- Tu es si Pathétique mon fils! Et moi qui te croyais intelligent! Comment as tu osé faire un acte aussi déplorable? Mais comment crois-tu que les gens vont nous regarder maintenant? Ton père est affligé! Voyez-vous alors que je regardais ma mère, ce tyran indescriptible hurler comme une harpie dans l'appartement, je repensais à l'acte sois disant impardonnable que j'avais commis. J'avais couché avec la meilleure amie de ma mère. Croyez-vous que j'étais le seul fautif dans l'histoire? Ma première relation sexuelle fut bafouée avec une femme âgée de quarante-six ans. Une sacré Cougar celle-là. Or, j'étais ailleurs, dans un autre monde. Honteux, je ne saurais vous le dire, plutôt déçu. J'avais cru Mont et Merveilles en couchant avec une femme mûre, or j'étais très surpris de constater que ma virginité s'était envolée de façon peu plaisante. De plus, je venais de découvrir avec surprise que les femmes ne m'intéressaient nullement. Ma mère outrée, ne savait guère comment le prendre. Quand à mon père il se demandait si j'allais reprendre une vie sexuelle normale. J'en doutais fortement. J'étais dégouté. Malgré le fait que la femme en question était aussi bien foutue que Pamela Anderson dans son petit maillot rouge, je peux vous assurez grandement qu'à l'heure actuelle je haïssais mon ignorance. J'avais perdu ma vertu dans les bras d'une femme et non d'un homme. Mon Dieu qu'elle connerie ! Bref, j'étais vidé. Et c'était le cas de le dire. Je me sentais salis. J'allais une clope nonchalamment. Ma mère hurla de plus belle, lorsqu'elle me vit polluer mes chers poumons. - Mais comment fais-tu pour rester aussi impassible! Et lâche moi cette satanée cigarette! Les voisins ont commencer leurs ragots. Il se moquent de nous! Mais tu te rends compte que cette femme aurais pu être ta mère? J'avais encore plus la nausée. L'idée majeure que se fusse ma mère ne m'avait guère traversé l'esprit. A vrai dire, c'était surtout ma stupidité qui avait parler en premier. J'avais renié en toute logique ce que j'étais au plus profond de moi. Maman arrête de crier st'au plaît. Tu crois que ce geste immature ne me fait guère réfléchir? J'ai fait l'amour avec une vieille et je suis carrément déçu. Wahou, j'ai trempé mon biscuit dans une viei... Je reçu une énorme baffe qui me fit perdre mon sourire niais. - Tu es horrible! Crois-tu que c'est le moment de rire! Tu as salis notre Nom! Nous n'avons plus qu'a déménager! Bien plus tard, j'appris que ma Cougar préférée c'était avérée c'était fait divinement plaisir avec mon paternel. Le père est le fils de quoi mettre ma mère en rogne. Nous avions une très mauvaise réputation dans l'immeuble ou nous habitions. D'ailleurs les voisins pensaient que mes parents prenaient plaisir auprès de ces services. Ma mère c'était faite avoir, et ceci elle ne le supportait guère. Cocue et affligée par l'immaturité de son fils, elle sombrait dans une forte dépression à tendance psychotique. Je n'avais pas jugé bon de lui avouer par la suite de cette bêtise total d'annoncer mon homosexualité au grand jour. La perdre en plein infarctus, non merci. Alors je gardais cela pour moi en toute dignité. C'était une simple erreur de jeunesse, bien que les remords me rongeaient. Je n'allais pas devenir une "Prostituée pour femme" loin de là. Je désirais réussir ma vie et aboutir à de grands projets. Mon père quand à lui fut littéralement délaissé. Ce qui était naturelle avec son étonnante infidélité. J'étais constamment éloigné de mes parents, si bien que je fus obligé de vivre avec mon paternel. Mon père malgré son côté orgueilleux, sa philosophie de la vie ne un mot " Profiter. " Oh ! Cela pour profiter il le faisait à merveille, si bien que lorsque je rentrais des cours je le voyais avec plusieurs femmes différentes. Il m'adressais quelques sourires victorieux, histoire de montrer à son fils quel genre d'homme fier comme un Toréador il était. Sauf, que son fils était gay. Voir une simple poitrine, et des hanches volumineuses me donnait la nausée. Certes, j'assumais ma double vie, sans toutefois révéler mes goûts. Jusqu'au jour où mon père me surpris avec un homme dans une position bien fâcheuse. Je pensais qu'il n'allait guère accepter cette situation, me jeter à coup de pompes dehors. Mais contrairement à tout attente, il n'eut aucune réactions de dégoût à mon égard. Il ne me posa qu'une seule question. - Fils, cela fait combien de temps ? Sans le moindre embarras, je lui répondis tranquillement. - Depuis plus d'un an papa. Ma conscience fut soulagée aussitôt. - Pas descendance alors ? Triste. Ta mère et moi on n'a fait des erreurs dans la vie, mais sache que toi tu es la seule chose dont je suis fier. Je ne savais que dire. Un sourire suffisait amplement dans ce genre de situation. Au fils du temps, je n'eus plus aucune nouvelle de ma tendre mère. A croire quelle avait renié sa vie antérieure. Je fus contrains d'accepter ce sort si amer. A l'heure d'aujourd'hui je vie malgré moi. Malgré les remarques acerbes des gens autour de moi. Après tout, je suis ce que je suis. Un être humain.