Il ne me restait plus que quelques heures avant de finir mon service, j'avais assez bosser pour aujourd'hui, et ce soir je ne bosserais pas, j'avais pris ma soirée, j'allais sûrement, regarder un bon film d'horreur devant une pizza que je me serais livré. Les quelques clients, qu'il restait , ayaient terminés, j'entrepris donc de nettoyer mes tables et de partir. Je saluais le patron et partit à ma voiture, je rallumais mon téléphone, un message vocal de Jude. Ah , Jude qu'est ce qu'on avait pu être insouciants et cons pendant notre jeunesse. On avait jouer au « je t'aime, moi non plus » pendant un bon bout de temps, je croyais l'aimé mais en faites, j'avais juste envie d'elle. Tout le temps, n'importe quand mais je m'étais soigner. Je consultais donc mon répondeur.
Citation :
Salut James... C'est Jude. Je suppose que tu ne bosses pas ce soir, que dirais-tu de venir à la maison? Je suis seule. Tu connaîs l'adresse. Bisous.
Je raccrochais mon téléphone, bon ben je ne serais pas seul avec ma pizza ce soir, j'allais être avec Jude et j'avais déjà une multitude d'idées en tête.Souriant en coin, je rentrais chez moi et pris une douche. Je regardais le cadran de l'horloge du salon et vit afficher 17h30. Bon, dans 30 minutes, je partirais chercher sa boîte de chocolats préférés et irait chercher deux pizzas, comme sa , je la déchargerais de toute cuisine. Qu'est ce que je peux être galant moi. Je me désespérais des fois, j'enfilais mon jean, ma chemise et vissais mes lunettes de soleil sur mon nez. Le soleil tapait dehors, et je détestais avoir le soleil dans les yeux. C'est d'un chiant.
Après avoir acheter les chocolats préférés de la demoiselle, je lui envoyais un message comme quoi, que je me chargeais de la nourriture ce soir et des boissons. Sortant du supermarché, je pris la route pour aller chez Jude, j'allais bien me perdre, je détestais ce quartier, les maisons se ressemblaient toutes les unes les autres. Il n'y avait que leur couleur qui changeaient, mais j'avais toujours le chic pour me tromper. Je garais ma voiture devant la bonne maison, je l'avais vu qui me guettait derrière son rideau. Je toquais à la porte et après qu'elle m'est ouvert, lui embrassa la joue et me dirigea vers le salon, déposa tout et lui tendit sa boîte de chocolats. « Tiens c'est pour toi. » Je lui souriais. « Merci d'avoir eu pitié d'un pauvre beau gosse qui allait s'ennuyer chez lui ce soir. » Elle soupirait, j'avais toujours été comme sa. Toujours a me faire des fleurs. « Alors on fait quoi ce soir ? On joue au monopoly ? »
Maël m’avait fait du mal. Apparemment il m’aurait fait croire il y a trois ans plus tôt qu’il était saoul alors que nous avions eu notre première fois. Ou bien ma première fois. J’étais vierge avant qu’il ait couché avec moi et surtout amoureuse de lui. Personne ne peut être plus amoureuse de lui que moi c’est mathématiquement impossible. En tout cas, j’ai appris ça l’autre soir, au Starbucks. J’étais en colère que je lui ai même échappé mon Chocolat bouillant sur son pantalon. En fait… étais-je en colère ou très triste ? Les deux, probablement.
J’avais passé ma journée à pleurer et à jouer du piano pour me détendre. Je jouais uniquement des chansons déprimante, et chantait uniquement des chansons tristes. J’étais à cours de larmes, je devais faire quelque chose d’autre car sinon si j’en aurais eu le courage, je serais bien dans l’humeur de me jeter au bas du gouffre.
Alors j’avais eu l’idée de faire comme à mon habitude… Voir d’autres gens. En trois ans je n’ai jamais connu quelqu’un qui pouvait le faire aussi bien que James. Serait-ce comme me servir de lui ? Aussi triste que cela puisse être, oui. Enfin je suis sortie avec lui durant la moitié d’une année et il s’est bien rendu compte durant tout ce temps que je n’avais pas de sentiments pour lui. Pourtant, j’aurais dû en avoir, ç’aurais été bien trop facile d’en avoir. Il a tout pour lui : le physique, l’humour, de la facilité au lit… Mais tout ce qui bloquait, c’était qu’il n’était pas « lui ».
De : Jude ____________________________________________________________ Salut James... C'est Jude. Je suppose que tu ne bosses pas ce soir, que dirais-tu de venir à la maison? Je suis seule. Tu connais l'adresse. Bisous.
Je lui avais envoyé ce SMS, il m’avait rapidement répondu qu’il viendrait et qu’il apporterait de quoi mangé. Ça tombait justement bien, car j’allais lui demander de faire cette commission pour moi au prochain message. Enfin bref. Je préparais la maison à l’accueillir, un simple coup de ménage vite-fait. Je m’étais changé aussi, même les sous-vêtements, je savais déjà d’avance en l’invitant ici qu’il ne voudrait pas qu’on s’assoit devant la télévision et qu’on ne fasse rien. C’était déjà prévu, tout ça.
Je l’attendais devant la fenêtre. James avait la fâcheuse habitude de se perdre à Alamo Square, je ne l’avais pas oublié ça. J’en avais ris pendant longtemps, car il y a bien des fois il s’arrêtait chez mon voisin d’en face, chez Monsieur Bolton. Enfin bref.
Cette fois il s’est arrêté au bon endroit, j’étais presque fière de lui quoi. Je lui ouvris la porte, il avait des pizzas et une boîte de chocolat. Je soupirai, il était gentil d’avoir pensé à moi. James se pencha et m’embrassa la joue avant de me tendre la boîte et poursuivre son chemin. Tiens c'est pour toi. je lui souris et prit la boîte de chocolat. Je me déplaçai vers le salon puis déposa la boîte sur la petite table. Je fermai la télévision qui était ouverte lorsque j’attendais qu’il arrive. Merci d'avoir eu pitié d'un pauvre beau gosse qui allait s'ennuyer chez lui ce soir. pas de quoi, merci à toi en fait. Je gardai le sourire sans rien ajouté, je me sentais mal parfois d’agir aussi égoïste. Alors on fait quoi ce soir ? On joue au Monopoly ?
Comme je vous disais plus tôt, James avait de l’humour. À ce moment-là je me suis tout de suite douté qu’il savait ce qu’on allait faire, ce que j’avais besoin de faire. Je m’approchai de lui et posai ma main sur son épaule. Jouer au Monopoly ? Nan, pas du tout. Si tu y tiens... je baissai mon regard vers ses lèvres, mon cœur battait vite. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser à la raison pour laquelle j’avais décidé de l’inviter. Mais j’ai une proposition bien meilleure.
Je retirais ma veste en lui souriant en coin, je savais très bien ce qu'elle voulait. Pourquoi elle m'avait appelé ce soir et pas un autre soir. Enfin, elle aurait pu m'appeler tout les soirs, j'aurais pas dis 'non' non plus hein. J'aurais accouru chez elle même. Comment s'envoyer en l'air ? Ayez une bonne amie, une ex au passage, qui est aussi accroc au sexe que vous. Et voilà. Jude. Ah Jude. Quelle histoire. Je la fixais doucement du coin de l'œil « Si tu y tiens. » A voir le regard qu'elle portait à mes lèvres, elle avait des idées comment dire .. plus qu'indécentes.
Histoire de la faire patienter un peu, je replaçais une mèche de ses cheveux derrière son oreille, déposant mes lèvres sur son épaule. « J'ai envie de jouer au monopoly. Et puis , les invités sont rois non? » Je riais et montais dans sa chambre chercher le monopoly, je connaissais sa maison par coeur, j'y avais passé tant de temps quand nous étions jeune, je connaissais chaque recoin, puis je ne vous dirais pas ce que nous avons fais dans chaque recoins non plus.. Pensant à ces images brûlantes, un sourire s'afficha sur mes lèvres. Je secouais la tête en redescendant, elle allait me prendre pour un fou furieux, un mec qui sourit niaisement pour rien. J'avais pris un plaid au passage, le déposait sur le sol , j'apportais les pizzas et les boissons, et ensuite j'allumais quelques bougies. « Au cas ou, il y a une coupure d'électricité. » « Pauvre con ! Elle va te prendre pour un loveur à deux balles , qui est tellement déprimé d'être célibataire, qui saute sur tout ce qui bouge, ou pire qui essaye de récupérer son ex. »
Je la laissais s'installer sur le plaid, et distribuait les billets. J'allais craquer dans peu de temps et lui sautait dessus, son regard, ses lèvres, je baissais doucement le regard à mesure ou je pensais, sa poitrine, je me rapprochais un peu plus d'elle. « Tu as changé de parfum ? Parce que tu sens toujours aussi bon en tout cas. » « JAMES ! Le loveur c'est dehors ! » Elle allait vraiment me prendre pour un vrai dingue. Oh puis merde. « Bon tu joues ou tu me proposes ton truc plus intéressant honey ? »
Même si je n'avais facilement deviner ses intentions, je la laissais me proposer ce dont elle avait envie. Je n'avais pas envie de passer pour un vieux pervers. Même si j'en étais un , j'étais un dragueur, un pervers, un mec avide de sexe. Appelez sa comme vous voulez. Cela ne me dérange pas.
Spoiler:
Réponse un peu courte, mais je me rattraperais la prochaine fois ♥
J'ai envie de jouer au Monopoly. Et puis, les invités sont rois non ? il se leva immédiatement pour retrouver la boîte de jeu qui était bien classé dans ma chambre. Après tout il connaissait toutes les pièces de ma maison par-cœur, je pouvais bien le laisser faire.
Par la même occasion James apporta des bougies et les pizzas. Je ne savais pas si je devais être étonnée qu’il se la joue « romantique » ou si en fait, je m’y attendais. Il les alluma tous une après l’autre, je le regardai avec un petit sourire en coin. Au cas où, il y a une coupure d'électricité. ouais… c’est ça. J’hochai la tête, toujours ce petit sourire présent. Je me levai et décidai d’aller fermer les lumières et les rideaux, histoire de laisser uniquement les bougies illuminer la pièce. C’était beaucoup mieux comme ça, beaucoup, beaucoup mieux. Je m’assis une nouvelle fois devant lui et me suis mise à distribuer l’argent. Il était beau ce soir, comme toujours d’ailleurs. C’était particulier depuis qu’on n’était plus ensemble, on se parle à peine, on est clean. Mais ce soir c’est différent.
Il s’approcha de moi, je pouvais sentir sa respiration contre ma peau. C’était chaud, du moins ça me donnait chaud. Tu as changé de parfum ? Parce que tu sens toujours aussi bon en tout cas. ses compliments… de lui souris, j’allais craquer bientôt. Bon tu joues ou tu me proposes ton truc plus intéressant honey ? ça y est, j’en avais l’occasion, ça crevais aux yeux qu’il avait deviné depuis le début. Je déposai les billets sur la table, nous étions assez proches. Je me suis mise à califourchon sur lui alors qu’il était assis en tailleur.
J'préfère te faire ma proposition je me penchai vers lui et me suis mise à lui baiser le coup, en remontant ceux-ci à l’arrière de son oreille. si tu n’y vois aucuns inconvénients… je lui souris avant de me mettre à lécher le lobe son oreille. Heureusement qu’on était seul, si mon père apprenait que je squattais le salon de cette façon avec James… j’serai probablement morte. Je montai mes mains à son torse, sous son tee-shirt.
Spoiler:
OMG... J'm'excuse tellement pour mon retard... j'étais convaincu je t'avais rép !!! T__T et désolé de la longueur, j'me rattraperai aussi !!!
Je m'en doutais, je me doutais de ce qu'elle allait faire, c'était si simple à deviner , elle était tellement prévisible comme fille, il ne fallait pas que quelqu'un rentre à ce moment la, parce que je crois qu'on serait dans une merde totale. En plus, apparement, elle est partiellement en couple. Enfin, je n'en savais rien, et puis qu'elle soit en couple ou non, c'est elle qui me chauffe n'est-ce pas ? Je suis un salaud, je le sais et j'assume. J'assume tout ce que je fais, sauf quand j'ai des problèmes. La je niais l'évidence. Je n'avais rien fais... Enfin bref.
Je la laissais déboutonner ma chemise, pendant que mes mains se baladait sur les boutons de son chemisier a elle, je pouvais entrevoir sa peau, j'embrassais son cou, je me souvenais, que quand nous couchions régulièrement ensemble, elle aimait sa. Moi aussi j'aimais sa, qu'elle me supplie pour que je continue. Je jouais un à un avec ses boutons, voulant prolonger ce moment jusqu'au bout, lui murmurant dans le creux de l'oreille « T'es sûre de vouloir faire sa princesse ? »
De toute les façons je ne la forçais pas hein. C'était elle qui avait émis cette idée, je n'allais tout de même pas refuser, ouvrant peu à peu son chemisier, mes mains frôlant son soutien-gorge qui me gênait plus qu'autre chose, je remontais lentement mes baisers dans son cou, tout en caressant ses formes divines du bout des doigts, déclenchant sur sa peau des frissons de désir, j'étais sur de ce qu'elle voulait. Collant mon corps au sien, je retirais ce chemisier qui était désormais de trop face à la situation qui s'annonçait, son corps était tellement... divin, je ne me lassais pas de l'admirer, cette fille était divine, le nombre de fois que j'avais rêver la revoir, la déshabillait encore une fois.. recoucher avec elle.. mes lèvres venant chercher les siennes, je l'embrassais avec passion et envie, j'avais qu'une envie.. Lui faire l'amour la maintenant, à bas les préliminaires, tout en l'embrassant, je laissais glisser sensuellement sa bretelle de soutien-gorge tout en la laissant caresser mon corps. Ses caresses étaient exquises. Bordel, cette fille était exquise.
Spoiler:
J'aime pas ma réponse \o/ mais je me devais de te répondre, j'aime pas laisser les gens attendre