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i need you now ft. Ciara i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| | Dim 27 Mai - 12:28 | |
| « Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! Moi, j’ai Ciara. » La souffrance, quel sentiment horrible. Lorsque l’on souffre, rien n’est important, tout n’est que synonyme de tristesse, plus rien ne compte sauf elle, sauf cette personne qui nous fait nous sentir mal. Elle ne te laisse aucun répit. Tu ne cesses de penser à tout ça. Tu ne comprends plus rien, tu es perdue. Tu aimerais l’effacer de tes pensées, ne serait-ce que quelques secondes mais c’est impossible. Tu n’y arrives pas et pourtant, Dieu sait que tu essaies. Essayer ne fait pas tout, malheureusement. Allongée dans ton lit, tentant vainement de t’étouffer avec ton oreiller, tu réfléchis, tu mélanges tes pensées, tu les confrontes, tu fais le point sur ta vie. Sur ta si belle vie. Il est vrai que tu n’avais rien à lui reprocher, il y a quelques jours mais, ce n’est plus le cas désormais. Tu lui reproches tout, tu reproches tout à tout le monde. Pourtant, personne ne t’a rien fait, une seule personne est fautive de ton état. C’est à elle que tu devrais en vouloir mais, tu n’aimes pas faire dans la simplicité. Tu te mets sur le dos et observe ton plafond. Tu te sens seule et tu l’es, tes deux colocataires, tes deux amies sont parties, se souciant peu de ce que tu devenais. Tu ne peux pas leur reprocher quoi que ce soit car mentir est ton passe-temps favoris en ce moment. Lorsqu’elles t’ont demandé si tu allais bien, tu as répondu positivement. Tu es tellement idiote. Ciara ne devrait pas tarder à arriver, tu devrais sortir de ton lit mais tu n’en as pas le force, tu n’en as pas le courage. Pourtant, il va bien falloir. Doucement, tu te redresses et sort de tes draps. Ta tête tourne et tu manques de tomber. Tu te laisses glisser contre le mur, pose ta tête sur tes genoux et les prends dans tes bras. La porte de l’appartement s’ouvre. C’est sans doute Ciara. Tu relèves doucement la tête et entend des bruits de pas se dirigeait vers ta chambre. Tu renifles, essuie tes larmes mais, tu ne te relèves pas. Ton cœur bat tellement vite que tu es persuadée qu’elle l’a entendu. Il te fait mal. Tu souffres, tu n’en peux plus. Tu as juste envie d’être dans ses bras, d’être dans les bras de celle que tu considères comme ta sœur. Elle arrive dans la chambre et te voit, assise contre le mur. Tout se passe très vite. Elle saisit ta main, te relève et te prend dans ses bras. Tu te laisses allez, tu ne dis rien, tes pleurs sont suffisants pour expliquer la situation dans laquelle tu te trouves. Les larmes coulent, tu n’arrives pas à t’arrêter. Elle te serre dans ses bras et tu t’y blottis, telle une enfant qui vient de tomber de vélo et qui a besoin de réconfort. Tu ne sais pas quoi dire ni quoi faire, tu ne peux pas pleurer toute la soirée, il va bien falloir t’expliquer. Doucement, tu te recules, quittant ses bras et lui sourit. « Merci d’être venue, ça fait du bien de te voir… » Tu tentes de retenir tes larmes sans grand succès, elle semble attristée de te voir dans un état pareil. Qui ne le serait pas ? L’amour, c’est con, l’amour, ça ne sert à rien. |
| | | Ciara A. Halvarezall i care about is success ✱ QUARTIER : Sunset District
✱ COLOCATAIRES : mon petit ange
| Dim 27 Mai - 15:34 | |
| Alors que je suis dans ma voiture, je ne peux m'empêcher d'avoir peur, une peur bleu en faite. Abby, je m'inquiète pour elle, plus que tout. Je sais qu'elle va pas bien et je n'ai vraiment pas envie qu'elle fasse une bêtise, quitte a ce que je doive rester avec elle 24h/24 pour la surveiller. Je tiens trop a elle pour la laisser seule. Elle était comme ma soeur, ma soeur aux cheveux de feu. Je ne pouvais pas rester chez moi a rien faire alors qu'elle n'était pas au top, quel genre de soeur je serais si je faisais ça n'est ce pas ? J'étais vraiment inquiète pour elle. Je roulais, je l'avoue, rapidement chez jusqu'à chez elle, et je resterais le temps qu'il faudra avec elle pour m'assurer qu'elle va bien. Je me gare devant chez elle et sors rapidement de ma voiture et fonce chez elle. Je m'enfonce dans l'immeuble alors qu'un homme en sort et je monte les marches pour arriver devant l'appartement de Abby et de sa colocataire que je ne connaissais pas du tout. J'allais toquer, mais je me rend compte que la porte n'est pas fermé. Mon angoisse augmente encore un peu plus du fait de cette constatation. Je pousse la porte et pénètre dans l'appartement sans bruit, comme si il n'y avait personne. Je me dirige vers la chambre d'Abby, je pousse la porte et ce que je vois me fais mal. Elle est assis par terre, contre un mur, la tête entre les mains. Mon coeur se serre à cette vu. Elle me regarde, les yeux rouges d'avoir surement trop pleurer. Elle semble vraiment pas bien, au bord du gouffre je dirais même. Je me mord la lèvre et avance vers elle. Décidée, je prend sa main, la relever et la prend directement contre moi, caressant ses cheveux tendrement, tentant de la calmer du mieux que je pouvais. La voir comme ça m'achève et me fend le coeur. Elle se laisse aller, pleurer dans mes bras, son corps secoué de sanglots. On reste un moment comme, à attendre qu'elle aille mieux. Je lui dis des mots gentils, essayant de faire tout ce que je peux pour l'aider. Finalement, ses pleurs se calme. Elle quitte mes bras, me regard et souris, contraste évident avec ses yeux rouge et gonflés. « Merci d’être venue, ça fait du bien de te voir… »
Ne sois pas bête Ab' … Dis-je en la regardant, triste de la voir comme ça. Tu sais très bien que je serais toujours là pour toi, dès que tu en as besoin. N'importe quel jour à n'importe qu'elle heures, je serais là d'accord ? Je m'approche d'elle, essuie ses joue tendrement, le dessous de ses yeux aussi ou le maquillage avait couler. Je suis aussi contente de te voir ma belle ! Dis-je avec un beau sourire tout en prenant son visage entre mes main avant de la reprendre contre moi pour lui faire un maxi câlin. Je n'aime pas voir les gens que j'aime aller mal, par ce que si ils vont mal, je vais mal. C'était comme ça, je ne supportais pas de les voir mal, encore Abby, ma petite soeur chérie. Allez, ça va aller d'accord ?! |
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