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WTF ?! | Maël & MJ i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| Jeu 28 Juil - 7:26 | |
| Est-ce qu’il parlait de notre première fois à la fête de ses adieux, ou plutôt à notre « remise à zéro » ? Mais bien sûr, je déconnais. Je savais bien qu’il parlait de notre vrai première fois… celle où il m’avait fait croire qu’il était saoul le lendemain. Mon dieu… vous ne pourrez jamais ressentir ce que j’ai ressenti ce jour-là. L’humiliation, tristesse, amour et la colère. C’était phénoménal. À l’instant où j’ai entendu ces mots, j’ai eu du mal à respirer. J’étais fière d’avoir couchée avec Maël Petterson. Une fierté dont je ne me serais jamais ventée en publique… C’était en fait, une petite victoire personnelle. Je m’étais clairement préservée pour lui et après 13 longues années, j’ai pu l’obtenir. Mais je suis tombée assez bas… Lorsqu’il m’a dit :
« J’étais saoul. » T’étais… saoul ?! Moi qui croyais que ça signifiait quelque chose… J’ai cru voir la lueur dans ses yeux, j’étais pleine d’espoir. J’ai cru qu’il ressentait pour moi ce que je ressentais pour lui depuis toutes ces années. J’ai été anéantie. Par deux mots.
Moi je m’en rappelle comme si c’était hier…
Son front contre le mien, je fixais ses beaux yeux avant de tranquillement les fermer pour un bref baisé. J’en ai embrassé, des lèvres. De garçons, de filles, mais rien n’est comparable à celles de mon mari. Je me considère chanceuse de les avoir rien que pour moi… Des filles comme moi pourraient espérer pendant 40 ans leur prince charmant sans ne jamais le trouver. Elles peuvent parfois même espérer jusqu’à leur mort… ce qui est parfaitement triste. J’aurais pu attendre 30 ans pour avoir mes enfants mais à quoi bon ?! J’ai trouvé l’âme sœur dès mes 5 ans… C’est un peu comme faire un tatouage : allez-vous vraiment attendre 25 ans avant de faire votre tatouage « au cas où » le modèle ne vous intéresserait plus ? Si vous avez des intérêts, une passion pour quelque chose ou quelqu’un, l’âge n’a pas d’importance et le temps n’a pas de prix.
Et si vous n’êtes pas sûr de comprendre ce que je vous dis, c’est que vous n’avez jamais ressenti pour quelqu’un ce que je ressens pour Maël. Mais ne vous inquiétez pas… ça viendras, peut-être.
Tout d’abord, j’t’ai embrassé pour la première fois, comme ça…
il approcha ses lèvres des miennes afin de déposer un léger et tendre baiser mielleux. Soudainement, j’ai pu retrouver cette ambiance… juste en fermant les yeux. Transporté par le temps et l’espace, et par les mouvements riches de ses douces lèvres rosées.
et ensuite, t’as répondu à mon baiser, puis c’est devenu de plus en plus fougueux… j’t’ai attrapée par la taille pour te sentir contre moi en te faisant reculer jusqu’à mon lit… j’ai glissé ta robe pour te la retirer et je t’ai allongée sur mon lit en me mettant aussi en sous-vêtements…
Son histoire était bonne. J’avais tellement une courte mémoire… un vrai poisson rouge. Je gardais les yeux fermés en attendant la suite des évènements… Je voulais revivre ce moment comme si c’était la première fois… Et que la cassette bug, pour nous permettre de le revivre encore et encore. Je voudrais cependant supprimer ce moment où il m’annonce qu’il quitte et que ce moment si cher pour moi ne valait rien. Supprimer toutes ces heures dans ma chambre à effacer tous ses SMS, à lire son mûr Facebook noyée de larmes et de chagrin.
ensuite j’ai commencé à te caresser, d’abord la taille, ensuite entre tes cuisses comme ça
Il caressait mes cuisses de façon si agréable, faisant aller et venir à l’intérieure et l’extérieure… J’étais curieuse de voir s’il allait vraiment me faire un remake de ce soir-là… J’étais intéressée à en savoir d’avantage. Ses lèvres effleuraient le lobe de mon oreille, j’eus des frissons…
j’entends encore tes gémissements quand j’te caressais… ensuite j’t’ai déshabillée et on est allés sous mes draps pour que je me déshabille aussi… j’t’ai caressée quelque temps…
Il lâcha ma main afin de déposer la sienne sur ma poitrine qui était bien seule depuis la dernière minute. J’adorais sentir ses belles grandes mains masculines sur celles-ci… C’était plaisant comme un massage, et beaucoup plus… Un massage à la fois bon et excitant. Quelque chose que les hommes ne peuvent probablement pas comprendre…
et ensuite on a fait l’amour… doucement pour commencer, j'avais peur de te faire mal... tu t’en rappelles maintenant ?
Il était difficile pour moi de me rappeler de tout. J’avais déjà du mal à me rappeler parfois de ce que j’avais mangée pour dîner la veille… alors me rappeler de ce qu’il s’est passé il y a 5 ans, c’était plutôt difficile. N’empêche, vous me direz que c’est ma première fois au lit et que je devrais forcément m’en rappeler… Ce n’est pas faux. Mais c’était également le moment le plus humiliant de toute ma vie… J’ai essayé tellement fort d’oublier cet instant.
J’hochais la tête… Ce que je me rappelais de cette soirée, n’était que du bien et la fin beaucoup moins appétissante. Je me pinçais les lèvres et mis l’une de mes mains sur la sienne, celle qui massait ma poitrine afin de suivre le rythme.
Je me rappelle de t'avoir dit qu'il fallait ne pas y aller trop brusquement...
Je me mordillais la lèvre inférieure et ouvrit doucement les yeux afin de pouvoir regarder mon mari dans le blanc des yeux. Il caressait toujours entre mes cuisses et je devenais drôlement… excitée, à parler de notre première fois, et à être touché à la fois.
... Parce que c'était ma première fois.
Je lui souris et posais mon front contre le sien en posant l’un de mes bras autour de ses épaules alors que mon autre main descendit au bas de son ventre…
... Je pouvais sentir chacun de tes coups de bassins... aussi lents et profond les uns que les autres... Je prenais de longues inspirations et expirait courtement... Je ne pouvais pas te quitter les yeux...
Je lui souris et me pinçais les lèvres en caressant le sexe de mon mari. Je pris le membre entre mes mains et débutait tranquillement une masturbation… En ne quittant toujours pas son regard.
On m'avait toujours dit que ça faisais mal la première fois... mais par miracle ça n'avait pincée que quelques secondes... une minute peut-être... C'est comme si t'étais un expert. J'étais gênée que tu découvres mon corps mais à même temps, c'était comme si tu savais déjà tout à propos de moi...
Je ris légèrement et m’approchait de lui pour poser ma tête sur son épaule, en envahissant son cou de plusieurs centaines de petits baisers.
... Comme si t'avais compris que je ne voulais pas que tu partes sans moi... |
| | | | Mer 3 Aoû - 17:29 | |
| C’était parfait, elle était parfaite. Même avec ses défauts, elle l’était à mes yeux. C’est drôle, mais je n’ai vu que ses défauts dès le moment où nous nous étions mis ensemble. La jalousie, son côté possessive, jamais elle ne me l’avait montré avant. D’habitude, on dit que l’amour rend aveugle mais pas pour moi, et c’était mieux comme ça. Je savais comment elle était, elle m’en avait fait baver, ça c’est sur et elle m’avait fait du mal aussi…mais je l’aimais quand même malgré tout ça. Elle avait beau envier Emma, et l’histoire que j’avais eue avec elle à New-York, elle était vraiment loin du compte…car notre histoire à nous, était milles fois plus belle que celle que j’avais eue avec Emma… MJ était la première personne en qui j’ai eu jamais confiance, et deux fois, elle m’avait…donnée une famille. Il y avait bien sur les jumeaux aujourd’hui mais aussi quand nous étions petits et qu’elle m’a invité aussi souvent chez elle. C’était peut-être rien pour elle, mais pour moi, c’était tellement…beau. D’être dans une famille, de dormir avec ma meilleure amie au lieu de dormir dans cet orphelinat froid et triste. Là bas j’évitais de me faire des amis puisque je savais qu’ils finiraient par se faire adopter et que je ne les reverrais peut-être jamais… Les Winters avaient toujours été un peu comme ma famille, ils m’avaient toujours accueilli à bras ouverts, et à New-York je m’en étais aussi voulu d’avoir « briser leur confiance » en faisant du mal à Jude. D’ailleurs j’étais reconnaissant à MJ de ne rien avoir dit à son père…
Je lui décrivais les évènements de cette fameuse soirée…j’arrivais à me souvenir de chaque détails plus elle décrivait cette nuit, c’était certainement une de mes meilleures nuits de toute ma vie, même si elle avait engendrée pas mal de choses négatives par la suite… Ça serait mentir que de dire que je ne m’étais pas posé des millions de questions comme : qu’est-ce que j’vais faire demain matin ? Dans tous les cas, j’allais la faire souffrir. Mais même si je savais que c’était mal, j’en avais eu tellement envie en même temps…
FLASHBACK ; Je n’arrivais pas à croire ce qui était en train de se passer. Il faisait sombre dans ma chambre, mais je voyais chaque détail de son visage. Je me sentais un peu gêné d’être nu au dessus d’elle, comme ça mais en même temps, je trouvais ce moment juste…parfait. Je sentais ses mains caresser ma peau, avec une certaine hésitation, mais elle ne me quittait pas du regard ou elle fermait les yeux pour profiter de mes baisers dans son cou ou de mes caresses entre ses cuisses. J’avais un peu peur de faire des choses de travers, surtout que je ne savais même pas si elle l’avait déjà fait ou pas. Elle gémissait doucement sous mes caresses, j’en avais des frissons moi-même, j’embrassais son oreille en pénétrant doucement mes doigts entre ses cuisses. Je la sentais resserrer ma peau sous ses doigts fins.
« Maël… – murmura-t-elle entre deux gémissements – s’il te plait…doucement... – je me pinçais la lèvre et je me redressais pour la regarder en continuant mes mouvements plus lents avec mes doigts – j’ai…jamais…t’es le premier… ». J’hochais la tête, comme ça maintenant j’étais fixé même si j’avais encore plus peur de faire quelque chose de travers. Je me penchais pour lui donner un énième baiser, c’était la première fois que je l’embrassais comme ça, et bizarrement, j’avais l’impression de l’avoir fait toute ma vie. Je continuais mes caresses quelques temps, je devenais nerveux mais j’en avais tellement envie, ses mains sur ma peau, ses gémissements et puis…elle était tellement belle…je n’allais pas la revoir avant longtemps…ça me pinçais le cœur de penser à ça. Au bout d’un moment, je pris un préservatif dans le tiroir de ma table de chevet que j’enfilais assez vite puis, je glissais mes mains dans son dos en m’appuyant sur mes coudes pour la sentir contre moi alors que j’entrais doucement en elle, j’étais vraiment très nerveux à l’idée de lui faire mal. Je posais mon front contre le sien sans la quitter des yeux, en la voyant se pincer la lèvre j’ai eu envie de tout arrêter : à ce moment là j’avais vraiment envie de pouvoir lire dans ses pensées pour savoir si je devais continuer ou non.
Elle ouvrit doucement les yeux en esquivant un petit sourire et en me lançant un regard du genre « bah alors t’attend quoi pour continuer », en prenant de grandes respirations. Je commençais alors doucement, elle se remit à gémir tout doucement en enfonçant ses doigts dans ma peau, j’espérais que si je lui faisais mal, elle me le dirait, je crois que c’était ce qui m’angoissait le plus dans l’histoire en fait, que je lui fasse mal et qu’elle en garde un mauvais souvenir, qu’elle m’en veuille ou quelque chose dans le genre.
~~ Je fermais les yeux en sentant ses caresses entre mes cuisses et ses baisers dans mon cou. J’en avais déjà presque oublié tout ce qui s’était passé tout à l’heure…nous étions tellement bien, là. J’avais l’impression qu’être proche d’elle, nous n’avions jamais vraiment parlé de notre première fois, j’avais toujours peur qu’elle me dise que je lui avais fait mal, que j’avais été trop brusque, pas assez attentionné, qu’elle regrette aussi…mais tout ce qu’elle me disait était plutôt positif et ça me faisait plaisir parce que même si le lendemain avait été catastrophique, je ne regrettais rien, j’étais même fier d’être le premier qui lui avait fait l’amour.
« ... Comme si t'avais compris que je ne voulais pas que tu partes sans moi...» Je gardais mes yeux fermés en continuant mes caresses entre ses cuisses et sur son sein. Je me pinçais la lèvre, j’avais très chaud tout à coup. Tous ses souvenirs…c’était vraiment bizarre de parler de ça maintenant. Mais c’est vrai que si j’avais pu, je changerais une chose à notre première fois : le lendemain matin. Même si au départ, c’était parti sur de « bonnes intentions », j’aurais du faire autrement. Je n’oublierais jamais la honte et la tristesse qu’elle avait dans le regard ce matin là…Je me pinçais la lèvre, « j’aurais aimé…que ça se passe autrement… », Murmurais-je en retirant ma main de sa poitrine pour caresser sa joue en la regardant dans les yeux. « J’aurais vraiment aimé…que tu te réveilles dans mes bras…et que j’te dise bonjour en t’embrassant…j’aurais vraiment aimé…trouver le courage de te dire que j’t’aimais ce matin là…et te dire que j’avais envie que tu viennes avec moi à New-York… ». Je baissais les yeux quelques secondes, j’avais honte je m’étais vraiment comporté comme un connard égoïste. Si j’avais ça, en plus, elle n’aurait peut-être pas été avec Robbyn, elle n’en serait toujours pas amoureuse et elle ne serait qu’à moi…rien qu’à moi, entièrement à moi. J’enroulais mes bras autour de sa taille en embrassant son cou jusqu’à la faire basculer le dos contre la paroi de la baignoire…Je remontais mes baisers à son oreille, « J’suis tellement désolé Jude… », murmurais-je. |
| | | | Dim 7 Aoû - 7:21 | |
| < et BAM nos deux RPs = répondu ! dans tes dents (a) >
J’étais désolée qu’il apprenne comme ça où je travaillais… J’aurais voulu qu’il apprenne où je passe toutes mes soirées à travailler et qui exactement me permet de rapporter autant d’argent pour notre petite famille… Mais j’ai préférée mentir, et cacher cet affreux mensonge plutôt que lui donner entièrement la vérité. J’avais que cette solution en vue… je devais protéger ma famille. Mon mari, mon garçon et ma petite fille… C’était ça, où emprunter de l’argent gagné de la même façon et si durement par un ami.
Mais en ce moment, je n’y pensais déjà plus… Moi qui croyais que Maël péterait son câble et ferait une crise… Mais non, rien. Comme quoi je l’ai un peu surestimé, au fond. C’est un excellent mari et très bon père de famille… Pourquoi m’aurait-il jugé, alors qu’il me connait mieux que qui conque ? Parfois, j’ai même l’impression qu’il me connait mieux que moi-même. Ça fait peur à voir… mais c’est toujours pratique quand t’as besoin de remettre les pendules à l’heure.
Nous étions là, dans les bras de l’un de l’autre… Je caressais entre ses cuisses et baisais son cou, alors qu’il me caressait aussi le bas et les seins. J’ai horriblement envie de lui, comme j’ai toujours envie de lui d’ailleurs. Nous parlions assez rarement de notre première fois semi successive, et sans trop savoir pourquoi, j’étais chaude rien qu’à cette petite pensée. Je m’étais préservée pour celui qui est mon mari aujourd’hui… C’est rare que l’on trouve aussi jeune – 5 ans – le grand amour. Même que parfois, je me pose la question, à savoir si Maël est vraiment l’élue ou si c’est normal que ce soit juste trop beau.
j’aurais aimé… que ça se passe autrement…
Murmura-t-il, alors que sa première main quittait ma poitrine pour rejoindre ma joue. Il l’a caressait tendrement et je fermais les yeux… J’aurais pu m’endormir comme ça, à être caressé par lui. L’eau bouillante du début commençait à prendre un peu plus la température de la pièce, mais elle demeurait toujours très chaude. J’ouvris les yeux à nouveau pour constater qu’il me regardait avec ses grands yeux doux…
J’aurais vraiment aimé…que tu te réveilles dans mes bras… et que j’te dise bonjour en t’embrassant… j’aurais vraiment aimé… trouver le courage de te dire que j’t’aimais ce matin-là… et te dire que j’avais envie que tu viennes avec moi à New-York…
Je le regardais baisser les yeux, et la tête… Je savais qu’évoquer notre première fois n’était pas spécialement un souvenir « heureux » vue le cours des événements. Il a quitté San Francisco pour New York, il s’est fait de nouveaux amis et même une petite amie, Emma. De mon côté, je suis sortie avec une poignée de garçons et deux ou trois filles… Rien de sérieux, je dirais même que c’était plutôt pour essayer de l’oublier. Et puis Robbyn… une histoire d’amour tellement longue et compliqué, qu’on a tellement répété et usé qu’on a même plus la force d’expliquer à nouveau.
Ses bras s’enroulèrent autour de ma taille et je le laissais faire, en le regardant droit dans les yeux. La fatigue m’envahissait, mais il me basculait afin que je m’allonge dans le bain, le dos contre le bord. Ses baisers grimpaient l’échelle de mon cou pour finalement s’arrêter à mon oreille… J’avais les yeux clos, le petit sourire sur mes lèvres rosées. Je m’attendais à un petit « je t’aime » tout mignon, tout petit… un je t’aime qui cherchait à avoir sa place au creux de mon oreille et au fond de mon cœur… Mais encore plus étonnant, mon mari souffla d’autres mots à leur place…
J’suis tellement désolé Jude…
Susurra-t-il. J’ouvris tranquillement les yeux et lui sourit légèrement… J’étais contente, qu’il s’en excuse. Il l’avait fait mille et une fois mais jamais je n’ai pu ressentir cette impression de liberté. Le poids lourd sur mes épaules m’a quitté, j’étais finalement redevenue la petite fille qui avait longtemps espérée son prince charmant sur son cheval blanc. Mais j’avais grandis… et pas totalement mûrit.
J'te pardonne... mon amour...
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