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(Hot)Wake up you're mind [Anna & Klaus] i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| | Mar 19 Juin - 4:09 | |
| La musique jouait. Musique lascive qui donnait un rythme particulier aux corps. Film porno. Scène érotique. Scène de baise entre femmes. C’est dans cela qu’elle était obligée de jouer pour survivre. Une porte de sortie. C’est ce que c’était pour elle. Juste un moyen de gagner de l’argent, un moyen d’avancer pou atteindre son réel objectif. Son corps qui se collait à celui de la femme, ses doigts qui tenaient fermement ses cuisses alors que sa langue s’attardait adroitement sur l’intimité de celle-ci. Gémissement feint et parfois non. Elle laisse le bout de sa langue parcourir la chair humide. Ses doigts se serrer contre ses cuisses pour les marquer de ses ongles. La musique abusive. Les gémissements trop forts, trop puissants. Orgasmes trop forts pour être vrais. Cela faisait plus de deux jours qu’elle passait la plus grande partie de son temps à faire ce tournage. Heureusement qu’il était payant. Le budget plus haut. Anna commençait à se faire connaître dans le milieu de la pornographie. La blonde jouait dans des films de plus en plus intenses, plus cher, des films avec un peu plus de qualités. « -Coupé.» Elle avait la tête ailleurs. Elle en avait juste assez de passer son temps à user le corps des femmes. Elle avait envie de lui. Elle avait envie qu’il ne la ménage pas. Juste en manque de sensation. Juste en manque de son corps qui percute le sien. « -C’est bon Anna. C’était la dernière scène. C’est parfait.» Enfin. Libéré. Depuis deux jours qu’elle n’avait pas eu le temps de passer à l’appartement de Klaus. Il était amplement temps qu’elle y fasse un saut. Sans la moindre idée de retourner chez elle, elle se glissait vers les coulisses, question de se glisser sous la douche. Pas question de se rendre chez lui comme ça après avoir passé la journée à baiser des femmes. Alors que l’eau perlait sur son corps, elle s’imaginait déjà la soirée à venir, ou la nuit, puisqu’il était particulièrement tard. Une heure du matin. Heureusement qu’elle en avait fini. Heureusement qu’elle pouvait rentrer et se faire prendre par Klaus. Son corps criait le manque d’une vraie bonne partie de jambes en l’air avec un homme.
L’eau se fermait et la jeune femme sortait. Son regard se posait sur les costumes qu’elle avait dû enfiler pendant le tournage et l’idée d’en volatiliser un lui passait en tête. Un soutien-gorge collant à sa poitrine volumineuse, des jarretelles, des gants et un large collier qui glissait contre ses seins. C’est ce qu’elle enfilait sous sa robe. Anna n’allait pas faire les choses à moitié. Elle n’aimait pas les faire à demi avec lui. Sa robe se posait contre ses formes, son manteau contre ses épaules et elle s’engouffrait dehors. Ses talons claquaient simplement contre le sol. Le vent froid venait se percuter dans sa chevelure blonde. Les mains dans ses poches elle s’engouffrait dans le métro direction Soho, appartement de l’Allemand. Une bonne demi-heure plus tard, elle glissait sa clef dans la porte de l’appartement trop silencieux. Il devait être en train de dormir. Anna avait un bon plan pour le réveiller. Deux jours à ne faire que du sexe avec des femmes. La blonde n’en pouvait simplement plus. Envie qui lui broyait les reins. La porte se fermait doucement alors qu’elle posait son manteau sur le coin d’une chaise. Ses chaussures trouvaient rapidement le chemin du sol et elle ouvrait sa robe noire en marchant silencieusement vers la chambre de l’allemand. Quelques fois, elle était tombée sur lui avec une autre femme qu’elle. C’était insupportable. Elle devenait dingue. Jalouse. Elle ne ménageait pas les femmes qui se trouvaient sur son chemin. Une envie folle de les tuer. Envie folle de leur faire du mal. Elle n’acceptait pas de voir une autre qu’elle s’occuper de lui. Son corps se glissait dans la fente de la porte alors qu’elle se retrouvait vêtue du costume qu’elle avait décidé de prendre. Ses cheveux tombaient contre la peau nue de ses épaules. Telle une lionne cherchant sa proie, ses yeux se posaient sur lui. Il dormait. Simplement. Ses dents venaient s’acharner sur sa lèvre du bas alors qu’elle s’approchait sans bruit du lit afin de se glisser sous les couvertures. Il était toujours aussi attirant. Il la rendait simplement folle. Elle se laissait posséder par lui sans broncher, elle aimait de plus en plus la violence dont il faisait preuve avec elle. Cette sensation d’être la seule à pouvoir faire naître autant d’envie et de désir en lui. Jouissif. Anna aimait être un objet entre ses mains, elle se plaisait à être sa propriété. Elle avait une sécurité avec lui, celle de la drogue, celle d’être protégé, celle d’avoir un toit en cas de problème.
Elle profitait du fait qu’il soit sur le dos pour venir se poser à califourchon par-dessus lui. Ses doigts commençants à glisser contre les muscles de son ventre alors que ses lèvres s’acharnaient dans son cou pour entreprendre une descente vertigineuse vers son ventre et son bas-ventre. Sa langue venait de temps en temps glisser contre sa peau. Sa main caressant sans gêne son membre pour qu’il gagne en expansion. Elle avait tiré la couette, question qu’il puisse voir sa langue qui venait lentement glisser sur le bout de son membre. Ses doigts tenaient fermement sa trique en direction de sa bouche. Sa langue crassait sa peau et son membre finit par se glisser entre ses lèvres. Frissons qui passaient contre sa peau. Pendant deux jours, elle ne rêvait que de le glisser entre ses lèvres. Elle ne rêvait que de se faire prendre par lui. Ses lèvres commençaient à s’acharner sur son membre, commençant un lent mouvement de va-et-vient. Prenant soin de l’enfoncer en profondeur au creux de sa gorge, de laisser sa langue caresser sa peau alors que ses lèvres se serraient parfaitement autour de sa trique. L’excitation commençait déjà à prendre place dans son corps, elle sentait le désir prendre place en elle. Anna prenait un malin plaisir à le prendre entre ses lèvres. Plus elle continuait, plus elle sentait l’espace se réduire dans sa bouche. Ce qui avait le don de l’allumer. Le corps endormi de l’allemand se faisait lentement tiré du sommeil. Des soupirs, des râles légers. Ses lèvres qui allaient un peu plus vite, sa bouche qui l’aspirait avec envie et sans ménagement. Ses doigts qui caressaient son corps, les muscles de son ventre. Son autre main posée contre son membre qui guidait aisément sa trique entre ses lèvres.
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| | | | Mar 19 Juin - 4:12 | |
| you're my doll, rock´n´roll
Nymphomane — salope — coquine. Bien des adjectifs salaces pouvaient être employés pour définir le tempérament d'Anna. Klaus était loin de s'en plaindre, cherchant même souvent à aggraver l'état de la blonde, à la droguer toujours un peu plus de coïts barbares. Leur première rencontre n'avait été que heurts et plaintes sourdes, il ne l'avait pas ménagé et avait gravé dans le corps de l’actrice l'indéniable fait qu'elle ne pourrait pas jouir autant dans les bras d'un autre homme. Et c'était la meilleure chaîne à même de la maintenir sous son contrôle. Peu importait ce qu'elle avait pu être dans le passé, le criminel l'avait converti et ordonné tacitement d'être presque constamment à l'appartement. Anna restait cependant une femme au caractère impétueux, désirant parfois se faire culbuter et l'indiquant tacitement — ou souhaitant être au centre de la tentation non consommée rapidement. Klaus n'était pas patient, et elle le savait. Dès lors qu'il croisait son regard, l'envie circulait dans ses veines et le poussait à se frayer un chemin entre ses reins de la manière la plus violente qu'il soit. Mais depuis deux jours, il ne s'était pas payé le corps de la belle dans un coït. Cela le dérangeait/l'agaçait/l'ennuyait. Il se faisait de sales idées, à quand bien même il présumait que cela ne devait être que la conséquence d'un tournage. Sa poupée étant également peu à peu une actrice X qui aguichait les yeux de la gente féminine. Ses pensées là-dessus n'étaient pas encore très claires. Il tolérait cette "infidélité" tant qu'elle n'incluait pas un membre masculin autre que le sien dans le corps de la blonde. L'allemand matait de temps à autre les résultats de ces tournages, et il en ressortait qu'il aimait vraiment Anna ; physiquement, cherchait-il à se persuader, à quand bien même sa compagnie/voix/présence lui plaisait tout autant. Leur relation était singulière à souhait. Ce n'était que la drogue qui les avait réunis, puis en partie le sexe. Maintenant, une attirance malsaine et violente les entraînait à se côtoyer corporellement souvent. La bête allemande la forçait à rester plus souvent chez lui, ou restait longtemps chez elle. Ce qu'il avait fait durant la dernière journée, espérant voir la silhouette de Floyd aller d'une pièce à l'autre dans son appart' jusqu'à buter contre son corps impatient d'en découdre. Mais elle ne revint et, frustré, il retourna à son appart' guère éloigné ; se calant dans le lit, fumant quelques clopes, s'endormant.
Le marché de la drogue fonctionnait bien mais il avait revu fortement à la baisse le nombre de junkies qui payerait en le suçant. Anna veillait de toute façon à ce qu'il soit souvent vidé et ne tolérait plus la concurrence ; il aimait ça. A force de la pilonner, Klaus avait inscrit en la jeune femme la douce satisfaction de lui appartenir. Il s'imagina, avant de dormir, l'opulence de sa poitrine et il en eut une mini-trique tout en s'endormant. Les heures défilèrent, mollement, et l'allemand ne capta pas immédiatement que le porno qu'il imaginait avait en réalité cours. Le dealeur s'imaginait être victime d'une fellation, d'avoir son membre en train de gonfler une joue ; de sentir une langue venir caresser adroitement les zones les plus sensibles de sa queue. Ce n'est que lorsqu'Anna insista principalement sur le sommet, tétant presque le bout de son membre, que l'excitation le gagna assez pour le réveiller. L'allemand émergea lentement. L'allemand porta une de ses mains à son entre-jambes et eut un plaisir malsain à effleurer une chevelure qu'il connaissait bien. Vulgairement, il fit insister l'actrice porno', l'engageant dans des gorges profondes un peu asphyxiantes : il ne la ménageait pas, mais s'employait à la rendre "comblée". Peut être qu'elle se retrouvait parfois à le subir, à se faire baiser la bouche, mais ce n'était que pour mieux vivre plus tard un orgasme salvateur. Les deux mains de Klaus l'invitèrent à poursuivre son blow-job, se complaisant à la démarche sulfureuse — avant de ne plus pouvoir/vouloir résister, l'entraînant à remonter. Les muscles encore fatigués, il ne manquait pas de lui faire sentir les mains masculines à son corps ; témoignages qu'elle lui avait foutrement manqué. Il l'embrassa longuement tout en la faisant pivoter sous lui, l’emprisonnant. Klaus avait la curiosité de lui demander ce qu'elle avait bien pu faire mais il se retint. Au lieu de cela, il tira un peu sur la chevelure de la blonde; et communiqua par le regard qu'il ne tolèrerait pas le fait que ces "absences" entrent dans leur routine. Leurs sexes avaient bien trop besoin de se confronter. Il froissa ses habits, remarqua qu'elle était particulièrement hot ; il l'embrassa encore, entraîna sa main entre ses reins pour aller la toucher plus sévèrement. Comme il s'y attendait, elle était chaude. L'allemand en vint à accroître cela. « Ne recommence pas. » Ni ordre froid ni plainte désespérée, juste un souhait qu'il et elle avaient en commun ; elle pouvait le contacter, l'inviter à ce qu'il partage sa loge. Mais en aucun cas en venir à récidiver sur une absence si longue. Nu, Klaus entreprit d'entraîner sa propriété sexuelle à partager la même condition vestimentaire que lui ; à quand bien même sa tenue était remarquable, il s'employa à retirer/déchirer, appréciant par la même occasion d'embrasser sa poitrine ou de caresser ses cuisses dès lors que la peau fut libre. Bien calé au dessus d'elle, il fit mine de s'insérer, le bout de sa queue errant en caresses contre l'intimité de la jeune femme.
« Embrasse-moi » lança-t-il presque froidement. Et dès lors qu'elle s'exécuta, il la pénétra en un coup de rein, s'invitant en Anna et commençant à ravager son entre-jambes dans des mouvements véloces. C'était si bon de la posséder, et à quand bien même son pêché mignon restait souvent de la sodomiser, il éprouvait un véritable plaisir à investir son intimité, encore et encore. Les mains en premier lieu sur les cuisses de la jeune femme, histoire de les lui faire écarter et ainsi de s'enfoncer en elle plus salement, Klaus tripota ses seins, appréciant qu'ils soient désormais si gonflés et de manipuler les tétons sans une très grande prudence. Ses doigts les faisaient rouler. Ses dents les mordaient. Il ne lui avouerait probablement jamais à quel point il aimait de l'avoir désormais dans son existence, mais ses actes, aussi violents et obscènes, traduisaient assez souvent bien tout le désir et le besoin qu'il avait d'elle. Il laissa d'autres morsures à son cou, et même à sa lèvre inférieure, tandis que son bassin claquait contre le sien. Il voulait l'entendre gémir. Il voulait qu'elle prononce son nom. Il voulait qu'elle hurle. Et avec ce que possédait Klaus entre les jambes, Anna ne pouvait pas ignorer ce qui la transperçait. Il la besogna longuement, alternant ses mouvements. De temps à autre, il aimait à donner un premier coup de rein et, en Anna, en perpétrer un second pour essayer de buter contre le fond de son intimité. Se faisant, il ressentait alors d'autant plus le corps de sa blonde, une main dans ses cheveux et l'autre massant une fesse : l'amour physique avec elle s'avérait toujours idyllique. D'instinct, à quand bien même il était dominateur, Klaus ressentait le besoin oppressant pour la belle de donner à son tour des mouvements. Il la fit passer au-dessus de lui, et il continuait en partie à mener la danse. Levant son bassin et faisant s’affaisser la jeune femme pour qu'elle s'empale, tressaute sur la queue tendue du criminel qui ne cessait d'apprécier de la voir ainsi hors de contrôle. La sueur imprégnait progressivement leurs corps et il se délectait également de la langue d'Anna, jouant à des jeux interdits avec elle dans quelques phases où il restait simplement en elle. Les centimètres de sa queue bien enfoncés entre ses jambes. Et il palpa sévèrement son petit cul tandis qu'il lui laissait progressivement le soin de remuer son bassin pour se complaire dans l'acte sexuel. A califourchon sur son homme/propriétaire.
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| | | | Mar 19 Juin - 4:15 | |
| Envie salace qui brûlait ses entrailles. Rien ne pouvait être aussi bon que de le sentir entre ses lèvres, cuisses, reins. Deux jours. Deux jours à crever du manque de le sentir percuter son corps. Les doigts féminins n’avaient rien à voir avec ce qu’il pouvait lui faire. Le choix était facile. Deux jours à crever d’envie de se faire prendre par lui. Son mâle. Son propriétaire. Le seul qui la dominait de la sorte. Le seul qui pouvait prendre possession d’elle ainsi. Anna voulait lui montrer comment elle ne tenait plus sans lui. Sans parler. Elle n’avait pas besoin de le faire. Elle se plaçait. Elle en avait particulièrement envie. En le glissant ainsi entre ses lèvres, elle démontrait cette envie profonde qu’elle ressentait de le sentir, de sentir son membre prendre toute la place entre ses lèvres. Le corps de l’Allemand se réveillait lentement, ses muscles se contractaient, son souffle changeait pour devenir un peu plus saccadé. Il immergeait de son sommeil. Sa trique emplissait la bouche de la demoiselle. Sa langue venait appuyer sur le bout de son membre, savourant sa peau, explorant chaque parcelle de son corps, jouant dessus, le suçant. Il bougeait. Les mains de Klaus se posaient dans la chevelure blonde de la jeune femme pour lui communiquer l’envie qu’il avait qu’elle continue. L’actrice porno n’avait pas l’intention de s’arrête là. La droguée s’appliquait à la tâche, alternant gorge profonde avec un peu plus de vitesse. Amplifiant la succion entre ses lèvres alors que sa bouche allait vers l’arrière pour revenir l’enfoncer en profondeur entre ses lèvres. Le membre masculin butait contre le fond de se gorge, l’empêchant de respirer correctement. L’envie était présente. L’envie de le sentir entre ses cuisses, reins. L’envie qu’il la baise comme il ne ferait jamais avec une autre. Une pression pour qu’elle bouge, remonte vers lui. Sa bouche quittait son membre pour obéir à cet ordre, prenant soins de glisser lentement son corps contre le sien dans un frottement indécent. Ses yeux croisaient les siens.
L’Allemand n’avait pas réellement besoin de parler pour qu’elle sache qu’il ne se complaisait pas dans le fait qu’elle avait dû s’absenter aussi longtemps. Deux jours. Deux jours trop longs à crever le manque de lui. Crever du manque de ses mains sur son corps, sa langue, son membre. L’actrice se doutait de son mécontentement et il ne maquait pas de lui faire remarquer en la regardant sévèrement. Elle était d’accord. C’était trop long. La jeune femme se laissait manipuler comme un objet, se plaisant dans cette sensation malsaine d’être à lui et de devoir assouvir les moindres de ses caprices. Son dos s’arquait en sentant les doigts masculins entre ses cuisses. Soupire d’aise et de plaisir quand elle le sentait contre elle, amplifiant cette envie qui était déjà bien présente. Plaisir malsain et préférence féroce pour les mains de Klaus plutôt que celle des femmes qu’elle avait dû baiser pendant deux jours. Il était sans aucun doute le seul qu’elle aimait autant sentir en elle, contre elle, sur elle, derrière elle. Ses yeux s’accrochaient au sien sans réellement avoir l’intention de s’en détacher. Son souffle qui se perdait, sa voix qui se faisait entendre, la première fois depuis qu’elle avait mis les pieds dans l’appartement de la bête allemande. Appartement qu’elle connaissait sur le bout de ses doigts. Appartement qui allait peut-être être éventuellement le sien. Ne sait-on jamais. La proposition ne quittait jamais son esprit. De cette façon, elle pouvait avoir un œil et s’avérer à ce que ce ne soit que ses lèvres qui abusaient de sa trique. « -Promis.» Elle ne voulait plus que cela arrive. Ses doigts passaient dans son dos pour remonter contre sa nuque, obéissant à cet ordre de prendre possession de ses lèvres. La blonde l’embrassait avec envie, chercher sa langue de la sienne, jouant de cette sensation excitante et de ce contact moite entre leurs bouches. Le mouvement sec de son mâle faisait naître un gémissement impossible à contrôler. Un son étouffé par les lèvres de l’allemand qu’elle n’avait pas encore quitté et dont elle abusait. Son corps était en manque de se faire ravager par le sien. Son corps suivait le rythme violent que lui imposait celui de Klaus. Levant le bassin pour le sentir encore plus loin, un de se jambe se glissait derrière lui, offrant cette place dont il avait besoin. Son souffle commençait déjà à lui manquer. Sa voix s’échappait de temps en temps en plainte légère et en gémissement non contrôlé. Ondulation de bassin, son corps qui se pressait au sien pour qu’il entre profondément en elle et la ravage sans retenue. Sa voix qui se brisait en gémissement de plus en plus présent de plus en plus fort. Chaleur qui prenait possession de son corps, chaleur étouffante alors que les coups et les mains masculines de Klaus la rendaient folle. Elle ne pouvait plus vivre sans lui. Elle ne pouvait plus se passer de son corps. Elle ne pouvait plus se passer de ses assauts salaces et violents. Sa voix se perdait en gémissement plus intense, son nom se glissait de temps en temps dans les gémissements de la droguée. Ses mains, plaquées dans son dos, avaient commencé à ravager doucement la chair de la bête allemande. S’enfonçant dans sa peau, créant des marques d’ongles sous le plaisir intense qu’elle ressentait.
Anna se laissait guider par les mains, envie de l’homme. Se retrouvant dans une autre position, elle se plaçait. Ses jambes se posaient contre le lit, ses mains se plaquaient de chaque côté de Klaus. Son bassin se mettait à onduler de façon intense frottant son membre contre ses parois, s’empalant en lui pour le sentir en profondeur. Anna ne ménageait pas ses mouvements. Sa voix ne faisait que prendre de l’ampleur depuis tout à l’heure. La sueur commençait à perler sur sa peau et leurs corps moites se percutaient sans la moindre intention de cesser cet acte charnel. Le corps de la blonde se frottait contre le sien, sa poitrine venant pointer contre son torse et se frotter contre sa peau sous ses mouvements. Ses lèvres venaient de temps en temps se sceller aux siennes, cherchant sa langue pour jour à des jeux indécents. Mouvement de bassin qui se faisait de lus en plus rapide, profonds. Le souffle lui manquait. Ses gémissements s’entrecoupaient entre les coups trop intenses qu’elle donnait de ses hanches. L’actrice était loin de feindre quoique ce soit avec lui, elle était loin de jouer la comédie. Ses cops de bassins étaient presque violents, aimant maintenant la froideur et la douleur que pouvaient causer les mouvements de l’Allemand. Elle attrapait les épaules de Klaus, le faisant remonter pour qu’il soit en position assis, s’empalant ainsi en profondeur contre son membre. Ses lèvres glissaient sur sa mâchoire et se perdaient dans la peau de son cou. Gémissements qui ne cessaient de fuser et qu’elle laissait poindre contre son oreille. Son corps, ses seins, se frottaient outrageusement contre son torse alors qu’elle continuait ses mouvements profonds de va-et-vient. Sa main qui se pressait sur sa nuque. Son souffle dans son cou et ses lèvres qui effleuraient son oreille tandis que ses gémissements modulaient pour articuler le nom de l’allemand. Leurs corps moites collaient ensemble, elle le tenait contre lui, prenant soin de le faire glisser aux endroits qui la faisait gémir. Suffoquant de plaisir, elle n’avait pas la moindre intention d’arrêter.
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| | | | Mar 19 Juin - 4:18 | |
| you're my doll, rock´n´roll
La bête allemande remettait sous son joug son actrice porno'. Se délectant de ses formes, de la chaleur corporelle qu'elle manifestait. Durant ces deux jours où la solitude s'était délectée du lit de Klaus, il en avait serré les poings et retourné l'idée dans son esprit. Anna devait vivre avec lui. Ce n'était pas un désir, un fantasme — une obligation. Outre les qualités sexuelles dont elle était pourvue, la blonde parvenait à le temporiser ou bien à l'exciter pour qu'il la prenne violemment : les quelques phases de discussions qu'ils se permettaient ne le laisser jamais de marbre, l'ennui n'y traînant jamais. Au fur et à mesure qu'elle le suçait, l'allemand ne constatait qu'un peu plus qu'elle lui avait manqué. Il la savait désireuse qu'il en avoue davantage à son égard mais pour lui, enfoncer sa queue dans sa gorge ou bien caler quelques doigts dans son intimité étaient tout autant des marques d'affection. Pour ne pas citer d'autres mots. Son membre prenait de l'ampleur. Elle s'employait avec sa bouche à en ingurgiter une vaste partie. Tout ceci aurait pu durer jusqu'à son sang blanc n'en vienne à s'insinuer entre ses lèvres pulpeuses, à la forcer à tout avaler : au lieu de cela, en une légère impulsion, il l'entraîna à venir toute entière contre lui. Ses doigts s'empressèrent de la rédécouvrir. Anna avait une poitrine opulente et un cul des plus sexuels ; il palpa les deux, lascivement. Aimant les vibrations qu'il ressentait sous ses massages. Il avait dû mal à cerner parfois leur relation. Tout ce que Klaus savait, c'est qu'il l'aimait foutrement : côtoyant la blonde, actrice X, et se délectant de l'avoir sous son contrôle. Ne songeant pas que la réciprocité avait en partie cours. Cela faisait deux jours qu'il ne s'était pas vidé — il lui appartenait tacitement, sachant que les dents si câlines d'Anna pourraient s'employer à le castrer s'il limait une autre nana qu'elle. Tout comme il était à même de tuer tout individu masculin cherchant à foutre son pénis entre ses jambes. Il l'embrassa, partageant la respiration d'Anna ; effleurant les joues d'Anna, se délectant de son parfum en quelques baisers à son cou. Sa voix, légère et à peine employée, suffit à instiller le désir vorace et violent de l'entendre gémir son nom. Il logea la moitié de son membre en elle dès lors qu'Anna l'embrassa. Son intimité était si chaud, si tendre. Klaus la prenait tendrement, puis violemment. Les premiers coups de reins lui permettaient de savourer son retour à leur appart', les autres n'étaient que des punitions de l'avoir pendant si longtemps privé de son corps. Son visage se perdait régulièrement dans sa poitrine, commettant des sévices dont il la savait friande. Sa poupée écartait docilement les jambes pour qu'il puisse mieux limer son entre-jambes. Encore et encore.
Toute cette situation ne lui inspirait qu'un désir d'en avoir encore plus. Qu'elle ne soit plus obligée de "fuir" après l'acte ou qu'il n'ait plus à pénétrer dans son logement puis dans son vagina. Tout se devait d'être commis bien plus vite. Il la baisait et visualisait un peu mieux ce futur où ils logeraient ensemble. Pari osé. Dangereux. Mais son esprit en fantasmait d'avance, se complaisant dans l'idée d'être dans la cuisine et qu'il n'en ait qu'à soulever sa nuisette pour mieux la prendre par derrière. Ou tout simplement partager le même bain, lui laissant le monopole de la baise en sautillant sur son membre tendu ; les remous de l'eau résonnant comme ses gémissements. Il se décida à ne pas la laisser sortir de son appart' tant qu'elle ne lui aurait pas fait l'aveu qu'elle allait vivre avec lui : qu'elle lui appartenait. Sa Anna se mit en position pour jouer l'amazone, bien désireuse de concurrencer Klaus en terme de hargne sexuel. Son bassin allait et venait. Elle s'empalait, s'empalait. Pour calmer le jeu ou étouffer mieux un gémissement, elle réclamait un baiser qu'il veillait à rendre passionné. L'allemand aimait leurs baisers durant l'acte, si électriques. Son envie de la posséder parvenait à être apaisée tant elle se démontait sur lui. Anna se baisait sur Klaus, ses seins sautillant (quand des mains masculines n'étaient pas employées à les compresser/malaxer) ; elle l'entraîna en des gestes très légers à s'asseoir pour mieux pouvoir prendre sa queue entre ses jambes. Il ressentait que les poumons d'Anna ne cessaient de perdre le contrôle. Il constatait également qu'elle n'en avait rien à foutre. Trop désireuse de jouir d'un tel sexe masculin. Au vu de son job, Klaus commençait à percevoir que les attentes sexuelles de la blonde augmentaient. Aimant la compagnie féminine mais ne ne dédaignant pas le moins du monde un rapport sexuel où elle serait presque maltraitée, qu'elle se faisait tirer comme une salope de bas-étage. L'allemand rajoutait dans l'équation qu'elle était sa salope de bas-étage. Du lit, puis du bord du lit, Klaus la souleva jusqu'à poser le cul de sa compagne sur la commode. Une hauteur parfaite pour que sa queue commette des allers-retours sans fournir à Klaus un effort supplémentaire. Il lui tenait les jambes, persécutant son vagina en percussions délétères, diminuant le tempo ensuite. Le souffle chaud de l'allemand s'en alla errer à son cou. « Ramène tes affaires ici. » Leurs sexes n'étaient plus liés. Il voulait la faire "souffrir". Une main féminine erra jusqu'à son membre pour, semble-t-il, qu'elle s'enfonce manuellement la queue entre les jambes mais il n'eut aucun mal à arrêter la tentative. « Tu m'appartiens, Anna. Et tu vas loger ici. » Ordre. Ses doigts se perdirent dans la chevelure dorée, manipulant dès lors un peu la tête de sa poupée pour qu'elle le regarde ; qu'elle accepte le baiser, puis les autres qui suivirent. Il allait lui faire gémir la réponse ; son bassin claquant contre le sien. Il lui fit arquer son corps pour que l'angle de pénétration soit d'autant plus jouissif et déchirant. Sans trop s'en rendre compte, Klaus lui fit cesser d'être sur la commode pour la prendre contre le mur à côté. Son sexe parvenait à s'intégrer plus profondément en elle. Sa poitrine ne pouvait que subir les chocs, s'écrasant contre son torse. Il était loin d'en avoir fini avec elle, résolument apte à la sauter une majeure partie de la nuit. Elle était si chaude, si humide entre les jambes.
Il s'en délectait, mais d'autant plus lorsqu'il la fit réintégrer leur lit. Et que de sa bouche il en vienne à se l'approprier. Saisissant le sommet des seins alors qu'elle, couchée, ne pouvait que perdre ses mains dans ses cheveux, ses épaules. La queue de Klaus était en feu mais ce ne fut pas elle qui se loge encore entre les cuisses féminines : la langue de l'allemand s'en chargea. Il voulait la faire souffrir. Il voulait la sentir tremblante et presque paniquée. Le cunni' ne démarra guère tendrement et se poursuivit sur le même degré. Il connaissait ses points faibles/sensibles, fit mine de s'en soucier, puis les ignora. Revint à la charge. Sa langue lapait ou se faisait semblable à un membre masculin en allant et venant. Les mains de Klaus bloquaient tout désir de fuite de la belle, ses cuisses ne pouvaient guère se déplacer. Il lui exprima toute son envie de l'avoir rien qu'à lui durant cinq minutes enfiévrés, clôturant par ses doigts qui s'égarèrent un peu d'une manière plus tendre que violente. Il remonta, lentement. Ses dents gratifièrent de quelques mordillements le sommet d'un sein. « Anna » fut soufflé à son oreille alors qu'en quelques mouvements il l'entraîna à se mettre à quatre pattes. Excitée comme elle l'était, il se logea en premier lieu dans son vagina. La force de l'allemand combinée à sa rage sexuelle en vint vite à instaurer dans l'atmosphère le son de leurs bassins se fracassant l'un contre l'autre. Il lui tenait solidement les hanches et matraquait de son sexe celui d'Anna, voulant la perforer pour sceller leurs retrouvailles. Cette fois-ci, il ne lui laissait guère l'occasion de prouver son désir : la pilonnant, tirant sur ses cheveux pour qu'elle creuse un peu plus les reins. C'était violent et bon. Il la fit coucher sur sa hanche droite, restant derrière elle ; et de ses doigts, il exacerba ses fentes. Elle pouvait ressentir la queue masculine qui se pressait contre une de ses fesses, et n'avait qu'à à peine penchée la tête sur le côté pour devenir la cible des lèvres allemandes. Tout deux couchés sur leurs hanches, ce fut dans cette position qu'il entama des premiers coups de reins entre ses fesses. Guère préparée encore, Anna ne pouvait ressentir que de légères vagues de douleur qu'il combattait en la masturbant. Sa queue commença à vouloir s'insinuer toujours un peu plus. Klaus sodomisa Anna de moins en moins tendrement, mordillant le lobe d'un oreille de la jeune femme tout en s'accaparant de l'orifice si étroit. Le sexe coulissait ou caressait les fesses, hésitant encore sur la bonne démarche à adopter pour la sentir à la fois heureuse et gémissante. D'une voix légère, il lui susurra de s'empaler à nouveau. Sans préciser réellement. Soit dos à lui, assise sur son sexe, bougeant lentement. Ou bien en revenir face à lui, calant le sexe dans son vagina ou son petit cul ; ou bien offrir son entre-jambes au visage de Klaus tandis qu'elle s'en irait déguster une nouvelle fois la queue de l'allemand dans sa bouche.
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| | | | Mar 19 Juin - 4:18 | |
| C’est en sentant le corps de l’allemand contre le sien qu’elle pouvait se rendre compte qu’elle était sans cesse en manque de se faire brutaliser pour celui-ci, en manque d’être avec lui. Certes, elle aimait le sexe avec les femmes et sentir leurs doigts se glisser entre ses cuisses, mais rien ne pouvait rivaliser avec Klaus ou cette façon qu’il avait de s’occuper d’elle. Il était le seul à la rendre comme cela. Avec le temps, elle avait fini par ne plus pouvoir se passer de lui. Ce manque flagrant dans le creux de ses reins causé par lui, était en train de la rendre folle. Ces deux jours lui avait fait se rendre compte qu’elle avait du mal à se passer de lui. Que ce soit pour le sexe ou simplement sa présence, elle aimait être sienne. Elle l’avait dans la peau, elle crevait d’envie de le sentir se glisser entre ses lèvres, sa bouche, ses cuisses, ses reins. Quand elle sentait le corps de la bête allemande passer par-dessus le sien, elle ne pouvait empêcher un frisson de passer sur sa peau, un soupire de glisser entre ses lèvres quand elle sentait les siennes dans son cou, son membre prendre place entre ses cuisses. Les soupirs se multipliaient alors que les coups de bassins de son amant se faisaient de plus en plus intenses. Son bassin bougeait lentement pour mieux sentir son membre prendre la place entre ses cuisses, ses mains passaient sur sa peau y apposant des caresses lentes et venant y entrer ses ongles de temps en temps pour briser sa peau.
Elle crevait de ce manque perpétuel de le sentir contre elle, que ce soit pour qu’il prenne possession de son corps sans retenu ou pour sentir ses mains sur sa peau et ce sentiment de sécurité qu’elle ressentait auprès de lui. Elle ne savait pas quoi penser de cette relation. Il la possédait, elle était à lui, mais elle se plaisait dans cette position soumise qui était en train de la détruire sans qu’elle ne veuille s’en sortir réellement. L’envie de pouvoir veiller à ce qu’aucunes femmes ne puissent assouvir les plaisirs malsains de l’Allemand. La proposition de venir vivre avec lui ne quittait pas son esprit, ayant un coin bien précis dans sa tête. Son corps était entrainé par-dessus le sien, prenant soin de s’empaler avec envie sur son membre imposant. Ressentant de plus en plus le manque de se faire baiser par lui, elle devenait exigeante et le sexe féminin était loin de la satisfaire autant qu’il ne pouvait le faire. Anna aimait se faire dominer par l’allemand. Ses doigts venaient exercer une pression contre ses épaules pour qu’il se relève, son corps venait se coller au sien alors que son bassin ne cessait ses mouvements. Ses seins se frottaient lascivement à son torse. Les gémissements coulaient entre ses lèvres, soufflant de temps en temps son prénom, venant prendre ses lèvres question d’étouffer quelques gémissements qui se faisaient insistants entre les siennes. Anna aimait sentir les lèvres de Klaus se poser contre les siennes, sa langue qui venait chercher la sienne dans un baiser envieux faisait frémir la blonde. Son corps ne voulait se détacher de celui d’homme, leurs mouvements évoluant pour qu’elle se retrouve contre la commode, venant agripper sa nuque d’une de ses mains, se posant sur le rebord de la commode pour qu’il puisse aisément percuter son corps contre le sien. Son souffle lui manquait et une plainte s’échappait quand elle sentait le membre masculin de quitter son intimité brulante. Manque flagrant au creux de ses cuisses, elle tentait, manuellement, de l’attirer une nouvelle fois en elle, mais c’était une manœuvre échouée. Son regard suppliant se posait dans le sien. Elle bougeait au peu pour se coller à lui, ses doigts toujours serrés contre sa nuque. Le souffle de son homme venait se perdre dans son cou faisant naître une vague de frissons sur la peau de la demoiselle. La chair de poule couvrait son corps alors qu’elle écoutait les mots de l’allemand. Il réitérait sa demande, demande à laquelle elle commençait à avoir envie de céder. Son cou se penchait en arrière sous la pression des doigts de son amant, la forçant à poser son regard dans le sien, ce qu’elle faisait sans se plaindre. Elle mourrait d’envie de lui/de lui dire oui. Ses doigts se serraient sur sa nuque pour venir prendre ses lèvres une fois de plus avec envie, sa langue venait chercher la sienne une fois de plus. Baiser qui faisait naître l’envie en elle. Ses jambes venaient s’enrouler autour de son bassin, venant onduler comme elle le pouvait contre lui quand il revenait la pendre. Elle ondulait contre lui, question de sentir en profondeur son membre. Ses gémissements se faisaient plus puissants. Klaus savait comment faire gémir Anna. Ses doigts se serraient avec force contre sa nuque, sa respiration se coupait à chaque fois qu’il donnait un nouveau coup de bassin, oppressant sa poitrine contre lui, l’empêchant de respirer correctement.
Le corps d’Anna finissait une nouvelle fois contre le lit, la bête allemande prenant position par-dessus la droguée. Ses doigts venaient passer dans ses cheveux, poussant un soupir quand elle sentait sa langue venir s’égarer entre ses cuisses. Incapable de bouger, elle ne pouvait que subir les assauts délicieux qu’il était en train de lui offrir. Son dos qui se cambrait, ses doigts qui exerçaient une pression contre sa tête. Klaus était en train de rendre l’actrice complètement folle. La chaleur de sa langue lui arrachant plusieurs gémissements, son souffle qui ne pouvait reprendre un rythme normal, suffocant/tremblant sous l’emprise de l’Allemand. Elle le suppliait presque pour qu’il remonte vers lui pour qu’il reprenne possession de son intimité. Ses doigts glissaient dans son dos alors qu’il remontait vers elle pour passer ses dents sur sa peau, le son de sa voix ne la laissait indifférente, elle aimait l’entendre. « -Oui.» Oui pourquoi? Oui pour ce qu’il lui avait dit tout à l’heure? Oui pour le fait qu’il lui avait demandé de venir loger chez lui et qu’elle le voulait? L’envie commençait à se faire oppressante, l’envie de pouvoir l’avoir quand elle le voulait, l’envie de pouvoir le provoquer quand elle en ressentait le besoin. La jeune blonde se laissait manipuler avec plaisir, voulant qu’il la prenne sans la moindre retenue. Ses mains s’apposaient sur le lit alors qu’il venait se glisser en elle lui arrachant un gémissement profond sous la violence de ses mouvements. Les claquements de leurs corps étaient intenses, elle bougeait son bassin pour que l’angle de pénétration soit meilleur et qu’elle le ressente parfaitement. Sa voix se perdait sans arrêt, ses gémissements qui lui écorchaient quasiment la gorge tellement elle ne pouvait les retenir, tellement ils étaient forts. Son dos se cambrait sous la pression exercée dans ses cheveux, sa voix qui se perdait de plus en plus intensément. Le membre masculin quittait une nouvelle fois son intimité pour lui arracher une nouvelle plainte alors qu’elle se couchait sur la hanche, positionnée pour sentir le torse de l’Allemand venir se coller à son dos, les doigts entre ses cuisses venaient faire frémir son corps lui arrachant de nouveaux soupirs. Ses fesses venaient lentement rouler contre ses doigts, suivant leurs mouvements et venant se frotter à son membre. Son visage se penchait quelque peu pour pouvoir poser son regard lubrique dans le sien, subissant une nouvelle fois l’assaut de ses lèvres. Une main venait se poser contre sa nuque, attirant avec force son visage près du sien pour l’embrasser avec envie. Son corps se crispait quand elle sentait la trique imposante se glisser entre ses fesses, lui procurant une douleur lancinante entre les reins avec ce mélange de plaisir procuré par ses doigts. Des frissons de douleur passaient sur sa peau alors que les coups de reins se faisaient de plus en plus insistants, s’assurant de prendre l’espace peu spacieux entre ses reins. Son bassin bougeait tout de même contre lui pour que la douleur soit facilement remplacée par le plaisir. Ses gémissements reprenaient place alors que la voix de Klaus se faisait entende une nouvelle fois, l’envie faisait naitre des frissons sur sa peau.
Le corps de la demoiselle bougeait une fois de plus. Elle exerçait une pression contre ses épaules pour qu’il se couche sur le dos et qu’elle vienne une nouvelle fois passer par-dessus lui. Le corps de la jeune femme se penchait pour qu’elle vienne glisser ses lèvres dans son cou, une voix essoufflée et sensuelle qui s’y perdait. « -Je pense reconsidérer ton offre.» Les dents de la jeune femme venaient persécuter sa peau un moment avant qu’elle ne se relève pour poser son regard dans le sien. Ses mains venaient se poser sur son ventre en caressant les muscles un instant alors qu’elle finissait par se tourner pour lui offrir son dos. L’actrice porno faisait une nouvelle fois glisser son membre entre ses fesses, ayant envie de continuer ce qu’il avait commencé un moment plus tôt. Les mouvements de son bassin recommençaient lentement puis rapidement, pour l’enfoncer avec force entre ses reins. Sa voix était perdue depuis longtemps, son cœur battait avec force dans sa poitrine, son souffle ne se contrôlait plus réellement, mais elle n’avait pas la moindre envie d’arrêter. Il pouvait voir la croupe de la jeune femme se laisser allez contre son membre, l’enfonçant entre ses fesses, s’arrachant quelques gémissements grâce à son sexe. Gémissements qui se faisaient bien insistants, se mutant presque en cris alors que la vitesse devenait de plus en plus intense. Son dos se cambrait, lui soufflant de venir un peu plus près, sentir son torse contre son dos pendant qu’elle continuait de se sodomiser sur lui avec envie. Sa voix était cassée, le plaisir gagnait chaque parcelle de son corps. Quand elle sentait le corps de Klaus un peu plus près du sien, elle venait passer une main sur sa nuque, frottant son dos contre son torse, continuant son mouvement de va-et-vient. Ses gémissements qui se métamorphosaient en mot pour prononcer le nom de l’allemand à répétition. Ses doigts pressaient sur la nuque de son amant, le forçant presque à rester collé contre elle pendant qu’elle continuait de s’empaler sur son membre trop imposant. Anna aimait la chaleur de son corps contre le sien, se rendant compte qu’elle n’avait plus réellement envie de s’en passer.
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| | | | Mar 19 Juin - 4:21 | |
| you're my doll, rock´n´roll
Difficilement, il se remémorait son existence avant Anna. Qui il baisait, ce qu'il entreprenait, ses soirées à l'appart', ses virées dans les bars. La blonde avait bousculé l'univers, exclu les chattes féminines faciles pour imposer la sienne. C'est à peine s'il avait résisté. Les quelques regards qu'ils s'échangeaient suffisait à consolider un de ses sourires pervers en coin qu'elle appréciait ; et plus d'une fois, au milieu d'une conversation (rares, au début de leur relation), il se surprit à ne pas vouloir qu'elle s'arrête. Klaus avait eu plus d'une gonzesse régulière mais l'actrice X surclassa les anciennes et se plaça en favorite, autant par ses attraits sexuels que son caractère farouche et pourtant soumis quand il le fallait. Elle ne pouvait guère fuir les envies de coïts qu'il exprimait régulièrement, mais elle se ménageait une part de "liberté". S'essayant à vivre dans un job (et non à devenir simplement la vide-couilles de Klaus) ; refusant encore de loger chez lui. Les barrières s'effritaient cependant. Il discernait l'envie en elle de sombrer un peu plus sous son contrôle. En contrepartie, cela impliquait donc qu'il admettait tenir à elle. Il fallait faire des "sacrifices". Et à réfléchir soigneusement, il ne voulait pas laisser Anna plus longtemps seule et potentiellement célibataire.
Son torse, chaud, se cala un peu plus vis-à-vis du dos de la blonde qui s'évertuait à faire monter et descendre son bassin. Ne se privant pas du moindre centimètre de la queue de Klaus entre ses fesses. Il lui fit calmer un peu son tempo. Embrassant son cou, juste en dessous d'une oreille. Entraînant une main entre les jambes féminines pour masturber avec tact et et soigneusement son intimité déjà mis à vif par les coups de bassins prodigués un peu plus tôt. Et la seconde main, avant de déformer sa poitrine en faisant relever un peu un sein pour mieux le manipuler, s'empara du menton d'Anna pour tourner son visage vers lui. Elle était pleinement baisée, pénétrée. Souillée. L'actrice X pour films lesbiens en train de se ruiner les orifices par un allemand animal. « Ce n'est pas une possibilité.. C'est un ordre. » Il alternait les mots et les baisers. Les syllabes et les mouvements de ses doigts. Saisissant la pointe d'un sein ou s'exerçant au bouton du plaisir. Sa queue brûlait d'envie de limer ce petit cul mais il faisait durer ce bref instant de répit, étant presque tendre tout contre la bouche d'Anna. « Je ne veux personne d'autre que toi dans ce lit. » Les cordes vocales de Klaus étaient tendues au possible, s'essayant à ne pas flancher dans ce qu'il prononçait. L'annonce ne put guère s'accorder des secondes à faire son effet car déjà il renvoyait la blonde à quatre pattes sur le lit, victime d'une sodomie violente. Comme une punition qu'elle fasse naître en lui plus que des fantasmes salaces. Son membre s'enfouissait jusqu'à la garde, et de temps à autre sa main venait dédier une légère fessée ; les percussions étaient lourdes, puissantes.
Il ne se privait pas de communiquer tout son amour au corps de sa partenaire, souhaitant la rendre groggy, apte à se remémorer longuement de ses paroles et des conséquences d'une absence de sa part. Si deux jours étaient l'enfer, bientôt cela serait une journée, puis une heure. Klaus poussait la logique dans ses derniers retranchements, ne dédaignant pas aller jusqu'à se projeter à un futur où ils pourraient presque agir convenablement dans les rues d'une ville avant que la séquence ne saute à une baise sévère et à sec dans une ruelle plus sombre qu'une autre. Sur le capot d'une bagnole de location. Là était toute la portée de son obsession, le désir perpétuel de la baiser s'alliant à l'envie de la savoir heureuse et soumise avec/à lui. Il la fit "chuter" de sa position pour qu'elle soit couchée sur le lit, toujours dos à l'allemand. Celui-là même qui se cala bien contre elle, investissant son orifice étroit avec une ardeur à même de la faire gémir salement. Il ne la pénétrait en réalité que dans des roulements lents, mais chaque impact se concluait par l'intrusion toujours plus féroce de sa queue. Par le fait indéniable qu'il la possédait d'une manière malsaine. Ses baisers se perdaient à la nuque d'Anna, sa respiration y trônant parfois. Elle pouvait "respirer" mais se voyait désormais l'otage de l'allemand jusqu'à tant qu'il en avait l'énergie. Son petit cul fut bombardé, limé, défoncé. Mais il ne souhaitait pas y perdre son sang blanc, trop désireux de faire ressentir le liquide chaud à un emplacement plus conventionnel. Klaus se rapprochait de l'orgasme et n'avait pas dans l'idée d'exclure Anna du voyage, retournant dès lors la jeune femme vers lui pour que son intimité un peu refroidi soit à nouveau victime de coups de reins impétueux. Il la souleva pour la ramener encore un peu mieux au milieu du lit, lui faisant soulever légèrement une jambe pour que l'angle lui permette de la sauter à son aise. Maintenant que les deux amants pouvaient se regarder, ils en profitaient aussi pour s'embrasser jusqu'à l'overdose ; les doigts d'Anna parcourant le corps de son homme alors qu'il faisait traîner ses dents contre sa peau si chaude, s'attaquant à la poitrine opulente alors que les derniers mouvements de bassins s'annonçaient. Le plaisir submergea l'allemand dont la décharge ne tarda pas à se faire ressentir auprès de l'entre-jambes de la blonde, continuant à la tirer encore une poignée de secondes comme pour mieux se perdre définitivement. Pour le moment. Après tout, deux jours sans baise impliquaient presque trois/quatre baises d'affilées, tant qu'ils soufflaient une heure ou deux entre chaque séance hardcore.
Il resta logé en elle, les yeux clos et le front posé contre le sien. Laissant la satisfaction d'une bonne baise parcourir ses veines. Le membre de Klaus se détacha finalement enfin du vagina si brûlant d'Anna, le jeune homme n'en venant qu'à se placer à côté de la blonde ; tirant sur la couverture pour masquer leurs deux corps nus et leur éviter des frissons post-baise. Tendant son bras vers une table de nuit, il s'accorda le plaisir d'une clope, l'allumant et tirant dessus, avant de davantage reporter son attention sur sa partenaire sexuelle. "Discutant" enfin avec elle, maintenant qu'elle ne voulait plus avoir sa queue en bouche, et qu'il ne cherchait plus à la lui mettre profondément dans la fente de son choix. « Tout ceci n'est qu'une formalité. Tu habites déjà ici, physiquement. Tes draps sont froids depuis plusieurs jours. Tu n'as pas besoin de me dire une date, d'orchestrer quelque chose de convenable. Viens juste ici avec tes affaires. Éparpille tes petites culottes et ton parfum. Et je prendrais soin de toi. » Les baisers s'annoncèrent. Les caresses aussi. Le membre de Klaus était peut être fatigué, il n'en était rien de ses mains qui fournirent une certaine assistance aux formes d'Anna pour lui faire retrouver moins brutalement le fait que ce coït-ci soit conclu. Il saisissait parfois juste la lèvre inférieure de la blonde. Et il l'entraîna un peu plus sur lui, qu'elle se serve de son corps comme d'un lit sans l'implication de son sexe dans le sien.« Et la prochaine fois que tu t'absentes autant, je ne serais pas aussi tendre. » Ironie. Ou mise en garde sur l'idée qu'il pouvait encore trouver une rage plus sévère pour la tirer jusqu'à en avoir mal. Ses mains caressèrent les cheveux d'Anna. Ses mains caressèrent les fesses d'Anna. Et il soupira à son cou son plaisir d'avoir de la compagnie cette nuit ; nuit certainement blanche.
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| | | | Mar 19 Juin - 4:22 | |
| Longtemps elle avait voulu résister à être complètement sienne. S’imaginant que les séances de baises et les moments passés avec lui n’étaient rien de plus que des moments charnels échangés sans le moindre sentiment naissant ou obsession mal placée. Pourtant, l’attirance qu’elle ressentait pour lui se faisait de plus en plus oppressante et la rendait complètement folle, sans qu’elle ne puisse la contrôler. Elle se surprenait à rêver de son corps et d’en oublier les autres qui devenaient pratiquement inintéressants à ses yeux, ne possédant rien de comparable à la bête allemande. Devenant d’une certaine façon fidèle à son tortionnaire, jouissant de des abus qu’il pouvait causer à son corps. Les hommes autres que Klaus n’avaient rien pour éveiller la moindre étincelle en elle, alors que lui créait un feu incontrôlable dans le creux de son bas ventre. Lentement, elle s’était perdue dans ce contrôle rassurant dont il usait adroitement avec elle et duquel elle n’avait plus envie de se défaire. Doux contrôle qui la tenait captive. Contrôle qui lui plaisait bien plus qu’elle ne voulait se l’avouer. S’évertuant à garder un peu de distance, mais l’envie de pouvoir elle aussi le contrôler, à sa façon, se faisait de plus en plus forte. Veiller a ce qu’aucune femme ne puisse assouvir ses envies salaces et ses pulsions malsaines dont elle aimait être la victime.
Son corps usé par le sien. La chaleur qui brûlait pratiquement sa peau tellement les assauts se faisaient de plus en plus violents. Ses hanches s’adonnaient à des mouvements profonds faisant glisser la trique de l’allemand au creux de ses reins, lui arrachant autant de douleur que de plaisir. Les doigts agiles faisaient perdre la voix dans des gémissements qu’elle ne pouvait contrôler alors que son visage se tournait en partie vers lui. Goutant ses lèvres. Buvant ses paroles. Son souffle perdu percutait les lèvres de Klaus qu’elle s’aventurait à embrasser avec envie à chaque fois qu’elles se posaient contre les siennes. Silencieuse en mot, mais non en cri, elle peinait à répondre à cette invitation qui n’en était plus une. Touchée ou inapte à lui répondre? Elle soufflait son approbation entre quelques gémissements et baisers sulfureux qui faisaient naître des frissons contre sa peau moite. Aimant le contrôle qu’il avait sur elle, la réponse ne pouvait être négative, surtout que l’envie de lutter était quasiment inexistante. Ses mains venaient de nouveau à plat contre le lit alors que son corps était victime d’assauts encore plus violents que ce qu’il s’était donné à lui faire vivre quelques instants plus tôt. Gémissements se mélangeant avec quelques cris qui s’échappaient de sa gorge. Roulement de bassin qu’elle procurait pour qu’il s’enfonce encore plus en elle et la douleur devenait de plus en plus minime tellement le plaisir prenait possession de chaque parcelle de son corps. L’actrice ne jouait pas quand elle était avec lui. L’allemand savait parfaitement prendre possession de la blonde et satisfaire ses exigences qui devenaient de plus en plus poussées. La pression dans son dos la forçait à se coucher sur le lit, ne cessant pourtant pas les mouvements de ses hanches, ne voulant pas rester inactive et préférant le sentir en elle avec toute la férocité dont il pouvait faire preuve. Mouvement lent, mais profond qui comblait chaque parcelle entre ses fesses, lui arrachant des gémissements intenses et entrecoupés tellement son souffle était en train de lui manquer. Épuisée, mais désireuse de continuer, elle laissait son corps en la possession de son amant, l’aidant autant qu’elle le pouvait à rendre l’exercice sexuel encore plus agréable qu’il ne l’était déjà. Elle sentait les râles de son partenaire devenir de plus en plus fréquents. À chaque fois qu’un coup de reins était donné, elle était gratifiée de sa voix qui avait le don d’éveiller ses envies particulières de le faire jouir sans retenue. Le plaisir se faisait féroce et l’envie d’atteindre l’orgasme de plus en plus présent. Comme s’il connaissait l’envie de sa poupée sur le bout de ses doigts, elle le sentait quitter son orifice étroit pour la retourner. Ses bras prenaient appuie sur le lit ou dans son dos alors que les coups de reins revenaient à la charge entre ses cuisses, lui arrachant de nouveaux gémissements plus désireuse de jouir. Son corps ondulait sous lui, suivant les mouvements de ses hanches, rendant la pénétration plus profonde et bientôt sa voix se mutait pour devenir le prénom de l’allemand qu’elle soufflait de sa voix écorchée d’avoir trop crié. Les gémissements trop présents, signe que la fin était tout près. Son corps se tendait. Ses muscles se bandaient alors que l’orgasme puissant qu’elle était en train de vivre rendait son corps instable sous le sien. Le sang blanc vidé en elle l’aidant à jouir complètement. Mouvements qui devenaient de plus minimes jusqu’à l’arrêt complet de son corps usé et vide de la moindre énergie.
Le corps de l’allemand se détachait du sien alors qu’elle se couchait sur le flanc, s’employant à chercher le souffle qui lui manquait depuis trop longtemps. Son était corps encore fébrile et elle posait son regard sur lui. Silencieuse. Pensive. En accord avec le fait qu’elle avait envie de partager ce lit dans lequel elle n’avait envie de ne voir aucune autre qu’elle. Si elle était possessive envers lui, il l’était encore plus envers elle. Une expérience avait déjà fait ses preuves concernant un autre homme qui avait été brutalement mis à terre. L’envie d’être baisé par un autre lui était passée depuis longtemps, alors il devait satisfaire les envies de plus en plus présentes de la demoiselle. Ses doigts tiraient la couverture contre son corps, quelques frissons passaient tout de même sur sa peau. Ses yeux se fermaient un moment. Profitant de cet instant de répit pour respirer comme il se devait. La voix de l’allemand sortait l’actrice de sa torpeur pour reposer une nouvelle fois son regard sur son visage. Il ne changerait pas d’idée. Elle avait mentalement approuvé alors la suite allait venir d’elle-même. Un sourire passait sur ses lèvres signe de l’approbation, signe qu’elle allait venir vivre avec lui, même si elle s’était juré de ne jamais céder à sa demande. Caprice d’indépendance qu’elle ne voulait plus vraiment assouvir. Un brin moqueuse. Ses doigts s’aventurant à passer sur le corps de celui dont elle ne pouvait plus se passer. Subissant ce manque constant de le toucher qui la prenait jour après jour, et elle se rendait compte à quel point elle crevait d’envie de lui et que son absence avait été longue. Elle répondait avec envie aux baisers qui lui étaient offerts, laissant ses lèvres pulpeuses se presser aux siennes, dépendante de leur goût et leurs formes. Elle murmurait doucement contre les lèvres de Klaus. « -Je ne veux personne d’autre que moi dans ce lit.» C’était sa façon de dire oui. Son corps venait retrouver le sien, moulant ses formes sur la peau encore chaude et humide de l’allemand. Laissant ses lèvres se perdre sur sa mâchoire qu’elle embrassait lentement pour en venir à son cou. Murmure qu’elle soufflait doucement. Réponse à ce qu’il lui disait.« -Je n’ai plus l’intention de partir aussi longtemps à moins de te faire venir avec moi et dormir illégalement dans ma loge. Les femmes commencent à être ennuyantes. J’ai de légères préférences pour un autre. » Un sourire contre alors que les baisers continuaient de prendre forme contre sa peau dont elle n’avait plus envie de se défaire.
Profitant encore de la sensation de sa peau contre la sienne, elle revenait chercher son regard un moment. Ses doigts sur sa peau, ses bras, son torse, ses épaules, son corps. Un soupire qui prenait place entre ses lèvres. L’envie d’une douche froide. L’envie de laisser l’eau couler sur son corps, se détendre un moment, profiter d’un peu de fraicheur. Son corps venait à se décaler du sien, laissant l’empreinte fantôme de ses formes sur son torse. Laissant ses doigts courir sur les muscles de son ventre, assise à côté de lui, la nudité de ses courbes offerte à ses yeux. « -J’aurais besoin d’un peu de rafraichissement et tu es fortement invité à me rejoindre.» Sourire. Elle se levait du lit pour se diriger vers la salle de bain, offrant une vue parfaite sur sa croupe et sa démarche houleuse, encore hésitante sur le fait de prendre un bain ou une douche, finissant pas opter pour la première option. Le son de l’eau se faisant entendre de là où il pouvait se trouver. Libre à lui de venir avec elle, quoiqu’elle venait lui faire part de son envie de se trouver encore en sa présence.
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| | | | Mer 18 Juil - 18:15 | |
| you're my doll, rock´n´roll
La baise violente, jouissive, aggressive le plaisait tant. Il la prit avec une rage germanique, souhaitant l'entendre crier et soupirer son prénom : ses coups de reins permettant à son membre de s'enfoncer grandement. Et quand sonna la fin, des soupçons de regret et de tristesse se joignirent au plaisir de l'orgasme : tout ceci avait été terriblement bon mais n'avait d'autres choix que de se conclure, tôt ou tard. Il fit en sorte qu'elle reste encore à proximité de lui, ne la libérant que pour mieux voir sa croupe se dandiner lentement et avec la promesse d'être à nouveau contre elle d'ici peu.Il resta étendu sur le lit pour le moment. Ne faisant que quelques déplacements pour s'accaparer d'un cendrier, d'un briquet et de quelques clopes. Son corps était encore parcouru par de légers frissons. La bête allemande inhala et expira la fumée grisâtre, matant le plafond ; posant une main devant ses yeux. Il pouvait attendre de la chambre le bruit de l'eau qui formait progressivement un futur terrain de jeu dans la baignoire. Une chaleur dégourdissante mais non déplaisante faisait son règne sur lui, et il s'évadait déjà dans le souvenir jeune des retrouvailles avec son actrice porno. La satisfaction embrasait son âme. Après quarante huit heures à mordre sa patience et tordre sa colère, il venait enfin de renouer avec sa blonde et à la faire rallier à son désir qu'elle cohabite avec lui. Il y tenait, à cette décision, sans pouvoir en déterminer réellement toutes les conséquences ni même les raisons profondes : au-delà de sa jalousie meurtrière, c'était pour se rapprocher davantage de Floyd. De cesser à ne faire que s'enfoncer en elle lorsqu'elle avait du temps libre à perdre : guère sociable, l'allemand voulait se faire violence pour renforcer et accroître leur "relation". Ils formaient sans nul doute un couple, atypique à souhait, et plus les semaines passées, plus le danger de s'égarer à force de pas évoluer s'intensifiait. Klaus n'avait jamais eu à cœur par le passé de partager l'existence d'une demoiselle davantage que le temps requis pour un coït : ses connexions internes avaient changé, son état d'esprit s'était progressivement métamorphosé pour accepter et vouloir violemment qu'une femme traîne là où il vivait. Que sa main ne heurte pas seulement le vide dès lors qu'il la laissait traîner à côté de lui dans le lit durant une nuit. Et la meilleure candidate, accessoirement sa seule partenaire sexuelle depuis bien longtemps, correspondait autant par son physique que par son âme à devenir à la fois sa maîtresse et sa colocataire. Il écrasa sa clope dans le cendrier, déplaçant un peu sa tête tout en se levant : faisant travailler ses épaules pour rétablir toutes les sensations de ses muscles. Puis il se dirigea vers la salle de bain.
Anna avait fait disparaître son corps affriolant sous l'eau légèrement mousseuse. Klaus se logea dans l'autre versant de la baignoire, croisant le regard de la blonde et la terrible vision de la jeune femme se mordant la lèvre inférieure. C'est à peine s'il eut besoin de faire un signe de doigt pour qu'elle quitte sa position, se voyant piégé par la bête allemande dans un baiser avant d'être placée dos à lui. Leurs deux corps se retrouvaient dans une étroite promiscuité ; il entraîna légèrement vers l'arrière la tête d'Anna pour qu'elle se retrouve sur l'une de ses épaules. L'eau leur arrivait à la moitié du corps, et elle pouvait ressentir encore le membre puissant de Klaus sous elle, encore endormi mais loin de la mort. Il laissa traîner ses mains, et son souffle chaud se perdit dans la chevelure dorée de sa compagne. Un sentiment de puissance s'incorporait en lui au fur et à mesure qu'il détenait l'actrice porno entre ses bras ; soulevant et/ou massant calmement sa poitrine. « Tu m'as manqué. Toi et ta façon de me réveiller. Le tournage a donc été plus long que prévu? Aurais-je le droit à une copie de la vidéo tournée à l'occasion? Je reste ton fan le plus.. (sa main flirtait plus bas, principalement son pouce) conséquent. » Comme pour rattraper le "manque", il se laissait aller à tous les attouchements, caressant autant le corps d'Anna que s'employant parfois à faire pivoter son visage pour l'embrasser tendrement. La conversation se voyant parfois entrecoupée de pauses. Il perçut un frisson plus conséquent que les autres lorsqu'il passa au cran supérieur son massage à l'entre-jambes. « J'ai des affaires en cours à New York, je vais devoir m'absenter une semaine. A moins que tu ne veuilles m'accompagner. Histoire que l'on célèbre la fin de ton indépendance immobilière, et la mienne par la même occasion. » Ses deux mains travaillèrent de concert pour compresser les dômes de chair d'Anna, pas assez pour la blesser mais suffisamment pour l'allumer à nouveau. Ne tournant qu'avec des femmes, et même si la plupart pouvaient se montrer sadiques, il doutait qu'elle ait pu ainsi se sentir "désirée". Les agressions manuelles faisaient déplacer un peu l'eau du bain, le rythme était irrégulier tant il aimait à faire brûler tous les hormones de sa blonde. « Quant à ta carrière, il faudra voir pour l'optimiser. Tu dois pouvoir intégrer quelques productions moins soucieuses de te faire perdre tous tes vêtements, ou bien accroître ton public actuel en proposant davantage que des éléments subversifs lesbiens. Même si ce n'était pas tant dans mes aspirations de gosse que de figurer dans des vidéos pornographiques. » Après le logement, le travail : la bête allemande investissait autant l'intimité d'Anna (un doigt, puis deux) que progressivement son existence. S'accaparant d'elle autant qu'elle lui laissait faire. Sachant qu'en contrepartie il en donnait tout autant, ayant maintenant à lui être fidèle tout en se consacrant à veiller maintenant sur son bonheur. Klaus et ses jobs criminels pouvaient aisément assurer l'avenir de leur tandem mais il ressentait qu'Anna n'était clairement pas le genre de nanas que l'on pouvait piéger dans un appart'. Elle avait besoin d'une direction, d'objectifs ; la pornographie n'était qu'une période que Klaus était apte à l'aider à passer, autant en améliorant ses "conditions" d'actrice (se faire baiser par la bête allemande ne devait pas lui être d'une corvée trop conséquente) qu'en essayant d'ouvrir des portes pour une carrière moins portée sur le sexe. Il la voyait bien à Hollywood, exhibant ses boobs dans des décolletés indécents et parvenant à se démarquer dans des rôles marquants en parallèle. Klaus veillant toujours à pouvoir la baiser dans les coulisses, sa loge, et certains lieux du tournage. A ces idées-là, son membre continua sa nouvelle ascension : les doigts de la bête allemande s'amusèrent avec le sommet d'un sein alors qu'il perdait au cou de sa blonde. « Mais bien sûr, en priorité reste ton déménagement. Puisque mon lit semble te convenir particulièrement. » Puisqu'elle y obtenait tant d'orgasmes. Puisqu'ils y vivaient une passion sulfureuse et aimaient à dormir l'un contre l'autre quand la fatigue prenait le dessus. |
| | | | | | | | (Hot)Wake up you're mind [Anna & Klaus] | |
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