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Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. ☼ Lust.  79124 Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. ☼ Lust.  79124

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 Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. ☼ Lust.
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Sam 17 Déc - 20:41

Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. ☼ Lust.  Tumblr_lhhj4uSQLE1qhvxceo1_500

« Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. »

Pendant que je marchais lentement dans les rues de San Francisco, m'accrochant tant bien que mal au mur afin de ne pas flancher, les larmes coulaient sur mon visage triste. J'avais laissé derrière moi Sevan, lui déclarant que je n'avais plus la force de le voir tant que ses blessures ne seront pas guéries. Je l'avais évité et repoussé, n'osant même plus le toucher ; j'avais juste effleuré ses lèvres. Il ne m’écœurait pas, bien au contraire, cependant je me dégoutais simplement en voyant son corps rempli de bleus ainsi que son visage égratigné. C'était de ma faute et je m'en voulais terriblement. Si j'avais été auprès de lui, si j'avais eu l'intelligence de ne pas le quitter à cause de son père, si je n'avais pas fait tout ça le soir du décès de sa mère... rien ne serait arrivé. Il n'aurait pas eu le besoin de se rendre à l'hôpital, ni de faire une tentative de suicide et encore moins de souffrir face à tout ça. Je suppose que si le soir de détresse, j'avais été à ses côtés, je l'aurais calmé, ou tout du moins, j'aurais tenté de le rendre ne serait-ce qu'un peu moins triste à ma façon. Malheureusement, je n'avais fait que l'achever davantage, alors qu'il était déjà dans un moment extrêmement difficile. Son père qui me frappe puis vint son tour, sa mère morte devant lui, et je venais d'ajouter une souffrance supplémentaire, en lui interdisant de venir dans mon appartement. Bien que ce soit mieux comme ça, car je n'arrivais réellement pas à le toucher me disant, quand j'étais en sa compagnie, que c'était de ma faute ; son absence allait être dure. Étant donné que je le vois normalement tous les jours, la séparation sera dure et brutale, je n'arrivais déjà pas à m'y faire. Seulement, le fait de l'observer de haut en bas, regardant alors ses blessures apparentes... me remettait à la raison : c'était de ta faute, uniquement de ta faute, Midnight. Tu aurais du être là pour lui, tu n'as pas été un bon petit ami, comme tu le seras jamais d'ailleurs. D'autant plus que je me rendais chez Lust, tandis que je venais tout juste de quitter son ennemi. Je me dirigeais vers le Diable, celui qui faisait souffrir Sevan et dont il était jaloux. J'étais con, oh que oui. Seulement, la tristesse me submergea, m'envahit de toutes parts. Accroché à mon portable, les larmes coulaient de plus bel, cette fois jusqu'à se poser sur l'écran qui affichait une conversation entre moi et Sevan. Il m'aimait. Point au coeur, il se serra davantage, souffrant d'autant plus. Le pire de tout était qu'il m'aimait. Je l'aimais, lui aussi, et j'étais incapable de faire en sorte que notre relation soit parfaite. Car je gâchais toujours tout. Je provoquais toujours quelque chose de mal, j'étais soit débile, soit infidèle. Alors que pourtant, j'étais un vrai ange. Une fois arrivé chez Lust, je tentais de dissimuler ma tête de déprimé en essuyant mes joues, en rentrant sans toquer. Peut-être allais-je être choqué en voyant Lust et un autre garçon entreprendre des choses peu catholiques, mais, je ne pouvais même pas patienter une minute. Lust était, à mon plus grand bonheur, seul, allongé sur son canapé, le joint à la bouche, le cendrier sur son torse nu. Il était en simple boxer et je me mordis la lèvre, évitant de ressentir la moindre excitation. Je m'approchai alors, Lust restait dans sa position initiale, se mit à sourire. Quant à moi, je tentais d'être joyeux, mais je n'y parvenais pas. Je pris alors son joint, pour venir l'écraser dans le cendrier, lui faisant comprendre que je m'inquiètais pour lui et qu'il allait devoir arrêter ce soir, chose qu'il ne ferait bien entendu pas. « Je veux juste dormir dans ton lit. J'ai pas le courage d'être seul ce soir. » Je me dirigeai alors jusqu'à sa chambre, tirant les couettes de son lit par la suite pour me glisser dedans. Je retirais mes vêtements, ne laissant plus qu'un boxer -au final, je finissais dans la même tenue que lust- sur mon corps. Je remis la couette sur moi. Fermant les yeux, je tentais de dormir. Mais. Sevan était là, dans mes pensées. Je devais dormir. Mais il allait être là, pendant quelques temps.
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Anonymous
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Sam 17 Déc - 22:29

Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. ☼ Lust.  2cwla8o
Midnight & Lust
« Attention tu t'aventure dans un endroit dangereux »



Être un bon chrétien bien sage ? Non désoler je ne connais pas. Vous pouvez me considérer comme un athée en d'autre mot , désoler mes mots ne se poseront jamais sur la parole de Dieu. Assis au bord de mon lit j'avais allumer un joint tout juste au dessous de mon cendrier où tombait la cendre signe d'une fin de vie. Des pieds s'agitaient sous mes couvertures et je fronçais les sourcils me retournant vers une sorte de présence, une conquête oublié en quelques minutes . Je venais de finir une journée de travail ou plutôt nuit en d'autres mot il en était là la sorte de pourboire ou mon salaire annuel . L'homme complètement nu contrairement à moi qui avait enfilé mon boxer. Il tendait ses lèvres vint moi et je déposais deux doigts sur ces dernières avec un sourire. « Aller au revoir cher !» Je lui pointais la porte après m'avoir retourner. Je passais à un homme complètement désirant d,une personne à celui qui voulait rien savoir et à mon plus grand bonheur il ne prit que deux secondes pour remballer ces affaires je l'avais suivit dans sa lancer pour traverser le cadre de porte et je m'installais pour ma part sur le sofa. Je fermais doucement mes prunelles alors que la fumer du joint venait en chatouiller mes narines pour finir à danser proche de ma tête ainsi que dans mon appartement. Elle se permettait aussi de faire flotter mon cerveau dans un parfait moment paisible. Mes veines semblaient faire des siennes comme si elles se dilataient d'avantage à la recherche elle aussi de leur part de bonheur. Cela ne saurait tarder que leur prière serait exaucé. Je m’apprêtais enfin à me lever alors que le bruit sonore de ma porte fut entendu. La première idée qui me vint à l'esprit que c'était le mec qui revenait oui faut me pardonner j'ai tout simplement oublier son nom. Son visage se dessinait juste au dessous de moi à travers mes pupilles flous , Midnight. Je me mis à sourire et à rire. Quel vent peut bien l'emmener dans mon appartement , pourquoi n'est-il pas dans les bras de son cher Sevan ? Serais-ce déjà finis entre les deux à voir son visage meurtrie par les larmes suivit de ses yeux rouges qui le trahissent complètement. Il retira ce que j'avais plus de cher de ma bouche et je fronçais les sourcils , de quel droit il se permet de faire ça ? Il fila ensuite vers ma chambre. Des idées peu sage s'imprégnait dans ma tête en même il filait vers un endroit où se trouvait mon lit disant le besoin de dormir , mais tous sait que ce meuble ne sert pas qu'à faire reposer nos corps. Je déambulais donc une nouvelle fois mon corps en direction de la pièce précédente. Il s'était passé quoi quelques minutes avant que je rentre dans l'endroit et il s'était déjà glisser sous les draps tentant de partir aux pays des rêves. Je tirais sur le drap pour regarder de la façon qu'il était , bien sûr j'avais remarqué le petit tas de vêtement qui gisait sur le sol. « Tes agace Midnight !» Je me glissais à mon tour me rapprochant dangereusement de lui juste asser pour que mon nez touche presque au siens. «Ta oublié le mot de passe babe !» Mes yeux se baissèrent vers ses lèvres une sorte de signe et paroles ambigus qu'il n'aurait pas besoin d'être expliqué.
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Anonymous
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Dim 18 Déc - 18:34

Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. ☼ Lust.  6484537421_d1370bf9e5_o

« Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. »

Je ne m'étais pas rendu jusqu'à chez Lust pour coucher avec lui, ou trouver ne serait-ce qu'une touche d'affection se rapportant au sexe, comme certains pourraient le croire. Si je m'étais dirigé chez lui, c'était pour deux raisons très simples. Tout d'abord, c'est lui qui habitait le plus proche de l'endroit où j'avais quitté Sevan. Deuxièmement, c'était la seconde personne qui comptait le plus pour moi. Aussi, je pourrais même en rajouter une troisième. Il n'allait pas me poser de nombreuses questions comme certains, m'enfonçant encore plus dans la nostalgie et tristesse. Non, Lust allait juste essayer de me faire rêver, pour enlever mes petites larmes collées aux joues, tout en persistant sur le fait qu'il avait envie de moi. Il était compliqué, mais je commençais pourtant à le connaître ; il en avait fallu du temps, je le côtoyais depuis mes seize ans tout de même, même s'il y a eu cette longue pause de deux ans, entre ces moments de bonheur qu'il me permettait de vivre. Cependant, je pouvais certifier qu'il n'avait pas changé, il s'était juste d'autant plus plongé dans ce monde dur, devenant encore plus un drogué au fur et à mesure de sa, maintenant, courte vie. Dans tous les cas, Lust a toujours été le docteur de mon cœur faible et triste. Le docteur qui soignait ses plaies, le docteur avec des remèdes étranges, mais efficaces. Raisons pour lesquelles je suis allé voir Lust et pas quelqu'un d'autre. Parce que Lust a cette partie chez lui qui fait que je me sens bien, tout le temps. Même s'il voulait me faire du mal, il me faisait du bien. C'était tellement bizarre avec lui, en fait. Flou total. Si j'étais venu dans son appartement, c'était aussi car sa présence me rassurait. Je suis allé directement dans son lit, ne pensant pas une seconde qu'il allait me rejoindre, je n'étais réellement pas venu pour ça. Quoique... j'avais besoin simplement de son affection. Juste qu'il me prenne dans ses bras ou m'embrasse la joue, rien que ça. Néanmoins, je croyais qu'il allait tout de même rester sur son canapé, avec un nouveau joint en bouche. Cela m'aurait tout autant tranquillisé, car je le savais dans la pièce d'à côté et sa présence me rassurait. Une fois dans son lit, je fermais alors les yeux, m'installant sur les côtes gauches. Durant les minutes qui suivirent, je pensais toujours à Sevan, il m'empêchait de dormir inconsciemment et involontairement. J'entendis le sol craqué, puis la voix douce et provocatrice de Lust. Doucement, j'ouvris les yeux, pour finalement former un regard étonné, ne comprenant pas ce que le mot agace faisait là. « Qu... Quoi ? » Je le vis s'approcher dangereusement, s'allongeant à mes côtés, bien trop proche à mon goût, mais à ma grande satisfaction. Je ne suis pas arrivé à bouger jusque là, mais je réagissais enfin. Je n'avais pas envie de ça. Enfin, je n'avais pas le droit, plutôt. Le poussant en douceur pour qu'il atterisse sur le dos, je passais au-dessus afin de récupérer mes vêtements et me rhabiller en vitesse. M'emparant de mon t-shirt, je ne remarquais pas que j'étais en fait à califourchon sur Lust. Je n'avais pas fait gaffe, eh merde. Ce dernier n'avait pas perdu une minute pour caresser mon torse et le bas de mon ventre. J'en fus tellement étonné qu'une fois mon t-shirt entre les mains, je le fixais d'un regard choqué. Il se mordait la lèvre genre "tu es trop craquant Midnight" et ça m'a fait craquer davantage. Rapidement, j'attrapais ses mains pour les retirer de mon satané corps, pour ensuite enfiler mon haut, tout en disant en même temps difficilement. « Je n'ai vraiment pas envie de ça, Lust. » Après quoi, je souhaitais me rouler de l'autre côté du lit, le plus loin possible de Lust, mais celui-ci m'en empêcha.
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Anonymous
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Dim 18 Déc - 19:26

À certain moment j'ai presque l'impression que Midnight me teste. Comment faut-il réagir lorsque un homme d'une beauté phénoménale se glisse dans votre lit avec comme seul vêtement un boxer ? Je n'avais point envie de rester long contre mon canapé joint à la lèvre alors qu'il se tient sous mes draps. Sous ses yeux rouges je l'avais vu cette sorte de confort qu'il était venu chercher dans mon appartement , mais encore mon esprit était beaucoup plus joueur que le siens. Je n'aurais pas de mal pour le consoler , mais chacun sa façon je dois dire. On se retrouve sur deux points , moi qui a une envie folle de faire parcourir mes mains sur sa peau pour en tirer des façons après de nombreux baiser dans son cou , et lui qui préférait un simple bisous sur la joue et de nombreux petit câlins affectif digne d'un ourson en peluche. Je ne suis malheureusement pas la personne fait pour être l'épaule sur laquelle pleurer et témoigner aussi chacune de ses lamentations . Je suis plutôt celui qui préfère en rire , rire de tes problèmes à travers mon le sarcasme pour en en balancer ainsi des phrases digne de «je m'en fous». Il avait suffit de quelques secondes pour que je m'approche de lien en étouffant son espace vital , lui enlever un peu une façon de respirer pour le faire craquer , voilà donc la raison pourquoi mon lit était à cotée du mur , pour pouvoir t'emprisonner plus facilement cher Midnight. J'avais cligner des yeux et puis je m'étais retrouver de nouveau sur le dos contre mon matelas , un rire sortis de ma gorge en voyant par la suite sa main vouloir passer par dessus mon corps suivit de tout son être. Une façon de prendre la contrôle de la situation ? Depuis quand es-tu si entreprenant ? Mes prunelles savouraient la vu du petit innocent maintenant juste au dessus de moi. Mes mains avaient aussi de faire leur part et arrêter d'admirer la présence sans broncher. Habilement elle remontait en partant de son bas de son ventre graduant toujours plus haut vers son torse. Il fit de gros yeux en apercevant dans la position qu'il venait de se placer pour ma part je ressemblais à une sorte de psychopathe en manque de sexe se mordant sensuellement les lèvres. Après lâcher une phrase rapidement il retournait à la même vitesse le plus loin de moi malheureusement mes bras avait déjà repris le contrôle de son bassin. Ma bouche s'approchait de son oreille. «Laisse moi deviner c'est Sevan ?» Avant même que je le regarde je savais déjà sa réponse. «Je connais une façon de soigner tes blessures .» Je me décollais de lui me dirigeant vers la petite table de chevet juste à cotée de mon lit ce qui lui avait laissé le temps de se retourner imprudemment. Je pris mon cendrier que j'avais déposer il y a quelque minute allumant un nouveau joint pour revenir au deuxième temps vers Midnight. Je profitais un peu de ma drogue avant de lui tendre gentiment. «Prend ça fait oublier.». Je lui parlais si proche qu'il pouvait sentir le souffle qui sortait de ma bouche, mon odeur restait sur sa chaire blanchâtre et mon nez accrochait son cou à plusieurs reprise se retirant de son oreille plus d'une fois. Mes mains impatiente une fois de plus partirent à la recherche de l'une de ses bras glissant mes doigts qui montaient comme une sorte d'araignée sur lui en simple signe de caresse.
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Anonymous
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Dim 18 Déc - 20:35

Lust s'était approché de moi, encore ce fameux et habituel jeu dangereux. Je glissais entre ses doigts, je ne pouvais même plus lui échapper, je n'en avais d'ailleurs aucunement la force. Déjà que j'étais normalement impuissant entre ses mains, mais faible comme à ce moment, c'était d'autant plus. Quelques secondes plus tard, sa bouche prononçait le nom de Sevan au creux de mon oreille. Je crus mourir davantage. Son prénom me tuait encore plus, le fait que Lust le dise encore plus. Souhaitait-il me faire réellement souffrir, me voir dans un statut de néant ? Je fermais un instant les yeux désespérément, puis soupirais. C'était si facile à deviner. Dès que mon petit ami allait mal, je l'étais malheureusement aussi, c'était incontrôlable. Dès que Sevan et moi nous disputions pour des broutilles, ou encore à cause de choses dures qui font mal, je ne pouvais plus bouger de mon lit tellement que je souffrais. La situation avait beau être différente, j'allais tout autant mal. Nous n'étions pas en froid, j'allais le revoir, mais dans longtemps. Ses blessures étaient trop importantes, elles n'allaient pas s'envoler en quelques jours, mais cela se comptait en semaines, un peu près huit. Deux mois. Sans lui, c'était carrément invivable et c'est ça qui me tuait, alors que j'étais dans le lit de Lust. C'est ce fait là qu'il me rappelait en prononçant son prénom. Pour le coup, Lust n'était pas Lust. Il arrivait toujours à me faire oublier Sevan, toutes mes promesses faites pour finalement jouer à son jeu dangereux. Une larme coula sans le vouloir, ce que Lust ne pouvait apercevoir. Il me quitta quelques secondes, lâchant son emprise, et je me suis senti alors vide, bien qu'il soit juste à côté. En repensant à Sevan et en ne sentant plus la présence de Lust, j'étais paniqué et je pleurais davantage silencieusement. Mon envie revint, caressa mon bras, tout en déposant devant mes yeux son joint, me faisant sentir par ailleurs son odeur en me déclarant proche de mon nez, que ça allait me permettre d'oublier. N'avait-il pas encore compris ? J'avais eu le temps de me mettre en boule, mais je quittais cette position en me levant rapidement. Je laissais Lust dans son lit, lui disant avant de quitter complétement la chambre, à la porte, d'un ton que je tentais de faire paraître extrêmement énervé, en criant, même si c'était difficile avec les larmes qui coulaient à flot sur mes joues. « J'AI PAS ENVIE DE BAISER OKAY ? J'AI PAS ENVIE DE TA FOUTUE DROGUE PROPOSÉE A LONGUEUR DE JOURNÉE, OKAY ? » Je soufflais un instant, le regardant toujours, pour finir, d'un ton beaucoup plus calme, mais toujours un chouïa énervé. « Là, tu vas me dire "bah pourquoi t'es venu alors ?" Parce que je pensais que.... QUE J’ÉTAIS PAS COMME TOUS LES AUTRES MECS QUE TU PEUX TE TAPER !!!! Ouais je pensais que j'étais plus important que ça ! Que même s'il n'y avait plus de baise, bah que tu serais toujours là. Mais petit à petit, je remarque que je ne suis qu'un petit jouet. MAIS TU SAIS QUOI ? J'EN AI FUCKING MARRE D'ÊTRE TON PUTAIN DE JOUET LUST. J'en ai assez !!!!!!!! Tu es incapable de me montrer que tu m'apprécies rien qu'un peu ! ET TU M’ÉNERVES ! ARRÊTE DE M'ATTENDRIR A CE POINT A CHAQUE FOIS ! Arrête d'être ma faiblesse. » J'avais l'air encore plus faible en pleurant toutes les larmes de mon corps. Je partis de suite après cet énervement, pour aller me réfugier sur son canapé. Je me remis en boule, plongeant ma tête alors mes jambes et mes bras. Je ne voyais plus rien, je pleurais simplement. Je faisais face seul à ma déprime. J'entendis Lust gagner la pièce, et je me sentais remuer des épaules par sanglot, tellement que la tristesse m'envahissait. Je n'allais réellement pas bien et j'avais besoin de Lust en tant que... ami ?! Mais Lust n'était pas un ami, c'est ça ? J'avais besoin de Lust l'ami pourtant.
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Dim 18 Déc - 23:18

Arrête d'être ma faiblesse avait-il prononcer. Ça faisait bientôt cinq mois que nos deux visage s'étaient rencontrée une nouvelle fois et quelque semaine déjà que j'avais goûter de nouveau à son corps , mais cela ne l'avait pas empêcher de nier sans cesse encore et encore qu'il n'était pas faible. Je le vois tout au profond de son âme que je retiré certaine partie , je les arrachée au file des minutes que je l’embrassais , au file des secondes que je le blessais.Je suis ta faiblesse , mais encore tu détiens maintenant la mienne. Tes larmes qui ruissellent à flot sur ton visage qui perdait de plus en plus son étincelle dans tes yeux. Tes traits s’affaissent , meurent un peu et tes cris arrivent à mes tympans. Tu hurle de colère , mais aussi de peine profonde en ce moment. Arrête s'il te plait ! Mes doigts attrapaient sa vie comme une malheureuse ficelle qui retenait les deux bout l'étirant au maximum pour qu'elle finisse par se rompre par la faiblesse. Marcher la tête baisse soumis et émerveillé par les moments rares d'affections presque déjà envolés. L’explicable à ça même définition en son propre mot , on ne peut expliquer le fait pourquoi il m'appartient tant et pas un autre , on ne peut expliquer aussi le fait que dès qu'il pleure je ne peux m'empêcher de prendre soins de lui à ce moment là , de le faire rêver , voir ses yeux brillés par des compliments que demain je ne ferais comme si je n'avais pas dit.Pardonne moi , mais je ne sais pas démontrer de l'affection et les réponses que tu cherche tant je les ai , mais pas l'envie de te les donner , elles sont la source clé de ton emprisonnement . Maintenant dans deux pièces différentes tes sanglot frappe mes murs , oui je me lève de nouveau et je reviens vers toi d'une part on peut croire maintenant que ta souffrance me fait mal aussi. Je dépose une main dans son dos qui sursaute à chaque hoquet dont un nouveau déversement de larmes. « Viens par là...» . Je le tirais pour qu'il s'assoie et je passais mes bras autours de sa taille le serrant contre moi. Mon épaule à présent mouillé je tirais les rideaux qui plongeaient sur ma fenêtre et je détournais ainsi sur son visage pour lui pointer les astres lumineux qui dansaient dans leur éclat. «Ta vu les étoiles comme c'est beau , comme c'est magique.» Mes lèvres volaient encore à son oreille comme si je voulais lui glisser un secret , un chuchotement tout bas.«Tu n'as pas besoin de lui il ne vaut rien , alors que moi je suis là pour te faire voir le monde en couleur. Oui parce que contrairement aux autres je préfère m'occuper du plus sexy .» J'avais l'aire d'un sorte de faible qui a finis par fondre sous ses yeux tout doux , certes ces moments sont rares. Je déposais bien consciemment une chaleur dans son petit cœur qui avait déposer un nuage noir à l'intérieur . Une sorte de transformation à rire de lui et ne voulant rien savoir à un ours en peluche qui voulait son bien. Je vérifiais à ce qu'il regarde les étoiles, comme le dernier moment qui remonte à quelques jours , sa petite tête bien remplie d'un monde merveilleux là où il oublie tout. Oublie le quelque instant tu vois comme il te fait mal , moi je crée la magie tout est possible.
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Anonymous
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Mer 21 Déc - 20:03

Mon visage devait être défiguré par les pleurs, je ne me sentais réellement pas bien. J'avais le cœur vide, la tête remplie par des pensées noires. Tout ce dont j'avais besoin, c'était des bras et caresses de Sevan, choses que je ne pouvais obtenir pour le moment. Tout ce qui comptait était Lust, j'avais besoin de lui comme jamais. C'était toujours chez lui que j'allais quand j'avais besoin de réconfort, lorsque mon petit ami était injoignable ou indisponible. Seulement il détenait des solutions miracles biens à lui. En effet, soit c'était de la drogue qu'il souhaitait me refiler, soit c'était une partie de baise. Juste pour que j'oublie, pour retirer la mine triste adoptée sur mon visage. Seulement, j'avais simplement besoin qu'il m'encercle de ses bras forts. Raison pour laquelle je m'énervais assez violemment, dans le sens où je pétais un gros câble tout en pleurant comme pas possible. Il avait l'air étonné, ce qui me paraissait logique comme réaction, étant donné que je m'énervais jamais contre lui. Tout du moins, je ne lui avais jamais dit clairement ce que je ressentais par rapport à notre relation. Je lui avais signalé qu'être son jouet ne me plaisait plus, qu'en gros, j'avais un copain désormais et que ce qu'il me proposait comme solutions pour oublier, je n'en souhaitais plus. Avant, ça me faisait du bien, il y arrivait. Dorénavant, je culpabilisais ensuite et ça me pourrissait l'existence et le moral d'autant plus, puisque je pensais sans cesse au mal que je pouvais bien faire à mon petit ami. Ce n'était pas une bonne solution maintenant, mais plus quelque chose qui faisait en sorte d'intensifier la souffrance. Pourtant, à mon plus grand étonnement, Lust comprit ce que j'avais tenté de lui faire transmettre. Il m'attrapa dans ses bras, me laissant pleurer sur son épaule. Pourquoi devait-il être aussi doux qu'à de rares moments ? A l'époque, quand il ne se droguait pas encore, il l'était à longueur de journée. Il me manquait terriblement, l'ancien Lust. Je déglutis un instant, évitant d'ajouter des pensées nostalgiques aux noires. Doucement, il me glissa à l'oreille que Sevan ne valait rien, alors que lui prenait la peine de s'occuper du plus sexy. Je me sentais rougir, souriant timidement. J'en oubliais le fait qu'il avait insulté mon petit ami, peu importe. Ses compliments me rendaient toujours au plus haut de ma forme. Tandis qu'il me montrait les étoiles du doigt, concentré sur celles-ci, je ne regardais même pas ce qu'il pouvait me pointer. Au contraire, je l'observais attentivement, le détaillant. Ce qu'il était beau. J'avais soudainement envie de parcourir son corps de mes lèvres, mais je chassais cette idée de ma tête le plus rapidement possible. Il me déclara que les étoiles étaient magiques et magnifiques. Certes, je me penchais souvent à la fenêtre pour les apercevoir, mais le visage de Lust était beaucoup plus intéressant à regarder. Je le fixai intensément, avec mes yeux rougis par les pleurs qui avaient désormais cessé. Peut-être allait-il être de nouveau méchant, ce que je n'espérais pas. J'essuyais mes précédentes larmes de mes joues, puis agrippais le bas de son dos de mes mains, afin de m'approcher davantage de lui et être serré contre lui. Plus qu'à quelques centimètres de lui, je finis par déposer un baiser sur sa joue. Il finit par tourner la tête, et nos lèvres étaient si proches que le désir était pratiquement incontrôlable. Inconsciemment, ma main se posa sur sa joue pour la caresser, le regardant d'une façon désireuse, presque amoureuse. Le moment était tellement intense, que je me refusais de le gâcher en me reculant. Je poursuivis même, en descendant ma main gauche, dans le but de toucher légèrement son boxer, et donc ses fesses. « Tu es agace aussi, Lust. » Je descendis mon regard vers son seul habit, lui faisant comprendre qu'il était non seulement sexy comme ça, mais totalement irrésistible. Je me pinçais doucement la lèvre, le regardant à nouveau. Je descendis ma main droite posée sur sa joue, sur son torse, le caressant timidement. Je guettais ses réactions, car cela ne m'étonnerait pas qu'il me plaque à l'instant sur le canapé par envie. Chose que je m'interdisais. Je devais absolument résister. J'embrassais sa joue, lui demandant en même temps d'un air inquiet et timide. « Tu seras toujours là, pas vrai ? » C'était ma plus grande peur qu'il finisse par m'abandonner, me laissant alors seul face à mes pleurs durant les prochains jours.

h.j : trop nul, désolé. ♥
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Jeu 22 Déc - 5:13

Comme dans un simple claquement doigt , juste avec quelque paroles qui seront bien vite envolés , les larmes avait cesser de couler après quelque seconde ne laissant que leur trace de leur passage sur sa peau. Rideau tiré à présent , la lumière de la lune tamisait le salon pour en dégager un peu de sa noirceur. J'avais tenté d’émerveiller son regard par les étoiles qui dansaient dans le ciel , mais il se contentant de me détacher du regard sur chaque parcelle de ma peau. Je le voyais du coin de mes yeux qu'il me dévorait du regard et que son cerveau bouillonnait de l,intérieur en plein dilemme contre lui même. Doux , si apaisé , une autre facette se dévoilait. Une facette presque indescriptible que je ne dévoile que par de rare occasion. En fait Midnight en est presque le seul à qui je prend soin ainsi au moment de ses sanglots profond par son cœur émécher. Je ne veux pas percevoir comme un gros ourson en peluche où on vient sécher ses pleures , j'en suis en fait totalement le contraire, il reste que cet homme est la source même de l'énigme. J'avais envie de profiter de chaque minutes pour le faire perdre la tête afin d'aggraver son cas. Nuire à son couple , écraser sans merci l'amour dont je craque sans problème dessus pour en laisser que des souvenirs non complété. La meilleur des solutions ne l’intéressait point , mais j'en désirais plus que tout au fond de voir ses pupilles se dilatés sous l'effet de simple cocaïne passant par son nez ou son corps envahie éveiller par l’héroïne submergeant ses veines. Au fur que mes sens s'éveillait je sentis ses doigts se faufiler sur mon dos prunelles fixant l'horizon. Je ne pouvais cacher que ce contact me faisait déjà faire de nombreux frissons qui ne semblaient point se terminer. Nos corps se rapprochaient encore plus dangereusement se plongeant dans un jeux interdit. On le sait tous que ce qui est de plus tentant pour l'homme c'est ce qu'on refuse ce qu'il touche , certes pour une fois il avançait seul les yeux fermés. Nos lèvres tremblaient voulant à tout pris pouvoir s'unir , mais elles restaient tout de même loin de quelque centimètre voir millimètre , une distance si longue pour nous rendre fous. Il attisait la peau de ma joue en l'embrassant et cette simple caresse si innocente me fit perdre quelque soupir , mais qui fut plus grand découvrant que ses mains avaient atteint mes fesses sans gêne. Yeux qui défilaient plus bas , main sur le torse tout son visage était en interpellation d'une grande envie qu'il ne pouvait cacher. Déposant mes doigts à mon tour sur son torse je le fis reculer doucement sur le sofa pour qu'il se retrouve dos contre l'appuie dos. Mes petits membres glissaient sur sa peau montant à deux doigts m'assoyant au même en califourchon sur lui. Il changeait la situation de cap , mais revenait quand même à ses nombreuses questions existentielles. «Toujours est un bien grand mot sexy , mais une chose est sur c'est que tu m'appartiens.» Au file de mes paroles je laissais entrevoir que je ne le laisserais pas filer de si tôt , non il aurait encore du chemin à faire pour m'échapper. Je ne ferais toute fois pas le plaisir de lui promettre quelque chose et de laisser voguer encore dans le mystère qui le ronge. Je me mordis la lèvre le regardant de bas en haut «Tu dois être bipolaire pour changer d'humeur si vite comme ça ! huumm» Juste à la fin de ma phrase je vins retirer retirer son t-shirt qu'il aaitn enfiler plutôt , mais qui était maintenant de trop et embrasser le début de son torse pour le tenter d'avantage sentant déjà sa peau s'hérisser sous mes lèvres.

[ ÇA C'EST NUL REGARDE O-O ]
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Anonymous
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Dim 8 Jan - 0:23

Projection sur le canapé, comme je l'avais prédis. Il retira délicatement mon t-shirt, en m'embrassant directement le torse, comme si l'impatience et le désir le tiraillaient. Il se tenait à califourchon sur mes genoux et je ne me sentais pas capable de le repousser. Passant même mes doigts fins sur le bas de son dos, je penchai légèrement ma tête afin qu'elle soit posée sur le haut du dossier. L'excitation se mêla à mon corps, formant alors un complot de désir. J'avais affreusement envie de lui, le soupir sortant de ma bouche le prouvait parfaitement. Seulement, je m'obligeais de ne pas en ressentir autant, vis à vis de Sevan. C'était malsain de jouir fortement dans l'oreille d'un autre qui n'était pas mon petit ami, mais surtout, alors que j'étais en couple. Comme d'habitude, je faisais abstraction de la réalité, fermant simplement les yeux. Je me concentrais sur mon désir et sur celui que pouvait avoir Lust en embrassant mon cou tendrement d'une allure lente, que j'aimais tant par ailleurs. Il retirait toutes mes pensées négatives, nostalgiques, destructrices ou encore mélancoliques par rapport à Sevan et tous mes autres soucis du moment. Je ne savais plus qui était mon petit ami, je comprenais juste que j'étais avec Lust et qu'il me submergeait de bonheur et d'avidité. J'avais l'impression qu'il était Sevan, mes yeux fermés n'aidaient pas non plus. Je restais alors planté sur le canapé, me laissant totalement faire, le laissent prendre tout contrôle sur moi-même, entreprenant la perte de moi-même et de ma dignité. Je m'en allais vers le chemin de la luxure, seulement pas avec n'importe qui, avec l'ennemi de Sevan, ce qui était encore plus terrifiant et dangereux. Je jouais de toute manière un jeu affreusement périlleux mais je n'en prenais malheureusement aucunement conscience. Selon ma vision, il n'y avait que moi et Lust, notre désir, mon amour pour lui, mon attachement, et tout ce qui me liait à lui. Je ne pouvais me risquer une nouvelle fois de tromper Sevan, mais étant disparu de mes pensées, plus rien ne m'empêchait d'affronter ce cap. Plus rien nous empêchait de vivre à deux un moment intense et exceptionnel. Pourtant, tandis que la luxure s'emparait de mon être, je commençais à entrouvrir légèrement les yeux, voyant alors sur moi, Lust. Je fus surpris de ne pas y découvrir Sevan, de voir que j'étais encore une fois impuissant, que je m'apprêtais inconsciemment de coucher avec Lust et donc, de trahir mon vrai et amour. J'allais encore planter ma seule relation amoureux réellement sérieuse, j'étais débile et insouciant. Je le savais qu'un jour ou l'autre, Sevan allait me fuir, me détester, m'abandonner à cause de mon ami, ma tentation... mais pourtant, je ne pouvais m'empêcher d'affronter mon désir, mon dangereux jeu. Écarquillant encore plus grand les yeux, je repoussai légèrement Lust, quittant alors le canapé pour me rendre près de la fenêtre. Je m'assis sur le rebord, regardant Lust torse-nu et incroyablement irrésistible, positionné d'une façon allongée sur le canapé. Il était craquant, sublime, magnifique : personne ne pouvait le résister en l'observant dans une telle position. Il plaça ses bras sur l’accoudoir du fauteuil, afin de porter sa tête. Ses abdominaux étaient alors bien mis en évidence, je ne savais quoi faire. Je me grattai la tête, allant même jusqu'à détourner le regard, qui ne savait faire autrement que revenir jusqu'à son haut si sexy. « Lust, putain.. enfile quelque chose ! Bon Dieu de merde. » Je secouais la tête, signe d'impuissance et d'énervement devant de son corps pour lequel j'aurais tant voulu être l'esclave, pouvoir l'embrasser et le caresser autant que je le voudrais. Mais si je le faisais, je trahirais une seconde fois Sevan, et non, je me l'interdisais tout bonnement. J'espérais que Lust ne se rapprocherait pas de moi, il était en boxer, je l'étais aussi. Torse découverts, sublime pour lui, rien ne m'étonnerait si nous finissions réellement dans un lit... oh mon dieu, NON ! Je tenais quand même de le prévenir de rester où il était, après avoir mis quelque chose sur lui, en lui déclarant. « Y'a Sevan, Lust ! Fais rien... lâche moi, okay ? Je t'en supplie, faut pas que tu me hantes l'esprit à chaque fois. Sevan est trop important... je.. je peux pas lui faire ça. » Certes nous étions séparés quelque temps, certes je l'avais déjà fait une fois, certes. Mais plus maintenant.
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Anonymous
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Mar 10 Jan - 3:55

Soupir d'un moment chaud au creux de mon oreille , nos épidermes prenait vie et se chavirait sur chaque frisson sous mes baisers. J'allais chercher à l'intérieur de lui le plaisir si tenace qui sommeillait à l'intérieur de son estomac et qui était sur le point d'exploser. En fait je n'avais qu'à caresser légèrement ses lèvres et déjà sa tête bouillait. Torse découvert je me faisais un bon festin découvrant chaque parcelle de nouveau alors qu'elle semblait nouvelle , mais parcouru tant de fois. Un remède à ma façon , je savais que son esprit serait parfaitement dissipé de toute pensées , c'était presque aussi efficace que la drogue. Midnight si faible et si attaché je n,avais aucun mal à le manipuler comme bon il me semblait , lorsque que je le voulais entre deux draps , je savais parfaitement où toucher pour le faire plier. Mais il résistait encore et toujours ce qui attisait encore plus mon plaisir de continuer pour l'avoir une deuxième fois, et il fila de nouveau alors qu'une seconde le séparait de sa chute. Ça m'agaçait , mais en même je souriais toujours avec mon fameux sourire , car d'une part je savais qu'il se rendait compte à quel point il rampait presque à mes pieds et je l'embobinais en moins de deux. Mes yeux volèrent vers lui qui se dirigea vers un autre endroit moins dangereux. Aller plante le de nouveau ça ne viendra qu'un fardeaux de ta vie avant que la flamme de votre amour ne s'éteigne. Il te blessera et se sera bien plus douloureux j'y crois qu'avec moi , car pour ma part je suis encore là après c'est quatre mois déjà époussetés par la vie. Je me mis à rire après avoir enfiler mes bras derrière ma nuque alors qu'il voulait que j,enfile quelque chose. «Justement ma tenue est si tentante que je préfère te voir te mordre les lèvres plein de désir , plutôt que d,enfiler un t-shirt sur mes sublimes abdominaux la tentation parfaite , quelque chose de si défendu qu'on veut tant se le procurer et en profiter. Les quelques mètres voir que centimètre qui nous séparait ne m'empêcherait pas de les franchir, la ligne rouge invisible qu'il avait dessiner ne me semblait qu'une plume pour l'effacer. Son cerveau s,agitait et je le sentais. Je pris mon paquet de cigarette déposer sur le sol et en déposant une sur le rictus de mes lèvres avant de me lever après quelques cendres tombées. En m'assoyant je passais mes doigts dans son cou d'une façon désireuse tout en susurrant le plus proche de son oreille. « Oh , mais tu sais Sevan je l'envoie bien balader je tes déjà déposer ma marque de toute manière. Et tu l'as dit plutôt je suis ta faiblesse et Sevan qu'est-ce qu'il fait lui ? te fait-il rêver autant que moi ? connait-il chacun de tes point faibles comme je les collectionne. Tu connais déjà les réponses comme tu le sais déjà pourquoi tu es venu ici se soir plutôt qu'ailleurs.» Mes doigts faufilés plutôt changèrent de direction et prirent sa main le forçant à se lever. Je tirais son bras pour la ramener proche de moi , comme des danseurs , et nos lèvres s’effleurèrent , lâchant des soupirs de besoin de se coller. voulant jouer encore plus avec ses profondes envies je tournais la tête , mais le transportait toujours encore et encore avec moi pénétrant de nouveau dans ma chambre la pièce qu'il redoute tant. Je pesais sur ses épaules pour qu'il s'assoie et je montais sur le lit pour venir se coller contre son dos prenant soins de bien coller mes muscles . «Fait moi ce plaisir...»
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Quand la tristesse envahit un petit cœur. Besoin de réconfort. ☼ Lust.

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