimons, et dieu sait que Peter a ramé pour en arriver ici. Je me souviens d'un fois où je suis arrivée devant mon ancien appartement, il était assis devant la porte et il dormait avec un bouquet de fleurs, je ne m'en suis sur le coup pas soucier, je l'ai laissé, puis j'ai eut mauvaise conscience, je l'ai arrosé pour le réveiller et je l'ai fait entrer pour qu'il dorme sur le canapé, pas question qu'il sorte, en bas attendait un de paparazzis. Alors non je ne voulais aucune rumeur sur le fait que nous sortions ensemble alors que cela n'était absolument pas le cas à ce moment.
Il a retenté, il a insisté pour aller boire des verres avec moi, manger.. Et cela a finit par payer j'ai découvert le véritable Peter, pas le dragueur de minette, pas le baiseur compulsif, non, il m'a montré qui il était, un mec tendre, doux attentionné, passionné par son métier, et je sais que s'il venait à perdre sa carrière il ne s'en remettrait pas. Il serait déçu au plus au point, alors on s'est caché, et puis cela m'arrangeait au début, parce que ma vie on l'étale assez, je l'ai étalé dans un bouquin devenu best seller. C'était surement pas prévu, mais maintenant j'ai des gens dans la rues qui me présentent leurs condoléances, ma soeur est morte depuis vraiment longtemps maintenant.. Alors je ne vois pas pourquoi ils font ça.. Mais bon.. Je crois que c'est comme ça que le show bizz fonctionne.
Bref, tout cela pour dire que ce soir va être parait quoi qu'il arrive. En tout cas tout commence très bien. Je ne sais pas où Peter a apprit à bouger comme ça, mais j'adore ça ! Il est sexy.. Et je n'ai qu'une envie de croquer ! Il finit très rapidement en caleçon.. Je lui fais signe de venir me rejoindre sur le lit. Il ne se fait absolument pas prier ce qui me fait rire, mais sans me moquer.
- Vilaines comme .. non tu verras..
Je souris malicieusement alors que ses lèvres m'embrassent encore. Je voudrais ne jamais les décoller, ne jamais le quitter, rester dans une chambre avec lui comme celle ci et vivre heureux sans avoir à se soucier du reste du monde, c'est surement égoïste mais je le pense. Je sens ses lèvres descendre dans mon cou, je me cambre.. Me mordant la lèvre.. Je le laisse faire.. Totalement sous son charme, avec les dent il retire mes bas.. Je souris en le regardant faire, étonnamment c'est vraiment sexy. Il remonte vite vers ma bouche pour que nous échangeons un baiser toujours sur le thème de la passion. Je soupire d'aise lorsque ses baisers caressent ma peau au niveau du cou à nouveau. Je sens une bretelle de mon soutient gorge glisser. Je souris.. Il semble pressé, je le suis légèrement aussi et j'aime cette fougue chez lui. Il me plaque contre le lit, se collant à moi.. Je sens tous les membres de son corps. Ce qui n'est pas pour me déplaire, j'ai une preuve de l'envie qu'il a envie. Je donne une impulsion pour me retrouver sur lui. Je me met à califourchon en me redressant légèrement.. Il ne veut plus de sous vêtements ? Ce n'est pas un problème. Je passe mes mains dans mon dos pour dégrafer mon soutient gorge. Je l'envoie un peu plus loin.. Bougeant doucement mon bassin.. Je remue pour l'exciter plus qu'il ne l'ai déjà. Je me penche sur lui pour l'embrasser. Je caresse sa peau.. ses muscles, il reprend la dessus sur moi. J'ai vraiment envie de lui.. Nos lèvres ouvrent un ballet de langues. Je lui mordille la lèvre. - Jusqu'où tu vas tenir comme ça ?
Je le regardais, une façon de le défier, de faire toujours mieux, de faire le sommum. De faire durer le plaisir toute une nuit, de voir le soleil se lever nue dans ses bras. Je l'embrasse légèrement.. Passant ma langue sur ses lèvres avant de souffrir, même sous lui, je remue mon bassin sentant toute l'envie qu'il me porte.
Se contrôler. A vrai dire, ceux qui avaient inventé se verbe ne connaissaient absolument pas Bliss. Je sais que ce soir, c’était l’officialisation de notre amour, notre engagement l’un à l’autre. Notre première nuit en tant que mari et femme. J’étais l’homme le plus heureux du monde. Elle avait accepté, elle m’avait dit « oui ». Oui… Rien que ce mot m’emplissait d’une joie incontestable. Oui… Oui nous étions mari et femme, oui, nous allions avoir un enfant. Oui, nous allions pouvoir fonder une famille. Pour moi, c’était clair, je ne passerais pas une seule de mes journées sans avoir Bliss à mes côtés. Ce serait pour la vie, quoi qu’il arrive. Je ne me serais pas passé la « corde au cou » si je ne tenais pas énormément à Bliss. Elle était ma femme.
Et quelle femme ! Son petit regard malicieux qu'elle me lançait me faisait complètement fondre, c'était simple, il l'intérieur, j'étais un petit garçon tout intimidé par la grande dame, même si je ne le montrais pas à l'extérieur. De plus, cette tenue qu'elle avait choisit pour cette nuit me coupais le souffle, j'en oubliais même de respirer, manquant de mourir d'asphyxie. Elle faisait son petit effet en effet. Mais la tenue n'était rien sans la femme qui la portais. Avec ses beaux yeux bleus, ses cheveux qui encadraient parfaitement son joli visage, ses formes généreuses. J'étais comblé ! Je ne changerais cela pour rien au monde.
J’étais vraiment nerveux à l’idée de lui faire ma « surprise ». Disons que j’avais peur des rires, de ce genre de ridicule. Je n’avais jamais fait cela auparavant, c’était justement le but de la surprendre. Mais peut-être allait-elle s’écrouler de rire, tellement qu’elle ne pourrait plus s’arrêter dès qu’elle me regardait. Je lui faisais promettre de ne pas se moquer. Je chassais les idées noires de ma tête, tentant de me concentrer, de me dire que ce n’était qu’un rôle. Changer les habitudes, faire quelque chose d’inhabituel, qu’elle n’avait jamais vu. Là, c’était certain, ce n’était pas tous les jours qu’un mec acceptait de faire un strip tease. Mais j’étais partant pour tout. C’était surtout les mecs qui m’avaient forcé la main à faire cela. Mais je me lançais. Accompagné des encouragements de Bliss et des rire. Lorsqu’elle me fit signe de venir jusqu’à elle, je ne me fis pas prier, elle n’allait pas me le redire deux fois.
Ça lui donnait des envies vilaines qu’elle me disait. Actuellement, le sourire malicieux qu’elle me lançait me faisait complètement perdre la tête tandis qu’elle ne voulait pas répondre à ma question « Hmm, vous jouez bien les femmes mystérieuses madame Winston ». Je ne lui laissais pas le temps de répondre et l’embrassait avec fougue. Nos corps se collaient l’un contre l’autre, voulant simplement ne faire qu’un. Il faudrait attendre pour cela. Mes lèvres descendaient dans son cou. Puis, j’ai envie d’essayer quelque chose. Je retirais ses bas avec la simple aide de mes dents, lui lançant un regard qui se voulait séducteur. Je retournais aussitôt à ses lèvres, ne pouvant pas m’en passer, comme si elles n’étaient qu’une drogue. Je fais glisser une bretelle de son soutien-gorge. Je dois l’avouer, j’ai beaucoup de mal à attendre, il semblerait qu’elle me torturait par le désir. Certes, y aller doucement, faire durer toute la nuit. Mais elle ne se rendait pas compte de l’effet qu’elle me faisait.
Elle prenait les devants, je la laissais se poser sur moi à califourchon. J’oubliais une nouvelle fois de respirer lorsqu’elle m’offrait sa poitrine. Entamant des mouvements de bassins. J’échappais un grognement, sentant mes membres trembler. Elle me rendait fou, savait-elle au moins l’effet qu’elle me faisait ? Je n’en étais pas certain, mon cœur s’emballait sans cesse tandis que je reprenais le dessus sur elle. Je l’embrassais avec fougue, elle devait sûrement l’ampleur de mon désir. Je retenais un gémissement tandis qu’elle me mordillait la lèvre. « Serais-je un défis ? Reste à savoir jusqu’où TU vas tenir ? ». Je lui adressais un petit sourire malicieux tandis que mes mains parcouraient son corps, mes lèvres découvraient sa poitrine, s’attardant sur celle-ci tandis qu’un autre allait caresser ses parties intimes, je me mordais la lèvre, repassait ma main au-dessus de sa culotte en lui caressant toujours cet endroit-là, jouant un peu avec son désir, désirant contrôler celui-ci. Mes baisers descendaient sur son ventre puis son bas ventre puis remontaient à ses lèvres, les scellant en un baiser fiévreux, j’attrapais ses bras, entrelaçant mes doigts avec les siens et lui donnant des petits coups de reins, nos lèvres dansant un ballet.
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