Je suis née en Irlande, de deux parents qui s’aimaient depuis leurs années lycées, tout deux s’étaient rencontrés vierge, et n’avait eu que pour seul expérience leur mariage. Nous fumes, car oui nous étions deux la cerise sur leurs gâteau, il y avait moi Lou Orphea et ma sœur… Si je ne vous dis pas son prénom s’est tout simplement parce-que je ne le sais pas. Nos parents n’ont pas réussi à surmonter le stress des nouveaux parents, l’usure les à bouffés et j’avais tout juste 1 ans lorsqu’ils se sont séparés. Ma mère à déménager à paris m’emportant avec elle sans doute car j’étais sa favorite, mon père, lui, avait trouvé son enfant modèle chez ma sœur apparemment. Je n’ai jamais eu quelconque nouvelle d’eux.

J’ai donc grandis à Paris, en France, dans la haute bourgeoisie. Ma mère était extrêmement riche de pars la fortune léguait par son père à sa mort, elle dépensais sans compter en ce qui concernait mon éducation, en peu de temps j’avais appris quatre langue s’ajoutant à mon anglais déjà parfait à mes sept ans, le français, l’espagnol, l’italien et le russe. J’affirmais déjà une intelligence extraordinaire qui ravivais ma mère ne se gênant pas de se vanter de mon intelligence qui proviendrais d’elle, sois disant du moins car ma mère n’est pas intelligente, mais, elle reste ma mère que voulez-vous, simplement elle n’est pas très futé. C’est à mes quinze ans seulement que nous vinrent nous installer à San Francisco, je me souviens que s’est à cet période que j’ai commencé à lire, énormément. J’avais toujours était une jeune fille sociable mais San Francisco, j’avoue avoir eu du mal à m’y faire. La littérature avait toujours était un domaine où je me montrais à l’aise, je passais du temps à lire, confectionnant mes propres idéaux sur les situations auquel les personnages faisait face à un moment donné ou un autre de leurs vies. S’était comme si chaque moment pouvait être comparé à un moment de notre propre vie, comme si les lecteurs percevaient chaque situation d’une façon tout à fais clair. J’ai pris à ce moment même gout à la photographie, plus particulièrement celle exprimant une émotion particulière, je me suis mis à m’abandonner à des projets tel que photographiés les sept pécher capitaux, tout ceci dans l’unique optique d’un jour comprendre d’avantage ces traits qui nous forment, nous, les êtres humains. A vraie dire, ma prétention dérangés, je le sentais tout comme je le savais. J’avais toujours cette façon de me sentir supérieure face à quiconque, ma froideur et ma cruauté ne faisais qu’accentué ce défaut qui en faisais craquer bon nombre mais qui en écœuré tout autant.

On voudrait me faire croire que je suis responsable de pas mal de rupture de couple, m’enfin, il faut être deux pour coucher ensemble, je ne viens que profiter d’une faille légèrement entre ouverte que les hommes ne tardent pas plus à transformer en une nuit aux milles et uns plaisir charnel. Plutôt dire, je m’en fiche bien de ce que les gens peuvent ressentir ou attendre moi car je n’ai pas pour l’habitude de me plié aux normes, et, encore moins de me plié aux obsessions des gens, je fais ce que bons me semble, ma désobéissance est légendaire. Du moins, aussi légendaire qu’elle puisse l’être. Vous savez, les conversations ne se font pas que de paroles insensés, elles ne se font pas que de discussion cherchés des heures, d’un sujet de discussion finement installés. Elles sont aussi faites de long regard et de long silence en disant d’avantages que des paroles explicite dénués de leurs sens, les verbes, voilà, parler s’était tout un art, s’exprimant de diverses façons celons ce qu’elle voulait dire, certaine vérité par exemple ne devais pas franchir les lèvres, ceux la connaissant se lancerais de long regard silencieux, s’enfonçant à deux, les yeux fermés dans leurs mensonges, le laissant grandir, prendre une ampleur de non retour et si par malheur les grilles venaient à se refermer autour de cette dernière, elle y échappé toujours subtilement, nié. Elle nié, absolument tout, ne laissant aucune preuve derrière elle il n’y pouvait y avoir que soupçon, ses talent d’actrices font le reste. Il en à toujours été ainsi, les gens sont mes sujets si l’on puis dire, bien sur, j’en apprécie certains, il y a des gens qui ne sont pas uniquement mes larbins, ceux que je pourrais éventuellement aider, ceux que j’aime sans pour autant leur dire car je n’aime pas les sentiments, je suis assez mal à l’aise avec ces trucs là, pour moi ça existe sans trop exister, il ne faut pas en parler si on ne veux pas tenir la magie. Comment peut-on souffrir de ce que l’on ignore.

Mon adolescence n’a pas connue de période « dark » comme la plupart des gens, moi je n’ai pas eu une crise d’adolescence, je n’ai jamais effectué quelconques signes de rébellion d’avantage marqué car cela fais partie de ma personnalité. J’ai toujours eu ce côté révolté, provocant, je n’ai jamais obéit, je n’ai jamais fais ce que l’on attendait de moi voilà pourquoi les gens n’attendent rien de moi, ils savent que je ne fais que l’objet de mon désir, l’égoïsme pure, il est dingue de pouvoir penser que la vie de quiconque m’intéresse d’avantage que la mienne, pourtant, s’est possible. Je n’ai jamais était une jeune femme très droite, ni très sérieuse, j’ai toujours était studieuse car cultivé mais je n’ai jamais étais des plus assidue de ma classe bien au contraire je séchais très souvent m’attirant bien souvent les foudres de ma mère et de ses discours que je connaissais par cœur. Imaginez-vous, le déshonneur totale –rire- Je n’ai jamais posé de question sur mon père car je m’en fiche un peu, il ne me manque pas, je ne le connais pas, ma mère à toujours cette haine amer contre lui, elle en parle toujours en substituant son prénom par un subtil « le connard », dans ce genre de condition, j’imagine que on ne se risque pas à poser trop de question. Je n’en ressentais pas véritablement le besoin alors ça n’avais aucune importance, la curiosité était un vilain défaut après tout, est ce n’aurais été que par ce simple pécher que j’aurais désiré poser un prénom, un visage, un métier, un semblant de connaissance de sa vie. Autrement, ça n’avais pas vraiment lieu d’être dans ma vie, je ne voulais guère encombrer mon esprit d’un flot d’information inutile. Je pense que je suis en faite très fataliste, j’appréhende le destin comme il vient d’ailleurs je ne suis pas très adepte des gens qui se plaignent, je ne me plains jamais, je ne suis pas triste, je ne pleure pas, je prends la vie comme elle vient, vous savez, il faut faire la part des choses la vie ne peu être un long fleuve tranquille. Il faut bucher, tomber, mais ne jamais oublier l’objectif à atteindre, tel qu’il soit, il ne faut pas se laissé dérouter par des détails, détails comme des garçons, des amis, des sentiments où tout ce qui ressemble à la mascarade amoureuse habituelle. La cruauté doit toujours avoir sa place dans quelconque relation car, pour moi, il faut se quitter souvent pour s’aimer toujours. Bien sur, tout le monde n’a pas cette perception. Les choses se déroulent trop vite échappant à notre contrôle et les années ne sont qu’un paquet de photos poussiéreuses que nous environs plus tard, se remémorant alors les activités, les folies, l’insouciance d’autres fois, bien sur, ce sera quand la vie nous aura bouffés, consumer, épuiser autant physiquement que en apparence, quand les rides ne seront plus soucis tellement notre visage en sera accablé, je crois que dans un sens je me refuse de vieillir, de prendre quelconques responsabilités, est-ce véritablement mal ? Je n’ai jamais de regrets, jamais, la culpabilité pour dire je ne connais pas, j’assume mes actes autant que mes paroles.

Maintenant, je n’ai plus vraiment de discussion avec ma mère, à vraie dire si j’ai décider de vivre seule, à présent s’est avant tout pour ma liberté, pour ne plus l’entendre me dire que faire la fête tout les week end et me saouler ne me fera pas avancer dans la vie, oh, un appartement vous savez, ça n’a rien d’un engagement, s’est plutôt cool si on oublie le ménage et tout ça, car je n’ai rien d’une parfaite enfant sage et ordonné, ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé de me rendre plus docile, mais on ne m’apprivoise pas je crois, je suis sauvage, à cueillir comme je suis sans me demander aucun sacrifice car je ne suis pas comme ça, vous voyez.