Je m'appelle Arthur Oliver Stamson. Je suis originaire de Liverpool, ou je suis née le 18 Février 1989. Ma mère, Anna, est anglaise, une femme magnifique, que j'ai toujours aimée et aime toujours. Lorsque nous étions encore en Angleterre, ma mère était coiffeuse a domicile mais je crois qu'elle faisait surtout ça pour s'occuper, même si elle ne me l'a jamais dit clairement puis quand nous somme arrivés aux USA, alors que j'avais 10 ans, elle s'est contentée d'être femme au foyer. Quand a mon père, Oliver, lui il y beaucoup plus de chose a dire. Quand j'étais petit, quand nous habitions toujours a Liverpool, il était souvent absent durant quelques jours puis ensuite, il restait a la maison. Moi cela ne me dérangé pas, j'étais heureux d'avoir mes deux parents rien que pour moi. Quand on me posais la question sur le travail de mon père, j'étais incapable de répondre et même quand je demandais a mon père, ou a ma mère, ils me répondaient que j'étais trop petit pour comprendre et que je devais attendre. J'ai grandit comme ça, sans réel problème, entouré de mes parents. Puis un jour, mon père est rentré et puis tout a changer, et deux après ça, nous voilà débarquant a New York. Ce changement m'avait affecté, mais moi que la relation entre mes parents. Bien sur tout allait bien entre eux mais je crois que ma mère en voulait légèrement a mon père de nous avoir fait quitter l'Angleterre, son pays, là ou sa famille vivait. On s'est installer dans un beau quartier de New York et la vie a continuer son court, mon père toujours aussi absent puis totalement présent les semaines d'après. J'allais dans les meilleur école et je faisais surtout du sport avec mon père, homme très athlétique et en grande forme physique pour son âge. Plus je grandissais et plus j'adorais ces moments avec lui. Une jours, alors que je rentrais de l'école, une belle voiture noir était garé devant la maison mais je savais que ce n'était ni celle de ma mère, ni celle de mon père. Je passais le petit portail et rentrait a la maison. Je déposais mon sac dans l'entrée et cherchais ma mère. Des voix dans le salon se firent entendre et a pas de loup je me dirigeais vers le salon, ou se trouver ma mère, en pleure assise sur le canapé, en face de deux homme en costume. Je m'approchais doucement d'eux, allant vers ma mère. «  Maman ? Qu'est ce que tu as ? » J'avais 16 ans et ce jour là, mon père est mort, en mission. L'un des deux deux en costume c'est approché de moi, ma regardais dans les yeux, regard que j'ai soutenue et ma dit : «  Petit, puisse-tu être le digne héritier de ton père. » Ce fut tout, ils repartirent et ne resta que moi, jouant les homme fort pour ma mère qui pleurée sans cesse. Je n'avais pas compris ce que cet homme voulait dire, après tout, je ne pouvais pas savoir que mon père était un agent de la CIA, l'un des meilleur. Et je suppose qu'en regardant ma vie aujourd'hui qu'il avait raison, puisque je le croise dans les locaux et qu'a chaque, j'ai l'impression que tout le monde me prend pour mon père, ou alors me regarde avec dédains, me trouvant trop jeune. J'effectue mes missions, avec succès, j'aime ça, j'aime ce travail. Ma mission la plus marquante ? Celle des Philippines. Jamais je n'oublierais celle mission. La plus dur de ma petite carrière, mais aussi par ce que j'avais rencontré la fille la plus extraordinaire qui existe. Mais malheureusement, j'avais du quitter l'île précipitamment et je n'avais pas eu le temps de m'expliquer, ni de lui dire au revoir, après deux mois parfaits. San Francisco, ma prochaine destination. Mission : Retrouver Ciara.