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 Je vais bien, inutile de paniquer [Hot ?]
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Anonymous
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Lun 11 Juil - 4:24

Stupide mec têtu. Je ne sais même pas pourquoi je l'avais appelé. Peut être parce que je ne voulais pas qu'il tue Andreas ? Quoi qu'il en soit, il allait bientôt débarquer et je décidai de me lever pour me rendre à la salle de bains quand le médecin me vit et commença à me gueuler dessus que je devais rester assise. Ni une, ni deux, je chopai tout ce qu'il y avait sur la table pour lui lancer à la tronche et me barrer quand même dans la salle de bains et quand je revins, il était déjà là. Exténuée, je me laissais tomber sur le lit avant de lui faire signe d'approcher et de l'embrasser. « Pitié, dis moi que t'as une cigarette, susurrai-je en le regardant droit dans les yeux. » Mine de rien, sa présence me fit du bien. Je songeai presque plus à ma sœur, à son viol et à sa fuite.
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Anonymous
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Mar 12 Juil - 2:12

Eve n'était pas chez elle. Son poing s’abattit sur la porte. Il avait épuisé la sonnette — en vain. Michael allait composer son numéro mais elle le devança : "hôpital" fut le seul mot qu'il retint tout en se dirigeant vers sa bagnole. Au son de sa voix, le danger principal était passé mais il ne préférait pas s'avancer dans des conjonctures avant de l'avoir vu. Avant de l'avoir touchée. Dès qu'ils en vinrent à raccrocher, l'assassin démarra en trombe. Sa blonde était à l'hosto' / sa blonde réquisitionnait sa présence, tacitement. A l'accueil, il se fit passer pour un membre de sa famille : son frère, très anxieux, très désireux de la côtoyer. Il laissa la pointe d'une larme faire scintiller ses prunelles envoûtantes ; on lui indiqua la chambre sans chercher à vérifier son identité. « Elle est tarée » entendit-il de la part d'un homme en blouse, dans un couloir. Il était sur la bonne route. La piaule était vide. Il entendit le robinet dans la salle de bain, et aperçut quelques objets par terre. Eve revint — affaiblie, mais communiquant un mouvement pour qu'il se rapproche. Il l'embrassa sans mordre sa lèvre inférieure. A sa question, il se contenta de sourire tout en plaçant finalement une clope au bord des lèvres de la chanteuse. « Raconte-moi tout, fit-il en s'asseyant sur le bord du lit, une main posée sur le visage de sa compagne. Même si c'est difficile, je dois savoir. » Il ne caressa pas ses jambes. Ni ne chercha à détruire sa tenue de malade. Il avait pris soin de fermer la porte, les isolant du monde. Michael ne s'alluma pas pour le moment une clope, trop désireux d'avoir des réponses à ses questions mentales.
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Anonymous
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Mar 12 Juil - 2:34

J'ai mal partout et ça m'énerve. Quand Mike me pose la clope entre les lèvres, je lui fais un sourire reconnaissant avant de l'allumer et de fermer les yeux. Il voulait savoir mais comment lui dire ? « Imogen..., ma petite sœur a été violée. Et ayant honte, elle a fui la ville. » Je sentis les larmes me monter aux yeux. Je ne savais plus quoi faire, désemparée. Ma petite soeur quoi. « On dirait que c'est de famille. Être malade, se faire violer, perdre nos enfants. On a une destinée semblable et je ne veux pas qu'elle finisse comme moi. » Je n'osai pas tourner les yeux vers lui. J'avais tout encaissé. Tout ce qu'il m'avait fait. Mais savoir que ma soeur avait subi le même traitement, le même abus que moi, me rendait malade. « Je tuerai ce fils de pute, même si c'est la dernière chose que je dois faire, je le tuerai. »
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Anonymous
Invité
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Mar 12 Juil - 21:04

Il la laisser dérouler le fond de ses pensées. Michael récupérait parfois la clope d'entre ses lèvres, employant comme cendrier le sol de la chambre. Il saisit des mots ; les transformant en images. Un autre individu avait, semblait-il, trouvé la famille Zimmer tout aussi attractive que lui — violant Imogen, la sœur d'Eve dont ils avaient déjà parlé, vaguement, au pieu. Son job, c'était de retrouver des personnes avant tout. Il pouvait l'aider. Il posa une main sur le corps d'Eve, comme pour lui signifier qu'il était là : qu'elle n'allait pas affronter tout ceci sans lui. Le fait qu'un tel incident arrive au début de leur "relation" compliquait encore plus les choses. Il la força à ce qu'elle le regarde : qu'elle ne l’assimile pas à l'autre violeur. « Ce ne sera pas la dernière chose que tu feras, je m'occuperais de lui personnellement. Nous allons cependant d'abord retrouver ta sœur, prendre soin d'elle. Et encore plus important : tu dois te reposer. Ce n'est pas depuis un lit d'hôpital que tu vas pouvoir faire quelque chose et non, je ne vais pas te faire sortir d'ici. » Il récupéra à nouveau la clope mais l'écrasa cette fois-ci sous son pied ; se leva et aéra la pièce en ouvrant une fenêtre. Michael retourna à proximité d'Eve, caressant son visage puis l'embrassant : « Rétablis-toi vite. Dès que tu seras prête, on partira à la recherche d'Imogen. Tu veux que je reste un peu? »
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Anonymous
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Mar 12 Juil - 22:25

Une fois mon récit terminé, je me remis à trembler. Faiblement et j'essayai de le cacher. De lui cacher même si sa présence me faisait du bien. Il me força à le regarder, de son regard pénétrant, le mien était embué de larmes. « Michael, murmurai-je faiblement... » Je ne pus murmurer que faiblement son prénom. Comment lui dire, lui qui croyait que ce n'était qu'un état de choc que j'allais mourir. Certes dans vingt cinq ans mais quand même. « Je ne suis pas venue dans un hôpital depuis un an et demi. Depuis mon accouchement en fait. Je n'avais pas refait de crise depuis... la semaine dernière. Dans la douche. La douleur qu'elles engendrent, c'est comme ci on me déchirait de l'intérieur. Je vais mourir, tu sais. » Je ponctuai cette phrase sans rien dire de plus. Il m'embrassa. Différemment et je caressai son visage. « Reste, lançai-je les yeux dans les yeux. Toute la nuit. » Pour le moment, je ne voulais pas me poser de questions, juste profiter de sa présence. Je lui fis de la place à côté de moi, espérant qu'il ne parte pas.
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Anonymous
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Mar 12 Juil - 23:52

Il n'avait jamais supporté les hôpitaux. S'il en venait à les fréquenter, cela signifiait que le plan avait eu un imprévu. Qu'il devait finir sa cible. Dans cette piaule, avec Eve affaiblie, Michael constatait un peu plus le changement de son existence. Jusqu'à présent, il n'était jamais venu pour voir si quelqu'un se portait bien. Cela l'effrayait, et lui plaisait malgré tout. L'odeur de nicotine qui imprégnait la pièce lui donnait maintenant envie de fumer. Sa blonde se laissait aller à quelques confidences ; qu'il connaissait déjà. Une maladie la flinguait de l'intérieur. Hans voulait "abréger" ses souffrances. Michael les atténuait désormais. Il soupira avec un sourire au coin des lèvres, retirant ses chaussures et prenant place dans le lit. Il laissa son torse servir d'oreiller si elle le désirait, tout en se préparant une clope. « Tout le monde meurt un jour. Je ferais tout ce que je peux pour que jusqu'à cette heure tu en oublies que tu n'es pas immortelle. J'incarnerais ton garde du corps. » Et comme pour mieux souligner l'idée, il employa un bras pour entourer le corps d'Eve et la gardait tout contre lui. Ses poumons en vinrent à se nourrir de fumée grisâtre. Ses lèvres se déposèrent sur les cheveux de la blonde. « Tu peux dormir tranquille. »
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Anonymous
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Mer 13 Juil - 0:01

C'était étrange. J'étais collée à Michael comme si j'avais besoin de cette chaleur et je fermais un moment les yeux sans trouver le sommeil. A écouter les battements de son cœur. Puis, je me relevai, toujours aussi affaiblie avant de retirer la cigarette de ses lèvres et d'y les miennes. « Je n'ai pas envie de dormir, susurrai-je. » Puis, l'une de mes mains perdit de l'altitude et alla se glisser dans son pantalon, sous son boxer et caresser sa verge. « Tu veux bien ? » J'affichai un sourire coquin sur mes lèvres avant de l'embrasser à nouveau, en continuant la masturbation. Reste à savoir s'il serait d'accord – ce que je ne doutais pas un seul instant – et comment il allait s'y prendre. Mes cheveux vinrent caresser son visage, je le contemplai, d'un regard doux. « Merci. Même si je ne comprends pas tes motivations. Merci beaucoup. »
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Mer 13 Juil - 0:53

Le silence l'apaisait. Ses mains caressaient sagement Eve. Il regrettait de ne pas avoir été là durant sa crise. Si cela ne tenait qu'à lui, probablement qu'il ne la quitterait pas des yeux. Mais il y avait toujours des affaires à régler, Joe dont il devait s'occuper, des contrats à préparer/refuser constamment. Michael crut que la blonde côtoyait enfin Morphée quand il perdit sa clope. La jeune femme avait, semble-t-il, besoin d'un orgasme pour s'endormir : coquine. Pour une fois que c'était elle qui démarrait un entretien corporel — une main taquine commença à le masturber. « Il n'y a pas des consignes, après chaque crise? Comme : éviter de se faire baiser dans le lit d'hôpital? » De son côté, il plaça une main entre les jambes de la jeune femme. Lui faisant subir le même traitement. Qu'elle l'aguiche, il ferait de même. Michael ne comptait cependant pas la baiser aussi sévèrement que par le passé, pour cette fois-là en tout cas. Le repos était l'objectif : les mouvements de bassins les moyens à employer. «Je commence tout juste à cerner mes motivations. » susurra-t-il, embrassant la jeune femme tout en se plaçant un peu plus au-dessus d'elle. Sans imposer le poids de son corps. Il la laissa fumer. Descendant le long de son corps, et entamant un cunni' langoureux. Sa langue était une traîtresse, sa langue entraînait la venue du plaisir. Il ne comptait pas la lâcher avant de l'entendre gémir salement. Une fois le forfait accompli, il remonta, quittant son haut et froissant un peu plus la tenue de malade d'Eve pour que ses seins n'oublient pas tout l'amour qu'il leur portait. « Ton rythme. » souffla-t-il, ne cherchant pas à lier leurs corps. Ne la défonçant pas. La blonde connaissait son état ; et il ne maîtrisait qu'à peine ses pulsions.
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Mer 13 Juil - 1:31

Faire l'amour. Faire l'amour. Ces mots s'imposèrent à mon esprit comme une évidence et je prolongeai le baiser, mes caresses, pour finalement relever la tête dans un sourire. « C'est même conseillé, docteur, répondis-je d'une voix plus rauque. » Je sentis sa main se perdre dans mon intimité, ma moiteur et je me mordillai la lèvre avant de commencer à gémir quand il me retourna, m'embrassant encore. « Et quelles sont ses motivations, monsieur Robberty. » Je commençai à jouir, agrippant les bras quand sa perverse de langue commença à titiller mon clitoris et je fermai un moment les yeux, évitant de perdre le contrôle. Cinq, quatre, trois, deux, UN. C'est fait! Une fois son méfait accompli, le salaud remonte, se déshabille, m'impose la vue de son torse musclé, zébré de cicatrices et je sais pas si c'est les médocs qui me faisaient planer – ha oui, ça commence à faire effet là, j'allais avoir une baise tout en étant complètement shooté, la classe! - mais mes mains caressèrent chacune d'entre elles. « Fascinantes. » Puis, j'aggrippai son pénis pour le loger en moi et l'attirer contre moi, perdant ma main dans ses cheveux. « Ton rythme à toi. Ne me ménage pas. » Tout mon corps vibrait sous le poids des médocs et je sentais que j'allais avoir la meilleure baise de toute ma vie.
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Anonymous
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Ven 15 Juil - 22:56

Chaude et droguée, Eve inspirait la luxure. Eve lui donnait envie de la posséder/déposséder à l'excès. De sa langue, il avait accordé un tant soi peu de tendresse à l'entre-jambes, allumant la jeune femme — plus qu'elle ne l'était déjà. Il était de nouveau juste au-dessus d'elle, piégeant ses lèvres, caressant ses seins. Du côté de la nana, c'était un peu le même schéma : s'extasiant devant l'héritage de ses jobs. Des marques gravaient dans sa chair et qui faisaient briller les pupilles de la blonde. Elle avait un peu plus conscience de l'individu qui se calait entre ses reins, encore et encore, à même de tuer de sang-froid mais lui accordant pour le moment des orgasmes électriques. « La motivation de te faire gémir, la motivation de te faire mordre les lèvres jusqu'au.. sang. » souffla-t-il contre l'une des oreilles de Mademoiselle Zimmer. De ses deux mains, de plus en plus salaces, elle l'entraîna à la pénétrer. A attiser un peu plus le feu qui la consumait entre les reins — donnant l'autorisation pour qu'il agisse selon ses manières. Alright. Les mouvements de son bassin commencèrent. Bang, bang, bang. Il s'enfonçait avec ardeur en Eve, marquant à nouveau son domaine au plus profond de sa chair. Il défit en même temps la tenue de malade, retrouvant les formes nues et sulfureuses qu'elle arborait. Michael poussa le vice plus loin en expérimentant la souplesse de sa beauté, plaçant les jambes féminines sur ses épaules. L'angle de baise était plus salace. L'angle de baise était délicieusement violent. Le vagina prenait l'impulsion de son corps à chaque descente. Il pouvait profiter de l'état d'Eve ; abusait d'elle, les médocs' compensant et la permettant de trôner continuellement dans un sentiment de bien-être. Même si un membre masculin la parcourait, provoquant des frictions de plus en plus bestiales.
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Ven 15 Juil - 23:27

C'était si bon. Plus son membre s'insinuait en moi, plus je me sentais revenir à moi, comme une renaissance. Je lui avais dit de me ménager et dans mon esprit, il me ménageait encore. Dans une position qui se voulait acrobatique, dans des mouvements qui se voulaient salaces mais j'avais besoin de plus, de beaucoup plus. « Parce que tu comptes, je déglutis, me faire jouir. » Je partis dans un éclat de rires violent, laissant mes mains caresser son torse, quand elles se plantèrent dedans et je le soulevai enfin pour le faire basculer en position assise. Je m'empalai de nouveau sur son membre, les yeux dans les yeux, mon regard se fit plus haineux, avec plus d'intensité. J'avais besoin d'une baise hard, d'une baise violente. Je ne voulais pas d'un bisounours, cela n'avait jamais été comme ça entre nous. Mes mains se maintenant à ses deux épaules, je commençai à donner le rythme, mon rythme saccadé, épuisant. Mon corps encore engourdi par les drogues commençait à se réveiller et un sourire cannibal se dessina sur mes lèvres pour l'embrasser soudainement, le mordant jusqu'au sang et finir par le faire atterrir par terre moi, sur lui. Ma main vint s'abattre violemment à côté de sa tête. Je sentis mes doigts craqués sous le poids de l'impact et je fermais les yeux, laissant échapper un hurlement jouissif. Je me surpris même à hurler son nom, dans un élan passioné avant de me baisser jusqu'à son oreille. « Baises moi jusqu'à me faire mal Michael. Je t'ai dit de ne pas me ménager et non de me faire l'amour comme une fillette. » Je regardai la fenêtre avec un regard coquin. « Un peu d'exhibition, ça te tente chéri ? »
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Anonymous
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Sam 16 Juil - 20:21

L'Eve faible, ne souhaitant pas au téléphone qu'il vienne tant elle ne pouvait pas baiser, se révélait peu à peu sauvage. Michael s'adonnait à des mouvements de reins rigoureux, mais l'insatiabilité s'empara de la blonde. Ridiculisant ses talents et s'emparant du contrôle de l'échange sexuel. L'assassin, désarçonné, se retrouva face à une jeune femme plus que consentante. Il en déduisait qu'elle voulait vraiment se faire défoncer. Comme si leur première fois, dans la ruelle, avait mis la barre à un certain niveau : que la violence se devait d'être aussi ardente le plus souvent possible. Elle venait de faire une crise pourtant, inquiétant Michael quant à sa santé alors même qu'il était toujours mandaté pour la tuer. Ils baisaient, baisaient. Evelyn ne se ménageait pas, ses seins étaient ballotés, ses dents s'implantaient dans les lèvres de son partenaire. Il n'eut pas le temps de faire entendre sa douleur qu'ils quittèrent le lit, se retrouvant au sol. Son dos encaissa la chute. Sa queue s'enfonça plus sévèrement en sa compagnie. L'effet leur fit du bien et du mal, il l'entendit même gémir un « Michael » alors qu'il passait son pouce sur sa lèvre inférieure, notifiant que son sang coulait. Elle le provoquait. Elle l'allumait. Michael resta silencieux, employant maintenant son pouce pour rougir un peu plus les lèvres de la pulpeuse demoiselle, imbibant sa bouche de son sang. Il la fit basculer sous lui. « Je vais te faire mal alors.. » susurra-t-il au creux d'une oreille féminine. Elle avait évoqué aussi le souhait de se dévoiler publiquement.

Il la souleva, la calant contre un mur, perdant des coups de reins sévères pour combler le vide oppressant entre les jambes d'Eve. Elle avait aussi dit « chéri » — Michael l'emportait dans sa folie destructrice où ils se mélangeaient ardemment, ne craignant pas de dépasser les limites. Tant qu'elles ne condamnaient pas leur tandem. Il y alla plus fermement. Plus rapidement. Jusqu'à entraîner les jambes d'Eve à toucher à nouveau le sol, à ce qu'elle soit dos à lui : la moitié de son corps penchée à la fenêtre, sa poitrine se dévoilant aux yeux des passants et médecins en contrebas. Lui envoya sa main s'abattre sur les fesses blanches de sa compagne ; puis s'intégrant dans son vagina. Il se souvint qu'elle voulait avoir mal. Il quitta le corps de la jeune femme, força le passage de son autre fente. Queue s'enfonça à 10% ; il insista, 40, 60, envoya sa main frapper à nouveau, 80%. Il plaqua son torse contre le dos de la jeune femme, ses mains aggripant les seins et s'en servant comme point d'appui alors que le bruit de leurs corps qui claquent reprit. Il mordit une épaule. Pinça un téton, compressa les dômes de chair l'un contre l'autre. Rien n'était assez violent pour leur convenir tout deux : mais ses reins entreprirent de la faire salement gémir.
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Dim 17 Juil - 0:45

L'échange était passionné, violent et je ne doutais pas un seul instant de lui. Quand je lui avais demandé de me faire mal, je m'attendais au pire. Et le pire vint à moi. Tournée, retournée, ballotée dans tous les sens. J'étais désormais collée à la vitre, son pénis entre mes fesses, ses reins allant et venant me donnant un sentiment de plaisir. Je ne cessai de soupirer, me retenant de jouir, histoire de ne pas attirer les médecins, de ne pas attirer l'attention sur nous. Ses doigts caressant mes courbes, pinçant mes tétons, ses dents s'enfonçant dans mon épaule. Je ne pus retenir un hurlement. Mais... de douleur, cette fois. Comme une décharge électrique, mon corps fut secoué d'un spasme, ce qui aurait pu passer pour un orgasme, qui n'en était pas un. Oh non! Pas maintenant. Pas si près. Un nouveau tremblement, j'essaie de lui demander de cesser mais je n'y arrive pas. La douleur s'intensifie, l'air se comprime dans mes poumons et je tente de m'échapper de son emprise, tremblante, ne sachant que faire. Les drogues ne faisaient plus effet. Un vertige me prit, et je peinai à articuler ce mot. « Assez. » Il ne dut pas m'entendre. « S'il te plaît, le suppliai-je avant de tomber en avant, inconsciente. »
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Dim 17 Juil - 1:03

Il lui faisait du mal ; mais il insistait. Comme pour mieux la briser, again. Le corps féminin se retrouvait torturé, déchantant face aux coups de reins qu'il pouvait envoyer. Le caractère si rebelle, si instable d'Eve se retrouvait maîtrisé par le plaisir que Michael lui conférait. Les spectateurs, tout en bas, devaient se régaler de la vision. Le passage si étroit qu'il aimait à parcourir devint de plus en plus apte à l’accueillir totalement. Il lui faisait payer ses affronts — sa violence était aussi une forme d'amour malsaine, ne pouvant s'exprimer que dans sa rage la plus noire, l'action salace la plus douloureuse. Elle évitait d'attirer l'attention dans un mutisme tremblant tant et si bien que le bruit de leurs bassins se heurtant était le seul élément troublant le silence dans la pièce. Il la besognait — il la limait. Jusqu'à ressentir peu à peu le plaisir, souhaitant s'en accaparer totalement. Eve commença à ne plus être aussi active. Eve en vint à dire quelque chose qu’il ne comprit pas, étant prononcé trop faiblement. Il la rattrapa et la garda tout contre lui lorsqu'elle en vint s'évanouir, comprenant qu'ils étaient trop loin. La blonde n'avait pas ménagé sa hargne, n'ayant cependant pas la carrure pour un tel exercice de style. Il se retira d'elle, la portant jusqu'au lit d'hôpital pour la faire se recoucher. Sa visite avait été une mauvaise idée. Dans son état, c'est à peine si elle pouvait marcher. Il aurait dû repousser ses avances sexuelles. Michael était trop incontrôlable en sa présence. La jeune femme, en un regard, le manipulait trop facilement. Il tira la couverture, les recouvrant tout deux. L'américain caressait l'allemande, cela ne l'aidait pas à faire descendre sa trique mais le corps chaud qu'il pouvait côtoyer le tenter bien trop. Ses lèvres se déposèrent dans les cheveux de la jeune femme, sur sa bouche. Un soupir s'extirpa d'entre ses lèvres avant qu'il ne cherche à son tour à dormir. Tout contre Eve.
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Dim 17 Juil - 1:29

Cette maladie me rongeait de l'intérieur. Complètement et alors que j'étais en plein ébat sexuel, je sentis mes forces m'abandonner. Quand je sentis mon corps être allongé, et quelqu'un se mettre à côté de moi, je me pelotonnai contre la personne avant d'ouvrir faiblement les yeux. Accroché à lui, je sentis sa trique contre ma jambe et je soupirai avant de déposer un doux baiser dans son cou. Puis, je nichai ma tête contre lui, fermant un moment les yeux. « Merci, murmurai-je avant de sombrer totalement dans le sommeil. » Je restai accrochée à lui toute la nuit, me sentant en sécurité.
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