Phoebe Lea Parker - « Je choisi mes amis pour leur bonne présentation, mes connaissances pour leur bon caractère, mes ennemis pour leur bonne intelligence. »
Que vous dire ? Si j'ai un jour été une petite fille facilement en proie à ses émotions, je ne le suis très certainement plus depuis l'âge de treize ans. Ou du moins, c'est ce qui semble être, et ce qui est à la fois. Pour tout vous avouer, mon caractère est composé de contraires et d'ambiguïtés. J'ai toujours été, et je suis encore, quelqu'un d'extrêmement ambitieux, ambition qui n'a prit que plus d'ampleur au fil des années, car c'est aujourd'hui la seule chose qui me reste. Je suis une jeune femme déterminée, et les événements m'ont poussés à cacher mes émotions. Je ne suis pas comme les autres. Plus maintenant. Lorsque l'on me voit, c'est à un masque de dureté et de froideur que l'on se heurte. Dû à cela, certains me craignent, d'autres me prennent de haut, d'autres encore cherchent à me connaitre, à savoir ce que je cache, qui est la véritable Phoebe. En réalité, je ne suis pas si dénuée de toute émotions, loin de là. Je crois même que j'en ressens bien plus que n'importe qui d'autre : pour preuve, je ne me suis jamais remise de la mort de mes parents. Avec le temps, j'aurais dû être apte à passer à autre chose, et pourtant aujourd'hui encore je ressens la douleur aussi durement que si cela venait tout juste de se produire. Je ne suis pas sans émotions, et pourtant lorsque je suis énervée, je peux devenir plus cruelle qu'un tueur en série, et rien, pas même les cris ou les supplications ne peuvent me donner pitié. Je vous rassure, je n'arrive à ce stade de fureur que lorsque quelqu'un le mérite réellement. Je peux également me montrer sans coeur lorsque je suis énervée à un stade moins fort que celui que je viens de vous décrire, mais c'est moins pire tout de même. Je sais ce que vous pensez. Que je suis folle, juste bonne à interner. Et si ce n'était pas le cas ? Tout le monde pense cela, et pourtant. Je ne suis pas si différente de vous. J'ai juste choisi de ne répondre qu'à mes propres règles. Je suis une jeune femme forte et indépendante, et je ne crains plus de mourir depuis la perte de mes parents. Au contraire, je traque la mort, et je l'affronte lorsque l'opportunité m'en est donné. Je n'ai plus peur de rien ni de personne dorénavant. Et c'est ce qui me donne du courage, c'est ce qui me permet d'affronter toutes les situations, les pires comme les meilleures. Peu importe si je risque ma vie, elle ne vaut plus rien. Pas plus pour moi que pour les gens qui me connaissent. Morte, je ne manquerais à personne, les gens danseraient sur ma tombe et déboucheraient une bonne bouteille de champagne. Et moi... moi je pourrais enfin retrouver mes parents. Tout le monde y trouverait son compte, vous ne pensez pas ? Non je ne suis pas folle. J'aime à être mystérieuse, et je fais tout pour être aussi libre que possible. Mais folle... ça non. Des fous, des vrais, vous en croisez tous les jours, sans même le savoir. Un voisin, un ami, un collègue. Parfois même un parent. Qui sait quelle est leur vie ? Et pourtant vous pensez les connaitre, que ce soit leur caractère, leurs goûts, leur style vestimentaire, leur manière d'agir, de faire. Mais une personne telle que moi, qui cache qui elle est réellement, est de suite suspecte à vos yeux. Il vous faut à tout prix savoir ce qui se cache. Seulement voilà, je mens aussi bien que je respire, il vous sera impossible de savoir si je mens ou pas. Tout le monde a un tic, un petit quelque chose qui vous trahis quand vous mentez. Moi je peux vous regarder droit dans les yeux, et vous débiter un mensonge si sincère que vous ne pourrez que vous prendre au piège. Sans compter que... mes secrets sont bien gardés. Car à moins d'avoir la faculté de lire dans les pensées, rien ne vous permettra jamais de découvrir la vérité. Que dire d'autre ? Je prétend constamment aller bien, même si c'est totalement faux. Je pourrais encore saigner de partout que je serais capable de vous dire que tout va bien, que je n'ai pas besoin d'aide. Car oui, je déteste qu'on tente de m'aider. Et pas parce que je prend cela pour de la pitié, ça non. Simplement parce que se faire aider de quelqu'un, c'est être dépendant de cette personne. Or ça... je le refuse. Je suis libre. Rien ni personne ne pourra changer qui je suis, et m'ôter cette liberté pour laquelle je me bat. Je suis également incapable de dire " je t'aime " à quelqu'un. Peut-être par... peur. Je ne sais pas au fond. Ce sont les derniers mots que j'ai dis à ma mère avant qu'elle ne meure. Je lui ai dis ces trois petits mots, et une seconde plus tard elle rendait son dernier souffle. Alors peut-être que j'ai peur de perdre cette personne, tout comme j'avais perdu ma mère, si je les prononce. Ou peut-être est-ce tout simplement parce que cela me rappelle de manière encore plus forte ce moment. Aussi, lorsque quelqu'un me dit qu'il m'aime, je ne peux que répondre " moi aussi " ou " c'est réciproque ". Heureusement, je n'ai pas tant de personne que cela qui me disent qu'ils m'aiment, je pourrais même dire qu'il n'y a personne. Et le pire de l'affaire, c'est que personne ne s'en rend compte. Marrant non ? Tant qu'on est dans ce registre, je suis incapable de trouver les mots qu'il faut pour venir en aide à quelqu'un. Du moins je le crois. J'ai toujours la sensation que... j'empire les choses. Ou que je les formule de manière maladroite. Sans doute parce que j'ai tant l'habitude de refouler mes propres sentiments que je suis incapable d'aider les autres avec les leurs. Et pour finir, je ne peux que vous dire que je suis une battante. En gros, c'est moi. Je me doute que j'en oublie sans doute, mais vous savez quoi ? Vous verrez bien plus tard !
Petit ami / FREE De la famille / FREE Frère/soeur de coeur / FREE Meilleur(e) ami(e) / FREE Protégé(e) / FREE Ennemi(e)s / FREE Autres selon vos idées, proposez toujours, ça peut être intéressant !
Ok pour vous deux ! :D Des idées, des envies ? Comme la fiche de prez ne laissait pas ce loisir et que je n'ai pas encore mis le premier poste de la fiche lien, je vous passe mon caractère :
Citation :
Que vous dire ? Si j'ai un jour été une petite fille facilement en proie à ses émotions, je ne le suis très certainement plus depuis l'âge de treize ans. Ou du moins, c'est ce qui semble être, et ce qui est à la fois. Pour tout vous avouer, mon caractère est composé de contraires et d'ambiguïtés. J'ai toujours été, et je suis encore, quelqu'un d'extrêmement ambitieux, ambition qui n'a prit que plus d'ampleur au fil des années, car c'est aujourd'hui la seule chose qui me reste. Je suis une jeune femme déterminée, et les événements m'ont poussés à cacher mes émotions. Je ne suis pas comme les autres. Plus maintenant. Lorsque l'on me voit, c'est à un masque de dureté et de froideur que l'on se heurte. Dû à cela, certains me craignent, d'autres me prennent de haut, d'autres encore cherchent à me connaitre, à savoir ce que je cache, qui est la véritable Phoebe. En réalité, je ne suis pas si dénuée de toute émotions, loin de là. Je crois même que j'en ressens bien plus que n'importe qui d'autre : pour preuve, je ne me suis jamais remise de la mort de mes parents. Avec le temps, j'aurais dû être apte à passer à autre chose, et pourtant aujourd'hui encore je ressens la douleur aussi durement que si cela venait tout juste de se produire. Je ne suis pas sans émotions, et pourtant lorsque je suis énervée, je peux devenir plus cruelle qu'un tueur en série, et rien, pas même les cris ou les supplications ne peuvent me donner pitié. Je vous rassure, je n'arrive à ce stade de fureur que lorsque quelqu'un le mérite réellement. Je peux également me montrer sans coeur lorsque je suis énervée à un stade moins fort que celui que je viens de vous décrire, mais c'est moins pire tout de même. Je sais ce que vous pensez. Que je suis folle, juste bonne à interner. Et si ce n'était pas le cas ? Tout le monde pense cela, et pourtant. Je ne suis pas si différente de vous. J'ai juste choisi de ne répondre qu'à mes propres règles. Je suis une jeune femme forte et indépendante, et je ne crains plus de mourir depuis la perte de mes parents. Au contraire, je traque la mort, et je l'affronte lorsque l'opportunité m'en est donné. Je n'ai plus peur de rien ni de personne dorénavant. Et c'est ce qui me donne du courage, c'est ce qui me permet d'affronter toutes les situations, les pires comme les meilleures. Peu importe si je risque ma vie, elle ne vaut plus rien. Pas plus pour moi que pour les gens qui me connaissent. Morte, je ne manquerais à personne, les gens danseraient sur ma tombe et déboucheraient une bonne bouteille de champagne. Et moi... moi je pourrais enfin retrouver mes parents. Tout le monde y trouverait son compte, vous ne pensez pas ? Non je ne suis pas folle. J'aime à être mystérieuse, et je fais tout pour être aussi libre que possible. Mais folle... ça non. Des fous, des vrais, vous en croisez tous les jours, sans même le savoir. Un voisin, un ami, un collègue. Parfois même un parent. Qui sait quelle est leur vie ? Et pourtant vous pensez les connaitre, que ce soit leur caractère, leurs goûts, leur style vestimentaire, leur manière d'agir, de faire. Mais une personne telle que moi, qui cache qui elle est réellement, est de suite suspecte à vos yeux. Il vous faut à tout prix savoir ce qui se cache. Seulement voilà, je mens aussi bien que je respire, il vous sera impossible de savoir si je mens ou pas. Tout le monde a un tic, un petit quelque chose qui vous trahis quand vous mentez. Moi je peux vous regarder droit dans les yeux, et vous débiter un mensonge si sincère que vous ne pourrez que vous prendre au piège. Sans compter que... mes secrets sont bien gardés. Car à moins d'avoir la faculté de lire dans les pensées, rien ne vous permettra jamais de découvrir la vérité. Que dire d'autre ? Je prétend constamment aller bien, même si c'est totalement faux. Je pourrais encore saigner de partout que je serais capable de vous dire que tout va bien, que je n'ai pas besoin d'aide. Car oui, je déteste qu'on tente de m'aider. Et pas parce que je prend cela pour de la pitié, ça non. Simplement parce que se faire aider de quelqu'un, c'est être dépendant de cette personne. Or ça... je le refuse. Je suis libre. Rien ni personne ne pourra changer qui je suis, et m'ôter cette liberté pour laquelle je me bat. Je suis également incapable de dire " je t'aime " à quelqu'un. Peut-être par... peur. Je ne sais pas au fond. Ce sont les derniers mots que j'ai dis à ma mère avant qu'elle ne meure. Je lui ai dis ces trois petits mots, et une seconde plus tard elle rendait son dernier souffle. Alors peut-être que j'ai peur de perdre cette personne, tout comme j'avais perdu ma mère, si je les prononce. Ou peut-être est-ce tout simplement parce que cela me rappelle de manière encore plus forte ce moment. Aussi, lorsque quelqu'un me dit qu'il m'aime, je ne peux que répondre " moi aussi " ou " c'est réciproque ". Heureusement, je n'ai pas tant de personne que cela qui me disent qu'ils m'aiment, je pourrais même dire qu'il n'y a personne. Et le pire de l'affaire, c'est que personne ne s'en rend compte. Marrant non ? Tant qu'on est dans ce registre, je suis incapable de trouver les mots qu'il faut pour venir en aide à quelqu'un. Du moins je le crois. J'ai toujours la sensation que... j'empire les choses. Ou que je les formule de manière maladroite. Sans doute parce que j'ai tant l'habitude de refouler mes propres sentiments que je suis incapable d'aider les autres avec les leurs. Et pour finir, je ne peux que vous dire que je suis une battante. En gros, c'est moi. Je me doute que j'en oublie sans doute, mais vous savez quoi ? Vous verrez bien plus tard !
Alors pour ma part, je pensais à un lien familial étant donné que nos deux persos portent le même nom de famille. Mia porte le nom de famille de sa mère car elle n'a pas connu et n'a pas vécut en la présence de son père. La mère de Mia est décédée quand Mia avais 18 ans d'une maladie de cœur il y a 4 ans maintenant, quelques mois plus tard après que Mia avais eu un accident de voiture ou elle a perdu son premier bébé. Elle a eu du mal à se remettre du décès des deux personnes les plus précieuses à ses yeux. Mia est maman de deux jeunes enfants qui ont pratiquement 2 ans pour sa fille et 7 mois pour son petit garçon
enfin je pensais que Phoebe pourrais être une cousine de Mia, qu'en pense tu?
Tu remercies tes fans ou pas ? Plus sérieusement, il apprécierait l'entendre chanter, c'est un amateur de musique et ce serait pas étonnant de le voir trainasser dans la boutique où elle travaille.
Les remercier de quoi ? xDD Oui d'accord ! A partir du moment où elle se dit pas que c'est un type louche et surement un tantinet pervers t'as rien à craindre
Entre passionnées de musique, je me suis dis qu'elles auraient pu faire connaissance sur le lieu de travail de Phoebe ? Ophelia cherchait un CD précis et Phoebe lui aurait trouvé avant d'entamer une conversation sur l'artiste en question. Par la suite, le sujet de conversation aurait pu dévier sur tout autre chose et les deux jeunes femmes finirent par s'échanger leur numéro de téléphone pour se revoir dans les prochains jours ?
Ophélia : Ca me va :D Jordan : Phoebe va jamais chez les masseurs, Pho et la détente, ça va définitivement pas ensemble Mais on peut trouver autre chose :D
Remercier tout simplement, parce qu'elle est gentille ? (a) T'inquiètes, c'est pas le genre ! Il a beau avoir un physique imposant, elle apparait comme quelqu'un de gentil, serviable et à qui on fait facilement des confidence (truc qu'il n'a jamais vraiment compris).
Oui...je parle bel et bien de lui au féminin, my bad, je songeais en même temps à un autre personnage féminin et j'ai fait l'amalgame dans tout les cas, l'information reste la même hahaha.
Khan : Ok xD Pas dis que Pho lui fasse autant confiance que d'autres peuvent le faire, mais ok x) Jordan : Pas de la part de Phoebe alors. Quand elle aime, même si elle sait pas forcément le montrer correctement, elle aime pas à moitié. Et comme est plus du genre à avoir peur de l'amour, si elle t'avais trompé, ça serait tout sauf logique
Phoebe Lea Parker - « Je choisi mes amis pour leur bonne présentation, mes connaissances pour leur bon caractère, mes ennemis pour leur bonne intelligence. »