✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
Ven 8 Fév - 23:35
my heart is your
ethan & camil
Dix heures et demie. Alarme qui sonne comme pas possible proche de mon oreille, maman c'est douloureux comme réveil ça ! Je grogne, je râle, je me retourne, je l'éteins. Je me rendors. Comme souvent. Et c'est la sonnerie stridente du téléphone qui me tire une nouvelle fois de la couette, regardant l'heure je peste en voyant le quatorze heure inscrit en rouge sur mon réveil. Evidement je sais déjà qui est à l'appareil et je décroche en soupirant avec un "oui" qui traduit mon état. [...] Une heure plus tard, je passe une main dans mes cheveux coupé u peu plus court, enfilant de nouveau m veste en sortant de l'agence où j'ai du aller déposer à la dernière minute le dossier de l'atelier en rénovation. Bref après avoir courut pour achever mon boulot, je regarde l'heure ravis de prendre alors la route de l'adresse laissé par Ethan. JE prend ma voiture, grimpant dedans en virant mon manteau trop chaud pour l'habitacle, et je démarre. Une musique simple sortant des baffes audio je tapote mon volant perdu dans mes pensées et mon envie de revoir et retrouver mon Ken. Le mien. Celui de personne d'autre. Même s'il semble y avoir ce Shawn dans l'équation, mais bon...
Mettant quand même un petit bout de temps à me retrouver dans les ruelles et a enfin trouver l'adresse, je coupe le moteur m'étirant en passant une main dans mes cheveux. Sortant de la voiture j'attrape ma veste pour l'enfiler chaudement, regardant ensuite de part et d'autre de la route avant de traverser rapidement sain et sauf. Cherchant le numéro je trouve rapidement la porte du studio souriant tel un idiot devant, restant un moment planté devant. Puis je finis par revenir à la réalité, poussant la porte lourdement, je rentre à l'intérieur du bâtiment refermant rapidement derrière moi. Me retournant de nouveau, je contemple la pièce qui me fait face et qui appartient donc à mon ami. Souriant de cela, j'observe chaque recoins. Ethan ?
Je m'étais levé très tôt ce matin. Comme à mon habitude je dois dire depuis la mort de ma famille. Cet événement tragique dans ma vie avait engendré une foule de changements, comme celui-ci entre autre. J'avais peur de l'obscurité à présent, de ce que je pourrais voir en fermant les yeux... Malgré mon physique quelque peu... effrayant, je restais un être extrêmement sensible et insécure. Je suis donc arrivé au studio dans les alentours de huit heure du matin, café à la main et la tête remplie d'idée à mettre sur papier. J'ai déposé ma boisson sur la table de chevet à côté du coin détente que j'avais soigneusement mit en place et j'ai ensuite retirer mon manteau que j'ai laissé tomber sur le lit. Le silence de la pièce me faisait le plus grand bien et l'éclairage offert par la grande baie vitrée m'apaisait. Voilà pourquoi j'avais choisi cet endroit. Ce '' loft '' un peu vieillot décorer par des murs de brique avait ce côté créatif que je recherchais.
C'est une heure plus tard que je me suis lancé dans mes travaux. J'avais un portrait à terminer pour une cliente et quelques toiles à terminées avant l'arrivé de Bastien. Ça faisait une éternité que je ne l'avais pas vu et pour être honnête, j'étais plus qu'excité à l'idée de le revoir, de pouvoir le serré dans mes bras, même si je m'efforçais fortement de ne plus être aussi tactile avec mon entourage. Mais entre nous, c'était spécial... il y avait cette chimie, cette compréhension. Bas' était comme moi en fait. Un être sensible et ultra romantique... cela m'avait jouer quelques tours par le passé, mais passons.
Trop absorbé par mon travail, je n'avais pas vu le temps passé, ni mon allure d'ailleurs. Mon T-shirt blanc était couvert de taches de peinture. Très intelligent, j'en conviens. J'ai donc délaisser mon chevalet quelques temps, pour aller retirer ce bout de tissus souillé, quand j'entendis la porte s'ouvrir. Ça ne pouvait être personne d'autre que lui... ce tatoué aux yeux de biche! Je me suis donc empressé de venir le rejoindre, torse nu et le visage souillé que quelques tâches de peinture, essayant toutefois de mon montrer un peu plus distant qu'à mon habitude.
« Salut Bas' ça va? T'as pas eu de mal à trouvé? » Dis-je en m'approchant de lui, une main tendue vers l'avant en guise de salutation modeste. « Bienvenue chez moi... » Ajoutais-je avant de baisser le regard, quelque peu gêné par sa présence après tout ce temps.
« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE
✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
Sam 9 Fév - 21:43
my heart is your
ethan & camil
Regardant autour de moi je découvre son petit studio vachement sympa et super artistique dans le genre vintage extra. Merde, c'est classieuh quoi, j'aurais ça, je crois que Nikita me verrait jamais à l'appartement et que je passerais ma vie ici entre loque et inspirations fulgurantes. Des pas me faisant tourner la tête, la vision qui s'approche pourrait réellement être flippante. Un avant/après étonnamment spectaculaire alors que mon visage s'éclaire de réelle joie. C'est pas comme si j'avais pas côtoyer des spécimens bizarre après tout. Son torse paraissant d'abord recouvert d'un pull est juste totalement entièrement bondé de tatouage, de traits, d'encre à ne plus en finir alors que je sens les heures pointé leur but de leur nez où je vais contempler sa peau et ses dessins. Tout comme lui avant quand il admirait mes tatouages, certes moins nombreux qu'aujourd'hui sur mon corps, mais tout de même moins impressionnant que lui.Il s'approche et je distingue sur son visage des tâches entre les tatouages s'apparentant à sa peinture. Ethan quoi. Un grand enfant au fond. Salut Bas' ça va? T'as pas eu de mal à trouvé? Il sourit, en s'arrêtant à ma hauteur, le voyant s'arrêter avec... éloignement ? ELOIGNEMENT !!! Et... il... me...tend...la...main. Mon Ethan me tend la main. Genre, "mes salutations mon noble amis". Bienvenue chez moi... JE le regarde finissant par lever la main pour attraper la sienne le tirant alors vers moi alors que je l'attrape pour une accolade me fichant bien du reste. Non mais genre après tout ce temps tu me fais ça ! Genre zombie jusqu'à dans le cerveau ou quoi ?! Tu m'prend pour la reine d'Angleterre. T'as grandis d'un centimèèèètre ! JE m'écris en le serrant contre moi, au fond tellement bien de le ressentir contre moi.
Si moi j'avais changer, pour lui il en était tout autre! Depuis toute ces années Bastien était rester le même, enfin à quelques exceptions près on s'entend, mais il avait la même tête, le même physique, le même style vestimentaire... tout quoi! Ce qui me fit très plaisir sur le coup parce qu'ainsi j'avais l'impression que rien n'avait changé entre nous, malgré les événements qui ce sont produit récemment dans ma vie, mais ça, je me garderais bien de lui en parler encore un peu comme la douleur est encore bien présente dans ma tête comme dans mon cœur. À mon grand étonnement – ou pas – il se saisit de ma main pour m'attirer contre lui. J'avais l'habitude de ce genre de réaction venant de lui, mais pour une fois ça me mettait mal à l'aise. Je ne savais comment répondre à cette marque d'affection, même si je l'avais espéré pendant des heures! Revoir mon ami, me faisait le plus grand bien, mais je me sentais mal vis à vis de Shawn, comment il prendrait ce genre de chose s'il voyait cela? Je déglutis fortement.
« Je suis content de te voir aussi Bas' et toi tu as rapetisser à ce que je vois » Dis-je sur le ton de la plaisanterie alors que je cédais à ses '' avances '' en faisant passer mes bras autour de son cou, trop heureux de le revoir et de le sentir contre moi. « Qui t'as donner l'idée de venir t'installer à San Francisco? » Repris-je en glissant mes doigts dans ses cheveux pour les lui caresser tendrement, paupières légèrement entre-ouverte. Mon cœur battait à tout rompre contre ma poitrine, en dehors de Mareck, Bastien était le seul à m'offrir gratuitement ce dont j'avais le plus besoin en ce moment. J'ai donc relever la tête tranquillement pour venir poser mon front contre le sien et je souris faussement histoire de lui faire croire que tout allait bien dans ma vie, même si je savais dans mon fort intérieur qu'il ne tarderait pas à découvrir mon manège. « Ça me fait vraiment du bien que tu sois là tu sais! » Lorsque je pris finalement conscience de la situation après m'être légèrement emporté par mes sentiments, je me suis écarté de lui tout en douceur afin de ne pas l'alarmer.
« C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises » ► VERLAINE
✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
Sam 16 Fév - 20:03
my heart is your
ethan & camil
Revoir Ethan avec cenouveau look étant très étrange je ne dis pourtant rien, bien trop heureux de le voir en chair et en os. Les os visible en plus de cela. Je sourie à sa manière d'avancer, de marcher, à son regard qui perce entre les deux opales noirs qui ont été marqué à l'aiguille autour de ses yeux. Bordel oui il a changé, et pas qu'un peu. Finit les cheveux rebelle et bouclé qui ne sont jamais bien coup, finit la bouille pale et sa peau pareil. Différent, et non pas sans raison je me doute bien. Cependant ne s'étant à peine revut depuis genre, deux petites minutes je ne dis rien par rapport à cela, décidant de le remettre à plus tard. C'est pas comme si on avait dans l'espoir de plus se voir bientôt. Enfin réunit dans la même ville. Ca en fait du temps de passé. Je suis content de te voir aussi Bas' et toi tu as rapetisser à ce que je vois Je sens ses bras se serrer autour de moi et ça me rassure dans un sens de le sentir ainsi alors que je reste contre lui. Je rie d'ailleurs à sa réponse, et oui moi qui , avant, était plus grand que lui nous voila quasiment à la même taille. Dingue ça. Je sourie donc sans rien répondre. Qui t'as donner l'idée de venir t'installer à San Francisco? Je hausse les épaules, ses gestes de tendresses naturelle me faisant soupirer de ravissement à le retrouver ainsi. Un offre d'emploi, puis j'avais plus rien qui me retenait à Sydney, alors qu'ici il y avait toi... et le boulot... Je répond donc avec sincérité alors qu'il bouge et qu'un sourire étire mes lèvres en sentant son front contre le mien. Oui il m'a manqué, et les rares skype que l'on se faisait avant n'amenaient rien à cela. Il sourit, et pourtant malgré toute la joie de le retrouver je ne peux que me sentir griser par cette fausseté qui sort de son sourire. Ça me fait vraiment du bien que tu sois là tu sais! Je sourie, ses paroles apaisant légèrement mon inquiétude qui monte en moi vis-à-vis de lui et de... tous ça. Moi aussi, c'est... tellement dingue de pouvoir enfin vivre dans la même ville. Je rétorque alors que je le lâche en le sentant s'éloigner, décidant de regarder autour de moi . C'est classe ici