This is life It's a test It's a game Did you pass? Play again In the hope That you see Where you've been It's the fame It's the drugs It's the social circle that you're not part of It's the fear It's everybody else, it can't be me You're the reason I can't control myself You are the reason I can't control myself You're the reason I can't control myself You are the reason I can't control myself I can't control myself I am done With this war I will spit right in the face of all you whores In the hope That you see. Where you've been. It's the fame. It's the drugs. It's the social circle that you're not part of it's the fear. It's everybody else, it can't be me. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. It's the world. On its knees. It's the heaven that everyone seems to need. It's the light. It's the focus that you cannot seem to find. The fame, the fear, the social circle that you can't get near. The drugs. It's everybody else, it can't be you. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself
« ça tombe bien mon amour, parce qu’après l’accouchement tu vas devoir attendre un moment… » Je plissai franchement le nez sur le coup, tant je préférais ne vraiment pas penser à cela. Ne me restais plus qu’à prier pour qu’elle se remette vite de son accouchement. Nous ne pourrions très certainement pas faire l’amour pendant plusieurs semaines par la suite … Mais pourvu que ça ne dure pas de trop non plus. J’avais beau pouvoir vivre sans sexe, je n’étais pas certain d’être capable de résister au désir qu’elle suscitait chez moi, bien longtemps. C‘était loin d’être du cul pour du cul … Mais coucher avec celle que j’aimais. Autant dire que c’était bien plus difficile de vivre sans cela, plutôt que de vivre sans rapport quand on était célibataire. A mes yeux du moins. Et c’était là ce que je pensais, depuis que nous étions en couple ensemble. Depuis que j’étais éperdument amoureux d’elle et que j‘avais constamment envie d’elle et de son corps. Amour terrible, puissant et incontrôlable. Notre amour, notre relation, tout simplement. Dire que je l’aimais, était un foutu euphémisme à la vérité … C’était tellement plus que cela dans le fond. Du moins, je le pensais sincèrement. « Hm … Combien de temps à ton avis ? » Ne pus-je pas m’empêcher de lui demander, sans pouvoir cacher que ça m’inquiétait tout de même un tant soit peu. Et je ne doutais pas qu’elle s’y attendait tout de même un minimum. Au vu de la fréquence à laquelle nous faisions l’amour tous les jours … Il était certain que la frustration serait là, lorsque nous ne pourrions plus le faire. Entre les derniers temps de l’accouchement mais aussi, et surtout, après ledit accouchement. « Et oui j’ai une bouche… Elle me sert bien pour manger t’as vu ça ? » Je fus d’abord franchement choqué par ses paroles et demeurai silencieux un bon moment, sans trop comprendre. Faisait-elle semblant de ne pas voir ce que j’entendais par là ou était-elle vraiment sérieuse ? Elle devait plaisanter tout de même. Du moins … Je voulais vraiment le croire. Je fronçai les sourcils et pinçai les lèvres sur le coup, sans trop savoir comment j’étais censé réagir ni ce que j’étais censé dire à cela. « Ouais … Et tu manges avec énormément d’appétit. » Marmonnais-je l’air de rien en détournant le regard, comme si de rien n’était, avant qu’elle n’entre dans la pièce pour s’occuper de ma main. Main que je m’étais blessé en brisant un miroir de mon poing et foutant un meuble totalement en l’air, à cause d’une rage violente et incontrôlable.
Alors qu’elle mentionnait son fantasme sur mes mains, je lui fis remarquer que je ne comprendrais vraiment jamais cela. C’était tout de même vraiment très étrange et très bizarre … Mes mains … N’étaient que des mains. Quel attrait pouvait-on ressentir à l’intention de mains, juste de mains ? « Je ne saurais pas l’expliquer chéri, mais ça me tue… Tu n’as pas idée comme ça peut m’exciter ! Quand tu travailles et que je regarde tes mains j’en suis toute… Hmpf ! J’y peux rien, ça me fait un effet fou… » Je soupirai longuement d’aise sur le coup en souriant franchement et la regardant de façon amoureuse et envoûtée. J’aimais terriblement l’idée de lui faire autant d’effet. C’était franchement plaisant, je ne pouvais décemment pas le nier, au risque de mentir sinon. Je me passai faiblement la langue entre les lèvres en réfléchissant un moment. J’étais bien conscient qu’elle aimait mes mains plus que de raisons, au vu de ses réactions constantes. Et c’était franchement plaisant de savoir qu’elle aimait tout chez moi, même des choses aussi simples que … Des mains ! « Et quand je joue du piano aussi … La dernière fois je t’ai vu les fixer comme … Si tu allais me sauter dessus. » Lâchais-je le plus sérieusement et calmement du monde, avant de rire franchement sur le coup, sans pouvoir m’en empêcher. Elle était folle et je l’étais tout autant. En résumé, nous étions fait l’un pour l’autre. Le résultat était simple et clair n’est-ce pas ? Le calcul vite fait … Par la suite, sans me laisser le temps d’ajouter quoi que ce soit, elle m’embrassa franchement. Baiser auquel je répondis sans me faire prier, en gémissant longuement de plaisir contre ses lèvres sur le coup. Jusqu’à ce qu’elle ne prenne l’une de mes mains, pour la poser sur son ventre bien rebondis à présent. Je sentis alors les mouvements de notre enfant et me penchai pour y déposer ma joue. Nous parlâmes alors prénom et je compris bien vite, que nous étions bien d’accord sur le fait que ce serait un petit gars et non pas une fille. Un petit Théo … Ou une Evahà. Prénom laid, oui, je devais le reconnaître. Strictement rien à voir avec la beauté du prénom de celle que j’aimais. « Non, c’est moche ! Hummm, on verra, s’il faut tu me feras que des petits mâles… » Je ris franchement sur le coup et me redressai pour lever les yeux au ciel, avant de la regarder à nouveau. « Ca te poserait problème ? » Lui demandais-je pour la taquiner en souriant en coin, de façon coquine.
De baiser en baiser, nous finîmes par nous emballer pour de bon. Je la soulevai de terre pour filer dans la chambre et la déposai sur le lit avec lenteur. Tout en l’embrassant avec lenteur, je mentionnai alors le fait que j’avais vraiment une chance pas possible, de l’avoir trouvé elle et qu’elle soit pour moi et rien que pour moi. « Tu ne le savais pas ? Je suis parfaite, sache-le ! » Je ris franchement sur le coup, en déposant de forts baisers bien sonores et bien claquants, sur ses lèvres. « Oh si je le sais mon amour. » Soufflais-je d’une voix tendre, tout contre ses lèvres, sans la quitter du regard. Je ris doucement à son évocation de notre fils et lui demandai s’il n’était pas temps, que nous l’oublions un peu, histoire de pouvoir passer à des choses bien plus adultes. Sans attendre de réponse de sa part, je me redressai pour me déshabiller sans attendre sous son regard, lui lançant un regard coquin lorsqu’elle lâcha un bref cri. J’aimais savoir que je ne laissais pas du tout indifférente, comme depuis le début. Totalement excité et envieux d’accélérer les choses, après une trop longue journée d’attente, je nous fis rouler sur le lit, de sorte à ce qu’elle se retrouve assise sur moi. Position qui nous permettrait bien plus de possibilité quant aux ébats à venir. Son ventre n’était pas encore énorme mais ne facilitait pas franchement la chose. Je m’assis plus ou moins pour l’embrasser tendrement, tandis que me main s’immisçait entre nos corps, pour se poser sur son intimité, que j’entrepris de caresser avec lenteur et insistance, sans pouvoir la quitter du regard. Depuis le début, j’aimais la regarder lorsque je lui procurais du plaisir. Je me passai faiblement la langue entre les lèvres, lorsque je la sentis empoigner mes cheveux sur le coup et soupirai d’aise avant de lâcher un bref grognement de plaisir et d’envie, en sentant ses mains se glisser entre mes pectoraux, zone affreusement sensible chez moi. C’était idiot … Mais c’était ainsi tout simplement. Elle-même avait ses petites zones plus sensibles que d’autres. Et nous en jouions constamment pour nous faire perdre violemment la tête l’un et l’autre. « Laisse-toi faire ! » Je grognai longuement en la sentant glisser le long de mon corps et passer sa langue entre mes pectoraux, ce qui me fit franchement trembler, de la tête aux pieds. Je fermai les yeux avec force lorsqu’elle prit enfin mon membre en bouche et me contractai avec force. En réponse au plaisir, j’empoignai les couvertures de toutes mes forces à m’en blanchir les jointures des doigts. Totalement figé sur place, je redressai la tête pour la voir faire en laissant échapper un long cri de plaisir, sans pouvoir m’en empêcher. Je grognai longuement et serrai fortement les dents sous l’afflux de plaisir important et rapide et sentis la sueur recouvrir mon corps rapidement, mon cœur battre la chamade et mon souffle se faire court et précipité. Enfin, elle se releva et s’assit sur moi pour unir nos corps. Je laissai échapper un puissant grognement de plaisir en lui lançant un regard totalement excité et sauvage et l’empoignai par les hanches sur le coup, pour la soulever légèrement et démarrer de francs coups de reins, incapable de m’en empêcher et de supporter sa lenteur nouvelle, désireuse de me faire languir le plus longtemps possible. Je tentai de garder un tant soit peu le contrôle, pour ne pas secouer trop fortement son corps, la sueur coulant sur mon visage sous le plaisir et l’effort.
« Hm … Combien de temps à ton avis ? » Plissant le nez, je posais lentement ma tête sur le mur. Combien de temps avant que nous ne couchions ensemble après l’accouchement… tout dépendait de l’accouchement en lui-même en fait. Si ça se passait bien ou pas… Si j’avais besoin de points de sutures ou pas, puis fallait aussi attendre l’après couche. Avoir mes règles. C’était compliqué, j’espérais que tout cela allait arriver tôt quand même, histoire de pouvoir faire l’amour rapidement avec lui. Je doutais fortement de pouvoir tenir des mois… « Je ne sais pas, peut être quinze jours ? Trois semaines ? Faut prier pour que l’accouchement se déroule bien et tout… » soufflai-je doucement en déglutissant lentement. J’avais tellement peur que rien ne se passe comme prévu… Parlant de ma bouche, que j’avais cela au cas où, je le taquinais en parlant de nourriture et non pas de sexe. « Ouais … Et tu manges avec énormément d’appétit. » Soupirant lentement, je compris, qu’il n’avait pas compris que je le taquinais, que j’aurais voulu qu’il enchaine pour dériver sur la conversation de base. Parfois je me demandais s’il savait quand je déconnais ou pas… C’était un poil vexant mais bon il y avait pire, pas vrai ? Encore plus que ça ne pouvait pas être pire que notre dispute de tout à l’heure donc bon… Passant brièvement ma langue sur mes lèvres, je fermais les yeux. « Chéri ? Je te taquinais… Mais oui, je l’a mange toujours avec appétit… Tu sais que j’ai toujours faim pour la manger… Je ne me mettrais jamais au régime pour ça ! Oh que non… » soufflai-je doucement en baissant faiblement la tête. J’aimais terriblement dévorer son membre, c’était quelque chose que bizarrement j’aimais et que je faisais souvent, surtout le matin, c’était une sorte de petite gâterie. Il y avait droit souvent même… Trop peut-être… Oui je l’avais surement mal habitué mais tant pis. Puis ce n’était pas comme s’il ne me rendait pas la pareille, alors qu’il me léchait bien souvent… Très souvent même.
Entrant dans la salle de bains quelques instants plus tard, j’en vins alors à le soigner. Je détestais quand il se faisait mal aux mains, malheureusement pour moi, à chaque fois qu’il était énervé, il ressentait le besoin de se faire mal, je n’étais pas dupe, même si là, il avait carrément foutu la salle de bains, sans dessus dessous… Parlant de ses mains, il ne comprenait pas comment je pouvais fantasmer sur ses mains. Moi non plus, ça ne se contrôlait pas… « Et quand je joue du piano aussi … La dernière fois je t’ai vu les fixer comme … Si tu allais me sauter dessus. » rougissant faiblement me trouvant bête d’avoir été surprise sur le fait accompli, je me mis à rire doucement mordillant alors mes lèvres en soupirant de bien-être. Il était vrai que quand il jouait de piano, je mourrais, boguant totalement sur ses mains, toujours, et que je bavais sans me priver une seule seconde. D’autant plus que j’avais pris sur moi pour ne pas le violer sur place. Non j’avais tenu une heure l’air de rien avant de lui sauter dessus et lui faire la totale… Oh que oui, et si encore je pouvais le prendre sur le piano, ça serait un comble. Un fantasme… « Outch ! Je suis démasquée… Mais c’est vrai j’ai cru que j’allais te sauter dessus… Faire l’amour après que tu ais joué du piano… Hmpf ! Et faire l’amour contre, ou sur ce foutu piano, serait un fantasme… S’en est un en fait ! » soufflai-je lentement en mordillant mes lèvres avec envie. Peu de temps après, je l’embrassais avant que le petit ou la petite ne me donne un coup, posant la main de Peter sur mon ventre, je fus contente de sa réaction, sa joue se retrouvant sur mon ventre. Parlant prénom, j’en vins à dire que s’il faut, il ne me ferait que des petits mâles et qu’on n’aurait pas de filles. « Ça te poserait problème ? » Réfléchissant quelques instants, je soupirais lentement en haussant les épaules. Je m’en moquais un peu. Filles, garçons, mais c’était certains que j’avais des préférences, j’avais grandi entouré d’homme, de mes frères, alors m’occuper d’une fille, je n’étais pas sûre de pouvoir y arriver vraiment…
« Non, du tout, j’aurais même du mal, je crois à éduquer une petite fille… Puis des petits Peter, moi j’en veux plein ! » soufflai-je lentement en frottant mon nez du sien. Rapidement on s’embrassa, puis il fut temps. Oh que oui ! D’aller dans la chambre, sur le lit et de faire l’amour… Me relevant la nuisette tout en caressant mon ventre, m’annonçant qu’il avait toujours aimé cette nuisette sur moi, je lui fis comprendre que je l’avais remarqué et que je l’avais acheté exprès pour lui quand nous l’avions vu en faisant les boutiques… « Oh si je le sais mon amour. » Souriant en coin, en lui lançant un regard clairement amoureux, je l’embrassais lentement en soupirant de bien-être et de plaisir. Nous allions enfin, avoir notre moment à nous ! Notre moment de jouissance. De plaisir, notre moment intime. Nous faisant basculer, je me retrouvais rapidement sur lui. Nous embrassant, sa main sur mon intimité, je gémissais longuement avant de le pousser pour glisser le long de son corps et venir m’amuser de ma bouche sur son membre. Avec envie, délicatesse et passion. Le regardant prendre beaucoup de plaisir, j’aimais terriblement le voir à deux doigts de craquer. M’amusant un long moment, je vins alors m’assoir sur lui pour unir nos corps. Dans un rapport lent et doux, je cambrais à peine le dos contractant mon intimité sur le coup, tant le plaisir montait faiblement en moi. Sentant alors ses mains sur mes hanches, mon corps se soulevant, je poussais un bref cri avant de le sentir me donner des puissants coups de reins. Me figeant, je fermais les yeux en poussant de long cri sans pouvoir me retenir, le laissant alors faire. Mes mains sur son ventre, je le griffais avec rapidité et envie, sentant le plaisir monter plus rapidement. Déglutissant, je penchais ma tête en arrière avant de me sentir jouir sans pouvoir rien contrôler. Poussant un long râle de plaisir, tremblant comme jamais, j’hoquetais en murmurant son prénom à plusieurs reprises. Tremblant de plus en plus en bougeant comme je le pouvais, je me mis à bouger de façon circulaire, lui lançant un regard totalement perdu et ailleurs, la sueur perlant sur mon front, mes cheveux collant ma nuque. Soupirant faiblement, j’enlevais ma nuisette, la jetant à travers la pièce, me penchant un peu plus en arrière, posant une main sur mon ventre. Non pas qu’il me fasse mal, mais je faisais tout de même attention au cas où. Tremblant de plus en plus, je ne voulais pas m’arrêter, et il était hors de question que j’arrête. « Je te préviens… Je n’arrête pas tant que je ne suis pas épuisée… » Soufflai-je l’air de rien.
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« Je ne sais pas, peut être quinze jours ? Trois semaines ? Faut prier pour que l’accouchement se déroule bien et tout… » Je plissai faiblement le nez à l’idée de ne pas pouvoir lui faire l’amour pendant autant de temps. Certes, pour un couple plus ou moins normal, un tel délai n’avait franchement rien de choquant ou quoi que ce soit de ce genre. Mais pour nous, c’était clairement l’horreur. Il fallait bien reconnaître que nous étions habitués à coucher ensemble tous les jours et bien plus d’une fois par jour. Nous avions ce besoin physique et moral, d’être constamment ensemble, liés, tout simplement. Sans doute parce que nous n’étions, au final, que deux moitiés qui ne pouvaient rester bien longtemps, séparées l’une de l’autre. Oui, c’était exactement cela, et nous nous y étions parfaitement faits. Mais quoi qu’il en soit, je l’aimais tellement, que je ne doutais pas que quelques jours ou semaines sans pouvoir lui faire l’amour, serait faisable. Certes, avec beaucoup de difficulté, mais faisable tout de même. Tant que je l’avais elle, ça me suffisait amplement. L’avoir dans mes bras était une chose qui me faisait déjà un bien fou. « Ca ira forcément mon amour. Et peu importe le temps que ça durera, on sera patients. » Soufflais-je d’une voix douce, avant de mentionner le fait qu’elle avait une bouche. Ce à quoi elle répondit qu’elle lui servait à manger. Ce qui me fit sourire tant il était évident qu’elle plaisantait. Et j’ajoutai bien vite, qu’elle avait grand appétit d’ailleurs. Chose qui m’avait toujours plu chez elle. Elle était loin de toutes ces femmes qui surveillaient la moindre calorie ingurgitée. Et autant dire que ça me plaisait foutrement ! « Chéri ? Je te taquinais… Mais oui, je l’a mange toujours avec appétit… Tu sais que j’ai toujours faim pour la manger… Je ne me mettrais jamais au régime pour ça ! Oh que non… » Je ris doucement en levant les yeux au ciel. J’avais parfois l’impression, que nous ne nous comprenions pas. Ce qui n’était pas non plus, vraiment horrible, en soit. Au contraire même, c’était tout à fait supportable. « Mon cœur ? Je te taquinais aussi. Du moins, je parlais aussi de cet appétit là. Et j’espère bien que tu ne feras jamais de régime. Autant en ce qui me concerne, qu’en ce qui concerne la bouffe. » Soufflais-je d’une voix attendrie en souriant quelque peu en coin sur le coup, en pensant au fait que de ce côté-là, j’étais loin d’être à plaindre. Tout au contraire même, c’était foutrement bon et plaisant. Elle n’était pas égoïste concernant le nombre de sucette auxquelles j’avais droit, de façon régulière.
Je la laissai ensuite entrer dans la salle de bains, pour s’occuper de mes mains, avec une grande application. Je soupirai faiblement sous la douleur mais tentai de garder ça pour moi, préférant discuter de ses fantasmes pour le moins étrange. Je n’ignorais pas à quel point elle pouvait fantasmer sur mes mains. Chose que je ne comprenais pas tout à fait d’ailleurs. Je ne voyais pas comment elle pouvait en être arrivée là. Certes, les mains étaient tout de même importantes et j’aimais beaucoup les siennes, pour ma part. Mais de là à en faire un fantasme aussi prenant, c’était assez étrange. Non que je ne m’en plaigne, toutefois. L’air de rien, je mentionnai le fait qu’elle luttait toujours pour ne pas me sauter dessus, lorsque je jouais du piano. De toute évidence, voir mes doigts courir sur les touches, la faisait toujours tilter. Ce qui m’amusait grandement, au point où j’aimais en jouer. Je ris doucement en la voyant rire devant cette évocation, mais ne fis pas le moindre commentaire. « Outch ! Je suis démasquée… Mais c’est vrai j’ai cru que j’allais te sauter dessus… Faire l’amour après que tu ais joué du piano… Hmpf ! Et faire l’amour contre, ou sur ce foutu piano, serait un fantasme… C’en est un en fait ! » Je frissonnai longuement et baissai le regard sur ses lèvres, alors qu’elle était en train de les mordiller. De ma main libre, je vins les caresser du bout de mes doigts en souriant en coin. « Ne m’en veux pas … Mais moi je fantasme plus sur tes lèvres que sur tes mains. » Lui soufflais-je d’une voix coquine, en me passant faiblement la langue sur les lèvres, sans pouvoir détacher mon regard des siennes. Je soupirai ensuite faiblement, en reportant mon attention sur elle. « La prochaine fois, je te prends sur ce foutu piano. Quitte à faire sauter quelques touches. » Ajoutais-je d’une voix malicieuse, en souriant franchement, sans pouvoir m’en empêcher. Un bref instant plus tard, alors qu’elle m’apprenait que notre enfant lui donnait de légers coups et qu’elle m’eut fait poser la main sur son ventre, je vins y coller lentement ma joue, comme pour les câliner tous les deux et souris sans pouvoir m’en empêcher, tant ce moment était on ne peut plus parfait. Alors que nous parlions plus ou moins du sexe de notre enfant à venir, je lui demandai si ça la dérangerait, de n’avoir que des garçons. Pour ma part, c’était loin d’être un problème. « Non, du tout, j’aurais même du mal, je crois à éduquer une petite fille… Puis des petits Peter, moi j’en veux plein ! » Je ris doucement et lui lançai un regard taquin et amusé.
« Et si je te fais que des filles ? Tu vas me les refourguer constamment, c’est ça ? » Demandais-je en riant faiblement à cette idée. Je levai les yeux au ciel, avant qu’elle ne m’embrasse franchement, déclenchant une arrivée violente, de désir, en nous. Sans tarder, je la pris dans mes bras pour la soulever de terre et aller la poser sur le lit, entreprenant alors de la caresser avec douceur et lenteur. Mentionnant plus ou moins sa nuisette, j’appris qu’elle l’avait achetée, après avoir vu qu’elle me plaisait bien. Ce qui me fit dire qu’elle était une femme on ne peut plus parfaite. Et c’était terriblement plaisant, d’apprendre qu’elle était si attentive à mes envies et désirs, et qu’en plus de ça, cette femme divine, était à moi. A moi et à moi seul … Je perdis bien vite patience et nous fis basculer, pour qu’elle se retrouve sur moi. Je voulais atrocement, que nous accélérions les choses, et qu’elle me fasse l’amour, songeant qu’une journée sans, c’était bien trop long. Sans que je ne m’y attende vraiment, elle glissa alors le long de mon corps, pour venir s’emparer de mon membre entre ses lèvres, et s’en amuser avec grand soin, me procurant alors un plaisir sans nom. A deux doigts de craquer, elle fini par se redresser pour s’asseoir sur moi et unir franchement nos corps. Ce qui me tua plus qu’autre chose au final. Je gémis longuement lorsque je la sentis faire de longs et lents mouvements, bougeant très lentement sur moi, comme pour me tuer plus qu’autre chose. Je perdis patience pour de bon et l’empoignai par les hanches, pour la soulever au dessus de moi. Enfin, je donnai de brefs et francs coups de reins, sans pouvoir m’en empêcher plus longtemps. Je grognai faiblement en la sentant me griffer franchement et crier sous le plaisir certain qu’elle prenait. Je me passai lentement la langue entre les lèvres, sans la quitter du regard. Je serrai franchement les dents en la voyant jouir, devant lutter avec force, pour ne pas partir à mon tour, songeant qu’elle était bien trop tôt pour cela et que j’avais attendu trop longtemps, pour accepter que ça ne s’arrête aussi aisément. Je gémis fortement lorsqu’elle entreprit de bouger à nouveau et penchai la tête en arrière sur le coup, totalement sonné par le trop plein de plaisir. Je redressai la tête lorsqu’elle retira sa nuisette et souris en coin en parcourant longuement son corps du regard. Je gémis faiblement en posant mes mains sur ses seins qui avait prit un volume certain, de par sa grossesse. Impossible de nier que j’aimais vraiment cela. J’entrepris de les lui malaxer avec lenteur et insistante, frottant bien la paume de mes mains, sur leur sommet. Je me mordis faiblement la lèvre, en la voyant se pencher en arrière et glissai mes mains le long de son corps, pour serrer franchement ses cuisses, de mes mains. « Je te préviens… Je n’arrête pas tant que je ne suis pas épuisée… » Je ris doucement et levai les yeux au ciel, avant de la faire basculer avec lenteur, pour l’allonger sur le lit. Je lui écartai franchement les jambes et me placer à genoux entre celles-ci. « Et si je suis terriblement épuisé, avant toi, on fait comment ? » Demandais-je d’une voix coquine, en faisant de lents mouvements circulaires, avant de donner un puissant coup de reins. J’alternais ainsi entre les deux et lâchai un franc grognement de plaisir, à chaque violent coup de reins que je donnais, l’empoignant fermement par les hanches, pour maintenir son corps en place.
« Ça ira forcément mon amour. Et peu importe le temps que ça durera, on sera patients. » Souriant doucement en fermant les yeux, j’étais heureuse d’être avec lui, terriblement, car malgré tout le sexe que l’on peut faire ensemble, il n’y a pas que cela, il y a bien plus, un amour profond, un amour intense et sincère qui nous unis. C’était ce que j’aimais dans notre couple, notre amour, notre façon d’être, nous étions nous tout simplement et on emmerdait les autres avec aisance ! « T’es un amour chéri, t’as pas idée… » soufflai-je doucement en mordillant mes lèvres avant de parler de sucette puisqu’il me fit remarquer que de toute façon j’avais ma bouche. Je le taquinais en parlant de nourriture normale, puis le taquinais à nouveau en disant que c’était juste de l’amusement et que j’aimais manger son membre. « Mon cœur ? Je te taquinais aussi. Du moins, je parlais aussi de cet appétit-là. Et j’espère bien que tu ne feras jamais de régime. Autant en ce qui me concerne, qu’en ce qui concerne la bouffe. » Souriant faiblement, je me mordis lentement la langue en soupirant. Pourquoi sur certaines choses l’on ne se comprenait pas ? Bizarre tout de même, mais bon ce n’était pas si important, pour le moment, tant que ça ne partait pas en couille comme quelques minutes plus tôt avec le sujet de l’hôpital… « Oh mais ne t’inquiète pas ! Je ne risque pas d’en faire une overdose ou de vouloir faire un régime… Je suis ultra gourmande, tu sais que quand je ne l’ai pas je peux me mettre à faire une crise… Puis pour la bouffe je suis trop bonne bouffeuse comme toi pour le vouloir… la preuve, je suis énorme, une grosse baleine depuis que je suis enceinte… » soufflai-je doucement en souriant en coin. J’avais pris pas mal de poids certes, mais je savais que je le perdrais une fois accouché. Allant dans la salle de bains, je m’occupais de ses mains lui faisant alors les points de sutures tout en contemplant ses mains lui avouant mon fantasme pour celles-ci. « Ne m’en veux pas … Mais moi je fantasme plus sur tes lèvres que sur tes mains. » Riant doucement en baissant mon regard sur ses lèvres, je vis sa langue passer dessus, créant alors un frisson dans tout mon corps. Dieu que j’aimais le voir faire ça… C’était terriblement plaisant. Horriblement même ! L’envie de le violer monté en moi.
« La prochaine fois, je te prends sur ce foutu piano. Quitte à faire sauter quelques touches. » Ecarquillant les yeux tout en gémissant, je lui lançais un regard surpris et totalement remplit de désir. Piano, oh doux piano… Il allait y passer… Mes fesses sur les touches, j’imaginais déjà la scène, la sauvagerie de ses mouvements, le bruit de la musique et j’en passe… Il était clair que nous n’étions pas discret et que le major d’homme devait en avoir marre de nous entendre peut-être. Je voulais déjà y être… « Oh mais tu sais, je ne fantasme pas que sur tes mains, mais sur ton corps entier. Mais si tes mains pouvaient… Hmpf… caresser une certaine partie de ton anatomie, là on peut être sur… Que je vais mourir… » Soufflai-je l’air de rien sans le quitter une seule seconde du regard. Essayant de bien lui faire comprendre ce que j’attendais de sa part, bien évidemment. « Hum… Le piano… Mes fesses sur les touches… Graouuu ! T’as pas peur que ton major d’homme nous surprenne ? Je suis sûre qu’il nous a déjà vus en train de baiser… » soufflai-je lentement en fronçant les sourcils. Je m’en foutais royalement en fait, il m’avait déjà vu à moitié nue. Bon ça, Peter ne le savait pas. Mieux ne valait pas lui dire, j’avais toujours la flemme de m’habiller pour filer en cuisine la nuit ou autre… Le bébé me donnant un coup, je posais sa main sur le ventre avant qu’il ne m’enlace pour poser sa joue dessus, une vision fantasmagorique, il n’y avait pas à dire. La première fois qu’il s’occupait de mon ventre, qu’il le touchait. Parlant d’enfant, j’annonçais que je ne voulais que des garçons, et pas de filles, non, j’étais bien plus à l’aise avec les garçons que les filles, s’était bien connu… enfin, je crois. « Et si je te fais que des filles ? Tu vas me les refourguer constamment, c’est ça ? » Fronçant les sourcils, le regardant sans trop comprendre, je nous imaginais.. Qu’avec des filles. Oh non l’horreur, je ne voulais pas de ça ! Je voulais des garçons, justes des petits garçons, pas des tonnes de filles… Puis pour peu qu’elles aient le caractère de Peter on ne serait pas dans la merde, surtout pour des filles… Plissant le nez, en posant mes mains sur ses joues, je lui lançais un regard amoureux et triste à la fois.
« Non, non, tu vas me faire plein de garçons… Je t’interdis de me faire une troupe de femelle ! Une… Juste une, mais pas deux, pitié, je serais une mauvaise mère et… et… les filles c’est chiant ! Puis tu imagines ? En plus de ta femme, tu aurais plein de fille à protéger et tout, tu vas finir par devenir flic à force… autant avoir des garçons, pas vrai mon amour ? » soufflai-je doucement en plongeant bien mon regard dans le sien. Hors de question d’avoir une ribambelle de fille ! Rapidement on se mit à s’embrasser, un baiser qui dériva rapidement en baiser sauvage. Peter ne tarda pas d’ailleurs à nous amener sur le lit, me déposant avec lenteur, pour relever ma nuisette et me caresser. L’un comme l’autre nous avions envie. Sans perdre une minute de plus il nous fit basculer, me retrouvant sur lui, je ne pus m’empêcher de venir m’amuser de ma bouche sur son membre. Délicatement, longuement, j’aimais lui faire ce genre de chose. Le voyant perdre la tête, je vins alors m’assoir sur lui pour lui faire l’amour de façon très lente. Ses mains se posant sur mes hanches me faisant alors bouger franchement, je le griffais, le laissant faire, avant de me laisser envahir par l’orgasme. Totalement sonné et ravagé par ce plaisir, je le sentis nous faire basculer à nouveau sur le lit, me retrouvant alors sur le dos, mes jambes bien écartés lui à genou devant moi, je crus perdre la tête. « Et si je suis terriblement épuisé, avant toi, on fait comment ? » Frissonnant longuement en cambrant le dos, je posais une main sur le mur, l’autre sur mon ventre en soupirant de plus en plus. Le regardant bouger, je dû me redresser pour le voir glisser en moi. Mon ventre ne me permettant plus de le voir faire. Passant ma langue sur mes lèvres sous cette vue, un sourire se logea alors sur mon visage tandis que je me rallongeais sur le lit. « Je te violerai à nouveau ! Ou ma bouche viendra s’occuper de ma susu ! » soufflai-je doucement en contractant mon intimité sous l’afflux intense de plaisir. Ses mouvements lents, et parfois francs me faisaient perdre la tête. Tremblant longuement sous ses mouvements, je penchais la tête en arrière en me mettant à bouger de façon circulaire tout en soupirant, haletant en sentant la sueur couler sur mon front. Attrapant les draps les tirant avec force je me cambrais encore plus sous le coup en déglutissant relevant alors une jambe pour la poser sur son épaule, lui lançant un regard clairement amoureux. « Si je n’étais pas déjà enceinte de toi, je te demanderai là de suite, de me faire un bébé… » soufflai-je doucement en ne le quittant pas du regard lui faisant un baiser de loin, mon regard de plus en plus amoureux.
This is life It's a test It's a game Did you pass? Play again In the hope That you see Where you've been It's the fame It's the drugs It's the social circle that you're not part of It's the fear It's everybody else, it can't be me You're the reason I can't control myself You are the reason I can't control myself You're the reason I can't control myself You are the reason I can't control myself I can't control myself I am done With this war I will spit right in the face of all you whores In the hope That you see. Where you've been. It's the fame. It's the drugs. It's the social circle that you're not part of it's the fear. It's everybody else, it can't be me. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. It's the world. On its knees. It's the heaven that everyone seems to need. It's the light. It's the focus that you cannot seem to find. The fame, the fear, the social circle that you can't get near. The drugs. It's everybody else, it can't be you. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself. You're the reason I can't control myself. You are the reason I can't control myself
« T’es un amour chéri, t’as pas idée… » Je souris en coin et fermai les yeux, comme pour me délecter de ses paroles. J’aimais terriblement lorsqu’elle parlait ainsi de moi, affirmant qu’elle m’aimait ou que j’étais un véritable amour. Je ne l’étais vraiment qu’avec elle, c’était une pure évidence. En temps normal, selon les personnes en face de qui je me trouvais, soit je jouais au benêt, soit à l’homme vil et cruel. Dans tous les cas, le vrai Peter était celui qui appartenait à cette jolie jeune femme qui partageait maintenant ma vie. C’était aussi simple que cela. « Je suis simplement un homme amoureux … » Soufflais-je doucement, en souriant en coin. Nous parlâmes ensuite plus ou moins de sa gourmandise concernant son très grand appétit. Nous parlions en sous entendu, des sucettes auxquelles j’avais droit très souvent. Mais un bref malentendu nous empêcha, pendant quelques minutes, de vraiment bien nous comprendre. Ce qui pouvait arriver de temps à autre, sans que ça ne soit vraiment grave non plus. « Oh mais ne t’inquiète pas ! Je ne risque pas d’en faire une overdose ou de vouloir faire un régime… Je suis ultra gourmande, tu sais que quand je ne l’ai pas je peux me mettre à faire une crise… Puis pour la bouffe je suis trop bonne bouffeuse comme toi pour le vouloir… la preuve, je suis énorme, une grosse baleine depuis que je suis enceinte… » Je ris faiblement et levai les yeux au ciel sur le coup. Elle abusait un chouïa tout de même. Elle était loin d’être énorme et les quelques rondeurs qu’elle avait prise, en dehors de son ventre lui-même, étaient totalement justifiées et loin d’être moches. Tout au contraire même. J’osais espérer qu’elle en garderait un peu de ces rondeurs que je trouvais plus craquantes qu’autre chose. « C’est à se demander lequel de nous deux est le plus accro à ces sucettes … » Lâchais-je l’air de rien, en riant doucement à cette pensée tout à fait étrange et réellement drôle. Il était vrai qu’elle m’en faisait bien plus que je n’en demandais de moi-même. Preuve qu’elle aimait sans doute autant que moi je pouvais aimer. Et c’était loin d’être pour me déplaire. Tout au contraire même. Bien des femmes n’aimaient pas faire cela. Et moi, j’avais la chance inouïe d’avoir une femme qui, tout au contraire, aimait vraiment. J’avais beaucoup de chance, en effet. « Et tu es loin d’être une baleine mon amour. Tu es … Rayonnante … Et à croquer. » Ajoutais-je d’une voix douce et caressante.
Par la suite, alors qu’elle était en train de soigner mes mains en recousant les plaies que je venais de me faire moi-même, elle mentionna son fantasme, très particulier. Elle fantasmait sur mes mains, alors que pour ma part, c’était bel et bien sur ses lèvres, que je fantasmais terriblement. Il fut ensuite question de son envie que je la prenne sur mon piano, après que j’ai joué une musique. Je souris lorsqu’elle écarquilla les yeux devant mes paroles, en une moue tout bonnement craquante. « Oh mais tu sais, je ne fantasme pas que sur tes mains, mais sur ton corps entier. Mais si tes mains pouvaient… Hmpf… caresser une certaine partie de ton anatomie, là on peut être sur… Que je vais mourir… » Totalement surpris par une telle idée de sa part, j’écarquillai les yeux à mon tour, la détaillant du regard, comme si je la voyais pour la première fois. Elle était complètement givrée pour le coup. Parlait-elle sérieusement ? C’était … Un peu dingue et étrange. Me … Toucher, pendant qu’elle me regardait faire ? « T’as des idées tordues mon amour … » Lui fis-je remarquer, d’une voix tendrement moqueuse. J’étais tout de même sacrément surpris, je ne pouvais pas le nier. Combien de femmes pouvaient avoir un tel fantasme ? Aucune à part la mienne, bien entendu. C’était bien dans son genre dans le fond. « Hum… Le piano… Mes fesses sur les touches… Graouuu ! T’as pas peur que ton major d’homme nous surprenne ? Je suis sûre qu’il nous a déjà vus en train de baiser… » Je ris faiblement, avant de plisser le nez à l’idée que mon majordome ait pu voir son corps. Corps qui m’appartenait. Il avait beau être maintenant âgé, ça n’empêchait pas que je ne supporterais pas qu’il voit le corps de celle dont j’étais fou amoureux. J’étais vraiment loin d’être partageur. « Hm les notes de musique en accord avec notre ébat sauvage … Tu crois ? Il me l’aurait dit, non ? » Lui demandais-je en plissant faiblement le nez à cette idée qui était tout de même loin d’être pour me plaire. Tout au contraire même. Et je ne doutais pas qu’elle en était bien consciente, d’ailleurs, puisqu’elle me connaissait mieux que personne. Un instant plus tard, je la pris dans mes bras et posai ma joue sur son ventre, pour parler alors de notre enfant à venir et sans même des suivants, tant qu’à faire. Ainsi, j’appris qu’elle préférerait tout de même avoir des garçons. Taquin, je lui demandais si elle me les refourguerait si nous venions à avoir des filles. Je souris en coin devant son regard plus triste qu’autre chose et plissai le nez. Elle allait me tuer, si je venais à lui faire des filles …
« Non, non, tu vas me faire plein de garçons… Je t’interdis de me faire une troupe de femelles ! Une… Juste une, mais pas deux, pitié, je serais une mauvaise mère et… et… les filles c’est chiant ! Puis tu imagines ? En plus de ta femme, tu aurais plein de fille à protéger et tout, tu vas finir par devenir flic à force… autant avoir des garçons, pas vrai mon amour ? » Je plissai le nez en réalisant que je n’avais vraiment pas penser à une chose pareille avant qu’elle ne m’en parle. En effet, au vu de mon comportement avec elle, je ne doutais pas que je risquais d’être pareil avec nos filles, si nous venions à en avoir. Je soupirai doucement et hochai la tête avec lenteur. « On va essayer d’avoir que des petits gars alors. Si on fait une fille ... On arrête les bébés ! » Lâchais-je l’air de rien en souriant en coin. J’ignorais combien d’enfants nous allions avoir. Peut-être même que nous nous arrêterions à un, dans le fond. Nous ignorions totalement de quoi serait fait notre avenir. Par la suite, alors que nous nous emballions tous les deux, je la portai jusqu’au lit où je la posai sans attendre. Elle ne tarda pas à reprendre le dessus, pour glisser le long de mon corps et s’amuser de ma bouche sur mon membre. Juste avant que je ne perde pied pour de bon, elle s’assied sur moi pour me faire l’amour de façon de plus en plus rapide et sauvage. En la voyant totalement ravagée par le plaisir, je la fis s’allonger sur le lit pour me placer à genoux devant elle et entrepris de lui faire l’amour à mon tour, de façon rapide et sauvage. L’épuisement ne se faisait pas encore ressentir mais je ne doutais pas qu’une fois dévasté par le plaisir, j’aurais un mal fou à continuer. Pour ne pas dire que je n’y arriverai plus du tout, même. « Je te violerai à nouveau ! Ou ma bouche viendra s’occuper de ma susu ! » Je gémis faiblement en souriant en coin et la regardant amoureusement. Elle avait le don de me faire perdre la tête, simplement de part ses mots. Sans rien répondre, je continuais de varier mes mouvements, tantôt doux et lents et tantôt rapides et sauvages, sans jamais la quitter du regard. « Si je n’étais pas déjà enceinte de toi, je te demanderai là de suite, de me faire un bébé… » Je ris doucement et me penchai pour déposer un bref baiser sur ses lèvres, avant de me redresser pour reprendre mes mouvements. « Redemande moi ça dans … Quelques années ! » Lui soufflais-je d’une voix taquine, avant d’accélérer franchement mes coups de reins, pendant un long moment, finissant par jouir en lâchant un bref grognement de plaisir. Je ralentis peu à peu mes mouvements en soufflant longuement, mon visage brillant de sueur. Après un moment totalement immobile, je finis par me lasser tomber sur le lit et me collai tout contre elle. « Il faut que je fasse mon testament avant de mourir de plaisir pour de bon. » Marmonnais-je l’air de rien, en enroulant un bras autour d’elle pour l’attirer contre moi.
« Je suis simplement un homme amoureux … » Souriant en coin, sans rien répondre, je fermais les yeux en suivant le fil de la conversation. Parler de gourmandise, de petite sucette, et du mal entendu que nous avions eu, je lui annonçais alors qu’il était hors de question que je me mette au régime, encore moins dans les sucettes, même si je ressemblais à une énorme baleine… « C’est à se demander lequel de nous deux est le plus accro à ces sucettes … » Gémissant en rougissant faiblement je raclais lentement ma gorge. Il n’avait pas tort. Dans un sens j’avais l’impression que c’était surtout moi. Mais de le voir ressentir autant de plaisir… J’avais l’impression de jouir avec lui à chaque fois que je lui faisais une sucette… « Et tu es loin d’être une baleine mon amour. Tu es … Rayonnante … Et à croquer. » Souriant en coin, je posais lentement mes mains sur mon ventre. Peter était le roi ! Le roi pour me remonter le moral, comme pour me détruire en cinq secondes. Il était le bien et le mal. Autant il pouvait me tirer vers le haut, autant il le pouvait vers le bas quand nous nous disputions comme tout à l’heure. « Mon amour, t’as pas idée comme je t’aime… Comment douter ? Avec un homme qui nous fait comprendre qu’on est la plus belle ? »[/color] soufflai-je doucement en fermant les yeux un sourire au bout des lèvres. « J’aime te sucer… Ce n’est pas ma faute… Ok ? Mais… mais te voir prendre autant de plaisir et tout…Hmpf ! » soufflai-je l’air de rien. Une fois dans la salle de bains et ses mains soignées, on vint à parler de fantasme. Oui je fantasmais sur ses mains et je l’assumais pleinement. Mais surtout ce que je voulais… c’était le voir se caresser… Mais au vu de sa tête actuelle je compris sans bien de mal qu’il serait contre… « T’as des idées tordues mon amour … » Gémissant en faisant une moue boudeuse je soupirais faiblement en reniflant.
« Non… Moi je dis c’est une bonne idée… Tu pourrais l’assouvir, pour ta femme enceinte … » Oui je jouais la carte de la femme enceinte et de tous ces désirs incongru… Mais snif, je voulais bien y avoir droit. Je savais que je ne m’en remettrais jamais. Parlant du piano et d’y faire l’amour dessus, on en vint aussi à parler de son majordome qui nous avait s’il, faut surpris à faire l’amour… « Hm les notes de musique en accord avec notre ébat sauvage … Tu crois ? Il me l’aurait dit, non ? » Fronçant les sourcils, je le regardais sans trop comprendre. C’était tout de même assez glauque non ? De savoir que le majordome viendrait le voir pour lui dire qu’il nous avait vus baiser. Non, mais il était malade… le pauvre il devait déjà avoir eu honte de nous avoir vu, ou se sentir mal à l’aise, pour en plus venir le voir et lui balancer « Monsieur Vanswooger, je vous ai vu hier faire l’amour à votre Tendre. » J’avais envie de rire, mais de rire. Mordillant mes lèvres je repensais à la fois où il m’avait vu nue. Là je n’avais plus envie de rire. Il n’était pas suicidaire pour aller dire à Peter qu’il m’avait vu nue me goinfre en cuisine… « Chéri ? T’es totalement barjo ! Tu le vois venir et te dire dans le blanc des yeux ‘Monsieur je vous ai vus faire l’amour avec Evohà, je m’en excuse…’ ? Il doit être foutrement mal à l’aise si c’est arrivé, pour tendre les oreilles comme un forcené avant d’entrer dans une pièce oui ! » soufflai-je en riant doucement tout en caressant lentement sa joue. Pauvre Majordome d’homme… Parlant de notre enfant, celui que j’avais dans mon gros bidou, on en vint à parler de fille et de garçon, et je lui fis remarquer que si je faisais que des filles, il allait devenir flic ! Pourquoi ? Car entre moi et ses filles il était clair qu’il allait avoir du boulot pour nous surveiller et nous protéger. Je savais Peter jaloux vis-à-vis de moi, alors de nos filles. Outch !
« On va essayer d’avoir que des petits gars alors. Si on fait une fille ... On arrête les bébés ! » Gémissant lentement, il était hors de question de n’avoir qu’une fille ! Pourvu que ça ne soit pas une fille ! pourvu, pourvu ! Je voulais plusieurs bébés ! Je n’avais jamais imaginé ma vie avec des enfants, encore moins de tomber enceinte à seulement dix-sept ans… Mais c’était le cas, aujourd’hui j’en avais dix-huit et j’étais prête à faire ma vie avec Peter et à lui donner des enfants merveilleux ! À fonder notre petite famille tout simplement. Même ce, malgré notre différence d’âge qui s’élevait tout de même à treize ans. Je m’en foutais royalement. Totalement ! Je lui appartenais et ce pour toujours ! « Plein de petit gars ! Et si là, on fait une fille… Tant pis… On fera encore des bébés… Tu sais que j’ai envie d’une famille avec toi… et puis qu’un enfant, on va trop le pourrir et le gâté, ça craint… » soufflai-je doucement en caressant sa joue, tirant sur les poils de sa barbe. Dieu que j’aimais sa barbe… J’aimais lui mordre les joues surtout… Ce que je vins faire l’air de rien. L’embrassant par la suite, on fila rapidement sur le lit, me déposant, en se retrouvant bien rapidement nu. Jouant de ma bouche sur son membre, je vins alors rapidement lui faire l’amour me laissant jouir, avant qu’il ne prenne les rênes. Me faisant l’amour de façon tendre et à la fois sauvage, je cambrais bien mon dos comme je le pouvais en lui susurrant alors que si là, je n’étais pas enceinte, je lui demanderais bien de me faire un bébé. Le laissant se pencher pour m’embrasser, je lâchais un doux gémissement de bien-être. « Redemande moi ça dans … Quelques années ! » Riant doucement en contractant mon intimité sur le coup, je lâchais de bref cris de plaisir en le sentant accélérer la cadence. Jouissant en moi, je ne tardais pas à le suivre, me laissant emporter par le plaisir, totalement anéantit et ailleurs. Incapable de bouger le corps tremblant encore sous l’effet, je le laissais s’installer à mes côtés me blottissant alors bien contre lui. « Il faut que je fasse mon testament avant de mourir de plaisir pour de bon. » Gémissant longuement, je me tournais lentement vers lui en souriant en coin. C’était tellement bon d’être avec lui, d’être avec l’homme que l’on aime tout simplement… J’aimais atrocement ce moment comme ceux d’hier et ceux à venir dans le fond. Parce que j’étais amoureuse, terriblement de lui. « Et tu vas-y marquer quoi dans ton testament mon amour de ma vie ? Je ne veux pas que tu meurs, je te ferais du bouche à bouche jusqu’à ce que ton petit cœur mielleux d’amour pour moi rebatte… Je ferais quoi sans toi hum ? On… Avec notre bébé… Le petit Théo ? Oui, je suis sûre que c’est un petit Vanswooger un mâle ! Un vrai un dur ! Un mini Peter… » Soufflai-je doucement en lui volant un doux baiser, ma main s’immisçant dans ses cheveux. Le regardant longuement, je me pinçais les lèvres avant de sourire en coin. « Bébé ? Si tu meurs, je meurs… » soufflai-je doucement en frottant son nez du mien.
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« Mon amour, t’as pas idée comme je t’aime… Comment douter ? Avec un homme qui nous fait comprendre qu’on est la plus belle ? » Je souris en coin et fermai les yeux, l’imaginant dans les moindres détails. Son ventre bien rond, ses joues légèrement rebondies depuis quelques temps et le reste de son corps, toujours aussi fantasmagorique. Je soupirai de bien être en constatant encore une fois, à quel point elle pouvait avoir confiance en moi, même lorsqu’il était question de sa beauté et du fait que je la trouvais sincèrement la plus belle. J’avais cru comprendre que les femmes enceintes, se trouvaient toujours immondes et bien trop rondes. Pour ma part, tout ce que je voyais lorsque je la contemplais, c’était la femme que j’aimais plus que de raison. Rondeurs ou pas rondeurs, elle était la femme la plus désirable qu’il m’ait été donné de voir. Et il suffisait de voir la sincérité avec laquelle je lui disais tout cela, pour comprendre que je le pensais vraiment et que rien ne pourrait me faire changer d’avis. « Hm tu es la plus belle, aucun doute chérie. Tu es la femme la plus belle et la plus désirable qu’il m’ait été donné de voir. Rondeurs ou pas, grossesse ou non … Ca ne changera rien à mes sentiments et à mon désir. Tout au contraire … Tu as l’air tellement heureuse et comblée … Que ça renforce tout ça. » Lui soufflais-je d’une voix douce, en gardant les yeux fermés et un immense sourire au coin des lèvres. Il était tout bonnement impossible, de ne pas remarquer sa beauté et sa perfection si frappante. Je l’avais de suite remarquée pour ma part. Et depuis ce jour là, j’étais bien incapable de m’en détacher et de passer outre, d’une quelconque façon que ce soit. « J’aime te sucer… Ce n’est pas ma faute… Ok ? Mais… mais te voir prendre autant de plaisir et tout…Hmpf ! » Je ris franchement sans pouvoir m’en empêcher et levai les yeux au ciel. Aimant moi-même m’amuser de ma langue, sur son intimité, je ne pouvais que la comprendre. J’étais fou d’elle et j’aimais terriblement lui procurer du plaisir, par tous les moyens possibles. Et tout comme elle, je prenais aussi beaucoup de plaisir, à lui faire cela. Dans le fond, ce devait être ça l’amour. Et rien ni personne ne changerait quoi que ce soit à ça, bien entendu. « Oh mais ce n’est pas moi qui m’en plaindrais mon amour … » Lui soufflais-je d’une voix taquine, avant de la laisser me rejoindre dans la salle de bains, pour me faire des points sur la main que je venais de blesser. Parlant justement de celles-ci et des fantasmes qu’elle en avait, je fus totalement choqué par sa demande. Moi, me caresser, sous ses yeux ? C’était pour le moins étrange et atypique comme demande. Et je le lui fis bien remarquer d’ailleurs. « Non… Moi je dis c’est une bonne idée… Tu pourrais l’assouvir, pour ta femme enceinte … »
Je ris à nouveau et lui lançai un regard totalement coquin. Elle savait si bien se jouer de moi, qu’elle en profitait parfois un peu trop. Mais dans le fond et de façon tout à fait surprenante, je la laissais faire et aimais le fait qu’elle soit justement la seule à avoir un tel pouvoir sur moi. L’amour avait tendance à me rendre totalement gaga. Et bizarrement, ça ne me déplaisais pas. « C’est une idée totalement loufoque. Et je ne te promets pas de la réaliser. » Lui soufflais-je l’air de rien en envisageant déjà, de réaliser son fantasme. J’ignorais quand toutefois. Il me fallait le temps de me préparer à cette idée terriblement saugrenue. Combien de femmes pouvaient-elles avoir de telles envies ? Une seule bien sûr … Et elle était mienne. Parlant toujours de sexe, de façon tout à fait naturelle, nous parlâmes du fait que je la prendrais une prochaine fois, sur mon piano. Il fut alors question de mon majordome, qui pouvait bien nous avoir déjà vus en pleine action. Au vu de notre libido importante, qui nous poussait à assouvir nos envies, de ci et de là dans la villa, ça n’aurait rien de bien étonnant. « Chéri ? T’es totalement barjo ! Tu le vois venir et te dire dans le blanc des yeux ‘Monsieur je vous ai vus faire l’amour avec Evohà, je m’en excuse…’ ? Il doit être foutrement mal à l’aise si c’est arrivé, pour tendre les oreilles comme un forcené avant d’entrer dans une pièce oui ! » Je ris faiblement et levai les yeux au ciel. En effet, ce n’était pas tout à fait faux non plus. Je ne doutais pas que s’il nous avait déjà surpris en train de faire l’amour, à l’heure actuelle il devait plutôt vouloir nous fuir et nous éviter, par crainte que cela ne se reproduise. A moins qu’il ne soit adepte du voyeurisme ? Dans le fond, on ne pouvait le savoir. « Ou alors il a foutu des caméras de partout et on lui fournit des films porno faits maison … » Lâchais-je l’air de rien, sans y croire une seule petite seconde. Si j’y avais cru, je serais déjà en train de régler mes comptes avec lui. La seule idée qu’il ait pu voir son corps plus qu’il n’était autorisé, me faisait franchement horreur. Par la suite, nous parlâmes de l’enfant à venir et des suivants. De toute évidence, elle ne voulait vraiment pas avoir une fille et encore moins plusieurs. Chose qui m’amusa et me fis faiblement rire. « Plein de petit gars ! Et si là, on fait une fille… Tant pis… On fera encore des bébés… Tu sais que j’ai envie d’une famille avec toi… et puis qu’un enfant, on va trop le pourrir et le gâté, ça craint… »
Je fermai les yeux et soupirai longuement d’aise. Tout comme elle, je ne demandais rien d’autre que de pouvoir fonder une petite famille avec elle. C’était même là la chose que je désirais le plus au monde. Aussi étrange que cela puisse paraître au vu de mon passé difficile et du genre d’homme que j’étais et avais toujours été. « Oh oui, une famille au grand complet mon amour. Ne nous manquera plus qu’un chien … Et peut-être un chat aussi. Des poissons rouges ? » Demandais-je l’air de rien, en faisant mine d’être réellement séreux, avant de rire doucement en levant les yeux au ciel. C’était un chouia exagéré tout de même. Un bon moment plus tard, nous nous retrouvions sur notre lit, où, de baiser en baiser, nous nous emballâmes pour de bon. Je ne tardai pas à l’attirer sur moi avec l’intention, pure et dure, de faire l’amour, alors qu’elle venait de me tuer plus que de raison, simplement de sa bouche. Elle était douée et savait parfaitement ce que j’aimais. Raison pour laquelle elle en jouait encore et toujours, pour mon plus grand plaisir. Elle entreprit ensuite de me chevaucher de façon rapide et débridée, jouissant à grands renforts de cri de plaisir. Je repris ensuite le dessus en l’allongeant sur le lit, pour lui faire l’amour à mon tour, toujours aussi rapidement et franchement. Incapable de me retenir plus longtemps, je finis par jouir en elle et souris en coin en la sentant me rejoindre, dans une jouissance tout bonnement parfaite. Après un moment, le temps de revenir un tant soit peu à moi, je me laissai tomber tout contre elle en me blottissant bien tout contre elle, pour garder ce contact entre nous. L’air de rien, je mentionnai l’éventualité de faire un testament, avant de mourir sous un trop plein de plaisir. Car au vu de la destruction que mettait le plaisir en route en moi, je ne doutais pas que j’allais mourir à force. « Et tu vas-y marquer quoi dans ton testament mon amour de ma vie ? Je ne veux pas que tu meurs, je te ferais du bouche à bouche jusqu’à ce que ton petit cœur mielleux d’amour pour moi rebatte… Je ferais quoi sans toi hum ? On… Avec notre bébé… Le petit Théo ? Oui, je suis sûre que c’est un petit Vanswooger un mâle ! Un vrai un dur ! Un mini Peter… » Je souris en coin et tournai le regard vers elle, la contemplant de façon totalement amoureuse et subjuguée. Je soupirai d’aise et me tournai bien vers elle, pour me coller plus encore à son corps en enfouissant mon visage dans son cou. Je posai une main sur l’un de ses seins l’air de rien, songeant qu’il était absolument parfait pour ma main. « Je marquerai que toutes mes possessions reviennent à Evohà Akerfeldt. Ma villa, mes voitures, mes chevaux, mon terrain, l’entrepôt, mes meubles, mes œuvres d’art … Même les pornos que je planque dans la chambre d’amis. » Répondis-je le plus sérieusement du monde, en me demandant si elle aurait dans l’idée d’aller vérifier cette connerie où si elle était consciente du fait que c’était une bêtise parmi tant d’autres, de ma part. « Hm ce serait con que Théo Vanswooder ne connaisse pas son père. » Ajoutais-je d’une voix amusée, en souriant en coin. Je soupirai d’aise lorsqu’elle déposa un faible baiser sur mes lèvres, avant de glisser une main dans mes cheveux et frotter mon nez du sien. « Bébé ? Si tu meurs, je meurs… » Lentement, je me redressai pour prendre appuie de mon coude sur le lit et poser ma tempe sur mon poing fermé. Je caressai son visage du bout des doigts en la contemplant sans me lasser. « Comme c’est romantique … Mais ça n’arrivera pas. » Lui soufflais-je d’une voix douce et caressante, avant de me pencher pour donner un coup de langue sur ses seins, l’air de rien, avant de me rallonger tout contre elle pour la prendre dans mes bras, dans le but de dormir. « Dodo ? » Demandais-je d’une voix douce.