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 Will we ever have a happy ending Or will we forever only be pretending ? || Styx.
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Anonymous
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Sam 2 Juin - 0:46

Cameron & Styx « Will we ever say the words we’re feeling Deep down underneath it Tear down all the walls Will we ever have a happy ending Or will we forever only be pretending We will always be pretending »

C'était vraiment dingue comment la vie pouvait changer du tout au tout en une seule seconde, en un seul moment d'égarement, de folie même. Je n'y croyais toujours pas. J'avais déjà du mal à croire que j'avais coucher avec Aeterna, mais là, l'histoire prenait une toute autre dimension et je ne savais pas si elle comme moi étions prêts pour cela. Probablement que non. Et puis tout était déjà si compliquer depuis que nous avions partagé le même lit et j'avais l'impression que ce n'était que le début. Si seulement je n'étais pas partie à Londres ! Belle erreur. J'aurais pu être là quand elle avait fait les tests, et quand on lui avait annoncer la nouvelle, mais non, je me trouvais loin, tout çà par ce que la vie était chienne et que j'étais perdu comme jamais je ne l'avais été. Elle était enceinte, de moi. Waw. Moi qui me plaignait il n'y pas si longtemps que cela commencer a craindre que je n'ai pas une situation stable, que je en sois pas casé à mon âge. Et bien on dirait que cela allait changer et plus rapidement que je ne l'aurais cru. J'allais être père et la mère de mon enfant n'était ni ma petit amie, ni ma fiancé, ni ma femme, mais ma colocataire. C'était complètement délirant mais je savais bien que Aeterna était bien plus que ma colocataire, et c'était encore plus vrai maintenant. Je savais vraiment pas comme tout cela allait se finir mais une chose est sur, jamais je ne l'abandonnerais. Pas alors qu'elle porte mon enfant. J'ignorais ce que cela signifiait pour nous deux, mais bon, je crois que là, il fallait prendre les choses une par une par ce que sinon nous ne nous en sortirions pas. Je soupirais alors que je quittais l'aéroport après avoir dit au revoir à Keep, avait qui j'étais rentrer. Je retrouvais l'air chaud de SF, et appeler un taxi qui me ramènerais chez moi, auprès de Aeterna et nous pourrions enfin parler face à face de tout ça. Pour la première fois de ma vie, je roule vers l'inconnue et bon dieu que cela faisait peur de tout ignorer de quoi sera fait demain. Dans le taxi qui me ramène chez moi, je laisse mes pensées vagabondaient dans toutes sortes de direction. Quoi qu'il arrive, je serais là pour cet enfant. Je n'étais pas un lâche mais j'étais un homme qui prenait ses responsabilités. Peu importe comment cela évoluait entre elle et moi bien que j'espérais que cela prenne une bonne route, car je tenais vraiment à elle, vraiment beaucoup. Je fermais les yeux le reste du trajet. Quelques minutes plus tard ce fut le chauffeur qui me ramena à la réalité lorsqu'il me dit que j'étais arrivé. Je regardais par la fenêtre, prenais une grande respiration et je quittais le taxi. Le chauffeur me rendit mon sac qui était dans le coffre. Je lui paya la course et il repartit au loin. Je portais mon sac et rentrais chez moi, utilisant mes clefs pour ne pas risquer de réveiller Loisia en sonnant. Je grimais les marches rapidement, jusqu'à mon appartement. Les retrouvailles me faisait peur. Je respirais un grand coup et rentrais chez moi, refermant doucement la porte.

C'est moi. Dis-je alors que je fermais un des verrous. « C'est moi », c'était complètement stupide de dire ça, mais vraiment, mais je crois que j'avais pris cette ( mauvaise ) habitude. Je tentais de calmer les battements de mon coeur ainsi que ma respiration alors que je pénétrais un peu plus dans l'appartement. Je crois que je n'avais jamais été aussi stressé de toute ma vie. Sérieusement, enfin, je crois que c'était normal, ma vie allait d'ici peu totalement changer. Étais-je réellement prêt pour ça ? Je crois que oui, mais il me faudrait un temps d'adaptation. Des tonnes et des tonnes de questions fusaient dans mon esprit, nourrir par mes peurs, mes angoisses, mes doutes. Ce fut en entrant dans le salon que je vis Aeterna, allongée sur le canapé, entrain de regarder la télé. Elle ne m'avait sans doute pas entendu. Je toussais légèrement et elle se retourna, me faisait face, avec ses grand et beaux yeux. Salut … Lui dis-je avec un petit sourire, signe que j'étais content de la revoir même dans ses circonstances. Instinctivement, mes yeux se portèrent sur son ventre, pourtant totalement plat encore. Reprend-toi Cam ! Je la regardais, posant mon sac par terre, ne sachant pas vraiment quoi dire, quoi faire. Dois-je aller vers elle ? Ou dois-je attendre qu'elle même face un pas vers moi ? Trop de questions sans réponses. J'ai fais aussi vite que j'ai pu ...Tu ne sera plus seule maintenant. Lui dis-je en la regardant dans les yeux.

Spoiler:
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Anonymous
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Dim 3 Juin - 21:16

There, there must be an easier way to release these feelings. So, so far from home I need your voice to hold my head together. - architects

Enceinte. Je regarde le petit morceaux de papier. Je n'arrive toujours pas à m'y faire. C'est pas la même chose que la dernière fois. Le père n'est pas un client. Le père c'est Cameron. C'est…j'ai presque envie de pleurer. Comment on a fait pour en arriver à la? Pourquoi est-ce que ça ne pouvait juste pas rester comme cela l'était? Une simple relation de colocataire. Non, il avait fallu que tout dégénère, que nous couchions ensemble et que je finisse par tomber enceinte. Il fallait que ça arrive. Pourquoi? Je ne pouvais plus continuer comme si de rien n'était. Je ne pouvais plus fuir. J'étais maintenant obligée d'affronter ces choses qui me faisaient peur. je n'ai jamais voulu me lier à quelqu'un. J'ai toujours voulu vivre librement. Avoir mes propres responsabilités. Mes propres lois. J'avais déjà perdu des responsabilités avec Loisia, et maintenant avec cet deuxième enfant, tout allait changer. Je ne pouvais plus continuer comme je vivais. Frankie avait raison. Il était temps pour moi d'arrêter la prostitution. Est-ce que j'étais capable de le faire? je le devais. Plus rien n'était pareil maintenant. Je grandissais petit à petit. Un soupire s'échappa. Cameron allait rentrer aujourd'hui. C'était le moment ou jamais d'affronter ce qu'il s'était passé. Il était temps de parler. Mais j'avais peur. peur des conséquences, de l'avenir. Je voulais mon indépendance. Peut-être qu'il était temps que j'arrête d'avoir peur et que j'affirme ce qui est vrai. Je ressens quelque chose pour Cameron. je le sais. Au plus profond de moi, je sais qu'il y a quelque chose que j'aime chez lui, mais je ne sais pas ce que c'est. Je m'en dors sur le canapé avec Loisia dans mes bras. Il fait beau pourtant. J'avais envie de sortir mais bizarrement, la petite ne faisait que dormir en ce moment. Ca m'inquiétait quelque peu. J'avais peur qu'elle ait attraper quelque chose en Greece pendant ma petite fuite. Je n'aurais peut-être pas du partir. Si maintenant, elle était en danger, je me sentirais coupable. J'irais peut-être voir le médecin lundi pour être sure qu'elle n'a rien et que c'est juste quelque chose de passager qu'elle dorme autant. Je fus réveiller par des bruits à la télévision. J'avais complètement oublié que je regardai un film. Il faisait déjà nuit. Je ramena Loisia dans sa chambre avant de mettre un nouveau film. J'avais besoin de me changer les idées. Cameron allait arriver bientôt et je n'étais pas encore prête. Ou peut-être que si mais que je ne voulais pas à me dire que j'étais prête. La porte s'ouvrit. Il était là. Je sentais mon coeur s'accélérer. Je devais rester calme. Je garde mon attention sur la télévision mais je ne capte même pas de quoi il parle. Mon esprit divague. Des centaines de questions se posent dans mon esprit. Qu'est-ce que je lui dis? Est-ce que je… Je ne sais pas. Le pailler du médecin se trouve sur la table basse en face de moi. Mes yeux sont rivés dessus. Il entre dans le salon. Je tourne doucement la tête vers lui. Je le vois. Mon coeur se met à battre à milles à l'heure. Je ne comprend plus rien. Je me lève murmurant un « salut » quasiment inaudible avant de me diriger vers lui et de l'enlacer de mes longs bras. Je ne sais même pas quoi dire. J'avale ma salive. Il n'y a tellement rien d'autre à dire.
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Anonymous
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Lun 4 Juin - 9:20

Cameron & Styx « Will we ever say the words we’re feeling Deep down underneath it Tear down all the walls Will we ever have a happy ending Or will we forever only be pretending We will always be pretending »

Je ne peux vraiment pas exprimé ce que je ressens d'être là, à cette instant. Pourtant je suis chez moi, de retours à la maison, mais quand je la vois tourner la tête vers moi, me regarder de ses grands yeux que je devine perdus, je suis a des milliers de kilomètres, là ou il n'y aurait que elle et moi. Juste elle et moi. Je rend compte maintenant de ma bêtise d'être partie a Londres. Je lui en avais voulu de s'être enfuit, mais en faite, j'avais fais la même chose et pour les même raisons. J'avais fuis par ce que j'avais peur, peur que tout ça soit le début de quelque chose qui nous dépasse tout les deux, elle comme moi. Mais fuir n'était pas une solution, la meilleure chose a faire était de parler, de faire à la situation, aussi compliqué soit elle. L'inconnu fait peur mais je crois que nous n'avions pas d'autre choix que de nous y plonger, en tous cas pour cette fois. On allait être parents, alors que nous n'étions même pas un couple en devenir. C'était juste un truc de dingue, mais nous allions prendre nos responsabilités, ce n'était pas n'importe quoi qui était en jeux dans tout ça, mais la vie d'un petit être, notre futur enfant et pour ça, il fallait qu'on trouve une solution, qu'on mette certaines chose au clair. Qu'on en parle, tout simplement. Je la regarde, planté dans mon salon, l'air plus qu'idiot, mais je ne sais pas quoi faire, quoi dire. Je la regarde, l'observe. Ses yeux, cette bouche, tout m'a manquer. J'ai l'impression que je reste une éternité à ne rien faire, à la regarder, mon sac presque à mes pieds. Tout allait changer, c'était clair et net, mais je crois que je pouvais m'y faire. Bien sur, rien ne serait facile, c'était certain, les difficultés étaient nombreuse mais je savais que l'on pouvait y arriver. Elle comme moi avions ressentir plus que du simple plaisir lors de cette égarement, il y avait plus que cela. Nous ne savions pas ce que c'était mais on savait que c'était là, et cela nous suffisait. C'était le moment, le moment de parler, le moment de s'ouvrir l'un a l'autre et non cela ne serait pas facile, mais nous ne pouvions pas rester comme ça, ce n'était bon pour personne. En tant que psy, je le savais mieux que quiconque. Je lui lance un « salut » totalement pathétique. J'ajoute ensuite des trucs que je tenais vraiment à lui dire, qu'elle ne serait plus seule. Et c'était vrai, qu'importe ce qu'il se passait entre elle et moi, je serais là pour mon enfant, notre enfant. Elle se lève du canapé ou elle était allongé. Un « salut » presque inaudible passe ses lèvres alors qu'elle se lève et s'approche de moi. Je ne la quitte pas des yeux, même lorsqu'elle me prend dans ses bras, geste qui me surprend. J'hésite, puis referme doucement mes bras autour d'elle tendrement, pensant que bientôt, avec son ventre, je ne pourrais plus le faire aussi aisément. Son parfum, l'odeur de ses cheveux m'enivre. Je la serre doucement contre moi, un long moment, elle comme moi ne bougeant pas du tout. Je respire calmement.

Je suis vraiment désolé, je n'aurais jamais du partir … Lui dis-je en restant encore dans ses bras. Je m'en voulais vraiment, elle avait vraiment du flipper en faisant les tests, puis la prise de sang et ensuite quand le médecin lui avait confirmer ce qu'elle craignait. J'aurais du être avec toi depuis le début, si tu savais comme je m'en veux. Mais comme je te l'est dis, je suis là maintenant, quoi qu'il se passe. Tu peux compter sur moi. Je me détachais d'elle doucement et la regardais dans les yeux, pour qu'elle comprenne que je ne mentais pas, c'était un sujet trop sérieux.

Tout ma vie, et bien plus encore la sienne allait changées. Je la regardais. Je me rappelais la peur que j'avais eu quand elle avait fait un black out alors que nous étions au téléphone, moi à Londres. Heureusement que rien de grave ne c'était passée, je m'en serais voulu toute ma vie de ne pas avoir était là. Mon cœur battait fort dans ma poitrine alors que je la regardais, encore et toujours. J'avais l'impression que cela faisait une éternité que je ne l'avais pas vu, ni parler sans que l'on se prenne la tête. Je respirais calmement, et lui souriais faiblement afin de libérer un peu la tension et l'angoisse qui régnait. Je lui pris la main délicatement et nous dirigeait vers le canapé. Nous n'allions pas rester debout tout le temps non ? Je m'assis sur le canapé, et elle aussi. Je ne prenais pas gaffe, mais je gardais sa main dans la mienne.

Comment tu te sens ? Lui demandais-je en la regardant. Question banale, mais la situation ne l'était pas, elle. Je me doutais que dans sa tête, il devait régner un aussi gros bordel que dans la mienne, e peu être un encore plus gros. Je te promet que ça va aller Aeterna. Toi et moi, on va faire en sorte que cette situation soit la moins pénible possible. On va devoir se faire confiance, se parler et on trouvera des solutions pour chaque « problèmes ». D'accord ?

Oui, j'étais près a être père, prêt à l'aider du mieux que je pouvais. Nous étions deux dans cette histoire, et elle pourrait toujours compter sur moi. La situation avait beau être loin d'être banale, mais ce n'était pas pour ça qu'il fallait faire n'importe quoi. La vie d'un être en dépendait, de deux êtres en faite. Je tiens a ses grand yeux qui me regarde, à ce jolie visage, à ce corps qui m'a rendu fou ce soir-là. Jamais je ne laisserais quelqu'un lui faire du mal, pas même moi.
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Anonymous
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Lun 4 Juin - 11:08

There, there must be an easier way to release these feelings. So, so far from home I need your voice to hold my head together. - architects

Il est là. Il resserre ses bras autour de moi. j'inhale son odeur. Mon coeur explose. Je frôle la syncope. Mon corps s'enflamme. Je ne suis plus seule maintenant. Il me rassure. Je ne sais pas pourquoi. Ou peut-être que je sais mais que je ne veux pas l'assumer. Il y a tellement de choses qui se mélangent dans ma tête. tant de questions qui se mélangent. Mais, elles semblent disparaître avec la présence de Cameron. Je n'ai plus peur. Je n'ai plus peur de ce qu'il pourrait se passer. Je reste là. Silencieuse. je ne sais pas quoi dire. Je m'enferme dans cette petite bulle où nous nous trouvions présentement. Je ne veux à jamais quitter cet endroit. Je veux m'enfermer dans cette sécurité. J'inspire son odeur, le garde serrer contre moi. Je profite de ce silence pour essayer de mettre de l'ordre dans ma tête. Que va-t-il se passer maintenant? On allait être parent, moi une deuxième fois. Je ne savais comment les choses allaient se passer. Nous n'étions pas ensemble. Il n'y avait rien pour définir notre relation actuelle. C'était tellement catastrophique. Nous allions affronter l'inconnu et pour la première fois, je n'avais pas peur de cet inconnue. Il ne m'effrayait pas. Je pouvais sentir que peut-être, au final, cela allait s'aboutir sur quelque chose de positive. Je suis vraiment désolé, je n'aurais jamais du partir … Je sens une larme montée dans mes yeux. En fait, c'est moi qui devrait m'excuser. C'est moi qui suit partit, c'est moi qui a fuit tout ça. C'est moi qui n'a pas su affronter ce qu'il s'était passé. Je ne dis rien. Il n'y avait rien à dire. Il s'en voulait de ne pas avoir été là. Mais au fond, c'est moi qui m'en voulait. j'avais réagi comme une gamine de seize ans qui venait de perdre sa virginité avec le mec qu'elle aimait mais qui avait peur des suites. Et moi, j'avais exactement réagi de la sorte. j'avais couché avec Cameron et puis je m'étais enfuis en Greece, ne voulant absolument pas affronter ce qu'il s'était passé. Il était temps que j'agisse autrement, que je fasse face à mes peurs et que je me laisse aller sans crainte. Cameron se détache de moi et me regarde dans les yeux. je me perds dans son regard. Je m'y enfonce, je suis incapable d'y répondre. je suis tellement perdue. Aide-moi à retrouver mon chemin. C'est que tu fais non? Tu aides les gens à retrouver leur chemin, alors pourquoi tu m'as laissé m'égarer. Je ne dis rien. Je ne lui répond pas. Il prend ma main. Nous nous asseyons sur le canapé. Je remonte mes jambes contre moi et pose ma tête sur son épaule. Nos mains sont entremêlées. Je n'y fais même pas attention. Ca me rassure de savoir qu'il est là, qu'il ne me laissera pas. Il rompt le silence en me demandait comment je me sentais. Pour le moment, c'était la catastrophe. Je vivais le chaos. Il y avait tant que des questions qui se mélangeaient dans mon esprit. Tant de peur qui régnait. Il me rassure. J'hoche la tête pour acquiser. J'avale ma salive. je ne sais pas quoi répondre. je regarde nos mains. « J'ai peur Cameron. j'ai peur de me perdre dans tout ça. J'ai peur de te perdre. J'ai tellement peur que si je me lie à toi, je vais te perdre comme j'ai perdue ma mère…Je sais que ça semble absurde mais je ressens quelque chose pour toi et ça me fait peur….» Je criais à l'aide de l'intérieur. Je voulais qu'on me sorte de cette peur. Ce n'était pas possible de continuer avec cette crainte.
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Anonymous
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Lun 4 Juin - 13:38

Cameron & Styx « Will we ever say the words we’re feeling Deep down underneath it Tear down all the walls Will we ever have a happy ending Or will we forever only be pretending We will always be pretending »

On y était, le moment que j'avais redouté, elle aussi surement. Mais en faite nous n'avions aucune raison d'avoir peur. On était pas deux ennemis, et si chacun de nous faisait des efforts, je ne doutais pas que nous arriverions rendre cette situation, que ni elle ni moi n'avions voulu, vivable pour tout le monde. Je sais qu'elle a peur, je le sens, le vois dans ses yeux qui sont plonger dans les miens juste maintenant. Je ne vais pas mentir, moi aussi j'ai peur, car je ne sais pas ou tout cela va nous menait et malgré tout, j'allais être père et disons que c'était quelque chose que je n'avais pas prévu, pas comme ça en tous cas. J'avais peur de ne pas être prêt, mais l'étions nous vraiment un jour ? Keenan m'avait dit qu'il pensait que je serais un bon père, et je le croyais, et de toute façon, je crois que j'apprendrais au fur et a mesure, comme tout le monde. Je m'occupais déjà de Loisia, et personne ne c'était plaint. Ses yeux dans les miens me transporter, je ne pouvais plus m'en détacher. Je respirais son odeur et profitais du fait d'être dans ses bras sans en avoir honte. Je prend sa main et nous emmène sur le canapé. On s'installe, je garde sa main dans la mienne sans y faire attention, comme si c'était naturel en faite, comme si j'avais toujours fait ça, alors que c'est la première fois. Elle pose sa tête sur mon épaule, ramenant ses jambes contre elle. Je voudrais tellement qu'elle aille bien, qu'elle est tout ce qu'elle veut, que rien ne vienne entravé son bonheur. C'était important pour moi, malgré tout. J'aurais pu rester comme ça pendant des heures et des heures. J'étais bien avec elle à mes cotés. Je lui demande comme elle va, lui promettant qu'on fera tout pour que tout aille bien, me doutant que tout ça n'avait pas quitter sa tête depuis qu'elle avait apprit la nouvelle. Elle hoche la tête. « J'ai peur Cameron. j'ai peur de me perdre dans tout ça. J'ai peur de te perdre. J'ai tellement peur que si je me lie à toi, je vais te perdre comme j'ai perdue ma mère…Je sais que ça semble absurde mais je ressens quelque chose pour toi et ça me fait peur….» Je serrais un peu plus ma main dans la sienne. Ses peurs étaient fondées, je ne les ignorais pas et les comprenais. Je voulais faire disparaître ses peurs, qu'elles ne soient plus qu'un mauvais souvenir, mais je savais que cela n'était pas aussi simplement que cela. C'était mon job, m'occuper des peurs, des craintes des gens. Je faisais ça à longueur de journée, et je voyais bien le temps que cela prenait. Tout ce que je pouvais faire, c'était être là, près d'elle, jour après jours, lui montrant que je suis là, que je la laisserais pas, qu'elle peut avoir confiance en moi, que je serais toujours la pour elle, à n'importe qu'elle moment. Je voulais vraiment faire en sorte d'apaiser ses peurs, si dure cela soit-il, tout en ne négligeant pas les miennes. La jour, la nuit, demain, dans des années. Je serais là. Ma vie était maintenant liée à la mienne, quoi qu'il arrive.

Écoute moi. Dis-je en prenant son menton entre deux doigts pour qu'elle me regarde. Je sais c'est une situation de fou, effrayante, et perturbante aussi, mais crois-moi, tu ne me perdra pas, jamais tu m'entend ? Lui dis-je, d'un ton qui ne laisser pas de place au doute. Moi aussi je ressens quelque chose pour toi, j'ignore ce que c'est, ni ou cela va nous menait mais quoi qu'il arrive, je serais là, pour toi, Loisia et le bébé. Je ne t'abandonnerais pas et je ferais tout pour que la situation soit la moins pénible possible pour nous. Je changeais de place et la reprenais dans mes bras. Fait moi confiance, je ne laisserais rien t'arriver, ni à toi, ni à ta fille, ni à notre bébé.

Je la relâchais doucement, la regardant. Je voulais la rassurée, qu'elle comprenne qu'elle pouvait me faire confiance, se reposer sur moi, que jamais je ne lui ferais du mal. Elle avait trop d'importance pour moi et si il lui arrivait quelque chose, je crois que jamais je m'en remettrais. Je reprenais sa main dans la mienne, je ne voulais pas la brusquer mais nous avions des décisions a prendre, des choses à mettre aux clair.

Est-ce que tu as déjà pensée a comment on allait procédés ? Lui demandais-je. Je veux dire, je ne sais pas, mais je pense pas que tu va pouvoir continuer de bosser non ? Pas voir tes clients en tout cas … Mais est ce que tu te sens prête à arrêter définitivement ? Je t'aiderais si tu as besoin de moi.
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Anonymous
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Lun 4 Juin - 15:04

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Je l'écoute attentivement. Plus je l'écoute, plus je me rends compte que j'ai de la chance de l'avoir dans ma vie. Il sera là. Je sais qu'il le sera. Pour moi. Pour Loisia. Pour ce petit être qui était entrain de naître en moi. Cet être qui allait tout changer. Ce bébé qui allait changer ma vie entièrement. Notre vie. Je devais arrêter de ne penser qu'à moi. Je n'étais plus seule maintenant. Ma vie et celle de Cameron étaient liées à jamais maintenant. Ce bébé nous unissait jusqu'à la fin de nos jours. Et ça me faisait peur. Lié à quelqu'un jusqu'à la fin de notre vie. Et si ce que je ressentais pour Cameron n'était pas assez fort pour que nous nous entendions sur notre enfant? J'avais tellement peur que nos caractères respectifs agissent sur cet enfant. Je n'ai toujours que le meilleur pour n'importe quel enfant, que c'était pour Loisia ou que cela soit pour le bébé en devenir. J'avale ma salive. Je ne savais pas quoi répondre. Il me disait exactement ce que je voulais entendre. Il me rassurait. Mais d'un côté, j'étais pas sûre que je pouvais lui faire confiance. C'était son job d'aider les gens en détresse. Il le faisait tout les jours. Peut-être qu'il le faisait par automatisme? Arrête Aeterna. Je dois arrêter d'avoir peur. Plus je vais le faire, moins je vais arriver à savoir quoi faire. J'ai besoin de Cameron. je le sais. j'ai besoin de lui dans ma vie. Il me remet en place quand je dérape, quand je décide de faire des conneries. Doucement, il me lâche puis me prend dans ses bras complètement. Je souris. Mon coeur se met à s'accélère. Je me laisse aller dans ses bras. Je me sens bien. je n'ai plus envie de les quitter. Je veux rester là à jamais. Le plus longtemps possible. Je regarde dans le vide, me laissant divaguer dans mes pensées. Mes yeux sont plongés dans les siens. je m'y perds. Je suis tellement perdue. Cameron. Aide-moi. Aide-moi à arrêter ce que je suis. Il a raison. je dois arrêter la prostitution. Frankie aussi. J'ai beau avoir l'impression que cela va être impossible, je dois le faire. Pour cet enfant. Pour moi. Pour Cameron. Je crois que…je l'aime…je crois. Je ne sais pas. Je n'arrive pas a en être sûre. j'ai l'impression de me découvrir. Je n'ai jamais aimé quelqu'un au paravent. Je n'ai jamais ressenti quelque chose pour une personne du sexe opposé avant maintenant, et là ma vie prenait un tout autre tournant. Je reste là à le regarder. Mes yeux observent son visage. Ses lèvres. Ses yeux. Je m'enivre. Je suis perdue. J'ai envie de l'embrasser. Peut-être que ce n'est pas le moment. Au pire qu'est-ce que j'y perds? Je ne pense pas que je peux encore compliqué la situation plus qu'elle ne l'est déjà. « Je crois qu'il est temps pour moi de changer. Ca va être dure d'arrêter mais je peux le faire. Pour ce bébé. Pour toi. Pour nous. Pour notre avenir à deux. » Doucement, mes lèvres viennent rencontrer les siens. Je ne sais pas dans quoi je me lance là, mais je n'ai plus peur. Ma crainte disparaît petit à petit. Je sais qu'au final, je vais être heureuse.
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Anonymous
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Lun 4 Juin - 21:10

Cameron & Styx « Will we ever say the words we’re feeling Deep down underneath it Tear down all the walls Will we ever have a happy ending Or will we forever only be pretending We will always be pretending »

Une chose dont je suis certain c'est que je ressens quelque chose de fort mais d'inexplicable pour cette jolie blonde qui vit avec moi et qui me regarde en cette instant. Et ne pas arriver a mettre de mot sur ce que je ressentais au fond de moi me rendait dingue, vraiment. Enfin, peu être que si je savais ce que je ressentais pour elle, mais que cela me faisait peur. Ma seule vrai relation ou de l'amour était entrer en jeu c'était avec Keep, et c'était encore une autre situation avec lui. Mais avec elle, ce petit bout de femme qui me rendait fou, me mettait dans tout mes états, faisait battre mon coeur, c'était différent, je le sentais que quelque chose en plus entrer en jeu. Avec tout prenait des proportions énorme, l'angoisse, la peur, l'énervement, l'envie, et l'amour aussi. Oui, l'amour, car je l'aimais, enfin je crois, c'était la seule explication qui me paraissait plausible à toute ce que je ressentais. Je l'aimais oui. J'étais sur de moi maintenant et j'étais aussi sur que l'on s'en sortirait, que tout irait bien, je le savais par ce que je ferais tout pour que cela marche entre nous et que tout aille bien, pour tout le monde. On est là, sur le canapé, à se regarder, à s'observer, à se contempler l'un l'autre, comme si l'on se voyait vraiment pour la première fois, c'était une sensation bizarre mais aussi grisante. Dans ses yeux, je n'avais pas peur de me perdre, je savais que je ne craignais rien. « Je crois qu'il est temps pour moi de changer. Ca va être dure d'arrêter mais je peux le faire. Pour ce bébé. Pour toi. Pour nous. Pour notre avenir à deux.» Je la regarde, conscient de ce que cette situation devait lui couter, de ce qu'implicitement je lui demande tout en sachant que j'étais certain qu'elle le savais déjà, que sa vie changerait du tout au tout avec ce deuxième enfant et j'étais sur qu'elle en était elle aussi consciente. Je sens alors ses lèvres, douce, sucrée sur les miennes. Je ferme les yeux tout en répondant à son baiser. Je viens glisser une de mes mains dans ses longs cheveux blond, et prolonge le baiser. Je sens mon coeur battre ma chamade dans ma poitrine qui se soulève, l'air qui se fait rare dans mes poumons. Je me rapproche d'elle, et l'embrasse encore, sans m'en lasser, elle ne semble pas vouloir arrêter non plus. Je commence a manquer d'air, je rompt le baiser, me recule et la regarde en souriant. Je glisse ma main sur sa joue, sans me départir de mon sourire, qui prouve que je n'ai plus peur, que je suis sur de ce que je veux, et ce que je veux, c'est elle, tout simplement.

Je serais là pour t'aider, jour après jour. Lui dis-je en la regardant. Qu'importe les obstacles que tu devra surmonter, je serais là pour t'aider, je suis sérieux quand je dis que tu ne sera jamais seule Aeterna. Quoi que je doive faire pour t'aider, je le ferais sans hésiter par ce que je veux que tu sois en sécurité, que tu aille bien et ce pour toujours. Lui promis-je en la regardant dans le blanc des yeux.

Jamais ne n'aurais pensé qu'elle et moi on en arrive là. Personne ne l'aurait prédit je crois, c'était tellement improbable, imprévue tout ça. J'avais encore moi-même du mal à réaliser tout ce c'était passer en si peu de temps. Cela me donnerais presque le tournis tout ça, mais je n'avais plus peur, j'étais serin pour l'avenir et tout ce que nous allions devenir régler, elle et moi, ensemble. Je ne doutais pas que cela ne serait pas du tout cuit, mais si on était ensemble, tout devenait possible sans aucun doute possible. Je me sentais mieux, d'être rentrer, d'avoir parler avec elle, enfin, et d'être avec elle, chez moi, tout simplement.


HJ : désolée, c'est pas super ! T.T Je me rattraperais! :3
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Anonymous
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Mar 5 Juin - 0:40

There, there must be an easier way to release these feelings. So, so far from home I need your voice to hold my head together. - architects

Il prolonge le baiser. Je m’enflamme. J’approfondis. Je passe une main dans son cou le serrant contre moi. Il passe ses mains dans mes cheveux blonds. Je suffoque. Je manque d’air. Je frôle la syncope. Je n’ai plus d’air. Je ne veux pas rompre le baiser. Je ne veux plus jamais quitter ses lèvres. Je ne veux plus jamais quitter ce lieux, ces bras, ce contact. Je me sens en sécurité maintenant. Je sais que je ne dois plus avoir peur maintenant. Il est là maintenant. Cameron est là. Il rompt le baiser alors que nous étions entrain de manquer d’air. Je ne veux pas. Mais c’est contre notre gré. Si seulement nous pouvions ne jamais manquer d’air. Si seulement nous pouvions continuer à jamais, ne jamais s’arrêter, je crois que mes lèvres ne quitteraient plus jamais les siennes. Il me sourit, me regarde. Je ne me perds plus dans ses yeux. Je suis heureuse. Je n’arrive pas à y croire. Je lui souris. Mes doigts tracent les trait de son visage. je veux connaître chacun de ses traits par coeur. Je veux me perdre dans corps. C'est la première fois que je ressens quelque chose pour quelqu'un, quelque chose d'aussi fort. Je me sens à la fois bizarre mais également bien. Je suis bien. Enfin. Mes yeux sont rivés sur les siens. Je n'arrive pas à défaire mon regard du sien. Je suis prise dans son enclave. Tu me tiens à toi, Cameron. Il est encore entrain de parler pour rien. Ca me fait rire. Je crois qu'il n'a pas compris que je lui faisais confiance, que je savais qu'il n'allait pas me laisser tomber. Je souris, posant un doigt sur ses lèvres pour le faire taire. Je le regardais dans les yeux. « On t'as déjà dis que tu parlais trop. dis-je en riant. » Mes lèvres reprennent contact avec les siennes juste un petit instant, juste le temps pour moi de me rassurer, que ce n'est pas un rêve, que je suis bien et bel entrain de vivre quelque chose de vrai. « Ta présence seule me suffit pour être heureuse. Reste avec moi. Soyons ensemble. Affrontons toute nos peurs ensembles. » Je passe mes bras derrière son cou puis l'embrasse une dernière fois avant de fondre dans ses bras. Nous restions là pour le reste de la nuit, à parler de tout et de rien, à rire, à être bien. J'étais bien, heureuse, en sécurité.
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Will we ever have a happy ending Or will we forever only be pretending ? || Styx.

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