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 ACTE V. Scène 3 {Gillian L. Arnault & Iason Orpheus-Puck Weland}
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Lun 10 Jan - 10:18

ACTE V. Scène 3 {Gillian L. Arnault & Iason Orpheus-Puck Weland}  Z1e2s

Gillian
& Iason


    Cours de comédie le matin, mettait toujours de bonne humeur le jeune Weland. Endroit où il pouvait se lâcher sans retenue, et endroit où on lui reprocherait pas son indiscrétion à se faire entendre. Pour lui c'était toujours, comme libérateur ce genre de cours, ça faisait déjà quelques années qu'il en avait, mais il ne s'en lassait pas, étonnant d'ailleurs. De bons professeurs qui menaient à chacun leur domaine, mais lui touchait à tout, bien que la comédie est quand même, ce qu'il adule plus particulièrement. Quand il ressort de quelques heures de révisions, de paroles dites et de quoi apprendre, encore et toujours, souvent il est lessivé et n'aspire qu'à une chose, en tant que mâle reproducteur, manger. A cette heure-ci, certains appelleraient ça le goûter mais lui, n'en est pas à son énième repas. Gueule de bois de la veille, il avait partagé avec un de ses amis, une vieille bouteille que ce dernier avait eu de son grand père. N'allez pas croire à un héritage quelconque, ou à un côté nostalgique, non, il l'avait tout simplement prit dans la cave, tel un rayon de supermarché, où tu prends celle qui t'appelles à bras ouverts. Un verre en l'honneur d'un tel, ils en avaient terminés très tard, et d'autres petites soeurs de cette bouteille (moins onéreuse) s'étaient invité à la tournée privée. Du coup ce matin, il avait mieux préférer ne rien avaler, et à midi, il n'avait pas vu le temps passer, car à courir derrière un ballon, il a fait le pitre plus qu'autre chose, avec quelques amis.

    Grimpant dans sa vieille voiture (une "Eleanor Mustang Fastback" de 1965), il pianotait sur son portable à la recherche de sa meilleure amie, il fallait qu'il la trouve car il avait quelque chose à lui dire. Rien d'exceptionnel car il avait toujours un truc à lui raconter, ou bien de quoi la saouler un peu, avec un amas de paroles, qui n'en finissait jamais, mais l'échange n'était jamais unique. Petite faim à combler avant toute chose, il fit un demi-tour imprévu au nord de la ville, chez Laurel, un café où il y avait de quoi avoir une crise de foie. Peut-être la trouverait-elle là, de toute façon vu l'heure il optait soit chez elle ou alors dans un des endroits connus du coin, l'un ou l'autre il finissait toujours par la trouver. Se garant à moitié sur le trottoir et à moité sur la ligne blanche, il ne faisait jamais trop attention, à entrer réellement dans les limites d'une place, disons qu'il aimait pas trop, qu'on se frotte à sa voiture. Cela n'était pas non plus la jaunisse assurée, s'il arrivait quelque chose à son petit bijou, mais malgré tout il n'aimait pas qu'on touche à ses affaires. Franchissant la porte de la boutique, en ratant presque la marche, on ne remarquait que lui, ouvrant du coup la porte d'une manière, brusque mais involontaire. Un signe à Laurel, et un sourire à la serveuse qu'il connaissait bien, voilà qu'il aperçoit sa petite Gillian, en compagnie d'un tas de bouquins, grimaçant, ça sentait les révisions. « Pas de commentaire sur mon entrée ... je ne vais pas te cacher que ça n'était pas ... volontaire »

    Un baiser sur le front, il prit place, non pas en face d'elle mais tout à côté d'elle, après l'avoir bien sûr, bien bousculer pour qu'elle se pousse un peu, et qu'il s'y fasse une place, au centre de tout intérêt divers. Posant ses doigts sur les pages qu'elle lisait, il faisait mine de lire, et surtout de comprendre mais, ça n'était pas tellement un charabias qu'il adulait. « Je pensais pas te trouver ici ... t'avais un petit creux à combler autrement que par ... ma compagnie ! C'est bon ce que tu as prit ? » Dit-il en y prenant un des derniers morceaux, qu'elle n'avait pas manger, par faute de temps, ou par manque d'envie de finir l'assiette. Faisant un peu la moue avec sa bouche, ce qu'il mâchait, n'avait pas l'air de tant le convaincre que ça, levant la main d'un coup : « Double Cheese maison, avec des frites, et mélange de sauce, s'il te plait ... » Il mangeait n'importe quoi, à n'importe quelle heure surtout, sautant des repas à sa guise, mais bougeant tellement dans une journée, qu'il éliminait bien plus que ce qu'il consommait.

    Prenant un des crayons de Gillian, qu'il se mit en bouche il la regardait d'un air, qui faisait comprendre qu'il attendait, des nouvelles fraiches de la jeune femme, mais ils parlaient tellement de tout, et par tous moyens, que c'était pas sûr qu'elle en est. « Devine qui j'ai croisé ce matin, j'ai oublié de te le dire, mais ça n'a jamais été, très important pour moi, ce qui a pu se passer avec ... »

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Anonymous
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Lun 10 Jan - 17:58

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3






    Pas moins d'une semaine que les partiels avaient commencé pour Gillian. Toujours aussi impliquée dans ses études, elle ne manquait surtout pas à ses habitudes. Elle revisait comme il le fallait, peut importe ce qu'on pouvait lui dire. " Gil, lâches tes cahiers" " Gigi, arretes de réviser et sors " ou le fameux " Ca sert a quoi de réviser? Tu connais déjà tout par coeur ". Oui, peut être que Gil connaissait déjà ses cours, bonne mémoire, elle avait tendance a retenir assez facilement les cours et ce depuis qu'elle est toute petite. Mais se reposer sur ses lauriers n'était vraiment pas le genre de Gillian. Elle avait un esprit de compétition tel, qu'elle en voulait toujours plus. La soif de la connaissance et du savoir. Tout savoir sur tout, être la meilleure. Elle l'était, ou presque. Elle pourrait être majeur de sa promo si cette Rebecca Martens n'avait pas débarqué de son petit village perdu dans la vallée de Yellow Stone. Elle était plus douée que Gillian, elle avait toujours un ou deux point de plus qu'elle. Gillian la deteste, mais elle l'aime tout autant, puisqu'elle est la seule avec qui elle peut s'amuser un peu. Oui, savoir qui aura le meilleur compte rendu, le meilleur point de vue, la meilleure analyse est quelque chose d'assez motivant pour Gil. Elle n'a pas le temps de s'ennuyer comme ça. L'année précédente, elle n'était pas loin de lui passer devant, elle y était presque. Mais pour une seule épreuve, où l'écart était assez important, Gillian était à la seconde place. Elle détestait ca. Mais pour elle, ce n'était qu'une question de temps.

    Installée tranquillement sur une table chez Laurel, petit restaurant rapide où elle avait l'habitude d'aller. Le petit quartier général où la plupart des étudiants de la ville se rendent en cas de petite faim. Elle mourrait de faim. Pas eut le temps de manger le matin avant son épreuve, elle n'avait qu'une hâte. S'assoir et déguster le plat qu'elle préférait. Nuggets de poulet accompagnés de crêpe de pomme de terre, sans rien ajouté, pour elle, c'était juste parfait. Une fois son petit ventre conquis, elle avait décidé de squatter la table avec ses bouquins et ses classeurs. Plusieurs clients, a l'affut de tables disponible étaient passés à coté d'elle en la regardant de travers. Elle avait compris qu'elle gênait. Tant pis, elle avait payé le droit de s'assoir après tout.

    Une entrée que nul ne pourrait ignorer. En voyant Iason, son meilleur ami, passer la porte du snack, elle compris aussitôt qu'elle en avait fini avec ces révisions.

      « Pas de commentaire sur mon entrée ... je ne vais pas te cacher que ça n'était pas ... volontaire »


    Comme demandé, elle ne fit alors aucun commentaire, se contentant de lever les yeux au ciel. Pourquoi fallait il toujours qu'il vienne quand elle révisait? Non pour dire que ca ne lui faisait pas plaisir de le voir, c'était toujours un plaisir de voir son ami. Sauf quand, celui ci débarque a 5h du matin chez elle, sans prévenir, se cache dans la cuisine après avoir fait tomber le porte manteau a l'entrée et sort de sa cachette, laissant échapper un " bouh " de sa bouche. Oui, dans ces cas là, le jeune homme se retrouve assez rapidement à la porte de son appartement.

      « Je pensais pas te trouver ici ... t'avais un petit creux à combler autrement que par ... ma compagnie ! C'est bon ce que tu as prit ? »

      • Je prends toujours la même chose, Iop. Donc oui, c'est bon, mais pas la peine de te le dire vu que tu t'es servi par toi même. Tu peux finir si tu veux...

      «Double Cheese maison, avec des frites, et mélange de sauce, s'il te plait ... »

      • D'accord... Bon appétit!


    Elle voulait se concentrer, mais bon, impossible, quand il ne la bousculait pas, il lui parlait. C'était plus fort que lui, il se sentait toujours obligé de parler. Mais Gillian adorait ça. Iason était un des seuls mecs - en dehors de son frère - avec qui elle se sentait si a l'aise. Elle pouvait lui dire n'importe quoi, elle savait qu'il ne lui porterait aucun jugement.


      « Devine qui j'ai croisé ce matin, j'ai oublié de te le dire, mais ça n'a jamais été, très important pour moi, ce qui a pu se passer avec ... »

      • Qui tu as croisé? Laisse moi analyser ce que tu me dis... je ne voudrais pas me tromper, tu m'en voudrais. Enfin, nan, je peux pas savoir puisque tu as oublié de me dire qu'il s'est passé quelques chose avec ! DE QUI TU ME PARLES IASON? fit elle tout en fermant son bouquin... elle s'avoua vaincu.

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Anonymous
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Lun 10 Jan - 19:55

    C'était pas faute de parfois prévenir où il se rendait, mais il était loin lui-même de se douter, où il irait la minute d'après, il agissait à l'instinct et on ne pouvait pas vraiment, changer ça chez lui. Il a toujours su ce qu'il ne voulait pas, depuis jeune, il a eu cette facilité à dégainer un "non" de sa bouche, dès que ça ne l'intéressait pas. Mais alors savoir ce qu'il veut, une autre paire de manches, nul doute que parfois on pourrait s'en taper la tête contre un mur, il change d'avis si rapidement, qu'on a pas même le temps de se faire au premier qu'il aurait. Voir sa meilleure amie, ça ne changeait pas, peu importait d'ailleurs le moment ou pas, car il n'hésitait jamais à se rendre auprès d'elle. C'est sûr que parfois cela le mène à des instants, qu'il n'oubliait pas, s'amusant même à la gêne de son amie, et encore plus, si celle-ci n'était pas seule. Tête en l'air, il en oubliait des rendez-vous importants, et elle était la plus habituée à l'attendre parfois des quart d'heures entiers, car monsieur a oublié, qu'elle l'attendait, à tel endroit. Une fois il avait même promis de venir la récupérer dans une soirée paumée, et ennuyante, mais rencontrant une jolie jeune femme en route, il avait oublié un peu l'idée, à cause de cette aventure imprévue, à l'arrière de sa voiture. Depuis peu qu'ils se connaissaient en fin de compte, une grande relation était née, et comme il n'était pas prêt de fuir à d'autres horizons, la pauvre était comme obligé par attachement affectif, de le revoir quotidiennement. Son petit plus, c'était qu'il ne prenait jamais rien en mal, vu qu'il arrangeait tout à sa façon, en dédramatisant toutes les paroles qui seraient dites contre lui. Une forme de défense peut-être, mais malgré ses travers de comique sans pause, il est plutôt attachant et il a toujours su se faire pardonner envers une femme. D'ailleurs en parlant de ça, il faudrait peut-être qu'il rappelle la fille, qu'il a jeté hors de sa voiture, car il avait un peu oublié, qu'elle connaissait peut-être, Mary.

    Son assiette devant lui, il en avait des yeux écarquillés, comme si c'était la première fois qu'il allait goûter à ce plat, alors qu'il mange ce genre de choses là, d'une manière quotidienne, tel un gamin avec ses céréales. Se bourrant un peu l'intérieur de la bouche avec quelques frites, il tentait de lui répondre malgré tout, mais en vint comme toujours. Buvant une gorgée de coca, cela passa plus rapidement et une à une des frites finissait dans son estomac, englouties en quelques secondes. « Qui tu as croisé? Laisse moi analyser ce que tu me dis... je ne voudrais pas me tromper, tu m'en voudrais. Enfin, nan, je peux pas savoir puisque tu as oublié de me dire qu'il s'est passé quelques chose avec ! DE QUI TU ME PARLES IASON? » « Attends, t'emballes pas ... tu me laisses pas le temps de te rafraichir la mémoire d'étudiante assidue que tu as ... ». Ce n'était pas pour autant qu'il délivrait enfin la curiosité de la jeune femme. Il tentait de se souvenir sur l'instant, quand est ce qu'il avait pu déjà lui parler d'elle, car il l'avait forcément fait, d'ailleurs parfois ses détails en dégoutait la jeune Arnault, qui l'ensuquerait presque pour qu'il se taise. « Je t'en avais parlé une fois ... c'était la fille du pasteur qui m'avait pourchassé dans son jardin une fois ... il pensait que je courais après sa fille ainée ... alors qu'en fait, je partageais mon étreinte avec ... la plus jolie des deux ! Et bien je l'ai revue ... t'imagines même pas ce qu'elle m'a sortie » Il décrivait ça comme le scoop à ne pas rater sur sa vie du moment, alors qu'en fin de compte, ça n'était pas très exclusif chez lui. Argumenter d'une manière à tenir en haleine son auditeur, rien de plus facile pour lui, car il avait toujours les bons mots, et n'importe qui s'y laissait toujours prendre.

    Une pause double cheese, où il croqua de pleines dents, dans celui qu'il tenait entre ses mains, bien sûr la sauce débordait de tous les côtés, et il dû se rapprocher de l'assiette, pour que les aliments ne tombent pas à côté. Cela n'était pas par soucis d'hygiène juste qu'il ne gaspillait rien et qu'il ne se voyait pas devoir, lécher son jean pour quelque chose de perdu. « Jessica ... attend je vais me souvenir du nom ... elle est dans l'université catholique de la ville ... elle parait sage et prude, alors que c'est une vraie coquine une fois la lumière éteinte ... Hewensworth » Dit-il en hurlant ça, comme s'il l'avait vraiment cherché au plus loin de ses petites neurones de comique. « Elle avait de ses petits doigts fins ... à les sentir progresser, ... bref je lui ai donné un rencard demain soir, dans l'abri de son jardin ... » A le voir sourire, et les yeux comme lumineux, bien sûr qu'il se préparait déjà à la voir, et que ça serait plutôt sa fête à cette jeune femme douce et prude, pourtant Gil' devinait sans doute, qu'elle serait encore juste de passage.

    Passant sa main sur sa bouche, il finit par se frotter les mains sur ses cuisses, avant de prendre un des bouquins de la jeune Arnault pour voir ce qui se potassait bien en ce moment, dans la vie de Gi'l. « Alors tu arrives à réviser quand même ... après ta dite soirée là ? »

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Anonymous
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Mar 11 Jan - 0:42

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3







    L'histoire se répète, encore et encore. Les coups foireux, les faux plans, Iop connaissait bien. Il le faisait subir a Gil assez souvent. "T'inquiète pas, je serais la a l'heure cette fois ci" A d'autres hein. Gillian prévoyait toujours un plan de secours lorsqu'elle demandait à Iason de lui rendre un service. Elle sait qu'elle peut compter sur son ami mais elle sait également a quel point il est tête en l'air et que s'il ne se note pas tout, il oublie facilement les engagements qu'il a. C'est souvent agaçant, surtout au début, enfin, les deux ou trois premières fois, ca passe encore, après, ca deviens vraiment énervant, puis on s'y fait et on cherche des solutions alternatives. Elles peuvent être multiples. Si par exemple, Iop était la seule personne disponible pour venir la chercher à tel ou tel endroit, lorsqu'elle n'avait pas son permis; et bien, elle s'arrangeait pour se rendre chez la personne qu'elle connaissait au plus prêt d'où elle était. Si non, elle appelait son frère d'urgence, en général, il rappliquait dans la demi heure. Mais la fois où Gillian avait passé trois heures à attendre devant une salle de concert où bien sur elle avait refuser toutes les offres de la ramener chez elle, puis que quelques minutes auparavant, il avait encore confirmer qu'il viendrait sans soucis, cette fois la, Gillian l'avait assez mal pris. Elle lui en avait voulu. Il n'était jamais venu... elle n'eut l'explication que quelques jours plus tard, puisqu'il se sentait bête, il n'avait pas osé qu'il avait croisé une jolie jeune fille en chemin. Et il avait surement eut raison de ne pas lui dire quand elle était toujours énervée, si nan, il aurait passé un sale quart d'heure, bien plus mauvais encore.
    Elle le connait le coco, le mec qui croque dans la vie a pleine dent, depuis le jour de leur rencontre, elle est mise en condition. Elle a toujours su à quoi s'attendre. Surtout lorsqu'ils commençaient à se fréquenter. Pour Iason, Gillian n'était qu'une fille de plus qui aurait pu passer a la casserole. Mais, très vite, il compris qu'elle n'était pas ce genre, qu'elle était bien plus intéressante que cela. C'est pas pour rien qu'a présent il en a fait sa meilleure amie.



      «Je t'en avais parlé une fois ... c'était la fille du pasteur qui m'avait pourchassé dans son jardin une fois ... il pensait que je courais après sa fille ainée ... alors qu'en fait, je partageais mon étreinte avec ... la plus jolie des deux ! Et bien je l'ai revue ... t'imagines même pas ce qu'elle m'a sortie. Jessica ... attend je vais me souvenir du nom ... elle est dans l'université catholique de la ville ... elle parait sage et prude, alors que c'est une vraie coquine une fois la lumière éteinte ... Hewensworth »


    Jessica Hewensworth, oui, Gillian s'en rappelait très bien. Le genre de fille qu'elle ne supporte pas vraiment, qui se donne une image qui n'est pas la bonne, une image qui ne lui correspond en rien. Une sorte d'hypocrisie envers les gens, la société. Enfin, surtout de l'hypocrisie envers sa famille, qui sont les premiers a voir l'attitude d'une enfant model, qui une fois sortie du cocon deviens une reelle garce. Mais n'allez surtout pas lui répéter, elle démentira toute rumeur la concernant. En plus de ça, elle n'assume pas...
    Le fait qu'il lui parle d'elle ne donnait aucune envie à Gil de l'écouter. Elle se doutait un peu pourquoi il en venait a parler d'elle. Il allait surement la revoir, et elle avait justement vu juste...

      «Elle avait de ses petits doigts fins ... à les sentir progresser, ... bref je lui ai donné un rencard demain soir, dans l'abri de son jardin ... »

      • Tu vas vraiment la revoir? On parle de la même personne? Celle qui a fait viré James Berkies de son lycée parce qu'il n'a pas voulu coucher avec elle? On parle bien de cette même garce, rassure-moi, je me trompe ! Vous êtes tous pareil... une fille qui est dans une école privée pour fille n'est pas forcement ce qu'elle montre... Enfin, vas y, de toute façon, dans deux jours, j'en entendrais plus parler, et tu l'auras encore oublier. Une de plus, une ! Bravo Stinson!


    Gillian était légèrement agacée. Qu'il aille a droite et à gauche, pourquoi pas, il était comme ca, c'était sa nature, mais au moins, il pourrait s'occuper de filles qui en valent la peine et non qui serait susceptible de lui refiler n'importe quelle connerie d'MST. Pas Jessica Hewensworth.

      «Alors tu arrives à réviser quand même ... après ta dite soirée là ?»


    Elle se contenta d'hausser les épaules, même si elle mourrait d'envie de lui en dire plus, de lui raconter ce qu'il s'était justement passé à cette dite soirée. Elle ne l'avait pas revu, et ils n'avaient échangé que quelques bref textos depuis leurs dernière rencontre. Il savait le plus gros a savoir, mais rien en details. Et entre deux meilleurs amis, les details restent très importants.

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Anonymous
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Mar 11 Jan - 15:07

    Les parfaits opposés mais les plus complices que jamais. Ils ne fonctionnaient pas de la même manière mais, chacun apportait du coup le conseil précieux, qui sortait toujours de la tristesse ou de la catastrophe. Et puis aucun des deux ne jouait à vouloir être la parfaite image de l'autre, au contraire leurs différences marquaient sans doute un grand point d'honneur, à cette amitié. Depuis le peu de temps finalement qu'il était à SF, il avait cette partie de sa vie, qui se rapportait à la jeune Arnault, parlant de sa vie ici car pour lui, en venant vivre dans un autre pays, c'était comme avoir une deuxième vie. Son côté naturel ne se ternissait pas, même en dehors d'être avec elle, mais au moins il était sûr que la jeune femme, serait à la fois franc et honnête avec lui, mais surtout elle soulignerait tout ce qui n'allait pas. Ce qu'il n'aimait pas, c'était les jeunes femmes venant lui lécher les bottes, pour simplement une petite heure de folie, et rien de plus. Il aimait bien sûr la compagnie féminine, la sexualité que cela apporte, le plaisir que ça donne également, mais il aimait qu'on s'intéresse aussi, à celui qu'il était, à celui qu'il est, derrière ce physique. Elle était l'une des rares à voir en lui, autre chose qu'un torse plaisant à voir nu, ou tout autre attribut qui pourrait plaire à des yeux de femmes. En même temps lui ne l'a jamais vraiment vu comme une silhouette à prendre entre deux murs, dès le départ, tout ça avait été très clair entre eux. C'est depuis qu'elle se doit de le supporter, qu'il se doit d'accepter celle qu'elle est, et qu'ils cohabitent avec aucune peine, l'un toujours fourré vers l'autre. Ils se chamaillent gentiment, mais au final, se cherchent toujours au fin fond de la ville de SF.

    Toujours quelque chose à lui raconter, toujours une anecdote à lui soutirer, il ne se taisait que rarement, et en fin de compte quand il ne parlait pas, ça signifiait que c'était de très mauvais signe. En même temps elle n'avait pas besoin de ça, pour savoir quand il ne va pas très bien, même sans le voir ou lui parler, il sait qu'elle a le don de deviner ça, car il possède le même pour elle. Le ventre plein il repoussa rapidement l'assiette pour s'étendre un peu encore, jetant alors son sac de cours sur la table, histoire d'avoir plus de place sur la banquette, qu'il partageait déjà avec Gil'. Elle n'était pas encore très bavarde, sans doute car il en disait trop et qu'elle avait pas même le temps, de redescendre de son nuage de révisions. Les cours, voilà quelque chose qu'il a toujours prit à la légère, d'ailleurs quand il était plus jeune, il s'arrangeait pour s'avoir une amie qui l'aidait. Pour apprendre il a toujours eu la mémoire d'enfer, en même temps, il n'en est pas à faire du théâtre ou de la comédie pour rien, car quand ça concernait une pièce ou un scénario, là il n'oubliait jamais rien. Autant il oubliait pas mal de choses, au point que parfois, les personnes pensent, qu'il se fiche vraiment de tout. Mais autant il arrive à se rappeler d'une conversation au mot près, qu'il aurait pu avoir même avec Gil', y'a déjà quelques mois.

    «Tu vas vraiment la revoir? On parle de la même personne? Celle qui a fait viré James Berkies de son lycée parce qu'il n'a pas voulu coucher avec elle? On parle bien de cette même garce, rassure-moi, je me trompe ! Vous êtes tous pareil... une fille qui est dans une école privée pour fille n'est pas forcement ce qu'elle montre... Enfin, vas y, de toute façon, dans deux jours, j'en entendrais plus parler, et tu l'auras encore oublier. Une de plus, une ! Bravo Stinson! » « Sans doute que c'est elle ... ou je crois plutôt que c'est sa soeur ainée, je crois que les deux ont prit le même chemin ... ». Il sentait sa meilleure amie, d'une humeur massacrante, mais ça ne lui faisait pas peur, car il l'avait déjà affronté dans tous ces états possibles, et il n'a jamais perdu pied. Roulant des yeux, il soupira un instant car il savait bien qu'elle n'aimait pas qu'il se fourre dans des plans pas possibles, et qu'elle devinait déjà, ce qui pourrait arriver de mal. « Tu as raison ... d'ici l'avoir eu dans son abri de jardin, je passerais déjà à autre proie mais ... je peux pas me changer non plus ! Et puis les filles que je connais ne sont pas prête du tout, à me supporter plus qu'une seule fois ... et puis les sentiments ... » Il ne terminait pas sa phrase, car les sentiments, pour lui ça n'a jamais été une grande tasse de thé, fallait toujours que sa foire, au moment même où lui s'en attachait le plus à la personne.

    Il en faisait des choses pourtant mais il n'aboutissait jamais à quelque chose, une relation par exemple qui dure quelques semaines, ou bien des étapes à franchir, qui mèneraient vers une vie de couple. Maladroit et tête en l'air ne sont pas pour l'aider, et bien souvent il baisse alors les bras, se noyant dans les jupes de plusieurs étudiantes à la fois. Le risque d'une déchéance sans fin, heureusement pour lui, il n'en avait mit aucune enceinte, du moins à sa connaissance, et il espérait pas devoir jouer le père, bien malgré lui. « Oh toi ... mon petit toast au miel a quelque chose à me dire ... » Dit-il en parlant tout doucement, et y déposant même son index sur le rebord de la joue coloré d'un rose. Il avait beau faire le con, et ne rien prendre au sérieux, quand ça concernait les amours de Gil, alors là il restait un peu moins agité, tout à coup. «Cela n'était pas aussi bien que tu le pensais ? Ou alors ça a un peu plus avancé, depuis la dernière petite fois ? Oh je sais, il t'a vomit dessus au moment, où tu t'y attendais pas ... du coup tu as finalement une autre image de lui ... » Il se creusait la tête, et son côté idiot reprenait un peu le dessus, pour détendre un peu les choses, son impatience lui jouait des tours.

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Anonymous
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Jeu 13 Jan - 23:46

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3







    Cette fois où Iop avait appelé Gil dans la nuit, il était assez tard. Mais, une chance pour lui, cette fois, elle ne dormait pas. Il allait mal, il se sentait vraiment mal. Il avait des douleurs, il pouvait plus bouger. Gillian avait paniqué et s'était rendu très rapidement chez lui. Pour l'emmener a l'hôpital. Elle avait eut très peur, elle se demandait pourquoi il était comme ca, ce qu'il avait. Elle avait tout de suite penser au pire, mais elle, elle voulait le rassurer, lui dire que tout irait bien. Et elle avait raison, tout allait bien. Plus de peur que de mal... appendicite. Rien d'autre. Oui, a 20 ans, il n'en avait jamais eut. Et voila; qu'un beau jour, son corps se décida à la rejeter. Pas une secondes, ils avaient pensé que ca pourrait être quelque chose d'aussi anodin, d'aussi courant. Peut être que ce jour la, Gillian avait vu a quel point elle tenait a lui. Ça ne faisait pas si longtemps que ca qu'ils se connaissaient pourtant, mais là; elle avait vraiment flipper. Les scénarios les plus improbables lui étaient passé par la tête. Peut être qu'il avait été empoisonné, qui son estomac avait implosé, elle savait pas, elle était mal. Mais lorsque le pronostic du médecin qui le prenait en charge tomba, elle voulu presque éclaté de rire. Même si son meilleur ami souffrait au plus au point. Mais au moins, elle ne savait sein et sauf, c'était le plus important. Un grand soulagement. Gillian avait eut de la chance de l'avoir eut assez petite et de ne s'en rappeler que très peu.

    Elle se rappelait une histoire qu'il lui avait raconté. Qui le concernait et qu'il avait lui même vécu. A propos d'une fille avec qui il était sortie en Australie. Certe, il n'était qu'a sa première année de lycée. Mais la manière dont il lui parlait de cette histoire, même s'il ne l'avait pas dit explicitement, Gillian avait compris qu'il en avait été amoureux. S'il avait connu ce sentiment un jour, il n'y avait pas de raison pour que ca ne se repasse pas. De toute façon, tout le monde est fait pour aimer quelqu'un un jour. Même si Gillian, elle, n'avait jamais été vraiment amoureuse, sauf en primaire, en France, d'un petit Lucas. Lucas, qu'elle revoit a chaque fois qu'elle retourne a Paris. Elle a comme l'impression qu'elle sera toujours un peu amoureuse de lui, mais sans vraiment le dire. Quand ils se voient, tout se passe toujours très bien. Il est toujours célibataire. Ils se sont toujours dis qu'a 40 ans, s'ils n'étaient pas mariés tous les deux, ils se marieraient ensemble.


      « Sans doute que c'est elle ... ou je crois plutôt que c'est sa soeur ainée, je crois que les deux ont prit le même chemin ... » « Tu as raison ... d'ici l'avoir eu dans son abri de jardin, je passerais déjà à autre proie mais ... je peux pas me changer non plus ! Et puis les filles que je connais ne sont pas prête du tout, à me supporter plus qu'une seule fois ... et puis les sentiments ... »

      • Oui, oui, oui, je sais, de toute façon, on en a déjà parlé des dizaines de fois, tu t'amuses, tu profites, tu t'en fou de trouver la fille qu'il te faut. Je sais Iop, je sais.




      « Oh toi ... mon petit toast au miel a quelque chose à me dire ... » Ca la faisait toujours rire lorsqu'il lui donnait de ces surnoms ridicule. Elle avait l'impression qu'il ne la prenait pas au sérieux, mais il voulait simplement entendre un son sortir de la bouche de la jeune demoiselle. «Cela n'était pas aussi bien que tu le pensais ? Ou alors ça a un peu plus avancé, depuis la dernière petite fois ? Oh je sais, il t'a vomit dessus au moment, où tu t'y attendais pas ... du coup tu as finalement une autre image de lui ... »

      • Non! Pas du tout! Enfin je veux dire... euh... oui c'était bien! Je sais pas trop si ca avance, je sais pas trop ce qu'il a derrière la tête. Enfin, j'ai toujours des doutes sur le fait que lui et Joyce , bah tu vois quoi... ils soient un peu plus proches que ce qu'ils prétendent. Donc voila, j'ai pas envie de m'introduire dans ce genre de trucs. J'trouve ca trop bizarre, mais bon. Hier avec Soh elle avait l'air d'être bien. AAAAAH J'EN SAIS RIEN IASON!


    C'était une situation assez étrange dans laquelle elle se retrouvait. Certe, Joyce sortait avec Soh à présent, mais bon, Gillian ne sait pas trop quoi penser de tout ca. Pourtant Donovan lui a bien dit et redit qu'il ne se passait absolument rien entre eux deux. Elle devrait surement le croire, à force de l'entendre. Enfin, dans un sens, elle se sent réellement attiré par le jeune homme. Si elle s'était rendu a la soirée de la veille c'était parce qu'il était là, bon aussi parcequ'elle ne voulait pas se mettre Joyce à dos a cause de Swann, mais c'est une autre histoire.


      • Si nan, c'était assez cool comme soirée. Enfin, j'te jure, j'ai vraiment pas l'habitude de sortir comme ca. En plus, hier, j'avais une soirée,enfin tu sais, avec mon père, pour le groupe! Ca a fini a pas d'heure aussi. Je suis vraiment fatiguée, je pense que ce soir, je dors à 8 heure maximum.

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Anonymous
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Sam 15 Jan - 8:52

    On les entendait souvent de loin, car ils ne se gênaient pas pour parler, pour se crier dessus ou pour être assez expressif ensemble. Il l'était à lui tout seul mais, la jeune femme lui permettait de l'être encore plus, elle avait ce don à percevoir de lui, celui qu'il était au fond. Avec elle pas de sujets tabous ou bien de moments de gêne, car ceux-ci sont souvent remplacés par des fous rires, ou une blague à la con du jeune Ias'. Se prendre parfois la tête arrivait, mais ça n'était que très limité dans le temps, la minute d'après l'un ou l'autre, réparait sa bêtise, et puis c'était impossible, du négatif entre eux. Il n'a jamais eu de soeur, il a déjà eu des prétendantes amies par le passé, mais il en est hélas devenu méfiant, à cause de coups pelle dans le dos, ces choses qui font de l'amitié, une mascarade. La jeune Arnault était sa seule influence féminine, pas qu'il n'y en avait pas d'autres qui butinaient autour, pour rentrer dans sa confidence, mais il refoulait toute autre candidature à l'amitié. Des connaissances, des petites confidences sur l'oreiller, ça n'allait pas plus loin, avec ces jeunes femmes, il y arrivait pas, tout ça à cause d'un passé, peu évident. Vous savez ce genre de filles qui n'aspirent, qu'à être vu avec vous, qu'à avoir un instant de plaisir avec vous, mais qu'ensuite dès qu'un mauvais instant surgit, elles ne sont déjà plus là. Il en a côtoyé malheureusement, du coup ça l'a plutôt refroidit, et seule Gillian avait su lui montrer à quel point, une amitié peut être importante, peut être indispensable. Très polyvalent le rôle qu'elle tient depuis des mois. Elle est à la fois sa meilleure amie bien sûr, mais également sa nourrice, sa mère protectrice et celle qui le remet sur pied quand il déraille, ou qui lui botte le cul quand il exagère. Il n'y a pas une journée où il ne l'embête pas, que ça soit pas tous moyens de communication ou bien par un cri venu de loin, au fin fond de l'université, et d'autres instants de petites gênes ou hontes, pour elle parfois.

    «• Oui, oui, oui, je sais, de toute façon, on en a déjà parlé des dizaines de fois, tu t'amuses, tu profites, tu t'en fou de trouver la fille qu'il te faut. Je sais Iop, je sais. » « Je ne m'en fou pas, juste que ... j'ai laissé passer mon tour ... ». Il soupire car son tour, a été comme un coup manqué depuis l'autre continent. Il a très vite su qu'elle avait refait sa vie, qu'elle s'était rapidement acclimaté à d'autres fréquentations, et il a toujours eu ce regret, de ne pas être venu à l'aéroport, pour lui dire, ces choses. Ces choses qu'il marmonnait encore parfois, devant un banal miroir de salle de bain, avant de s'asperger d'eau froide le visage, pour oublier tout ça. Gil' savait son histoire, ses histoires, mais cette dernière c'était comme un chapitre non terminé, surtout quand elle a vraiment su, la raison de son arrivée ici. Il charmait les jeunes femmes, pour quelques instants de bonheur, il était maladroit dès qu'il se mettait à coeur de faire quelque chose, de bien. Mais il avait quand même une envie unique, qu'il n'arrive pas à combler, et qui le touche bien plus qu'il ne le montre. Etre avec elle, cette fille dont il préfère toujours en taire le nom, en taire toute nouvelle, hormis quand Gil' veut en savoir un peu plus, qu'un visage fermé, celui qu'il a souvent quand ça n'a pas marché, avec cette fille. Celui qu'il a eu, y'a quelques mois, celui qu'il a de temps en temps quand il la croise et que ça ne va pas mieux, niveau communication avec elle. Niveau compliqué, sa meilleure amie n'a pas fait mieux, et il le sait bien, car vu l'homme qu'elle prospecte d'avoir, ça promet pas mal de rebondissements, pour elle aussi.

    «• Non! Pas du tout! Enfin je veux dire... euh... oui c'était bien! Je sais pas trop si ca avance, je sais pas trop ce qu'il a derrière la tête. Enfin, j'ai toujours des doutes sur le fait que lui et Joyce , bah tu vois quoi... ils soient un peu plus proches que ce qu'ils prétendent. Donc voila, j'ai pas envie de m'introduire dans ce genre de trucs. J'trouve ca trop bizarre, mais bon. Hier avec Soh elle avait l'air d'être bien. AAAAAH J'EN SAIS RIEN IASON! » « Entre l'amitié et le sexe il n'y a qu'un pas, mais dis-toi que si leur amitié est semblable à la nôtre, alors il n'y a pas craintes à avoir ... est-il au courant, des doutes que tu éprouves envers cette amitié qu'il possède avec cette fille ? ... dire qu'on parle de l'ex de mon cousin, au pire je le coach pour qu'il retourne avec elle, comme ça tu en serais ... débarrassé ». Un sourire en coin, il ne valait mieux pas lui mettre une idée comme ça en tête, car il serait capable en sortant d'ici, d'aller directement rejoindre Elias, pour faire éteindre les doutes de sa meilleure amie. Il devinait bien l'importance, que ce Donovan avait pour elle, il ne le connaissait pas plus que ça, ils avaient beau être si proches, il n'avait pas tellement le même cercle d'amis que la jeune femme. Mais ça n'était pas pour autant qu'il s'infiltrait pas entre tout ça, peur de rien et surtout proche de son cousin et de sa meilleure amie. Il arrivait à être à leur écoute à tous les deux, chose pourtant difficile à penser, vu qu'il fait l'idiot une minute sur deux, mais parfois il sait se mettre en pause, et agir avec son coeur. « • Si nan, c'était assez cool comme soirée. Enfin, j'te jure, j'ai vraiment pas l'habitude de sortir comme ca. En plus, hier, j'avais une soirée,enfin tu sais, avec mon père, pour le groupe! Ca a fini a pas d'heure aussi. Je suis vraiment fatiguée, je pense que ce soir, je dors à 8 heure maximum. » « Tu comptes te coucher à quelle heure ce soir ... au pire je viens te rejoindre dans ton lit, dès que je rentre ... j'ai une répétition ce soir et ... tu sais bien que ça se termine à pas d'heures ... et puis me retrouver seul dans cet appartement ». Un regard de pitié à ses petits yeux, depuis que son ancien colocataire était partit en prison, il n'avait pas encore retrouver quelqu'un, disons qu'il a toujours la poisse, à trouver le bon. Il a déjà eu 5 colocataires différents depuis qu'il est arrivé dans cette ville, il a le chic a avoir des personnes, un peu spéciale, du coup c'est souvent difficile, à en avoir un potable.

    «Tu as des idées pour l'anniversaire d'Elias ... j'ai regardé sur internet mais je sais pas trop encore quoi lui prendre ... l'année dernière je lui avais fait parvenir quelque chose de terrible ... j'aurais trop aimé voir sa tête quand il a ouvert cette boite ... » Il a toujours des idées un peu spéciale, bien sûr tout n'est jamais fait par hasard car il se base, sur des choses dont les personnes ne s'imagineraient même pas avoir. En même temps il ne s'était pas encore remit de son propre anniversaire, il avait quelques traces d'une nuit d'extase qu'il s'était bien tût de décrire en totalité à Gil', celle-ci l'ayant freiné avant d'en finir choqué.
    «Tu crois qu'elle y sera ... j'appréhende un peu de la recroiser ... là je pourrais pas l'éviter comme je le fais, à l'université et puis ... j'en ai marre d'être au point mort là ... » Il parlait bien sûr d'elle, mais de toute façon, sa meilleure amie le devinait toujours, car il avait en coin quelques rougeurs souvent, et puis cette veine au milieu du front, quand il en parlait.
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Ven 21 Jan - 15:40

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3










      « Entre l'amitié et le sexe il n'y a qu'un pas, mais dis-toi que si leur amitié est semblable à la nôtre, alors il n'y a pas craintes à avoir ... est-il au courant, des doutes que tu éprouves envers cette amitié qu'il possède avec cette fille ? ... dire qu'on parle de l'ex de mon cousin, au pire je le coach pour qu'il retourne avec elle, comme ça tu en serais ... débarrassé ».

      • Eh! Je veux pas me débarrasser de ma soeur! Elle sort avec Soh en ce moment. Non, mais tu as raison, ils ont simplement une amitié fusionelle. Mais pas comparable avec nous. On s'embrasse pas et on promenne pas mains dans la mains comme eux non plus, c'est peut etre ca le plus genant. Et je sais très bien que Donovan a déjà rompu avec des ex parcequ'elles n'acceptaient pas cette relation qu'ils avaient ensemble. Ce qui est normal, tu pense pas? Enfin je veux dire, de pas l'accepter... je parle des bisous et tout ce qui pourrait penser à un couple, tu saisie?


    Gil savait très bien que Ias était du genre à prendre très a coeur les défits qu'on pouvait lui lancer. Donc pour lui, tout faire pour mettre Joyce dans les bras d'Elias à nouveau ne serait qu'une partie de plaisir. Il faut être très vigilants face à ce qu'on peut lui dire. Ne jamais parler trop vite, il ne retient que ce qu'on lui dit en premier, pas de rattrapages possibles avec le jeune homme. Il y avait un exemple qui illustrait très bien l'affirmation. Ils étaient sortis tout les deux avec quelques autres connaissances de Iop, que Gillian n'avait pas plus apprécié que ca. Sauf un certain Tobias. La jeune frenchy avait laissé échapper de sa bouche qu'elle le trouvait vraiment trop sexy et qu'elle dirait pas non pour passer la soirée avec. Ce qui bien sur n'est pas vraiment le genre de la jeune femme. Elle parle, mais ne fais jamais rien, du moins, rien pour un soir. Bien qu'il semblait être gay, Iop ne se démontait pas. Il s'était juré qu'avant la fin de la soirée, il accepterait de repartir avec elle. Elle était très gênée. Elle avait passé un bon nombre d'heure a se cacher et à éviter la bande d'amis. Mais elle avait bien rie. Pour finir, Iop n'y était jamais arrivé, le pauvre, il avait considéré cette évènement comme un réel échec personnel. Tien, et s'il poussait Donovan dans les bras de Gillian plutot? ahah...

      « Tu comptes te coucher à quelle heure ce soir ... au pire je viens te rejoindre dans ton lit, dès que je rentre ... j'ai une répétition ce soir et ... tu sais bien que ça se termine à pas d'heures ... et puis me retrouver seul dans cet appartement »

      • Je viens de te dire... 8 heures, mais je peux faire un effort pour mon chouchou! Enfin, au pire je m'endors et tu me rejoins. Je crois pas que Jhordan sera là en plus ce soir. Il m'a parlé d'une soirée chez Soh. Il m'a proposé d'y aller, mais franchement, j'en ai marre de le voir partout celui la. Comment mon frère, le mec parfait en soit, peut être le meilleur ami d'un gars comme Soh? Un vrai connard, et je me le tape depuis qu'on habite ici quand même...


    C'est bien vrai. Non seulement, Soh est le meilleur ami de Jhordan, mais en plus de ca, il serait son ... Beau frère maintenant? Gillian pensait que cette histoire n'avait rien de sérieux. Ça ne durera pas. Soh n'est pas du tout le genre de mec fait pour Joyce. Par contre, il est vrai que Gillian appréciait vraiment Elias, et leur rupture l'a touché dans un sens. Elle s'est senti mal pour les deux lorsqu'elle a su la mauvaise nouvelle. Elle ne sait pas vraiment ce qui s'est réellement passée. Elle n'ose pas poser la question. Elle a l'impression que c'est encore un sujet tabou chez les deux jeunes gens. Elle saura tot ou tard de toute façon. Peu de gens connaissait les vraies circonstances de cette séparation.


      « Tu as des idées pour l'anniversaire d'Elias ... j'ai regardé sur internet mais je sais pas trop encore quoi lui prendre ... l'année dernière je lui avais fait parvenir quelque chose de terrible ... j'aurais trop aimé voir sa tête quand il a ouvert cette boite ... Tu crois qu'elle y sera ... j'appréhende un peu de la recroiser ... là je pourrais pas l'éviter comme je le fais, à l'université et puis ... j'en ai marre d'être au point mort là ...»

      • L'anniversaire de ton cousin, pourquoi je zape toujours les choses importantes? J'y pensais plus... je devrais me le noter, si non, je vais encore oublier... Tu me parles de ton amie d'Australie? Qui t'as carrement envoyer chier quand tu as débarqué ici? Tu sais que ... tu me parle souvent d'elle. J'avais jamais fais le rapprochement, mais y a genre quoi... deux semaines, je me suis dis que je la connaissais... même très bien. Mais elle m'a jamais parlé de toi, donc, je sais pas pourquoi j'y avais jamais pensé. Pourtant, c'est très claire. C'est même évident qu'il s'agit d'elle. Vu comme tu me la décrivais. Et bien sur, toi tu pouvais pas me dire que je la connaissais? Ca aurait facilité bien des choses...



    Il avait cette façon de tout lui dire, mais de garder une part de mystère, pour ne pas trop en dévoiler. Peut etre que ca l'amusait... Ca devait être ça, il aimait torturer sa meilleure amie pour qu'elle se creuse la cervelle a chercher et encore chercher, jusqu'à ce qu'elle craque. Le plus souvent, il finissait par lui dire, mais pour une fois... elle avait trouvé d'elle même, elle pouvait en être fière. En même temps, depuis le temps que ca trottait dans sa tête. Il était en fin temps qu'elle comprenne. D'ailleurs comment avait elle eut cette illumination? Un simple rapprochement entre une demoiselle Blonde et l'Australie. Elle avait entendu Mary parler de ce pays, et c'est en la regardant bien longuement que la petite ampoule apparue au dessus de sa tête. Puis, tout s'enchainait. Les petits détails dont lui parlait Ias si souvent, elle correspondait parfaitement a la description. Vraiment trop fière...


      • Au faite, je t'ai pas dis. Mais on a prévu d'aller a Paris avec mes sœurs après les partiels. Une semaine!

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Anonymous
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Sam 22 Jan - 16:40

    Le jeune homme était bien souvent amusé par sa meilleure amie, car elle avait tendance à s'emballer rapidement sur des choses, que lui au contraire, prendrait peut-être d'une manière bien trop relax. Mais pour une fois, il était de son avis, (ça arrive plus souvent mais il aime bien la contredire), et il n'aimait pas trop que ça chagrine la jeune femme. Hormis un jour le balancer en pleine conversation, il se voyait mal aller reprocher ça, à des gens qu'il ne connait même pas, et en qui il s'en fiche un peu. Du moins vaguement qu'il les croisait, dans les soirées ou bien chez la jeune Arnault, mais rien de plus, car pour lui la seule personne qui l'intéressait, autour de Gil', c'était bien Gil'. Bien sûr qu'il était ouvert à tout, mais la jeune femme a toujours été l'une des personnes, hormis son cousin et son ex, à vouloir le connaitre bien plus qu'en apparence. De toute façon, depuis qu'ils se connaissent tous les deux, ils ne se quittent plus et peut-être pour le grand malheur de la jeune femme, Ias' est un ami vraiment très fidèle, et proche. Il est plutôt inoffensif quand on le connait bien, mais c'est clair qu'il peut être une vraie plaie, quand il s'agit de nuire à une personne, qu'il n'aime pas.

    Apercevant une jolie femme, entrer dans le shop, il eut un sourire jusqu'aux yeux et rapidement il prit son portable dans les mains, avec un air malicieux dans le regard, sans doute qu'il préparait quelque chose, d'intéressant pour lui, mais d'éphémère. Tapotant sur son clavier, il composait un message rapide, avant de l'envoyer et d'observer en direction du groupe de filles, dont la jeune femme en question, avec qui il avait échangé un bref regard. La réponse de la jeune blonde ne se fit pas attendre, et elle lui confirmait quelque chose, dont sans doute la jeune Arnault voudrait, à tout prix en être dans la confidence. Jetant son portable un peu plus loin sur la table, il semblait l'air un peu plus décontracté, avant de siroter la boisson de la jeune Gil', et de la lui rendre presque vide. Il l'écoutait bien sûr, et il grimaçait quelque peu, en écoutait sa question, le sujet était plutôt sensible, et il devinait clairement que même si Gil' finissait avec ce garçon là, les choses ne changeraient pas avec sa soeur.

    «• Eh! Je veux pas me débarrasser de ma soeur! Elle sort avec Soh en ce moment. Non, mais tu as raison, ils ont simplement une amitié fusionelle. Mais pas comparable avec nous. On s'embrasse pas et on promenne pas mains dans la mains comme eux non plus, c'est peut etre ca le plus genant. Et je sais très bien que Donovan a déjà rompu avec des ex parcequ'elles n'acceptaient pas cette relation qu'ils avaient ensemble. Ce qui est normal, tu pense pas? Enfin je veux dire, de pas l'accepter... je parle des bisous et tout ce qui pourrait penser à un couple, tu saisie ? » « Je ne m'en fou pas, juste que ... j'ai laissé passer mon tour ... ».

    «• Je viens de te dire... 8 heures, mais je peux faire un effort pour mon chouchou! Enfin, au pire je m'endors et tu me rejoins. Je crois pas que Jhordan sera là en plus ce soir. Il m'a parlé d'une soirée chez Soh. Il m'a proposé d'y aller, mais franchement, j'en ai marre de le voir partout celui la. Comment mon frère, le mec parfait en soit, peut être le meilleur ami d'un gars comme Soh? Un vrai connard, et je me le tape depuis qu'on habite ici quand même... » « Je ne sais pas si par respect pour toi, ta soeur arrêterait tout ça ... Après tout tu dis qu'elle est en couple, et qu'elle continue quand même ses habitudes envers ce Donovan ... à mon avis soit tu vas devoir t'adapter ou alors ... te choisir un autre cavalier pour la route de l'amour fiable ... ».

    Prenant aucun partit, il lui répondait toujours clairement, et ne jugeait jamais grand monde, car pour lui les gens sont tous très étrange, et il faut s'adapter à eux, si on veut se les coltiner dans sa vie. Eux ne feront des efforts qu'à contre coeur, et du coup ça ne donnera jamais rien de sain, quand les efforts ne sont pas fait volontairement, par une seule et même personne. De toute façon pour lui, le bonheur de sa meilleure amie primait avant tout, et il répondait souvent à ces questions, sur son propos, d'une manière à penser avant tout, à ça. Il espérait que ça se décante un peu pour elle, car elle lui en parlait quasiment à chaque fois, que les deux échangeaient un mot, que ça soit face à face ou bien par un autre moyen de communication. Et puis elle était de ce genre de femmes, qui aspiraient à l'amour comme de l'oxygène, alors que lui pour sa part, tout débutait forcément par le sexe, car on ne se coltine pas quelqu'un si c'est pas un bon coup, sinon ce genre d'amoureux là, va voir ailleurs en douce.

    «• L'anniversaire de ton cousin, pourquoi je zape toujours les choses importantes? J'y pensais plus... je devrais me le noter, si non, je vais encore oublier... Tu me parles de ton amie d'Australie? Qui t'as carrement envoyer chier quand tu as débarqué ici? Tu sais que ... tu me parle souvent d'elle. J'avais jamais fais le rapprochement, mais y a genre quoi... deux semaines, je me suis dis que je la connaissais... même très bien. Mais elle m'a jamais parlé de toi, donc, je sais pas pourquoi j'y avais jamais pensé. Pourtant, c'est très claire. C'est même évident qu'il s'agit d'elle. Vu comme tu me la décrivais. Et bien sur, toi tu pouvais pas me dire que je la connaissais? Ca aurait facilité bien des choses... » «C'est rien du tout pour moi ... hormis une amitié du passé, qui m'a poussé à venir ici, et envers qui je me suis royalement vautré ... parfois tu crois des choses, et il n'en est rien ... au moins quand je couche avec une femme, je vois direct si elle simule ou pas, alors qu'en amour, hormis quand tu te ramasses ... tu ne le sais pas vraiment avant ... et puis là il ne s'agit pas d'amour, de toute façon ... ».

    Elle savait beaucoup de lui, dû moins de celui qu'il est à SF, car il ne parle jamais trop de celui qu'il a pu être dans son pays, bien que parfois ça lui arrive de lui raconter des instants ou autres. Il ne cache pourtant rien du tout, en dehors de quelques traits de sa vie, qu'il n'aime pas trop évoquer, comme son père, ou bien d'autres moments vécus. Cela n'est pas de la cachoterie car ici, à SF, il lui parle vraiment de tout, au point de lui décrire ce qu'il voit sur le corps d'une jeune femme, couché à ses côtés. Parfois il lui envoie des photos un peu spécial, ou tout autre moment déluré qu'il ne manque pas d'écrire par sms. Concernant cette jeune Mary, l'inconnu persiste, quand à sa venu jusqu'ici, après tout qui ferait autant de km, d'un pays à l'autre pour en venir rejoindre quelqu'un, juste comme ça. C'était plutôt flou, et hormis la surprise manquée et les disputes quotidiennes avec elle, il n'y avait rien eu de plus à retenir, que de la pression et de la haine, pour le moment.

    «Par contre j'aurais mieux à dire, ce soir en rentrant ... j'ai deux rencards et y'en a une que tu connais de vue ... puisqu'elle est en train d'enrouler sa langue sur sa paille, en me regardant ... mais joue la discret si tu la regardes là ... j'ai pas envie qu'elle s'arrête en chemin ... ».

    Forcément qu'il en avait les yeux rivés sur cette jeune femme, peut-être que Gil' la connaissait, lui en tout cas, l'avait déjà croisé dans une soirée, et disons qu'il en avait eu un souvenir, qui le menait aujourd'hui, à vouloir encore la revoir. Il en bavait presque avant de revenir sur la jeune Arnault, qui avait finit par le refroidir en lui annonçant qu'elle s'en allait, une semaine loin d'ici.

    «• Au faite, je t'ai pas dis. Mais on a prévu d'aller a Paris avec mes sœurs après les partiels. Une semaine! »
    «A Paris sans moi ... tu avais dit la dernière fois, que tu me prendrais dans ta valise, si tu repartais à nouveau sans ma personne ... vous allez faire quoi là-bas, du shopping de luxe ... des soirées dépravées et ... un "tout ce qui se passe à Paris, reste à Paris ?" »

    Dit-il en ayant fait quelques signes avec ses mains, souvent quand il parlait, il en illustrait ses paroles, et là en l'occurrence, sans doute que même sans l'entendre, elle aurait pu deviner.
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Anonymous
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Jeu 27 Jan - 18:09

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3





    Toujours le regard fixé sur son ami, Gillian remarqua directement le sourire qui s'afficha sur son visage. Il ne souriait pas par rapport a ce qu'elle venait de lui dire, non, il avait les yeux rivés vers la porte d'entrée. Qui avait il vu? Gillian bien trop curieuse, se retourna directement. Elle ne remarqua personne vraiment, mise a part un groupe de jeune filles plus loin. L'une d'entre elles? Elle le regarda à nouveau, il pianotait sur ton téléphone. Que faisait il? Gillian voulait savoir. les connaissait il? Elle pris alors son portable, qu'il venait juste de laisser échapper sur la table. Elle entra le code pour accéder aux sms, qu'elle connaissait forcement, elle le harcelait a chaque fois pour qu'il le lui dise. Il avait fini par ne plus en changer puis qu'a chaque fois, elle avait sa réponse. Eh merde, il avait déjà supprimé les messages, il savait sans doute que Gil irait y jeter un oeil. Mais elle viendrait par lui poser des questions. Pour l'instant, elle était juste un peu dégouté qu'il lui ai siroter toute sa boisson.



      • T'es chiant! Tu te sens obligé de faire ça a chaque fois? Tu peux pas te commander un truc, non?!

      «Par contre j'aurais mieux à dire, ce soir en rentrant ... j'ai deux rencards et y'en a une que tu connais de vue ... puisqu'elle est en train d'enrouler sa langue sur sa paille, en me regardant ... mais joue la discret si tu la regardes là ... j'ai pas envie qu'elle s'arrête en chemin ... ».



    Elle se tourna alors de nouveau, mais discrètement, comme il venait de lui demander, du moins, elle essaya. Elle devait faire complètement demi tour pour pouvoir bien les voir. Elle remarqua en effet une jeune femme qui jouait avec sa paille. Elle leva les yeux au ciel et fit face a son meilleur ami. Elle ne la connaissait pas, mais bon, comme ca, elle semblait être tout a fait le genre de fille de Iop. Il avait parler d'un second rencard, de qui s'agissait il également?



      • Pourquoi ca ne m'étonne pas?! Tu l'as connu où? Et la deuxième, c'est qui?

      «Par contre j'aurais mieux à dire, ce soir en rentrant ... j'ai deux rencards et y'en a une que tu connais de vue ... puisqu'elle est en train d'enrouler sa langue sur sa paille, en me regardant ... mais joue la discret si tu la regardes là ... j'ai pas envie qu'elle s'arrête en chemin ... ».



    Elle avait un peu zapper leurs discussion précédente a cause de cette fameuse fille, ils finiraient bien par revenir dessus. Pour l'instant, elle était trop curieuse à savoir qui étaient ces jeunes demoiselles



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Anonymous
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Ven 28 Jan - 17:15

    Tous deux assis sur les sièges du shop, le temps ne passait plus, et il n'avait pas tellement l'envie que l'heure sonne déjà, qu'elle s'en aille ou qu'il soit rappelé à l'ordre par un rencard qu'il a pu oublier. Il avait juste promis à son petit cousin de faire une partie ce soir, mais ça n'était pas encore le moment pour ça, et il ne serait pas en retard pour la jolie blonde, ou l'autre jeune femme. La conversation se mêlait aux alentours, et l'arrivée de jeunes femmes attirait forcément l'attention du jeune Ias'. Faudrait en être puceau pour éviter d'observer ce petit groupe, surtout qu'il en connaissait bien 3 sur 5 dans le lot, mais n'avait pas l'intention de culbuter les deux autres, qui n'étaient pas à son goût. Il ne courait pas après les femmes, au contraire quand il n'avait rien à faire, il se concentrait sur ses cours et ne faisait passer quasi rien avant le théâtre. Au moins quand il parlait d'une personne, il n'inventait rien et il était clair comme de l'eau de roche, sans mentir ou sans en rajouter à outre mesure, et la jeune Gil' n'aimait pas toujours qu'il s'étende sur ses ébats. De toute façon ce qui l'intéressait avant tout, c'était la jeune femme et il était avide d'avoir les dernières nouvelles, il aimerait tant la voir en couple un peu. Elle n'était pas du tout comme lui, et il savait qu'en compagnie amoureuse, elle en serait la plus heureuse, mais comment faire car forcer le destin n'était pas si bon que ça, non plus. Surtout qu'il n'en parlait pas mais c'était l'ex de Mary, et qu'il savait bien que la jeune femme n'avait pas tiré un trait sur celui-ci. Peut-être qu'une bataille pour un seul homme se livrerait, il trouverait ça bête, car y'a toujours une gagnante et une perdante, et il ne voulait pas que ça soit l'une ou l'autre. Une souffrirait au dépend de l'autre, il appréciait beaucoup les deux jeunes femmes, et il voudrait pas qu'un homme s'amuse de leur coeur à toutes les deux.

    «• T'es chiant! Tu te sens obligé de faire ça a chaque fois? Tu peux pas te commander un truc, non?! » « Ce qui est à toi, est à moi, après tout moi je partage toujours ce que j'ai ... et puis tu peux très bien t'en commander un autre aussi ».

    Elle pestait toujours quand il fallait partager, pourtant elle n'était pas fille unique, et elle avait dû apprendre à partager avec ces soeurs, lui n'avait jamais trop le choix car ses frères se servaient, jamais sans demander quoi que ce soit. Son jumeau ne lui donnait que rarement des nouvelles, et souvent entre eux la communication était plus que brève. Mais il pouvait ressentir facilement quand ça n'allait pas pour lui, ou quand il ressentait des sensations ou sentiments positifs ou négatifs, c'était comme si malgré la distance, ils étaient reliés à tout ça. La jeune femme semblait frustré de voir qu'elle n'en saurait pas plus, mais disons qu'il n'en savait que peu de choses, il préférait attendre que la soirée se fasse, pour en dire mieux à sa meilleure amie.

    «• Pourquoi ca ne m'étonne pas?! Tu l'as connu où? Et la deuxième, c'est qui? » « Ton Donovan est beaucoup plus important que cette blonde que je vais envoyé vers les cieux ... dis tu l'aimes vraiment ce type, enfin est ce que tu ressens de l'amour pour lui, ces choses si mielleuses qui te collent aux baskets, quand ça te lâche plus ... ».

    Il n'y connaissait rien, le penser serait faux car il a déjà ressentit quelque chose par le passé, même s'il s'y est plutôt mal prit et qu'au final ça avait mal finit, mais il n'en parlait pas trop car ça concernait la soeur de la jeune Arnault. Même si avec cette dernière ils étaient devenus plus proche qu'ils ne l'auraient penser, et ils en profitaient sans doute mieux maintenant que quand ils étaient en couple. Faire le point de la situation concernant sa meilleure amie, savoir s'il pouvait la retrouver en larmes à cause de ce garçon, et qu'il ne soit pas surpris si elle était en peine car il ne lui donne pas la satisfaction qu'elle pourrait se faire de celui-ci.

    «T'as plutôt intérêt ... voir même obligé de me ramener quelque chose de là-bas, ... après tout je n'y suis jamais allé moi, vers ta tour Eiffel ou ton Champ Élysée alors je mérite bien ça ... ».

    Faisant une mine boudeuse, il ne lui en voudrait pas si elle ne lui rapportait rien, mais disons qu'il aimait bien avoir une bricole de rien du tout, pour participer malgré tout à ce petit séjour, sans y être.

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Mer 2 Fév - 18:02

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3






    Il avait cette tendance à croire que tout lui appartenait. Que les autres étaient toujours obligé de partager tout avec lui. Seulement, Ias n'est du genre a faire profiter de tout aux autres. " Ce qui est à toi est à moi, mais touche pas mes affaires ", même s'il prêtant tout a fait le contraire, il ne semble pas s'en rendre compte. Gillian ne releva même pas sa réponse alors sur le fait qu'elle pouvait se reprendre un verre. Pourquoi lui n'en avait il pas pris un pour lui? Elle ne ferait rien, par risque de voir disparaitre a nouveau sa boisson juste devant ses yeux.



      « Ton Donovan est beaucoup plus important que cette blonde que je vais envoyé vers les cieux ... dis tu l'aimes vraiment ce type, enfin est ce que tu ressens de l'amour pour lui, ces choses si mielleuses qui te collent aux baskets, quand ça te lâche plus ... ».


      • T'es entrain de me demander si je suis amoureuse de lui, la? C'est ca? T'es dingue! Non, je l'aime pas. Je l'aime juste bien, tu vois la différence? Il a un truc, je sais pas, j'aimerai bien voir ce que ca donne quoi. Enfin, tu comprends? S'il pouvait se passer quelques choses, eh bien, j'en serais pas déçue.


    Les relations amoureuses n'ont jamais été de bonnes experiances pour Gillian. Enfin, jamais de grand succès. Elle n'est même jamais vraiment tombée amoureuse. Elle aimait bien les jeunes hommes avec qui elle sortait, mais jamais sans avoir de grand sentiments. Elle ne crois pas au grandes histoires d'amours qui sont faite pour durer toute une vie. Elle pense que les gens ne sont pas fait pour s'aimer jusqu'à en mourir. Pour elle, les amours vrais durent quelques années. Arrivé entre cinq et dix ans, on en a facilement fait le tour, et rester avec quelqu'un juste par habitude, juste pour ne pas briser une histoire, c'est hypocrite.

      «T'as plutôt intérêt ... voir même obligé de me ramener quelque chose de là-bas, ... après tout je n'y suis jamais allé moi, vers ta tour Eiffel ou ton Champ Élysée alors je mérite bien ça ... ».

      • PROMIS LA PROCHAINE FOIS JE TE PRENDS AVEC MOI! Si tu veux même, on se ferra une virée que toi et moi. Ca me pose aucun problème. Je te présenterai Lucas même. Tu veux que je te rapporte quoi?



    C'est vrai que Gillian lui avait déjà dit que la prochaine fois, ils iraient ensemble. Mais la elle partait uniquement avec ses soeurs. C'était différent. Mais pour la fois qui suivait, elle ferait en sorte d'organiser un petit truc rien que tous les deux. Elle savait déjà quels coins lui plairaient plus que d'autre. Les visites barbantes c'était pas son truc. Elle devait l'emmener là où ca bougeait. Il n'avait pas besoin de lui quémander un cadeau, elle en ramenait toujours. Pas du genre, vieux souvenirs de Paris, style porte clé tour Eiffel, carte postale avec la cathédrale ou autre. Non, elle avait bien plus de gout que ca. Peut être faisait elle des cadeaux qu'elle pourrait aussi trouver à San Francisco, mais lorsque ca vient des Galeries Lafayette de Paris, ca a quand même plus de classe, non?








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Ven 4 Fév - 21:19

    L'amour, il avait du mal à se trouver réellement un avis neutre sur ce point là. Il n'a pas vraiment eu de chance, et quand il aurait pu en avoir une, il a bien eu du mal à en profiter. Saisir l'occasion de pouvoir savoir, ce que les gens trouvent tellement à ce sentiment. Surtout que souvent l'amour est mélangé à du sexe, et dans les couples quand le sexe n'y est plus, l'un des deux finit par aller voir ailleurs, et au final où en est "l'amour". Il aime le sexe et il ne démordrait pas à dire le contraire, mais il n'en dépend pas entièrement non plus. Seulement il ne s'en cache pas tellement, du coup on en résume souvent, à ne voir de lui que ce côté, d'homme à femmes. Pourtant il n'en voit pas tant que ça, et puis sans doute que s'il se trouvait quelqu'un, alors ça se tasserait rapidement. Du moins ça c'est la version idéale que Ias' se fait. Mais aller retirer trop rapidement une sucette à un enfant, et vous verrez un peu s'il s'y habitue autant facilement que ça, à ne plus l'avoir.

    De toute façon, personne ne lui avait fait savoir une quelconque attirance sentimentale à son encontre pour le moment, du coup la discussion sur ce sujet là, ne s'y imposait même pas, le concernant. Il était un peu amusé de voir sa meilleure amie, réagir sur le fait que Ias' insinue qu'elle pourrait aimer ce Donovan. Il s'était même reculé sur le coup, pour ne pas se voir recevoir une gifle ou une autre tape.

    «• T'es entrain de me demander si je suis amoureuse de lui, la? C'est ca? T'es dingue! Non, je l'aime pas. Je l'aime juste bien, tu vois la différence? Il a un truc, je sais pas, j'aimerai bien voir ce que ca donne quoi. Enfin, tu comprends? S'il pouvait se passer quelques choses, eh bien, j'en serais pas déçue. » « Pas de sentiments ? ... t'as pas déjà rêver cochonneries non plus avec lui ? ... dis-moi pas que s'il se trouvait quelqu'un, tu en serais pas jalouse ? ... de toute façon, l'amour ne sert qu'à briser des coeurs ... ».

    Il tentait de creuser un peu pour savoir, après tout, il trouvait ça tellement étrange que d'être fixé sur une personne, sans rien ressentir pour elle. Peut-être une attirance sexuelle, ou bien une attirance sentimentale. Il imaginait les deux possibilités avec Gil', mais il était loin de penser que ça pouvait être juste amical. Pourtant il croit fermement à l'amitié possible entre un homme et une femme. La preuve en était pour les deux, jamais au grand jamais ils n'ont succombé l'un à l'autre, pas même une once d'envie printanière, rien. Mais il savait qu'elle était plus ou moins comme lui, qu'elle ne croyait pas tellement en l'amour, alors du coup, ça le surprenait sans le surprendre totalement, qu'elle lui dise ne rien avoir pour cet inconnu. Il n'était pas dupe, et il savait parfaitement de qui il s'agissait, Mary lui en avait rapidement parlé à son arrivée ici. Il avait débarqué à SF, peu de temps après qu'elle ait rompu d'ailleurs, et il avait voulu à tout prix savoir, au départ pourquoi ça n'allait pas. Avant de se faire jeter complètement, car Mary n'avait pas aimé sa surprise.

    «• PROMIS LA PROCHAINE FOIS JE TE PRENDS AVEC MOI! Si tu veux même, on se ferra une virée que toi et moi. Ca me pose aucun problème. Je te présenterai Lucas même. Tu veux que je te rapporte quoi?
    » «Faut en profiter tant que je n'ai pas de madame Weland ... quoi que je crois bien qu'elle devra s'appeler Orpheus-Puck Weland ... imagine qu'elle veuille y rajouter son nom ... on est pas dans la merde après .... ».

    Voilà qu'il partait dans un petit délire à la con, malgré qu'il couchait avec des femmes différentes de temps à autre, il se disait que y'avait peut-être quelqu'un, faite pour lui dans ce monde de taré. Bien sûr qu'il ne s'attendait pas à une Claudia Schiffer, mais quelqu'un qui arrivait à lire en lui, à le comprendre et surtout à l'aimer tel qu'il est, c'était guère plus qu'il demandait finalement.

    «Mon pays arrive à me manquer parfois ... mais si j'y retournais, j'aurais peur ... de ne plus revenir ici ... ».

    Grimaçant, parfois c'était pas si facile que ça pour lui. Déraciné de sa culture australienne volontairement, il se trouvai par moment un peu perdu, parmis cette culture américaine si différente. Mais juste après il retrouvait rapidement le sourire, et d'un seul trait, voilà qu'il poussait sa meilleure amie pour pouvoir sortir de là.

    «On bouge un peu ... on trouvera bien deux ou trois passants à embêter en route ... ».
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Lun 7 Fév - 12:00

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3









      « Pas de sentiments ? ... t'as pas déjà rêver cochonneries non plus avec lui ? ... dis-moi pas que s'il se trouvait quelqu'un, tu en serais pas jalouse ? ... de toute façon, l'amour ne sert qu'à briser des coeurs ... ».


      • C'est pas ce que j'ai dis. Tu m'écoutes quand je parle? J'ai dis que j'étais pas amoureuse mais que je l'aimais bien. Donc y a un petit truc quoi... et si, oui! Tu me connais, je crois qu'on fait pas plus jalouse que moi... donc, OKAY JE LE VEUX ! Sois pas si pessimiste toi!


    Lorsque l'on donne a quelqu'un le pouvoir de vous rendre heureux, on lui donne également le pouvoir de vous détruire et de vous anéantir un jour. C'est ca l'amour. Aussi beau, aussi puissant qu'il puisse être, il peut faire des ravages. Tant bien que mal. Mais c'est surement un risque a prendre. Une risque pour se sentir bien avec une personne qu'on aime. C'est dur de voir la vérité en face, on se dit que tout se passe bien, que tout ira toujours bien. Jusqu'au jour où le rideau tombe, l'un des deux s'essouffle, se jeter a l'eau et faire mal a l'autre. Égoïsme? Peut être... On ne peut pas se forcer a aimer quelqu'un. Si les sentiments étaient bien réels, bien présent, ils ne sont pas forcement éternel. Même si l'amour est quelque chose qui d'entretiens. On a rien sans rien.

      «Faut en profiter tant que je n'ai pas de madame Weland ... quoi que je crois bien qu'elle devra s'appeler Orpheus-Puck Weland ... imagine qu'elle veuille y rajouter son nom ... on est pas dans la merde après .... ».

      • Madame Orpheus-Puck Weland? Il faudrait me payer pour porter un nom pareil. Puis, franchement, d'ici a ce que ca arrive, on a le temps d'aller dix fois a Paris, tu crois pas?



    Pas du tout le genre a s'engager, elle ne se faisait pas trop d'illusion. La future Madame Weland n'était pas pret de faire apparition dans la vie du jeune homme. Du moins, c'est ce qu'elle pensait. Il aimait bien trop sa petite vie indépendante, sans avoir à se justifier de quoi que se soit auprès de quelqu'un. Il n'était pas prêt a un tel engagement. Puis, Gillian s'est toujours demandé comment il sera lorsqu'il sortira avec une fille, mais sérieusement. Une fille qu'il aimera vraiment. Elle se demandait s'il changerait, ou s'il resterait toujours le même homme. Maladroit et sans tact. Même s'il sera toujours aussi présent pour la jeune demoiselle. Elle l'espérait en tout cas. Elle espérait surtout pouvoir bien s'entendre avec le fille en question.




      «Mon pays arrive à me manquer parfois ... mais si j'y retournais, j'aurais peur ... de ne plus revenir ici ... »


      • Si je viens avec toi, on sera obligé de rentrer un jour, non?


    C'est vrai que Iason ne parlait pas souvent de sa vie d'avant. Avant d'arriver a San Francisco. Gillian ne savait que le minimum à savoir sur lui. Nombre de frère, où il vivait, un peu d'anecdote sur sa vie de lycéen. Mais rien vraiment de personnelle. C'était sans doute quelques chose qu'il n'avait pas envie d'évoquer. Pourtant, les deux jeunes gens se disaient toujours tout. Mais seulement en ce qui concerne leurs vies américaines. Bien que Gil n'a aucune difficulté à parler de ses origines françaises. Mais elle n'y a vecu que 12 ans, ce qui n'est rien par rapport a Iason.


    La voila bousculé. Il avait décidé de quitter le bar. Gillian était également de cet avis. Elle se leva alors, mais n'oublia pas de ramasser ses livres et ses feuilles qui trainaient a droite et a gauche sur la table. Elle regarda Iason, et jeta un rapide coup d'œil vers la table des filles derrière.



      «On bouge un peu ... on trouvera bien deux ou trois passants à embêter en route ... ».


      •Tu veux parler de ces filles la? Tu les verras ce soir. Bon, on va où ?




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Anonymous
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Mer 9 Fév - 12:23

    Il s'embrouillait un peu avec ces paroles de femme que lui sortait Gil', car forcément une femme qui dit noir, il faut penser blanc. Du coup il s'y perdait à un moment donné, peu importait la conversation qui la concernait. Il savait bien que quand une femme parlait, il ne fallait pas prendre mot à mot les paroles, car à coup sûr elle penserait totalement l'inverse. En amour le soucis se posait mais en amitié aussi, du coup parfois à les entendre, c'était à en rire, car tout en étant à côté, pas même ils arriveraient à tout comprendre l'un et l'autre. Alors ce Donovan elle l'aimait juste bien mais ne voulait pas pour autant qu'une autre femme le touche, et y'avait pas d'amour dans tout ça, il avait du mal à la croire mais n'en disait pas plus. Il savait que parler de sentiments avec Gil', quand ça la concernait ça n'était pas simple, pas facile du tout même.

    «• C'est pas ce que j'ai dis. Tu m'écoutes quand je parle? J'ai dis que j'étais pas amoureuse mais que je l'aimais bien. Donc y a un petit truc quoi... et si, oui! Tu me connais, je crois qu'on fait pas plus jalouse que moi... donc, OKAY JE LE VEUX ! Sois pas si pessimiste toi! » «C'est ton Donovan si je comprend bien ... d'après ce que je sais, t'as pas finit de t'en arracher les cheveux alors car t'es pas la seule sur le marché ... mais rassure-toi, tu es la plus jolie de toute ».

    Il avait pu entendre et voir que comme tout homme, il ne plaisait pas qu'à une seule personne dans toute la ville, ce qui était forcé car même lui quand il veut en éviter certains, il s'en retrouve en plein dedans en soirée. Éviter toujours le pire bien sûr, mais parfois son côté maladroit en ressort. Une fois sans le vouloir il avait pu voir deux soeurs s'embrouiller, car l'une avait apprit que l'autre avait couché avec Ias', alors que c'était l'autre soeur qui aurait voulu cela avant. Lui-même savait que quand il s'intéressait à une jeune femme, la concurrence était bel et bien là, car hormis avoir une tentation envers une femme immontable, y'a pas de raison que ça soit l'exclusivité en goût.

    «• Madame Orpheus-Puck Weland? Il faudrait me payer pour porter un nom pareil. Puis, franchement, d'ici a ce que ca arrive, on a le temps d'aller dix fois a Paris, tu crois pas? » «Qu'est ce que tu as contre mon nom de famille ... je te permet pas de t'en moquer OHHHH ... encore faudrait-il que j'arrive à survivre d'un enterrement de vie de garçon ... car j'ai souvent une touche avec les stripteaseuses, va savoir pourquoi ... ».

    Grimaçant tout en s'imaginant un peu la situation d'un mariage, il ne disait pas qu'il n'était pas prêt du tout à cela, disons qu'il avait peur que ça n'arrive pas jusqu'à l'hôtel, et l'échange des alliances. Surtout qu'il ne visualisait pas vraiment la jeune femme qu'il pourrait demander en tant qu'épouse, est ce que c'était possible ça. Il n'en disait pas plus, parce qu'il fût un temps, sans doute qu'il y aurait cru mais depuis des années maintenant, l'espoir sentimental, avait du mal à resurgir.

    «• Si je viens avec toi, on sera obligé de rentrer un jour, non? » «Si tu viens ... tu me prends même pas pour aller chez toi, alors pourquoi moi je serais obligé de t'avoir dans mes valises ... et puis vaut mieux pas que tu rencontres mon ancien univers ... il est beaucoup trop craignos que celui-ci ».

    Il plaisantait quant au fait qu'il ne voudrait pas la prendre avec lui, mais pour le reste pas tout à fait, car y'avait pas mal de petites choses, que la jeune femme ignorait, comme beaucoup. Pas qu'il ne voulait rien lui dire, mais certaines parties étaient délicates, et puis d'autres il en oubliait un peu le fait qu'elle n'en soit pas au courant, finalement. La seule chose qu'elle savait, c'était qu'il ne portait qu'un seul rein, car une fois il avait eu quelques douleurs au dos, et il avait eu peur, que ça soit un soucis avec son rein, et pas ses reins.

    «•Tu veux parler de ces filles la? Tu les verras ce soir. Bon, on va où ? » «J'aimerais voir un lieu avant ... ne me demande pas pourquoi et grimpe dans ma voiture ... ».

    Sautant par dessus sans ouvrir la porte, il démarrait déjà le moteur, lequel il le faisait volontairement rugir, pour que la jeune femme se presse un peu plus.
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Mer 16 Fév - 14:25

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3









      «C'est ton Donovan si je comprend bien ... d'après ce que je sais, t'as pas finit de t'en arracher les cheveux alors car t'es pas la seule sur le marché ... mais rassure-toi, tu es la plus jolie de toute ».


      •Pas la seule sur le marché? Je suis pas un morceau de viande !!! Ton avis compte pas, je suis ta meilleure amie, forcement, tu ne vois que par moi. Surtout tant que tu n'aurais pas trouver ta fameuse madame Orpheus-Puck Weland.



    Elle souriait, son meilleur ami était sans doute la personne qui lui faisait le plus de compliment. Il lui disait sans arrêt qu'elle était la plus belle, que personne ne lui arrivait à la cheville. Il devait surement voir la perfection en elle, comme beaucoup, nan? Treve de plaisanterie. A savoir, pourquoi si, comme il disait, elle était la plus belle, pourquoi était elle souvent seule? Il est vrai que depuis l'arrestation de son ex petit ami, Drazhyick il y a maintenant deux ans, elle n'est jamais vraiment sorti avec quelqu'un. Rien qui ne durait en tout cas, pas vraiment de gros coup de cœur. Peut être avait elle du mal a s'attacher, par peur ou pas refus même. Mais la, elle voulait vivre quelque chose, quelque de fort. Pouvoir se fermer dans une bulle ne pensant a quelqu'un, une personne qu'elle aimera, une personne qui sera totalement dévouée a elle, tout comme elle le serait pour celle ci. Gillian en avait assez d'être seule. Elle avais envie de vivre une belle histoire, qui ne finirait pas en drame. Une histoire simple mais belle. Elle s'y voyait déjà...



      «Qu'est ce que tu as contre mon nom de famille ... je te permet pas de t'en moquer OHHHH ... encore faudrait-il que j'arrive à survivre d'un enterrement de vie de garçon ... car j'ai souvent une touche avec les stripteaseuses, va savoir pourquoi ... ».


      •Je l'organiserais moi, ton enterrement de vie de garçon. Et il n'y aura aucune stripteaseuses !


    Elle plaisantait. Ce n'était surement pas à elle de faire ça. Et puis, la soirée serait surement très ennuyeuse si elle s'en occupait. N'étant pas très ouverte sur ses histoires de strip tease. Elle ne comprend pas trop que l'on puisse se dessaper comme ça devant des inconnus. Montrer son corps à n'importe qui. Elle est assez pudique, c'est peut être pour cela qu'elle ne le comprend pas. On en reviens donc toujours à la même personne... Donovan, celui qui n'a aucun problème avec son corps, qui s'assume totalement, qui n'a aucun problème à se montrer. Celui qui s'exhibe à tout va... pourrait elle accepter ca? Dur...


      «Si tu viens ... tu me prends même pas pour aller chez toi, alors pourquoi moi je serais obligé de t'avoir dans mes valises ... et puis vaut mieux pas que tu rencontres mon ancien univers ... il est beaucoup trop craignos que celui-ci ».


      • On est pas obligé de parcourir tout ton passé. On peut juste jouer aux petits touristes qui visitent simplement un pays, sauf que toi, tu seras aussi mon guide. On ferra des photos devant tous les trucs connus d'australie. Les kangourous, les koala, tout ca. S'il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit !!


    Gillian avait beaucoup voyager. Ses parents étant très amateurs de grand voyage, des touristes, ce qu'il y a de plus basique. Ce n'est pas pour rien que chaque enfant de la famille Arnault est né dans un pays diffèrent. Chypre pour Joyce, Égypte pour elle et Jhordan et ainsi de suite. On pouvait dire qu'elle avait fait le tour du monde, bien qu'il lui restait beaucoup de pays a voir, de merveilles à découvrir. Mais pourquoi n'était elle jamais en allée en Australie? Pourtant, c'était une destination très répandue, convoitée. Ses parents y étaient déjà allé, peut de temps après leurs rencontre. Il était un pays qu'ils adoraient tous les deux, la où chacun rêvait de se rendre. Ils l'ont fait, puis n'y sont plus jamais allé. Il parait que ca s'est mal passé, mais jamais ils n'ont voulu leur dire pourquoi. Ils ne semblent pas garder un si bon souvenir de ce pays. Mais Gillian, elle, rêve d'y aller. Alors Ias serait la personne la mieux placer pour l'emmener. Et elle se chargerait de lui faire découvrir la France.



      «J'aimerais voir un lieu avant ... ne me demande pas pourquoi et grimpe dans ma voiture ... ».



      • Quel lieuuu ??? Tu vas m'emmener ou encore?????


    Encore une surprise qui lui réservait son meilleur ami. Comme il savait si bien le faire. Surprendre, encore et toujours. Il était un pro pour ça. Iason n'est pas quelqu'un qui aime la routine, qui aime faire toujours les mêmes choses. Même si avec Gillian ils avaient quelques petits rituel, ils n'avaient pas une soirée dans la semaine réservée pour telle ou telle chose. Ils préféraient se voir quand ils en avaient envie et non s'engager pour se voir a des moments précis. Pouvoir se voir a l'improviste et faire des choses qu'ils n'ont pas l'habitude de faire en général. Gillian pouvait parfaitement compter sur son ami pour ca. Il avait beaucoup d'imagination.

    Elle devait encore payer sa consommation, elle entendait son moteur rugir à l'interieur du café. Elle se depecha alors de le rejoindre et de monter dans sa voiture.



      • J'ai même pas pris le temps de prendre la monnaie. Grâce à toi, la miss a eut un sacré pour-boire !



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Mar 22 Fév - 13:56

    Il pestait car pour lui c'était évident qu'il était franc et qu'il ne mentait pas sur des avis, peu importait la personne en face de lui. Bien sûr il y avait des manières de faire de telles révélations, afin de ne blesser personne et surtout pas quelqu'un en qui il tient beaucoup. Il préférait dire des vérités qui font parfois peut-être mal que de donner l'illusion, qu'il est de l'avis de la personne sur un goût ou sur un propos. Elle était bien placé pour le savoir, car il ne se taisait quasiment jamais, et il donnait toujours son avis sur telle chose, mais jamais sur les personnes, car il n'aimait pas juger sans savoir, voir même juger tout court. Pour lui chacun faisait ce qu'il voulait, et était malheureusement, ce qu'il était. Il ne demandait pas à quelqu'un de changer pour lui, juste de s'adapter aux situations, car lui-même n'avait pas l'intention de changer pour quelqu'un, que ça soit par amour ou par amitié.

    «•Pas la seule sur le marché? Je suis pas un morceau de viande !!! Ton avis compte pas, je suis ta meilleure amie, forcement, tu ne vois que par moi. Surtout tant que tu n'aurais pas trouver ta fameuse madame Orpheus-Puck Weland. » «Mon avis serait le plus à même, d'être le bon ... je ne joue jamais en faveur quand je le donne, souviens-toi du pyjama que tu portais avant ... je l'aimais pas, et je n'ai pas fait semblant de l'apprécier ... si ça c'est pas un avis tranché ... tu sais que je peux me marier bourré n'importe quel soir de la semaine qui suit ... c'est tellement vite enfilé une bague, comme le reste ... ».

    Haussant les épaules il se connaissait, et quand il avait un peu trop bu, il était vraiment capable de n'importe quel délire, pas possible. Déjà que quand il est à jeun, c'est plus ou moins pareil, alors autant ne pas tenter, de le voir refiler une bague à une jolie inconnue, porteuse de pas mal de soucis. Des bagues, ou des demandes il en avait déjà faite mais n'imaginez pas de suite, les choses car ça n'était que de la pure et simple comédie, au sein du théâtre ou d'un entretien. Il en parlait pas très souvent des entretiens qu'il passait, ou des castings qu'il se tapait. Pas par un secret qu'il tente de couvrir mais plutôt qu'il se dit que comme il va sans doute ne pas être prit, car le piston prime pas mal, au sein de ce milieu, autant ne pas en parler. Pourtant il n'abandonne pas et il en fait minimum un par semaine, que ça soit pour une publicité, pour une apparition ou pour un rôle quelconque. L'argent n'est pas du tout ce qui le motive, car il aurait pu flambé toutes le économies qu'il possède mais au contraire, il a tendance à pas mal recycler. Tel sa vieille voiture de collection ou bien des objets qu'il achète, datant de quelques années en arrière. Quelques superflus de temps en temps mais c'est tout.

    «•Je l'organiserais moi, ton enterrement de vie de garçon. Et il n'y aura aucune stripteaseuses ! » «Un enterrement de vie de garçon sans stripteaseuse ... ça vaut rien ... et puis qui te dit que ça sera toi ma témoin d'honneur ... hein ? ».

    Il la charriait parce qu'il ne pensait pas du tout à cela pour le moment, du moins le mariage tout court mais pas une soirée ou une avant soirée pour telle occasion. D'ailleurs il n'avait pas même encore trouvé la fille, celle qui pourrait voir à l'intérieur de sa personne, celle qui pourrait le combler et qui lui promettrait une vie sans trop de sacs poubelles. Il ne savait pas s'il trouverait cette chaussure à son pied, car souvent les stéréotypes courent les rues et il faut être comme si ou ça, pour plaire à ces dames bien trop exigeante. Pourtant il aimerait beaucoup avoir une histoire d'amour, et pas juste quelques semaines où le sexe a beaucoup plus une place prioritaire, que des sentiments possibles. Il n'en parle souvent qu'avec Gillian, et sinon il laisse l'étiquette de tombeur lui coller à la peau, se disant que peut-être un jour, une femme s'en ficherait et voudrait lui faire confiance.

    «• On est pas obligé de parcourir tout ton passé. On peut juste jouer aux petits touristes qui visitent simplement un pays, sauf que toi, tu seras aussi mon guide. On ferra des photos devant tous les trucs connus d'australie. Les kangourous, les koala, tout ca. S'il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit !! » «Tu sais ça ne se résume pas à qu'à des animaux, même si quand tu vas voir mon frère, t'auras l'impression de voir un babouin, il est tellement con ... mais interdit de le charmer, car j'aurais l'impression que tu me charmes moi après ... eurk ».

    Il en riait de la manière dont elle voyait son pays, faut dire que les tours opérateurs en jouaient aussi, afin d'attirer le monde mais lui ne le voyait pas comme ça. C'était plutôt autrement, disons qu'avec des plages de sable fournissant des vagues, impressionnantes et spectaculaires, pour lui le surf se résumait plutôt bien, pour ce pays là. Et puis les fameuses soirées de break qui n'en étaient pas du tout comparable avec les petites soirées de SF voir même du pays en entier. Là-bas ils savaient faire la fête, sans s'arrêter pendant des jours, pour fêter les vacances ou les pauses entre les examens officiels. Mais à entendre sa meilleure amie, cela motivait vraiment, le projet de pouvoir la conduire là-bas et lui permettre d'en apprendre plus sur lui. Elle ne connaissait de Ias', que ce qu'il avait bien pu vouloir lui dire, et sans doute que c'était la même pour Gil', car le passé est souvent un pavé dans la marre qu'on ne veut pas trop ressortir de l'eau.

    «• Quel lieuuu ??? Tu vas m'emmener ou encore????? • J'ai même pas pris le temps de prendre la monnaie. Grâce à toi, la miss a eut un sacré pour-boire ! » «Ah c'était un pourboire ... tant pis elle en aura pas pour cette fois ... ».

    Une fois dans la voiture, il se rendait compte que l'argent qu'il avait ramassé sur la table et qui pour lui, trainait, c'était en fin de compte celui de sa meilleure amie et qu'elle comptait le laisser à la serveuse. Tant pis, ça serait pour une prochaine fois, et puis il finit par lui dire :

    «Je jouerais l'argent à la loterie ... et si on gagne un peu ça nous fera pour notre trip' de rêve en Australie ».

    Il y jouait souvent enfin c'était plutôt des jeux de grattage, pourtant il avait pas besoin d'argent mais comme les parties de poker illégales qu'il se tapait, c'était avant tout la petite dose d'adrénaline qui lui plaisait. Roulant sans trop savoir où aller, une idée lui vint d'un seul coup et ça serait pour une fois quelque chose de pas trop impressionnant pour la jeune femme. Direction le parc de la ville, et deux balançoires, où d'ailleurs Ias' eut du mal à négocier la sienne avec un petit gamin, qui avait finit par lui donner un coup de pied et partir.

    «Putain j'ai un gamin comme ça ... grrr je le noie à la naissance, ou je te le refile ... ».
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Invité
Invité
Mer 2 Mar - 19:27

[quote="Gillian L. Arnault"]
GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3





      «Mon avis serait le plus à même, d'être le bon ... je ne joue jamais en faveur quand je le donne, souviens-toi du pyjama que tu portais avant ... je l'aimais pas, et je n'ai pas fait semblant de l'apprécier ... si ça c'est pas un avis tranché ... tu sais que je peux me marier bourré n'importe quel soir de la semaine qui suit ... c'est tellement vite enfilé une bague, comme le reste ... ».


      • Déjà, mon pyjama, il était trop bien. Je m'en foutais, c'était pour dormir! Et puis, tu compares Donovan à un pyjama, t'es sérieux?


    Cette histoire du pyjama vert avec des vaches roses et bleues dessus, un vrai scandale. Limite il lui avait rie au nez quand elle l'avait sortie. Accompagné d'un petit speech que ce truc était un vrai tue l'amour et tout le truc qui suivait. Bon, okay, c'était vrai, mais en même temps, Gillian était plus que célibataire en ce moment là et les deux seuls personnes avec qui elle passait ses nuits étaient Iason et son frère jumeau. Donc, tue l'amour ou pas, elle s'en fichait pas mal. C'était pas avec eux qu'elle passerait a l'acte, n'est ce pas.

      • Tu serais bien malin avec une bague au doigt comme tu dis. Je pense que tu ferrais bien moins le malin une fois le contrat signé. Et puis, à moins d'aller à Vegas, je vois pas comment tu réussirais à te marier en une nuit!


    Parfois on avait l'impression que Ias vivait dans un univers totalement décalé. Certaines de ses idées, qu'il pensait possible dans la réalité ne l'étaient que dans les films qu'il pouvait voir à la télé. Mais lui, vous répondra que tout est possible si l'on s'en donne les moyens. Il est vrai que souvent il prouve qu'il est capable de faire beaucoup de chose dont on aurait jamais pensé. Mais là, mise a part faire une remaque de Very Bad Trip, allez savoir comment il pourrait s'engager comme ça en claquant des doigts.


      «Un enterrement de vie de garçon sans stripteaseuse ... ça vaut rien ... et puis qui te dit que ça sera toi ma témoin d'honneur ... hein ? ».


    Elle se contenta de faire la mou, elle savait très bien qu'il disait faux. Car s'il ne la prend pas en témoin, il sait a quoi s'en tenir. Il ne voudrait tout de même pas perdre son amitié à jamais pour une telle stupidité. Qu'il fasse donc le bon choix. Elle lui faisait confiance pour ca, de toute façon, il ne pourrait pas se passer de sa meilleure amie. Ils se complètent tellement bien après tout.


      «Tu sais ça ne se résume pas à qu'à des animaux, même si quand tu vas voir mon frère, t'auras l'impression de voir un babouin, il est tellement con ... mais interdit de le charmer, car j'aurais l'impression que tu me charmes moi après ... eurk ».



      • N'importe quoi! Et puis, en ayant vu quelques photos chez toi, vous ne vous ressemblez pas comme deux gouttes d'eau non plus. Vous n'avez pas la même coupe. Alors, je vois pas pourquoi j'aurais pas droit de me taper le jumeaux. A défaut de pouvoir coucher avec toi. Enfin... tu crois que ca serait comme l'inceste?


    Elle plaisantait. Pourquoi voudrait elle se taper le frère? Il avait raison, elle aussi aurait l'impression de coucher avec son meilleur ami. Car en effet, son jumeaux lui ressemblait bel et bien comme... un jumeau quoi. Plus sérieusement, Gillian aimerait beaucoup pouvoir rencontrer la famille de son meilleur ami, ca lui permettrai sans doute de le voir sous un nouveau visage. De le connaitre plus encore. Elle était sur qu'elle ne serait pas déçu de le voir dans son pays natal, tel qu'il est vraiment après tout. Car on est jamais mieux ailleurs que chez soi.



      «Putain j'ai un gamin comme ça ... grrr je le noie à la naissance, ou je te le refile ... ».


      • Laisse ce pauvre gosse tranquille ! Tu l'as surement traumatisé là.


    Pourtant, elle n'était pas étonné. C'était un peu scandaleux de virer une gosse d'une balancoir pour laisser place à deux grands gamins comme eux; car oui, souvent, lorsqu'ils sont tous les deux ensembles, ce sont de vrais enfants. Ne parlons pas de leurs manie à vouloir jouer à la bataille quand ils n'ont rien d'autres qu'un jeu de carte en main. Ou encore l'habitude de la jeune femme à vouloir regarder des disney avec Iason, alors que celui ci en a strictement rien à faire, mais il lui fait simplement plaisir.


      • Ce parc ne te rappelle rien?



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Anonymous
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Invité
Mer 2 Mar - 20:28

    Il ne voyait pas trop en quoi ça la dérangeait, qu'il parle de son pyjama favori, celui qu'il ne pouvait pas trop se blairer, y'a quelques temps de ça. Lui n'en portait pas, et puis il trouvait plutôt sexy une femme qui ne dormait finalement qu'avec, un vêtement d'homme. Il ne le permettait pas trop à ses quelques conquêtes d'un soir, car il n'en avait pas tant que ça, vu qu'il revenait toujours vers les mêmes jeunes femmes. C'est comme consommer une pizza, on a beau en goûter des nouvelles, les vieilles recettes nous font toujours craquer, quoi qu'il arrive en nouveauté, sur la carte. C'était peut-être un peu trop anticiper les choses mais il savait qu'un couple de nos jours ne durait pas jusqu'à la mort, hormis mourir dramatiquement jeune, mais valait mieux pas penser à ça.

    «• Déjà, mon pyjama, il était trop bien. Je m'en foutais, c'était pour dormir! Et puis, tu compares Donovan à un pyjama, t'es sérieux? » «A quoi veux-tu que je le compare d'autres ... et puis c'est comme tout, le jour où tu t'en lasseras, alors tu craqueras sur un autre ... je m'en fais pas pour toi gil' chérie ... ».

    Lui donnant une petite tape sur l'épaule, avec un grand sourire provocateur, il ne savait pas encore leur direction côté coeur, mais il savait que de toute façon elle s'en sortirait, car elle aurait le meilleur bff à ces côtés, lui même pardi. De toute façon il ne comptait pas l'abandonner d'aussi tôt, hormis si un jour quelque chose ou quelqu'un, le pousserait à repartir, soit vers d'autres horizons ou bien à retourner chez lui. Il n'avait peur de rien, quand il agissait avec le coeur, alors il ne prenait pas de temps à réfléchir, et il fonçait, sans regret. Il avait fait ça plusieurs fois, mais sa grosse aventure fût tout de même, celle de quitter l'australie pour rejoindre une certaine Mary, ici. D'ailleurs c'est une sacrée zone d'ombre, cette histoire là. Il n'a jamais pu expliquer son geste, que ça soit à sa famille mais également autour de lui. Souvent il évite le sujet.

    « • Tu serais bien malin avec une bague au doigt comme tu dis. Je pense que tu ferrais bien moins le malin une fois le contrat signé. Et puis, à moins d'aller à Vegas, je vois pas comment tu réussirais à te marier en une nuit! » «Tout dépend la fille, car c'est clair que si je me suis marié avec miss MST ou madame CB ... autant me pendre de suite, mais je me pense pas aussi stupide pour finir avec ces cas de femmes là ... ou alors tue-moi avant, veux-tu ... ».

    Il ne s'imaginait pas avec une fille, trop porté sur sa personne ou bien pas très économique, en gros quelqu'un qui ne lui ressemblerait tellement pas. Du moins les contraires s'attirent, mais y'a quand même des limites à ne pas s'imposer, à ne pas endurer volontairement. Se marier l'a toujours fait rire, car quand il était plus jeune, c'était toujours l'occasion pour se planquer sous la table, et emmerder les invités, bien que plus grand c'était plutôt pour s'en taper une, d'invité. Loin derrière lui, l'idée de glisser la bague au doigt d'une demoiselle, il n'était pas contre pour autant, et si un jour le feeling lui permettait de finir par faire confiance à une femme, au point de se marier. Alors pourquoi pas.

    «• N'importe quoi! Et puis, en ayant vu quelques photos chez toi, vous ne vous ressemblez pas comme deux gouttes d'eau non plus. Vous n'avez pas la même coupe. Alors, je vois pas pourquoi j'aurais pas droit de me taper le jumeaux. A défaut de pouvoir coucher avec toi. Enfin... tu crois que ca serait comme l'inceste? » «Inceste de ... coucher avec moi ? ... tu sais t'es une jeune fille charmante, et je me demande pourquoi ces mecs sont si stupides, pour ne pas le remarquer ... mais non je pourrais pas coucher avec toi, hormis si vraiment un jour, on a pas réussit notre vie, enfin ... non je préfère pas l'imaginer ... ôte-moi ça de la tête ».

    Grimaçant un peu, il avait déjà prit place sur une balançoire avec galère, et ensuite il pestait contre sa bff qui se moquait de lui. Lui tirant la langue, il la poussait pour qu'elle tourne et tourne encore, sur sa balançoire. Il en faisait de même, petit il adorait, tourner jusqu'à s'en faire vomir presque. La jeune femme le stoppa dans son élan pour lui poser une simple question. S'arrêtant un instant de relancer sa balançoire il la laissait, monter et descendre à sa guise, pendant qu'il réfléchissait. Dans ce parc il en avait des souvenirs, tous aussi divers que spéciaux, d'ailleurs mais concernant la jeune femme et lui, un premier lui venait en tête.

    «• Ce parc ne te rappelle rien? . »
    «Quand je t'ai annoncé que je voulais rester ... que je restais parce que c'était trop tard ... qu'on avait pas fait le pacte du sang, mais celui du coeur ... et que si je partais d'ici, alors j'en perdrais un morceau, ... et que du coup tu devais dès lors me supporter ... encore un peu ... ».

    Un peu scintillant dans son regard, il s'en souvenait de cette-fois, cela remontait à quelques mois déjà, et ça avait été plutôt intense, car la jeune femme avait eu peur, qu'il s'en aille. Les deux s'étaient déjà bien accroché, l'un à l'autre et, du coup quand Ias' avait supposé quelques jours avant, cette révélation, qu'il repartirait bientôt, ce fût comme un pieu dans le coeur, de la jeune femme. D'ailleurs à ce moment là, il lui avait donné le collier qu'il portait autour du coup, c'était la moitié d'une planche de surf, comme pour sceller leur amitié. Et soudain quelques gouttes se mirent à tomber, la regardant et surtout surpris que le temps change subitement :

    «On se la fait chez moi ... le premier arrivé à la voiture ... ».
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Anonymous
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Ven 4 Mar - 17:34

GILLIAN & IASON
Acte V. Scène 3




      • Ce parc ne te rappelle rien?



      «Quand je t'ai annoncé que je voulais rester ... que je restais parce que c'était trop tard ... qu'on avait pas fait le pacte du sang, mais celui du coeur ... et que si je partais d'ici, alors j'en perdrais un morceau, ... et que du coup tu devais dès lors me supporter ... encore un peu ... »



    C'était bien de ca qu'elle parlait. Bien que des souvenirs dans ce parcs, tous les deux, ils en avaient des tas. Ils avaient l'habitude de se trouver la, surtout en été. C'était un endroit impeccable pour se poser au soleil. Surtout lorsque tout le monde préféré se rendre à la plage alors que celle ci est bondée. Ils avaient cette tendance à toujours aller la où les autres ne seraient pas. Tranquilles, sans personne. Lorsqu'ils étaient ensemble, ils aimaient bien être seulement eux deux. Il était très dificile de s'imisser dans leurs amitié. Personne n'y était encore arriver. A deux ils étaient très forts, très soudés. Seul William avait réussi, lors d'une soirée à se mettre entre eux deux et ils l'avait plutôt bien accepté. Il faut quand même pas croire qu'ils sont renfermé sur eux même non plus.
    Elle avait bien flipper, quand il lui avait annoncé son départ, elle l'avait vraiment mal pris. Elle avait l'impression qu'il allait l'abandonné. Pourtant, il voulait simplement rentrer chez lui. Mais ce jour où il lui avait dit qu'il restait, c'était comme une délivrance. Elle n'allait pas perdre son meilleur ami.
    A ce moment précis, elle se rendait compte, la chance qu'elle avait, de l'avoir. Elle avait envie de se lever de sa balançoire et de le prendre dans ses bras. Elle ne pourrait jamais le remercier, de tout ce qu'il a toujours fait pour elle. Mais elle n'en fit rien, parce qu'elle n'était jamais très démonstrative vis a vis de celui ci. Sauf quand elle avait un peu bu.



      «On se la fait chez moi ... le premier arrivé à la voiture ... ».


    Les gouttes tombaient, on aurait jamais pensé qu'il allait pleuvoir vu le soleil qu'il y avait plus tôt. Il commençait même a tomber des cordes. Gillian regarda son meilleur ami et alors, elle le pris au mot. Se mettant à courir, elle était bien décidée a être à la voiture la première.





SUJET CLOS
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Anonymous
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Ven 4 Mar - 18:56

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ACTE V. Scène 3 {Gillian L. Arnault & Iason Orpheus-Puck Weland}

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