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don't be mad, i'm much stuffed. i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| | Dim 13 Avr - 23:41 | |
| L'inconscience, la folie, l'ivresse. L'impression de respirer la liberté. Chaque bouffé d'air t'ouvrait une nouvelle porte dans ta folie qui t'accompagne ce soir. Tu souris et tu te rends compte qu'étrangement, la solitude ne te dérange pas plus que ça. Toi qui aime pourtant être accompagné. Un nouveau verre avalé, tu as l'impression que le sol bouge sous tes pieds. Entre illusion et réalité, tu ne sais pas faire la différence dans ton état. Alors tes bras te servent de guide, tu t'appuies contre les murs pour ne pas tomber. Tu sais pas comment tu as fait pour en arriver là, rien de bien extra-ordinaire pourtant. Quelques verres offert par des inconnus, plus les verres que tu t'es toi même payé. Pour ne pas mentir, tu ne sais même plus où tu es, tu as perdu toute notion du temps. Est-ce la matin ? La lumière du jour te pousse à le penser. Incroyable, tu as passé toute ta nuit debout, dehors. Tu plisses les yeux à cause de la lumière qui te brûle les yeux, t'inspire une grande bouffé d'air avant de la relâcher. Tu continues de marcher dans les rues inconnues, t'as froid, c'est un peu normale vu la robe courte que tu portais. Même pas de veste. Enfin, si, peut-être. Mais t'avais du la perdre, tu sais pas où, tu sais pas quand. Tu sais même pas si t'as vraiment passé toute ta nuit au même endroit. Aucun souvenir, mis à part le bruit assourdissant de la musique qui avait rythmé ta nuit. Tu retires tes talons aiguilles que t'avais emprunter à ta sœur la veille avant de t'asseoir sur le trottoir. Ton sac, où est ton sac ? Tu soupires de soulagement en te rendant compte que tu l'avais dans les mains. Tu fouilles et t'en sors ton téléphone portable. Contact, favoris, romy. Ah ! Romy, ta sauveuse. Enfin.. Si elle est réveillée. Tu pianotes sur l'écran tactile, te corrigeant une dizaine de fois. Tu te dis que ces téléphones sont vraiment pas pratique pour les retours de soirée, les lettres sont trop collé, tes doigts sont subitement trop gros et ta vue réduite au point mort. Tu te relis, « J'ai besoin de ton aide, je suis perdu... je sais pas où. Euh.. Dans une rue, pas loin du ruby. Viiiiiiens. ». Arf, disons que ça suffira. C'est assez explicite à ton goût. Tu pris pour qu'elle soit déjà réveillé, et surtout qu'elle vienne te chercher directement après avoir reçu ton message. Tu t'allonges sur le trottoir, franchement, tu dois avoir belle allure. Mais t'y pense pas, sur le moment. T'es trop loin d'ici pour penser à quoi que ce soit. T'admire le ciel. Ce qu'il est beau ce ciel. Tu pourrais en faire des tableaux, des beaux, des grands, que t'exposerait au musée. Et tu les intituleraient "Les nuages d'un autre monde.", parce que t'as l'impression d'être dans un autre monde, sur le moment. Tout te paraît trop beau. Tu ris, essayant de baisser un peu plus ta robe pour avoir moins froid. Tu tournes ta tête sur ton téléphone, à l'attente d'une réponse, d'un signe. Peut-être qu'elle viendra pas, et que tu vas crever ici. Tu ris, encore une fois. T'as froid, dieu ce que t'as froid. Pourtant, t'avais toujours entendu dire que l'alcool donnait chaud.. Mensonge ! C'est pour forcer les gens à boire. Danser toute la nuit, ça donne chaud. Ah ! Tu te revois encore sur la piste de danse.. Tu t'étais jamais autant amusé. |
| | | | Lun 14 Avr - 12:55 | |
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Les rêves fanées se sont implanté dans mon cerveau, ils se sont enraciné dans mes nerfs. Endormit avec les boyaux ligotés, j’entend le bruit de mon téléphone répéter sa sonnerie. Dans un premier temps, j’ai envie de le balancer sur le mur. Dans un deuxième temps je m’extirpe de ma position léthargique avec une flemme immense. Je regarde l’heure : il est tôt, puis je vois le nom du contact : Appoline. Sa m’inquiète. Elle me contact pas pour rien, j’ouvre le message. Perdue,pas loin du ruby ? Je suis là depuis longtemps mais je sais que le Ruby c’est une boite de nuit, j’imagine son état alors je me lève estomaquée par la rapidité avec laquelle je me suis tiré des draps. Pour Appoline il n’y avait pas d’heure, j’étais toujours disponible. Je prend une cigarette, en cherchant à la mettre dans ma bouche à plusieurs repris telle une astome humaine pour finir par enfin la coincé entre mes lèvres, prendre mon briquet, l’allumer et chercher des fringues qui trainent dans mon armoire. Je m’habille entre deux inspirations enfumées comme mon esprit qui se trouble. Je prend du pain brioché que je glisse dans mon sac. J’ai eu des relations complexes avec les filles depuis mon enfance jusqu’a maintenant. Les filles en règles général, ne m’apprécie pas. Je sais pas si pour elle c’est physique, relationnel ou dans mon comportement. J’en ai ramassé des remarques, des moqueries insipides qui ont forcément atteint ma confiance en moi étant gamine. Avec le temps, la confiance en moi,je l’ai reprise et j’ai pris la décision d’assumer qui j’étais même si c’était pas toujours simple. Le fait de jouer des images m’avaient beaucoup idée dans se chemin de ré-éducation. Il reste que je n’avais jamais réellement connu d’amitié féminine et avec Appoline à presque vingt-trois piges je découvre ce que c’est et ça me plait vraiment. Cette fille, je l’adorais pour et en ce moment elle dérapait dans son histoire, dans sa personnalité. Elle était en recherche de ses limites ce qui est humain. Elle cherche les expériences. Je prend ma veste et je décolle de mon appartement. Elle part dans les décadences, les troubles de la vie qui consume la réalité. Les illusions ostentatoires pour découvrir et faire découvrir qui elle est.
Je lui ai répondu un « J’arrive, je suis en route ». Je suis pas fraiche. Je suppose qu’elle le sera pas non plus. L’engueuler ? Difficile, on a le droit de temps en temps de se taper une cuite mais derrière ça chez Appoline il y a surement des malaises derrières ses comportements ou peut-être qu’elle a juste envie de profiter des brides de temps vagabond. En m’approchant du ruby, je vois une jeune femme allongé avec une robe tout a fait magnifique. Les yeux d’une couleur irréelles et la grandeur de ses iris qui venaient frôler le ciel. J’ai déposé sur son ventre le pain brioché et je me suis allongé a son inverse tout en mettant ma tête à coté de la sienne. Sans un mot je me suis posé près d’elle. J’ai regardé l’immensité de l’azure pâle qui miroite au dessus de nos têtes pendant quelques seconds j’ai voulu arrêter mes pensées et éteindre les chimères. « Raconte moi ». Je reprend une cigarette, je sais pas si Appoline fume ou pas mais je lui met le paquet près d’elle tout en restant allongé. Je m’attend a ce qu’elle me raconte une histoire, son histoire. Je porte la flamme au bout du bâton de nicotine et je le laisse se consumer en inspirant.
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| | | | Mar 15 Avr - 17:29 | |
| Tu reçois une alerte sur ton téléphone, tu regardes même pas, tu sais déjà que ça ne peut être que Rome, qu'elle doit certainement se mettre en route dans les minutes qui vont suivre. Tu remercies le ciel de t'avoir donné une amie comme elle. Elle te complète tellement, elle est toujours là pour toi. Y a pas un jour où c'est pas le cas. Tu perds le cours du temps, tu penses à rien - parce que de toute façon, t'es incapable de penser à quoi que ce soit. Tu l'entends même pas arriver, alors quand elle dépose de quoi manger sur toi, tu sursautes, ton regard quittant subitement le ciel nuageux. « T'es là. », que tu dis. T'arraches un bout de brioche avant de le mettre en bouche, le mâchant lentement. Elle s'installe à côté de toi. Elle te pose pas de question, elle te demande juste de lui raconter. Tu sais ce qu'elle veut savoir. Qu'est-ce toi, Appoline, tu fiche dans un état pareil. Alors tu recherches en arrière, tu cherches le point de départ, l’électro choque. Sidoine. Mais t'en parle pas. Elle s'en doute, tu le sais bien. Tu lui parles souvent de lui, un peu trop souvent pour qu'il n'ait rien avoir dans ton changement rapide. Trop rapide au goût de certain. Tu te sers dans son paquet de cigarette, t'en sors une que tu coince entre tes lèvres avant de l'allumer, reposant par la suite le paquet entre vous. Tu tires sur ta cigarette, inspirant. Tu fumais pas avant, et puis récemment, tu t'y es mise. Parce que tout le monde fume, paraît que c'est cool d'ailleurs. Mais t'es pas une vrai fumeuse, toi. T'en prend une quand on te le propose, une par jour, peut-être deux, mais pas plus. Tu restes silencieuse, ça te gêne pas, rien ne te gêne en compagnie de Romy. « Je me suis jamais autant éclaté. », tu vas pas mentir. T'as passé l'une des meilleures soirées de toute ta vie. Tu respirais la liberté, ça couler dans tes veines. T'aimais ce sentiment plus que tout. T'avais plus l'impression d'être la petite fille qui pleurait l'absence de ton père, c'était loin de toi, à des années lumières. T'avais peut-être besoin de ça, tu devais obligatoirement passer par ces étapes, tu le savais maintenant. « Je sais plus marché sans trébucher. Je suis défoncé Romy. », tu ris, ton visage tourné en sa direction. Tu l'assumais, ça devait changer des gens qui prétendaient sortir de soirée complétement clean. « Je me suis même fais accoster par des gars que je connais même paaaas. », bon, c'était certainement dût à ta robe très très courte qui te mouler la où il fallait. Mais ça t'était jamais arrivé auparavant. Avant, tu ressemblais à une gamine perdu. Personne veut se faire une gamine. Maintenant, tu ressemblais de plus en plus à une femme. A vingt et un ans, tu commençais à vivre comme tout le monde. Tu voulais tout vivre, tout de suite. T'avais l'impression d'avoir prit tellement de retard à t'accrocher aux jambes de maman, que maintenant tu mettais un turbo à ta vie. |
| | | | Sam 19 Avr - 14:38 | |
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Mes rétines deviennent brulante suite aux rayons de luminosité qui viennent se refléter dans mes pupilles mais pourtant je reste là a fixer les nuages qui passent et qui fuient. J’essaie de définir des formes vagabonde à chacun d’entre eux, représentation des vapeurs illusoires, des charognes qui capitules. C’est le matin. C’est la raison de mes pensées qui s’étirent dans les divagations. Je lui demande de raconter, de se raconter. J’essaie de deviner les symptôme qui la tourmente. J’ai été remis sur le bon chemin par des amies et ses personnes qui m’ont aidées, on marqué ma vie à jamais. Leurs pièces m’ont permit de me reconstruire. Je me suis senti dévoré par les ombres du vide, une noirceur insoutenable qui m’a enfoncé dans mes propres ténèbres. Oubliant même la quintessence des émotions qui m’ont traversé. Les brumes attachés sous les yeux. Le pire ennemie qu’on puisse avoir, c’est soit même. Trouver un accord entre les divergences de ses propres échos. Je l’écoute. Je l’écoute en inspirant et en expirant des parcelles de fumé. La tristesse m’est venu en l’écoutant raconter les parcelles de sa soirée.
Des fourmillements entre la paume de ma main apparaissent. J’ai envie de la gifler. Bordel de merde. La colère au creux des reins qui s’amplifie à chaque seconds. J’en ai marre de voir les personnes que j’aime se défoncer. Mes nerfs s’irritent, s’attachent les uns au autres. J’ai envie de vomir. Reste calme. Elle peut pas savoir ce que tu as vu, ce que tu as vécus en voyant les personnes que tu aimes s’attacher aussi fort aux substances. Pour Appoline, je me doutais que c’était occasionnel voir la première fois peut-être et j’avais pas envie qu’elle passe a l’addiction. Occasionnellement, ça m'arrive également mais j'ai pas envie qu'Appoline vive mes extrêmes, jusqu'ou j'ai été creuser. Je vais pas être hypocrite en affirmant que je suis un ange, que j’ai jamais rien toucher mais pas au point de non retour à m’enfermé dans la spiral. J’écoute le peu d’estime qu’elle a en elle. C’est pas possible. Ne remarquait-elle pas qu’elle était une femme physiquement divine ? que son intérieur l’était encore bien plus et que c’était un bien précieux. « t’as pas besoin d’être défoncer pour te faire accosté Appo’, tu vois pas que t’es une femme sublime ? t'as une belle personnalité et t'es canon quand est-ce que tu en prendra conscience ? » Elle n’avait pas assez confiance c’était ce que tu ressentais dans ses paroles. Elle cherchait le regard d’un seul homme dans ceux qui passait. Des gars qui l’accosteraient dans sa vie, il y allait en avoir surement une file indéfinie. C’est gratifiant. On se sent belle, adulé pour ses formes mais il n’y avait pas que ça. Jouer mais ne pas tomber. Il ne fallait pas qu’elle se prenne pour un bout de viande car clairement elle ne l’était pas.
Quand je suis entrée dans le mannequinat, j’ai eu la chance d’être bien entourée par D, il m’avait tout de suite remit à ma place en m’ayant donner un discourt que j’ai imprimé en pilier. Si tu veux que les autres te respect, respecte toi, toi-même. Le désire est un élixir qui est difficile a savoir entretenir, difficile à maitriser, réellement personne ne peut le produire à la perfection. Parfois moi aussi j’ai du mal avec les rythmes, avec les notes qui se jouent. Oui car forcément, mais l'image de soit même il faut savoir la maîtriser, même si c'est difficile. On peut en jouer, oui. « reste toi même » Forcément qu’elle a envie qu’on la regarde, elle a envie que Sidoine la regarde mais tu sais que Sidoine, lui il apprécie sa pureté, sa simplicité ainsi que sa personne. Bien sur qu’elle l’aurait excité dans cette situation mais t’as la conviction qu’il l’aurait traiter comme de la merde après lui avoir passé dessus. Appoline voulait bien plus que se faire passer dessus, elle ressentait bien plus qu’un simple coup de va et vient entre ses reins. Il faut savoir rester soit même. Je fini ma cigarette en ayant la gorge assez asséché comme si tu avais marché dans les dunes du Sahara. Je me relève et je la relève par la même occasion. Je suis un peu séche mais c'est uniquement parce que je tiens a elle. « on va prendre un café »
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| | | | Mer 7 Mai - 20:10 | |
| Ses mots te font frissonner, ou bien c'est le vent frais du matin. Tu sais pas, tu sais plus. Elle n'a pas l'air contente, tu le reconnais au sons de sa voix, à ses lèvres qui bouge avec rapidité, qui se claquent l'une contre l'autre presque violemment. Pourtant tu crois pas la moindre chose qu'elle te raconte. Tu t'es jamais sentie belle, enfin, pas moche. Mais tu t'es jamais sentie exceptionnel, encore moins depuis que tu connaissais Sidoine. T'avais l'impression d'être l'une parmi tant d'autre pour lui. Mais tu voulais être spécial. Tu voulais qu'il ne voit que toi, ce qui était clairement impossible. Tu es, et tu resteras toujours Appoline la coincée à ses yeux. T’expire longuement, t'as l'impression que le présent te rattrape. Pas assez bien. Voilà ce que t'es. Pendant l'espace d'une soirée, au milieu de cette foule, de ces gars, tu te sentais spécial. Plus maintenant. Tu sais déjà que tu vas bientôt rentrer chez toi, qu'après avoir dormi, tout retournera à la normal. Personne ne fera attention à ce que tu as fait la nuit dernière, à la cuite phénoménal que tu t'es prise. « Mais je suis pas spécial.. », tu lui réponds, la tristesse dans la voix. T'as envie de pleurer, la tout de suite. De te lever et de partir en courant, t'as honte de toi subitement. T'es qu'une pauvre fille ordinaire parmi tant d'autre. Mais tu fais rien de tout ça, tu serres les poings, les yeux clos. « Et si justement, ce soir j'avais été moi même ? », tu ré ouvres les yeux, le regard à nouveau perdu dans les nuages. En moins de deux secondes, elle te relève, te proposant sèchement d'aller prendre un café. T'aimes pas le café, t'as froid, tu sais pas marcher sans te casser la gueule. Tu veux rentrer chez toi, te foutre dans tes draps et dormir, longtemps. « Non, je veux rentrer chez moi. », t'avais dis ça brièvement, on aurait limite l'impression que tu lui donnais un ordre, à Romy. Ta Romy. Tu croises les bras contre ta poitrine, manquant de perdre l'équilibre pendant un court instant, mais non ça va, tu tiens debout. « Je suis fatigué et.. je veux rentrer. » |
| | | | Jeu 8 Mai - 16:42 | |
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Je suis a des kilomètres de tout, de façon aléatoire je me présente sous des méditation déformées. Appoline est libre de faire ce qu’elle veut, pourquoi je voulais comme ça préservé son innocence? alors qu’elle fessait les choses de sont plein grès et puis surtout je suis qui pour dire quoique ce soit ? personne. Fallait qu'elle évolue aussi d'elle même et la meilleur façon c'était de tester les choses, j'essaie tout donc j'ai fais pire. Les nuances de sa peau se mélange dans ma tête. Je sais ce que c’est que de voir l’estime de soit dégringoler parce qu’on voudrait être vu par une personne mais plus tu veux être vu et plus tu es invisible. On sera jamais bien avec personne parce que l’être humain est un égoïste, il idéalise de façon narcissique la vision des autres et sa propre vision dans une dévalorisation presque incrédule. On ne compare pas une femme a une autre femme, on ne compare pas un être humain a un autre comme un objet, car tout ce que la personne a bien voulu nous montrer et on a vécus est et sera toujours totalement différent car il est conduit par une perception d’émotion. Rien dans cela n’est comparable. Il n’y a pas de caractéristique donné, c’est juste une idéalisation et puis les gouts sont différent pour chaque être. C’est cliché mais vaut mieux resté sur son allure, sur ce qui sort de soit, faire ce qu’on veut et montrer ce qu’on veut a qui on veut même si en face de nous la personne n’est pas si réceptif qu’on l’aurait bien voulu. Même si on réussi pas a lui mettre le trouble et qu’il s’en fiche totalement, même si ça lui est égal. C’est un parallèle ennuagé, elle ne peut pas forcer Sidoine à vouloir d’elle. Elle essaye d’attiré son attention ou d’oublier. Juste ça. Je comprend vouloir oublier, je comprend parfaitement mais même dans les bombardements d’événements je n’en suis pas capable. Combien de MDMA, combien de salvia divinorum, DMT, lsd ou autres peuvent faire oublier éternellement ? C’est éphémère. Rien ne pourra réparer les troubles en nous, on peut juste avancer avec ou faire semblant. Mon père me dit sans arrêt que si je veux quelques choses, il suffisait d’aller le chercher. Il avait plutôt raison, mon parcourt professionnel le prouvé. « oh moi non plus je suis pas spécial » je suis pas spécial je suis pas banal, je vais pas me qualifié, pour pas me prendre la tête avec moi-même. Mon instinct se trompe rarement et quand il fait des erreurs j’ai l’air stupide oui. Mon coeur est une jungle et dans sa course il macère les sentiments. C’est juste une constante douleur. Il faut que je me fasse une raison. J’écoute tout le monde en silence les yeux plonger dans leurs regards avec l’envie de m’y noyer. « je sais pas Appoline » je m’adoucie. « d’accord aller on y va » je l’aide en passant son bras sur mes épaules pour l’aider a marcher jusqu’a sa maison. « tu t’es disputé avec sidoine ? »
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