Quelques heures auparavant ; Au programme de ce soir, soirée organisée chez l'un de mes amis. C'était son anniversaire, et je me devais d'être là. Il était aux alentours de minuit, et nous étions tous bien amochés, il restait déjà plus de bouteilles vides, que de pleins. Quant à moi, je me sentais.. euphorique. Je me sentais bien, honnêtement, j'avais un peu chaud, c'est pourquoi, avec plusieurs potes, nous nous étions jetés dans la piscine du voisin. Non, non, vous ne rêvez pas, la piscine du voisin. Nous n'avions malheureusement calculé que ce dernier était là, résultat, en douce, il avait appelé les flics. Les alarmes retentirent. Paniqué, nous sortions de l'eau et laissions en plan notre ami pour se tirer de là illico-presto. Hors de question pour moi de finir ma soirée en cellule. De plus, je doute que Julie aurait apprécié recevoir un coup de fil à une heure pareil lui annonçant de venir me récupérer en garde à vue, comme il lui était déjà arrivé de faire à plusieurs reprises. « bon moi je rentre les gars, je suis déchiré » lâchait l'un de mes potes totalement amoché. Lui, à mon avis, s'il était encore en vie demain, c'est que c'était un warrior. Non je plaisante, mais je pense que d'entre tous, c'était lui le plus touché. « lui, il est mort » plaisantais-je, alors, avant de reprendre « moi aussi je vous laisse les mecs, je suis k-o, et demain je me lève tôt, je dois voir un pote pour un projet en cinéma, donc je vous souhaite une bonne soirée » Je serrais amicalement la main de chacun d'eux, et pris un chemin différent des leurs pour regagner mon chez moi.
Maintenant ; Par chance, avec la chaleur qu'il faisait à cette heure-ci, et n'étant vêtu que d'un simple bermuda, et d'un tee-shirt, j'avais rapidement séché. Je déambulais tranquillement dans les rues de Richmond District. Un quartier assez populaire, et côtoyé de San Francisco. J'avais quelques amis qui habitaient dans ce coin là. J'entendais de la musique, je m'amusais alors à me dandiner sur cette dernière, lorsque, tout en poursuivant ma marche, seulement, danser, les yeux fermés pour se mettre dans le rythme, la nuit, sur un trottoir, ce n'était pas toujours la meilleure chose à faire. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que je percutais une jeune fille, une jeune fille qui au passage s'était cramponnée à moi pour ne pas tomber. Premier réflexe, glisser l'un de mes bras autour d'elle. A présent contre mon torse, je la regardais, un petit sourire charmeur se hissait alors sur mes lèvres. Elle semblait toute aussi guillerette que moi. « c'est ta technique de drague te jeter dans les bras d'un inconnu ? » lâchais-je d'un ton charmeur. Au passage, la demoiselle me demandait ce que je comptais faire dans les prochaines heures qui suivaient notre rencontre. Elle m'annonçait qu'elle fêtait ses vingt ans. Ma bonne conscience me disait « rentres Lorenzo, fais pas le con, demain tu te lèves tôt t'as rendez-vous avec un ami pour faire ton projet, n'oublies pas » tandis que ma mauvaise conscience me murmurait « vas-y, fonces, regardes là, elle est belle, terriblement sexy, et te proposes indirectement de te joindre à elle pour la fin de la soirée, merde Lorenzo fonce ! » Ni une ni deux, je choisissais de trahir ma bonne conscience en acceptant l'offre de la demoiselle. Cette dernière, munie d'une bouteille de rhum. Elle m'invitais à la suivre pour justement boire. J'acceptais volontiers, ce n'était pas comme si j'étais déjà à moitié ivre. Enfin bon, c'était une occasion de faire de nouvelle connaissance. Lorsque la demoiselle brandit la bouteille de rhum devant moi, d'un coup de main je me saisi de cette dernière, je me détachais de la jeune fille et me reculais légèrement, bouteille en main. Je m'amusais à l'agiter légèrement devant elle. « Tu la veux ? » demandais-je malicieusement, tout en retirant le bouchon de cette dernière afin de porter le goulot de la bouteille jusque dans la bouche, buvant ainsi plusieurs gorgées. « Viens la chercher » repris-je, gardant le même ton précédemment utiliser. Je m'amusais à reculer, ne détachant pas mon regard de la jolie blonde avec laquelle il y avait des chances que je ne termine la soirée.

La soirée pour moi touchait à sa fin, j'étais sur le chemin qui me conduisais chez moi. Enfin, c'est ce que je pensais jusqu'à ce sur mon chemin se trouve une fille, à moitié ivre. Cette dernière m'accostais de façon plutôt entreprenante. A croire que c'était mon jour de chance. J'avais deux hypothèse qui s'offraient à moi, soit rentrer chez moi me coucher, soit terminer la soirée à ses côtés, sachant pertinemment que nous finirions dans le même lit étant donné que cette dernière était bien partie pour me tourner autour. Personnellement, cela ne me dérangeais absolument pas, elle était vraiment belle, et très attirante. Elle n'avait visiblement pas froid aux yeux, et c'est ce que j'aimais beaucoup. Trébuchant, je l'avais donc rattrapé, passant l'un de mes bras instinctivement derrière elle. Sa poitrine généreuse se retrouvait alors plaquée contre mon torse. Un sourire malicieux se hissait sur mes lèvres. Pour un inconnu tu es drôlement sexy.. et l'inconnu.. ça m'excite ! m'avait-elle dit d'une voix que je qualifierais plutôt sensuelle. Je me mordais alors discrètement la lèvre inférieur. Mes yeux faisant des allers-retours entre sa poitrine et ses lèvres. La soirée avec elle ne faisait que commencer. Bouteille de rhum à la main, elle me proposait de m'entraîner avec elle. Avant d'accepter, je me saisi de cette bouteille qui ne demandait qu'à être consommée. Je pense que la jeune fille ne s'attendait pas à ce que je lui pique sa bouteille. Pour l'insister à venir vers moi, je lui lançais d'un ton amusé que si elle voulait récupérer sa bouteille, alors elle devrait venir la chercher. Ainsi je buvais un coup histoire de me désaltérer. Une nouvelle fois, elle se jetait dans mes bras, je la tenais alors fermement contre moi, de mon bras libre, l'autre étant prit par la bouteille. « J'attends que tu me les montres » C'était plutôt sa chambre que j'attendais qu'elle me montre en vue des circonstances. Nous nous regardions, intensément. Elle prit la bouteille, buvant quelques gorgées, par la suite, elle m'embrassait, langoureusement, je la plaquais alors doucement contre la murette en l'embrassant à mon tour fougueusement. Je glissais l'une de mes mains sous son tee-shirt pour caresser son corps. Je la désirais, c'était indéniable. Elle m'avait cherché, elle m'avait trouvé. « Et si tu me montrais plutôt ta chambre » lâchais-je tout contre ses lèvres, l'embrassant de nouveau avec passion. Je me collais alors d'avantage à elle, le désir montait en flèche. J'avais envie de découvrir chaque partie du corps de cette belle inconnue. Elle avait raison lorsqu'elle avait dit "l'inconnu m'attire". Parce qu'à ce moment même, elle m'était inconnue et pourtant elle m'attirait, énormément même. C'était purement physique.

Une jolie blonde m'accostait. Vêtue d'une petite tenue légère, jupe plutôt courte. Mon regard se posait en premier dans ses yeux, puis progressivement ce dernier descendait de plus en plus bas, ses lèvres, sa poitrine quelque peu volumineuse, ses hanches, son bassin, ses longues et fines jambes élancées. Cette fille était faite pour moi. Elle était saoule et plutôt du genre rentre-dedans. Je ne comptais pas abuser d'elle, seulement, j'entrais dans son jeu, nous verrions bien jusqu'où ce petit jeu nous mènerait. Chien et chat. C'était ça. Je lui piquais la bouteille de rhum, reculant pas à pas. Le but était de la faire se rapprocher de moi. Elle se jetait même dans mes bras. Intéressant. Je la dévorais du regard. J'étais moi-même bien amoché. Elle m'embrassait, langoureusement. Ok, là, c'est bon, jackpot Lolo. Je plaçais mes mains sur ses hanches, la collant à moi. Sa poitrine contre mon torse. Je la plaquais ensuite contre la murette, ne lâchant pas ses lèvres. J'avais envie d'elle. Je glissais mes mains sous son petit haut, je caressais le corps de cette dernière. Mes mains vinrent se poser accidentellement sur sa poitrine, encore vêtue de son soutient-gorge. Le faire ici, en pleine rue, ce n'était pas raisonnable. Je lui demandais donc de me guider jusqu'à sa chambre.
Ni une, ni deux, la demoiselle m'entraînait avec elle, à l'intérieur, bouteille en main. Nous nous faufilions, main dans la main parmi tout ce monde, pour regagner le premier étage. Elle ouvre une porte, la première, c'est la bonne. Heureusement, parce que je crois que je ne pourrais pas retenir mes pulsions plus longtemps. Elle nous enferme à clé, afin que nous ne soyons pas dérangés durant notre acte. On allait pas se mentir, on savait pertinemment comment cela allait se terminer. Le temps de boire une dernière gorgée, elle me prend la bouteille des mains, la termine et la pose sur la commode. Maintenant libre, nous pouvions passer aux choses sérieuses. Elle se reculait, et tout en se dandinant, elle retirait son tee-shirt. Elle portait un soutient-gorge noir en dentelle, très sexy. Je n'avais rien manqué. Je m'approchais d'elle. Elle me choppait par la ceinture, m'attirant vers elle, pour ensuite m'allonger sur le lit. Rapidement, elle se retrouve en califourchon sur moi, détachant ma ceinture, quant à moi, je glisse mes mains mes mains dans son dos, dégrafant son soutient-gorge. Sensuellement, je fais glisser ses bretelles sur ses épaules, dénudant sa poitrine. Je me pince les lèvres. Je passe alors mes mains sur sa poitrine, lui caressant sensuellement. Elle se frotte contre moi, le désir, l'envie monte en flèche. Je ne peux plus me retenir. Je l'aide alors à retire mon jean, ainsi que sa petite jupe. Je nous fais ensuite pivoter pour me retrouver à mon tour sur elle. Je la dévore du regard. L'embrasse avec une telle fougue. J'ai envie d'elle. C'est indéniable. Mes mains sur son corps viennent retirer son dernier petit dessous, tandis que cette dernière fait pareil. Je la pénètre alors, avec envie, et entame ainsi mes vas-et-viens. Ma langue joue sensuellement avec la sienne durant l'acte. J'ai chaud, vraiment chaud, tout ceci est dû à cette dernière qui me fait énormément d'effet.

Le désir. C'est ce que j'éprouvais à l'égard de cette fille. Elle m'était pourtant inconnue, mais je crois que c'est ce qui m'attirais le plus, l'inconnue. S'était comment dirais-je... Excitant. C'était parti d'un simple jeu de séduction, mais si on y ajoutait l'alcool que nous venions tout deux d'ingurgiter, rapidement tout ceci était devenu bien plus qu'un simplement jeu de séduction. Elle avait capturé mes lèvres dans un fougueux baiser. Je la soulève de mes bras musclés et la plaque contre la murette. L'une de mes mains remonte le long de son dos, se glissant ainsi derrière sa nuque afin d'intensifier ce baiser passionnément. Je crois qu'à cet instant même, il m'est tout simplement impossible de contenir mes pulsions. Je me laisse aller. Je suis seul. Personne ne m'attend au loft, alors à quoi bon lui résister, tout ceci m'était tout bonnement impossible.
Afin de ne pas se faire remarquer, elle m'entraîne à l'intérieur, on se faufile entre les gens, qui me sont tous aussi inconnu les uns que les autres. Bingo, la première chambre qu'elle ouvre est la bonne. Personne ne s'y trouve, à croire qu'elle nous était réservée. La jeune fille ne perd pas de temps à ôter son haut pour ainsi mettre à jour sa poitrine, vêtue d'un joli petit soutient-gorge noir à dentelle. Mon regard se pose sur elle. Ses yeux, ses lèvres, sa poitrine couverte.. mais plus pour longtemps selon moi, ses hanches, ses cuisses. Elle m'attrape par la ceinture, et m'allonge sur le lit, prenant place sur moi. Mes mains sur ses hanches ne perdent pas de temps à venir dégrafer l'agrafe de son soutient-gorge, que je ne tarde pas à retirer, dénudant sa poitrine. L'envie irrésistible de poser mes mains dessus devient plus forte. Je lui caresse ces derniers, de façon sensuelle. Le désir monte en flèche, c'est indéniable. Après ça, nous ne perdons plus de temps, nous nous aidons mutuellement à retirer nos vêtements, afin d'assouvir au plus vite notre envie. Celle de ne faire plus qu'un. Je la pénètre, assez fortement, j'ai envie d'elle. Je n'en peux plus, tout simplement. Mes lèvres contre les siennes étouffent ses cris. Ma langue joue sensuellement avec la sienne, tandis que mes mouvements se font profonds et accélérés. Mes mains parcourent son corps. Elle est physiquement parfaite, et au lit, elle s'en sort vraiment bien. Je rompt un instant le baiser. Nos souffles sont saccadés, tout ceci est dû à l'excitation, au désir que nous pouvons éprouver l'un à l'égard de l'autre. Je viens poser mes lèvres dans sa nuque, et descend mes lèvres jusque sur sa poitrine, je parsème cette dernière de baiser. Je glisse ensuite mes mains sous son dos pour la sentir encore plus contre moi, je reprend possession de ses lèvres, langoureusement. Cette fille me rend fou. Quant à la température de nos corps, elle est élevée, même très élevée. Je ramène l'une de mes mains derrière sa nuque, entremêle ensuite mes doigts dans ses cheveux, afin de mettre encore plus d'intensité dans notre baiser. Ses mouvements de bassin sont en accord avec mes vas-et-viens.