✱ JOB/ÉTUDES : Dealeur ✱ SITUATION : Propriétaire d'une blonde ✱ ORIENTATION : hétéro ✱ ÂGE : 27 ans ✱ ORIGINE : Munich, Allemagne ✱ AVATAR : Cam Gigandet ✱ GROUPE : Sex
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« enlève ton masque d'anonymous è.é »
✱ NOM/PSEUDO : Citizen ✱ ÂGE : Twenty-one ✱ J'HABITE : France, Sud-Est ✱ PERSONNAGE : Inventé ✱ CODE : OK par Romy ✱ UN PTIT MOT? I'm back
JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
Son baptême. Son heure de gloire. La clim était foireuse, le garage était vaste — remake fahrenheit 451. Les membres du gang en cercle, observant le corps à moitié nu et suspendu par une chaîne d'un traître au plafond. Ayant livré des informations, détourné de l'argent, baisé les mauvaises personnes. Les larmes avaient rendu ses yeux cireux. Sa peau était tannée par les coups : battes de base-ball, poings américains et autres objets en étaient venu à s'abattre sur ses os qui lui faisaient si mal désormais. Il avait craché. Littéralement et symboliquement. Quelques complices, quelques putes qui ouvraient un peu trop les frontières de leurs cuisses ; du sang et des dents ; les gars qui trempaient vraiment, ceux qui s'y baignaient dans toute cette affaire sans le savoir. Le boss, Pledge, ne chercha pas même à demander l'unanimité : il avait fini sa clope, et il fit un mouvement de la main vers l'exécuteur. Une voix s'éleva : « Profitons-en pour accueillir un nouveau membre. » Les yeux ne se tournèrent pas même vers Elmore. On fumait, on faisait craquer les articulations. Cervicales, doigts, expirations de fumée grisâtre. Pledge hésita, se tournant vers Klaus. Masse de muscles qui participait à la vie du gang depuis plusieurs mois. Possédant désormais un sacré palmarès, en plus d'avoir pour surnom « la bête allemande ». Pillant, cognant, violant. Légèrement en retrait, il étudiait la scène jusqu'à présent d'un air absent mais il reprit de la contenance en voyant qu'on l'observait. Le boss se contenta de lui faire un mouvement de tête pour l'inviter à s'exécuter. Il ne se fit pas prier. Vingt-ans, de la rage à la place du sang, il était le candidat alpha. Le modèle à suivre, à imiter, même s'il avait tendance à commettre des débordements. Tabassant jusqu'à ce que mort s'ensuive. Ne cherchant jamais à se remettre en cause. Klaus s'empara du chalumeau ; l'autre couinait, suppliant faiblement. La flamme bleue/orange commença à caresser la peau du dos. Il fallait effacer le tatouage, réservé aux membres, présent sur le dos du traître. Il fallait laver l'affront dans la chaleur. L'autre se tortillait. L'autre commençait à reprendre de la voix à mesure que Klaus faisait brûler son épiderme. Au bout de dix minutes, il n'y avait plus qu'une vaste tâche noire, l'odeur de chair brûlée, et puis une veste qui vole dans les airs. L'allemand l'attrapa, esquissant un sourire en coin. On l'intégrait enfin dans la meute. On le frappa à l'épaule, derrière la nuque. On l'attira à l'extérieur. Un ami le frappa d'un coup de coude au ventre avant de placer ses doigts en V, faisant courir sa langue au milieu. Au bar, on annonça que l'on avait réparé la clim : tournée générale. L'alcool abreuva tout le monde. On parla encore un peu du traître. Klaus respira ses habits, déclarant que la traîtrise avait la senteur d'un cochon. Certains en vinrent à renchérir, les rires fusèrent. Une nana, brune, cheveux longs, mini-jupe, déambula devant lui. Elle l'attrapa par le col : l'égo de l'allemand veilla à s'injecter le peu de sang-froid qu'il possédait, il écarta les bras, comme s'il se sentait obligé de suivre la jeune femme. Prostituée. Voulant devenir une régulière pour cesser de bosser, et avoir des virées en moto. Elle l'entraîna dans une piaule. Elle le fit s'asseoir sur le lit. Commença sa numéro. Remuant des hanches, du cul, des mains, des cheveux. Klaus en profita pour s'allumer une clope. Elle rompit un peu le charme en lui demandant, tout en le caressant, ce qu'il voulait. L'allemand s'autorisa des secondes de réflexion. Elle souriait, il souriait. La nuit fut blanche.
Jailhouse rock, fuck you
— TAKE MY REVENGE
Cinq ans de taule. Cinq ans. Causes : un braquage foiré, à la reservoir dogs, mais le film ne le faisait plus sourire maintenant que cela lui était arrivé. Il était à peine dans le gang, officiellement. On lui confiait désormais de sacrées responsabilités. Les putes n'arrêtaient pas de se caler dans sa piaule, cherchant à y stationner : il les sodomisait et leur disait d'aller se faire foutre. Il tuait, il volait. Jusqu'à ce que la prison ne l'entraîne à l'ombre : on cherchait le traître à l'origine de tout cela, encore un autre, à croire qu'il y avait une véritable gangrène dans le club. Il patienta. Il recevait au parloir les membres de la bande, lui donnant continuellement des informations. A l'intérieur de la taule, il avait reformé une minuscule enclave de salopards, se protégeant et affrontant les autres durant les quelques émeutes. Il manqua de peu de se faire suriner dans les douches. Réellement, pas sexuellement. De ce côté-là, Klaus fit abstinence. Chaque désir était réprimé dans des pompes faites à même le sol, une centaine pour chaque pensée érotique. Ses muscles se développèrent férocement. Il avait laissé sa barbe pousser, ses cheveux étaient courts : l'allemand se transformait un autre, une peau de passage. A sa libération, on connaissait le connard qui avait balancé le braquage, il ne faisait pas parti du gang : il avait une sœur. Klaus, tout en faisant un doigt d'honneur à la prison, démarra sa moto, fila à son appart'. Deux putes l'y attendaient mais il les snoba, se refaisant une santé, se rasant. Direction la baraque de la balance. La rumeur voulait qu'il frappait sa sœur, la gardait prisonnière, vierge, mignonne, en attendant de la caser avec le mec idéal. C'était un type un peu cinglé, amoureux de la psychanalyse, filmant des petits pornos et trempant dans des histoires sales : il faisait même le commerce de petites gamines. Le braquage l'avait touché dans le sens où c'était lui qui avait donné les infos, ayant fait chanté un pédophile pour ça. Il s'était rétracté au dernier moment. Klaus, avec deux-trois collègues du gang, le firent saigner dès qu'il ouvrit la porte. L'attachant, le rouant de coups. La sœur chercha à protester : l'allemand la cala sur un lit, lui déchirant ses habits, faisant descendre sa petite culotte. Le frangin, assistant à la scène, hurla d'arrêter : la même petite culotte se retrouva dans sa bouche comme bâillon. Klaus mit fin à son abstinence sexuelle. Le reste de la bande, chacun à son tour, passa également sur la petite sœur. Klaus avait entraîné le frère si bon samaritain avec sa famille, si Judas avec le gang : de la piaule, porte fermée, les gémissements de la sœurette qui découvrait les attraits d'un gang-bang. Sa virginité était maintenant bien révolue. Hurlements en toile de fond, l'allemand expliqua le topo. « Tu as une dette, envers nous, alors on va prendre la beauté qui commence à apprécier ce qu'on lui fait à côté. Tu vas vivre encore quelques instants, juste le temps de savourer ton erreur. Embarquez-le, on va s'amuser. » Six jours plus tard, la sœur semblait aimer son nouveau statut de putain de la bande, étant la victime de tournantes régulières : le frangin fut écartelé par deux Harley lancées à toute vitesse. Klaus en pilotait l'une : plus jamais il ne retournerait en prison, c'était un serment mental.
Let me put my love into you
— YOU'RE MY PROPERTY
Il coupa le contact de sa moto. Ses phalanges le brûlaient. Une douleur vive, revenant de temps à autre. Il entra dans l'appart'. Impossible d'allumer une clope : sous de l'eau froide, ses mains traînèrent. Évacuant le sang qu'il avait fait coulé, et regrettant amèrement de ne pas avoir eu un poing américain. Tout en les séchant, et sans bruit, il alla dans la piaule. La blonde dormait. Un regard à l'horloge : une heure du mat'. La blonde était planquée sous les draps. Klaus s'apprêta à siffler : histoire de réveiller sa salope. Sa voisine. Il stoppa sa pensée. Accentua les frottements du torchon contre ses articulations endolories. Elle était couchée sur le côté, l'air paisible. Anna. Ô, Anna. Il parvint à déplacer un peu la couverture, dévoilant lentement la peau pâle de son corps, le sommet d'un sein. Klaus passa brièvement sa langue sur sa lèvre inférieure. Il retourna dans la salle de bain. Passant de l'eau sur son visage, retirant ses vêtements : filant sous la douche. Cinq minutes, top chrono. A son retour dans la chambre, avec juste une serviette autour de la taille, Anna n'avait pas bougé. C'était tentant. Il s'alluma une clope, y parvenant sans trop trembler. Sa serviette tomba. Sa trique se décida à se réveiller, dans la bouche de la blonde : il avait pincé les narines, l'obligeant ainsi pour respirer à entrouvrir instinctivement les lèvres. Il se cala dans sa gueule, donnant de légers coups de reins. Blow-job passif — blow-job dégueulasse. Il gonflait, à chaque aller, une joue de la blonde. Il ressentait une vaste excitation, contemplant les yeux clos de son esclave alors que sa queue investissait toujours un peu plus sa cavité buccale. Il fumait, donnait des coups de reins, à côté du lit. Peu à peu, la place commençait à manquer. Et Klaus réclamait davantage. Sa main tâta un peu un sein, avant de descendre, descendre, descendre. Doigts commettant une caresse appuyée le long du corps. Anna bougea un peu, il cessa de l'étouffer en retirant sa trique d'entre ses lèvres. Il en vint à prodiguer un léger massage à l'entre-jambes. Créant des frissons, des soubresauts aux paupières de la blonde. Klaus s'allongea sur le lit, à côté d'elle. La faisant se tourner un peu, histoire qu'elle soit sur le dos. Il reprit la masturbation. Taquine, salace, discrète. Son pouce attisa l'électricité à chaque passage. Son doigt d'honneur s'infiltrait de temps à autre, à peine. L'index taquinait la corolle également. Elle mouillait. Elle se croyait dans un rêve érotique. L'allemand écarta les cuisses ; l'allemand, le corps encore humide, se plaça au-dessus d'elle — queue caressant vagina. Il la pénétra jusqu'à la garde, son souffle chaud se perdant dans le même temps au cou de la blonde : elle se réveilla. Hoquetant un gémissement. Il démarra le roulement de son bassin comme si elle était consentante, laminant l'entre-jambes avec férocité. Ses mains tenaient les hanches de sa propriété sexuelle, puis les jambes pour qu'elle les écarte encore plus. Klaus se frayait un chemin dans de la baise, captant même dans l'obscurité le regard inquisiteur et pourtant enclin de Anna. Elle "acceptait" les centimètres de chair qui ne lui appartenaient, qui la ravageaient. Toujours plus profondément, toujours plus rapidement. Le claquement de leurs corps faisait du bruit. La chaleur montait d'un cran. Il manipula ses seins sans grande précaution mordant, froissant, écrasant. Son « amour » sexuel donnait à Klaus l'élégance d'un animal sauvage, un ocelot en quête de sensations acerbes. De sentir la frêle ancienne putain, la strip-teaseuse chevronnée qui se faisait démonter par lui. C'était son appart', son havre de paix, mais l'allemand souillait tout cela. Quand il voulait baiser, et sa porte et son entre-jambes lui devaient être disponibles. Il lui fit mettre ses jambes en M avec son corps, posant une main sur le ventre de la jeune femme : le rythme était moins électrique, mais il accentuait son coup de rein pour bien buter jusqu'au fond de l'intimité. Ses bourses tressautaient. Il rageait. S'exhiber ses tatouages et ses blessures lorsqu'il relevait son torse, son visage prenant également un air plus terrifiant. Il lui fit suçoter son doigt d'honneur tout en la baisant, l'acclimatant à une très longue nuit.
Anna, encore bercée sans nul doute par un songe euthanasiant, se retrouva à quatre pattes sur le lit, les mains de l'allemand en train de s'approprier ses formes. Ses courbes : seins, cul, jambes. Il l'étouffa un peu en tenant entre ses mains son cou. Sa queue disparut au nouveau entre ses reins. S'exaltant dans l'acte obscène qui la faisait gémir et mordre ses draps/oreillers. L'angle était remarquable pour déverser sa rage, les tressautements de son bassin en venant au bout du compte à lui perdre d'enfoncer presque la moitié de son membre. Il poursuivait l'exercice, encore et encore. Ses mains faisaient claquer les fessées en parallèle. Il retomba à côté d'elle une fois le sang blanc déversé, l'esprit satisfait, le corps presque vidé. Sa blonde allait prendre à nouveau, elle le savait : et rien ne l'empêcherait d'entraîner de nouveaux chapitres de décadence : entre ses reins, ses fesses, ses lèvres.
est-ce que tu pourrais juste mettre le prénom de ton perso dans le titre de ta présentation au lieu de son nom de famille? c'est pour qu'on retrouve la fiche plus facilement quand on la cherche en fait ->
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même si tu ne comptes pas faire de compte facebook & je pourrais te valider :)
Ça y est, tu es désormais chez toi ! Nous avons trouvé que ta fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées.
Avant de commencer à rp, nous t’invitons à faire réserver ton avatar ici, puis à venir nous rejoindre sur le réseau social facebook; nous te conseillons vivement de le faire, car cela aide beaucoup à l'intégration de ton personnage, mais aussi, de toi, joueur, dans notre grande famille ! Ensuite tu devras aussi créer un formspring, un téléphone et éventuellement un e-mail à ton personnage dans la partie communication.
N'oublie pas de bien remplir ton profil, signaler ton avatar dans le bottin et de te faire aussi une fiche de liens/rps.
Pense aussi à passer sur la chatbox de temps en temps, tu y trouveras une ambiance de fous :3
La dernière chose très importante qu'il te faut retenir est que nous avons une "gossip girl" sur le forum, tenue par un petit groupe de membres motivés. Ta contribution à GG est très importante pour l'avancée du jeu, et voici comment t'y prendre: lorsque tu fais un sujet de rp, envoie un message à Gossip Girl pour les prévenir de ce qui s'est passé dans le sujet, ou ce qui va se passer... idem pour les appels ou les mails importants. Lorsque tu contacte les gossips, n'oublie pas d'indiquer la date à laquelle se situe le jeu, c'est trop important pour la cohérence des articles. Merci d'avance pour ta participation!
Nous espérons vivement que tu te plairas dans cette folle aventure parmi nous