tu te fais marrer toute seule devant ton miroir. des fois, t’as de ces idées… tu réajustes tes nouveaux sous-vêtements, neufs de cet après-midis. pour accentuer la surprise. aussi neufs que le trench que tu t’es achetée. tu mets jamais de trench, il va tout de suite flairer l’embrouille. tu regardes l’heure. ton taxi va arriver. oui, tu vas pas te balader habillée comme ça (c’est à dire, pas habillée) dans la rue. ton taxi t’attends déjà en bas, tu indiques l’adresse de camil. une fois arrivée, tu montes dans les étages, jusqu’à la porte de camil. plus tôt dans la journée, tu lui a demandé sur facebook s’il était là, histoire de pas débarquer pour rien. pour assurer ton effet. tu sonnes. tu resserres un peu ton trench sur tes jambes nues. heureusement qu’il fait bon. camil ouvre, tu ne souris pas. tu entres, pendant qu’il ferme la porte derrière toi, tu défais le nœud qui tient ton manteau fermé. « j’ai acheté des fringues aujourd’hui, je voulais savoir si elles te plaisaient. » tu dis seulement, neutre, en te retournant face à lui, ton trench entre-ouvert, perchée sur tes talons, choses que tu ne mets jamais.

Boulot terminé, t'as été boire un verre avec un pote tranquillement, t'as aucune plan pour la soirée alors tu profites. Vu le messages de Magda, tu songes à se qu'elle passe dans la nuit, soit arriver à moitié défoncé, soit débarqué à 4 heures du matin alors que tu venais à peine de t'endormir. T'en sais rien. T'es pas très chiant niveau questionnement par moment, par moment t'es le mec le plus chiant. Faut s'y faire. Elle s'y fait. C'est pas pour autant que tu vas rentrer plus tôt pour l'attendre, loin de là. Mais peu importe, tu finis par rentrer après avoir laisser Roman rentrer voir son mec. T'as pas voulut le suivre pour boire chez lui, tu l'aimes pas son mec, il fait pas net, pas confiance, t'as peur pour ton cul. Non ça c'est de l'humour. Donc tu rentres voyant que ta colocataire doit encore être chez son "prince charmant", tu la vois plus ces derniers temps, t'es triste. Peu importe, attrapant un plat déjà précuit, tu le fait réchauffer allant lancer ta console de jeu après t'être prit la tête sur quel jeu choisir. Et donc tu te cales sur ton canapé, manette en main, mangeant en même temps que donnant une bouchée sur trois à ton chien allongé sur ton ventre. Jouant tranquillement, c'est quand on frappe à ta porte que tu fronces les sourcils, non tu voulais une soirées posées sans beuveries ce soir... Lâchant ta manette tu attrapes une dernière bouché avant de te lever et d'aller ouvrir... Sur Magda. Sauvé. Enfin Magda habillé comme inspecteur gadget, mais bon... c'est son délire. La laissant entre tu fermes derrières. J'pensais que tu rappliquerais plus tard ... Tu lances alors en t'étirant... j’ai acheté des fringues aujourd’hui, je voulais savoir si elles te plaisaient. T'as même pas le temps de soupirer intérieurement parce que tu déteste qu'on te demande ton avis... non pas le temps alors que relevant le regard... tu bug totalement sur la tenue de ta copine. Rectification, sur l'absence totale de tenue de ta copine. Tu...; tu es... Ok Camil essaye d'articuler et de penser normal... Tu ries légèrement, totalement troublé par se que tu as en face de toi. T'es venu de chez toi... comme ça ? Ouais non tu peux définitivement pas la fixer dans les yeux quand elle porte ça, ton regard nettement plus bas.

sur le moment, il ne semble pas remarquer ta tenue inhabituelle et t’es assez contente, mais tu souris pas pour autant. tu le laisses parler alors que tu t’es retournée face à lui. « tu...; tu es... » voilà, là t’es fière de toi. c’est exactement la réaction que tu attendais. c’était exactement ce que tu voulais. tu savais que ça marcherait, mais pas aussi bien ; après tout camil en avait vu d’autres… pourtant, tu le vois complètement troublé en train de te reluquer de la tête aux pieds. « t'es venu de chez toi... comme ça ? » non mais on s’en fout de ça ! tu lèves les yeux au ciel « non, j’ai laissé mes fringues dans l’ascenseur. bien sur que je suis venue comme ça ! » t’as envie de le secouer pour qu’il gâche pas tout de ton petit effet dont t’es tellement fière. tu baisses les yeux sur ta tenue. « donc, ça te plait pas j’imagine ? » tu dis d’une fausse petite voix triste d’enfant. tu hausses les épaules, faisant une moue et tu commences à refermer ton nouveau manteau.

Tu restes planté là. Comme un con ? Très certainement. Mais ça, faut dire qu'on te l'avait pas encore fait. Pourtant t'es du genre plutôt... libéré niveau tous se qui est motivation sexuelle, mais ça... ça... ça ! Sur Magda en plus. Nan t'arrives pas à réagir. Enfin plutôt t'arrives pas à refaire démarrer ton cerveau en dehors de cet appel non dissimulé à la luxure. non, j’ai laissé mes fringues dans l’ascenseur. bien sur que je suis venue comme ça ! Très drôle. C'est le premier truc qui t'es passé par la tête, t'y peux rien. Si tu bug sur le fait qu'elle est aussi perché sur des talons immenses, tu reviens vite au reste de la tenue finissant cependant par réussir à remonter tes yeux, vis à vis du visage de ta fiancé. donc, ça te plait pas j’imagine ? Hein ? Quoi ? Qui pourrait dire ça ? Penser une telle chose ?! Sa voix, te fait sourire alors que tu te mors la lèvre. Définitivement, c'est le diable personnifié, la tentation même. Tu la vois refermer son manteau trop bizarre alors que tu fais un pas en avant pour l'arrêter dans son geste. Jamais dit ça ! Tu réponds rapidement avant d'attraper son manteau pour l'attirer vers toi ton regard glissant une énième fois sur son corps. Par contre... je tiens à te préciser que j'ai une fiancé qui déteste que je reçoive ce genre de strip tease à domicile alors... on a plutôt intérêt à se dépêcher. Tu répliques en t'approchant de ses lèvres avec un sourire plus qu'envieur, mourant déjà littéralement d'envie.

tu sais comment y faire avec camil. sur le plan sexuel, vous êtes totalement similaire, alors tu sais comment l’avoir et tu sais comment faire monter la pression. parce que c’est pareil dans l’autre sens. du coup, c’est assez simple pour toi, ça te fait rire. t’as encore des tas de surprises dans ce genre pour lui. depuis huit ans que vous vous connaissez t’aimes bien l’idée de voir que t’arrive encore à le surprendre et à le laisser bouche bée. « jamais dit ça ! » il t’attrape, t’empêchant de refermer ton manteau. « par contre... je tiens à te préciser que j'ai une fiancé qui déteste que je reçoive ce genre de strip tease à domicile alors... on a plutôt intérêt à se dépêcher. » tu souris. tu laisses tomber ton manteau par terre, laissant à l’air libre tes épaules nues, ton dos nu, tes jambes nues. tu l’embrasses avec fougue. « on va essayer de faire vite alors… » tu murmures à son oreille. tu te recules doucement, sans le lacher des yeux en faisant dandiner tes fesses.

Tu n'en reviens toujours pas de se qui se passe face à toi. Non sérieusement dans le genre de trucs que t'aurais jamais imaginé t'es en plein dedans, même venant de Magda. Pourtant c'est pas comme si c'était pas connu ce genre de "surprise" mais de là à la penser faire ça... T'es sidéré. Envouté. Amoureux. Y'a pas à dire cette meuf... Enfin sur le coup ton cerveau arrive pas trop à penser, difficile quand t'as ta fiancé sublime en sous-vêtement sexy sur des talons vertigineux. Tu l'as rarement vu aussi grande d'ailleurs. Tu la fixes, finissant par l'attirer à toi ne pouvant guère tenir très longtemps loin de ce corps qui fait appelle à la tentation. La voyant lâcher son manteau tu souries, savourant bientôt le début des choses en sentant ses lèvres venir contre les tiennes avec aucune once de douceur. Tant mieux t'avais pas la tête à être romantique vu la tenue. on va essayer de faire vite alors… Tu ries,en l'entendant te dire ça lentement... tu te mors la lèvre avant de la suivre du regard tes yeux glissant sur son corps avec délectation. Tu croises son regard un bref instant la rejoignant en quelques pas, tu l'attrapes la soulevant dans la même seconde, tes mains venant la soutenir par les fesses alors que tu cherches ses lèvres. Tu avances vers le couloirs sachant pas trop si ton bute est de trouver ta chambre où juste un endroit où la poser.

si tu avais parié, tu aurais gagné. merde oui, tu aurais du parier sur le fait que camil ne tiendrait pas deux secondes. c’était bien la peine d’avoir prévu un tas de subterfuges pour arriver à le convaincre. forcément, juste toi en sous-vêtements avait suffit… tu souris en reculant alors que camil vient se coller une nouvelle fois contre toi. tu commences déjà à avoir des frissons et des papillons dans le ventre. camil te soulève et tu te cramponnes lui, le noyant sous tes baisers. peu importe ou vous allez, n’importe om t’irait. tu colles ta poitrine presque nue contre lui, un peu plus, laissant vos deux corps se frôler. vos deux corps de fiancés. ça te fait sourire contre ses lèvres. vous heurtez un mur. tu continues de l’embrasser. tu continues de te frotter à lui. tu t’agrippes à ses cheveux.

En temps normal t'aurais pas céder, tu l'aurais laissé poireauté, tu l'aurais laisser se languir et essaye de faire comme si ses charmes sur toi ne fonctionnent pas. Mais là... non. Prit par surprise, prit en traître par ce corps diablement trop tentateur, tu peux malheureusement pas avoir recourt à ton self contrôle. Un jour tu te vengera,s mais là tu n'y penses pas. Non là tu penses qu'à une chose, c'est que la tenant contre toi tu essayes d'avancer dans ta baraques pour trouver un appuie ou t'en sais rien.Tu avances avec elle dans tes bras, tes lèvres ne se détachant pas un instant des siennes, tu pousses une porte à tâtons, tu sais pas trop où c'est et ça te saoules car tu trouves pas ton lit. Bordel. Buanderie ? T'en sais rien, tu pestes mentalement, si t'avais un brin de jugeote tu relèverais la tête mais là non. Tant pis. Tu la colle contre un mur un moment , la soutenant juste avec l'aide de ton bassin contre le mur, tes mains griffant sa peau pour remonter jusqu'à son cou.

tu serres tes jambes autour de ses hanches, n’arrêtant jamais de l’embrasser. sauf pour respirer, quelques secondes. tu te rends même pas compte que vous êtes arrivés dans une pièce que tu supposes être la chambre de camil. au bout de quelques secondes, il te plaque contre le mur. tu descends dans son cou, pour y planter un suçon marquant un peu plus ton territoire sur lui. tu plantes tes ongles dans son dos, arrêtée par son tshirt tu tires dessus pour le virer. tu t’approche de son oreille. « je croyais qu’on devait faire vite ? » tu soupires à son oreille, traduction de « me fais pas attendre plus longtemps ». tu laisses tomber tes jambes par terre pour te donner un peu d’espace, assez pour dégrafer son jean avec dextérité.

Tu fais pas attention à la pièce, ni à rien d'autre. La de suite tu veux juste.. magda. Enfin son corps. Résultat de cette apparition totalement dénudé et beaucoup trop excitante. Tu grognes en sentant ses ongles se planter dans ton dos et griffer ta peau remplie de dessin. Tu en frissonnes mais évidement ça t'excite encore plus. Parfois vous frôlez réellement le sado-masochisme tous les deux mais qu'importe ?! je croyais qu’on devait faire vite ? Tu rie contre son visage, tu te décales quand elle retombe au sol alors que tu sens ses doigts défaire ton jean. Tu te débarrasses de ton tee-shirt qui vole tu ne sais pas où, tes doigts venant dégrafer son soutien gorge qui n'est d'aucune utilité. La sentant descendre ton jean tu lui laisses pas le temps de finir, la reprenant contre toi, ayant le plaisir de sentir sa poitrine contre ta peau, tu l'éloignes du mur renonçant à trouver un lit tu finis par la poser au sol ne te décollant pas d'elle alors que tu restes au dessus, virant toi même ton jean inutile. Tes doigts remontant sur ses cuisses tu reviens l'embrasser avec addiction.

tu le sens sourire contre tes lèvres. son tshirt vole et puis tu sens camil te posera au sol. tu te laisses faire alors que tu constates qu’il a viré ton soutien-gorge. t’es surprise de pas t’en être rendue compte. mais là, t’as tellement envie de lui que la moitié au moins de ton cerveau est complètement déconnecté. tu sens ses mains sur ton corps qui laissent des frissons après leur passage. il t’embrasse, tu mords sa lèvre. « tu m’avais pas promis un truc tout à l’heure ? » tu dis, repensant à l’histoire de la voiture que tu n’as pas le droit de conduire. est-ce qu’il accepterait au moins de faire l’amour dedans ? t’en parleras une autre fois. tu griffes son dos. avant de l’embrasser encore et toujours. c’était pas possible d’être autant compatible, vraiment…

Restant contre ses lèvres tu cherches même pas à vraiment faire durer le moment en la provoquant, en jouant avec son envie. Tu sais que l'un comme l'autre vous en mourrez littéralement. Tu sais très bien que le coup du strip l'a autant excité que toi. Tu la connais. tu m’avais pas promis un truc tout à l’heure ? Tu la regardes se mordre la lèvre sur le coup essayant de te rappeler se que tu as bien pu lui promettre et qu'elle te le lance en plein milieu de ce genre de situation... Jusqu'à se que ton cerveau s'illumine et que tu te ordre la lèvre pour pas éclater de rire, mine de rien rien que cette simple demande te faisant encore plus bander. Cette fille est, définitivement, dingue. Tu reviens l'embrasser avec beaucoup plus de ferveur, tes doigts glissant le long de ses cuisses remontant jusqu'à sa petite culotte alors que tu glisses tes lèvres contre son oreille. A se que je sache, tu as encore un bout de tissu qui m'en empêche... Tu dis avec un rire mordant son cou, sa peau blanche, alors que tu quites cet endroit ta langues glissant jusqu'à ses seins..

oui, tu n’avais pas oublié. jamais t’oubliais ce genre de chose. et tu n’allais pas le lâcher avec ça. merde, tu venais de débarquer chez lui pratiquement nue, ça méritait bien une petite récompense au moins. il te mord la lèvre, tu montes encore plus en pression. merde. ses mains glissent jusqu’à l’endroit convoité. « a se que je sache, tu as encore un bout de tissu qui m'en empêche... » tu souris. « si y’a que ça. » tu dis, alors que dans la foulée, tu fais disparaître d’un geste expert ladite culotte. il a même pas pris la peine d’apprécier tes tous nouveaux dessous, achetés pour l’occasion. tu serres tes jambes autour de ses hanches. t’en peux vraiment plus. qu’il le fasse ou pas, mais qu’il passe à l’action. tu griffes son dos. tu soupires, haletante. tu sais que s’il te fait patienter, il le fait exprès. et tu sais aussi que ça marche, ça te rend complètement folle…

Tu souries en descendant sur son corps après lui avoir dit cela... si y’a que ça. Aussitôt rejoins par ses mains, tu écartes tes propres mains riant en la sentant virer son dernier sous-vêtement de son corps alors que tu savoure l'effet de la savoir nu sous toi. Tu jubiles, tu meurs d'envie, et tu continues de descendre plus bas, tes doigts glissant à l'endroit où était sa culotte, jouant à faire monter l'envie... Ta langue glissant le long de sa peau, tu la sens frissonner, tu la sens se dérégler entièrement avec envie. Tu savoures cette emprise, ta bouche rejoignant bientôt tes mains alors que cependant tu laisses un superbe suçon sur l'intérieur de sa cuisse, très, trop, proche de tes doigts. Non... finalement tu l'auras quand on inaugurera ma voiture. Tu finis par balancer avec un rire mordant sa peau avec douceur en remontant sur son ventre avec un éclat de rire. BA oui, elle t'a fait craquer beaucoup trop vite pour que tu ne te venges pas...

aussitôt enlevée, tu sens déjà ses mains glisser sur toi, jusqu’entre tes jambes. tu fermes les yeux. tu perds le contrôle de toi même. tu sens ses lèvres contre tes cuisses. tu soupires les yeux fixés au plafond. tu inspires et expires profondément pour garder un semblant de décence. même si tu sais qu’il sait… qu’il sait que t’as déjà arrêté de lutté. tant pis. « non... finalement tu l'auras quand on inaugurera ma voiture. » tu te figes, tu baisses la tête pour le regarder et confirmer qu’il se fout pas de toi. non, il est insupportable. tu vas le tuer. il a pas le droit de te faire ça. pas là, maintenant. c’est un calvaire. tu hausses un sourcil et tu relaisses tomber ta tête par terre, tes yeux fixés sur le plafond. « bon… » tu dis. tu te mords la lèvres, avant de sourire. d’un mouvement brusque, tu le retournes et tu te retrouves sur lui. tu l’embrasses férocement. tu mords sa lèvres et puis tu te redresses. « alors je vais m’occuper de moi toute seule. » tu dis, prête à te lever.

Tu relèves la tête la voyant figé un instant avant de relever la tête. Oui ce genre de truc vaut tout l'or du monde. C'est toujours ce genre de truc entre vous, à qui sera le meilleur pour berner l'autre. Mais alors là t'as fait fort, pour une fois, tu le vois à ses yeux qu'elle est stupéfiée. Tu es content. Maintenant tu veux baiser. Tu la sens d'un seul coup bouger alors que bien vite tu te retrouves sous elle, se qui te fait plutôt sourire. Ouais t'aimes bien aussi quand elle prend les devants, c'est sexy, c'est torride c'est cool aussi. alors je vais m’occuper de moi toute seule. La salope ! Tu te mors la lèvre souriant dépité alors que tu attrapes ses hanches la ramenant contre ton corps, tu te redresses juste assis pour venir contre elle, attrapant ses lèvres avec ferveur. Tu sais très bien que tu arriveras jamais à te satisfaire autant que je te satisfait. Tu dis avec un brin d'arrogance, mais tellement de vérité. En même temps, toi aussi tu sais très bien que ta main peut strictement rien sur ton corps face aux capacités de Magda. Tu glisses tes mains dans son dos, tu la rapproche de toi, savourant de la sentir contre toi. T'es venu pour ça, non ? Tu dis en riant contre ses lèvres, attrapant entre tes dents sa lèvre inférieur.

ses lèvres s’entrechoquent avec les tiennes, tu souris. « tu sais très bien que tu arriveras jamais à te satisfaire autant que je te satisfait. » tu fais une moue. oui, admettons. t’es bien obligée de reconnaître que sur ce coup là, il n’a pas tort. c’était vrai. mais tu ne le diras pas. tu veux pas lui donner cette satisfaction, et puis tu sais que de toute façon, il s’en doute totalement. tu restes collée contre lui, silencieuse. savourant cette tension et cette relation entre vous. « t'es venu pour ça, non ? » tu laisses passer un petit temps. et puis tu hoches la tête. tu mords sa lèvre. « alors donne moi ce que je veux. » tu dis d’une voix déterminée.

Tu ries en voyant sa tête... Avant de la fixer, Magda semblant réfléchir alors que toi en attendant tu embrasses son cou avec envie. alors donne moi ce que je veux. Tu ries, tes doigts glissent dans son dos alors que que tu es ravis de la réponse. Enfin. Revenant l'embrasser avec ardeurs, tu la soulèves un peu reprenant la dessus sur elle, place que t'adores malgré tout, tu restes accrochés à ses lèvres n'arrivant pas du tout à cacher ton manque d'elle, ton envie. Tu attrapes ses jambes, laissant tes doigts griffer sa peau non tatouée, toi aussi tu sais marqué la peau d'une manière non permanente mais sympathique. Tu quittes ses lèvres reprenant ton souffles à peine un instant alors que tu finis par mettre fin à ce supplice que sont vos provocation, vos tentations, et tout le reste. Trop c'est trop, t'as pas envie de tenir plus, tu la veux elle et tu t'exécutes.

ces situations sont toujours agréables. t’aimes votre façon de jouer. est-ce que ça pimente les choses ? tu sais pas mais en tout cas, ça vous amuse tous les deux. c’était pour ça que vous étiez devenu amis dès le début. votre cerveau avait tendance à fonctionner de la même façon. c’était agréable pour toi d’être avec quelqu’un et de ne pas avoir à te poser de question. camil te griffe la peau et tu frissonnes. tu l’embrasses à ton tour. et puis ce que vous attendiez tous les deux arrive. tu fermes les yeux et tu pinces les lèvres. c’est clair que rien n’était meilleur que ça. vraiment rien. tes ongles s’enfoncent dans son dos alors que ton corps prend le rythme du sien…

essoufflée, tu prends une grande inspiration. tu te laisses tomber par terre sur le dos. tu tournes ta tête vers lui après avoir fixé le plafond. tu souris et tu le mords dans le cou.

T'es mêmepas surprit d'avoir craqué. Vous craquez toujours, l'un ou l'autre. Quand y'a du sexe qui est en "jeu", vous ne vous en privez jamais, vos êtes comme ça. Alors évidement même si vous avez mit du temps à vous provoquer, pour une fois ça n'a pas vraiment duré. Mais peu importe, craquer pour ce genre de chose, c'est super. C'est génial, c'est quasiment divin.Alors l'issue de la soirée atteinte, tu te sens même pas frustré qu'elle ait à ce point de pouvoir.

[...] Essoufflé, ravis aussi tu finis par la lâché et glisser sur le côté, ton dos rencontrant le parquet frais. Tu essayes de reprendre ta respiration, souriant en sentant les lèvres de Magda sur sa peau. Bordel tu sens encre ses ongles dans ton dos, cette fille devrait songer à les couper. Tu souries légèrement te tournant sur le côté pour l'observer déposant un baiser sur son con et songeant sa peau jusqu'à son épaule tu décales un instant tes lèvres. C'est malin... je crois que je suis presque sur le point de tomber amoureux d'une strip teaseuse... Tu dis avec un sourire amusé, en observant ses cheveux désordonné et ses joues rosies. Tu ries un peu.

encore essoufflée tu essaies de retrouver ton rythme cardiaque normal. tu fixes le plafond. tu sens les lèvres de camil sur ta peau. ça te fait sourire. « c'est malin... je crois que je suis presque sur le point de tomber amoureux d'une strip teaseuse... » tu ris. tu te mords la lèvre et tu te tournes un peu vers lui. « c’est vraiment pas de veine. ta copine risque d’être jalouse… » tu poursuis dans son jeu. tu es toujours surprise du tournant qu’à pris votre relation. pourtant, tu te sens bien. force est de reconnaître que vous êtes bien assortis, tu ne pouvais pas le nier. c’était assez agréable d’être avec quelqu’un sans avoir à se poser de question. c’était très différent de la dernière fois où vous étiez ensemble, t’étais assez heureuse du résultat.

Tu restes là le souffle court, allongé sur le sol à fixer le plafond de la pièce. T'es bien faut dire. Pas de disputes, pas de cris. Depuis quelques jours en plus. Comme quoi parfois vous tenez niveau simplicité. Tu sais que ça va pas durer. Et ça te plait ça aussi. T'en profites d'autant plus comme ça. c’est vraiment pas de veine. ta copine risque d’être jalouse… Tu ries à ses réponses, doucement, elle te fait toujours suivre tes conneries. Magda c'est pas la fille qui te stoppera dans tes jeux et tes délires. C'est pas forcément bon, pas forcément bien; tu sais que t'as besoin de limite, que t'as besoin qu'on te dise stop. Mais, et alors ? Tu ries un peu, amusez de sa réplique, près à renchérir alors que ton regard se pose un instant sur le lit beaucoup trop haut et petit pour être le tient. Beaucoup trop de barreau. Ton rire se calme peu à peu, tu ne te stoppes pas d'un seul coup... Non tu réalises peu à peu alors que tu redeviens silencieux te rendant compte de la pièce où vous êtes, de l'étrangeté des choses... Du calme de cette pièce, de l'ambiance paisible qu'il y règne. Loin de tes souvenirs froid et sombre, angoissant... Une pièce normal... Tu observes le lit sans un mot.