Ma main se plaquait sur sa bouche qui s'agitait contre ma peau voulant pousser ses cris qui se trouvaient au fond de sa gorge. La simple lumière qui avait dans toute la ville était la lune qui reflétait dans un mirage sur sa peau presque translucide. «Chut... n'est pas peur mon petit» Tout était sombre comme si le soleil n'avait jamais exister et c'est dans ces moments là que même nos pauvres âmes ne sont pas à l'abris dans leur demeure bien au chaud. J'en étais une grande preuve de ce qui pouvait être dangereux à présent. Pour zigzaguer entre les ruelles et les grandes avenues je n'avais point besoin d'une lampe torche ou quelque chose du genre , je me baladais presque les yeux fermés vers mon point final. Une idée sans doute trop stupide , mais qui allait m'amuser au plus au point pouvant profiter de ce que je voulais obtenir à libre service. Un joint sur le rictus de mes lèvres et déjà mes pas défilaient à travers la fumée qui tournait autours de ma figure. Mon sourire s’agrandissait déjà de façon sadique alors que je n'avais même pas atteint l'endroit , mais alors le plan était déjà bien construit. Les dernière cendres tombèrent à mes pieds la porte défréchie un peu par le temps e trouvait devant moi. La simple barrière qui me séparait de mon but je l'avais déjà pousser avec ma main pour l'entrouvrir et ainsi pénétrer le bloque appartement. Tel un chat agile je détalais dans les escaliers à la vitesse supérieur dos coller contre les murs pour couper chaque petit craquement dans les escalier de métal. Le numéro sur la porte parfait j'y étais et à ma plus grande surprise quand je vins pour attraper la poignée elle ne repoussa pas ma volonté en étant verrouillé. Le silence absolu pesait sur mes épaules et comme un chat j'avais l'impression de voir à travers la noirceur , comme si mes pupilles avait pris l'autre forme. Mon ouïe percevait presque chaque petit bruit , les ébranlement de l'édifice asser vieux , les minces courant d,aire contre les murs et même un peu la respiration d'un corps assoupie. Pénétrant dans sa chambre je pouvais voir le drap sur sa poitrine qui s’élevait doucement avec la respiration . Je m'étendis proche de son âme endormie et susurra à son oreille. «Dort bien , rêve bien Babe bientôt tu ne sauras plus où tu es.»Ses dent blanches passèrent la barrières de ses lèvres révélant un sourire malicieux qui s'agrandissait toujours d'avantage. Je passais mes doigts agiles derrière son dos pour le soulever. Je vis ses yeux qui commençaient à papilloter et ses traits qui devinrent apeurée et à la fois frustrée , car n'oubliant que je venais d'entrer par infraction. «Aller vient avec moi mon tout doux , vient passer avec moi une nuit de rêve je prendrais soins de toi je vais te cajoler mon sexy . Non tu ne rêves je suis bien là à te supplier de me suivre». Je voyais déjà ses prunelles brillé de pure rêveur et qui ne semblait peut-être point comprendre ces mots , mais de là il ne cherchait pas leur signification. Je n,avais rien dit de plus et je il s'était déjà relever encore le visage endormie. La route vers l'appartement ne fut pas si longue , mais dès que la porte fut fermée et verrouillé je le sentis déjà frémir. Et de là commence la soirée dans la séquence explicative du début.

Il suffisait de cette nuit là , il suffisait de ce manque de lumière tant attendu , il suffisait de quelques paroles tant chercher , et voilà je l'avais enfin ce que je désirais. Comme enfant à qui on promet des sucreries il m'avait suivit les yeux fermés en oubliant le fait que je pouvais tant être un beau parleur et le faire rêver pour ne faire comme si je n'avais rien dit. Ce minuscule détail il l'oubliait tant de fois que je pouvais exercer à chaque moment ce que je voulais de lui. Si insouciant il aurait dû être terroriser , il aurait dû s'enfermer dans ses couvertures et me cracher au visage , mais ses prunelles brillaient et voyait déjà le parfait compte de fée pour les prochaines heures. Ça avait été si simple en même temps , Sevan n'était pas dans l'appartement rien ne l'avait laisser rebrousser le chemin jusqu'à mon appartement . Porte refermé , voilà le signa d'un cadenas boucler tu es mon prisonnier. Coller contre le mur effrité mon sourire s,agrandissait de plus belle le voyant se poser tant de questions au fur et a mesure que ses lèvres perdaient leur joie de pouvoir être cajoler sous les étoiles. Rideaux tirée il ne pouvait voir pratiquement que mes prunelles dansantes qui le guettait à chaque petit mouvement. Il ne pourrait rien voir , attiser comme dans un film d'horreur il aurait sans doute peur et me prendrait pour un psychopathe , mais il le savait ce que Lust cherchant tant , ce que Lust veut tant. Je n'avais pas l'intention de le laisser défiler pour partir se faire mettre une bague au doigt pour être un de ses nouveau marié qui finiront par divorcée après de minuscules années. «Oh oui inquiète toi mon petit. Montre moi ta peur se soir tu es a moi n'essaie même pas de t'enfuir.» Mon rire se mit à résonner contre les murs et je m'éloignais de lui de reculons le laissant la lui découvrant peu à peu un peur qui se réveillait. Je courais sur le plancher à travers les pièces , comme une bête nocturne je savais déjà où se trouvait ma drogue. Je n'avais fait aucune maladresse en me cognant contre un meuble au mauvais endroit. Il avait que deux sons , mes déplacements rapides et la respiration de Midnight toujours positionné au même d'endroit. L'envie de se jeter sur la serrure lui tenterait l'esprit en moins de deux , s'acharner pour ouvrir la porte qui mène à la liberté , mais la clé était déjà dissipé dans le noir qui c,est où elle était cacher ? Dans une craque de sofa ,d ans mon jean sous mon matelas , dans une poche de coke. Je revins après quelques minutes interminables me collant à lui pour le bloquer complètement déposant ainsi mes deux mains à cotée de sa tête. Un petit jeux tout simple qui allait tant m'amusé. J'avais besoin de cet instant , je donnais mes chances de ce cotée pour me l'accaparer de nouveau. Sans doute je le ferais plus souffrir que d'autres choses si il advenait à n'avoir que de yeux pour moi comme pendant ces quatre mois. « Tu es mon otage Babe , tout à moi , tout à moi» Une de mes mains faufila ses doigts sur ses lèvres et son cou«Ça» puis ensuite ses son torse et ses fesses. «Et ça» Mes membres glissèrent le long de son jean à la même frôlant rien q'un peu son sexe en haussant un sourcil et en disant de façon bien sensuelle. «Où encore ça.»