Pour une fois qu'il faisait beau j'avais prévu un petit photoshoot dans un parc de San Fransisco. Seul petit hic : je n'avais pas de mannequin ! Heureusement je savais parfaitement où en trouver un : la Red Model Agency. Il m'arrivait quelques fois de travailler pour des mannequins de cette agence.
J'arrivais là-bas équipée de mon appareil photo bien sûr à la recherche de Lilye mon modèle préférée. Je connaissais Lilye depuis qu'elle avait commencé dans le mannequinat, elle n'avait pas vraiment les moyens de ce payer un photographe professionnel et elle était venu me demander si je pouvais lui faire un book. J'avais accepté en lui demandant seulement de m'aider lorsque j'aurais des devoirs en cours de photos. Depuis cette époque on avait gardé contact et on se voyait souvent en dehors des photos. Je cherchais donc Lilye que je découvris bientôt en pleine séance d'esseyage pour un défilé. Je lui fis un petit signe pour lui signaler ma présence, elle me souris. Je me dirigeais vers la machine à café un peu plus loin attendant qu'elle ai finis pour lui demander si elle voulait bien poser. Un petit café le matin ça fait toujours du bien, surtout à moi ! Il m'en faut au moins 5 avant d'être bien réveillée. Aujourd'hui c'était déjà mon septième, donc pas de panique j'étais réveillée. Lilye enfilait des tenues plus belles les unes que les autres. je ne pu m'empêcher de sortir mon appareil et de prendre quelques clichés, on ne change pas les bonnes vieilles habitudes ! Bon, c'était pas des clichés super, mais pas grave. Enfin, la jeune blonde que j'adorais tant me rejoignis jusqu'à la machine à café où je l'attendais avec un grand sourire au lèvres.

-Hey beauté blonde, comment ça va ?? Tu étais magnifique dans toutes ces tenues.

La journée avait commencé pour moi très tôt, pars quelques notes de musique qui m’extirpèrent trop rapidement des bras de Morphée. Les rayons de soleil n’avais pas réussi à percer mon sommeil tant il était lourd ce qui était prodigieux. Je me rendais bien vite compte que n’ayant pas mis mon réveil il s’agissait d’un appel, après quelques secondes pendant lesquels mon cerveau analysa les données –c’est le matin…- je répondis très rapidement avant que l’appel me file entre les doigts.

« Allo ? […] Très bien merci. Comment ça avancer ? à quel heure ? […] Dans une heure ? Mais je ne serais jamais prête ! […] Ok, ok s’est bon je fais vite, dis au taxi qu’il klaxonne une fois devant. A toute. »

Je soupirais, la journée commençais un peu plus trop que prévue, ces temps ci, je devais l’avouer j’avais quelques peu négliger ma vie privée au dépit de ma carrière ; mais s’étais grâce au métier que j’exerçai que j’avais pu remonter la pente, durant les cours instant où j’étais sur le podium, une telle adrénaline, j’en oubliais l’instant d’une soirée tout les problèmes de la vie quotidienne. Je bondissais du lit où je m’étais réveiller seule, Evan à mes côtés ; ça me manquais terriblement, son odeur sur l’oreille, le gout de sa peau, s’était si vide, sans lui. Je me levais précipitamment de mon lit, me hâtant vers le dressing ou j’attrapais un jean, un bustier noir, ainsi que mes escarpins, je m’engouais à présent dans ma sale de bain privé où je prenais rapidement en à peu près cinq minutes une douche, c’étais un record je crois, hors le taxi aller être là d’une minute à l’autre. Les imprévues, c’est ce qui pimente notre vie. J’aimais à vraie dire, ce style de vie, de devoir être disponible à toute heure… Je m’habillais rapidement, me coiffais et me maquiller très légèrement. J’eu à peine le temps de dévaler les escaliers afin de rejoindre la cuisine où se trouvais mon père que le taxi étais déjà devant la demeure, je soupirais, comprenant que je n’aurais même pas le temps d’avaler quelque chose. J’attrapais la bouteille de jus d’orange que mon père me tendais avec un sourire tout à fais digne des Fernandez, souriant à mon tour, en guise de Merci. J’avançais vers le taxi en attrapant au passage du palier mon sac à main déposé là, la veille.

Le trajet étais un moment que j’appréciais particulièrement, là alors je me laisser entrainer par la musique pour oublier le monde qui m’entourais, dévalant dans les rues de San Francisco j’apercevais des gens de toutes condition sociale ; se mêler, plus ou moins les uns aux autres. Certains se hâtais à une destination qu’eux seule connaissait, chaque personne semblait savoir parfaitement ce qu’elle faisait, ce dont elle était fais et ce pourquoi chaque jour il se levait ; moi, je ne savais plus. Je les regardais et je les envié tellement, ils avaient un but à atteindre ; moi par cette matinée parfaitement ensoleillé je ne savais pu. Je fus forcé d’arrêter ma philosophie lorsque la voiture s’arrêta, ma porte s’ouvrit et là alors Jen, mon agent, s’avança vers moi, elle me dévala un flot de parole dont je ne parvenais pas à discerner un seul mot. J’hochais la tête, comme si j’avais compris tout ce qu’elle m’avait dis, hors ce n’étais pas le cas et étrangement cela ne m’inquiétais pas. J’entrais dans la « Red model Agency » ; une agence de mannequin très connue internationalement et réputé pour avoir les plus beaux mannequins tant homme que femme au monde. Cette agence recevait des centaines de demande de tout part chaque jour, les clients venaient, choisissaient les mannequins désiré grâce au book et s’il demandait à nous voir nous devrions être là en l’espace d’une heure, le buisness, le buisness, ça peu faire perdre la tête. Ainsi, mon emploi du temps n’étais jamais réellement bouclé car les imprévues, finalement étais partie intégrante de ma vie. Je fus apprêté dans la pièce des essayages ou ils attribués aux mannequins leurs vêtements des défilés après avoir vue sur cette dernière, s’était là alors que leur choix décisif étais fais. J’essayer une, puis deux, puis trois, puis quatre tenue. De les voir me les attribués était un vraie plaisir, d’avantage encore que d’enfilé de tel bijoux. J’aperçu très vite une chevelure blonde ne m’étant pas inconnue, je reconnu alors Emily, ma photographe, je la nommais ainsi car elle était ma photographe presque attitré, mes book étaient réalisés par elle, et je parlais constamment d’elle à de potentiel client tant j’étais devenue accro de sa façon de capturé les instants, de sublimer les photos. De plus, une complicité s’était noué entre nous car inversement de l’aide qu’elle m’apporté, lorsqu’elle devait rendre des projets je lui servais de modèle, ainsi nous avions réalisé des sujets à thèmes très étonnant. Je lui adressais un sourire et lui faisait signe que je ne tarderais pas à la rejoindre. Quelques minutes plus tard, les essayages pour mon cas furent terminés, les tenues essayés me firent attribuer pour le défilé du lendemain soir. Joyeuse de mes nouvelles, je m’enquis vers cette dernière, la saluant à mon tour.

« Très bien et toi ? Merci ! le meilleur c’est que je les porterais également lors du défilé demain, avec autant de passage, j’espère que les contrats vont afflués. »