AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

N'hésitez pas à inscrire vos persos sur facebook et à nous y rejoindre ! (inscription facultative) ♡


N'oubliez pas de voter et afin de nous faire connaître !


Pour célébrer la nouvelle année, le Maire a organisé un bal masqué. Rejoignez-nous ici pour en savoir plus Voisin à la rescousse ! ❥ CIDAN 3997999705


Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH Voisin à la rescousse ! ❥ CIDAN 79124 Voisin à la rescousse ! ❥ CIDAN 79124

Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

 
 Voisin à la rescousse ! ❥ CIDAN
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 17 Juil - 22:18


voisin à la rescousse !
AVEC CIARA ET AEDAN

Jeudi 17.33

Aedan arriva à son bureau et se laissa tomber tel quel sur sa chaise. Ça faisait des heures maintenant qu’il était debout, les yeux rivés sur le tableau de la Bourse en temps réel, à acheter et revendre des actions pour de nouveaux clients. Arrivé depuis peu à San Francisco, il se créait peu à peu son réseau et au vu de ses performances, c’était souvent de grandes fortunes qui venaient à lui. Il n’avait même pas besoin d’aller à la pêche ! Ça ferait des envieux mais ça lui importait peu. Il n’était pas là pour se faire des amis et parmi les requins qui nageaient autours de lui, il n’était clairement pas le plus inoffensif. Bref ! L’irlandais avait eu une longue journée et depuis ce matin qu’il était arrivé, il venait de s’asseoir pour la première fois. Même à midi il avait rapidement avalé un sandwich debout, à côté de la machine à café. Attrapant son téléphone portable, il vérifia que personne n’avait tenté de le joindre d’urgence et il en profita donc pour souffler un bon coup. Dans une demi-heure environ, il aurait fini sa journée et pourrait rentrer chez lui pour se détendre sur le transat au bord de la piscine. Ensuite il lui resterait encore une journée de boulot et... week-end ! Il l’aurait bien mérité celui-là ! Il n'avait encore rien prévu mais du repos serait de rigueur. Il irait peut-être à la plage aussi à moins qu'il ne préfère le calme de son jardin avec un bon livre pour toute compagnie.

Se relevant cinq minutes plus tard, Aedan partit se chercher un café avant de prendre sa pause, la première depuis midi. Le plus difficile c’était d’investir quand on avait de nouveaux clients mais une fois qu’il aurait revendu les actions dont il ne voulait pas et qu’il aurait investies dans des valeurs sûres, ses journées seraient, à priori, plus tranquilles. Évidemment, grâce à son don pour comprendre aussi facilement les probabilités et sa capacité à voir aisément les cours qui allaient prendre leur envol, il passerait des heures à être à l’affût de l’entreprise que personne n’attendait et qui pourtant allait exploser le plafond mais c’était justement ça qu’il aimait : prendre des actions risquées et faire gagner un paquet d’argent à ses clients. C’était tellement jouissif de voir qu’il était le meilleur dans ce domaine-là ! Une des raisons supplémentaires pour lesquelles il aimait ce boulot, c’est qu’il avait vraiment l’impression de contrôler parfaitement ce côté-là de sa vie et il avait besoin de ça pour ne pas s’effondrer. Ce métier si incertain était sa stabilité à lui. C’est alors que son portable se mit à vibrer, rappelant soudainement Aedan à la réalité. Attrapant l’appareil, son cœur se mit bêtement à accélérer lorsqu’il vit le nom de la personne qui cherchait à la joindre. Ciara. Pour un raison inconnue, son cœur qui semblait imperméable à tous sentiments amoureux depuis toujours avait décidé de s’ouvrir depuis qu’il l’avait rencontré. Et ça amusait beaucoup sa sœur qui ne perdait jamais une occasion de le taquiner sur le sujet, malgré ses protestations. Il était déjà sortit avec des filles, avait déjà eu pas mal de petites-amies mais entre eux, ça n’était resté qu’une histoire d’attirance physique pour la majorité. Pour les autres, il ne comprenait pas lui-même ce qui avait foiré. C’était des filles biens mais… il ne s’attachait pas, tout simplement. Alors c’est vrai qu’avec Ciara, c’était nouveau pour lui et il se retrouverait déstabilisé face à elle. C’était la première fois qu’il se sentait magnétisé de la sorte par une femme et il n’était pas sûr d’aimer ça. Ciara était une fille géniale, il n’avait aucun doute là-dessus. Tout ce qu’il apprenait sur elle pour le moment ne lui posait pas de problème et en fait, il aimait vraiment sa compagnie alors qu'il était difficile de ne pas l'ennuyer au bout d'un certain temps. Véritablement, c'était une grande première, dans tous les sens du terme ! Mais la peur d’être blessé était profondément ancré au plus profond de son âme. Traumatisé à ses douze ans, il ne parvenait plus à faire confiance aux autres. Puis au fond, il n’était qu’un ours mal léché déguisé en bel étalon et sa voisine méritait mieux qu’une tête de mule comme lui. Elle avait déjà ses problèmes sans se rajouter les siens.

Décrochant son téléphone, la portoricaine lui demanda s’il pouvait venir parce qu’elle ne se sentait pas très bien et de suite, l'irlandais répondit par l'affirmative, lui disant même qu'il arrivait sur le champ. Il termina donc cul sec son café, éteignit son ordinateur et se précipita dans sa voiture sans même se retourner. De toute façon ses heures étaient plutôt flexibles et franchement, vu la journée qu’il s’était faite, il avait bien le droit de partir à la recouse de sa belle voisine. Conduisant rapidement, slalomant entre les voitures et atteignant l’autoroute, il se retrouva devant chez elle vingt minutes plus tard et s'éjecta de l'habitacle pour aller toquer à la porte. Il attendit avec une patience qui n’était que de surface qu’elle vienne lui ouvrir mais si Ciara ne voulait pas qu’il défonce la porte, il vaudrait mieux qu’elle se dépêche de venir parce que l’irlandais était déjà impulsif de nature mais c’était encore dix fois pire lorsque quelqu’un avait un problème et qu’il venait en renfort. Si extérieurement il pouvait paraitre calme, à l’intérieur il était comme un lion en cage. Et si jamais elle avait fait une mauvaise chute ? Aller, encore vingt secondes et il entre sans sa permission ! Mieux vaut qu’il se fasse houspiller pour impolitesse que d’attendre derrière la porte et que Ciara soit dans l’incapacité de venir.

© EKKINOX
Revenir en haut Aller en bas
Ciara A. Halvarez
Ciara A. Halvarez
all i care about is success
AVATAR : Shay Mitchell
✱ ÂGE : 34
✱ QUARTIER : Sunset District
✱ COLOCATAIRES : mon petit ange
all i care about is success
Sam 26 Juil - 23:19


Help me. CIDAN.


 
 
 
 
 
 


 


Aujourd’hui c’était une journée tranquille à la maison. Plus les semaines et les mois de grossesse passaient et moins j’étais en capacité de faire les mêmes choses qu’auparavant. Un rien me fatigué et je passais la plupart de mes journées à manger, dormir et me détendre au maximum. Quelque fois, j’étais dans l’obligation de ne pas bouger car mon petit homme décidait régulièrement de s’entraîner au football en donnant des coups de pied. Dans ses moments là, je maudissais vraiment la terre entière. J’avais aussi pas mal de chose en tête. Le bébé allait bientôt arrivé et j’étais loin d’être prête. Bien sur, mes parent m’aidaient beaucoup mais il fallait vraiment que je dresse une liste de tout ce dont j’allais avoir besoin et le temps me manquait maintenant que je ne pouvais plus vraiment faire ce que je voulais. Tout ça me stressée légèrement même si je savais bien que ce n’était pas bon pour le bébé. Et puis il y avait Aedan. J’avais beaucoup pensé à lui depuis notre rencontre forcée chez mes parents. Il était vraiment quelqu’un de bien en plus d’être totalement charmant. J’avais beau le freiner, je ne pouvais pas contrôler les battements de mon cœur. J’ignorais encore tant de chose sur lui et j’avais mis tant de barrière autour de mon cœur qu’il me fallait être prudente. Je m’étais déjà trop fait avoir et là il n’y avait pas que moi. Dans quelques mois j’aurais un fils et toute mes décisions l’affecterait dans le bon ou le mauvais sens. Je devais prendre ça en compte. Mon bébé passerait toujours en premier, quoi qu’il arrive et même si c’était pas la meilleure chose pour moi. Assise sur mon canapé, jambes repliés sur moi, une main sur mon ventre, l’autre tenant mon téléphone. Comme tout les jours, ma mère prenait de mes nouvelles. « Oui maman, je fais attention à moi ! Arrête de temps faire comme ça, tu me rends nerveuse ! » Soupirais-je tendrement avec un sourire. elle s’en faisait pour moi et je la comprenais. Ça ne devait pas être évident pour elle. Elle se faisait du soucis pour sa fille chérie qui s’embarquer dans une nouvelle aventure. J’essayais de la rassuré au mieux mais n’y arrivait jamais vraiment. En même temps, j’étais aussi ravis qu’elle soit si présente pour moi, toujours à me chouchouter. Ça me rappeler que je n’étais pas seule. Ça me rassurais un peu. Je roulais des yeux. «  Maman ! Mais allez s’y, ça vous changera les idées. Vous avez toujours adorés allait là-bas. Je m’en sortirais sans vous pendant une soirée tu sais. » Lançais-je en riant doucement, faisant se soulever mon gros ventre. « Je t’assure. Tout ira bien ! » Je souris et raccrochais le téléphone.

La journée se passa normalement. Je m’occupais du mieux que je pouvais, me relaxant dès que possible. J’avais regarder la télé, en grignotant et les bêtises qu’elle diffusait m’ayant exaspérer j’étais aller m’installer sur un transat dans mon jardin afin un bon livre. Puis en fin de journée, je décidais d’aller prendre une bonne douche, pour me détendre. Je prenais mon téléphone, une tenue confortable et allais dans la salle de bain. Je posais tout ça, m’enlever ma longue robe et m’enroulais dans une grande serviette. J’attachais mes cheveux en un chignon bâclé et réglais la température de l’eau. Alors que j’allais entrer dans la douche, je commençais à me sentir mal. Je m’accrochais à mon lavabo. J’avais la tête qui tourner et mon cœur commençait à s’emballer. J’attrapais mon portable et appelais la première personne qui me venais à l’esprit. Aedan. J’avais une total confiance en lui. Quand il décrocha, j’essayais de calmer les angoisses dans ma voix même si elles étaient bien là. Je fus soulager quand il accepta de venir rapidement. Je portais une main à mon ventre, priant le ciel que ça passe rapidement et que mon bébé n’est rien.  Je me glissais sur le sol, attendant que Aedan arrive. Mes larmes coulèrent dans un flot continu.
 


 
CODE BY .MAPYDEW
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Sam 2 Aoû - 10:52


voisin à la rescousse !
AVEC CIARA ET AEDAN

Attendant derrière la porte, l’irlandais commençait à perdre patience et après une ultime hésitation, il se décida à ouvrir la porte. Ça faisait au moins une minute qu’il attendait et elle n’était toujours pas venue lui ouvrir, signe qu’elle devait avoir un sérieux problème et qu’elle n’était peut-être pas en état de pouvoir se mouvoir. N’en pouvant plus, Aedan testa la poignée et cette dernière n’était pas fermée à clef, ce qu’il trouva dangereux pour une jeune femme telle que Ciara qui vivait seule et qui était aisée en plus d’être magnifique. Il espérait qu’il ne lui soit rien arrivé de grave et une fois dans le hall, il appela pour savoir de quel côté se diriger. « Ciara !? C’est Aedan, où es-tu ? » Il renouvela plusieurs fois son appel tout en passant de pièce en pièce pour tenter de la trouver. L’adrénaline pulsait dans ses veines encore plus sûrement que lorsqu’il était en train d’observer les cours de la Bourse. C’était compétemment fou ! Pourquoi est-ce qu’il se mettait dans un état pareil ? Ciara semblait paniquée lorsqu’elle l’avait appelé mais quand même, ça ne lui ressemblait pas à lui de perdre son sang-froid si facilement. Ça avait dû lui arriver une fois, lorsque sa petite-sœur chérie l’avait elle-aussi appelé une fois lors d’une fête où elle s’était rendue. Mais mise-à-part à ce moment qui commençait à remonter à des années, il ne se souvenait pas de la dernière fois qu’il s’était senti si mal. D’ordinaire c’était plutôt la méfiance et la colère qui gouvernaient son âme. Enfin au moins, ça lui donnait l’occasion de visiter la maison de Ciara, quand bien même c’était la dernière de ses préoccupations pour l’heure et chose qu’il aurait préféré faire en d’autre circonstance. Cuisine, salon, chambre, il allait même jeter un œil sur la terrasse, des fois que… Finalement il entra sans le savoir dans la salle de bain et s’arrêta net en voyant la jeune femme à terre, se sentant visiblement très mal et entourant de ses mains son ventre rebondi dans un geste de protection. Cette vision de fragilité qu’elle dégageait à ce moment-là plus qu’à tout autre lui secoua le cœur avec une rare violence, si bien qu’à peine une seconde après avoir prit conscience de la situation, il se précipita vers elle et s’agenouillant à ses côtés, posant une main sur son épaule pour vérifier qu’elle n’avait pas perdu connaissance. « Ciara ! Qu’est-ce tu as, qu’est-ce qu’il se passe ? C’est le bébé ? Tu veux que je t’emmène à l’hôpital ? » l’abreuva-t-il de questions à toute vitesse. Mais sans même attendre de réponse, il avait déjà sortit son téléphone pour appeler des secours après quoi il passa ses bras sous la demoiselle pour la porter jusqu’au canapé qu’il avait vu dans le salon. Elle y serait bien plus à l’aise que sur le carrelage froid de la salle de bain. Paniqué, il l’était. Il avait rencontré bien des situations mais celle de la femme enceinte en difficulté lui était complètement inconnue. Pourtant il tentait de n’en rien montrer, faisant taire sa crainte dû à l’incertitude, ce qui en réalité lui était naturel au plus profond de lui bien qu’il ne s’en rende pas compte. Devant ce genre de situation, son instinct de venir en aide aux autres faisait qu’il savait conserver sa lucidité et qu’il était capable de gérer toute sorte problème y compris les urgences. En même temps, ce n’était pas très étonnant, c’était l’essence même de son métier. Toujours est-il qu’il espérait que ce ne soit rien de grave tout en se rongeant les sangs. Définitivement incapable de faire preuve de patience lorsqu’il devait faire face à ce genre d’urgence, Aedan hésita s’il devait la mettre dans sa voiture et la conduire jusqu’à l’hôpital le plus proche mais vu que c’était une heure de pointe et qu’elle ne supporterait peut-être pas d’être ainsi ballotée dans une voiture, il se résigna à attendre les secours qu’il avait appelé. Dans combien de temps allaient-ils arriver ? Tel un lion en cage, les nerfs à fleur de peau il tournait dans pièce avant de s’obliger à venir s’asseoir près d’elle pour la soutenir moralement à défaut de pouvoir lui apporter le moindre soulagement physique. « Est-ce que tu veux un verre d’eau, quelque chose ? » s’enquit-il en posant sa main sur la sienne, toujours sur son ventre. « J’y pense ! Il faut que j’appelle tes parents ! C’est quoi leurs numéros ? » Sur le moment, il avait complètement oublié mais maintenant que Ciara était provisoirement en sécurité, il songea que si les choses avaient inversées, il aurait aimé qu’on le prévienne et c’était d’autant plus vrai que les Halvarez était des gens formidables qui se montraient toujours très agréables et courtois avec lui et sa famille. Les prévenir était la moindre des choses.

© EKKINOX
Revenir en haut Aller en bas
Ciara A. Halvarez
Ciara A. Halvarez
all i care about is success
AVATAR : Shay Mitchell
✱ ÂGE : 34
✱ QUARTIER : Sunset District
✱ COLOCATAIRES : mon petit ange
all i care about is success
Sam 9 Aoû - 14:28


Help me. CIDAN.


 
 
 
 
 
 


 


Ma respiration devenait incontrôlée. Je fermais les yeux pour essayer de m’apaiser sans succès. « Ciara !? C’est Aedan, où es-tu ? » Entendis-je Aedan m’appeler, un air inquiet dans la voix mais j’étais en aucun cas capable de lui répondre, j’avais vraiment plus aucune force. Je restais assise, dans ma salle de bain, en proie à d’effrayante pensées. J’entendais Aedan passait de pièce en pièce, m’appelant de plus en plus inquiet. Je m’en voulais mais j’étais incapable de bouger ou de parler. Ma main sur mon ventre faisait des petits cercles concentriques afin de calmer la douleur. De toute mes forces je priais pour que mon bébé n’est rien. Je ne m’en remettrais pas, je le savais. On devait lui et moi allait bien, ça ne pouvait pas en être autrement. Je refusais de perdre mon miracle. Aedan finit par me trouver. Il entra dans la salle de bain et quand il me vit, je ne pu que lire toute l’inquiétude dans ses yeux. Il se précipita vers moi, s’agenouillant à mes côtés une main sur mon épaule. « Ciara ! Qu’est-ce tu as, qu’est-ce qu’il se passe ? C’est le bébé ? Tu veux que je t’emmène à l’hôpital ? » Enchaîna t-il me questionnant. Malgré la situation je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’il était là, qu’il avait répondu à mon appel au secours sans poser de question. Mettant à l’œuvre la promesse qu’il m’avait faite chez mes parents d’être là si j’avais besoin. Au plus profond de moi, je pensais vraiment , et même si la comparaison ne lui plaisait pas, qu’il était un genre de prince charmant, sauf que je n’étais pas une princesse … Je n’étais pas sur de le mériter. La situation était déjà tellement compliqué et il semblait que lui comme moi avions un vécue qui empêcher beaucoup de chose. « Je … J’en sais rien… J’ai eu mal d’un seul coup en sortant de la douche. Mon bébé … » Je m’accrochais à son bras le plus fort possible, comme je m’accrocherais à une bouée de sauvetage. « Aedan … Je veux pas perdre mon bébé … Je peux pas ! Me laisses pas … » M’exclamais-je, les larmes coulant sur mes joues, très agitée. Mes mains tremblaient, ma tête me tournée. Je l’entendis à peine téléphoner, la douleur me faisant perdre la réalité.

Le reste me fut un peu flou. Je sentis Aedan me prendre dans ses bras. Dans ses bras, je sentis que je m’apaisais. Même la douleur sembla être plus supportable. Je me laissais faire, n’ayant pas le courage ni les forces pour refusait. Il me déposa sur mon canapé mais je refusais de le lâcher, m’accrochant à lui. J’avais besoin de lui. Plus que je ne le pensais, plus que je ne pourrais jamais l’avouer. Depuis que je l’avais rencontrée, j’avais le sentiment qu’il était destiné à avoir une place spécial dans ma vie. j’étais seulement une oubliée de l’amour qui se protéger contre tout et contre tous. Je le regardais, lui demandant des choses dont je n’étais même pas certain de pouvoir exiger de lui. Après tout, on ne se connaissait pas depuis longtemps et pour le moment il n’était que le charmant voisin avec qui j’avais bien accroché. Pourtant il était là, à mes côtés, essayant de cacher son anxiété et son inquiétude à mes égards. Il tournait comme un lion cage même si il tentait d’avoir une expression rassurante. Je lui en étais reconnaissante. Il finit par me rejoindre, posant sa main sur la mienne qui était posée sur mon ventre rond. Je le regardais. « Est-ce que tu veux un verre d’eau, quelque chose ? » Je le regardais, hochant la tête légèrement. « Oui … Je veux bien de l'eau. » Je me concentrais pour garder une respiration calme, régulière qui rendait la douleur plus supportable. « J’y pense ! Il faut que j’appelle tes parents ! C’est quoi leurs numéros ? » Je secouais vivement la tête. « Non ! » Je secouais encore et toujours la tête, agrippant sa main, le suppliant des yeux. « Ne les appel pas, s’il te plait … Je ne veux pas les inquiétés .. Ils ne me lâcheraient plus d’une semelle … Je t’en pris. Tu es là, j’ai besoin de personne d’autre … » Dis-je, le regardant dans les yeux. J’étais sincère. Il était là et je ne voulais personne d’autre. Mes parents ne me laisseraient plus jamais seule si ils étaient au courant. De plus je ne voulais pas leur faire peur.

 


 
CODE BY .MAPYDEW
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 18 Sep - 10:01


voisin à la rescousse !
AVEC CIARA ET AEDAN

Allongée sur le sol carrelé, souffrante et paniquée, Ciara tentait de calmer la douleur en caressant son ventre. Il n’y connaissait rien en matière de bébé mais il n’était pas sûr que ce soit très bon signe. Peut-être qu’il allait juste naître avant terme ? Ce n’était pas si grave si ? Quoi qu’il en soit, Aedan s’était précipité vers elle, lui demandant si elle allait bien ou plutôt, tentant de savoir à quel degré elle avait mal, puis lui demandant ce qu’il était sensé faire. Il avait connu bien des situations difficiles mais aucune de ce genre jusqu’à aujourd’hui. « Je… J’en sais rien… J’ai eu mal d’un seul coup en sortant de la douche. Mon bébé… » L’irlandais l’écoutait tout en sortant déjà son portable pour appeler une ambulance. S’il y a bien une chose qui lui avait appris la vie et son métier, c’est que même en temps de crise il fallait savoir rester maître de ses émotions pour réfléchir calmement et prendre la meilleure décision. Ça ne fonctionnait peut-être pas à tous les coups mais jusqu’à aujourd’hui, ça avait été la meilleure qu’il ait pu expérimenter. Alors s’il ne pouvait pas l’aider immédiatement puisqu’il n’y connaissait rien en médecine et surtout pas en femme enceinte, en revanche il pouvait appeler des spécialistes, ce qu’il fit sur le champ. Aux côtés de Ciara, il avait passé un bras autour de ses épaules en signe de réconfort à défaut de pouvoir faire autre chose et elle s’en saisit de toutes ses forces. « Aedan… Je veux pas perdre mon bébé… Je peux pas ! Me laisse pas… » Sensible à sa détresse, il ancra ses iris dans les siens avec l’espérait-il, tout le courage et la détermination dont il avait besoin pour la rassurer le plus sincèrement possible. « Ne t’inquiète pas, je suis sûr que tout va bien se passer et moi, je ne te quitterai pas un seul instant. D’accord ? Tu peux me croire aussi sûrement que je suis venu ici comme je l’avais promis si tu avais besoin. Ça va aller. » sourit-il, confiant même si dans sa tête, il n’était sûr de rien. Pour l’encourager à ne pas céder à la panique plus qu’elle ne l’était déjà, ce qu’il comprenait parfaitement d’ailleurs, il déposa un baiser sur sa tempe, scellant par là sa promesse qu’il tenait à elle et qu’il en prendrait soin, comme il lui avait dit et comme il se l’était promis à lui-même. Savoir que pendant une épreuve difficile on avait quelqu’un à côté de soi, ça pouvait tout changer. Ce qu’il ressentait pour elle était peut-être encore flou, davantage parce qu’il n’osait pas ouvrir les yeux qu’autre chose, mais ce dont il était certain, c’est qu’il y tenait dur comme fer. Chaque fois qu’il avait appris à la connaître un peu plus, elle était devenue toujours un peu plus précieuse à ses yeux et nul doute que ce n’était pas près de finir ! Alors après avoir appelé les urgences, il la prit dans ses bras, la serrant contre lui dans un geste protecteur et s’assimilant aussi à un geste tendre d’amoureux et alla l’allonger sur le canapé ou elle s’agrippa à lui, geste qui fit perdre temporairement la notion du temps et la raison à l’irlandais. Elle était tellement belle, si gentille. Aedan aimait tellement la voir sourire… il espérait vraiment que tout allait bien se passer parce que la voir triste le tuerait. Ainsi installée, Ciara serait bien plus confortable que sur le sol froid de la salle de bain et ce n’était pas non plus très loin de la porte d’entrée pour que les ambulanciers puissent rapidement les trouver et faire leur travail. A présent, il n’y avait plus qu’à attendre qu’ils arrivent.

Hélas, la patience n’était pas forcément sa qualité première et il se mit à tourner en rond, guettant à intervalle régulier si les secours arrivaient. Finalement, il vint s’asseoir près d’elle, dégageant son front d’une mèche de cheveux ébène, pour voir si elle allait bien. Il lui proposa à boire, se rappelant que dans chaque cas ou des personnes se sentaient mal, elles devaient à tout prix rester hydrater. « Oui… Je veux bien de l'eau. » répondit-elle, n’empêchant pas Aedan de poser sa main sur la sienne. Un moment d’égarement de sa part, qu’elle ne rejeta pas. Il revint pourtant brutalement à la réalité en songeant aux parents de Ciara. Il fallait absolument les prévenir ! Mais à peine eut-il émis cette idée qu’elle secoua vivement la tête pour l’en dissuader. « Non ! Ne les appelle pas, s’il te plait… Je ne veux pas les inquiéter… Ils ne me lâcheraient plus d’une semelle… Je t’en prie. Tu es là, j’ai besoin de personne d’autre… » D’abord surprit, Aedan finit par sourire. Les paroles de la belle portoricaine le touchaient à un niveau qui dépassait largement le simple voisinage ou la simple amitié. Mais ce n’était vraiment pas le moment de se mettre à flirter ! A la place, il hocha simplement la tête avant de resserrer sa prise autour des doigts de Ciara qu’il tenait dans sa main. « D’accord. » sourit-il, son visage se rapprochant de celui de Ciara dans une intention qu’il ne comprit pas lui-même. C’est aussi à ce moment-là que les ambulanciers frappèrent à la porte, rompant ce moment étrange entre les deux voisins et le charme rompu, l’irlandais se dépêcha de se relever en criant un « Entrez vite ! Dans le salon ! » tout en se dirigeant vers la porte d’entrée pour leur indiquer plus facilement le chemin. Peu après, Ciara était sur une civière dans l’ambulance, Aedan à ses côtés qui lui tenait la main pendant que les ambulanciers procédaient aux premières analyses et aux premiers soins. Arrivés à l’hôpital, ils durent pourtant être séparés le temps que les médecins se penchent sur le cas de Ciara et deux heures et demi plus tard, alors qu’il rongeait son frein dans la salle d’attente des urgences, on vint le chercher pour l’emmener dans la chambre de celle qu’on prenait pour sa petite-amie, ce qu’il n’avait pas chercher à nier. « Coucou toi, alors ça va mieux ? » demanda-t-il en s’approchant d’elle. « Tu sais déjà de quoi il en retourne ou les analyses sont en cours ? » Une fois près d’elle, il lui prit une fois encore la main, à croire qu’il n’allait plus réussir à vivre sans être en contact physique avec elle. C’était insensé, à l’opposé de toute cette vie qu’il s’était construite pour ne plus jamais souffrir, et pourtant il était là, partageant l’angoisse d’une jeune femme près de laquelle les battements de son cœur s’affolaient un peu trop vite.

© EKKINOX
Revenir en haut Aller en bas
Ciara A. Halvarez
Ciara A. Halvarez
all i care about is success
AVATAR : Shay Mitchell
✱ ÂGE : 34
✱ QUARTIER : Sunset District
✱ COLOCATAIRES : mon petit ange
all i care about is success
Ven 19 Sep - 23:48


Help me. CIDAN.


 
 
 
 
 
 


 


J'étais vraiment au bord de la crise de nefs. Assise sur le carrelage froid de ma salle de bain, main sur le ventre, je tentais de faire passer la douleur de mes entrailles. Aedan m’avait rejoins. J’étais heureuse de ne plus être seule. J’étais vraiment mal et savoir qu’il était là, pour moi, pour m’aider rendait les choses plus facile. Je n’étais plus seule et c’était vraiment réconfortant. « Ne t’inquiète pas, je suis sûr que tout va bien se passer et moi, je ne te quitterai pas un seul instant. D’accord ? Tu peux me croire aussi sûrement que je suis venu ici comme je l’avais promis si tu avais besoin. Ça va aller. » Me dit Aedan avec un sourire confiant qui semblait sincère et qui me remontais un peu le moral et me faisais oublier quelques secondes la douleur. Oui il était bel et bien là pour moi, comme il me l’avait promis. Je doutais tellement de moi que j’avais encore une fois cru qu’on ne me disait que des belles paroles et rien de plus mais lui était différent. En tous cas ce que je connaissais de lui l’était. « Merci … T’es pas obligé de rester … Mais je suis contente que tu sois avec moi. » Soufflais-je en le regardant. J’avais encore du mal à comprendre pourquoi il était là. Je veux dire on était encore pratiquement des étrangers et pourtant j’avais l’impression qu’on comptait beaucoup l’un sur l’autre. Enfin je comptais beaucoup sur lui et en faite je ne m’en rendais réellement compte que aujourd’hui, dans cette douloureuse situation. Il prévint les urgences et après ça il me prit dans ses bras. Je fermais les yeux, me sentant en sécurité dans ses bras. J’avais l’impression que rien ne pouvais m’atteindre. Contre lui, j’humais discrètement son odeur qui m’apaiser sans que je ne puisse rien y faire. Me calant contre lui il m’amena jusqu'au salon et au canapé. Il m’y déposa délicatement. Je m’accrochais à lui, refusant qu’il me laisse toute seule. J’avais pour le moment trop besoin de lui.

Ça ne m’enchantais pas d’aller aux urgences mais il fallait que je sache ce qu’il se passait. Je priais pour que mon bébé soit en bonne santé. Je ne sais pas ce que je ferais si je le perdais. Il comptait déjà tellement pour moi alors même qu’il n’était pas encore né. Je regardais Aadan faisant les cents pas. Son inquiétude était de plus en plus visible. Je m’en voulais de lui causer tant de soucis. Il finit par venir près de moi, prenant place à mes côté sur le canapé. Il s’empara d’une de mes mèches de cheveux qui barrait mon regard. Je frissonnais. J’acceptais ensuite sa proposition et lui demandais un verre d’eau. J’étais certaine que rien d’autre ne passerait et je n’avais pas envie de dégobiller devant lui. Il parla alors de mes parents et je refusais vivement qu’ils les préviennent. Je n’avais pas envie de les inquiétés pour rien. Je préférais attendre et comme je lui disais : il était là et je n’avais besoin de personne d’autre que lui. Il sembla quelques secondes surpris puis un sourire vint prendre place sur ses lèvres. « D’accord. » Dit t-il en hochant la tête avec un bon sourire rassurant. Il serra en même temps ma main un peu plus fort et ça me faisait du bien. Je le regardais, mon regard dans ses yeux et sans qu’on s’en rende compte nos visage c’étaient rapprochés, attirés comme des aimants. Soudain, on toqua à la porte et la magie de l’instant s’envola. Aedan réagit le premier alors que je restais sur le canapé, n’ayant pas la force de géré quoi que ce soit. « Entrez vite ! Dans le salon ! » Dit t-il en criant. Il se dirigea ensuite vers la porte d’entré pour les amenés jusqu'à moi. Ensuite tout fut rapide et j’étais bientôt sur une civière, les doigts d’Aedan dans ma main. Toujours présent. On partit ensuite direction l’hôpital. C’était bien ma veine …Une fois arrivée aux urgences, on fut séparés et on m’emmenais faire des examens et Aedan resta en arrière. Dès qu’il fut loin, je me sentais seule et mal. Après des tonnes d’examens qui me parurent durée des années, j’étais installée dans une chambre et Aedan me rejoint rapidement après. J’étais surprise. Généralement il y avait que la famille qui était admise … « Coucou toi, alors ça va mieux ? » S’enquit t-il en s’approchant de moi. « Coucou ! Tu es encore là ? … Comment ça se fait ? Je ne m’en plains pas mais normalement il n’y a que la famille qui est autorisé à venir … » Lui dis-je en souriant, heureuse qu’il soit toujours là. Sa présence m’apaisée bien plus que le moindre médicament qu’ils pouvaient bien me donner. « Tu sais déjà de quoi il en retourne ou les analyses sont en cours ? » Me demanda t-il. Je le regardais et secouais la tête. « Tout est en cours. Mais on dirait que ça va mieux petit à petit. » Dis-je en haussant les épaules. Je le regardais, gardant le silence quelques minutes et je me décalais vers la gauche et tapotais le lit pour qu’il vienne y prendre place. « Merci d’être là … merci de prendre soin de moi. Je … Enfin ça compte pour moi. Enormément même. »


 


 
CODE BY .MAPYDEW
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Lun 6 Oct - 20:45


voisin à la rescousse !
AVEC CIARA ET AEDAN

Aedan avait l’impression que l’attente était pire que la douleur elle-même. Et contrairement à ce qu’on pouvait croire, ceux qui se tenaient à côté d’un malade étaient tout autant stressés que celui dont la santé commençait à s’étioler pour une raison encore indéfinie. En tout cas pour lui. Avec son passé, Aedan était devenu le genre de personne qui s’inquiète à l’excès pour les autres mais qui avait tendance à relativiser ce qui le touchait, lui. Malheureusement, il se trouvait qu’il était plus souvent du côté de celui qui devait se contenter d’être simple spectateur plutôt que de celui dont s’occupaient les médecins. A force de vivre dans l’inquiétude, il n’allait pas faire de vieux os. Quoi qu’il en soit, l’irlandais ne comptait plus les boissons qu’il avait dû ingurgiter pour passer le temps et pour ne pas mourir dessécher. Il allait lui falloir encore du temps avant de supporter la chaleur de San Francisco, heureusement qu’il y avait des ventilateurs. Jusqu’à ce que finalement, au bout de plusieurs heures, on vint enfin vers lui pour le prévenir que Ciara était dans une chambre et qu’il pouvait venir la voir, sous réserve de ne pas rester trop longtemps pour qu’elle se repose. Aedan hocha la tête et on lui indiqua le service et le numéro de chambre.

Ouvrant la porte, il eut le plaisir de constater que la portoricaine semblait aller bien mieux, malgré la fatigue du contrecoup. Il s’approcha lentement, ayant un peu peur de déranger et ne sachant pas non plus si sa présence était la bienvenue ou si elle aurait préféré dormir un peu. Paradoxalement, une fois à ses côtés, il lui prit la main en lui demandant comment elle allait. « Coucou ! Tu es encore là ?… Comment ça se fait ? Je ne m’en plains pas mais normalement il n’y a que la famille qui est autorisé à venir… » Aedan se troubla un instant avant de se dire qu’il n’avait aucun raison de mentir et qu’il n’avait rien fait de mal non plus. « Oh et bien en fait, je crois qu’ils pensent que nous sommes ensemble. » fit-il sans oser trop la regarder dans les yeux. Puis, pour noyer le poisson et revenir sur un sujet qu’il maitriserait mieux, il lui demanda si elle avait déjà le résultat de certaines analyses. « Tout est en cours. Mais on dirait que ça va mieux petit à petit. » L’irlandais se détendit à ces paroles, soulagé de voir qu’elle avait effectivement l’air d’aller mieux. Soit la crise était passée, soit il lui avait fait ingérer un médicament pour calmer les douleurs. « Tant mieux ! » sourit-il. Un petit silence se fit entre eux, Aedan cherchant toujours à savoir s’il devait rester ou non et Ciara ne sachant sans doute pas de quoi parler au vu des circonstances. Il est vrai que même si elle se sentait mieux, elle devait craindre pour le propriétaire de son utérus. Pourtant ce fut elle qui réagit la première. Se décalant dans un coin du lit, elle l’invita à s’y asseoir tout en le remerciant d’être là. « Merci d’être là… merci de prendre soin de moi. Je… Enfin ça compte pour moi. Enormément même. » Le trader se sentait devenir pivoine et espérait que ce ne soit qu’une impression parce qu’il n’aimait vraiment pas perdre le contrôle de ses émotions. Si ça venait à se voir, ce serait gênant. Puis… si une partie de lui voulait venir vers elle, se laisser aller, une autre partie de lui le mettait en garde et le retenait. Il n’avait aucune idée de quelle partie il voulait vraiment tenir compte. Ciara lui plaisait beaucoup, même trop, et c’était rare qu’une femme ait un tel impact sur lui qui était un était un acharné du travail et d’une méfiance à faire pâlir un agent secret. Alors d’un côté, il se disait que c’était peut-être elle celle qu’il attendait depuis toutes ces années mais en même temps, si elle ne l’était pas, il en souffrirait, c’était une certitude. Et puis, elle comme lui avaient leurs histoires, devaient se battre contre leurs démons. Est-ce qu’ils arriveraient à se trouver, à s’aimer sans se faire mal et à vivre un si belle histoire que les meurtrissures du passé s’effacent ? Il craignait de ne pas être capable, ça faisait trop longtemps qu’il avait tourné le dos au monde, qu’il vivait reclus dans sa forteresse. Malgré tout, il s’accrocha à l’espoir d’un futur, aussi mince soit-il, et vint s’asseoir à côté d’elle. « Merci à toi de m’avoir fait confiance. » répondit-il en se réappropriant sa main et en la regardant avec tendresse. La vie jouait à un jeu étrange entre eux, mais l’irlandais commençait à se dire que ça en valait la peine et que, s’il ne tentait rien, il n’aurait rien. Presque aussi simple que son travail.

FIN du RP
 

© EKKINOX
Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut Aller en bas
 

Voisin à la rescousse ! ❥ CIDAN

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» CIDAN ☼ Rencontre forcée.
» ♠ Super Lunah à la rescousse ! ♠
» Cici à la rescousse. [Blake]
» Après la fête, le dérapage ? # Cidan
» ✐ Le voisin du dessus

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Pursuit of Happiness :: POH V.2 :: Rps-