Les mœurs légères sur lesquelles on se penche, sont les délivrances de l'âme, nos secret les plus enfuient. On cache le beau, par une façade neutre d'hypocrisie telle que le politiquement correct. Tout n'est qu'une question d'apparence, alors que chacun se tait dans une parfaite image d'harmonie avec la différence. Une harmonie feinte cependant avec difficulté, ainsi, souvent, une grimace échappe à la surveillance d'une visage. Journal, qui de nous peut être qualifié d'honnête ? Ce monde dont l'intelligence disparait sous de trop grande masse de médiatisation, pourrit petit à petit. On oublie nos racines, notre histoire. Où est donc, la poésie d'autres fois ? La polémique déversée par flot sur de quelconque ouvrage voulant faire croître la différence. Peut être qu'on m'appelle "raciste", mon cher journal, peut être. Mais je dois bien être le seul, qui respecte sa pensée profonde. J'aime le beau, le beau qui soit différent ou pas de mon idéal. Est-ce dû racisme ? Ou juste que cherche de l'idéal physique ? Le monde nous voit de ses yeux et non pas de sa parole. Est-ce mal de ne pas respecter la pensée populaire et de faire ça propre philosophie ? Je supporte sans mal le regard d'autrui, leur gout me désintéresse complètement. Seul peut-être leur désir et péché me donne une certaine satisfaction lorsque je les connais. Mais peut importe, cher journal, si je suis là, a gribouiller ces mots, c'est que ma vision du monde vient d'être changé. Mes souvenirs se sont égarés et mon âme s'effiloche avec le temps. De quoi suis-je censé me rappeler ? La lumière c'est éteinte, que s'est-il passé entre temps ? L'oublie m'étrangle, renvoyant de puissante décharge dans mes membres. L'adrénaline se repend dans mon corps alors que je suis pétrifié. Le silence m'entoure, quel sale type je devais être, personne ne vient me chercher. Ne m'oublier pas, pitié. Je suis comme tout le monde. Au fond.