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Anonymous
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Lun 11 Juil - 2:29



Romeo take me somewhere, we can be alone.

Mercredi matin. Enfin. J'avais tellement compté les jours que j'en avais pas dormi de la nuit en sachant que mon petit ami allait descendre de l'avion dans quelques heures. Nous ne nous étions pas vus depuis une semaine, ce qui pouvait paraître cruel quand on sait que nous étions encore en pleine lune de miel. Je regardai ma montre pour voir que je devais peut être me magner puisque je n'avais pas le permis, je devais me rendre à l'autre bout de la fil en taxi et en l'occurrence, l'aéroport se trouvai ailleurs. Je m'habillai donc de mes plus beaux habits – jolie petite robe fraichement achetée avec Charlotte la veille – et coiffai ma frange fraichement faite pour l'occasion avant d'enfiler mes escarpins, prendre mon sac à mains et sortir. J'avais encore une heure à tuer. Mais j'étais tellement impatiente que je ne savais pas trop quoi faire. J'avais passé ces quelques jours à ne l'avoir qu'à l'esprit, me dire que bientôt il serait prêt de moi. J'inspirai, j'expirai avant de glisser mes lunettes de soleil sur le nez et de héler un taxi les écouteurs dans les oreilles. Je me jetai à l'arrière pour sortir mon téléphone et commencer à envoyer des messages à Charlotte en lui disant que j'étais partie récupérer mon petit ami à l'aéroport. Le chauffeur commença à me faire la conversation et c'est bien la première fois que je prenais le taxi sans m'ennuyer. Prendre l'autoroute, regarder les zones commerciales toutes plus immenses les unes que les autres. Je souriais presque contente de retrouver mon copain, avec un peu d'appréhension quand même. Tant de choses se passaient en une semaine. Et s'il avait rencontré quelqu'un d'autre ? Idée stupide mais omniprésente dans mon esprit. Rien que de penser qu'il avait côtoyé une autre femme que moi pendant tout ce temps éloignée de moi, me donnait envie de vomir. La jalousie, cette jalousie.

Une fois le taxi stoppé devant l'aéroport Charles de Gaulle, je sortis pour payer le chauffeur et lui laisser un gros pourboire et me diriger sac sur l'épaule, lunettes sur le nez dans le hall et prendre conscience que son avion venait tout juste de se poser. Un sourire illumina mon visage et je traversai à grandes enjambées le lieu pour me rendre juste devant la sortie de son terminal et attendre, les bras croisés qu'il sorte. Quand je reconnus sa silhouette, je trépignai sur place. « CHRISTOPHER! » Un hurlement s'éleva de ma gorge et je courus en bousculant du monde pour me jeter dans ses bras et enrouler mes jambes autour de sa taille, ne lui laissant pas le temps de dire quoi que ce soit pour l'embrasser fougueusement et relever la tête pour le lâcher. « Bienvenue en France, lançai-je dans ma langue natale, je ne t'avais pas dit que je t'agresserai sexuellement ? » Je souris et le pris encore dans mes bras. « Tu m'as tellement manquée. Plus jamais, hein. On ne se séparera plus jamais aussi longtemps. »
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Mer 13 Juil - 14:32

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Le vol avait été horriblement chiant. Je ne sais pas si c'était à cause de ma voisine qui n'avait cessé de me harceler ou alors si c'était parce que je savais que j'allais bientôt retrouver ma Lilas mais que l'avion n'avançait pas aussi vite que je l'aurai voulu. J'avais réussir à m'endormir un peu, évidement, mais ma chère voisine m'avait réveillé avec des yeux de biches pour me prévenir que les plateaux repas n'allaient pas tarder à arriver. J'avais capté à son accent qu'elle était française - Lilas avait le même mais le portait étrangement mieux - et je ne savais pas pourquoi elle faisait une telle fixette sur moi. Elle ne me laissait pas tranquille et m'avait même emprunter mon livre sans se dire que, peut-être... j'avais envie de le lire ; elle s'était également lancée dans un débat sur les françaises, vendant ses propres mérites. Mais qu'est-ce qu'elle attendait, en fait ? Je soupirais un instant avant de lui annoncer que je savais déjà tout ça puisque ma petite amie était française. Je lui citais les quelques qualités qu'elle avait oublié avec un large sourire. Elle n'avait plus parler de tout le vol - mais avait gardé mon livre pour le lire. Elle débloquait complètement. Finalement, après deux repas, un petit somme, quelques turbulences et un film, j’atterrissais à Paris, Charles de Gaulle.

Ma valise était évidement l'une des dernières à apparaitre sur le tapis roulant et l'anglais à beau être une langue que tout le monde parle plus ou moins, quand on arrive en France, on est rapidement dépaysé. Ne vous perdez surtout pas car demander son chemin à un agent qui n'a pas envie d'être là est de lors du sport olympique. J'ai l'impression que tout le monde est stressé et pressé dans cette ville ; mais je n'étais pas là pour avoir une quelconque expérience avec les locaux. J'étais là parce que Lilas m'attendait - et mon sourire s'élargit un peu plus alors que je trainais ma valise hors du terminal, à la recherche de ma petite amie. Trop de monde dans tous les sens, je ne savais pas vraiment où regarder. CHRISTOPHER! Cette voix que je connaissais si bien, cette façon de prononcer mon prénom... Un large sourire fendit mon visage ; j’eus à peine le temps de me retourner que Lilas me sautais dans les bras. Bordel, elle m'avait vraiment trop manqué. Je répondais à son baiser aussi passionnément que possible, me fichant pas mal que la moitié du terminal soit entrain de nous fixer. Bienvenue en France. Je déposais un baiser sur son front, incapable de m'arrêter de sourire. Merci, rétorquais-je dans un français parfait. Bon, aucun mérite puisque tout le monde connaissait ce mot mais j'étais certain de l'avoir prononcé correctement. Je ne t'avais pas dit que je t'agresserai sexuellement ? J'éclatais de rire. Et je n'en attendais pas moins de ta part, ajoutais-je avant de l'embrasser à nouveau. Tu m'as tellement manquée. Plus jamais, hein. On ne se séparera plus jamais aussi longtemps. Promis. Et je le pensais vraiment. Tout le temps où je savais que Lilas n'était plus à quelque pâté de maison mais à l'autre bout du monde, j'avais tourné en rond, incapable de me concentrer sur autre chose sur ma valise et le mercredi qui mettait trop de temps à arriver. Je scellais ma promesse avec un autre baiser avant d'entre-mêler mes doigts à ceux de ma petite amie. Alors, où est-ce qu'on va ? demandais-je avec un large sourire. Et comment tu vas ? Après quelques secondes de silence, j'enchainais ; cette coupe de cheveux te va vraiment bien, assurais-je en déposant un baiser au sommet de son crâne.
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Anonymous
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Ven 15 Juil - 21:49



Romeo take me somewhere, we can be alone.

J'étais heureuse. Bêtement heureuse que mon petit copain soit là, enfin, avec moi, ici, en France. Je regardai avec un immense sourire béat sur le visage comme ci je voyais la huitième merveille du monde. Je lui sautais donc dans les bras pour sceller nos lèvres dans un baiser passionné pour passer ma main autour de sa nuque. Il me le rendit et je lui souhaitai la bienvenue dans mon pays d'origine. Je savais que Christopher serait mal à l'aise ici parce qu'il ne parlait pas un mot de français mais quand je l'entendis me répondre avec son petit accent anglais si sexy, je frémis. « Bien joué. Je vais essayer de faire en sorte de te parler le plus possible en anglais mais cela sera difficile ici, gloussai-je en sautillant sur place. » Je me collai à lui dans une étreinte, ronronnant presque, caressant son dos et lui faisant promettre de ne plus se séparer de moi autant de temps. L'amour. Un sentiment très étrange en ce qui me concernait parce que je n'en avais pas l'habitude. Je n'étais jamais tombée amoureuse et je ne savais pas trop comment me comporter face à un sentiment de la sorte. Je ne voulais pas paraître niaise mais c'était plus fort que moi, il était mon tout premier petit ami et j'étais réellement heureuse d'être avec lui. Je battais frénétiquement des cils quand il me demanda où nous nous rendions et j'entrelaçai mes doigts aux siens doucement avant d'embrasser sa main et de me mettre à marcher pour aller prendre un taxi. « Alors, on va à l'appartement pour se reposer parce que tu dois être fatigué non ? Comment c'est passé ton vol mon chéri ? » Je hélai un taxi quand je l'entendis me parler de ma coupe de cheveux et je rougis comme une pivoine, baissant les yeux, mettant une mèche derrière mon oreille. « Merci. C'est vrai ? Tu me trouves jolie ? Minaudai-je avant de me mettre sur la pointe des pieds pour déposer un bref baiser sur ses lèvres. » Puis, je plongeai mon regard dans le sien, dieu que ses yeux bleus avaient pu me manquer. Puis d'une manière pas vraiment distinguée, je sifflai le taxi pour me glisser derrière et indiquer l'adresse en français au chauffeur.

Le trajet se passa en silence parce que je laissais Christopher regarder le paysage, lui qui n'était jamais venu à Paris. J'avais fait pareil quand j'étais venue à San Francisco pour la toute première fois. « La ville des amoureux, chuchotai-je à son oreille en déposant un bisou sur sa joue. » Une fois arrivée, je descendis la première en attendant que mon amoureux me suive et je battis avec les clés avant de pénétrer dans l'immeuble sécurisé où logeait Monsieur et Madame Marchand. Ici, pas de grand luxe, juste un petit hall avec une porte qui donnait sur le concierge et des escaliers qui montaient en colimaçon rappelant les vieux escaliers des châteaux et je montais en faisant attention à ne pas passer à travers une planche. Une petite vieille passa à côté de nous et nous salua chaleureusement. Je ne me souvenais même plus de son prénom à la pauvre dame. Tant pis. Je passais donc mon chemin pour arriver en haut, essoufflée et introduire la clé dans la serrure. « Il n'y a que deux jeux de clés, on va donc devoir rester l'un avec l'autre pendant tout le temps de ton séjour, mon amour. » Je me retournai vers lui pour l'attirer tout contre moi et l'embrasser avant d'ouvrir la porte et d'entrer dans le somptueux appartement des parents de ma meilleure amie. Sans lâcher ses lèvres, je marchai à reculons pour lancer les clés sur une table – qui atterrirent par terre. Dommage – et ouvrirent la porte de notre chambre. Enfin, je rompis le contact pour lui montrer la chambre. « Si tu veux... te... reposer, balbutiai-je honteuse, enfin... si tu ne... pas dormir avec moi. Je comprendrai. » Je déglutis péniblement. On n'avait jamais passé autant de temps ensembles. Deux mois. J'étais nerveuse, très nerveuse et je m'attendais à prendre mes jambes à mon cou à chaque instant. Être prête de lui me mettait dans tous mes états. Foutus hormones!
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Lun 18 Juil - 1:31

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Paris. C'était une ville que j'avais toujours eu envie de visiter et voilà que je m'y retrouvais avec la plus adorable des françaises que l'ont puisse trouver au monde - et non, je n'exagérais pas juste parce que c'était ma petite amie. J'avais beau me torturer l'esprit, j'étais incapable de me souvenir de ce que j'avais pu ressentir pour l'une de mes ex avant que je ne rencontre Lilas. Comme si elle avait éclipser tout le monde d'un coup de baguette magique. J'affichais un sourire alors qu'elle me demandais comment c'était passé mon vol. C'était long, on va dire mais... Ça a été, y'avait juste une fille qui-- Putain!, lâchais-je soudain, elle a gardé mon livre. Bon, ce n'était pas grave, évidement, puisque je pouvais toujours aller me le racheter mais c'était une question de principe ; déjà qu'elle m'avait pourri le voyage avec ses regards en coin et ses sous-entendus déplacés, en plus, il avait fallu qu'elle m'endorme mon livre. Une vraie calamité. J'avais fini par hausser les épaules, prenant soudainement conscience que Lilas n'était plus vraiment la même que celle que j'avais laissé filer dans l'avion quelques jours plus tôt. Juste au niveau capillaire, évidement. Elle était sublime. Merci. C'est vrai ? Tu me trouves jolie ? Je hochais malicieusement la tête avant qu'elle ne presse ses lèvres contre les miennes. J'aimais Lilas, j'aimais la France et je sentais que j'allais aimé le temps passé avec elle dans ce pays.

Lorsque l'on traversa Paris à bord d'un taxi, je n'avais pas pu empêcher ma main de trouver celle de Lilas, alors que je regardais le paysage défiler en silence. J'avais besoin de sentir qu'elle était près de moi, que je pouvais la protéger à n'importe quel moment. Je devais reconnaitre que dès l'instant où elle avait été hors de mon champ de vision à l'aéroport de San Francisco, je m'étais inquiété pour elle, repensant malgré moi à ce qu'elle m'avait révélé la veille. Elle avait déjà tellement souffert que j'aurais du mal à encaisser que d'autre personne lui pourrisse la vie - et je me faisais la promesse de faire en sorte que ça n'arrive jamais plus. La ville des amoureux. J'avais uniquement reconnu le mot "amoureux" et ça m'avait suffit pour sourire et passer un bras autour des épaules de ma petite amie. Lorsque je me demandais comment je ferais si on devait se séparer quelques jours à nouveau, j'étais désolé de prendre conscience que j'en serais parfaitement incapable. Finalement, nous arrivions à l'appartement dont elle m'avait parlé et que j'avais été impatient de découvrir. Il n'y a que deux jeux de clés, on va donc devoir rester l'un avec l'autre pendant tout le temps de ton séjour, mon amour. J'affichais un léger sourire. Ca tombe bien, j'avais pas l'intention de me séparer de toi. Finalement, en quelques secondes, on se retrouvait, haletant, au milieu d'une pièce qui serait très certainement notre chambre. C'est uniquement en voyant le lit que je prit conscience que j'étais vraiment fatigué. Bordel, quelle heure était-il par ici ? Si tu veux... te... reposer, enfin... si tu ne... pas dormir avec moi. Je comprendrai. Je l'enlaçais un long moment avant de plonger mon regard dans le sien. C'était le genre de phrase qui faisait ressortir toute sa fragilité et sa vulnérabilité ; c'était le genre de phrase qui avaient fait que j'avais été incapable de ne pas tomber sous son charme. Parce que tu crois vraiment que j'arriverais à me passer de toi ? lâchais-je avec un léger sourire. Par contre, ça dérange personne que je m'installe ici ? demandais-je alors que ma main s'égarait distraitement très au sud de sa taille. Parce que je pourrais aller à l'hôtel en cas de problème, ajoutais-je en souriant avant que mes lèvres ne s'attardent à nouveau sur celles de Lilas, tout aussi passionnément que quelques secondes auparavant.
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Ven 22 Juil - 15:47



Romeo take me somewhere, we can be alone.

Ma ville, mon pays. Être ici avec lui, cela me faisait tout drôle. La dernière fois, je ne m'en souvenais plus. J'avais effacé ce souvenir, je ne voulais plus m'en rappeler maintenant. Alors, accrochée à son bras, je m'engageai vers la sortie, me doutant qu'il devait être fatigué. Je l'étais en tout cas, tellement impatiente de le sentir près de moi que je n'avais pas fermé l'œil de la nuit. Cela pouvait paraître niais, mais ensemble depuis si peu de temps, ayant essuyé une dispute, nous étions encore en pleine lune de miel comme on l'appelait bien que nous ne soyons pas mariés. Lui, trente ans, moi, dix huit. On pourrait dire que cela fait une grande différence mais l'expérience nous forge le caractère et je priais pour qu'il puisse me supporter. Chiante, ayant des activités illégales, une vie bien remplie, geek, solitaire, je ne devais pas être facile à vivre pour mon frère. Rêvant de mon indépendance financière, de ma liberté, j'avais choisi un métier dans lequel j'excellais. Je l'écoutais donc me parler de son vol, d'une femme – c'est qui celle là ? Oh douce jalousie quand nous tiens – qui lui avait apparemment piquée son livre. Quel culot. Je ris en le voyant s'énerver un tout petit peu. Je ne négligeai jamais un tel détail, je ne prêtais que très peu mes affaires ayant été élevée comme une enfant unique et après avoir découvert que j'avais un frère, il y a seulement quelques mois, je devais tout partager à contre cœur mais bon... « Ce n'est pas grave, murmurai-je comme pour le calmer, on ira t'en acheter un autre. Et en français comme ça tu apprendras un peu la langue. » Je ris avant de monter dans le taxi, le gardant tout près de moi, pendant qu'il regardait la paysage curieux. Quand il prit ma main, je me glissais doucement vers lui pour déposer un baiser dans son cou et poser ma tête sur son épaule, le long du trajet. Traversant Paris, nous ne parcourions que les grands axes mais je l'emmènerai tout visiter bientôt. La Tour Eiffel, les Champs Élysée... Pensant à tout ça, je constatai que le chauffeur empruntait la rue dans laquelle habitait Charlotte et payait la course avant de descendre. « Comme tu es anglais, tu ne dois pas connaître le bon fonctionnement des euros ? Demandai-je en ouvrant la porte. » Puis, je pénétrai dans l'obscure immeuble , regardant si le concierge était à sa place, grimpant les escaliers, main dans la main avec Christopher.

Puis, je me tournai vers lui, capturant ses lèvres, traversant l'appartement, me rendant compte, essoufflée que nous venions de pénétrer dans la chambre où régnait mon désordre. Mon ordinateur trônant sur le lit, mes vêtements un peu partout. Oups! Vilaine fille, tu n'es vraiment pas ordonnée. Je me pinçai un bon coup les lèvres, remarquant qu'il devait être fatigué, le trajet était long depuis San Francisco. « Merci d'être là en tout cas. » J'avais soufflé cette phrase, l'écoutant me parler doucement. Il me comprenait si bien. Bien sûr que cela ne gênait personne mais je verrais avec Charlotte si vraiment c'est le cas. Mais je savais par avance que ma meilleure amie était impatiente de rencontrer le bel anglais. « Non, non tu déran... » Je n'eus même pas le temps de finir ma phrase que ses lèvres se plaquèrent dans les miennes. Je fermai un instant les yeux m'abandonnant au baiser, reculant un peu, les bras autour de sa nuque, caressant un peu ses cheveux avant de tomber en arrière sur le lit, lui sur moi. Je décidai de rompre le contact pour le regarder, mes doigts parcourant son visage. « Je t'aime. »
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