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Sam 28 Mai - 1:00


Henderson, August Noah



ft. Alex Gaskarth

Histoire | CHAPITRE UN ♣♣ 0an.25avril1988.
«"James... James...JAMES!" "QUOI?" "AUGUST ARRIVE!" "TU N'ES PAS SÉRIEUSE?" "NON, JE ME SUIS FAIT PIPI DESSUS C'EST POUR ÇA QUE MON PANTALON EST MOUILLÉ ... Oui, je suis sérieuse." "Jésus-Christ." Papa&maman. Mes parents. Vous pensez sûrement que ce sont des parents immatures qui risquent de me laisser tomber au sol dès notre sortie de l’hôpital, n'est-ce pas? Oui. Non, mais oui ils sont immatures sauf non, ils ne m'ont pas échappés à terre. Ils venaient à peine de sortir de l'adolescence lorsqu'ils m'ont eu alors je les comprends. Ma mère était dans le salon en train de se prendre la tête avec les couleurs de ma chambre. J'étais attendu que dans trois semaines. Elle hésitait entre un bleu plus vert ou un bleu plus poudre. Puis tout d'un coup elle sentit un liquide mouiller son pantalon. Melody, sut alors que je m'en venais. La jeune maman paniquait et appela mon père en crie pour qu'il se dépêche. Lorsque James mit la valise dans la voiture, ils partirent directement vers l’hôpital. Pendant ce temps ma mère se plaignait car les contractions venaient de commencer. Mon père se disait alors qu'il était heureux d'être un homme et ne pas vivre cette souffrance. Une fois arrivée au urgence, mon père est en sueur et panique plus que ma mère, il court vers une infirmière et lui dit que sa fiancée est en travail et que le bout-chou s'en vient, à l’occurrence moi. Deux infirmières arrivent et l'a fait s'asseoir dans une chaise roulante. Au même moment un autre homme arrive aussi paniqué que mon père et va voir la même infirmière en pointant sa femme qui fait des cris de lions car ses contractions sont plus avancées que ceux de ma mère. Ils la mettent elle aussi dans une autre chaise roulante et place les deux femmes l'une à côté de l'autre. Puis chacune des infirmières poussent les deux nouvelles mamans vers les salles d'accouchement. Ma mère demande à l'autre maman. "Une petite fille ou un petit gars?" "Un petit gars, il va ce prénommer Felyx et le petit coquin vient de ce décider. Et vous?" "Un petit gars aussi, August le mien." "Joli prénom." "Merci vous aussi." Et de cette manière, grâce à nos mamans que j'allais connaître mon meilleur ami. Les infirmières emmenèrent les jeunes femmes dans deux pièces différentes. Le médecin qui s'occupait de ma mère semblait franchement trop sympathique. Pendant que ma mère poussait, je vous épargne les détails, elle criait qu'elle voulait un morceau de gâteau au fromage. L'infirmière lui disait que si elle en voulait un, il fallait pousser. Melody avait eu l'envie de la prendre par le collet de la faire passer par dessus le lit. Mon père lui était sur le sol à peine après deux minutes, évanouit. Il n'était pas vraiment efficace. Une, deux, trois, quatre, cinq ... et onze heures de travail plus tard me voilà dans les bras de ma mère à pleurer. Grand-maman et papa maternel et paternel, parrain, marraine, oncle, tante, meilleur ami et amie étaient dans le corridor avec les ballons, oursons, cadeaux, cartes et le fameux "félicitation c'est un garçon." En plus il y avait la famille de l'autre maman qui était dans la chambre juste d'à côté qui criait au meurtre car elle travaillait toujours comme une forcenée. Puis tout d'un coup des cris se firent entendre dans le corridor. Felyx venait de naître lui aussi. Quand ma mère me prenait, je ne pleurais pas, mais lorsque mon père me prenait dans ses bras, je pleurais, c'était de même avec tout le monde comme si ma mère me calmait et me rassurait. Mais pour mon père, je crois que c'était plus une revanche puisqu'il a manqué ma naissance car un peu plus tard j'étais toujours avec lui. Pour ce faire pardonner, il savait jouer de la guitare sèche, alors le lendemain, pendant que j'étais couchée dans les bras de ma mère, il me jouait de la musique. Ma mère ne voulait pas me quitter même si elle devait dormir, j'étais son bébé et arrêtait pas de me dire que j'allais être une pesse plus tard, elle n'avait pas vraiment tord. »

CHAPITRE DEUX ♣♣ 17ans. 19mai2005
«"Je te gage que tu ne seras jamais capable." "Tu paris combien Felyx? "Ton père voudra jamais et s'il veut, je paie ton tatouage." "Tu crois?" "J'en suis certain." "Ok." Moi et Felyx mon meilleur ami, on est à la cafétéria. Nous sommes en dernière année du lycée. Il sait parfaitement qu'il ne faut pas me mettre au défi car je suis près à tout pour lui prouver le contraire. Le défi? Me faire tatouer. Je ne vous cache pas que j'ai un peu peur de la douleur et surtout que je ne sais pas quoi me faire tatouer, je vais voir là-bas. Sauf il y a un petit détail qui risque de compromettre le plan, mon père. Je sais très bien qu'il ne voudra jamais, mais je vais bien m’essayer quand même. Moi et Felyx on se sourit avant de se lever et d'aller aux casiers pour prendre nos choses car la cloche venait de sonner. J'embrasse Charlie avant de la laisser aller à son cours. Je regarde Felyx et je me dis que lui et moi on est vraiment impossible, imbattable comme duo. On est dans le cours et on se lance tout se qu'on trouve dans notre coffre à crayons. On se lance des insultes en criant comme des débiles. La prof nous regarde et finit par nous expulser de la classe. Assis devant le bureau de la direction, on se chamaille en tenant de pincer l'autre le mieux possible. La directrice nous demande en soupirant. On se regarde en souriant et on se lève. Elle ne nous demande même pas ce que nous avons fait et nous demande tout simplement d'écrire une réflexion et d'arrêter de faire les immatures en plein cours et elle va appeler nos parents. On accepte sachant très bien qu'on va rien faire comme d'habitude. Rien. La journée finit par se terminer. Je raccompagne Charlie chez elle et je lui dis qu'elle va avoir une surprise demain. Elle ne me pose pas de question et espère que ça ne sera pas une trop grosse connerie. Elle me connait. Je ne lui dit rien et je pars vers chez moi. En rentrant, je me dirige vers la cuisine, ma mère est en train de faire le souper. Je lui demande où est papa. Elle me répond dans le garage à tenter de travailler sur sa moto. Je l'embrasse sur la joue en la remerciant et je me dirige vers le garage. En ouvrant la porte, je vois mon père. ''Papa, est-ce que je peux aller me faire tatouer ce soir avec Felyx?'' ''Non.'' ''Ok.'' Je ferme la porte en souriant et je vais à nouveau dans la cuisine. ''Maman, je m'en vais coucher chez Felyx.'' ''Mais Noah' je viens de finir de préparer le souper.'' ''Je vais le manger demain en revenant des cours promis, bye je t'aime.'' Je marche dans la rue avec mon sac sur le dos. Je risque de me faire tuer demain soir, mais je m'en fiche. À peine dix minutes plus tard et je suis déjà rendu chez mon meilleur ami. J'ouvre sans cogner car sa mère m'a déjà menacé que si je continuais à cogner en entrant, je n'aurais pu le droit de venir. Alors depuis ce temps-là, je rentre tout court. Je crie après l'imbécile qui me sert de meilleur copain de descendre. ''Let's go!'' ''Ton père a voulu ?'' ''Oui et tu pais mon tatouage.'' Il me donne une claque avant de rire et de crier à sa mère qu'il allait souper chez moi. On prend l'autobus pour ce rendre dans le centre-ville. Pendant le trajet on parle de tout et de n'importe quoi, comme à notre habitude. Enfin arrivé, on débarque et on se rend dans à l'appartement d'un ami. Tatoueur et je n'ai pas besoin d'avoir l'âge. On se fait la poignée de main habituel que fait deux gars font quand qu’ils se connaissent et il me demande ce que je veux. Je descends mon regard vers le dessin sur lequel il travaille. Un genre de squelette qui passe l'Halloween. Je tape le bras à Felyx qui parlait avec l'ami et je lui montre. ''C'est lui que je veux Alex'.'' ''Lui?'' ''Oui lui. Tu peux pas me le faire ?'' ''Non c'est juste que c'était un dessin que je faisais pour passer le temps.'' ''Eh bien, j'aimerais bien l'avoir si tu veux?'' ''Ok tu peux aller t'asseoir pendant que je te prépare ça.'' Je me dirige vers sa ''salle'' et je prends place. Fel’ rit en se disant que c'est stupide. Je le regarde en riant moi aussi. Je ne voulais pas un truc qui était significatif pour moi, je voulais que ça me rappelle tout simplement mon adolescence qui contient de très bons souvenirs pas une chose en particulier. Mes parents et Charlie vont me tuer, mais ce n'est pas grave. Alex' arrive avec son équipement et les couleurs. Je stresse légèrement. Felyx me regarde avec ce fameux regard de satisfaction. Je lui souris. Alex' me demande où je le veux. Je sais, d'habitude il faut dire ça au tout début, mais j'y allais à l'improviste. Je lui montre mon avant bras gauche et lui pointe l'endroit. Il me spécifie que ça ne sera pas la sensation la plus agréable au monde, cependant j'allais survivre. Bonne nouvelle ça. Alex' prépare mon bras et se prépare lui-même et après une vingtaine de minutes, tout débute. Je ne regarde pas, je me concentre sur Felyx qui fait les plus affreuses expressions au monde, mais j'ai les larmes qui me viennent aux yeux. Ce dernier commence à me faire la conversation et j'embarque pour me concentrer sur autre chose. Une, deux et trois heures se sont écoulées. Il me dit que je peux regarder. J'ai un gros sourire au visage. Pas mal le finit du tatouage même qu'il est plus beau que sur la feuille de papier. Mon meilleur ami vient foutre son nez entre nous et regarde attentivement. "Alex' ? Si t'as le temps est-ce que tu pourrais me faire le même sauf sur le mollet, s.t.p?" "TU VEUX LE MÊME QUE MOI?" "Oui, on va avoir le même et en plus dit toi que ça va nous rappeler nos belles conneries qu'on a fait ensemble depuis qu'on sait marcher." "Ha ha ha! J'ai bien hâte de voir si tu vas pas pleurer." "Moi au moins je vais pas avoir les larmes aux yeux comme certain." "Fuck you bitch." Alex' accepte se disant que de toute façon il n'avait rien à faire d'autre. Mon ami s'occupa tout d'abord de moi en m'enroulant le bras d'une pellicule de plastique et me dit les consignes à suivre pendant au moins deux semaines puis demanda à Felyx d'enlever son jean et de ce coucher sur le ventre. Il s’exécute et moi je m'assis un peu plus loin en savourant déjà la souffrance qu'il va vivre. Il est nerveux, il n'arrête pas de parler vite et de me dire n'importe quoi et que non, c'est tout à fait normal venant de sa part. Alex' revient et se prépare. Lorsqu'il commença, je me mis à mon tour à raconter des souvenirs tentant de le rassurer. Je me mis à lui crier dessus et à rire quand j'ai vu LA larme glisser sur sa joue. Felyx est parfaitement au courant que je trouve ça jouissif. Il me fait une grimace et me dit d'arrêter. Alex' se met à rire. Les heures passent et puis c'est finit. Mon meilleur ami fait un visage de l'enfant qui vient de découvrir ou de faire quelque chose de merveilleux. Le tatoueur nous prends en photo après avoir donner des consignes similaires aux miennes. On finit par sortir de l'appartement. Il fait noir. On se regarde et on se dirige lentement vers la maison de mon meilleur ami. Un autre souvenir ajouter à notre belle collection.»

CHAPITRE TROIS ♣♣ 21ans.8juillet2009
«Je suis dans la cuisine depuis maintenant trente minutes et je n'ai plus de patience. La musique joue partout dans la maison mais je ne l'entends pas tellement que je suis concentré sur mon affaire. Saleté de gâteau à la crème. C'est pour Charlie, je sais qu'elle l'aime, celui de ma mère. Je ne suis pas patient de nature, mais juste pour elle et pour lui faire plaisir, je reste et je me bats avec la recette. Je soupire. J'ai l'air con avec ce tablier avec un chat imprimé dessus. Je ne la sent pas arriver pourtant je sais tout de suite lorsqu'elle est là, d'habitude. Rapide comme une panthère, ses bras entourent tout doucement mon torse et elle vient faufiler son nez entre mes cheveux et m'embrasse sur la nuque. Je souris. Puis ses lèvres viennent proche de mon oreille et Charlie me chuchote un truc. "T'es sexy avec ce tablier, gros chaton." Je me mets à rire et je me retourne dans ses bras. Elle me fait un de ses sourires. Je l'aime tellement, si vous saviez à quel point. Je plonge mon regard dans le sien, ses yeux brillent de joie, surtout celui qui est bleu car oui la jolie demoiselle devant moi à un oeil brun et l'autre bleu et elle est magnifique. Je passe mes bras autour de son cou et je dépose mes lèvres contre sa tête en exercent une légère pression qui la fait rire. J'aime tout d'elle. Ça fait maintenant trois ans que nous habitons ensemble. Mon quotidien, c'est elle. Quand je me réveille, elle est dans mes bras à dormir avec les poings fermés comme un gros bébé, c'est mon bébé. "Sexy hein ? Eh bien, je ne pensais pas plaire avec un tablier de chat." "Tu me plais toujours, même quand tu viens de te lever." "Je t'aime." "Jamais autant que moi." Puis, je finis par l'embrasser sur les lèvres. Elle me sourit en m'embrassant sur le nez et se détache de moi tout doucement et va chercher un tablier un peu plus loin. Charlie se met à côté de moi et commence à manger la crème. Elle se met à rire en disant que ma crème est infecte. Je la vois prendre la feuille des ingrédients et commence à lire. "Je vais t'aider homme, t'es loin d'être habile." "T'es aussi nul que moi ... femme." "Je le sais, mais deux nuls vont peut-être venir à bout de faire quelque chose de potable." Je l'aime. Maintenant cinq ans que nous sommes ensemble et je ne peux pas imaginer ma vie sans elle. Depuis cinq, Charlie me fait découvrir c'est quoi l'amour et douze ans que cette jeune femme me fait vivre. Je veux que dans quarante ans on soit encore dans une cuisine à tenter de faire un gâteau impossible et de la voir froncé son petit nez car il y a un ingrédient qui la dérange un peu plus que les autres et qu'elle n'arrête pas regarder partout cherchant la grosse cuillère pendant qu'elle est devant elle. Et je crois que c'est la raison du pourquoi que cette bague se trouve dans la poche arrière de mon jean. Je ne veux pas vivre avec quelqu'un d'autre que Charlie et il y a juste elle qui fait mon bonheur. Elle n'a jamais été comme les autres. Toute petite même que je la dépasse de plus d'une tête, les cheveux qui vaguent et qui tombent dans son dos et elle n'aime pas les attacher, ses vêtements qui sortent jamais de grandes boutiques, ses yeux qui brillent tout le temps, son sourire toujours présent, son style que ses amies aiment, mais qui ne copient pas parce qu'elle a sale caractère de pitbull quand elle veut, sa gentillesse, le fait qu'elle aime tout le monde, mais qu'elle ne tient qu'à une poignée de personnes sur terre, sa manie de toujours séparer les bonbons par couleur et après manger un de chaque couleur dans une ordre bien précise, de m'expliquer comment elle voit les choses et qu'elle me parle pendant des heures de la neige et du beau temps. C'est elle, Charlie, mon amour, mon coeur et la personne que j'aime le plus au monde. J'ai l'air du parfait imbécile heureux, je le sais et j'aime ça. Je la lâche du regard et je m’assis sur le comptoir en montant le son de la radio. Queen ▬ Somebody To Love. Classique. Je me mets à chanter. La magnifique cuisinière embarque même si elle n'arrête pas de dire qu'elle chante mal. Elle bouge de droite à gauche en mettant les ingrédients dans le pot. Je ris en tapant des mains en me rendant compte que la bague me fait mal à la fesse. Elle échappe un oeuf au sol et glisse en pilant dessus. Bébé se retrouve sur le dos à rire. Je m'approche en pleurant de rire et je lui tends la main. La traître. Cha' avait un oeuf dans la main et me l'écrase contre la tête. "T'ES QU'UNE SALE TRAÎTRE LIVINGSTONE!" Je prends le carton de lait qui est ouvert et je commence à pencher lentement la bouteille vers la tête de Charlie. "T'AS PAS INTÉRÊT À FAIRE ÇA!" "Sinon quoi ?" "Essaye, tu vas voir." Comme de fait je verse toute la bouteille de lait sur son visage. Elle se lèche tout le contour de la bouche et se lève en me lançant un regard de feu. Moi je suis plié en deux tellement que je ris. Elle prends la farine et m'en lance en prenant aussi les oeufs. La guerre venait de prendre. On prends tout ce qui est en rapport avec le dessert et se lance tout ça. Dix minutes. Je finis par la prendre et lui donner un gros câlin. Je savais qu'elle arrêterait, elle est comme une enfant énervée. "On va prendre notre douche bébé chaton?" "Oui." Elle se met à rire et me prends la main en faisant attention pour ne pas piler dans les dégâts. Une fois dans la douche, je lui lave tout doucement les cheveux en tentant de démêler les noeuds. Charlie laisse échapper un petit cri à chaque fois que je lui tire un cheveu. Je l'embrasse à chaque fois sur la tête en m'excusant. Puis sans raison tout simplement de même, elle me prends dans ses bras et me serre le plus fort possible. "Je t'aime tellement, si tu savais à quel point, t'es la raison principale qui fait que je me lève le matin Noah, je t'aime." Je ne dis rien, je lève sa tête avec mon index et je plonge mes yeux dans les siens. Je tire le bras vers l'extérieur de la douche et réussit avec difficulté à sortir le bijou de ma poche. Elle n'a pas remarqué ce que je tenais dans ma main je lui prends tout doucement la sienne et je glisse lentement la bague dans son doigt. "Je t'aime aussi Charlie, je ne me vois pas passer ma vie avec une autre personne que toi, tu me fais vivre, c'est tout aussi simple que ça, je veux tout vivre avec toi et c'est pour cette raison que je te demande ceci: veux-tu m'épouser ?" Je tremblais, j'avais peur qu'elle me redonne la bague et me plaque là. Mon coeur battait tellement vite que j'avais peur qu'il me lâche. Ses yeux s'étaient remplis d'eau et la seule chose que j'ai entendue est sortit d'un coup. "Je pourrais jamais te dire non gros chaton, oui, oui, oui et oui." Le sentiment de joie qui m'a transporté à ce moment-là ne sera jamais vécu par une autre personne.»

CHAPITRE QUATRE ♣♣ 22ans.25mars2010
«Je ne sais pas comment me comporter, je suis démoli à l'intérieur de moi. Je suis perdu. Je suis assis à l’hôpital, je comprends rien, mon esprit est vide, mais il n'y a juste qu'elle qui me sourit. Je pleure comme jamais personne n'aurait pu pleurer au monde, personne ne sait à quel point, je suis mort ... Si j'avais su, si j'avais pu me mettre plus alerte quand elle me regardait sans cette luminosité dans ses yeux qui est d'habitude toujours présente avec cette joie de vivre, si au moins j'aurais pu comprendre qu'elle me mentait quand elle me disait que tout allait bien. Si au moins j'aurais pu rester avec elle ce matin quand elle m'a prit dans ses bras en me disant qu'elle va toujours m'aimer. Je croyais que c'est simplement une passe, qu'elle allait revenir comme avant, je pensais vraiment que je la faisait vivre, que j'étais quelqu’un pour elle. Je suis démoli. Mes yeux sont fermés et je ne veux pas les ouvrir. Je ne veux pas voir mon père et ma mère en pleure en me disant que tout allait bien aller et de voir ses parents à elle se serrer et de pleurer toutes les larmes de leur corps. Je pense sincèrement que c'est de ma faute. Même si j'entends des personnes me dirent que c'est pas vrai, si c'est vrai. J'aurais du m'asseoir avec Charlie, lui poser des questions, de la prendre dans mes bras et de la rassurer sur la vie. C'était mon rôle et j'ai échoué. Maintenant, je suis détruit, je ne pensais pas que la vie pouvait être aussi cruelle, je ne pensais pas que la souffrance pouvait être aussi grande. Je ne pensais pas que souffrir de cette manière ce pouvait. J'ai entouré mes jambes de mes bras et je me dis que non, que c'était un cauchemar, que j'allais me réveiller avec elle dans mes bras qui me serrent et qui dort. Puis j'ai le moment d'il y a deux heures. Je revenais d'une séance d'enregistrement avec des amis pour un second disque démo, j'étais content, ça l'allait bien pour ma carrière et dans pas long j'aurais pu partir en tournée dans un gros autobus et faire les États-Unis avec elle qui invente des plans trop démoniaques. Je passe la porte lentement, c'est silencieux. J'hausse un sourcil car je la croyais à l'appartement. J'ai enlevé mes chaussures et déposé les clés dans le petit pot en forme de guitare. Je tourne la tête et vois une lettre avec une petite boîte. Je me mets à paniquer un peu en m'imaginant qu'elle m'avait quittée, si ça l'aurait été ça. Je me suis approché et j'ai pris la lettre qui contenait deux pages. Je me mets à la lire. Après cinq minutes, je la laisse tomber au sol et je me précipite dans l'appartement en criant son nom. Je vois la porte de notre chambre fermée, je la pousse. Je me mets à crier de toutes mes forces. Charlie est inerte dans le lit avec une boîte de pilules vides. Je prends pas la peine de la toucher, j'appel tout de suite les urgences et je me suis jeté sur elle et la prend dans mes bras. Je n'arrive pas à trouver son pou. Je suis flatte à la tête tout doucement en lui disant de rester en vie, qu'elle ne pouvait pas me faire ça, que ça l'allait bien aller après, que j'allais l'aider. Plusieurs minutes plus tard, les ambulanciers entrent et ils me poussent. L'un dépose son index dans son cou, ils se regardent en secouant la tête. L'un deux me regarde avec un regard vide. C'est le noir. Je me ne r'appel pas comment je suis arrivé ici. Je sais juste qu'en ce moment je suis assis et que je pleure. Elle est morte. Son père vient s’asseoir à côté de moi et me prend la main et me force à le regarder. J'ai honte, je n’ai pas su comment s'occuper de sa fille. "Elle veux que tu l'as pardonne et c'est la seule chose qu'elle aurait demandé. Tu le sais que tu étais la seule personne qui faisait qu'elle restait en vie et tu le sais qu'elle t’aimait plus que tout au monde. Ne t'en veux pas. Jenny et moi ne t’en voulons pas non plus et même qu'on te remercie d'avoir rendu notre fille heureuse August." "Je ..." Je ne suis pas capable, je lâche sa main et je me lève. Je tombe la première fois, je tremble trop. Je me relève et je pars, je sors. Sortit à l'extérieur, je prends une grande bouffée d'aire. Je me mets à marcher lentement, la tête baissée. Je ne vois personne. Je veux sentir sa main dans la mienne et me dire que le ciel est magnifique en riant. Je veux l'entendre rire, je veux entendre sa voix, je veux sentir l'odeur de sa peau, de ses cheveux, la regarder dans les yeux et de lui dire que je l'aime de tout mon coeur. Je me suis assis sur le banc d'autobus et je continue de pleurer. Je lève lentement la tête et je vois gros camion qui arrive. Je me lève et je ne pense qu'à une chose. "Je ... je .. ne peux pas vivre sans ... toi." Je m'approche dangereusement de la rue. Je ne peux pas continuer, comment je vais faire sans toi Charlie ? Comment je vais pouvoir bien aller si tu n'es pas là pour m'encourager et de me dire que tout est beau? Comment je vais faire, me réveiller sans te voir là, de rentrer à la maison et de ne pas te voir te battre avec la télécommande ? C'est toi qui faisais que la vie était belle Charlie, c'est toi qui me faisais vivre. Je ne veux pas avancer sans toi bébé chaton. Je sais que tu vas m'en vouloir de faire ça, tu me l'as écrit dans la lettre, tu veux que je sourie et je réalise tous mes rêves, tu veux que je sois heureux. Comment l'être si tu n'es pas là ? Tu n'avais pas le droit de faire ça. Je dépose un pied dans la rue, j'entends l'homme klaxonner, je ne veux pas qu'il m'avertisse que c'est dangereux, je le sais. Je dépose le second pied et je fais un pas pour être sûr qu'il ne me manque pas. J'entends encore le klaxon mais je ne bouge pas. Je vois Charlie dans ma tête écrire la lettre et enlever la bague. Alors tu étais vraiment déterminé ? Tu voulais vraiment prendre ce contenant et t'enlever la vie ? Est-ce que tu étais consciente que tu allais faire autant mal ? Que t'allais briser ta famille ? Tes parents ? Tes amis ? Moi ? Il approche. Je tremble et continue de pleurer. Dix secondes, neuf, huit, sept ... tout s'écroule. Je sens des bras m'entourer et me tirer vers l'arrière. "AUGUST NE FAIT PAS ÇA!" C'est mon meilleur ami. Il pleure lui aussi, j'entends le son de sa voix. Il me retourne et me prends dans ses bras. Je m’effondre et je m’accroche désespérément à lui. Felyx sait à quel point ça me détruit, il sait que je vais jamais m'en remettre, il sait à quel point je l'aime et il sait à quel point je tenais à elle et il sait à quel point elle était tout pour moi. Je suis à genoux et ma tête est sur son épaule. Il me sert fort et pleure avec moi. Ça ne sera plus jamais comme avant. Charlie. J'ai tellement mal. Ça ne sera plus comme avant, plus jamais. Depuis ce jour, je garde ça pour moi, j'ai peur que ça revienne me faire mal.»




CaractèreC'est bien difficile de parler de soi-même, je trouve. Je ne sais par où commencer donc je crois bien que ça va être un peu le bordel, faut me pardonner. Je ne suis pas difficile d'approche et je n'ai pas de difficulté à aller voir quelqu'un, d'accord je l'admets, si le mec ressemble à une armoire à glace, je ne vais pas m'approcher, même s'il peu être super gentil et doux, je préfère attendre de le connaître de loin avant de m'approcher. Je ne suis pas quelqu'un de jaloux ou de possessif, sauf qu'il m'arrive de garder "très" souvent un oeil sur les gens que j'aime et de ressentir un petit pincement au coeur, mais ce n'est pas maladif. Je suis une personne orgueilleuse, même si dans la majorité des cas, c'est moi qui va se faire pardonner en premier auprès de l'autre personne. Je suis impulsif, immature et irresponsable, je le sais parfaitement, mais encore une fois, ce n'est jamais un truc que les gens me reprochent en premier, enfin, je ne crois pas. J'aime faire des conneries, m'amuser, faire parfois l'enfant, roter, péter, commencer une guerre de nourriture, mais je sais où sont les limites et quand m'arrêter. Irresponsable, non pas dans le sens que si je garde un enfant, je vais le perdre ou l'emmener dans un bar, juste irresponsable au point que si vous me donnez une feuille importante, il se peu que vous ne la révérez jamais, des clés, votre iPod ou etc. Impulsif, comme tout le monde je crois, il m'arrive de faire certaines choses sans y penser ou de dire un truc que je ne pensais pas, sur le coup de la colère, de la surprise, j'ai des regrets par après si c'est un truc grave. Je suis quelqu'un d'affectueux, j'aime un peu tout le monde, je leur dit ouvertement que je les aime et je n'ai pas de difficulté à montrer à quelqu'un que je tiens à lui. Sauf avec les filles, j'ai plus de difficulté non pas qu'elles me gênent, seulement, depuis la mort de Charlie, j'ai peu de m'attacher à l'une d'entre elles plus que je ne le devrais. J'ai de la difficulté à parler de la mort, je suis sensible, même après un an. Je m'ouvre pas si facilement, je crois avoir un grand coeur, j'aime être seul comme un peu tout le monde, je n'ai pas de difficulté à me défaire de n'importe quel objet électronique à part de mon iPod. Il m'arrive d'écouter des films de filles et de pleurer (j'assume parfaitement), il n'y a qu'une seule personne qui me connaît par coeur, je n'ai jamais cru au grande histoire d'amour jusqu'au moment où j'ai rencontré Charlie, j'ai pas de honte à dire que j'aime mes parents et que je m'ennui d'eux, je ne dit pas tout le temps ce que je pense, j'ai une grande estime envers les autres personnes, la scène, la musique, les concerts sont rendus ma vie, la seule chose que je souhaite vraiment c'est de passer un message aux gens, j'aimerais retrouver un jour la joie de vivre que je voyais dans le regard de Charlie et je rêve de m'acheter mon propre label. Je suis quelqu'un d'humain.

Passez sur les titres pour découvrir le personnage (:

Marie

ÂGE 16 ans.
DATE D'ANNIVERSAIRE 22 octobre 1994

FRÉQUENCE DE CONNEXION 7/7
NIVEAU RP Entre 20 &&’ 70 lignes.

AVATAR THE Alexander William Gaskarth. (aa)
COMMENTAIRE i love cookie. <3
CODE DU RÈGLEMENT OK by Dwight


AUGUST NOAH HENDERSON

SURNOM Gus’
GROUPE Gentleman, yes you can.
TYPE DE PERSONNAGE PI.
ORIENTATION Hétérosexuel.
SITUATION AMOUREUSE Célibataire.

ÂGE 23 ans
DATE DE NAISSANCE 25/04/1988
LIEU DE NAISSANCE Caroline du Sud, États-unis.

Gentil ⚡ Maladroit ⚡ Drôle ⚡ Colérique ⚡ Ouvert d'esprit ⚡ Empathique ⚡ Passionné ⚡ Renfermé ⚡ Sociable ⚡ Distrait

AIME Le jus de pomme, gratter sa guitare, écouter de la musique en tout temps, regarder les bébés chats en travers la vitrine, regarder les vieilles photos de son enfance, donner des baisers sur le front, revenir d'une fête tôt le matin quand les oiseaux chantent et quand le soleil vient de se lever, la nouveauté, la scène, avoir chaud en chantant, prendre des douches froides en été, faire honte à ses amis, voir quelqu'un sourire, lorsqu'il pleut et qu'il peu se faire un chocolat chaud, être entouré de gens, son meilleur ami, ses parents, les films qui le surprend, lorsqu'il arrête de penser deux petites secondes, manger, faire des conneries, faire de la route, lorsque quelqu'un le remercie de faire la musique qu'il fait, faire de la musique, apprendre des trucs nouveaux, lorsque quelqu'un le surprend, avoir raison.
N'AIME PAS Voir les gens malheureux, être seul car cela lui fait rappeler trop de mauvais souvenirs et devient nostalgique, lorsqu'il a tord, n'arrive pas à dormir, mentir, le faux, les femmes trop femmes, le jugement, les arachides, les maringouins, lorsqu'il répète trop la même chose, parler de sa fiancée, de la mort, les canapés en cuir, les maux de coeur, les gens trop saoul dans les fêtes, faire du mal à quelqu'un, quand quelqu'un lui dit qu'il y a toujours le choix, quand un de ses plans ne fonctionnent pas, vivre dans le passé, la maltraitance envers les animaux et les humains, l'humidité, dépendre de quelqu'un sachant très bien qu'il dépend de pas mal de gens.



Code:
[size=12][color=crimson][font=Georgia]Alex Gaskarth [/font] ▬[/size] [font=arial][size=9]A. Noah Henderson [/size][/font][/color]

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Anonymous
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Sam 28 Mai - 1:06

Bienvenue!
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Sam 28 Mai - 1:06

ALEX LE KEUPIN DE JOHN \o/

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Sam 28 Mai - 1:15

THE MAINE and JOHN My Head Is A Prison And Nobody Visits ♣♣ A. Noah Henderson 79124

Merci à vous deux. crazylove
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Sam 28 Mai - 1:17

Bienvenu djsa

Bonne chance pour ta fiche
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Sam 28 Mai - 1:20

Merci. ♥️ debile
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Sierra Desrosiers
Sierra Desrosiers
all i care about is love
AVATAR : Hayley Williams.
✱ ÂGE : 33
✱ QUARTIER : SOMA.
✱ COLOCATAIRES : Son mec et sa fille.
all i care about is love
Sam 28 Mai - 1:21

Oh, un Alex ♥.
Bienvenuuuuue !
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Sam 28 Mai - 1:21

JE TAIME *0*
Welcome xD
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Sam 28 Mai - 1:25

Hayley ♥️
Ö J'viens d'arriver et j'ai un droit à un je t'aime. (x

Merciii beaucoup. crayonphile
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Sam 28 Mai - 1:26

Bienvenuuue minnnnneeeeeeetttttttttttttt. ♥️
Avec Gaskarth, L'HOMMMME (de ma vie). (a)

8;D
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Sam 28 Mai - 1:28

Tu viens d'arriver, mais t'es de retour! Et avec Alex en plus ♥
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Sam 28 Mai - 1:37

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Chattttooooooooonnnnnnn My Head Is A Prison And Nobody Visits ♣♣ A. Noah Henderson 79124
Il est beau. ♥️ (j'savais que t'allais mettre ton petit bonhomme trop joyeux xd) (aa)

Comment tu m'as reconnue ? Sûrement par le code IP (x


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Sam 28 Mai - 1:41

J'ai mes sources♥
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Invité
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Sam 28 Mai - 1:53

t'as pas le VIH cette fois? 8;D
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Invité
Invité
Sam 28 Mai - 1:55

Cette source, est-ce qu'elle s’appelle Claudie par hasard ? xd

Non cette fois, c'est la fiancée décédée ... :L
Oui oui encore du drame (x
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Invité
Invité
Sam 28 Mai - 1:59

Ah ben fuu pour la fiancée! T'inquiète tout le monde a sa dose de drame dans le coin ¬¬'
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Invité
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Sam 28 Mai - 2:01

XDDD nooooon (aa)
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Sam 28 Mai - 5:06

Bienvenu parmi nous :-D 123
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Sam 28 Mai - 10:01

Bienvenue ! :D
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Sam 28 Mai - 14:58

Bienvenue Razz
djsa
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Invité
Invité
Dim 29 Mai - 0:19

Bienvenuuuuuuue!
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Anonymous
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Invité
Dim 29 Mai - 16:22

Bienvenue.
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Invité
Invité
Dim 29 Mai - 16:28

Bienvenue \o/
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 29 Mai - 17:47

bienvenue parmi nous djsa
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 29 Mai - 22:57

Rob' ♣♣ Ça c'est moche, moi qui pensais que tout le monde aurait juste du joyeux ... Ö

Dédé' ♣♣ Moi j'vois plutôt un "ouiiiiii c'est elle! " Ha ha ha xD

Merci à vous demoiselles. ♥
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My Head Is A Prison And Nobody Visits ♣♣ A. Noah Henderson

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