✱ COLOCATAIRES : Je vis seule dans ma grande maison
Dim 22 Fév - 13:56
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
Il se faisait tard à présent et je n'allais pas tardé à partir. J'étais la dernière vétérinaire sur place, la nuit ce sont des auxiliaires qui restent pour veiller sur nos petits patients à quatre pattes. J'avais un peu de paperasse à faire, j'étais donc dans mon bureau. Ce n'était pas la joie en ce moment, la partie de la clinique qui avait brûlé nous manqué cruellement et nous commencions à peine à réparer les dégâts. C'est un coût important qui risque de me faire défaut, chaque calcul est donc décisif. Je prenais le temps de tout vérifié, ce n'est pas comme ci quelqu'un m'attendait chez moi de toute manière. J'étais bien lancé même si la fatigue commençait à se faire sentir, puis tout à coup j'entendis du raffut à l'accueil, je m'y précipitais donc. " Qu'est ce qui se passe ? " Mon regard se porta immédiatement sur un magnifique husky blessé dans les bras d'un homme, je m'étais rapidement approché pour le moment je ne m'étais même pas rendu compte que cet homme je le connaissais .. Enfin on s'était croisé. Je relevais enfin mon regard vers lui et je ne sais pas pourquoi cela ne m'étonnait pas." Vous vous en prenez aux pauvres bêtes maintenant ? Les vetos ça ne vous suffit plus ? " ]D'accord je n'étais pas sympathique mais c'était de ça faute, il m'en avait mit plein la tête le jour de l'incendie et je n'ai jamais été du genre à me laisser faire ! " Suivez moi, posez le sur la table d'examen. " Le chien remuait et pleurait en même temps de douleur, j'aperçus rapidement une plaie au dessus de son omoplate et voyant la position de sa patte je pouvais deviné que celle-ci était cassée. " Qu'est ce qui s'est passé ? " Je lui administrais un calmant pour qu'il cesse de bouger et que je puisse l'examiner de plus prêt.
Je venais de finir mon service. J’enlevais ma tenue, prenais une douche rapide pour enfin rentré chez moi. J’étais épuisé mais l’adrénaline avait réussi à me faire tenir toute la journée et plus encore. Après une douche chaude qui me fit du bien, je rangeais mes affaires dans mon casiers et attrapais les clefs de ma voiture et de chez moi. Je saluais les gars et prenais place dans mon bolide. Je devais rentré chez moi demain, Kendall serait chez moi pour quelques jours, sa mère devait aller à une conférence dieu sait ou. J’étais ravis mais je devais ranger un peu chez moi et être sur que tout été prêt pour l’accueillir. J’avais vraiment hâte. Je démarrais la voiture et prenais le chemin de chez moi. Sur la route, j’allumais la radio pour avoir les derniers résultats sportifs. Soudain, j’entendis un bruit inhabituel, comme si je venais de percuter quelque chose. Je m’arrêtais, légèrement en panique. Je quittais la voiture pour aller voir ce qu’il se passait. Je faisais le tour de la voiture quand j’aperçu ce que j’avais heurter. « Oh c’est pas vrai … » Je faisais quelques pas et m’agenouillais sur la route. Un gémissement répondu à mes mouvements. Un chien, un husky était allongé par terre, gémissant. Je glissais ma main sur le dessus de sa tête et sur son flan. Il gémit encore plus. « Tant fais pas bonhomme, ça va aller. » Continuant de la caresser, je me demandais ce qu’il convenait de faire et puis une idée me vint à l’esprit, même si j’étais certain de le regretter. Je devais mettre mes sentiments de côté et agir pour le mieux pour que cet pauvre bête s’en remette et je connaissais malgré moi la personne la plus qualifier pour ça. Je glissais mes mains sous l’animal et le prenais dans mes bras pour aller l’allongé sur la banquette arrière de ma voiture. Au diable si ça faisait des tâches. Je reprenais la route en ne m’attardant pas et roulais jusqu'à la clinique vétérinaire. Je me garais rapidement et fonçais chercher le chien à l’arrière. Refermant la portière avec mon pied, je fonçais ensuite à l’intérieur, sans prendre de précaution. Bien elle débarqua. Elle ne sembla pas me reconnaître jusqu'à qu’elle pose les yeux sur moi et rien qu’à voir le regard qu’elle posa sur moi, je su que j’allais vraiment devoir prendre sur moi pour rester calme. ." Vous vous en prenez aux pauvres bêtes maintenant ? Les vetos ça ne vous suffit plus ? " Me dit-elle, aussi sèche qu’on pouvait l’être. Je la regardais, le chien toujours dans mes bras. Elle était sérieuse là ? C’est elle qui manque de se tuer et de me tuer par la même occasion par ce que j’ai été assez stupide pour aller la chercher dans la clinique en flamme et c’est moi qui m’en prend à elle ? Laissez moi rire ! « Oui, moi aussi je suis RAVI de voir revoir. Maintenant, vous pouvez faire quelques chose pour lui ou merde ?! » Lui dis-je, aussi sec qu’elle. Cette femme avait vraiment le dos de me mettre dans tout mes états alors que j’étais justement réputé pour mon sang froid en toute circonstance. " Suivez moi, posez le sur la table d'examen. " Je la suivais dans la clinique et m’exécutais en déposant le plus délicatement le chien blessé sur la table. Le pauvre chien semblait vraiment être mal en point et surtout avoir très mal. " Qu'est ce qui s'est passé ? " Me demanda t-elle en s’afférant près du chien. Elle était peut-être horripilante à souhait mais une chose est sur, elle semblait vraiment savoir ce qu’elle faisait. Je soupirais, passant une main dans mes cheveux qui devenait long. « Je l’ai renversé sur la route. Et non, je ne l’ai pas fait exprès. Je jure que je ne l’ai pas vu arrivé. Comment il va ? » Lui demandais-je, n’en menant quand même pas large. C’était bien la première fois qu’un truc du genre m’arrivais. J’avais même l’habitude de me moquer des gens à qui ça arrivait, qu’ils avaient forcément du le voir arriver.
✱ COLOCATAIRES : Je vis seule dans ma grande maison
Mar 24 Fév - 20:46
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
Tout comme les médecins les vétérinaires enchaînent des gardes très longue, j'en avais encore la preuve aujourd'hui, quand un animal blessé arrive il est hors de question de le laisser en plan pour son petit confort personnel. Ce métier nécessite des sacrifices et je le sais depuis bien longtemps, j'ai sacrifié peut-être trop de chose pour lui mais j'aime mon travail. Alors que je comptais bientôt rentré chez moi un nouveau patient arriva, un très beau husky qui était plutôt mal en point, quand je vis qui venait de le ramener je ne pus m'empêcher d'être froide et arrogante. Mon impulsivité ne me réussissait pas parfois. « Oui, moi aussi je suis ravi de vous revoir. Maintenant, vous pouvez faire quelques chose pour lui ou merde ?! » Je lui aurais bien répondu merde mais je comptais bien soigné ce chien. Je lui demandais de me suivre dans la pièce juste à côté pour que je puisse pratiqué un examen plus approfondi. Je dus lui administré un calmant que que la douleur soit moins importante et qu'il cesse de bouger autant ce qui rendait les choses plus compliquées qu'elle ne l'était déjà. Il se calma rapidement et je pus me mettre au travail rapidement et efficacement. « Je l’ai renversé sur la route. Et non, je ne l’ai pas fait exprès. Je jure que je ne l’ai pas vu arrivé. Comment il va ? » J'aurais pu le deviné toute seule mais il était préférable de le vérifié pour ne pas partir sur de fausses piste. Il me prit de cours en ajoutant que non il ne l'avait pas fait exprès. Il semblait préoccupé par l'état de l'animal moi qui le penser sans coeur à vouloir laisser cramer mes pauvres petits patients. Je répondis rapidement. " Son état est plutôt grave, il a la patte arrière cassée à deux endroits, je soupçonne une hémorragie interne et la plaie situé au dessus de son omoplate quand à elle n'est pas grave, quelques points de suture suffiront. Je vais devoir l'opéré d'urgence. Il fallait cependant savoir quoi faire de ce chien, il allait engendré des frais vétérinaires mais ce n'est pas ça qui m'importais, mon objectif premier était de le sauver. " Cela risque de prendre une heure ou deux, rentré chez vous je vais m'occupé de lui. " Mon assistante et moi nous chargions de le déplacer jusque dans la salle d'opération. L'état du chien resta stable pendant l'opération, j'avais traité d'abord l’hémorragie pour la fracture, il allait lui falloir du temps pour se rétablir mais cela ne serait pas impossible. Je le plaçais ensuite dans une grande cage ou il pourrait retrouvé ses esprits petit à petits, puis repassant à l’accueil j'étais entrain de remplie le formulaire d'entrée du nouveau patient. Quand je relevais les yeux je fus surprise de voir que Alexander était encore là. " Vous êtes resté ? " J'étais impressionné c'est vrai.
Il me fallait bien ça. J’étais épuisé après mon service mais me voilà en route vers une clinique vétérinaire. J’espérais vraiment que le chien n’avait rien de grave, ou tout au moins qu’ELLE pourrait faire quelques choses. Ca ne m’enchanté pas le moins du mon de devoir aller vers elle mais bon, c’était son boulot et elle était la seule veto que je connaissais. Une fois là-bas, elle ne mit pas longtemps avant de le prendre en charge. Je la suivais en portant le chien avant de le déposer sur la table d’auscultation puis je me mettais en retrait pour qu’elle puisse bosser tranquille. Tu vois Blondie, moi je ne t’empêche pas de faire ton job correctement ! Je lui racontais ensuite ce qu’il s’était passé en finissant par demander des nouvelles de la pauvre bêtes qui semblait être mal en point. Je soupirais. Merde … « Son état est plutôt grave, il a la patte arrière cassée à deux endroits, je soupçonne une hémorragie interne et la plaie situé au dessus de son omoplate quand à elle n'est pas grave, quelques points de suture suffiront. Je vais devoir l'opéré d'urgence. » Me dit t-elle, professionnelle. Je la regardais avant d’hocher la tête. Je réfléchissais et je finis par me dire que Kendall adorerait avoir un chien. D’autant qu’il est vraiment magnifique celui-là. C’est vrai que adopter un chien n’était pas une décision a prendre à la légère mais je me disais naïvement que ce n’était sûrement pas par hasard que tout ça été arrivé alors que j’avais l’habitude d’être plus que prudent en voiture. " Cela risque de prendre une heure ou deux, rentré chez vous je vais m'occupé de lui. " Je fronçais les sourcils et avant que j’ai pu dire quoi que se soit elle l’avait emmener. Je décidais donc d’aller attendre dans la salle d’attente. Pas question que je parte. Je n’arriverais pas à dormir de toute façon tant que je n’aurais de meilleures nouvelles pour ce chien. Je regardais ma montre, avant de m’asseoir pour attendre qu’elle est fini et avoir des nouvelles encourageantes. En patien
Les minutes et bientôt les heures passèrent. Je me levais de temps en temps pour faire quelques pas pour me dégourdir les jambes. Je scrutais ma montre. Elle n’avait pas menti, c’était bel et bien long et la fatigue commençait à prendre possession de tout mon corps mais j’étais du genre résistant même si parfois mes yeux se fermaient tout seule. Mes pensées allèrent vers ma fille. Et comme à chaque fois, je déplorais de ne la voir que très rarement. Je m’en voulais parfois même si d’après mon avocat, on avait fait le maximum ; Le juge avait pris rendu son jugement et je devais m’y faire si je voulais conserver le peu de visite que j’avais. Des heures plus tard, la porte s’ouvrit et Blondie en sortit. Elle se dirigea vers l’accueil et ne sembla pas me voir. Je me levais ce qui la fit levait les yeux vers moi. La surprise se lu sur son visage. " Vous êtes resté ? " Me demanda t-elle, presque impressionnée. Je la regardais, un sourire en coin, légèrement blessée qu’elle me prenne autant pour un con de la pire espèce sans même me connaître. C’est vrai quoi, j’étais pas un pauvre mec insensible. « Oui … Je … Enfin j’espère que ça pose aucun problème. Ça vous étonnes tant que ça ? » Je secouais la tête en me rapprochant d’elle pour être en face d’elle. « Je … Je vais payer les frais. C’est ma faute alors je vais vous payer. » Lui dis-je d’un ton qui lui ne laisser aucun choix de dire non et qui la dissuaderait de tous commentaire. Enfin je l’espérais. Je passais une main dans mes cheveux. « Comment ça s’est passé ? Il va s’en remettre ? » L’interrogeais-je, sincèrement intéressé. J’ignorais quelle heure il était mais le fait qu’elle soit restée en disant long sur elle même si je savais déjà que les animaux étaient important pour elle. Après tout elle s’était mis en danger pour en sauver non ?
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Dim 1 Mar - 12:01
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
J'avais vu des choses bien pire sur des animaux mais celui ci était tout de même dans un état grave, si je ne l'opérais pas d'urgence l’hémorragie interne qu'il subissait allé le tuer. J'avais conseillé à monsieur Hoover de rentrer chez lui, cette opération allait certainement durait plusieurs heures et cela ne servait à rien qu'il reste là surtout que je n'étais pas certaine qu'il en ait vraiment envie. Sans qu'il ait pu dire quoi que ce soit j'étais entrain de me préparer pour l'opération. Tout comme pour les humains rien n'est laisser au hasard. Je me mis au travail j'étais fatigué mais dans ce genre de moment je trouve toujours un moyen de rester éveillé et parfaitement concentré. Rien d'autre que mon opération ne comptait, si une bombe venait à exploser non loin de la clinique je ne m'en apercevrais même pas. Je terminais les sutures, le chien tait stable mais il allait falloir attendre 48h pour être certain qu'il soit tiré d'affaire. Une fois mis au calme et après avoir vérifié qu'il ne pouvait pas tirer sur ses pansements j'étais retourné à l'accueil et je ne pensais pas y retrouver ce pompier. J'étais surprise et je ne l'avais pas vraiment cacher. « Oui … Je … Enfin j’espère que ça pose aucun problème. Ça vous étonnes tant que ça ? » Me poser problème ? Non pas vraiment mais oui cela me surprenait. Durant l’intervention qui avait concerné une partie de ma clinique je n'avais rien vu chez cet homme qui laisser entrevoir son affection pour les animaux. Il avait après tout tenté de me dissuader de sauver les animaux restant. " Je dois admettre que oui je suis étonnée. " Que dire de plus ? C'était le cas après tout. Comme quoi juger les gens sur la première impression n'est pas toujours une bonne idée. « Je … Je vais payer les frais. C’est ma faute alors je vais vous payer. » Quoi ? Cela me coûtait de l'admettre mais je lui étais un peu redevable du fait que son équipe soit parvenu à sauver 2/3 de la clinique alors qu'il me paye cela ne m'enchantait pas vraiment. " Il en est hors de question, si j'ai pu le soigner c'est grâce à votre équipe, sans votre intervention tout ça serait un tas de cendre. Prenait ça comme un remerciement. " je n'en faisais pas souvent alors le mieux était qu'il accepte le compromis même si j'avais compris qu'il ne voulait pas me laisser le choix à la base. Je terminais de remplir le formulaire et le posais sur le comptoir, je croisais les bras sur ma poitrine tout en reposant mon regard sur monsieur Hoover. « Comment ça s’est passé ? Il va s’en remettre ? » Je passais ma main dans ma nuque, j'étais vraiment fatiguée à présent. " L'opération c'est bien déroulée, aucune complication. Cependant il faut attendre de voir si il va passé le seuil des 48h, si c'est le cas il sera tiré d'affaire. Vous voulez le voir ? " Après tout si cela pouvait le rassurer. Je pris la direction des coulisses de la clinique, une grande pièce avec de nombreux box ou nous soignons les animaux. Cela ne ressemblait en rien à des cages, c'était moderne et à la pointe de la technologie. Je m'arrêtais devant le box du Husky et passait ma carte magnétique sur le devant de la porte pour que celle-ci s'ouvre. Il était encore tout endormi bien que ses yeux se soit posé sur nous. Je lui caressais doucement la tête. " D'après moi il a 6 à 8 mois, c'est un magnifique chien. Il devait vivre dans la rue à en voir sa masse musculaire quasi inexistante, le faire grossir ne lui fera pas de mal. " Je lui fis une prise de sang rapide ce qui me permettrait de voir si il est porteur de maladie ou non, c'était plutôt important de le savoir.
Une chose est sur, je n’avais jamais imaginé passer ma soirée avec elle, dans sa clinique. Deux fois que l’on se croisait en peu de temps. C’était quand même bizarre comme coïncidences. " Je dois admettre que oui je suis étonnée. " Je la regardais un moment sans répondre avant de secouer la tête. Cette situation était vraiment plus que débile. « Ecoutez … C’est vrai que j’ai peut-être pas été tendre avec vois mais c’était pour votre propre sécurité et celle de mes gars. Vous vouliez sauver vos animaux et moi je voulais vous sauvez vous et mes gars, qui sont un peu comme mes animaux à moi. Mais vous devez aussi avouer que c’était pas très mâlin de risquer votre vie comme ça … » Lui dis-je en me mettant à rire sur la fin quelques secondes avant de reprendre mon habituel air trop sérieux. « Si j’ai été trop loin, je m’en excuse. » M’excusais-je même si je n’avais pas l’impression de lui devoir des excuses mais apparemment, elle considérait que j’étais aller trop loin. Je lui dis alors que j’aimerais payer les frais pour ce chien. C’était de mon avis la moindre des choses. Après tout c’était ma faute. Je fronçais les sourcils en voyant sa réaction. " Il en est hors de question, si j'ai pu le soigner c'est grâce à votre équipe, sans votre intervention tout ça serait un tas de cendre. Prenait ça comme un remerciement. " Me dit-elle soudain. « Mais je … Enfin je n’ai fais que mon métier vous savez. Je n’attend pas de remerciement ou de faveurs de vôtre part pour avoir faire mon boulot. » Je la regardais et décidais de laisser tomber. J’étais trop fatigué pour encore me battre contre elle pour des conneries. Je hochais la tête. « D’accord. » Abdiquais-je en la regardant. Plus je l’observais et plus elle me semblait être quelqu’un de compliqué. Je n’arrivais pas à la cerné et cela me perturbé beaucoup. Je crois qu’on était simplement parti du mauvais pied elle et moi. J’espérais que mes excuses calmerait les choses. C’était débile qu’il y est autant d’animosité entre nous. Je demandais ensuite des nouvelles de notre petit protégé. Je m’inquiétais pour lui. J’espérais qu’il allait vite s’en remettre. " L'opération c'est bien déroulée, aucune complication. Cependant il faut attendre de voir si il va passé le seuil des 48h, si c'est le cas il sera tiré d'affaire. Vous voulez le voir ? " J’étais un peu soulagé de savoir que ça c’était bien passé. C’était déjà ça. Il n’y avait plus qu’a attendre qu’il se remette doucement de sa mauvaise aventure. Je hochais la tête. Pourquoi pas. Je la suivais ensuite dans l’enceinte de sa clinique jusqu'à le pauvre chien blessé. Elle ouvrit la cage dernier cri. La porte s’ouvrit toute seule et elle s’accroupit auprès de lui afin de le caresser tendrement. " D'après moi il a 6 à 8 mois, c'est un magnifique chien. Il devait vivre dans la rue à en voir sa masse musculaire quasi inexistante, le faire grossir ne lui fera pas de mal. " Je m’accroupis aussi , la frôlant presque et approchais ma main vers le chien docilement couché dans son box, encore endormi par l’anesthésie . Suite à ses informations qu’elle me donnait, mon envie de m’occuper de ce chien après sa convalescence ne faisait qu’augmenter. Je souris en le caressant. « Ma fille serait folle de ce petit chien … Il est magnifique. Elle aimerait s’en occuper je crois. Vous croyait que ça pourrait être possible ? Elle serait folle de joie." Lui demandais-je en me tournant vers elle, souriant en pensant à ma fille. Enfin il fallait d’abord qu’il e remette totalement de son opération et que ses fractures soient guéries et d’après ce que je comprenais, ça prendrait un moment. Je continuais de caresser doucement le chien.
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Sam 7 Mar - 14:26
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
Comme quoi il m'arrivait de trop vite juger les personnes, c'était le cas avec ce pompier dont je ne connaissais toujours pas le prénom. J'avais vu en lui un simple homme préhistorique sans coeur prêt à laisser mes pauvres animaux sans aucun scrupule, et là je voyais une autre facette de lui. Il s'inquiétait vraiment pour ce chien je le savais bien mais étais-ce pas simple culpabilité ou réellement par regret ? « Ecoutez … C’est vrai que j’ai peut-être pas été tendre avec vois mais c’était pour votre propre sécurité et celle de mes gars. Vous vouliez sauver vos animaux et moi je voulais vous sauvez vous et mes gars, qui sont un peu comme mes animaux à moi. Mais vous devez aussi avouer que c’était pas très malin de risquer votre vie comme ça … » Je me mis à sourire d'avantage avant de lui répondre. " C'est drôle d'entendre ça d'une personne qui risque sa vie tout les jours pour sauver les autres. Avec vous c'est faite ce que je dis mais pas ce que je fais c'est vrai ? " Mon ton était plutôt amical, ce n'était pas vraiment un reproche, plus une constatation plutôt qu'autre chose. Ma vie m'appartient, si j'ai envie de la mettre en danger cela ne regarde que moi. Je comprenais cependant qu'il est simplement voulu faire son travail, tout comme je m'étais battu pour pouvoir faire le mien. « Si j’ai été trop loin, je m’en excuse. » Voilà qu'il s'excusait, un petit sourire s'afficha sur mes lèvres. " Vous m'avez quand même traité de dingue. Mais bon s'est oublié. " Dingue, je l'étais certainement un peu sur les bords, la vérité étant que je n'aurais pas supporté de savoir que des animaux sous ma responsabilité seront mort sans que je me batte jusqu'au bout, mon métier est toute ma vie, c'est la seule chose que je réussis à faire correctement, je ne voulais pas perdre ça. A présent nous nous battions presque pour savoir qui allait payer les frais de cette opération, pour moi c'était tout vu et il ne me ferait pas changer d'avis. « Mais je … Enfin je n’ai fais que mon métier vous savez. Je n’attend pas de remerciement ou de faveurs de vôtre part pour avoir faire mon boulot. » Je le regardais simplement sans ouvrir la bouche pour lui faire comprendre que cette conversation était dèja terminée, il ne paierait pas les frais. Il finit par battre en retraite. « D’accord. » Un sourire radieux s'afficha alors sur mon visage malgré la fatigue. " Bien." Je lui avais ensuite donné des nouvelles du chiens, et l'emmenais derrière pour qu'il puisse le voir, il était encore tout endormi ce qui était normal, l'anesthésie reste quelque chose de dangereux pour les animaux, il arrive que parfois ils ne se réveillent tout simplement pas. Il s'accroupit également à mes côtés pour caresser le chien, il était assez proche et ça me déstabilisé un peu. « Ma fille serait folle de ce petit chien … Il est magnifique. Elle aimerait s’en occuper je crois. Vous croyait que ça pourrait être possible ? Elle serait folle de joie." Il voulait la garde du chien ? Je restais quelques secondes à le regarder voir si c'était une blague ou non. Je me levais pour aller chercher un petit boitier et le passer par dessus tout le corps du chien. " Il n'a pas de puce électronique et aucun tatouage, légalement il n'appartient à personne, je pense donc qu'il n'y aura aucun soucis. Vous êtes tout de même conscient que c'est une responsabilité, vous avez un travail qui demande beaucoup de temps et le Husky est un chien très actif qui demande beaucoup d'attention. " Ce n'est pas un chien qu'il faut prendre pour faire beau. De part sa demande je venais d'apprendre qu'il avait une fille, j'eus un petit pincement au coeur, cela me rappelait que moi je n'en avais pas. Je me suis toujours dit que ce n'était pas ma priorité et maintenant ? C'était peut-être trop tard pour que j'en ai un jour.
Luttant véritablement pour ne pas envenimer les choses avec elle, je m’excusais, lui expliquant les raisons de mon comportements lors de notre première rencontre. J’avais peut-être pas été des plus diplomate mais elle n’était pas toute blanche non plus. Elle s’était mise en danger. Elle nous avait aussi mis en danger moi et mes gars. C’en était fallu de peu avant que le toit ne nous tombe sur la tête par ce qu’évidemment j’avais été assez stupide pour m’élancer après elle. Non, elle avait aussi des torts mais je voulais quand même essayer d’apaiser les choses. Après tout elle aussi n’avait voulu que faire son travail elle aussi. Tout c’était bien fini, il était temps que nous passions à autre chose, enfin si elle était décidée. Elle se mit à sourire et instinctivement je su que j’aurais jamais du faire ça. " C'est drôle d'entendre ça d'une personne qui risque sa vie tout les jours pour sauver les autres. Avec vous c'est faite ce que je dis mais pas ce que je fais c'est vrai ? " Je la regardais. Ce n’était pas aussi piquant que je ne le pensais. Son ton était même plutôt amicale en faite. J’avais vraiment du mal à savoir sur quel pied danser avec cette femme … C’était vraiment une énigme pour moi et ça m’énervais. « Peut-être. Sauf que moi je suis entraîner pour ça, pas vous. Ça fait plus de 15 ans que je suis pompier. Que ça vous plaise ou non j’ai agis comme je le devais. Imaginez que je décide d’intervenir dans l’une de vos opérations, vous réagiriez j’en suis sur de la même façon que moi. Et vous auriez raison. Chacun ses compétences. C’est tout. » Claquais-je en haussant les épaules, plus fermement que je ne l’aurais du. Comme si je n’avais pas appris ma leçon, je m’excusais encore, une fois pour toute. " Vous m'avez quand même traité de dingue. Mais bon s'est oublié. " Je la regardais, hochant simplement la tête. « Merci. » Dis-je simplement. Une chose est sur, nous avions deux forts caractères et il n’était pas étonnent que cela est fait des étincelles. Plus tard, on se chamailla encore pour savoir lequel de nous deux aller payer les frais. Pour moi il était logique que cela soit moi. Après tout j’étais le responsable et ça ne me dérangeais pas de payer. Il fallait bien que quelqu’un le fasse mais elle me surprit en disant qu’il en était hors de question, qu’elle payerait elle-même. J’eu beau protester, elle ne me laissa pas le choix. Lasse et épuisé par ma journée, je capitulais et la laissais avoir le dernier mot. Un grand sourire de satisfaction apparu sur ses lèvres et je ne sais pas pourquoi, je ne pu faire autre chose que de sourire moi-même. " Bien." Me dit-elle, certainement fière d’elle et aussi crevée que je l’étais. Je la regardais, intriguée je dois bien l’avouer. « Vous ne lâchez jamais rien pas vrai ? Toujours à vouloir avoir le dernier mot ? » Lui dis-je gentiment, plus sur le ton de la confidence que du reproche. Je soupirais, la fatigue prenant de plus en plus possession de moi. On alla ensuite auprès de chien blessé et je lui avouez sans aucunes raisons que Kendall, ma fille, serait aux anges si je rentrais un jour avec un chiot aussi mignon qu’il l’était. Enfin, je l’ai tellement peu souvent que cela serait plus mon chien que le siens mais je sais qu’elle serait folle de joie et je voulais le rendre heureuse, le plus souvent possible. J’étais légèrement perdu dans mes pensées et quand je la regardais, elle était entrain de m’observer, jugeant sûrement ma demande. Elle alla cherché boîtier et la place au dessus du chiot. Je la laissais faire. " Il n'a pas de puce électronique et aucun tatouage, légalement il n'appartient à personne, je pense donc qu'il n'y aura aucun soucis. Vous êtes tout de même conscient que c'est une responsabilité, vous avez un travail qui demande beaucoup de temps et le Husky est un chien très actif qui demande beaucoup d'attention. " Je hochais la tête. Non, je n’étais pas le genre d’homme à prendre des décisions sans y réfléchir un minimum. Si j’avais avancer ce souhait c’était que j’étai conscient de ce que cela voulait dire. « J’en suis conscient oui. Je compte le prendre avec moi à la caserne, il sera notre mascotte et comme ça il pourra se dépenser et avoir l’attention dont il a besoin. Nous faisons régulièrement des entraînements pour garder notre forme, il se dépensera comme il faut. Je crois qu’il ne manquera de rien … J’y veillerais. Je vous le promet. Vous pourrez même venir vous en assurez si vous n’avez pas confiance. » Lui assurais-je en la regardant dans les yeux.
Je regardais furtivement ma montre. Ouais, il était vraiment tard. Je caressais encore le chiot qui ne disait rien, lui aussi trop fatigué avec toutes ses émotions. Je me redressais et baissais les yeux vers la jeune femme. « Ca va vous paraître sûrement bizarre et vous aimeriez sûrement rentrer chez vous mais est ce que cela vous direz de venir boire un verre, avec moi ? Histoire de fêter le énième animal que vous sauvez et pour enterrer la hache de guerre. » Lui demandais-je en ne sachant vraiment pas quelle serait sa réponse. J’avais beau être au bord du coma, j’étais certain de ne pas pouvoir m’endormir tout de suite. Je la regardais et contre toute attente elle accepta. J’étais agréablement surpris. Elle finit ce qu’elle avait à faire, ferma la clinique et on se rejoIgnit dans un bar pas loin. Arrivé le premier, je l’attendais devant la porte. Une fois qu’elle m’eut rejoint, on entra et on s’assit à l’une des tables de libre à cette heure. On s’assit et on commanda nos verres. « Alors, ça fait combien de temps que vous êtes vêto ? Vous avez toujours voulu faire ça ? » Lui demandais-je pour faire la conversation et en apprendre plus sur elle.
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Sam 14 Mar - 22:32
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
Nous étions encore entrain de débattre, il avait fait son travail c'est un fait mais j'avais fait le mien, et je pense avoir le droit autant que lui de vouloir mettre ma vie en danger pour les autres. Les autres étaient ici des animaux mais pour moi il n'y avait pas de différence. « Peut-être. Sauf que moi je suis entraîner pour ça, pas vous. Ça fait plus de 15 ans que je suis pompier. Que ça vous plaise ou non j’ai agis comme je le devais. Imaginez que je décide d’intervenir dans l’une de vos opérations, vous réagiriez j’en suis sur de la même façon que moi. Et vous auriez raison. Chacun ses compétences. C’est tout. » Je m'étais montré je pense assez calme et voilà qu'il me répondait sur un ton beaucoup plus sec, mon sourire disparu doucement, non je n'allais pas m'nervé j'étais bien trop fatigué pour ça et puis de toute manière si c'était à refaire je le ferais de nouveau. Je lui rappelais cependant qu'il m'avait traité de folle, mais tout ça était le passé et je n'avais pas envie d'y repenser d'avantage. J'acceptais ses excuses. « Merci. » Un petit sourire s'afficha à nouveau sur mes lèvres. Voilà que ce soucis était réglé mais un autre se mit encore entre nous, une nouvelle fois nous étions en désaccord sur qui devait payer les frais de l'opération, je voulais les prendre à ma charge et lui à la sienne, autrement dit nous ne voulions pas lâcher ni l'un ni l'autre, on se ressemblait assez de ce point de vue la je pense, deux belles tête de mule faite pour toujours être en désaccord. Au final c'est moi qui eut gain de cause, j'étais assez fière de moi je dois l’admettre.Un partout la balle au centre comme on dit. « Vous ne lâchez jamais rien pas vrai ? Toujours à vouloir avoir le dernier mot ? » Mon souris s'agrandis encore un peu, il commençait à me cerné. " Non je ne lâche jamais, je dois admettre que j'aime avoir le dernier mot, oui. Mais bon vous l'avez bien compris maintenant je pense. " Entre notre rencontre et cette soirée, je pense que oui ça il avait dut bien le comprendre. Je l'avais ensuite conduit au chien qu'il avait amené, il était encore faible sous le coup de l’anesthésie, il nous regardait sans vraiment nous regarder. Il voulait l'adopté, le chien n'appartenait à personne apparemment et rien n'allait contre cette idée, cependant, je devais m'assuré qu'il soit prêt à s'occuper de lui, à prendre du temps pour lui car le métier de pompier est certainement un métier très prenant tout comme le mien. « J’en suis conscient oui. Je compte le prendre avec moi à la caserne, il sera notre mascotte et comme ça il pourra se dépenser et avoir l’attention dont il a besoin. Nous faisons régulièrement des entraînements pour garder notre forme, il se dépensera comme il faut. Je crois qu’il ne manquera de rien … J’y veillerais. Je vous le promet. Vous pourrez même venir vous en assurez si vous n’avez pas confiance. » Je dois dire que l'idée était plutôt bonne, une caserne de pompier allait être un environnement un peu difficile pour un chien cela dit, les sirènes qui retentissent, les camions qui partent à tout allure, il allait devoir faire très attention. " C'est un environnement un peu stressant pour un chien.. on peut faire une période d'essai ? Si vraiment le chien ne s'adapte pas à sa vie de mascotte il faudra lui trouver autre chose, pour son bien à lui évidemment. " Si il venait à être malheureux là bas cela ne servirait à rien, cependant on pouvait toujours essayé, un husky s'adapte facilement. Il était temps de le laisse se reposer il avait eu beaucoup d'émotion aujourd'hui et il devait se battre pour rester en vie à présent. Je me remis debout et écouter ce qu'il avait à me dire. « Ca va vous paraître sûrement bizarre et vous aimeriez sûrement rentrer chez vous mais est ce que cela vous direz de venir boire un verre, avec moi ? Histoire de fêter le énième animal que vous sauvez et pour enterrer la hache de guerre. » Je le regardais plusieurs secondes avant de réaliser qu'il voulait aller boire un verre avec moi. J'allais bien sur refusé au vue de l'heure et de la fatigue qui était maître de mon corps. " Je .. D'accord, avec plaisir. " Quoi ?! Ce n'est pas ce que je voulais répondre à la base mais il était trop tard à présent, oh et puis sortir un peu me ferait du bien je pense. Je vérifiais encore quelques petites choses, donner les directives au auxiliaire qui restaient là la nuit puis fermer la porte derrière elle, seul une urgence pourrait me refaire revenir ce soir. J'entrais dans le bar et trouvais rapidement le pompier du regard, oui parce que je ne connais toujours pas son nom .. Je m'assis en face de lui et commander une boisson à base d'alcool, je suis majeure et vacciné après tout ! « Alors, ça fait combien de temps que vous êtes vêto ? Vous avez toujours voulu faire ça ? » Je souris, puis répondis. " Ca fait .. 8 ans que j'exerce ce métier et oui j'ai toujours voulu être vétérinaire. Et vous ? Au fait au va commencé par le début, je m'appelle Zoey. " Je lui tendis la main pour le saluer officiellement.
" Non je ne lâche jamais, je dois admettre que j'aime avoir le dernier mot, oui. Mais bon vous l'avez bien compris maintenant je pense. ” Me répondit-elle simplement. Je ris en hochant la tête. « C'est très clair même. » Confirmais-je en essayant de garder mon sang froid. Je ris une nouvelle fois sans pouvoir me contrôler. Il est certain que cette femme n'avait pas sa langue dans sa poche et un fichu caractère. J’étais un peu comme ça aussi mais cela ne m’expliquer pas pourquoi elle me mettait autant les nerfs a vif et pourquoi j’avais du mal à la cerner. Elle était une énigme. Aussi mystérieuse et intrigante qu’agaçante. Puis pour changer de sujet et après avoir fait acte de paix, je lui parlais de mon projet d’adopter quand il irait le petit imprudent de ce soir. Ma fille en serait folle et puis j’avais toujours voulu un chien. C’était les meilleurs compagnons qui soient. La jeune femme semblait retissante alors j’essayais de la rassurer aux maximum tout en écoutant ses conseils puisque qu’après tout c'était bel et bien elle la spécialiste. Je voulais que ce petit bonhomme soit heureux et en pleine forme puisque cela ne semblait pas avoir été tellement le cas jusque là. " C'est un environnement un peu stressant pour un chien.. on peut faire une période d'essai ? Si vraiment le chien ne s'adapte pas à sa vie de mascotte il faudra lui trouver autre chose, pour son bien à lui évidemment. " M’expliqua t-elle. C'est vrai que je n'avais pas vu les choses sous cette angle là. Il y aurait toujours quelqu'un avec lui a la caserne mais il est vrai que c’était jamais vraiment super calme là-bas. « Oui oui. C’est d’accord pour la période d’essaie. Je ferais en sorte d’écouter tout vos conseils. Je veux vraiment qu’il s’adapte bien. » Lui certifiais-je en souriant légèrement sur la fin. Je voulais vraiment que ça marche et pour ça j’étais prêt a écouter tout ses conseils et ça sans discuter. Je voulais ce qu’il y avait de mieux pour ce chien qui en avait déjà tellement vu de mauvaises.
Il était tard. Elle comme moi avions eu une grosse journée. On décida de laisser le chien se reposer avec sa mésaventure. Il n’avait plus qu'à vite se remettre et j’étais certain que cela serait le cas avec les soins de la jeune femme qui semblait être, tout comme moi, dévouée à son travail. J’étais épuisé mais contre tout attente je décidais de lui proposer d’aller prendre un verre avant qu’on rentre une fois pour toute chez nous. Je me préparais mentalement à ce qu’elle dise non. Je ne savais pas moi même pourquoi je lui avais proposer ça. Alors quand elle me répondit, je restais surpris. " Je .. D'accord, avec plaisir. " Je souris en hochant la tête, ravi mais surpris. On se retrouva donc ensuite dans un bar pas trop loin de la clinique. J'ai pensé que cela serait mieux si il fallait qu’elle retourne à la clinique pour une urgence. On se trouva une place. On commanda et puis je lui posais des questions pour mieux la connaître, notamment concernant son boulot. C’était la seule chose d’elle que je connaissais. Ça et son caractère. " Ca fait .. 8 ans que j'exerce ce métier et oui j'ai toujours voulu être vétérinaire. Et vous ? Au fait au va commencé par le début, je m'appelle Zoey. " Me répondit-elle en se présentent par la même occasion. Je remarquais que maintenant que je ne connaissais même pas son prénom avant de venir ici et elle ne connaissait pas le miens. Je ris légèrement en prenant la main qu'elle me tendait. « Alexander ou Alex. Enchanté Zoey. » Lui dis-je en la regardant, souriant. Les présentations étaient maintenant faites. « Moi ? Je suis issus d'une famille de pompier du coup je suis tombais dedans depuis petit. Ça fait bien 20 ans que je suis à la caserne. J'ai commencé en tant que pompier volontaire dès que j'ai eu l’âge. Je ne me vois vraiment rien faire d’autre. C'est un métier passionnant » Lui appris-je en la regardant avant d’attraper mon verre que je sirotais tranquillement en le dégustant. « Vous avez de la famille dans le coin ? Un copain un mari capable de vous supportez ? » La taquinais-je, amusé en espérant qu'on avait dépasser ce stade et qu’elle ne m'en voudrait pas. C’etait une manière comme une autre d’en savoir plus sur elle et si elle avait quelqu’un dans sa vie. Pas que je m'en soucis vraiment mais bon.
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Sam 4 Avr - 16:34
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
Pourquoi niais le fait que oui j'aime avoir le dernier mot ? J'ai toujours été comme ça, je n'aime ni avoir tord ni laisser les autres avoir le dernier mot. Ca fait partit de moi et de mon sale caractère, je suis juste une personne têtu et déterminée, je ne vois pas ça comme un défaut personnellement. « C'est très clair même. » Je souris amusé moi aussi, je dois avoué que je lui en avais déjà fait la démonstration à plusieurs reprises. Il voulait adopté le jeune chiot qu'il avait renversé, c'était tout à son honneur mais le fait qu'il veuille en faire une mascotte me déranger un peu. Un chien a besoin de repère tout comme nous et une caserne n'est pas le lieu idéal pour cela. Certain chien son capable d'une telle adaptation mais rien ne disait que ce chien en particuliers y arriverait. Je lui proposais donc un compromis, une période d'essai mais il allait devoir déjà lui laisser le temps de se rétablir de son opération. « Oui oui. C’est d’accord pour la période d’essaie. Je ferais en sorte d’écouter tout vos conseils. Je veux vraiment qu’il s’adapte bien. » Au vue du personnage je savais déjà que cela n'allait pas être simple, cependant j'avais envie de lui faire confiance, je le regardais un instant avant de dire. " D'accord, on fera comme ça, mais je vais déjà devoir le garder en observation un petit moment. " Il était temps de laisser notre ami à quatre pattes respiré, il avait un long chemin a parcourir à présent. Contre toute attente cet homme dont je ne connaissais toujours pas le nom m'invita à prendre un verre, instinctivement je voulais refusé mais le contraire se produisit et voilà que je venais de le rejoindre à l'intérieur. Cela allait me faire du bien de sortir un peu, de parler avec quelqu'un d'autre qu'un membre de mon personnel ou qu'un animal que je soigne. Je me présentais à lui cela me déranger de ne pas connaître au moins son prénom. « Alexander ou Alex. Enchanté Zoey. » Je lui souris. Alexander. Un prénom plutôt viril qui lui allait plutôt bien je trouve. « Moi ? Je suis issus d'une famille de pompier du coup je suis tombais dedans depuis petit. Ça fait bien 20 ans que je suis à la caserne. J'ai commencé en tant que pompier volontaire dès que j'ai eu l’âge. Je ne me vois vraiment rien faire d’autre. C'est un métier passionnant » En tout cas on pouvait facilement ressentir la passion pour son métier quand il en parlait, c'était fort. Cela me dit pensé à mes parents du coup, du moins à ma mère, elle m'avait toujours dit qu'elle aurait aussi beaucoup aimé faire mon métier, peut-être que nos métiers sont lié à la génétique après tout ? " Je trouve que vous faite un métier honorable Alex, il n'est pas simple, vous demande beaucoup de temps, d'énergie et de sacrifices j'imagine tout comme le mien me coute à moi aussi. Mais tout comme vous je vis de ma passion et c'est pour moi le plus important. " Un nouveau sourire s'affiche sur mes lèvres tandis que je bois tranquillement mon verre, l'alcool a d'ailleurs le don de me redonner de l'énergie, je me sens beaucoup moins fatigué. « Vous avez de la famille dans le coin ? Un copain un mari capable de vous supportez ? » Je le regardais avec un air faussement choqué, je me mis à rire, au moins il était franc et ne manquez pas d'air. " Il y a eu un homme oui mais il m'a demandé de choisir entre lui et mon travail. J'ai fais mon choix. J'ai une petite sœur qui vit ici aussi sinon non je n'ai personne d'autre. " J'avalais une nouvelle gorgée histoire de faire passé tout ça, c'est un de mes regret de n'avoir personne qui m'attend le soir chez moi, dormir dans un lit froid toute les nuits. A côté de ça j'ai une professionnelle super et je ne m'en plains pas. " Et vous ? J'ai cru comprendre que vous aviez une petite fille ? Elle a qu'elle âge ? Comment sa mère fait pour vivre avec un maniaque du contrôle ? " Je souris taquine, il voulait joué, je jouais aussi moi.
Après s’être beaucoup pris le bec, voilà qu'on prenait un verre ensemble. La vie pouvait vraiment vous surprendre parfois. J'aurais jamais cru que je pouvais l’inviter à boire un verre et j’aurais encore moins cru qu’elle puisse accepté mon offre. Elle semblait elle même si prise d’avoir accepter et je me bizarrement heureux qu’elle l’ait fait. Nous étions donc assis l’un en face de l’autre, à faire connaissance. On ne connaissait même pas nos prénoms respectifs et on était quand même là. " Je trouve que vous faite un métier honorable Alex, il n'est pas simple, vous demande beaucoup de temps, d'énergie et de sacrifices j'imagine tout comme le mien me coute à moi aussi. Mais tout comme vous je vis de ma passion et c'est pour moi le plus important. " Elle sourit avant de s’occuper de son verre. Je lui souris. A bien y regarder nous avions en faite bien plus de point commun qu'on ne le pensait au départ. Nous avions tout les deux des boulots qui relevait plus de la passion que d’un vrai travail. Ils nous demandait beaucoup de sacrifice. Notamment personnel. La preuve. J’étais un père célibataire qui ne voyait sa fille qu’un week-end sur deux. Sa mère me répétait toujours que j’étais plus marié à mes hommes et à mon uniformes qu’a elle. Avec le recul, elle n’avait peut-être pas tout à fait tord. J’aime mon travail. J’aime sauver des vies et me sentir utile. Ça ne changerait pas. Pas après toute ses années. « Les sacrifices, ça fait bien longtemps que j’ai appris à vivre avec eux et leurs conséquences. J’aime mon métier et je vis pour ça. » Je lui souris après avoir finit ma tirade plus que guimauve. « Vous voyez qu’en cherchant bien, on en a des points communs ! » Je lui fis un clin d’oeil, taquin et complice. Au moins elle me comprenait et ne me jugeait pas. Tout comme je comprenais sa dévotion à son job. Au détriment du reste parfois. Je la respectais pour ça sans même réellement la connaître. Je lui demandais ensuite si elle avait quelqu'un dans sa vie qui serait assez fou pour la supporter. C’était une blague et elle sembla bien s’en rendre compte. Je crois qu’on avait dépasser ça maintenant elle et moi. " Il y a eu un homme oui mais il m'a demandé de choisir entre lui et mon travail. J'ai fais mon choix. J'ai une petite sœur qui vit ici aussi sinon non je n'ai personne d'autre. " Me répondit-elle. Je la regardais sans rien dire, en buvant mon verre pour cacher ma honte. Ainsi donc elle n’avait personne. Encore une fois, nos expériences semblaient similaires. « Je suis désolé pour vous. » Dis-je simplement, ne sachant pas quoi dire d’autres. Y avait-il seulement quelques choses a dire ? Je ne pense pas. " Et vous ? J'ai cru comprendre que vous aviez une petite fille ? Elle a qu'elle âge ? Comment sa mère fait pour vivre avec un maniaque du contrôle ? " Je souris. Elle était douée. J’avais apparemment trouver un adversaire coriace. Bien jouée veto. Je buvais une gorgée de mon verre avant de lui répondre. Je reposais mon verre sur la table pendant sur le liquide glissait dans ma gorge. Je ne buvais pas souvent d’alcool. Habitude que j'avais pris il y bien longtemps mais je dois avouer que ce soir, je l’appréciais. Peut-être même un peu trop. « Elle vit avec un autre. Voilà comment elle fait. » Je souris avant de secouer la tête et de reprendre une gorgée de mon verre. « Je suis divorcé. Je n’ai la garde de la fille qu’un week-end sur deux. Sa mère aussi m’a demandé de choisir. Sois disant qu’elle ne supportait plus de vivre avec un homme qui était plus marié à son job qu’à elle. Kendall a 7 ans. C’est mon ange. Mon petit trésor. Rien ne compte plus qu’elle dans ma vie. » Lui appris-je en souriant tristement. Je jouais avec mon verre. Puis je m’arrêtais et la regarder. « Moi je pense qu’il doit bien s’en mordre les doigts se don Juan qui vous a laissée tomber. » Clamais-je en souriant avant de reporter une nouvelle fois mon verre à la bouche. Elle n’était pas comme les autres cette fille. Et au delà de son caractère, elle semblait plutôt sympa en faite.
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Lun 6 Avr - 18:39
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
Je ne m'étais pas imaginé un seul instant en compagnie d'Alexander entrain de prendre un verre et pourtant c'est bien ce qui était entrain de ce passé. J'avais envie de me pincer voir si cela était réel mais il était évident que oui ça l'était. Il avait bel et bien renversé ce chien et il était bien venu à ma clinique pour que je lui sauve la vie. C'était donc peut-être tout à fait normal de ce retrouver ici après de telles émotions ? A présent nous parlions de nous et plus particulièrement de cette passion que nous pouvions ressentir pour nos métiers respectifs. Je dois die que cela me faisait du bien de voir que je n'étais pas la seule à vivre ce genre de chose, de nombreuses personnes m'avaient assez reprocher mon investissement extrême dans mon travail. " « Les sacrifices, ça fait bien longtemps que j’ai appris à vivre avec eux et leurs conséquences. J’aime mon métier et je vis pour ça. » Je souris à nouveau levant mon verre. " A nos métier et à nos passions. " Terminant mon verre j'en commandais un autre, la fatigue semblait bien lointaine à présent." « Vous voyez qu’en cherchant bien, on en a des points communs ! » Je me mis à rire, avec des points communs avec lui je dois dire que je pensais ça improbable il y a encore quelques heures. " Comme quoi tout est possible. " On se mit alors à parler d'un sujet un peu plus sensible, du moins il l'a été, c'est du passé à présent. Je suis resté quelques années avec un homme, Diamon, tout semblait simple avec lui, tout c'était fait tout seul. Peut-être trop simple au final ? Il me reprochait d'être plus attentive aux besoins des animaux qu'aux siens et finalement il m'avait posé un ultimatum. Ca avait été difficile mais rien que le fait qu'il me demande ça m'avait décidé. " « Je suis désolé pour vous. » Je souris doucement relevant mon regard sur lui. " Ne le soyez pas, c'est du passé, il ne faut pas vivre avec des regrets je préfère me dire que c'était la meilleure chose à faire. " Au moins s'était clair. Puisqu'il avait joué les taquins avec moi j'avais décidé d'en faire autant lui posant des questions sur sa fille dont il m'avait brièvement parler et de la maman de celle-ci. Au vu de son sourire je pense que j'avais eu raison de le faire. " « Elle vit avec un autre. Voilà comment elle fait. » J'avais envie de rire et de pleurer en même temps, je venais de mettre les pieds dans le plat. " Oh.. Désolé. " Je replaçais une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et bu une autre gorgée l'écoutant. " « Je suis divorcé. Je n’ai la garde de ma fille qu’un week-end sur deux. Sa mère aussi m’a demandé de choisir. Sois disant qu’elle ne supportait plus de vivre avec un homme qui était plus marié à son job qu’à elle. Kendall a 7 ans. C’est mon ange. Mon petit trésor. Rien ne compte plus qu’elle dans ma vie. » On avait effectivement beaucoup de points commun, c'était triste comme histoire, je n'ai pas d'enfants mais j'ai quasiment élevé ma petite sœur, je pense donc savoir ce que l'on ressens. " Ca ne doit vraiment pas être facile pour vous, j'ai quasiment élevé ma petite sœur donc j'imagine assez facilement ce que ça fait que de voir sa fille un week end sur deux. " Cela me faisait pensé que dès demain je devais appelé ma petite sœur pour que l'on se fasse un week end rien que toutes les deux, ça me manquer nos moments mais j'étais consciente qu'elle aussi avait sa vie à construire à présent. Je l'observais joué un instant avec son verre puis il releva le regard dans le mien. « Moi je pense qu’il doit bien s’en mordre les doigts se don Juan qui vous a laissée tomber. » Un sourire s'afficha doucement sur mes lèvres, dans le fond j'espérais qu'il avait raison. Je levais à nouveau mon verre et le termina d'un trait. Quelques verres plus tard.. Je dois avoué que j'étais à présent dans un état second, je tentais d'expliquer à Alexander comment faire un plâtre à une tortue, comment nous étions arrivé à ce sujet ? Je n'en savais strictement rien ! Quoi qu'il en soit nous en rigolions bien en tout cas. Je regardais ma montre. " Houlllaaaa il faudrait peut-être rentré non ? Je vous raccompagne chez vous ? Il vous faut assurément un garde du corps ! " Je restais sérieusement trois secondes avant de mettre à rire.
On en vint à parler de nos vies personnelles. D’habitude je n’étais pas tellement du genre bavare mais là, je répondais à ses questions sans trop de difficulté. A force de chercher à apprendre à nous connaître, on se rendait finalement compte qu’on avait pas mal de point commun bizarrement. Je n’aurais jamais cru ça possible. Notre rencontre ne s’était pas faite dans les meilleures conditions mais j’étais content qu’on ait réussi à dépasser ça pour se retrouver à boire un verre l’un en face de l’autre à parler de tout et de rien comme de sujet plus intimes et personnels. C’était incroyable comment les choses pouvaient évoluer rapidement après une nuit bien agité. Je n’en revenais pas. " Ca ne doit vraiment pas être facile pour vous, j'ai quasiment élevé ma petite sœur donc j'imagine assez facilement ce que ça fait que de voir sa fille un week end sur deux. " Je levais les yeux sur elle. La plupart de mes collègues et amis me disaient la même choses. Qu’ils comprenaient. Pourtant, même si je les remerciais de me soutenir, je doutais véritablement qu’ils comprennent ce que je vivais. Mais elle … Son regard et ses mots ne mentaient pas. Je savais qu’elle me comprenait, qu’elle ne disait pas simplement ça par habitude, par compassion, ou encore par pitié. Je prenais alors mon verre et le finissait. C’est ce que c’était bon ses choses là et que ça glissait tout seul dans le gosier. Je reposais mon verre vide, l’air plus sombre à ressasser de mauvais souvenirs. « C’est parfois un véritable enfer mais le pire c’est de me dire qu’elle a besoin de moi et que je ne peux pas être autant présent pour ma fille que j’aimerais l’être. Elle a aussi besoin de moi et j’ai peur qu’elle pense que je ne bat pas pour elle, que je la laisse tombée. J’essaye de faire au mieux pour qu’on passe d’excellent moment ensemble même si je sais que ça ne compensera jamais mon absence dans sa vie. » Soupirais-je alors qu’en parle me mettais mal à l’aise. Kendall était la meilleur chose que j’ai faite dans ma vie et de loin. Je ne suis pas parfait mais quand elle est là, je fais de mon mieux pour être le père qu’elle mérite. Je refusais de la décevoir. Je haussais les épaules pour chasser un peu cette mélancolie qui s’empare de moi dès que je parle de ma fille. Voilà aussi pourquoi je me réfugie dans mon travail, qui a être vraiment obtus et parfois ne pas réagir de la meilleure façon possible. pour changer de sujet, je disais à la jeune femme en face de moi que de mon avis, l’homme qui l’avait lâchement abandonner à cause de son implication dans son boulot devait forcément en baver. J’ignore pourquoi j’ai dis cela. Sûrement l’alcool qui commençait déjà à parler pour moi. Je ne regrettais pourtant pas de lui avoir dit car c’était tout à fait vrai. Le peu que je connaissais d’elle me disait bien qu’elle était une personne formidable, passionnée, intelligente et magnifique pour couronnait le tout. Il fallait être aveugle pour ne pas voir qu’elle avait tout pour plaire. Pour me plaire. Elle me sourit avant de finir à son tour son verre d’une traite. Une chose est sur, cette femme est loin d’être comme les autres. Et j’aime ça.
On reste assis, dans ce bar, à parler de tout et de rien, à apprendre à nous connaître de mieux en mieux en buvant des verres. Verres qui s’enchaînent plus rapidement qu’ils ne l’auraient du. Sûrement trop même. Mais on est là, on passe un bon moment et on en oublis d’être raisonnable. Ma tête me tourne légèrement, j’ai chaud et mon cœur s’emballe. On rit beaucoup et cela me faisait le plus grand bien et à elle aussi apparemment. On en vint à parler de plâtre et de tortue. On passait vraiment un bon moment et je crois qu’on commençait vraiment à être bien éméchés. En tous cas, ce que je savais c’est qu’elle était super marrante et vraiment sublime cette vétérinaire au fort caractère. Elle regarda sa montre. " Houlllaaaa il faudrait peut-être rentré non ? Je vous raccompagne chez vous ? Il vous faut assurément un garde du corps ! " Je la regardais, elle son air mystérieux mais légèrement flou. Je la fixais en passant une main dans mes cheveux et en consultant moi aussi ma montre dont les aiguilles bougées quand même beaucoup … Je grognais doucement alors qu’elle se mettait à rire. « Oui. Vous avez raison. On devrait rentrés ! Vous avez des animaux et moi des hommes à sauvés demain. On compte sur nous ! Mais c’est moi qui vous raccompagne. Après tout, c’est moi l’homme, c’est à moi de jouer les gardes du corps. Je voudrais pas qu’il vous arrive quelques choses sur la route. Je veux être sur que vous soyez rentré saine et sauve. » Lui dis-je en la regardant un peu éméché mais tout en étant sérieux. Je ne voulais pas qu’il lui arrive quelques choses. Après tout c’était mon idée de venir boire un verre … ou 10. Je ne sais plus. Je me levais de la chaise ou j’étais rester trop longtemps assis. « Bon, je vais régler et on y va. » Je lui souris avant d’aller régler au bar nos consommations. Nous avions vraiment passés une super soirée même si elle n’avait pas bien commencée.
Après avoir payé, On sortit alors dans l’air frais de la nuit. Cela me fit du bien et éclaircis un peu mes pensées. On alla jusqu'à ma voiture et je la laissais me guidés jusqu'à chez elle en lui promettant de l’aider à aller reprendre sa voiture le lendemain. Durant le trajet, on continua de parler et de rire. Je me garais près de chez elle. « Et voilà. Home sweet home. » Lui dis-je en souriant, enfiévré par l’alcool qu’on avait bus ce soir.
Mes lèvres sur les siennes l’embrassant passionnément. Mes mains parcourant son corps frissonnant sous mes doigts. Notre étreinte est fougueuse et passionnée. Nos gestes instinctifs et presque primitif. Je ne me contrôle plus. Nos fringues finissent sur le sol à mesure qu’on se dirige vers le canapé, la chambre. Je n’en sais rien et je m’en fou.
✱ COLOCATAIRES : Je vis seule dans ma grande maison
Mar 14 Avr - 18:21
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
J'avais bien fait d'accepter ce verre, j'apprenais peu à peu à le connaître et je découvrais que sous cette épaisse carapace se trouvé un cœur plus sensible que je ne l'aurais cru. On parlait de sa fille et je voyais bien dans son regard qu'il souffrait de la distance qu'il y avait entre elle et lui. J'étais triste de savoir qu'il ne pouvait pas être aussi présent qu'il le voulait. Pour une fois qu'un père veut s'impliquer dan son rôle voilà qu'on l'en empêche. "« C’est parfois un véritable enfer mais le pire c’est de me dire qu’elle a besoin de moi et que je ne peux pas être autant présent pour ma fille que j’aimerais l’être. Elle a aussi besoin de moi et j’ai peur qu’elle pense que je ne bat pas pour elle, que je la laisse tombée. J’essaye de faire au mieux pour qu’on passe d’excellent moment ensemble même si je sais que ça ne compensera jamais mon absence dans sa vie. » Instinctivement je posais ma main sur la sienne en signe de réconfort, je pouvais facilement comprendre ce qu'il pouvait ressentir. " Vous lui avez dit ? Il faut lui dire tout ça, qu'elle le sache même si je suis certaine qu'elle le sait déjà. Et puis même sans être là physiquement il y a bien des moyens d'être présent dans sa vie, c'est sur que ça ne sera jamais comme ci vous étiez la avec elle mais vous faite votre maximum et un enfant ressens ce genre de chose. " Un enfant est un être complexe qu'on sous estime bien souvent, ils comprennent bien plus de choses que l'on puisse imaginer, il suffit simplement de prendre le temps de leurs expliqués. Ce sujet avait réveillé une certaine mélancolie chez lui alors le fait qu'il change de sujet était peut-être mieux, je n'avais pas envie de le voir déprimer à cause de moi. Il me fit remarqué que mon cher ex devait se mordre les doigts de m'avoir posé cet ultimatum. Il l'avait peut-être regretté oui, je ne sais pas, dans tout les cas j'ai beaucoup souffert de ce choix, je l'aimais mais pas au point de sacrifier ma carrière pour quelque chose de peut-être éphémère. Les verres s'étaient enchainé, je ne sais plus à combien j'étais tout ce que je savais c'est qu'on rigolait bien tout les deux, ça me faisait un bien fou, oubliez tout les petits tracas de la vie, cependant le temps continuer à défiler et le lendemain serait bien difficile. Je lui fis remarqué qu'il était peut-être temps de repartir et que j'allais le protéger sur le chemin du retour." « Oui. Vous avez raison. On devrait rentrés ! Vous avez des animaux et moi des hommes à sauvés demain. On compte sur nous ! Mais c’est moi qui vous raccompagne. Après tout, c’est moi l’homme, c’est à moi de jouer les gardes du corps. Je voudrais pas qu’il vous arrive quelques choses sur la route. Je veux être sur que vous soyez rentré saine et sauve. » Je me mis à rire à nouveau, en même temps il ne m'en fallait pas beaucoup pour rire ce soir. " Macho ! Je suis peut-être pas aussi costaud que vous l'êtes avec vos beau muscles mais je suis une grande fille je sais me défendre. Mais ! J'accepte que vous me raccompagnez. " Je l'observais allé payer les consommations, mon regard se fixa sur sa jolie paire de fesses et je me mordis la lèvre sans même m'en rendre compte. D'accord il est très sexy en fait. De retour je pris ma veste et la passé sur mes épaules grimpant dans sa voiture, je lui indiquais la route au fur et à mesure, je ne sais pas comment j'ai fait pour m'en souvenir d'ailleurs. "« Et voilà. Home sweet home. » Je souris regardant ma jolie maison. Elle était trop grande pour moi mais au moins elle était très lumineuse. Pour le remercié de m'avoir raccompagné je l'invitais à entrer pour boire un dernier verre et une chose en entrainant une autre voilà que nous étions entrain de nous embrasser, mieux encore nos fringues s'envolaient petit à petit. J'avais incroyablement envie de lui, je l'avais entrainé dans ma chambre et nous nous sommes envoyés en l'air comme deux bêtes sauvages. C'est un rayon de soleil qui me réveilla, j'avais légèrement mal à la tête mais rien de bien méchant, relevant la tête je remarquais rapidement que j'étais totalement nue et que d'habitude je ne dormais pas sans rien. Me retournant doucement je me retrouvais nez à nez avec Alexander lui aussi complétement nu. Je portais une main à ma bouche : " Oh merde ! " Il m'avait échappé et bien que dit discrètement j'avais eu peur de le réveiller. C'est alors que la soirée me revint en tête, je me passais une main sur le visage avant de me lever discrètement. J'enfilais mes sous vêtements retrouvés non loin du lit, si j'avais été chez lui je serais partis mais on était chez moi bien évidemment ! Je me sentais mal d'avoir couché avec lui, ce n'était pas mon genre après tout de coucher avec quelqu'un que je connais à peine. Pour couronner le tout j'allais être en retard ! Me mettant du coté ou j'avais dormi je le poussais pour qu'il tombe du lit. " Debout la belle au bois dormant ! Je vais être en retard au boulot.. Désolé pour ce .. Pour ce qui s'est passé, on a un peu trop bu et ça a dérapé.. fin. " Tout en parlant je ramassais le reste de mes vêtements, il avait beau m'avoir vu nue restait en sous vêtements devant lui me gênait particulièrement. Quand je me retournais il était là debout et bien évidemment mon cœur se remit à s'accélérait quand je le vis aussi sexy dans sa tenue d'Adam. Je me retournais rapidement. " Vous pourriez vous rhabillez s'il vous plais. Je .. Je vais nous préparer du café, on en a tout les deux besoin je crois.. " Je filais vite enfilant mon jean et un t-shirt, dans la cuisine je préparais le café repensant à cette nuit, au bien fou et aux plaisirs que j'avais pu ressentir.
Parler de ma fille et donc du manque que j’avais d’elle. Je n’aimais pas ça. Cela me rendait triste et mélancolique. Je détestais ça. Me montrer faible devant quelqu'un d’autre. Quelqu'un je ne connaissais pas encore plus. Pourtant j’arrivais à lui parler sans difficulté. Je sentis ensuite sa main sur la mienne. Je levais les yeux vers elle avec un léger sourire triste. Ma fille était un sujet sensible pour moi, mon jardin secret. J’étais très sceptique à me confier. Je n’en parler à personne, pas même au boulot. C’était comme ça. Ma fille c’était mon ange, ma huitième merveille du monde. Avec elle, Zoey, c’était différent, c’était différent. Vraiment différent. J’ignorais pourquoi mais c’était le cas. " Vous lui avez dit ? Il faut lui dire tout ça, qu'elle le sache même si je suis certaine qu'elle le sait déjà. Et puis même sans être là physiquement il y a bien des moyens d'être présent dans sa vie, c'est sûr que ça ne sera jamais comme ci vous étiez la avec elle mais vous faite votre maximum et un enfant ressens ce genre de chose. " Je la regardais, souriant tristement. Lui dire ? Parler. Une chose aussi simple mais pourtant aussi compliqué. Ce n’était pas facile pour moi. Parler pour les hommes de ma famille c’était pas quelque chose d’habituel. Je passais la main dans mes cheveux, me posant des tonnes de question. Toute cette situation était dès plus compliqué. J’avais du mal à croire que j’avais pu un jour aimer la femme qui m’avait donné ma Kendall. Elle me faisait vraiment vivre un enfer et elle me privait de la chose la plus importante de ma vie. Ma fille. « Oui … Je sais qu’elle sait que je l’aime mais c’est vrai que parler ce n’est pas un truc facile dans ma famille mais en même temps j’aimerai qu’elle sache que je suis prêt à tout pour elle et que je l’aime plus que tout. Je vais essayer de suivre votre conseil et ce dès demain. Je dois la récupérer après l’école. » Lançais-je en souriant, ayant hâte de revoir ma fille. On profita donc ensuite de ce moment pour parler de tout et de rien en buvant des verres pour apprendre à nous connaitre. Elle était vraiment de super compagnie et je passais un excellent moment même après que cette soirée est plutôt mal commencée. Je ne pouvais demander mieux. Après un énième verre, surement celui de trop, on décida qu’il était tant de rentrer. Elle me proposa de me raccompagner mais en tant qu’homme je ne pouvais pas me laisser faire. " Macho ! Je suis peut-être pas aussi costaud que vous l'êtes avec vos beau muscles mais je suis une grande fille je sais me défendre. Mais ! J'accepte que vous me raccompagniez. " Je roulais des yeux avant d’hausser les épaules. Macho ? Moi ? Cela n’avait en aucun cas un rapport avec ça. Je pensais vraiment qu’il était de mon devoir d’être celui qui prend soin d’elle, qui fait en sorte qu’elle rentre saine et sauve. C’était juste ce que j’étais véritablement. Je la regardais avant de reposer mon verre sur la table. « Je ne doute pas que vous pouviez vous défendre toute seule mais pour une fois, vous avez quelqu’un pour le faire alors profitez-en ! » Je lui souris avec un grand sourire de vainqueur, ravis qu’elle accepte sans faire d’histoire. « Je suis pas macho ! Je prends simplement soins de vous. Ce n’est pas pareil ! » Me défendis-je. J’allais donc régler nos consommations et nous voilà en route pour chez elle. Plus le temps passé et plus je me disais que j’aurais bien prolongé ce moment mais il était tard, nous avions bu et demain des gens pour moi et des animaux pour comptaient sur nous et nos compétences. La suite fut véritablement flou. Mes lèvres sur les siennes, mes mains sur son corps et nos fringues sur le sol de sa chambre. J’ignorais comment on en était arrivé là, nos corps enfiévrés par celui de l’autre. Tout ce que je voyais c’était mon envie, ma fascination pour elle. Pour cette femme que je ne connaissais presque pas. Pour cette femme qui m’avait jusque-là irritait au possible depuis notre première rencontre avec son imprudence. Que de bizarrerie dans la vie.
Je dormais bien. Trop bien. Ca faisait longtemps que je n’avais pas dormi aussi bien, aussi paisiblement. Soudain je sentis des mains sur moi et la seconde d’après j’étais sur le sol, tout à fait réveiller maintenant. La tête encore dans le lit, je regardais autour de moi, sans reconnaitre la pièce ou j’étais. Qu’est-ce que je fichais ici moi ? " Debout la belle au bois dormant ! Je vais être en retard au boulot.. Désolé pour ce .. Pour ce qui s'est passé, on a un peu trop bu et ça a dérapé.. fin. " Oh c’est pas vrai. Je levais les et voyais Zoey presque nu avant de me rendre compte que moi aussi j’étais nu. Dans quel truc je m’étais fichu moi ? Je la regardais, encore plus réveiller et alerte que jamais. Elle est en sous-vêtement, dès plus sexy inutile de le nier. Je passe une main dans mes cheveux, mal à l’aise et ne sachant pas quel attitude avoir. Je levais alors qu’elle s’habillait. Elle finit par se retourner mais trop tôt. Je me dépêchais de prendre le drap pour le mettre autour de ma taille. « Ouais … Je … Enfin désolé aussi. Je n’avais vraiment pas prévu ça. Et je vais être en retard aussi. » J’étais vraiment dans la mouise jusqu’au cou. L’alcool c’est vraiment une très mauvaise chose. Vraiment. Elle déglutit, tout aussi gêné que moi. Il ne manquait plus que cela dans notre relation déjà bien trop compliqué à mon gout. Enfin on était des adultes consentant, ça arrivé mais bon … Ce foutait quand même un gros bordel et nous n’avions pas besoin de ça. " Vous pourriez vous rhabillez s'il vous plais. Je .. Je vais nous préparer du café, on en a tous les deux besoin je crois.. " Je la regardais un moment en silence avant de hocher la tête, presque penaud. Elle déguerpit trop vite pour aller nous préparer du café et en effet, elle avait raison. On en avait bien besoin. Une fois qu’elle fut sortie, je soufflais de soulagement. Je cherchais mes fringues des yeux et les enfilant au fur et à mesure Une fois totalement présentable, je la rejoignais en cherchant un peu mon chemin, observant son chez-elle. Elle s’afférait dans la cuisine. Je pris place sur un des tabourets. Je ne disais rien. Je me sentais plus que fautif. Ce n’était pas mon genre de faire ça. « Zoey … Je … Je prends juste un café et je vous laisse. » Dis-je, mes yeux ne trouvant que son dos.
✱ COLOCATAIRES : Je vis seule dans ma grande maison
Mer 22 Avr - 22:42
Tiens on a besoin de mon aide maintenant ?
Zoey feat Alexander.
« Oui … Je sais qu’elle sait que je l’aime mais c’est vrai que parler ce n’est pas un truc facile dans ma famille mais en même temps j’aimerai qu’elle sache que je suis prêt à tout pour elle et que je l’aime plus que tout. Je vais essayer de suivre votre conseil et ce dès demain. Je dois la récupérer après l’école. » Je trouvais ça tellement mignon venant de lui, je voyais bien que parler d'elle lui faisait beaucoup de peine et j'aurais aimé pouvoir l'aider d'une manière ou d'une autre mais à part le conseiller je ne pouvais pas faire grand chose. J'espérais tout de même que les choses finissent par s'arranger pour lui. Je lui souris simplement ravie de savoir que dès demain il retrouverait son petit ange, je sais de quoi on est capable pour sa famille je ferais tout pour ma petite sœur. Bientôt on ne pu plus tellement parler sérieux, tout les deux avions un peu trop forcé sur l'alcool et en tant qu'adulte responsable je mis fin à cette entrevue, nous devions rentrez chez nous, il se proposa de me ramener ce qui était très gentil je n'étais pas sur d'y arrivé moi même. « Je ne doute pas que vous pouviez vous défendre toute seule mais pour une fois, vous avez quelqu’un pour le faire alors profitez-en ! » Je lui souris simplement, il n'avait pas tord. « Je suis pas macho ! Je prends simplement soins de vous. Ce n’est pas pareil ! » Je me mis à rire doucement puis le regardait en souriant. " Ca fait bien longtemps qu'un homme n'ait pas pris soin de moi ! C'est gentil. " Les choses auraient du en resté la, il m'aurait ramené simplement, serait rentré chez lui et je me serais étalé dans mon lit comme une crêpe jusqu'au lendemain matin. Seulement les choses dérapent quelques fois et nous nous étions retrouvés dans le même lit à faire des choses torrides. Choses que je regrettais tout de suite au réveil. Moi qui ne comprenait pas comment une femme pouvait couché avec un parfait inconnu maintenant j'étais un peu plus compréhensive. Je me souvenais absolument de tout, peut-être aurais-je préféré ne pas m'en souvenir, je ne sais pas vraiment. Quoi qu'il en soit j'avais vite réveillé Alexander pour que je puisse allé travailler et lui aussi. Je m'excusais d'ailleurs immédiatement pour ce qui s'était passé.« Ouais … Je … Enfin désolé aussi. Je n’avais vraiment pas prévu ça. Et je vais être en retard aussi. » On était dans le même état d'esprit et cela me rassurer, je ne voulais pas qu'il s'imagine des choses .. Malgré tout les efforts que je faisais pour me le cacher à moi même je ne pouvais pas repousser complétement cette attirance pour lui, surtout après ce que nous venions de vivre tout les deux. Je m'étais vite sauvé à la cuisine pour préparer du café. J'essayais de resté concentrer sur ce que je faisais, je l'entendis s'installé derrière moi. « Zoey … Je … Je prends juste un café et je vous laisse. » Entendre sa voix me déstabilisa et je renversais un peu de café à côté. Je fermais les yeux un instant, aller Zoey contrôle toi bordel ! Je craignais beaucoup de me retourner, je ne savais pas vraiment ou me mettre. Je finis par me tourner vers lui essayant d'évité son regard. Je lui donnais son café et mis à disposition ce dont il avait besoin, sucre, lait etc. Une chose me revint en tête. " Il faudrait que vous me déposiez à la clinique .. J'ai laissé ma voiture au bar.. " Ahh ce bar, ce très bon moment que nous avions passé. Je me souvenais de chaque parole, de chaque rires, y repensait refit partir mon cœur plus vite. Non Zoey concentre toi ! " Il faudrait y allé maintenant. " C'est après qu'il soit sortit que je fermais la porte et montais dans sa voiture. J'étais mal à l'aise et gardais mon regard sur l'horizon jusqu'à apercevoir ma clinique. Avant de descendre je repris. " Je tiens encore à m'excuser de tout ça. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, ce n'est pas mon genre de .. Enfin vous savez. Merci de m'avoir ramener, je vous tiens au courant pour le rétablissement du chien. " Puis je me sauvais lâchement. Travailler aujourd'hui n'allait pas être facile mais il le fallait bien pourtant.