finnigan ★ ezekiel ★ ez' ★ 24 ans ★ masculin ★ américaine ★ irlandaise ★ né à los angeles ★ 16/01/1987 ★ 13/04/2006 ★ hétérosexuel ★ loin d'être pauvre, loin d'être riche ★ célibataire ★ journalisme ★ sucess ★ 1,78m ★ 64 kg ★ bruns ★ verts/gris, ça dépend de l'éclairage ★ une bonne dizaine de tatouages ★ je n'ai pas vraiment de style, d'u moment que je suis à l'aise dans mes fringues ★ aucune ★ aucune ★ b+

★ pseudo & prénom : réponse.
★ âge : 16 ans
★ sexe : f
★ nationalité : française
★ comment je suis arrivé sur POH : par hasard

★ commentaire : réponse.

★ je suis un : PI
★ avatar : adam levine
★ code du règlement :

Spoiler:

Ma fiche est complète à 50%

Ah, Los Angeles. La citée des anges, la ville lumière, celle où des milliers de touristes viennent goûter eux aussi au rêve américain. L.A aurait été parfaite pour débuter une carrière dans la musique, c’est une vrai machine à business, seulement l’hypocrisie et la superficialité y sont reines. C’est pourquoi j’ai boycotter ma ville natale pour Frisco, son Golden Gates, ses habitants chaleureux et son folklore.

Je suis né de parents tout deux irlandais ayant immigré aux Etats-Unis durant leur jeunesse. Avant d’atterrir à L.A, ils vivaient à Brookyln, NY. Assez rapidement, mon père prit sa nouvelle vie en main. Ayant suivi des études de droit, la recherche de travail ne fut pas très longue. Il fut engagé au palais de justice de New-York, tandis que ma mère elle, fut frise comme chirurgien cardio-thoracique à l’hôpital de Bellevue, toujours à New-York. Très vite, mon père se démarqua de ses autres collègues en étant l’un des meilleurs avocats du palais. Un bon paquet de victoires contre quelques défaites. Après cette ascension fulgurante, il pris la décision je partir pour Los Angeles.

C’est peu de temps après leur déménagement que je suis venu au monde dans une des nombreux centres hospitaliers de Los Angeles. Jusqu’à mes 18 ans, j’ai eu une enfance plutôt aisée, certes, mais aussi des plus banales. A l’âge de quatre ans, mon amour pour la musique s’est manifesté pour la première fois durant les fêtes de Noel. Mon grand-père m’avait offert une guitare, c’est vrai il aurait pu m’offrir un truc du genre des légos, ou encore un action men, mais non, j’avais réclamé une guitare. Je pense que le choix de la guitare est du aux nombreux clips de Kurt Cobain ( r.i.p my hero ) qui passaient en boucle à la télé mais aussi grâce aux vinyles de Jimi Hendrix que mon père collectionnait. Enfin passons. A l’âge de 12 ans, je montai mon premier groupe que j’avais nommé « The Redskins » en compagnie de mes deux petites sœurs âgés de seulement 10 ans à l’époque. Des jumelles. Noa, était à la batterie tandis que Joyce peinait tant bien que mal à tenir une lourde guitare basse. Au début, je considérais ça comme un simple passe temps, un loisir sans grande importance, mais au fur et à mesure d’y passer mes après-midi, voir mes soirées, je devenais beaucoup plus exigeant et pointilleux sur mes productions.

Arrivé au lycée, j’avais remplacé mes sœurs par trois bons amis d’enfance. Ils étaient beaucoup plus compétents. Avec le groupe, nous avions commencé à écrire des chansons sans pour autant les partager avec le grand public. Nous jouons exclusivement pour nous et pour notre plaisir jusqu’au jour où; surpris et satisfait de notre travail, nous décidons de nous inscrire comme groupe musical sur la liste de la fête du lycée. Le soir de cette fameuse fête, le stress mais aussi le trac était au rendez-vous, la foule compacte criait le nom de notre groupe derrière le grand rideau bleu. Quand ce dernier s’ouvra devant nos yeux, nous n’avions plus d’autre choix que de se jeter à corps perdus sur la scène. Une fois le premier couplet de notre chanson intitulée « Lighters » entamé, un sentiment de bien-être s’empara de moi et je pus profiter pleinement de l’instant présent. Sautant, dansant et chantant tout en ça en jouant de la guitare. Je m’étais donné à fond, tout ce que j’avais venais de sortir de mes entrailles et c’est là que je su. Je ne voulais pas aller à l’Université comme mes parents m’avaient conseillé. Je ne voulais pas finir dans un bureau ou dans un bloc opératoire. Harvard, Brown et Standford pourraient aller se faire voir. Ce que je voulais c’est la scène, la gloire, des foules, gratter une guitare. Sentir l’adrénaline couler dans mes veines telle de l’acide chlorhydrique.

A l’âge de 18 ans, mes années lycée derrière moi et mon bac en poche, je fis part à ma famille mon désir de me lancer en pleine aventure dans la jungle urbaine de San Francisco. Par chance, j’ai des parents compréhensifs et plutôt encourageants. Tout en me serrant dans ses bras, ma mère ne cessait de me murmurer qu’elle était fière de moi. A ma grande surprise, mes deux sœurs avaient décidé de me suivre jusqu’au bout du monde si il le fallait. Il est vrai qu’à nous trois nous formions un trio d’enfer, et ce, depuis notre plus tendre enfance. Nous somme très fusionnel, c’est limite étrange, mais rassurez vous, nous ne faisons pas dans l’inceste. Ma guitare comme seul bagage, je quittais, et sans aucun regrets, la citée des anges.

Les au revoirs avec mes parents avaient été riche en émotions, mais bon, San Francisco n’est qu’à seulement quelques centaines de kilomètres de Los Angeles, nous pouvons nous voir très souvent. Depuis mon arrivée à S.F, j’ai réussi à décrocher un job comme barman dans un club mais je continues cependant d’exercer ma passion première, la musique. Je vis pour elle.