« Que dire, que dire ? Je suis une bosseuse. Par le passé, quand je voulais quelque chose, je l’obtenais sans problème ; aujourd’hui, je me donne les moyens pour arriver à mes fins. Cependant, je ne ressemble en rien au parfait cliché de la fille qui ne sort pas de ses bouquins. Je sors, je bois (sans me mettre minable, hein... pas besoin d'être défoncé pour forcément s'amuser) et je sors très très souvent. Je suis également très impatiente et parfois trop sincère ; ça peut en énerver certains. Néanmoins, je sais reconnaître mes tords et m'excuser lorsque la situation s'impose. Il arrive d'ailleurs que je m'excuse un peu trop... Je suis un peu délurée de temps en temps... Surtout quand je suis en mode "happy". J'exprime ce sentiment de toutes les façons qui soient et ça en fait rire plus d'un des fois. Par contre quand je pars dans mes délires, pas tout le monde me suit... »
ft. Amanda Seyfried
Histoire
« 14 years ago… »
San Francisco, 1997
Eric : De toute façon, c’est de ta faute ! Tu es LA responsable. Ca l’a toujours été, et ça ne changera pas. Alors tu vas t’arranger comme tu veux, mais tu as intérêt à arranger cette saleté de merde dans laquelle tu nous mets ! Tu m’entends ?
Elizabeth (sanglotant) : Ce n’est pas de ma faute si ta fille ne … ne comprend rien… Et puis arrête de t’acharner sur moi !
Eric (se rapprochant dangereusement) : Je m’acharne si je veux, compris ? Je me démène pour vous quatre, et voilà ce que je récolte ? Tu es en train de détruire cette famille, tu es la cause du malheur de tes enfants et tu es incapable de le réaliser !
Elizabeth (lui crachant à la figure) : Ah oui ? Pourtant les coups, c’est moi qui les subis !!
L’homme gifla sa femme avant de lui attraper la mâchoire et de la plaquer contre le mur.
Eric : Tu me pousses à bout, et pourtant tu sais que je ne me laisse pas faire ! Continue comme ça et tu le paieras cher.
« 2 days later… »
Dans la chambre parentale, les choses s’agitaient dangereusement. Les enfants, qui assistaient à la scène derrière la porte, virent un cadre voler à travers la pièce et bientôt ils protégèrent leurs visages des éclats de verre qui résultaient de la bagarre. Lee amena ses sœurs, Joy et Mary, à l’écart. Les triplés restèrent cachés dans un placard pendant de longues minutes, jusqu’à ce qu’une phrase les fit frissonner.
Eric : J’ai qu’une envie, c’est de t’attacher à ce lit, mettre le feu à cette putain de baraque, et te regarder brûler.
Elizabeth : Eric… tu ne penses pas ce que tu dis… Les… les enfants…
Eric : Ils seront mieux sans nous !
Alors que les triplés écoutaient attentivement, leurs visages apeurés, Joy quitta le placard et regagna la chambre des parents. Mary tenta de la suivre mais Lee l’en empêcha.
Lee : NON ! Toi, tu vas dans le jardin, petite sœur. Moi je vais la chercher. Mary : Tu me rejoins vite alors ? Avec Joy hein ? Lee : Promis.
Mary quitta la cachette à la suite de son frère et ils se murmurèrent « Je t’aime » aux oreilles. La fillette était maintenant assise dans l’herbe, face à la maison, attendant les deux enfants. Elle tremblait sous les cris et les pleurs qui sortaient par les fenêtres. Cela avait ameuté quelques voisins, qui regardaient la maison avec suspicion. Un grand fracas retenti et une flamme apparue à la fenêtre de la chambre parentale, ce qui poussa Mary à bondir vers le hall d’entrée. Elle entra dans la bâtisse et se dirigea vers les étages, notamment la chambre de ses parents, où se trouvait le reste de la famille. Les flammes léchaient la tapisserie sur les murs, détruisaient la moquette dans le couloir. Mary se fraya un chemin jusqu’à la porte de la chambre, mais il lui était impossible de l’ouvrir. La sueur sur son visage se mêla aux larmes quand une personne la saisit par les hanches. Elle demanda de l’aide, ne pouvant se résigner à laisser ses proches derrière la porte. Mais on continuait de la trainer à l’extérieur de la maison. Elle criait en vain que sa famille était encore à l’intérieur : ses parents, sa sœur, son frère… Son frère qui avait promis…
« 9 years ago… »
Esperance, 2002 Cela faisait maintenant 5 ans que Mary vivait à Esperance, au sud de l’Australie. Elle avait été recueillie par sa tante et élevée au même titre que ses cousins. Les premiers mois furent difficiles : Mary déprimait, se renfermait sur elle-même et éprouvait le besoin constant de parler de la mort et de ses différents aspects. Depuis l’accident, Mary n’était plus la même. Tout en elle avait changé. De son comportement à sa mentalité ; de son état de santé à son état physique ; de ses envies à ses moyens. Puis le temps passa et sa peine devint moins flagrante quoique présente au jour le jour. Elle avait l’habitude de trainer avec ses cousins et leurs amis. Ils l’ont initié au surf et aux aventures d’un soir. Mais elle ne regrette pas ces dix années passées à leur côté. Elle avait perdu une famille, mais elle en avait gagné une autre en retour : pas de cris ni de violence, mais au contraire de l’amour et de la sérénité.
« 3 years ago »
Esperance, 2008 Cela faisait quelques mois que Mary avait un projet en tête. Et lorsqu’elle en fit part à sa tante et ses cousins, tous l’encouragèrent. Elle souhaitait retourner à San Francisco, s’y installer grâce à ses économies et grâce à l’héritage de ses parents qu’elle toucherait dès sa majorité, mais également commencer des études dans le domaine qui la passionne vraiment. La musique est ce qui l’a sauvé alors qu’elle était encore jeune. Elle s’abandonnait au piano poussiéreux de sa tante, empruntait des fois la guitare de ses cousins. Et elle apprit par elle-même. Aussi bien les leçons de musique que les leçons de la vie. Souvent on disait d’elle qu’elle était mature pour son âge, et qu’elle irait loin. Elle espérait qu’ils avaient raison, et qu’elle pourrait faire mieux que ses parents. Et la musique l’aiderait à atteindre ce but. Ce qu’elle aimait, c’était écrire et composer, mais elle passait plus de temps à faire des reprises qu’à rédiger ses propres textes. A son arrivée à San Francisco, elle était plus que perdue, mais elle créa rapidement son cercle d’amis. Elle est avenante et n’a aucune timidité à aller à l’encontre des personnes pour créer un dialogue ; et puis certains se sont avancés d’eux-mêmes. Elle confia un lourd secret à son sujet à une personne qu’elle jugea digne de confiance, Eliàs. Puis elle entama une relation avec Donovan, son chocolate cub comme elle aimait le dire. Et elle se fit de nombreux amis qui tiennent tous une place spéciale, importante, unique pour elle. Pour rien au monde elle ne retournerait à Esperance, même si elle y a passé de belles années. Ses racines sont à San Francisco.
♫ California here we come, Right back where we started from • Phantom Planet
SURNOM: Faith pour Dono ÂGE: 20 ans DATE DE NAISSANCE: 12.11.1990 NATIONALITÉ: Américaine
● Trouves-tu toi aussi ce questionnaire inutile et sans intérêt ? :p Oui Non
INTRODUCING YOU
● Prénom ; Camille ● Âge ; 20 ans ● Fréquence de connexion ; 5/7J ● Niveau en rp ? En accord avec le partenaire, la motivation, et l'inspiration. ● Star de l'avatar : Amanda Seyfried ● Votre personnage est un : PI Scénario ● Où avez vous découvert le forum ? Thx to Tino & Stan & Céline & the rest of the team :22: ● Un commentaire ? :loveyou: ● Code du règlement ;
Wendy & Bambi - thx :22: J'espère rester ici plus que 2 semaines Je termine ma fiche dans les jours qui viennent... Parce que là j'ai quelques révisions auxquelles me consacrer
JUST GONNA STAND THERE AND WATCH ME BUUUURN *désolé, j'avais cette chanson en tête en lisant ta fiche... :p*
Félicitations, vous êtes VALIDÉ[E]
De la part de tout le staff: Bienvenue! Nous avons trouvé que votre fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées. Nous avons donc l'honneur de vous accueillir chez nous, qui est maintenant aussi chez vous!
Avant de commencer à Rp, il serait important que vous veniez recenser votre habitation et votre compte Facebook (si vous en avez un). Pensez aussi à créer impérativement la fiche d'évolution de votre personnage dans la section gestion du forum (:
Sur ce, bon jeu! En cas de problème, n'hésitez surtout pas à contacter un membre du staff.