| Jeu 20 Oct - 7:02 | |
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ASHTON OLIVER ANDREWSSi Dieu n'existe pas, tout est permis
ft. Kyle Pavone
Je m'appelle Ashton Oliver Andrews et j'ai 23 ans. Je suis bisexuel, célibataire et né à Las Vegas aux États Unis, le 3 octobre 1988.
amusant ★ pacifiste ★ garde son sang froid en situation de crise ★ patient ★ réfléchi ★ compréhensif ★ attentionné ★ boule d'énergie, quand il en a envie ★ sais se taire quand il le faut ★ rêveur
jaloux ★ possessif ★ idiot ★ renfermé, par moment ★ exigeant ★ flemmard ★ un peu lent ★ rapidement blasé ★ très énervant, quand il s'y met ★ fait très difficilement des compromis
| pseudo : Laurence, ça va aller. âge : 17 YO sexe : Féminin, je pense. nationalité : Québécoise (même si bon, techniquement...) activité : 7/7
| | commentaire : peace out :heart2: avatar : kyle pavone groupe : family scénario ou PI : scénario code du règlement :OK. by June |
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[size=12][color=crimson]★ [/color][font=Georgia]KYLE PAVONE[/font] | [/size] [font=arial][size=9]a. oliver andrews[/size][/font] |
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| Jeu 20 Oct - 7:03 | |
| My Story
J'aime bien le soir, après une longue sieste d'après midi, m'asseoir tout près de la fenêtre de ma chambre, et regarder les lumières, dehors, bouger. C'est l'occasion pour moi de penser, d'imaginer ma vie autrement, de prendre des décisions plus importantes. J'ai toujours fonctionné de cette façon. Plus jeune, je m'asseyais sur le bord des grandes fenêtre de l'orphelinat, j'essayais de comprendre ce que je faisais encore là, quand les autres ne faisaient qu'un ou deux passages, avant de partir, avec un nouveau nom de famille. C'était facile pourtant : il fallait sourire quand on rencontrait ses nouveaux parents d'accueil, faire des câlins à la mère, demander au père de nous aider avec quelques chose, leur donner l'impression que l'on tient déjà beaucoup à eux, quoi, pour qu'au final, ils demandent de nous adopter. Moi, j'en étais incapable. Soit j'étais trop renfermé, ou encore, trop peu. Du coup, je fis pas mal de maison, sans trop me sentir chez moi. C'était probablement du au fait que je savais que quelque part, il me restait de la famille, un grand-frère, au moins. J'avais de lui que des souvenirs positifs, que j'essayais de garder en tête. Après un temps, on me mit dans une famille où je restai jusqu'à ce qu'on me libère, qu'on me considère comme un adulte. Je vivais seul, avec un vieux couple assez cool. C'était un peu comme être en vacances chez des grands parents sans autorité a longueur d'année. Chez eux, je faisais ce que je voulais, tant que la police ne venait pas m'escorter. Je pouvais même leur parler de ce qui me tracassait, et ils prenaient le temps de me répondre, avec des anecdotes. Certains auraient pu être ennuyés, avec leurs histoire de jeunesse, mais personnellement, ça me fascinait. Vu comme cela, j'avais l'air d'être un adolescent bien calme, mais je ne l'étais pas tant. Je manquais des cours pour aller faire des conneries au centre ville, je flânais dans les centre commerciaux, je ne rentrais pas pendant des jours, j'allais sur des terrains de jeux pour le plaisir de me balancer jusqu'à en saigner du nez et d'effrayer mes petites amies en leur saignant dans le cou, des trucs normaux, quoi.
Puis, paf. 18 ans. Un diplôme en poche, et une vie a vivre, seul, sans papa-maman pour m'aider financièrement, ou pour me conseiller sur une recette. Je passais un temps à essayer d'étudier, à vivre en résidence, à tenter d'être un « adulte », mais ce n'était pas pour moi. Le temps que je m'en rende compte, j'avais la vingtaine, même un peu plus, déjà quelques dettes, une vie de vieux loup solitaire. Quelque chose d'horrible. Alors, je me remis à regarder dehors, à chercher quoi faire puis... Je décidai d'essayer de retrouver ma famille, parce que je le savais, je n'étais pas seul. Alors, je cherchai, et trouvai assez rapidement, grâce à facebook, ce qui, selon ce que les informations que j'avais, pouvait être ma famille. Une demi-soeur, pour commencer, dont je n'aurais pas soupçonné l'existence sans avoir prit le téléphone au bon moment, tout jeune.
Je me souviens encore bien de cette journée là. Il faisait beau – comme toujours, à Vegas – et moi et mon charmant grand-frère avions décidé de jouer aux espions. Pendant qu'il faisait je ne sais quoi, le téléphone avait sonné, qu'un coup. Curieux, et très dans mon rôle, j'avais prit le combiné de la cuisine, pour écouter la conversation. La voix de mon père, et celle d'une dame, qui parlaient d'enfants inconnus. Pas de moi, ni de mon frère. Ça prit un bon moment, au moins deux semaines, quand, à l'école, une petite fille vint parler avec moi du divorce de ses parents que je comprit qu'il était possible que les parents aient d'autres enfants, ailleurs. Je me mis donc a espionner, continuellement. Ashton, agent 008. Je réussis, une fois, a capter la voix de la dame, une autre fois. Je compris un nom, Lilas, alors, je me dis que je devais m'en rappeler, que c'était important. Je le fis, et pour une fois, je me souvins.
J'hésitai longtemps avant de la contacter, de faire éruption dans sa vie, comme ça. Je risquais de détruire quelque chose, peut-être. Je décidai, finalement, de le faire. J'en avais besoin. Ce n'était pas un le plus difficile, selon moi. Après l'avoir rencontré, quelque chose s'éveilla en moi. Un besoin de connaître ceux qui, avant, faisaient partie de ma vie. Alors, je commençai à chercher Sonny, mon grand-frère, que je trouvai rapidement, grace encore une fois, à la magie du web.
Encore une fois, j'hésitai.
Je risquais de lui ramener de mauvais souvenirs, de défaire ce qu'il avait réussit à construire. Je risquais de me faire mal. Qu'il ait eut une vie si géniale, que je passe seulement pour une vieille connaissance. Ravoir mon frère était pour moi un rêve depuis bien longtemps, et avoir la chance de le réaliser, même si je n'osais pas me l'avouer, me faisais un peu peur. Finalement, un soir, je cliquais sur sa page, lui fis une demande d'amis et... boum paf slang. Deux minutes et c'était comme si je retrouvais des morceaux de moi même qui c'étaient perdus. Du coup, je n'eus pas trop a réfléchir quand vint le temps de faire mes valises pour san francisco, et je m'en allais, comme rien ne me retenais.
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| Jeu 20 Oct - 7:15 | |
| Euh, yo, on s'connait? Reste que, pour ton invitation, j'arrive dans 9 heures là, prépares tes draps :flirt: |
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