✱ JOB/ÉTUDES : Mannequine, lycéenne et serveuse ✱ SITUATION : célibataire ✱ ORIENTATION : hétéro ✱ ÂGE : 17 ans ✱ ORIGINE : Phoenix, Arizona, Etats-Unis ✱ AVATAR : Barbara Palvin ✱ GROUPE : love
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« enlève ton masque d'anonymous è.é »
✱ NOM/PSEUDO : S. ✱ ÂGE : 15 ✱ J'HABITE : En bretaagne ✱ PERSONNAGE : Inventé ✱ CODE : OK par Romy ✱ UN PTIT MOT? C'est Skye (a)
JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
summy
this is my story
« I want love to murder my own mother »
« Bonjour Mya. Je suis le docteur Adams. » Je repoussai une mèche de cheveux qui tombait sur ma joue, et le corrigeai en soupirant. « Summer. C'est Summer » dis-je en haussant la voix sur le dernier mot. Pourquoi toutes les personnes qui ne me connaissaient pas ne prenaient pas la peine de se demander comment m'appeler ? Pourquoi ? Je faillis lever les yeux au ciel tant cela me paraissait ridicule. Tout ça. Etre ici. Ma mère qui attendait à l'appartement, blottie dans le canapé avec un bon chocolat chaud, sans doute en train de regard la télé, son émission favorite du lundi soir. Je revins à la réalité quand je vis que le prétendu docteur Adams me regardait avec une gentillesse mélangée de pitié. Je détestais qu'on me prenne en pitié. Je me rendis alors compte qu'il attendait une réponse dont je n'avais pas entendu la question. « Quoi ? » demandai-je brusquement voyant qu'il n'allait manifestement pas répéter la question de lui-même. Je le vis pousser un soupir presque imperceptible, puis se replacer sur son large fauteuil en prenant son temps. Je promenai mon regard dans la salle. C'était ultra-confortable, ce mec devait bien arnaquer ses clients pour pouvoir se payer tout ce luxe. Le parquet brillant, les fauteuils beiges sauf le sien, rouge, large et épais, qui ne donnaient qu'une envie : s'asseoir dedans pour piquer un roupillon, pas pour raconter sa vie. Les murs tendus d'une tapisserie horrible, le bureau dans un bois polis qui supportait dossiers bien rangés - ne jamais donner une impression de bordel sur ses clients désordonnés dans leur tête sans doute - et les pots à crayons bien alignés. Maniaque pensai-je en reportant mon regard sur le docteur. Parfois ma mère me disait que j'étais trop observatrice. Peut-être bien ... Je le faisais malgré moi en tout cas. Je repérais les tic des gens, leurs manières. « Pour ta première séance, j'aimerais qu'on fasse un point sur ta vie. Que tu me parle de toi. Alors je t'écoute, tu peux tout me dire. » Il s'adossa à son fauteuil, faisant craquer le velours qui l'en ornait. Puis il ajusta ses lunettes sur son nez, croisa les mains sur ses genoux et me regarda d'un air bienveillant. Si j'avais été mal élevée, j'aurais éclaté de rire tant la scène était comique. C'était trop cliché en fait ! Je ne pu réfréner un petit rire, rejetant la tête en arrière comme je le fais toujours. Et soudain, j'étouffais. Cet endroit m'étouffait, l'atmosphère moite m'étouffait, lui-même m'étouffait. Je me levai brusquement, réajustais la bandoulière de mon sac sur mon épaule. « Excusez moi, en fait j'ai dû me tromper en venant ici. Il se trouve que je n'ai jamais eu besoin de parler à quelqu'un comme vous et que je n'en aurais jamais besoin. Sur ce, bonne soirée ! » Je fis demi-tour et marchai à grand pas vers la porte, sans prendre le temps de regarder si je l'avais choqué ou non. De toute façon, je n'en avais rien à cirer. La porte claqua derrière moi, je passai devant une secrétaire aux yeux ronds et m'engouffrai derrière le battant de la porte d'entrée.
Les premiers rayons du soleil venaient frapper mon visage et me redonnèrent le sourire. J'éclatai même de rire, tant la scène passé me semblait ridicule. Puis je baissai la tête, raffermissant mon sourire et marchai rapidement en direction du centre, là où se trouvait l'appartement que je partageais avec ma mère. J'avais intérêt à quitter les lieux rapidement si je ne voulais pas être poursuivie... Rien qu'à la pensée du docteur me courant après, mon sourire s'épanouit. Mais il se fana bien vite. Je m'arrêtai net, laissant l'homme qui était derrière moi me rentrer dedans de plein fouet. Il me dépassa et me jeta un regard mauvais, auquel je ne prêtai aucune intention. Si je rentrais maintenant, j'allais devoir affronter ma mère. Elle pour qui c'était tellement important, que je vois un psy. Elle pensait que ça m'aiderait. Et même si je n'avais aucune envie de la décevoir, je n'avais pas vraiment envie de faire des séances avec un psychologue. Vraiment pas.
Quelques minutes plus tard, assise à la terrasse d'un café et avec une grande tasse de capuccino devant moi, je repensai à tout ça tout en remuant d'un geste automatique le contenu de ma tasse. Je réfléchissais à pourquoi ma mère avait tenu à faire ça. Pourquoi voulait-elle que je me confie à ce type ? Pourquoi pas à elle ? Si j'avais une partie de la réponse. Une partie de mes confessions tourneraient autour de mon père et elle ne voulait pas en entendre parler. Il était parti quand j'avais 14 ans - soit il n'y a pas si longtemps. Il avait rencontré une autre femme et était parti, juste comme ça. Cela m'avait au moins convaincue de ne pas sortir avec le premier mec venu et de prendre mon temps pour trouver le bon ! Et on avait déménagé à San Fransisco, parce que ma mère avait toujours rêvé de venir dans cette ville, et puis parce qu'il y avait une bonne agence de mannequinat qui avait accepté de m'embaucher. En arrivant ici, ma mère avait pensé que ça serait bien que je vois quelqu'un. Parce qu'elle se sentait coupable de ne pas arriver à parler avec moi tout simplement et qu'elle pensait que c'était nécessaire. J'avais d'abord refusé catégoriquement, mais elle semblait tellement désemparée que je m'étais forcée à prendre un rendez-vous chez le Docteur Adams pour lui faire plaisir, et essayer au moins. J'avais essayé.
Je jonglais entre le lycée, les photoshoots, les soirs passés à me faire de l'argent de poche au bar du coin. C'était arrivé très vite, notre emménagement ici. Enfin par rapport au départ de mon père, pas tant que ça car j'avais mis des années à convaincre ma mère de bouger et de reprendre, passer à autre chose, tourner la page quoi. Et elle avait accepté il y a quelques semaines seulement. Maintenant, ça faisait un mois qu'on était installées. On avait trouvé un petit appartement confortable dans le centre, on avait accès à tout ! J'adorais cette ville, personnellement. Elle me faisait rêver.
Je jetai un billet sur la table, attrapai mon sac et me dirigeai, le coeur lourd, vers l'appartement pour affronter ma mère.
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