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 Money to Blow
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Anonymous
Invité
Invité
Jeu 8 Sep - 3:59

    Domenico Maïke Torrès se retrouver au casino? Il me semblait qu'il y avait une petite erreur d'association ici. Du moins, ouais, j'étais paumé et j'allais dépenser au casino? J'avais perdu la tête? En fait, c'était plutôt par l'intermédiaire de Denver que j'avais décidé d'y aller. Enfin, c'était une histoire bien à elle: ses patrons, pour la récompenser de ses loyaux services et ses performances spectaculaires, lui avaient offert deux billets pour assister au concert jazz tenu par un grand nom du domaine se déroulant au Casino. Étrangement, elle pensa à moi en guise d'accompagnateur. Je ne savais pas vraiment si c'était parce qu'elle espérait secrètement que je gagne une grosse somme d'argent ou pour me narguer un peu. Peut-être cherchait-elle aussi un prétexte pour qu'on se voit puisque deux semaines s'étaient déjà écoulé depuis la déclaration de notre union libre. Oui, on s'était échangé quelques textos et on s'est parlé dix minutes une ou deux fois au téléphone, mais nous nous n'étions pas vus physiquement. De mon côté, j'avais eu des semaines chargées puisque la saison «hivernale» approchait ce qui impliquait un changement direct dans l'aménagement paysager des jardins. J'avais dû rencontrer les propriétaires, discuter de leurs goûts, des réaménagements, etc. Je n'avais eu que très peu de temps pour souffler. Pour ce qui était de Denver, j'étais persuadée que le boulot ne l'avait pas laissé sans reste. Après tout, on pouvait presque affirmer qu'être avocat, c'était un boulot à temps plein! J'espérais qu'elle ne ramenait pas ses dossiers à la maison pour prendre de l'avance. Il fallait quand même que ma Denvee prenne un peu de temps pour elle.

    Évidemment, l'invitation m'enchanta puisque cela impliquait que je devais me mettre sur mon 31, ce qui arrivait rarement. J'avais fouillé dans mon unique garde-robe à la recherche d'un vieux smoking qui traînerait. Autrefois, mes parents aimaient courir ce genre d’évènements et par conséquent, j'avais acheté un nombre considérable de tailleur. Lorsque j'étais rentré à l'université, j'avais complètement laissé ses habitudes puisque ce n'était pas particulièrement des évènements que je cherchais à aller. Je finis par trouver un smoking noir classique et une chemise blanche bien repassée pour l'occasion. J'attrapais au passage un noeud papillon. Je tenais à être à mon meilleur en tant qu'accompagnateur officiel. Je m'étais donc habillé, parfumé avec du Hugo Boss, me fis un léger «coq» avec mes cheveux et me brossai les dents. J'allais rejoindre Denver là-bas puisqu'elle avait un empêchement qui faisait en sorte que nous ne pouvions pas arriver ensemble. Au moins, j'avais mon billet. Une fois tout chaud et prêt, je jetai un dernier regard dans la glace et sortis de mon appartement. Je barrai la porte et descendis tranquillement les escaliers pour ne pas habiller ma superbe tenue. C'était quand même ironique d'avoir ces beaux vêtements alors que j'habitais dans un souc. Le monde était rempli de contradictions. Je rentrais dans mon tas de ferraille et je me dirigeai vers le casino. Je me sentais presque comme James Bond accoutré de la sorte.

    Enfin stationné, je descendis de la voiture. Je ne pris même pas la peine de regarder si on me remarquerait avec cette foutue voiture, car je me moquais pas mal des opinions hautaines qu'on pouvait entretenir à mon sujet. Je filais à l'intérieur, donnai mon ticket au gardien à l'entrée et attendais patiemment de rencontrer ma dulcinée.
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Denver Hopkins
Denver Hopkins
all i care about is friendship
AVATAR : Jana
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✱ COLOCATAIRES : Mickey et Snow
all i care about is friendship
Jeu 8 Sep - 18:32

    Quand on travaille bien, on a de bonnes récompenses. Cela ne faisait même pas un an que je travaillais dans cette société, mais mon patron m’avait déjà bien remarquée. Tous mes clients sortaient satisfaits de mon bureau, et dans les tribunaux autant dire que j’étais une vraie tigresse. Je ne laissais rien passer, j’arrivais toujours à faire gagner mon client. Depuis tout cela, je continuais dans la masse de travail. J’avais de plus en plus de clients vu que ma renommée augmentait continuellement. Pas que cela me déplaisait, mais sur le coup, ça me faisait un réel poids dans ma vie. D’abord, je n’avais plus une seconde à moi : dès que je rentrais chez moi, soit je continuais sur un dossier soit j’allais directement au lit parce que la fatigue me gagnait. Ensuite, par rapport à ma vie sociale et surtout avec Domenico. Je ne l’avais pas revu depuis la dernière fois où nous nous étions presque déclarés, ce qui relevait à presque deux semaines. Mais c’était sans compter des petits messages que l’on s’envoyait, même si pour moi c’était égal à rien du tout. Alors c’était le cas de le dire, j’avais travaillé comme une folle. Mon patron ayant vu mes bons et loyaux services, m’offrit deux places au Casino pour un concert de Jazz. Je n’étais pas vraiment fan de ces choses là, mais l’idée des deux places était excellente. J’avais un moyen de revoir Domenico! Et de me détendre aussi. Dès que je reçus ces deux merveilles, je lui en fis part et il accepta.

    Le jour du Casino arriva. Et comme toutes ces soirées qui se déroulaient là-bas, il fallait bien entendu se mettre sur son 31. Pour moi, pas de problèmes pour ça. J’avais une tonne de robes dans mon dressing, le problème c’était d’en choisir une. Et puis je terminais tellement tard, que je savais que je n’aurais pas le temps pour tout. J’avertis donc à Domenico que je le rejoindrais là-bas même. Pour ce qui fut de la recherche de la robe parfaite, je sortis presque tout mon dressing sur mon lit. Puis je la trouvai enfin : une robe bustier couleur crème qui m’arrivait au dessus des genoux. Puis pour mes chaussures, je choisissais des escarpins louboutins noirs qui iraient avec mon sac. Je me remaquillais rapidement, puis je joignais mes cheveux en un beau chignon que m’avait appris September. Question bijoux, j’y allais presque sobre. Une fois prête, je descendais mes escaliers, rejoignais ma voiture et je partais en direction du Casino.

    Une fois sur place, je descendais offrant mes clés au voiturier qui attendait. J’étais un peu en retard sur le coup, donc je ne voulais pas perdre de temps à garer ma Chevrolet, surtout avec ces talons aux pieds. Je montrais mon billet au gardien puis j’entrais une bonne fois pour toutes dans le Casino. Beaucoup de personnes étaient déjà présentes, quelque uns jouaient, d’autres buvaient et discutaient avec que le concert commence. Domenico devait sûrement être par là. Je m’aventurais alors entre les personnes, n’hésitant pas à presque les pousser au passage. C’était horrible tout ce monde rassemblé! Puis enfin je le vis, écarté du monde, de dos près d’une rampe d’escalier. Mes lèvres affichèrent un sourire instinctivement. Je m’empressais donc d’aller à sa rencontre, voulant le surprendre par derrière. Une fois arrivée derrière, je déposai un baiser sur sa joue. Presque même pas besoin de me mettre sur la pointe des pieds avec mes talons! Alors qu’il se retournait, j’affichais un petit sourire :

    « Tu as même carrément mis du parfum dis donc! »

    Je reculais ensuite légèrement pour l’observer de haut en bas sans aucune gêne. Il s’était vraiment mis sur son 31 aussi.

    « J’ignorais que tu avais ce genre de choses dans ton armoire. » dis-je en haussant les sourcils.

    Si on devait le traduire à ma façon, ça pourrait presque dire que ça lui allait bien. Mais ça bien sûr, il fallait le comprendre. Je m’approchais ensuite une nouvelle fois vers lui, mettant mes mains sur son torse et le fixant :

    « Je ne sais pas si tu as le droit de m’embrasser vu le monde qu’il y a. »

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Anonymous
Invité
Invité
Ven 9 Sep - 1:13

    Wow, j'avais maintenant l'âge légal pour jouer aux casinos. Cela n'avait l'air de rien, mais quand j'étais petit et que mes parents m'amenaient à Las Vegas, je rêvais toujours de tirer le manche d'une machine à sous pour gagner le gros lot. Toutefois, il m'était interdit de m'en approcher, car je n'étais que mineur. Maintenant, on pouvait pratiquement dire qu'un petit rêve d'enfant allait bien se concrétiser. Enfin, en partie, car je n'avais plus un rond. Du moins, techniquement. Sachant que j'allais au casino ce soir - car oui, ma mère me téléphonait très souvent pour garder contact avec moi -, elle avait décidé de m'envoyer par la poste une petite coquette somme d'argent à dépenser pour ce soir. Cela me semblait alléchant, mais d'un autre côté, comme j'avais la difficulté à arrondir mes fins de mois, je préférais peut-être éjecter cet argent pour payer mon loyer ou quelque chose comme ça. D'ailleurs, ma mère, ayant prévu que j'aurais une telle réaction, m'ordonna presque de ne l'utiliser qu'à cette fin. Elle savait que je n'appréciais pas trop désobéir, en particulier à mes parents. D'autant plus, elle avait compris que je devrais passer par-dessus mon orgueil pour pouvoir leur demander de me passer quelques billets à cause que mon budget était très serré. Elle me connaissait très bien. Elle avait compris que j'aurais pris des moyens détournés, comme celui-là, pour pouvoir rendre ma situation financière plus confortable. Maintenant démasqué, je n'aurais pas d'autre choix que de dépenser follement cet argent sans en garder la moindre part. Ce n'était pas une mauvaise chose: au moins, cela nous permettra de nous occuper un peu dans le casino.

    La soirée s'annonçait vraiment excellente: nous avions de bonnes places sur le parterre pour assister au concert de jazz. Ensuite, nous avions une table réservée au restaurant du casino tenu par un chef de renom pour dîner en heure tardive - soit après le spectacle. Après, nous avions le luxe de dépenser de l'argent en jouant. Bref, bien des gens auraient aimé être à notre place. Moi-même, je ne semblais pas réaliser à quel point cette soirée pouvait s'annoncer magnifique. J'espérais vraiment qu'il n'y aurait rien pour la gâcher. Après tout, cela faisait presque deux semaines que je n'avais pas vu Denver face à face! Il fallait que nos retrouvailles soient merveilleuses. D'ailleurs, en pensant à elle, je me mis à me demander ce qu'elle porterait. Pour ce que j'en savais, Miss Hopkins aimait la mode et avait les moyens de s'y tenir saison par saison. Je me demandais si elle se la jouerait mode plus classe, comme ces célébrités qu'on voyait dans les magazines à potins, mode originale, comme dans les podiums, ou mode disjonctée comme Lady Gaga. La première option me sembla plus réaliste, car Denver n'aimait pas attirer toute l'attention sur elle. Tout solitaire qui se respectait préférait rester dans l'ombre que la lumière. Néanmoins, je savais que, malgré son côté solitaire, elle ne se gênerait tout de même pas pour mettre une robe classe qui ferait sensation. Ah ce qu'elle me manquait... À chaque fois que je le réalisais, je me sentais faiblir. Elle devenait tranquillement mon talon d'Achille. Le noyau endurci du vieux garçon en moi fondait même avec toutes ses années de préservation. Si pour certains, cela aurait causé un problème, pour moi, c'était magique et agréable - quoique dur sur l'orgueil.-

    Je ne vis pas les minutes passées, car j'étais trop occupé à réfléchir seul au pied de ce gigantesque escalier. Probablement parce que mon esprit était trop concentré, je ne vis pas Denver arriver derrière moi. Ce fut par un baiser qu'elle me tira du monde métaphysique dans lequel je baignais. Elle était ravissante. C'était un canon de beauté. La simplicité de sa robe, mais sa complexité dans les détails, rendaient hommage au petit bout de femme qu'était Denvee. Alors, quand en me retournant, je l'aperçus, mon coeur arrêta de battre pendant l'ombre d'un instant. Puis, il reprit, mais avec une force inouïe, presque douloureuse. Le mascara et l'ombre à paupière faisaient vraiment ressortir ses yeux de biche. Et dire qu'elle était avec moi. À son commentaire, sur mon parfum, j'esquissais un sourire. Il avait bien fallu. Surtout que j'étais conscient que ce parfum rendait n'importe quelle femme dingue. Ce n'était pas compliqué: je voyais toujours des filles se retourner subtilement sur mon passage pour chercher la source de l'odeur. Denver n'y ferait probablement pas exception. Elle commenta ensuite le fait qu'elle ignorait que je pouvais avoir ce genre de tenues chez moi.

    - Mon appartement fait peut-être pitié, mais le contenu a beaucoup plus de valeur qu'on ne le pense.

    Mon regard se dirigea instinctivement dans celui de Denver qui était plus à ma hauteur. Bon sang qu'elle était belle. Mon regard lui en témoigna, bien entendu.

    -¡Jesús! Eres tan maldito calor, de Denver.* Je suis l'homme le plus chanceux de la terre ce soir.

    Puis, elle posa ses mains sur mon torse et j'accueillis le geste avec joie. Elle me demandait si j'avais le droit. Bien sur que j'en avais le droit. J'en mourais d'envie même.

    - De quoi tu parles? Bien sur que oui. Je veux que tout le monde ici me voit avec la plus belle fille du casino.

    Comme elle était déjà proche, je n'eus pas besoin de la rapprocher. Mes mains s'emparèrent de son visage et ma bouche emprisonna la sienne. Je l'embrassais comme un vrai latino qui se respecte: avec beaucoup de sensualité et de passion.

    *Jesus! Tu es freaking hot, Denver.
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Denver Hopkins
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Ven 9 Sep - 19:12

    Avant de vouloir inviter Domenico à cette soirée, je m’étais tout de même posée la question : est-ce qu’il aimerait? Parce qu’il fallait dire les choses telles qu’elles sont, je ne crois pas qu’il fréquente beaucoup les Casinos. Lieux remplis de personnes et ô combien d’argent en jeu. Je commençais vraiment à le connaître, donc j’avais quelque peu douté sur ça. Mais en même temps, je me disais également que c’était une excuse pour se revoir puisque je ne savais pas encore quand je serais libre. Le travail m’absorbait tellement en ce moment que ça devenait presque irréel. De plus, un collègue avait posté sa démission, du coup je ramassais tous ses clients. Il n’y avait qu’à voir ma tête quand j’avais appris ça. J’aime mon boulot certes, mais il y a également des limites. Car en plus de mon boulot au bureau, j’avais accepté d’être le mentor d’un étudiant en droit nommé Landon. Donc quand j’avais un instant de libre, ce n’était pas pour longtemps. J’avais l’impression que je n’étais que chez moi pour dormir. Cela allait faire presque une semaine que je n’avais pas allumé ma télévision ou que je n’avais pas pris soin de moi comme je le faisais souvent auparavant. On pouvait donc dire que cette soirée qui s’annonçait était un vrai miracle pour moi en ce moment. J’espérai de tout cœur que j’allais m’amuser et qu’il n’y aurait pas quelque chose qui me mettrait à bout de nerfs. Car il fallait le dire : j’en étais très près.

    Heureusement, le fait de retrouver Domenico me détendit. Ca me faisait littéralement changé les idées. Je n’avais plus mes dossiers incomplets ou mes clients consternés, mais je n’avais que Domenico. Le fait de le voir aussi bien habillé me provoqua une très bonne impression. Je me doutais qu’il n’allait pas se ramener en jeans-sneakers, mais le fait de le voir particulièrement élégant me fit sourire. Bien sûr, je ne lui avais pas fait le compliment tout gentil tout joli. Au contraire, comme à mon habitude, j’y avais jeté une pointe de sarcasme en espérant qu’il y comprenne tout de même le sens caché. Avec moi, il devait commencer à avoir l’habitude. J’acquiesçais doucement quand il me disait que son appartement faisait pitié, mais que son contenu avait beaucoup de valeur. Je ne demandais qu’à le croire. Par la suite, il me sortit quelque chose en Espagnol. Je commençais à en avoir également l’habitude, mais ça me dérangeait de ne pas savoir ce qu’il me disait. Je savais tout de même qu’il disait quelque chose d’agréable puisqu’il ajouta qu’il était l’homme le plus chanceux de la terre en cette soirée. Je ne pus m’empêché de relever le dernier terme de sa phrase :

    « Que ce soir? » dis-je, l’air complètement innocente.

    C’est vrai que j’avais sortit toute ma panoplie pour cette soirée. J’aimais me maquiller, me coiffer et m’habiller. Une vraie poupée! Quand j’en avais l’occasion, j’essayais de nouvelles choses qui allaient toujours en rapport avec la mode du moment. Et comme j’en avais les moyens, j’en profitais totalement. Par la suite, je suivais dans mon innocence fictive, en lui demandant s’il avait le droit de m’embrasser devant tout le monde. J’imaginais déjà une réponse dans un coin dans ma tête et je fus contente d’entendre qu’il pensait la même chose. Je fermais mes yeux au contact de ses lèvres sur les miennes et je me laissais entrainer. J’en profitais pour glisser mes mains jusqu’à sa nuque puis au bout d’un instant, je me séparais légèrement de lui, souriante :

    « Je suppose que ça t’avait manqué ça. »

    Pour ponctuer ma phrase, je déposai un rapide baiser sur ses lèvres puis je me séparais pour de bon de lui. Quelques personnes à proximité nous jetèrent des regards curieux, mais je fis comme si je n’avais rien vu. A la place, je prenais la main de Domenico, regardant sa montre. Le spectacle n’allait pas tarder à commencer.

    « On devrait y aller. »

    J’attrapai ensuite sa main dans la mienne, puis je l’entraînais vers l’entrée de la salle. Un guide nous indiqua où nous devions nous asseoir. Une fois installés, je lâchais la main de Domenico. Je regardais ensuite un peu autour de moi, attendant que le concert commence. Mon regard croisa celui d’une jeune femme. Enfin, son regard était plutôt porté sur mon côté droit, c’est-à-dire Domenico. J’haussais les sourcils, perplexe, mais la jeune femme avait l’air de n’en avoir rien à faire. Me penchant légèrement sur le côté, j’en fis part à Domenico :

    « Tu as une fan on dirait. »

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