Une cigarette à la bouche, des lunettes fumées sur les yeux, je me présentais devant la porte d'entrée de Nesham, frappant deux coups timides, comme sur sa porte de chambre, à l'internat. J'avais très peu dormis ces jours ci, angoissés par les différents trucs qui me tombaient sur la gueule. Et la nouveauté, c'était la "fugue" d'Isaure, qui avait enfin décidé de se rebeller face à ses parents, mais pas forcément de la bonne manière. Saul et Nesham avait passé leurs soirées à chercher chacun de leurs cotés des traces de la jeune fille tandis que j'avais prit le premier avion pour rentrer sur San Francisco. Dans la matinée, j'avais essayé de parler avec son père, mais le service de sécurité de sa boite en avait décidé autrement. J'avais beau avoir toute la bonne volonté du monde, un petit gars d'à peine un mètre soixante-huit, ça fait pas vraiment le poids face à deux colosses qui n'ont que dans la tête "taaaaaaapeeeeer". Ils ressemblent un peu à des trolls, sous certains aspects. Soupirant, j'attendis que Nesh ouvre la porte pour laisser apparaitre un fin sourire sur mon visage fatigué.
La nuit s'est écoulé comme un compte à rebours, Nesham est conscient et il n'arrive pas a regretter, car il se sent vivre d'une façon étrange. Toutes les choses se saccadent dans son crâne. Il s'est réveillé les yeux collées, ses paupières compressées l'une contre l'autre. Les images se jouent et sa lucidité est tellement forte que s'en est déconcertant. Il sort de chez Svetlana et retourne chez lui à pied. Ouais, ça lui fera du bien de marcher et pour évacuer ses pulsions. Il s'est pas où est Isaure, qu'est-ce qu'elle foutait ? Si elle pouvait l'allumer aussi son putain de téléphone. Il devrait peut-être commencé un sport ou un truc plus sain, mais il y arrive pas, ses nerfs sont a vifs. Son hypersexualité le domine actuellement, il sait pourquoi et il se laisse tomber dedans par facilité. Aussi parce que c'est mieux ainsi. Il laisse dominer ses bas instincts. Il arrive chez lui, une seule fenêtre est toujours ouverte, il avance dans l'ombre pour s'engloutir sous l'eau gelée. Le coeur s'enveloppe de la température, il voudrait secrètement le givrer avec lui mais impossible. Nesham entend sonné alors il sort de là, s'habille a peu près.
Il ouvre la porte, Timothée sourire aux lèvres, ce sourire lui plait, Nesham l’observes à peine quelques seconds car il chute dans la lubrification de son esprit de débauche. Il le tire d’une façon sec dans son appartement le met contre le mur.
Je fais surement une grave erreur, en me présentant là, chez Nesham, plein de pulsions, plein d'envies pour lui, mais j'n'arrive pas à contrôler ce que j'veux de lui. J'aime Eliott, plus que n'importe qui, et ça ne changera pas ce que je ressens pour mon futur mari. Mais ce goût d'inconnu est beaucoup trop tentant pour que je le laisse s'échapper à nouveau. Pas comme avant, pas comme quand on était que des petits cons, au lycée. Je me sens tirer à l'intérieur de son appartement, me laissant plaquer sur le mur par ses soins. Je retire mes lunettes, laissant apparaitre mes yeux explosés par la drogue. J'ai encore beaucoup consommé ces dernières 24 heures, prit par la culpabilité de ce qui arrivait à Isaure. Je chassais l'image de la jeune femme de ma tête, me concentrant sur Nesh, à nouveau, laissant mon imagination parler.
Neshama aurait du signifier perdition. Il regarde les pupilles de Timothée presque de façon vaporeuse.
ça dépend de ta définition exacte de sage.
le mot sage lui à légèrement donné un rictus réprobateur. Nesham est infernal, dans une période incontrôlable. La sagesse, il connait que celle de l’esprit trempé dans les méandres moribonds. Où il faudrait avoir une définition de sage totalement éloigné de ce que c’était. Et puis c’était quoi pour Tim, sage ? Aucune idée, lui avait l’air complètement défoncer. Quand il était au lycée, forcément il avait cette tension sexuelle entre eux, mais Nesham s’était interdit de toucher à Timothée par principe, par valeur et surtout pour pas le foutre dans l’embarra. Il est pas du genre à s'interdire ni a respecter les régles, enfant terrible. La luxure, la chair. C'est Oscar Wild qui a émit l'idée que le seul moyen de se délivrer de la tentation, c'est d'y céder. Les temps on changés, le jeu est le même. Sauf qu'il va se marié, Nesham veut pas foutre en l'air son bonheur mais là il est venu. Nesham à besoin de se perdre contre un corps, d’oublier, de tout oublier ses troubles qui l’engloutisses, il a besoin d’ocytocine mensongère. Il a besoin de prendre Timothée. Il lui enlève son t-shirt tout aussi sèchement qu’il l’a pousser contre le mur. Les pulsions grandissante dans l’entre de son ventre.
Je lui souriais de façon perverse alors qu'il retirait rapidement mon t shirt. Je l'observais de haut en bas, en m'arrêtant un instant sur son caleçon, unique vêtement qu'il possédait encore et que j'envisageais d'enlever bien plus rapidement que prévu. Cette tentation. Elle était présente depuis bien trop longtemps pour ne pas y céder. J'aurai du le prendre des milliers de fois, quand j'en avais eu l'occasion quand nous n'étions que deux ados. Mais j'étais beaucoup trop sage à l'époque. Je pensais qu'on ne pouvait pas gouter aux autres quand on avait déjà quelqu'un avec nous. Je ne vois pas la chose comme un manque de respect. Je cède juste à mes pulsions avant mon mariage, pour être sur. Mais est ce que je suis vraiment sur ?
"Je suis égoïste, je te voulais pour moi seul avant."
À mon tour de prendre les commandes. Je le poussais à mon tour contre le mur et posais mes lèvres contre son cou, le mordillant légèrement, descendant mes baisers sur son torse.
Les fêlures de l’enfance inexplicable l’enlace, il laisse courir ses mains sur le torse de Timothée sans se poser de question sur le quoi du comment. Les tortures s’effacent peu à peu. Les abysses de l’homme se transforme en galaxie ou s’engouffre le néant où l’ont tombe, tombe sans arrêt. Il a besoin qu’on lui retire son cerveau. L’envie grimpe en lui plus fort et vient taper contre ses abdominaux. Ca fessait trop longtemps, qu’ils attendaient. Et puis le pouvoir de sa conscience revenait au galop, Nesham ne pouvait s’empêcher de penser à Hell certainement parce qu’il l’appréciait et qu’il savait qu’il était le bonheur réel de Timothée. Nesham était en train de le foutre dans la merde avec ses conneries et il voulait pas faire explosé la vie de Timothée pour sa queue. Peut-être qu’effectivement Nesham avait une moral mais Timothée fessait la fessait taire par des confusions soufflé a demi mot. Ne rien dire. Le plan à trois c’était transformé en plan à deux.
Tu vas avoir de sérieux problèmes
L’envie toujours au creux des reins qui le grignotent de plus en plus sous les souffles chaleureux qu’il aimerait arraché aussi cruellement que de façon imperceptible. La liqueur dans le sang chamboule ses sens quand Timothée le plaque contre le mur, ses lèvres dans son cou, sensation déjà vu qui s’accroche dans sa tête mais qui le berce dans le réconfort, Il le tue un peu plus. Assassine son cadavre aux reflets du soleil sous l’effluve de la chaleur de l’étreinte qu’il resserre a lui en caressant sa crinière ébène et de sa peau lunaire. Nesham avait décliné la proposition d’argent il allait bien voir ce que Timothée avait à lui offrir. Nesham attrape l’entre jambe du jeune homme de façon presque automatique avec un cruel manque de tact, bestial, partiellement animal, il serre un peu la virilité de Tim en respirant un peu plus fort sous les frissons infligés. Nesham sort sa langue et lui lèche la joue de Timothée.
De toute façon, je n'allais pas crier sur tous les toits ce que j'avais fait cet après-midi, j'étais pas suicidaire non plus. J'avais besoin de lui, de sa baise, de sa tentation, de son odeur, son corps que j'attendais depuis bien trop longtemps, celui que j'avais si souvent regardé, désiré sans pouvoir le toucher, l'embrasser. Je n'allais pas m'arrêter maintenant alors que j'avais enfin ce que je voulais. Je le sentais attraper ma virilité qui montrait déjà plus que des signes d'envie. La caresse de sa langue sur ma joue m'excitait d'avantage et je tournais sa bouche vers la mienne pour attraper sa langue dans un baiser. Je le tirais contre moi, alors que mes mains faisaient glisser son unique vêtement à ses pieds, laissant apparaitre l'objet de mon désir, de ma trahison. De la baise. C'était bien ce que je voulais ? C'était lui que je voulais. J'enviais les hommes qui l'avaient déjà eu. J'enviais Hell. Bien sur que mes pensées étaient un peu tournées vers lui, dans ce moment. Mais c'était excitant, dans un sens, le secret. Je l'entraînais dans mon étreinte vers son salon, et le poussais sur le canapé avant de me mettre sur lui et de l'embrasser à nouveau.
"Prouve moi que j'ai raison, de prendre des risques."
La virilité de Timothée semblait être en accord avec lui ce qui avait le don d’amuser Nesham. Quand Timothée tourna son visage pour l’embrasser , il a eut cette envie dévastatrice de commettre un doux et langoureux meurtre. Il continua de l’embrasser en y injectant l’acide. L’étreinte se resserrant de plus en plus, Nesham senti les mains de Timothée descendre enlever calbute et le regard de Timothée descendre à son entre jambe. Nesham ne ressentait rien de ce qui s’apparenté à de la gène, bien au contraire, c’était un homme libre peut-être trop libre. La liberté de Timothée aussi lui frappé à la gueule. Timothée semblait impatient, Nesham lui suivit dans le salon, se fit pousser dans le canapé et ses lèvres recommençait de jouer contre les siennes. Il l’écoute parler en ricanant légèrement car il n’était pas du genre à avoir a prouver quoique ce soit, surtout qu’il était a poils avec Tim sur lui. Nesham n’avait que des plaisirs éphémère à lui offrir qui l’oublirait rapidement. Le danger est dans l’imprévus. Certain risques on pas besoin de raison.
Nesham le fixa avec cette facette un peu dur, presque détaché voir hautaine et défiante entre deux mouvements de langues. Nesham se glissa pour se mettre sur lui en mordant sa bouche d’une force charnel et instinctif. Il enleva son bas ainsi que ses derniers vêtements. Il enlaça sa virilité qu’il avait déjà imaginé, au bout de ses phalanges en allant mettre son front contre le sien et commencer à faire des mouvements en le fixant. Nesham se mît également a frotter sa virilité contre celle de Timothée. La chaleur dans les yeux de Timothée, les courbes de ses reins poussent l’attraction de ses mouvements dans les vagues animales. Plus fort. Il se frotte. Sa virilité attisé contre celle de Timothée.
Les dents de mon amant emprisonnèrent mes lèvres un instant, animal, bestial, lui laissant enlever le reste de mes vêtements. J'étais nu, complètement nu contre lui. Contre cette tentation, contre cette trahison. Ses doigts prirent ma virilité en main et un soupire de soulagement se laisser entendre à travers nos baisers. Je sentais son membre endurcit se frotter contre le mien. Le plaisir me crispait, laissant un sourire satisfait sur mes lèvres alors que je sentais les mouvements de Nesham s'intensifier. Je laissais mes ongles s'enfoncer dans le dos du jeune homme pour lui montrer mon envie grandissante.
Après quelques instants, je le retournais avec ardeur et me plaçais sur lui, lui embrassant à nouveau le cou, puis le torse, laissant quelques morsures sur sa peau. Je descendais, petit à petit jusqu'à arriver à son bas ventre, où l'objet de désir semblait prêt à être utilisé. Après une dernière morsure légère, je pris son membre en bouche et commençais des mouvements de va et vient, en passant ma main libre au niveau de son orifice, juste en dessous. J'voulais qu'il me désire, qu'il aime, qu'il s'en rappelle après. J'voulais qu'il puisse m'en redemander, qu'il cherche à m'avoir à nouveau. Pas que ce soit juste une fois, comme !a, comme une erreur d'un gars bien trop défoncé et d'un autre bien trop hypersexué en ce moment.
Timothée veut le baiser. Nesham amusé par les troubles se laisse donc faire comme une hétaïre. Les cataclysmes de chair comme allégorie est l’hypnoses fallacieuse. Timothée est le consommateur gracieux et intermittent. Sa bouche contaminé souffle une puissante débauche sur le corps du jeune homme. Descendant à chaque secondes plus brûlante, les unes que les autres, mordu comme un gibier. Il a la carnation déchirée. Il sent les frissons l’emprisonner dans une prison de concupiscence. Nesham caresse sa nuque délicatement, presque fébrilement entre deux respirations mortuaires. Il admire l’enveloppe de Timothée descendre encore contre sa virilité, sa charogne rigide, léchée et aspirée dans les mouvements entre la bouche de Tim qui accélère les va et vient. Ses doigts le fouilles, l’excitent de plus en plus. Le sybarite à les yeux fixées sur le plafond, le vide en religion. Le vide stéllaire, les lueurs et la dystonie. Des palpitations funèbres font frémir son torse brulant. Ses phalanges plongent dans ses cheveux et viennent accompagnées ses mouvements en le brusquant légèrement pour avoir une attraction plus forte. Le laissant salivé sur sa virilité et troubler sa brèche de façon excitante. Les respirations qui lui brûlent les poumons. Il laisse durer le plaisir en l’accrochant de façon plus forte encore. Il prend sur la table basse un préservatif, car oui, il avait prévu le coup vu les conversations qu’ils avaient eux. Il le pousse légèrement pour le masser en le regardant avec son air totalement malsain lubrique à l’infini et fini par lui enfilé. Nesham s’installe sur lui en le fixant et vint croquer les débris de son visage. Il fait frotter la virilité de Timothée contre lui avec une densité plus forte pour finir par le laisser s’introduire en lui. Nesham s’accroche au canapé car la douleur et la première sensation qui l’étreint. Il sert Timothée contre ses os en commençant des va-et-vient furtivement en léchant ses lèvres et en accélérant la cadence la respiration capricieuse.
Ma langue parcourt son membre, aidée par l'une de mes mains, concentrée sur ce va en vient qui se veut de plus en plus intense, passionné, aidé par les caresses de Nesh sur mon cou. Je me laissais pousser après quelques instants alors que je le voyais attraper une boite de préservatif. Je n'ai pas l'habitude d'être l'actif. Hell ne m'a laissé qu'une seule fois le pénétrer depuis le début de notre relation. Je ne suis pas un soumis de nature, et même si tout laisse à penser que je le suis avec Eliott, ce n'est qu'une facette de notre couple. Je le manipule bien plus que ce que les gens peuvent le penser. Cette fragilité qui m'est mienne est bonne quand il s'agit d'obtenir ce que l'on souhaite. Mais là, je ne suis plus ce gars fragile, je ne suis plus l'enfant. Je suis celui qui aura le droit de se faire sentir en Nesham ce soir. Il enfile le préservatif et après s'être mis sur le dessus, se laisse pénétrer sans plus attendre. Je le sens se crisper de douleur. C'est toujours douloureux au début, mais cela ne dure qu'un seul instant avant d'être bien. Si bien que l'on oublie les premiers moments. Il commence les mouvements de va et vient que je ne cesse d'amplifier à grands coups de bassins tandis que sa langue caresse mes lèvres. Elle est vite rejoint par la mienne, laissant l'une de mes mains s'occuper de son membre en rythme avec notre étreinte. Mon souffle, mon coeur, tout s'accéléraient. Tout, sauf la culpabilité. Bien sur qu'Hell n'était pas très loin dans mes pensées, mais j'étais surtout focalisé sur Nesham, ce fantasme que j'avais enfin eu, après toutes ces années. Et à vrai dire, c'était bon, le fantasme.
Un torrent de douleur s’embroche à travers le corps de Nesham. Il se délecte de celle-ci. Est-ce normal d’aimer la douleur ? car lui oui, il a des pulsions miséricordieuses avec elle, se rapport si malsain. L’esprit malade tombe dans le remède des mouvements de Timothée, il s’échoue sous ses coups de bassins qui l’attaquent, Timothée vient habiter la charogne de Nesham. L’entreprise des remous s’emboitent en lui plus profondément, toujours accroché au sofa, la peau encore humide. Nesham a parfaitement conscience de n’être qu’un objet à jouissance. C’est encastré en lui. Actif, passif pour lui c’était la même chose, même s’il restait plus compétent dans les prémices d’actif. Le plaisir restait d’horizon. Dans les accélérations volontaire d’une désintégration, la mains de Timothée massant son membre ne fessait qu’amplifié et Nesham se délecta de plus en plus de ses mécanismes brûlant. Il prit ses lèvres de façon plus fougueuse et le mordit vigoureusement, le coeur battant, la respiration haletante, embrumée, habituel aussi. Nesham se perdit à travers les fragrances de sa nuque. Les sens décuplés. Timothée semblait se libérer dans ses pénétrations intenses. Les frisons le traversaient comme des coup de couteaux qui se plantaient en lui. Nesham voulait que Timothée le prenne encore plus fort, qu’il se libère de sa fragilité. Il se laissa aller sur le coté pour s’allonger emmenant Timothée sur lui. Nesham fixait le regard de Timothée le sourire insalubre coller à ses lèvres le défiant presque. Chaque respiration était un incendie, ses muscles bouillonnaient littéralement.
Je me perdais dans ces étreintes, dans nos étreintes à l'amer gout de futur regret. J'étais quelqu'un qui savait rarement tenir sa langue, et qui par dessus tout, mentait mal aux gens qu'il aimait. Là, j'étais à des années lumières de penser qu'il y aller avoir des retombées catastrophiques à ce coup de baise, celui pour lequel j'avais si longuement attendu. J'étais perdu, dans ces coups de reins, que j'amplifiais à mesure où Nesham se détendait. J'étais bien en lui. Je n'avais pas l'habitude d'être dans ce genre de position, et ce n'était pas désagréable, bien au contraire. Nesh se laisser aller sur le coté, me tirant de manière à ce que soit moi, au dessus. Un sourire pervers se dressait sur mes lèvres alors qu'elle mordait intensément le cou du jeune homme, tandis que je me remettais en lui. J'abandonnais mon côté enfant, je jouais à l'amant. Celui qui n'attendait plus rien, celui qui voulait juste des sensations. Intenses. Fortes. Rapides. Délicieuses. Mes mains venaient à prendre ses poignets, comme pour l'empêcher de m'échapper, comme si cet objet de désir, pouvait à tout moment s'enfuir. Comme pour lui dire, aujourd'hui, tu es à moi.
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