je m'appelle Dwayne Andrew Bradshaw j'ai 24 ans, je suis hétérosexuel, céblibataire et né(e) à au choix en au choix le au choix.
et voici mon histoire : L'histoire de Dwayne est relativement libre. Seulement quelques points importants de sa vie sont à respecter; il a grandit dans une famille unie et dans un milieu assez aisée, le parfait contraire de Constance. Il a passé au moins deux ans à Providence, où se trouve l'Université de Brown, où il aurait fait la rencontre de Constance. C'est une personne qui au fil du temps, s'est crée une carapace (à vous de voir pourquoi) et qui déteste montrer ses sentiments aux personnes qui l'entourent. Les gens, enfin, les filles en particulier, le qualifient assez souvent "d’inaccessible" et mystérieux. Quand on le connait, c'est une personne gentille, extrêmement intelligente, très ouverte d'esprit et vraiment altruiste. C'est à la fois un bon orateur et une bonne épaule sur laquelle se poser.
mot du créateur: Bonjour ou bonsoir à toi futur rpgiste. Tout d'abord, merci d'avoir lu mon scénario, car celui ci me tien, vraiment, vraiment, vraiment à coeur. Comme tout le monde ici, je recherche une personne active avec un niveau de rp plutôt bon, cela dit, inutile d'écrire des pavés hein. Si vous n'êtes pas en mesure d'assurer, je vous demanderez de ne pas le prendre. Pour ce qui est de l'avatar, il est négociable, MAIS ALORS TOTALEMENT. Cela dit, il faudrait tout de même que l'avatar que vous ayez choisi, si Zac ne vous dit rien pas bien sur, ma plaise . Uhm ! Par contre pour tout ce qui est prénoms et nom, faites ! C'est à peu près tout. Ah j'oubliais ! J'aimerai un compte facebook si possible pour le personnage. Encore merci d'avoir pris le temps de lire ce scénario et à bientôt sur POH !
Constance A. Bowmann ❀ ft. Rihanna
La plupart des jours sont anodins. Ils passent et n’ont aucun impact sur nous ou sur notre vie. Le 12 novembre 2009 était un jeudi. Je me rappelle encore le jour où elle est entrée dans l’amphithéâtre du cours de sciences politiques à Brown. Visiblement, c’était une première année et elle semblait complètement paumée. Une centaine de paires d’yeux s’étaient retournées sur elle, y compris celle du professeur, vu le vacarme qu’elle avait fait en rentrant. Elle avait alors demandé si c’était à cet endroit que se déroulait que ce déroulait le cours d’économie. Tout le monde avait ris, moi y compris. Quand on été habitué à ce grand campus, ça nous semblait naturel de connaître chaque endroit ou ce déroulait tel ou tel cours et le fait qu’une petite nouvelle demande si le cours d’économie se déroule à l’opposé du bâtiment où il se déroulait habituellement avait pu me paraitre risible. Tout en s’excusant, elle avait refermé la porte et quand à moi, je m’étais reconcentré sur mon cours plus qu’ennuyeux. Plus tard dans la même journée, je l’avais recroisé dans la cour Impériale de l’Université, le nez collé sur un plan du campus. Encore une fois, elle avait l’air complètement paumée. J’avais finalement été à sa rencontre avant de lui proposer mes services en tant que guide improvisé. Elle avait accepté. Pendant une semaine, je lui avait fait découvrir chaque recoin du campus de Brown. C’était plutôt agréable de trainer avec une fille dont le but n’était pas de vous avoir dans son lit. Elle était simple, marrante, quelque peu cynique mais facile à vivre. Pour dire vrai, son côté anticonformiste n’était pas déplaisant. Loin de là. On a finit par sortir ensemble et je lui ai proposé de quitter sa chambre d’étudiante pour emménager dans l’appartement que je louais sur le campus à cette époque. On avait tout. Du bonheur, de l’amour, de la tune. On manquait de rien. On a vécu comme ça pendant un an. On séchait les cours pour se lancer dans des virées en voiture complètement folle. Elle passionnée de photographie, passait son temps à me prendre en photo, ce qui parfois avait tendance à m’énerver, mais je ne pouvais rien contre Constance. Elle était comment vous dire… parfaite. Et puis un jour, elle est partie, faisant de moi un homme brisé. Elle a disparue. N’a laissé aucune traces à l’appartement ni même à l’Université. Elle n’était plus dans aucuns fichiers. C’était comme si elle n’avait jamais existé. Comme si elle n’avait jamais mis les pieds à Brown. Mais ce qu’elle a sous-estimé, c’est ma détermination. J’allais la chercher à travers le pays si il le fallait. Il était hors de question que je la laisse filer. Sans elle, j’étais foutu.