une tension ambiante ne peut pas être niée. tu ne peux pas nier ce qui es en train de se passer. la chaleur qui monte. pourtant, tu sais pas trop si tu te vois coucher avec gwenaël. à cause de « la dernière fois ». mais tu sais aussi que s'il continue comme ça, tu ne pourras jamais résister. dante et camil ont beaucoup trop déteints sur toi. alors que tu t'aventures dans son cou, tu sens sa main qui joue avec ton débardeur, des frissons te parcourent. « le genre d'idée... qui nécessite nullement ce genre de tissu... ni tout autre genre de vêtement... » tu souris et tu te mords la lèvre. tu lèves les bras, docile, pour le laisser enlever ton débardeur. d'accord. c'est bon. tu ne résisteras pas. tu y vas franchement. en soutien-gorge, tu poses tes lèvres contre les siennes et l'embrasse avec ferveur. tu tournes jamais autour du pot. tu passes tes mains sous son t-shirt, laissant tes mains froides caresser son torse tiède.

Elle se laisse faire et c'est plutôt bon signe non ? Voyant un sourire naître à ses lèvres, je la fixe ravi de la tournure de la soirée. J'aurais en effet jamais pensé la retrouver, la croiser par hasard et pourtant nous voila après une heure et demi de discussion, de mon appartement... Mon appartement, bizarre à penser... Je m'en formalise pas parce que ses lèvres viennent sur les miennes et que sur le coup, j'ai nettement mieux à penser. Où juste à pas penser d'ailleurs, c'est plus sympa comme option. Bien plus sympa. Ses mains froident sur mon ventre contractent mes abdo, sans que ça me dérange du tout d'avoir quelques secondes cette fraicheur. Loin de là même, je sourie un instant contre ses lèvres, mes doigts remontant dans son dos le long de sa colonne vertébrale alors que je reste contre ses lèvres reculant ensuite avec elle jusqu'au canapé chacun de nous étant plutôt clair dans ses actes et sa volonté.

tu n’avais jamais été du genre à faire dans la dentelle et la subtilité. t’étais pas le genre de fille qui faisait ça, tu savais même pas comment on faisait. passer ton temps avec que des mecs pendant des années avait grandement attaqué ta féminité. il n’en restait que quelques brides. suffisamment pour plaire. mais pas suffisamment pour être une vraie fille. ces filles là même, t’horripilaient. elles étaient mièvres, chiantes, insipides et inintéressantes au possible. tu savais bien qui ranger en premier dans cette catégorie, mais tu savais qu’un jour tu allais devoir la supporter. ça te filait des envies de meurtres…
les mains de gwenaël qui remontaient dans ton dos nu te tiraient de tes pensées. tu avais accroché tes bras autour de son cou désormais, alors que lui reculait jusqu’au canapé. une fois que tes jambes touchèrent le bord du canapé, tu lâchais ses lèvres pour te laisser tomber. une fois qu’il te rejoint, tu tirais sur son tshirt, histoire d’être à égalité.

On finit sur le canapé, je passe au dessus d'elle avec souplesse m'appuyant sur leur rebors pour pas l'écraser. Mes lèvres sur les siennes, je pense un instant au fait que ma colocataire devait sans doute pas s'imaginer que son canapé servirait autant à mon arrivé. J'y peux rien moi si toutes mes amies sont sexy, canon et aussi tentantes. Et là sérieusement Magda bat énormément de fille dans ce domaine là, de part sa révélation de la soirée qui autant m'a choqué durant un temps, autant m'amuse un peu maintenant. Comme quoi...
Je la laisse virer ma chemise alors que je me retrouve à égalité au niveau des vêtements, enfin presque, il lui reste son soutien-gorge, qui reste en place. Pour le moment. Quittant ses lèvres pour son cou, je descend le long de sa clavicule jusqu'à sa poitrine, mes doigts cherchant à détacher son jean alors que je reste contre sa peau.

assez étrangement, tu remarques que les choses se font assez facilement. tu te poses pas de questions. tu te demandes pas, et après ? ou quoi que ce soit d’autre. tu profites juste de l’instant présent. c’est encore plus différent de la dernière (et première) fois que tu avais couché avec gwen. oui, tu avais très bien caché ton jeu cette nuit là, pourtant, trois milliards de questions t’avaient envahies. ce soir, tu étais complétement détendue. tu savais quoi faire et tu connaissais des compétences dans le domaine. tu te contentais de profiter. ses lèvres contre les tiennes, tu sentais qu’il cherchait à retirer ton jean. avide de plus, tu l’aides, faisant glisser ton pantalon le long de tes jambes, tatouées. tu te demandes s’il voit une différence entre toi ce soir, et toi il y a quelques années. tes mains glissent sur son torse, pendant que tu l’embrasses dans le cou, d’une façon experte. puis tu retournes l’embrasser à pleine bouche alors que tes mains parcourent son dos…

Je me souviens plus vraiment d'il y a quelques années, la première fois que je l'ai rencontré. C'est pas que Magda a aucune importance, j'ai en mémoire son physique et son prénom, mais le reste... Trop de chose depuis son passé. J'arrive pas à souvenir de tout, les moindres détails semblent vouloir s'échapper. Peu importe je compte pas faire une comparaison, après tout. Et donc je me laisse juste aller contre ses lèvres la sentant s'écarter je sourie en la laissant virer d'elle même son jean. Moi mon regard traine sur ses jambes fines, blanches et parsemées de tatouages. Ça sur et certains ça a changé, et ça me plait bien. Pas vraiment le temps d'admirer cela que ses lèvres reviennent à moi, je sourie. merci... pour avoir virer ton jean, mais je balance pas la fin de ma phrase concentré plus sur son corps et le reste. Peu importe. Magda en sous-vêtement je me rend compte que son corps semble entièrement tatoué, chaque membre semble avoir au moins u dessins sur lui. Je sourie, mes mains descendant e long de sa poitrine, mes lèvres quittant les siennes pour suivre le chemin de mes mains.

tu n’as peur tu n’es pas stressée. tu t’en fous. enfin non, tu t’en fous pas, non. pas dans ce sens là. mais tu n’as pas la pression. tu n’es pas du tout dans le même esprit que la dernière fois. tu ne te poses aucune question. tu vis juste le moment présent. pour gwen, ça ne doit pas faire une différence énorme puisque la dernière fois tu ne lui avais rien dit et tu avais agis de manière assurée si bien qu’il était impossible qu’il se doute de quoi que ce soit. mais t’as quand même envie de lui montrer que tu as très bien progressé depuis la dernière foi. vivre avec dante et camil qui te parlaient comme si t’étais un mec t’a permis d’apprendre quelques techniques et de savoir comment et à quel moment faire plaisir. « merci... » tu réponds par un sourire, silencieuse. tu continues à embrasser son cou alors que ses mains s’aventurent jusqu'à tes seins. ses lèvres te quittent pour suivre le même chemin. tu fermes les yeux et tu frissonnes. lui aussi il sait comment si prendre, tu n’en doute pas. tes mains ébouriffent ses cheveux. tu te penches pour faire descendre son pantalon. une fois que tu l’as retiré d’une façon presque parfaite (t’as de la pratique) tu te colles encore un peu plus à lui, tes mains griffent son dos.

Plus de jean en peu de temps, sa manière de faire me fait sourire autant que ne fait que faire monter l'envier. J'arrive pas à réaliser que j'ai été sa première fois, c'est juste dingue. Enfin bon je me doute maintenant que je suis loin d'être le second, surtout sa manière d'agir. Je grogne un peu en sentant ses ongles marquer mon dos, mes lèvres revenant sur elle une fois mon jean enlevé, je les fait descendre le long de son ventre avec avidité de plus. Parce que bon oui faut dire qu'on a beau se reparler que depuis ce soir, on est sur la même longueur d'onde sur ce plan là alors que demander de plus ? Mes redressant un peu je suis déjà en train de faire longer le long de ses cuisses son sous-vêtement, remontant ses jambes pour le lui enlever, je l'abandonne au pied du canapé. Mes mains remontant sur ses cuisses, mes lèvres reprennent le chemin du haut de son corps sans s'être aventurer plus bas pour le moment je reviens l'embrasser avec un sourire en veux et amusé revenant contre elle. Où tout ça nous mène ? Oh a prendre son pied j'en suis certain, ici ou dans ma chambre c'est une certitude, mais plus tard ? Aucune idée, espérons qu'on restera en contact. C'était une amie sympa plus jeune et maintenant que je suis coincé en ville, je peux au moins être plus amis avec les gens.

tu avais de plus en plus envie et les petits bisous et caresses n’étaient plus suffisants. tu n’étais pas du genre à prendre des détours. tu aimais aller droit au but. pas seulement en matière de sexe. c’était général. tu ne prenais jamais de gants pour dire ou faire les choses. pour quoi faire ? tu t’en foutais de blesser des gens. tu vivais tout au moment présent, sans réfléchir, sans penser aux conséquences.
gwen vire rapidement ta culotte et tu te retrouves alors complètement nue. ce qui ne fait qu’augmenter le désir qui monte en toi. tu l’embrasses doucement, laissant tes mains voyager sur son torse assez musclé. tu fais glisser à ton tour son dernier vêtement avant de le faire voler dieu seul sait où. tu l’embrasses avec plus d’ardeur, pour lui donner encore plus envie de la suite. tes mains fourragent dans ses cheveux avant de s’aventurer sur son torse une nouvelle fois.

Je reste contre elle savourant ce moment là. Mes doigts continuant de parcourir son corps alors qu'elle semble tout aussi pressée de passer à la suite que moi... Comme quoi. La sentant virer mon caleçon de mes hanches puis de mes jambes je sourie en la laissant l'envoyer où bon lui semble ma concentration étant plus porté sur son corps et ses lèvres que sur le reste. Et je glisse mes lèvres dans son cou mes mains glissant le long de ses cuisses si fines alors que la sentir sous moi dans cet état me donne envie que l'une chose, la suite. Sauf que pour ça il faut que j'atteigne soit ma veste dans le hall soit la salle de bain et là... c'est nul. Non mais pourquoi est-se que cet appartement est si grand ? Moi dans ma caravane en festival au moins j'ai toujours ce genre de chose à porté de main. Remontant vers son oreille ma langue glisse cependant sur sa peau. T'as de préservatif à porté de main ? Si elle en a, elle devient mon top un de fille du moment parce que sérieusement ça serait juste parfait et ne me forcerait pas à arrêter plus longtemps que quelques secondes notre activité.

vous êtes désormais complètement nus tous les deux et tu profites pleinement du déroulement de cette soirée. tu es même contente du tournant qu'a pris cette soirée... vos deux corps nus glissent l’un contre l’autre faisant monter doucement mais surement la température à l’intérieur de toi. tu commences à presque t’impatienter de la suite. « t'as de préservatif à porté de main ? » tu réfléchis. t’es complètement nue, où croit-il que tu l’aurais caché ?! t’as envie de rire. tu secoues la tête. « où ils sont ? » tu demandes, prête à aller les chercher. tu t’en fous de te balader complètement nue dans son appartement.

Elle secoue la tête à ma question, et je me dis qu'en effet qu'elle en est dans son jean juste à côté du canapé ça aurait été miraculeux. où ils sont ? Je l'embrasse un long moment, mon désir nullement atténué par le fait de cette conversation ou l'idée de devoir me lever jusqu'à ma chambre. Peu importe. Glissant mes doigts sur sa peau je finis par m'en décoller, m'éloigner de ce corps beaucoup trop attirant. Je reviens.. De toute manière je peux pas aller bien loin non ? Je me relève donc avec souplesse, quittant le salon pour aller dans la pièce qui me sert de chambre. Endroit où s'entasse un bazzar monstre, vestige de mes voyages passé et de tout les objets que j'ai sortit de ma caravane. Bref, fouillant dans 'un de mes sacs j'en trouve enfin une boite voulut revenant peu de temps après avec un emballage neuf en main repassant sur le canapé avec un sourire. navré pour l'attente...